L évolution sur le plan du logement pour les réfugiés établis à Edmonton, à Calgary et à Winnipeg RICK ENNS University of Calgary
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- Élodie Bouffard
- il y a 8 ans
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1 Les réfugiés ont de la difficulté à trouver des logements abordables. Ce problème est d autant plus sérieux qu ils ne savent pas comment ni où se procurer des renseignements sur le logement. Ils n ont pas d information à jour, fiable et complète sur le marché locatif et les caractéristiques de chaque quartier offrant des logements. Cette lacune peut être à l origine de mauvaises décisions quant au choix du logement et du quartier. L évolution sur le plan du logement pour les réfugiés établis à Edmonton, à Calgary et à Winnipeg RICK ENNS University of Calgary TOM CARTER Université de Winnipeg De 2006 à 2008, une étude longitudinale sur les conditions d établissement et d intégration des réfugiés récemment arrivés a été menée à Winnipeg, Calgary et Edmonton 1. L étude a permis de recueillir des données sur les caractéristiques socioéconomiques des ménages, ainsi que sur l évolution des conditions de logement et de voisinage de ceux-ci. Au moment de leur première entrevue, les ménages interrogés habitaient leurs villes respectives depuis appro ximativement un an ou moins. Le présent article porte essentiellement sur les données recueillies au cours des deux premières années de l étude. La première année, 75 ménages ont été interviewés à Winnipeg, 41 à Calgary et 35 à Edmonton. Un an plus tard, 55 de ces mêmes ménages ont été interviewés à nouveau à Winnipeg, 17 l ont été à Calgary et 12 à Edmonton. La discussion portera essen tiellement sur l évolution de certains indicateurs de logement, d une année à l autre, dans les trois villes citées, ainsi que sur d autres aspects de l évolution des conditions dans 1 Les auteurs tiennent à remercier Metropolis et Ressources humaines et Développement des compétences Canada d avoir subventionné ces travaux. lesquelles vivent les ménages de Winnipeg, dont nous avons un échantillonnage plus nombreux. Évolution sur le plan du logement à Winnipeg, Calgary et Edmonton Sur le plan du revenu, les données recueillies démontrent que la situation des ménages participants s est graduellement améliorée, et ce, dans les trois villes à l étude. La première année, le revenu mensuel brut moyen était de $ à Edmonton, de $ à Calgary et de $ à Winnipeg. La deuxième année, le revenu moyen des ménages a beaucoup augmenté, soit de 52 % à Calgary, de 32 % à Edmonton et de 31 % à Winnipeg. En ce qui a trait au loyer moyen, celui-ci était beaucoup plus élevé à Calgary, où il se situait à 756 $ par mois, tandis qu il était de 561 $ à Edmonton et de 566 $ à Winnipeg. La deuxième année, le loyer avait augmenté dans les trois villes, mais c est à Calgary que la hausse à été la plus importante, soit de 49 % comparativement à 11 % et 4 % pour Winnipeg et Edmonton, respectivement (Tableau 1). Durant la première année, après déduction de leur loyer, les ménages de Winnipeg disposaient de $ pour couvrir toutes les autres dépenses 120 Nos diverses cités
2 TABLEAU 1 Évolution sur le plan du logement à Winnipeg, à Calgary et à Edmonton Winnipeg Calgary Edmonton Écart Écart Écart Revenu brut mensuel des ménages $ $ 31 % $ $ 52 % $ $ 32 % Loyer mensuel 566 $ 626 $ 11 % 756 $ $ 49 % 581 $ 603 $ 4 % Revenu après déduction du loyer $ $ 52 % $ $ 56 % 828 $ $ 52 % Loyer moyen par rapport au revenu 34 % 25 % 42 % 42 % 41 % 37 % Loyer exigeant 30 % ou plus du revenu 51 % 22 % 88 % 76 % 83 % 42 % Logement non conforme aux NNO 36 % 25 % 36 % Loyer moyen d un logement de deux chambres 746 $ $ $ Taux d inoccupation 1,0 % 2,0 % 3,4 % Source : Les données sous «Loyer moyen d un logement de deux chambre» et «Taux d inoccupation» proviennent des Rapports sur le marché locatif de la Société canadiennes d hypothèques et de logements (SCHL). Toutes les autres données sont tirées des entrevues menées dans le