Les réseaux sociaux : échanges de pratiques
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- Florentin Laurin
- il y a 8 ans
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1 Les réseaux sociaux : échanges de pratiques 4 décembre 2015 (Pascal Minotte / CLPS Luxembourg) Les adolescents et les enfants utilisent de plus en plus Internet : ordinateurs, consoles de jeu, téléphones portables, tablettes, leur donnent accès au réseau. Mais cette «vie en ligne» qui leur offre de nouvelles opportunités d interactions peut être source de problèmes, voire de dérives sur les réseaux sociaux ou dans l usage des écrans. Que faire lorsqu on est confronté à cette situation? Afin d offrir des réponses nuancées aux professionnels concernés et de les aider à prendre du recul, le CLPS Luxembourg a organisé une journée d échanges de pratiques sur le sujet. A cette occasion, Pascal Minotte, psychologue, psychothérapeute et chercheur au Centre de référence en santé mentale (CRéSaM) l a accompagné. Il guide des professionnels dans leur questionnement sur les usages des espaces numériques par leurs bénéficiaires. Il donne aussi un cours de psychosociologie des usages et des pratiques médiatiques à l Institut des Hautes Études des Communications Sociales (IHECS), à Bruxelles. La journée a accueilli 25 participants animateurs, éducateurs, infirmières, responsable de communication, enseignants, assistants sociaux, travailleurs de la réinsertion socioprofessionnelle et de la prévention générale La matinée s est voulue plus théorique avec des apports de Pascal Minotte. Il a amené des repères pour doser le contact avec les écrans en fonction de l âge, pour accompagner les premiers surfs sur le Web et sensibiliser les jeunes à la notion d identité numérique. Ce fut également l occasion de resituer les réseaux sociaux dans les enjeux développementaux, d aborder les rôles et missions de chacun (parents, profs, écoles ). Enfin, un moment fut consacré aux usages problématiques comme la cyberdépendance et le harcèlement. Cette dernière partie fut davantage exploitée au moment des échanges entre les participants. L après-midi a été consacrée à des échanges en sous-groupe. 1. Technique utilisée La technique utilisée lors de l après-midi est celle du World café. Cette technique a permis de structurer les échanges au départ de 3 questions récoltées lors du temps de questions/réponses. 1
2 Le World café propose au groupe de se subdiviser en trois tables qui abordent chacune une des questions. Les sous-groupes sont formés par 6 personnes, ce qui favorise l émulation dans les échanges. Après 30 min, les sous-groupes changent de tables afin d alimenter le contenu des échanges précédents. Les questions sont ainsi travaillées par les 3 sousgroupes. Lors du dernier tour, les participants ont été invités à formuler une nouvelle question à soumettre à P. Minotte qui y répondra lors de la synthèse de la journée. L équipe du CLPS Lux est garant du cadre en animant les tables pendant que P. Minotte écoute les échanges d une table à l autre. 2. Contenu recueilli 1. 1 ère table Quels sont les sujets/portes d entrée/balises de réflexion qui peuvent être amenés lors d un projet sur les réseaux sociaux (ex : droit à l image)? Les participants de chacun des sous- groupes ont souligné des aspects méthodologiques nécessaires ou des points d attention pour aborder «des sujets» avec les jeunes. Voici ceux qui ont été cités : Importance de l animateur «Qui?» et «Pourquoi lui?». «Partir de la réalité des jeunes», c est à la fois une méthode de travail mais aussi un moyen d en soustraire des sujets/des réflexions qui accrochent les jeunes (l actualité, leur utilisation des réseaux sociaux, le sens qu ils donnent aux réseaux, etc.). Utiliser des supports dynamiques/actuels qui parlent aux jeunes. Echanger en veillant à l écoute active des jeunes entre eux mais aussi une écoute de la part des professionnels pour s adapter aux questions/contenus des jeunes. Utiliser une pédagogie qui suscite le questionnement chez les jeunes. Mettre à disposition des jeunes des outils/des ressources/des relais. Analyser la demande avant de se fixer des objectifs et de proposer des actions. Mobilisation généralisée de l école et pas uniquement d une classe. 2
