Formation et sécurité des patients l avenir c est maintenant!

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1 Journée des praticiens nes formateurs trices HESAV, Institut et HEdS La Source et institutions partenaires Risque, sécurité, qualité : Rôle des praticiens nes formateurs trices dans l accompagnement étudiant Casino de Montbenon, 28 avril 2015 Formation et sécurité des patients l avenir c est maintenant! Prof. Diane Morin, Inf, PhD IUFRS - UNIL - CHUV

2 Il sera question dans l ordre ou dans le désordre De mots et de définitions De complexité De compétences De savoirs probants De leadership 2

3 Objectif principal Mieux comprendre pour mieux agir! o Donner des clés de compréhension pour permettre de reconnaître et analyser les enjeux liés à la qualité des soins et les facteurs liés aux risques et à la sécurité des patients o Relier ces facteurs à un concept central: la complexité. o Identifier les compétences professionnelles à renforcer par la supervision en enseignement en Haute école en faveur de la qualité des soins o Positionner les formes de leadership qu un e praticien ne formateur trice peut exercer en formation attentive et réflexive face aux risques, sécurité et qualité des soins. 3

4 Guidée par des questions et des mots clés : o Comment développer une sensibilité accrue à la culture de sécurité patient avec les étudiants? o Comment renforcer les capacités des étudiants à communiquer et documenter leurs observations face à des enjeux de sécurité en contexte interdisciplinaire? o Lors des enseignements cliniques ou des activités de pratique réflexive comment exploiter les facteurs contextuels et environnementaux qui contribuent aux évènements indésirables? o Comment faire pour améliorer la vigilance par rapport à la sécurité des patients? 4

5 De mots et de définitions 5

6 Qualité Depuis les années 80, la qualité des soins a souvent été centrée sur le patient et considérée comme synonyme d efficacité. Dr Avedis Donabedian définissait des soins de haute qualité comme étant ceux qui visent à maximiser le bien-être des patients après avoir pris en compte le rapport bénéfices/risques à chaque étape du processus de soins. Dans les années 90, l OMS ajoute que cette définition doit intégrer l économicité des systèmes de santé. 6 Donabedian A. (1980) Explorations in quality Assessment and Monitoring, vol. 1, The definition of quality and approaches to its assessment. Ann Harbour: Health Administration Press /// WHO (1991) The quality of health care. \\apps.who.int/iris/handle/10665/46413#sthash.hr6xsxtf.dpuf

7 Qualité Dans les années 90, l Institute of Medicine (IOM) définit la qualité ainsi définition partiellement reprise par l OFSP: «la qualité est une mesure permettant d établir à quel point les prestations du système de santé, pour les individus et les groupes de population augmentent la probabilité d obtenir les résultats souhaités en matière de santé et correspondent à l état actuel de la science» [traduction libre]. L accent est mis ici sur l obtention de résultats pour les patients sans considération pécuniaire. 7 Kohn L. et al. (1999) To Err is Human : Building a safer health system, Commitee on quality of health care in Amercia. Insitute of Medicine National Academy Press, Washington, DC. /// OFSP (2009) Qualitätstrategie des Bundes im Schweizerischen Gesundheitswesen. p. 22

8 Sécurité, Risques & Responsabilité La sécurité des patients est définie comme étant l absence d atteinte inutile ou potentielle associée aux soins de santé. Un risque est défini comme tout événement redouté qui réduit ou a le potentiel de réduire un gain de santé ou l efficacité d une activité de soins. La responsabilité est à plusieurs niveaux: responsabilité professionnelle, responsabilité civile, responsabilité pénale, responsabilité disciplinaire. 8 ICPS (2009) The Conceptual Framework for the International Classification for Patient Safety Version 1.1 /// ANAES (2003) Principes méthodologiques pour la gestion des risques en établissement de santé. Paris. p. 12 /// OMS. Définition et évaluation des risques pour la santé. In WHO World Report 2002 (pp. 9-30).

