Articles Sélectionnés en Douleur. Dr Philippe Poulain Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr
|
|
- Stéphanie Drapeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Articles Sélectionnés en Douleur Dr Philippe Poulain Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr
2 Sous Presse
3 Enquête Européenne Observationnelle 28 Centres participant 13 pays Européens
4 Questionnaire Q1 Avez-vous des douleurs liées à votre cancer? Oui Non fin du questionnaire Q2 Votre douleur est- ou serait-elle présente la plupart du temps ( 12h/j pendant la dernière semaine) si vous ne preniez pas d antalgique? Oui Non fin du questionnaire Q3 Votre douleur est-elle bien contrôlée la plupart du temps (douleur absente ou légère et non modérée à sévère, plus de 12h/j pendant la dernière semaine)? Oui Non fin du questionnaire Q4 Avez-vous des exacerbations de douleur de courte durée (ADP)? Oui Non fin du questionnaire Q5 Prenez-vous des antalgiques forts (morphine, fentanyl, hydromorphone, methadone, oxycodone) pour soulager votre douleur de fond? Oui Non fin du questionnaire
5 Caractéristiques de la population Europe France n Âge médian 62 ans 64 ans % femmes 49% 45 % 28 centres répartis dans 13 pays européens Période de suivi : Cancer diagnostiqué Gastro-intestinal 26,4% 25% Poumon 17,2% 11,25% Urologique 16% 20% Sein 12,5% 12,5% Gynécologique 7,2% 8,75% Tête et cou 6,5% 5% Hématologique 3,5% 3,75% Sarcome 3,4% 1,25% Mélanome 2,5% 3,75% Statut ECOG Europe France ECOG 0 3,3% 2,5% ECOG 1 23,1% 11,25% ECOG 2 32,5% 22,5% ECOG 3 33% 35% ECOG 4 7,5% 27,5% NC 0,6% 1,25% Inconnu à l inclusion 1,6% 3,75% Neurologique 0,8% 2,5% NC 2,4% 2,5% 5
6 Caractéristiques des ADPc Médiane de 3 ADPc / jour (Europe et France) Apparition de la douleur Douleurs prévisibles : 44 % (Europe) 49% (France) Douleurs spontanées : 41,5% (Europe) 41% (France) Combinaison des 2 : 14,5 % (Europe) 10% (France) Intensité sévère de la douleur dans 61,8% (Europe) des cas 69% (France) des cas Intensité maximale médiane atteinte en 10 min (Europe) / 10 min (France) Douleur prévisible : médiane de 5 min (Europe) 5 min (France) Douleur spontanée : médiane de 10 min (Europe) 17,5 min (France) Durée médiane de la douleur non traitée : 60 min (Europe) / 60 min (France) Douleur prévisible : médiane de 45 min (données européennes) Douleur spontanée : médiane de 60 min (données européennes) 6
7 ADPc et activités quotidiennes Arrêt des activités en cours à cause de la douleur 80,6% des cas (Europe) 74% des cas (France) Interférence médiane de la douleur dans les divers aspects de la vie quotidienne (échelle de 0 à 10) Europe / France Travail (y compris travaux domestiques) : 8 / 9 Activité générale : 7 / 8 Capacité à marcher : 7 / 7 Humeur : 7 / 5 Sentiment de bien-être : 7 / 5 Interactions sociales: 5 / 4 Sommeil : 5 / 3 7
8 ADPc et soulagement de la douleur Soulagement de la douleur dans 76% des cas dont 10,5% occasionnel (Europe) 84% des cas dont 6% occasionnel (France) Traitements utilisés pour soulager la douleur Europe / France Pharmacologique : 29,4% / 49% Non pharmacologique : 23,2% / 39% Association des 2 : 12% / 9% NC : 1% / 3% Soulagement de la douleur (France) Total : 28,75% Bon : 51,25% Léger : 18,75% Nul : 1,25% Délai d action (France) Début d efficacité du traitement ressenti à 15 min. (médiane) Efficacité totale atteinte à 30 min. (médiane) 8