3 Les sujets/portes d entrée/réflexions à amener lors d un projet sur les réseaux sociaux (propositions des participants) : Aborder les aspects techniques quant à l usage des réseaux sociaux (paramétrer, sécuriser, utiliser la potentialité des réseaux, etc.) ; Aborder les aspects psycho-sociaux liés à l usage des réseaux sociaux (les participants soulignent que ces aspects sont à aborder dans un second temps avec les jeunes pour le caractère personnel que cela engendre) : - bienveillance et respect sur les réseaux sociaux, - respect de la vie privée, - vécu /ressenti en lien avec l usage d un réseau social, - esprit critique par rapport à ce qui est posté, - répercussions de l expression des opinions, - liberté d expression dans un cadre consensuel ; Aborder les aspects législatifs (droits et devoirs) sur base des échanges entre les jeunes (les propos xénophobes, homophobes, racistes, etc.), les idées véhiculées dans les messages, les idées démocratiques, la confidentialité des données personnelles, les impacts et conséquences de certains propos/messages, etc ; Travailler la notion d identité : identité numérique et l identité réelle (quelle frontière?) ; Eduquer aux médias en général : décortiquer des sujets d actualité pour décrypter l info/l intox, pouvoir distinguer des propos qui relèvent de l émotion, des faits ou des opinions, développer l esprit critique en général ; Conscientiser sur les enjeux commerciaux derrière les réseaux sociaux : la pub, les données personnelles disponibles pour des fins commerciales, le traçage, etc. Rem. : Certains participants pensent que les sujets pris en tant que tels n intéresseront pas forcément les jeunes (cela ne les atteint pas dans l immédiat). Cependant, partir d éléments qui les amusent comme une pub sympa à décortiquer permet ensuite d aborder des questions plus larges Un autre sujet qui peut venir alimenter des réflexions plus générales : la temporalité des données/messages/photos (traces perpétuelles) et en parallèle la notion d espace public. 3
4 Question pour le 3 ème tour: Comment argumenter l intérêt de la prévention liée aux réseaux sociaux auprès des directions d écoles : -hors de la crise? -sur le long terme? Quelques arguments proposés par P. Minotte: La notion de «fracture numérique» n est plus liée à l accès à internet mais davantage liée aux usages (tous les jeunes ne sont pas égaux, en termes de ressources, par rapport à cet usage). L école est aussi concernée par les réseaux sociaux (harcèlement, etc.) dans la mesure où les élèves répercutent ce qui s y passe à travers les réseaux sociaux! Les objectifs de l école sont notamment de former des citoyens critiques/responsables/acteurs et compétents, etc. Pour être cohérent avec cela, les écoles devraient apporter un savoir, des compétences, des ressources et développer le sens critique en lien avec les usages d internet et des réseaux sociaux : une éducation aux médias ème table Que mettre en place pour élaborer une prévention scolaire adaptée, contre le harcèlement et le cyber harcèlement? Les participants pointent d emblée, avec une grande unanimité, trois points qui leur paraissent essentiels : 4
5 Travailler des espaces de paroles régulés (échanger des points de vue, apprendre à s exprimer dans un groupe) Augmenter la disponibilité des adultes (à l écoute des jeunes) Dispenser obligatoirement un cours d éducation aux médias (travailler l esprit critique) Il est également souligné que seul un travail à long terme peut porter ses fruits, qu un oneshot sert au mieux à éteindre un incendie, mais qu il doit alors être impérativement suivi d un processus plus long, avec animations prévues et interventions de services extérieurs planifiées, tout au long de l année, au sein de chaque établissement scolaire. Une plus grande cohésion dans l établissement scolaire est préconisée : que tout le monde parle d une même voix, que le projet de l école soit collectif ; éventuellement, que le R.O.I. (Règlement d Ordre Intérieur) soit adapté régulièrement et re-signé par chacun (réflexion