9 Erreurs Le terme «erreur médicale» est le terme générique le plus utilisé. Il est attribué à toute erreur s étant produite au sein des organisations de soins. Il inclut les erreurs opératoires, les erreurs de diagnostic, les défaillances des équipements et les erreurs d identification des patients, les erreurs dans les traitements dans les soins et les erreurs médicamenteuses. Le terme «erreur» a une connotation négative car il peut impliquer la notion de faute, laquelle est susceptible d entraîner des suites juridiques. Le choix a été fait de parler d événement indésirable en lieu et place d erreur. 9

10 Événements indésirables Événement indésirable évitable (EIE): événement qui ne serait pas survenu si les soins ou leur environnement avaient été conformes à une prise en charge optimale. Événement indésirable grave (EIG) : tout événement indésirable à l origine du décès, de la mise en jeu du pronostic vital immédiat, de la prolongation de l hospitalisation, d une incapacité ou handicap et qui a un lien avec les soins. EIG évitable : tout événement indésirable grave qui peut être évité par une stratégie appropriée de gestion de l erreur. 10 ANAES (2004) Manuel d accréditation des établissements sanitaires, Deuxième procédure d accréditation, p

11 Événements indésirables Événement sentinelle : événement indésirable qui revient souvent et dont l occurrence défavorable sert de signal d alerte et déclenche systématiquement une investigation et une analyse poussée. Presque accident : situation qui aurait conduit à l'accident si des conditions favorables n'avaient pas permis de l'éviter 11

12 Qualité UNE AFFAIRE DE TOUS S P R LA STRUCTURE DE DISPENSATION DE SOINS + LES SOIGNANTS ES + LA SANTÉ DES PATIENTS ES À LEUR ARRIVÉE DANS LE SYSTÈME DE SOINS ET LEURS CONDITIONS DE VIE DANS LEUR ENVIRONNEMENT [inputs] LA QUALITÉ DES PROCESSUS DE SOINS (pratiques exemplaires, communication, éducation, développement des capacités, d autosoins, etc.) LES EFFETS OU IMPACTS SUR LA STRUCTURE ET LES PROCESSUS DE SOINS [outputs] LA QUALITÉ DES EFFETS DES SOINS (SOUVENT EN INTER- PROFESSIONNALITÉ) SE MESURANT PAR DES RÉSULTATS DE SANTÉ ATTENDUS OU NON ET PAR LE VÉCU DES MALADES, LEURS FAMILLES ET PROCHES [outcomes] (ex: gestion des symptômes, statut fonctionnel dans le domaine physique ou émotif, état de santé mentale, capacité d auto soins, AVQ, AIVQ, douleur, qualité de vie, etc.) UNE AFFAIRE DE CHACUN 12 Inspiré de : Donabedian A. (1980) Explorations in quality Assessment and Monitoring, vol. 1, The definition of quality and approaches to its assessment. Ann Harbour: Health Administration Press

13 Individu Groupe Population visée Population générale Institution, Système Equipe soignante élargie Equipe soignante locale Soignant Fonctionnement psychologique Fonctionnement social Fonctionnement physique 13 Inspiré de : Donabedian A. (1980) Explorations in quality Assessment and Monitoring, vol. 1, The definition of quality and approaches to its assessment. Ann Harbour: Health Administration Press

14 De complexité 14

15 Système Un système peut être défini comme un regroupement d éléments en interaction. Il existerait 3 formes de systèmes le système simple, le système compliqué et le système complexe, La théorie générale des systèmes présume que dans les systèmes simples et compliqués, les éléments en présence sont prédictibles, mesurables et reproductibles, ex.: Énergie de masse E=Masse [kg] Cvitesse de la lumière [m/s]2, Puissance P= Force [newton] Vitesse [m/s]. 15 Von Bertalanffy (1976) (Revised) General System theory: Foundations, Development, Applications. New York : George Braziller /// Roy, D. A., Litvak, E., & Paccaud, F. (2010). Des réseaux responsables de leur population: Moderniser la gestion et la gouvernance en santé. Montréal.