cadre de cette étude. de subsistance; ceux de Calgary disposaient $, et ceux d Edmonton, de 828 $. La deuxième année, grâce à l augmentation des revenus, le revenu disponible des ménages après déduction du loyer avait augmenté d un peu plus de 50 % dans les trois villes. Le coût moyen du logement par rapport au revenu a diminué, entre la première et la deuxième année, de 34 à 25 % à Winnipeg, et de 41 à 37 % à Edmonton, mais il est demeuré stable à 42 % à Calgary, en raison de la hausse marquée du loyer moyen des ménages. Le pourcentage des ménages aux prises avec des difficultés relatives au coût du loyer (c est-à-dire dire dont le loyer coûte 30 % ou plus de leur revenu) varie considérablement d une ville à l autre. Durant la première année, plus de 80 % de tous les ménages de Calgary et d Edmonton devaient consacrer 30 % ou plus de leur revenu brut, avant taxes, à leur logement. À Winnipeg, ce pourcentage était de 51 %. La deuxième année, la situation s était beaucoup améliorée à Calgary et à Winnipeg, où le pourcentage de ménages éprouvant de telles difficultés a chuté pour atteindre 42 % et 22 % respectivement. À Calgary toutefois, la situation ne s est guère améliorée, avec 76 % des ménages devant consacrer une part considérable de leur revenu à leur loyer. Bien que la capacité de payer un loyer dépende du revenu, la situation du marché locatif joue également un rôle majeur. Un appartement de deux chambres à Calgary coûte 350 $ de plus par mois que l équivalent à Winnipeg et, de ce fait, l augmentation du revenu, bien qu elle soit plus élevée à Calgary, ne résout pas le problème du coût du loyer comme c est le cas à Winnipeg. Le marché locatif d Edmonton est légèrement plus abordable que celui de Calgary, mais les loyers demeurent bien plus élevés qu à Winnipeg et, par conséquent, une grande proportion de ménages (42 %) doivent encore consacrer 30 % ou plus de leur revenu au logement. Les types de logements sur le marché locatif, conçus pour les familles typiques canadiennes, ne conviennent pas toujours aux familles de réfugiés, souvent nombreuses. Par conséquent, ces dernières ont souvent de la difficulté à trouver ou à payer des appartements ayant un nombre suffisant de chambres pour loger convenablement tous les membres de leur famille. Parmi les rares logements en location ayant trois chambres ou plus, pratiquement aucun n est inoccupé. Et quand un tel logement devient disponible, le loyer est trop cher pour la plupart des ménages de réfugiés. De ce fait, ils vivent dans des logements qui ne satisfont pas aux Normes nationales d occupation (NNO) 2. Ces logements sont surpeuplés en raison du rapport entre la taille du ménage, le nombre de chambres, l âge des membres, leur sexe et leur situation matrimoniale. Cette situation touche 36 % des ménages de Winnipeg et d Edmonton et 25 % de ceux de Calgary. Dans les trois villes, on a noté une très légère amélioration sur ce plan entre la première et la deuxième année. Situation à Winnipeg La base de données de Winnipeg a permis d approfondir l analyse de la situation du 2 Selon la Norme nationale d occupation du Canada, il ne devrait pas y avoir plus de deux personnes par chambre. Les époux et les couples partagent une chambre, les parents ne partagent pas de chambre avec les enfants, les personnes à charge âgées de 18 ans ou plus ne partagent pas leur chambre et les enfants à charge âgés de cinq ans ou plus, de sexe opposé, ne partagent pas leur chambre. Nos diverses cités 121