9 Traitements antalgiques Europe Douleur de fond Opioïdes de niveau 2 Opioïdes de niveau 3 Opioïdes non déclarés Non opioïdes (paracétamol et AINS) Antalgiques adjuvants 0,4% 99,3% 0,3% 57,1% 38,3% Pas d opioïde ADPc 2,6% 94,8% 0,6% 28,9% 4,2% 2% - Traitement par fentanyl transmuqueux en cas d ADPc : 19,1% des patients France Fentanyl Hydromorphone Méthadone Morphine Oxycodo-ne Sufentanil Morphine & Oxycodone Aucun Douleur de fond 37% 1% 6% 19% 34% 1% 1% 32,5% voie transderm ADPc :77% voie nasale :4% voie IV : 4% 6% 28,7% 25% 1,25% 1,25% 5% NC : 15% 9
10 Traitements antalgiques et ADPc Prise d un traitement systématique en cas d ADPc 53% des patients (Europe) 44% des patients (France) Raisons de non prise de traitement Europe / France Douleur pas assez sévère 20% / 29% des cas Douleurs non durables 17,4% / 22% des cas 10
11 Traitement des ADPc : Attentes principales des patients (Données françaises) Degrés d importance Attentes des patients Le plus important 2 ème plus important 3 ème plus important 4 ème plus important 5 ème plus important 6 ème plus important Soulagement total de la douleur X (30%) Soulagement rapide de la douleur X (44%) x (30%) Peu d effets secondaires X (30%) Facilité d utilisation X (40%) Possibilité d être administré par un tiers X (57%) Faible coût X (67%) 11
12 Traitements des ADPc : voies d administration et expériences des patients (Données françaises) Voie s/cutanée Voie orale Voie nasale Voie intrapulmonaire Déjà utilisé en traitement d ADPc Déjà utilisé hors traitement d ADPc A rencontré des problèmes lors de son utilisation Envisage l utilisation pour traiter les ADPc 50% 36% 6% 1% 75% 36% 34% 21% 17,5% 14% 6% 4% 47,5% 59% 37,5% 35% 12
13 Nociceptin/Orphanin FQ Girolamo Calò, David G. Lambert and Remo Guerrini Handbook of Biologically Active Peptides.
14 Un 4ième Récepteur opioïde : NOP
15
16 Le récepteur Mu
17
18
19 Ligand des récepteurs NOP Un immense avantage One advantage of NOP receptor agonists over currently used drugs such as benzodiazepines or opioids would be a lack of abuse potential Un avenir probable: N/OFQ on nociception have been most extensively studied, it is likely that NOP receptor agonists have a future as analgesics.
20
21 MISE AU POINT SUR L UTILISATION PRATIQUE DE LA MÉTHADONE DANS LE CADRE DES DOULEURS EN ONCOLOGIE Philippe Poulain 1, Nathalie Michenot 2, Thierry Delorme 5, Marilène Filbet 7, Philippe Hubault 6, Nicolas Jovenin 8, Sylvie Rostaing 11, Elisabeth Colin 13, Gisèle Chvetsoff 16, Didier Ammar 3, Claire Delorme 4, Bertrand Diquet 6, Ivan Krakowski 9, Marc Magnet 15, Christian Minello 14, Jean-François Morere 10, Alain Serrie 12, Douleurs, Sous Presse
22 La méthadone n a pas d AMM en France dans l indication douleur. Cependant l ANSM (ex AFSSAPS) dans ses recommandations de juin 2010 portant sur les douleurs cancéreuses rebelles stipule que la méthadone peut être envisagée après une évaluation effectuée par une équipe spécialisée (soins palliatifs ou douleur), la méthadone ne devant être prescrite qu en dernier recours, après les autres opioïdes et traitements adjuvants bien conduits.