à mener sur comment faire pour que les jeunes se l approprient). Il est fondamental que chacun puisse s exprimer régulièrement et qu un travail sur les émotions soit abordé tout au long de l année (style cercles Prodas). Un des buts importants à atteindre est de favoriser l empathie : on cite, par exemple, les jeux de rôle qui permettent d intervertir la place de chacun (harceleur victime sauveur) : l outil «Potes et Despotes» pour les ados et «Le jeu des trois figures» en maternelle. Il est également nécessaire de ré-insister sur le rôle des témoins, lors d un harcèlement. Il existe quelques facteurs dont il faut tenir compte dans notre société actuelle : la banalisation du mal (par exemple : certaines émissions à la télévision valorisent celui qui écrase les autres pour réussir), le phénomène de groupe, la difficulté toujours grande de s exprimer pour le harcelé. Travailler le «vivre ensemble» = le «faire société», ouvrir les esprits par le biais de multiples activités culturelles, aller à la rencontre de l autre, restent des pistes incontournables pour agir en amont des problèmes et prévenir ainsi les diverses formes de harcèlement. Question pour le 3 ème tour: Qu est-ce qui fonctionne réellement en prévention du harcèlement, selon Pascal Minotte? 5
6 Quelques références utiles en réponse à cette question : Voir Université de Mons : cour régulée/espace de paroles régulé Voir université de paix : prévention du harcèlement et «graines de médiateurs» Le «Jeu des 3 figures» pour développer l empathie dès la petite enfance L éducation aux médias ème table Quels sont les éléments à mettre en place quand un événement s est produit dans un établissement scolaire? Que peut-on faire pour accompagner les jeunes? Quel est le rôle de chacun? 6
7 Les participants ont besoin de se mettre en situation pour commencer la réflexion. Cette situation est celle du harcèlement d un jeune, notamment via les réseaux sociaux. Voici les éléments de réponse proposés : Il s agit, ici, d un problème sociétal qui se retrouve dans le microcosme de l école comme dans d autres microcosmes. Il faut repenser le système de l école et revoir la place de l enseignant. Questionner le contexte, analyser la situation avant toute chose afin de pouvoir poser les bons actes. Travailler sur le long terme. Entamer un processus de discussion avec les différentes parties (victime, agresseur, témoins mais aussi les parents de ces jeunes). En effet, il est important de : - Travailler avec les trois protagonistes ; trouver ensemble des solutions qui vont jusqu à la réparation ; aller jusqu à l engagement de chacun dans des choses très concrètes pour que la situation change, avec un rôle pour chaque élève. - Nommer les choses pour que les témoins se rendent compte de ce qu ils ont cautionnés. Travailler en toute transparence avec ces différentes parties et donc les informer du processus qui se met en place. Donner une place aux parents qui ont un rôle éducatif. Il existe des groupes de paroles pour parents. Exemple : L autrement dit a créé un groupe de parole virtuel sur Internet. Rôle de la direction : - Faire respecter les règles de l établissement. - Trouver un service pour accompagner le processus (PMS, équipe mobile, ). - Informer toutes les parties sur ce qui s est passé et sur ce que vient faire le service d accompagnement. - Soutenir l élève qui voudrait porter plainte. - Faire le nécessaire auprès des parents pour que le site soit fermé. La direction a la responsabilité de sensibiliser les parents d un enfant qui a mis des insultes sur facebook, par exemple. La personne (éducateur, professeur, directeur, ) qui recueille le témoignage (de la victime ou d un de ses pairs) doit prendre ses responsabilités et en parler à la direction. Il est encore plus difficile d agir quand ce harcèlement se passe entre des élèves d écoles différentes. Idées afin de prévenir ces situations : 7