16 Système simple 16

17 Système compliqué 17 Mécanisme Jaeger Le Coultre, Sentier, Vallée de Joux, Suisse

18 Système complexe Un système complexe est celui qui possède un degré supérieur de complication à cause du nombre d éléments à relier entre eux, mais aussi à cause des modes de connectivité et de la non reproductibilité de ses éléments lorsque transférés dans un autre système. Un système complexe est soumis à des forces internes, mais aussi à des forces externes avec lesquelles il est en relation d interdépendance. 18

19 Système complexe La théorie des systèmes complexes considère qu il existe de possibilités de variations dans chacun des éléments qui composent un système. Chaque variation dans un seul des éléments a le potentiel de provoquer des écarts au modèle et mener vers une hypothèse différente de celle estimée au départ. C est la «non-infaillibilité des systèmes prévisionnels complexes». 19

20 Système complexe 20

21

22 Système complexe adaptatif Un système complexe adaptatif est celui qui possède une capacité remarquable à : o S auto-organiser, o S adapter à l environnement, o Apprendre et, o Évoluer. On identifie souvent les systèmes de santé et leurs sous systèmes qualité, risques et sécurité à des systèmes complexes adaptatifs. 22 Roy D, Litvak E & Paccaud F (2011) Des réseaux responsables de leur population. Montréal: Editions Le Point. /// OMS. (2010). Pour une approche systémique du renforcement des systèmes de santé. Genève: Organisation Mondiale de la Santé.

23 Système complexe adaptatif Si on applique le système adaptatif à l analyse de la sécurité, des risques et de la qualité des soins, il est raisonnable de croire que des facteurs potentiellement jugés marginaux au départ pourraient déclencher des erreurs et des effets néfastes pour la santé et la sécurité des patients. Ou encore que des facteurs ayant un fort potentiel de qualité et d impact favorable pour la santé se heurtent à des forces contraires qui limitent leur portée. 23

24 The Swiss Cheese model of errors Risque Facteurs latents : Processus organisationnels flous Charge de travail élevée Prescriptions manuscrites - Niveau de dotation limite Manque de soutien Facteurs facilitant la survenue d erreurs: Environnementaux (unités très occupées) - Equipe (manque de supervision) - Individuels (manque de formation) Tâche (répétitives) Patients (complexes) Erreur effective: Négligence, non-conformité, violation des pratiques exemplaires Garde-fous protecteurs: Inadéquats, confusion de rôles, absents Perte de capacités ou de vies humaines 24 Reason J. (1997) Managing the Risks of Organizational Accidents. Ashgate Publishing Ltd, Aldershot) /// Reason, J. T., Carthey, J., & De Leval, M. R. (2001). Diagnosing vulnerable system syndrome : an essential prerequisite to effective risk management. Quality in health care, 10(suppl 2), ii21-ii25.

25 De compétences 25

26 Approches attendues Cesser la culture du blâme individuel et instaurer une culture de la sécurité. Selon la European Network for Patient Safety, quatre thèmes doivent impérativement être améliorés au niveau des organisations de santé: o promotion d une culture de sécurité des patients ; o formation à la sécurité des soins ; o systèmes de notification des événements indésirables ; o sécurité de la prescription. 26 Kiekkas, P. (2011). The role of non-blaming culture in learning from errors. Nursing in Critical Care, 16(1), 3-4. /// Albisetti P. (2012) Sécurité des patients et droit dans les établissements hospitaliers - Tour d horizon. U. de Neuchâtel- MAS Droit de la santé

27 Approches attendues 27

28 Approches attendues 28

29 Approches attendues 29 Frank JR et S. Brien, (2008) Les compétences liées à la sécurité des patients L amélioration de la sécurité des patients dans les professions de la santé. Ottawa (Ontario): Institut canadien pour la sécurité des patients.

30 Compétences clés Domaine 1 : Créer une culture de sécurité des patients en s engageant à appliquer les meilleures connaissances et les meilleures pratiques liées à la sécurité des patients dans son travail de tous les jours. Domaine 2 : Travailler en équipes interprofessionnelles pour veiller à et optimiser la sécurité des patients Domaine 3 : Communiquer efficacement pour renforcer la continuité des soins, partager les perceptions face à des risques et améliorer ainsi la sécurité des patients. 30 Frank JR et S. Brien, (2008) Les compétences liées à la sécurité des patients L amélioration de la sécurité des patients dans les professions de la santé. Ottawa (Ontario): Institut canadien pour la sécurité des patients.