23 Pharmacologie La méthadone est un opioïde fort synthétique agoniste des récepteurs opioïdes mu. Une activité antagoniste des récepteurs NMDA et inhibitrice de la recapture de noradrénaline a été mise en évidence chez l animal.
24 Pharmacocinétique Bien absorbée par le système gastro-intestinal, Excellente biodisponibilité de 80 à 95%. Longue demi vie d élimination, variable. (T1/2 de 15 à 60h, médiane 22h) Métabolisée par le CYP 450 (risque d interactions médicamenteuses), Métabolites inactifs et non toxiques (pas de contre indication en cas d insuffisance rénale). Il existe une accumulation dans les graisses avec un relargage pouvant entraîner un surdosage à distance des premières prises (4-6 jours).
25 Pas de ratio de conversion fiable entre opioïdes et méthadone Les ratio morphine : méthadone varient de 10 :1 à 5 :1 Nouvelle titration indispensable
26 Modalités de Relais La plupart des études optent pour l initiation de la méthadone après arrêt de l opioïde antérieur sans chevauchement A l arrêt de l opioïde antérieur la méthadone est administrée en deux à trois prises par jour avec une dose de secours de 1/10 à 1/6 de la dose des 24 heures.
27 Equilibration contrôlée par le patient La méthadone peut être administrée à la demande et non pas à heure fixe Le ratio de conversion Morphine : Méthadone 10 : 1 à 12 : 1 Sans dépasser une prise unitaire de 30mg. La méthadone est alors administrée à la demande et lorsqu un équilibre est atteint, la dose des 24 heures est répartie en trois prises par jour
28 Coefficients de passage Très peu de données sont disponibles concernant le passage de la méthadone vers un opioïde Deux études rétrospectives indiquent des ratio Méthadone : MEO extrêmement variables de 1 :0,5 à 1 :15,3!!! PRUDENCE
29 La méthadone en co-analgésie La méthadone a aussi été utilisée en association à un traitement opioïde de fond, à petites doses et horaires fixes, le rationnel étant de diminuer le développement de la tolérance opioïdo-induite ou les effets indésirables Il s agit de données rétrospectives demandant plus d investigation
30 Recommandations d utilisation La méthadone étant un opioïde, elle suit les règles de prescription et de délivrance des stupéfiants. La prescription de la méthadone est limitée à 14 jours sur ordonnance sécurisée La délivrance est limitée à 7 jours (sauf autre mention indiquée par le médecin). L ANSM prévoyait que, dans l indication douleur, la méthadone soit disponible par le biais d une rétrocession hospitalière (traitement fourni par le pharmacien hospitalier sur présentation de l ordonnance).
31 Recommandations La forme sirop sera prescrite en première intention La forme gélule sera réservée à des situations d exception (notamment doses élevées qui nécessiteraient des volumes trop importants à absorber, intolérance au sirop).
32 Recommandations du groupe de travail sur les modalités du relais Les experts du groupe de travail préconisent un relais immédiat sans chevauchement (relais le plus utilisé dans la littérature) avec une nouvelle phase de titration. En effet, étant donné les imprécisions concernant les ratio de conversion «opioïde : méthadone», il apparaît préférable de procéder à une nouvelle équilibration pour éviter les sous et surdosages. Les sous dosages exposent à un retard au contrôle de la douleur, voire à un syndrome de manque. Une dose initiale excessive majore le risque de surdosage lors de la phase de relargage. De plus, compte tenu des effets indésirables apparus dans l étude de Moknes [19], l administration à la demande est préférable lors d un relais immédiat.
33 Protocole de conversion des opioïdes vers la méthadone par autocontrôle de la dose sans chevauchement avec le traitement opioïde antérieur : Ce protocole repose sur deux principes pour éviter tout surdosage : L équilibration se fait par une administration à la demande par le patient lui-même (il n y a pas de prise imposée par un horaire régulier et le patient ne prendra des doses que s il a mal), arrêter l opioïde précédent et faire le relais d emblée avec la méthadone sans chevauchement. Le délai d action rapide de la méthadone (15 minutes) permet la réalisation de cette antalgie autocontrôlée et autorise l arrêt de l opioïde précédent avec un relais d emblée par méthadone sans prise concomitante.