8 - Inviter les directions à communiquer sur une marche à suivre en cas de harcèlement. Le PMS pourrait être présent en début d année scolaire pour faire cette annonce. - Soutenir le fait que les enseignants et éducateurs doivent être des personnes à l écoute, ouvertes. Créer au sein de l école un pool de personnes qui seraient à même d entendre ces situations. - Travailler sur le «bien vivre ensemble» en mettant en place des groupes de parole régulée, c'est-à-dire balisés pour que chacun puisse s exprimer, pour qu on ne retrouve pas les mêmes rapports de force que dans d autres contextes, - Mobiliser différentes personnes ressources au sein de l école (enseignant, éducateur, chef de classe, ) afin de pouvoir être alerté d une situation avant qu elle ne devienne problématique. - S adresser au Service des équipes mobiles. Parmi les dispositifs de prévention du décrochage et de la violence en milieu scolaire, la Fédération Wallonie-Bruxelles a instauré le Service des Équipes mobiles. Rem. : Ce Service, composé d intervenants extérieurs aux écoles, a pour mission d intervenir : en cas d absentéisme scolaire (situation d un élève qui fréquente irrégulièrement l établissement scolaire et s en absente de façon injustifiée), uniquement dans l enseignement fondamental ; en cas de décrochage scolaire (élève soumis à l obligation scolaire qui est inscrit dans un établissement mais ne l a pas de fait fréquenté sans motif valable ou élève qui n est inscrit dans aucun établissement scolaire et qui n est pas instruit à domicile) ; en cas de situation de crise dans l école, c est-à-dire, une situation affectant l établissement scolaire à la suite d un fait précis ; afin de permettre la reprise du dialogue au sein de l établissement scolaire qui a connu une situation de crise ; de manière anticipative, au cas où l équipe éducative souhaite se préparer à réagir en situation de crise. Le Service des Équipes mobiles intervient dans l enseignement fondamental et secondaire, ordinaire et spécialisé, à la demande du chef d établissement ou du Gouvernement dans les établissements organisés par la Fédération Wallonie-Bruxelles et du pouvoir organisateur dans les établissements subventionnés. La demande d intervention doit se faire par fax, par courriel ou par courrier à la Direction générale de l Enseignement obligatoire dont voici les coordonnées : 8
9 Coordination pédagogique : Bruno SEDRAN Tél: 02/ Coordination administrative: Emeline THEATRE Tél: 02/ equipemobile@cfwb.be Fax: 02/ En cas d urgence uniquement : 0473/ Tout courrier peut être envoyé à : Madame Lise-Anne HANSE, Directrice générale de l Enseignement obligatoire Bâtiment Les Ateliers, Rue Adolphe Lavallée, Bruxelles (Molenbeek-Saint-Jean) Question pour le 3 ème tour: Quels rôles les parents doivent-ils prendre dans un cas de harcèlement? Cette question n a pas été abordée lors de la synthèse par faute de temps. Parmi les différentes balises transmises par Pascale Minotte, nous retiendrons 3 règles pour l utilisation des réseaux sociaux : 1. Tout ce que je poste est du domaine de la vie publique. 2. Tout ce que je poste est difficile à effacer. 3. Accueillir avec recul les images et textes que je reçois. 9
10 3. Evaluation Parmi les 25 participants, 14 ont répondu au document d évaluation. Ceux-ci ont découvert de nouveaux outils, services, personnes ressources et une nouvelle technique d animation. Ce sont d ailleurs les éléments qu ils retiennent concernant la journée. Les participants ont été surpris de la complexité et de l étendue du sujet. Ils restent d ailleurs dans l attente de formations (entre autre Ecrans@plat) et d outils concrets pour l aborder positivement et sensibiliser à l utilisation du média internet. Ils imaginent utiliser les informations reçues pour mettre des actions en place (rencontres, collaborations, animations). Ils ont apprécié l organisation de la journée, sa dynamique ainsi que la convivialité et les échanges entre professionnels. Rem. : La formation Ecrans@plat a été organisée par le CLPS Lux en octobre Elle pourrait éventuellement être reprogrammée si les demandes sont suffisamment nombreuses. N hésitez donc pas à nous communiquer vos besoins! 4. Outils En fin de séance, les participants ont reçu un recueil d outils disponibles au Centre de Documentation du Centre Local de Promotion de la Santé. 10
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