31 Compétences clés Domaine 4 : Gérer les risques associés a la sécurite en sachant les anticiper, les reconnaître et modifier les situations qui exposent les patients à des risques. Domaine 5 : Optimiser les facteurs humains et environnementaux et faire le lien entre eux afin d optimiser la sécurité des patients. Domaine 6 : Reconnai tre les événements indésirables, incluant les incidents, les accidents, les accidents évités de justesse; les divulguer pour atténuer le préjudice qu ils causent au patient, y réagir et empe cher qu ils ne se reproduisent. 31 Frank JR et S. Brien, (2008) Les compétences liées à la sécurité des patients L amélioration de la sécurité des patients dans les professions de la santé. Ottawa (Ontario): Institut canadien pour la sécurité des patients.

32 Autre compétence centrale Etre capable de baser sa pratique [d enseignant e et de soignant e] sur des preuves o Trouver les preuves o En évaluer le niveau de pertinence o En évaluer la valeur scientifique o En évaluer la valeur d application o Vulgariser les preuves o Appliquer en étant attentif aux effets 32

33 Micro CONNAISSANCES - Accès aux connaissances nouvelles au moment opportun Stimuler les apprentissages COMPÉTENCE - Maintien à jour de la compétence et du développement professionnel Stimuler la responsabilité et réflexivité Méso QUALITÉ DE L EXERCICE - Amélioration continue de la qualité des interventions basées sur des preuves Stimuler l excellence dans les interventions de soins QUALITÉ DES SOINS - Concertation et collaboration interprofessionnelles centrées sur le patient Encourager la reconnaissance des risques Macro QUALITÉ DES SERVICES - Influence sur les décisions pouvant affecter la qualité des soins Encourager la divulgation des risques, erreurs, EIG, etc. QUALITÉ DES SYSTÈMES Démonstration de la contribution des soins à la performance S investir en recherche et utiliser les données collectées de routine 33 Broski, David C. Assessment of Products. In M. K. Morgan and D. M. Irby (1978) Evaluating Clinical Competence in the Health Professions. St. Louis, Missouri: C. V. Mosby. pp

34 De leadership 34

35 Leadership en enseignement Comment les enseignants et formateurs des professionnels de la santé peuvent-ils s assurer d e tre impliqués dans le développement des compétences en qualité et sécurité des soins? o En développant, consolidant et faisant preuve de leadership. 35

36 LEADERSHIP CLINIQUE Valoriser les pratiques exemplaires basées sur des preuves en vue d une meilleure qualité et sécurité LEADERSHIP STRATÉGIQUE Refuser la culture du blâme et s engager dans une approche ouverte et collaborative de la culture de sécurité Au bénéfice des malades, familles et proches LEADERSHIP ORGANISATIONNEL Valoriser la communication et la collaboration en vue d une meilleure anticipation, reconnaissance et divulgation des risques et des accidents/incidents LEADERSHIP PROFESSIONNEL Intégrer une approche réflexive pour l évaluation de la sécurité, des risques et de la qualité dans l enseignement et les discussions de cas faites en supervision 36

37 Conclusion La formation et l encadrement en lien avec la qualité, les risques et la sécurité des soins doivent : o Être posés à travers un prisme des systèmes complexes; o Se baser sur une stratégie systémique; o Utiliser des savoirs basés sur des preuves et une approche réflexive pour développer la capacité d analyse, de détection et de divulgation du risque et ne pas utiliser une culture du blâme; o Valoriser une perspective habilitante et émancipatoire pour le développement de s compétences des soignant es en formation et pour de meilleurs soins pour les malades et leurs familles et non strictement une perspective instrumentale pour la structure des systèmes de santé. 37

38 Mais Une société soignante ou enseignante ne peut progresser en complexité face au risque et à la sécurité des soins, que si elle progresse en collaboration et en solidarité 38 Inspiré de : Morin E (2002) Pour une politique de civilisation. Paris: Arléa. 78 p.

39 Merci!!! Et bon travail en atelier!!! 39

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