34 Protocole de conversion des opioïdes vers la méthadone par autocontrôle de la dose sans chevauchement avec le traitement opioïde antérieur Convertir la posologie de l opioïde à stopper en Equivalent Morphine Oral (EMO). Vérifier les autres médicaments pris par le patient susceptible de pouvoir interagir avec la méthadone (inducteurs et inhibiteurs du cytochrome P450 et allongeant l espace QT), Vérifier l espace QT à l électrocardiogramme (QTc). Une attention particulière sera portée lors de l introduction d un nouveau médicament connu pour allonger l espace QT ou susceptible de modifier l équilibre ionique.
35 Protocole de conversion des opioïdes vers la méthadone par autocontrôle de la dose sans chevauchement avec le traitement opioïde antérieur Arrêt de l opioïde précédent et administration de la méthadone d emblée, à la demande jusqu à équilibration du traitement qui advient entre le 4 ème et le 6 ème jour, La dose unitaire de méthadone représente 10% de la dose en EMO par 24 h, sans dépasser 30 mg par prise, Après une 1 ère dose, une 2 ème dose peut être administrée au bout d une heure en cas de douleur résiduelle, sans dépasser 6 prises/jour,
36 Protocole de conversion des opioïdes vers la méthadone par autocontrôle de la dose sans chevauchement avec le traitement opioïde antérieur L ajustement de la posologie ne doit être fait qu au bout de 24h seulement: si le patient a pris plus de 3 doses/24h la dose unitaire peut être augmentée de 30 à 50%, la dose unitaire de 30mg peut alors être dépassée. à partir du 6 ème jour possibilité de passer à 2 prises/jour en cas de dose stable depuis 48 heures. La dose des 48h divisée par 4 sera administrée toutes les 12h. De plus, en cas de nécessité, une interdose fixée au 1/6 ème de la dose fixe des 24h pourra être administrée sans dépasser 6 doses par jour, en respectant un intervalle d au moins 1 heure entre les prises supplémentaires.
37 Protocole de conversion méthadone vers opioïdes En l absence de ratio possible à déterminer, une nouvelle titration sera réalisée : arrêt de la méthadone et nouvelle équilibration du traitement selon l opioïde choisi, En cas de nécessité, le passage de la méthadone aux autres opioïdes est possible avec un ratio de conversion de 1/1 de la dose des 24 heures pour passer à la morphine IV ou SC (recommandations ANSM 2010).
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE Dr Cécile BESSET Equipe Mobile de Soins Palliatifs CHRU Besançon 23/01/2015 DÉFINITION, GÉNÉRALITÉS «Expérience sensorielle et émotionnelle
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailVIH & Interactions Médicamenteuses
VIH & Interactions Médicamenteuses L ABC en quizz K. De Heller & M.Cavassini MIN-IAL, le 21 avril 2005 Ce que je ne vais pas aborder Les interactions médicamenteuses entre les différents antirétroviraux!!!
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailDIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 152 : JUIN 2005 DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE Depuis quelques années, le Bureau des substances contrôlés (BSC)
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailDominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX
Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailPascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD
La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailEt de 10! Numéro 10, Juin 2002. Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes
Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes Numéro 10, Juin 2002 Et de 10! epuis novembre 1997, ce n est pas moins de 10 bulletins du Nord-Ouest dépendance que nous avons eu le plaisir de vous présenter. C'est
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailBulletin de l'ismp Canada
L institut pour l utilisation sécuritaire des médicaments du Canada (ISMP Canada) est un organisme indépendant sans but lucratif. L institut recueille et analyse les déclarations d incidents et accidents
Plus en détailBon usage. Mise au point
Bon usage Mise au point Évaluation et prise en charge des troubles psychiatriques chez les patients adultes infectés par le virus de l hépatite C et traités par (peg) interféron alfa et ribavirine Mai
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailDictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013
Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013 Normes et soumission de données Notre vision De meilleures données
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailNotice publique PERDOLAN - PÉDIATRIE
Notice publique PERDOLAN - PÉDIATRIE Lisez attentivement cette notice jusqu'à la fin car elle contient des informations importantes pour vous. Ce médicament est délivré sans ordonnance. Néanmoins, vous
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailSUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault
ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailla lettre Individualisation thérapeutique et analgésiques vers une médecine personnalisée DOSSIER www.institut-upsa-douleur.org
SEPTEMBRE 2012 37 n la lettre de l Institut UPSA de la douleur DOSSIER Individualisation thérapeutique et analgésiques vers une médecine personnalisée Jules DESMEULES Service de Pharmacologie et Toxicologie
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailDossier Objets connectés. en collaboration avec Veltigroup
Source: Fotolia Dossier Objets connectés en collaboration avec Veltigroup L Homme a cherché de tout temps à influencer le cours de l Histoire en augmentant sans relâche son champ d action. La croissance
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détailPatchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine. Réponses aux questions les plus fréquentes
Patchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine Réponses aux questions les plus fréquentes Introduction Quel objectif? Ce document constitue une aide dans la gestion au quotidien de votre douleur.
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailUtilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique
mise au point Utilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1385-9 L. Oberlé C. Luthy A. Pugliesi S. Pautex V. Piguet
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailCaroline Hurault-Delarue 1, Cécile Chouquet 2, Nicolas Savy 2, Isabelle Lacroix 1, Christine Damase- Michel 1
Trajectoires individuelles d'exposition aux psychotropes au cours de la grossesse et partitionnement en fonction du profil d'exposition : utilisation des K-means pour données longitudinales Caroline Hurault-Delarue
Plus en détailLa buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique
La buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique M.E. Faymonville (1), D. Libbrecht (2) RÉSUMÉ : Nos connaissances sur les mécanismes physiopathologiques des douleurs
Plus en détailProgramme pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux.
Programme P H A R M A C O pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux. AG Caffin 1, Y Chabi 1, C Sévin 2, B Leclere 3, C Debelmas 4, G Camus 1, X Bohand 1 1 Hôpital d Instruction des
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailPRO-G-DIS. Installation et utilisation de la banque Claude Bernard
PRO-G-DIS Installation et utilisation de la banque Claude Bernard 11/01/2011 1/ Installation de la Banque Claude Bernard : - Dans un premier temps il est indispensable d installer de façon autonome la
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailCompte-rendu de la séance du 20 mars 2014
Séance n 6 Commission des stupéfiants et psychotropes mai 2014 Compte-rendu de la séance du 20 mars 2014 Approuvé par voie électronique le 29 mai 2014 Membres de la Commission présents : Nicolas AUTHIER
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailLES ORDONNANCES FAITES PAR UN MÉDECIN. Guide d exercice. du Collège des médecins du Québec
LES ORDONNANCES FAITES PAR UN MÉDECIN Guide d exercice du Collège des médecins du Québec MAI 2005 Table des matières Avant-propos 5 1. Introduction 6 2. L ordonnance et la prescription 7 2.1 Définitions
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLes personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?
Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques
Plus en détailPharmacovigilance. Brèves en
Brèves en Pharmacovigilance Centre Régional de Pharmacovigilance Nord Pas de Calais C.H.R.U. Place de Verdun 59037 Lille Cedex Ligne directe : 03 20 96 18 18 Ligne CHRU : 03 20 44 54 49 Fax : 03 20 44
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailDOULEUR AIGUË. La prise en charge de la douleur aigue commence par une écoute attentive, une évaluation détaillée
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEUR AIGUË S. Pautex¹, V. Piguet² Service de médecine de premier recours¹, HUG Service
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détail