3 Un logement adéquat, abordable et offrant la sécurité d un contrat de bail ne peut pas régler tous les problèmes auxquels font face les réfugiés, mais il peut leur fournir une base solide à partir de laquelle ils seront à même de relever plus facilement d autres défis. logement et du voisinage telle que vécue par les ménages de réfugiés. À Winnipeg, ces derniers faisaient preuve d une très grande mobilité tandis qu ils recherchaient de meilleures conditions de vie. Au cours de la première année, 93 % ont déménagé plus d une fois et 25 %, plus de trois fois. La durée moyenne d occupation n était que de 12 semaines, ce qui ne peut pas favoriser l intégration. Près de 80 % des ménages habitaient le centre urbain de leur ville. Un quart ne se sentaient pas en sécurité dans leur quartier et un pourcentage équivalent ont déclaré que leur logement était insalubre et leur occa - sionnait des problèmes de santé. Près de 70 % souhaitent déménager; la plupart d entre eux auraient préféré habiter à l extérieur du centre urbain, dans des quartiers à l abri des problèmes associés au déclin urbain, tels que la criminalité et l insécurité (Tableau 2). TABLEAU 2 Indicateurs d établissement et d intégration Sécurité du quartier Habite le centre urbain de la ville 78 % 64 % Ne se sent pas en sécurité 26 % 17 % Souhaite déménager 67 % 57 % Dimension, état et salubrité du logement Dimensions correctes 60 % 69 % En bon état 75 % 58 % Réparations nécessaires 26 % 42 % Danger pour les enfants 22 % 16 % Insalubrité 24 % 13 % Bien que seulement un quart des ménages estimaient que les propriétaires et les concierges étaient peu coopératifs, 19 % ne connaissaient pas leurs droits et leurs devoirs à titre de locataires et 40 % n avaient aucune idée des droits et des devoirs de leurs propriétaires. Certains estimaient être victimes de discrimination sur le marché locatif, ce qui rendait leurs recherches de logement plus difficiles encore. Sur le plan du logement, les ménages de réfugiés à Winnipeg ne pouvaient pas être considérés comme étant un groupe établi au moment de la première entrevue. Les entrevues menées la deuxième année font état d améliorations avec, notamment, une satisfaction croissante à l égard des dimensions du logement, de la répartition des pièces et de la sécurité du bâtiment et de l unité. Les ménages étaient également plus satisfaits des propriétaires et des concierges et connaissaient mieux les responsabilités à la fois du propriétaire et du locataire. On évoquait moins la question de la discrimination et un nombre croissant de ménages se disaient mieux équipés pour y faire face. Une moindre proportion d entre eux se sentaient menacés dans leur quartier, mais près de 60 % souhaitaient toujours déménager. En revanche, contrairement à ces tendances posi tives, on a constaté une insatisfaction croissante parmi les ménages en ce qui concerne l état de leur logement et le délai d attente pour obtenir des réparations. À la première entrevue, 25 % déclaraient que leur logement était en mauvais état. Une année plus tard, ce pourcentage était passé à 42 %. Les préoccupations concernant les délais de réparation ont augmenté, passant de 26 % des ménages à 42 %. Or, il se pourrait que ces chiffres reflètent une meilleure compréhension des normes auxquelles ils sont en droit de s attendre, ou encore le fait qu ils hésitent moins à exprimer leurs préoccupations, plutôt qu une dégradation réelle de l état du logement ou de négligences dans les réparations. Les caractéristiques de l emploi, le taux de pau - vreté et les dépenses des ménages de Winnipeg mettent en évidence d autres améliorations, mais également la situation difficile dans laquelle se trouvent encore de nombreux ménages après deux ans. Le pourcentage des ménages dont un membre est employé à plein temps a augmenté, passant de 42 % à 66 % entre la première et la deuxième année. Mais le revenu annuel moyen, bien qu il ait augmenté considérablement, correspond à la moitié seulement du revenu moyen des ménages de Winnipeg ( $). De plus, si le taux de pauvreté a diminué, il atteignait néanmoins trois fois celui de Winnipeg (20 %). Les dépenses en logement et en alimentation, les 122 Nos diverses cités
4 remboursements de dettes et les virements de fonds ont augmenté, de même que le solde restant après le paiement de ces frais. Les ménages disposaient en moyenne de 980 $ par mois pour couvrir l ensemble des dépenses : transport, études, vêtements, épargne, produits de consom - mation courante, articles personnels, mobilier, assurances, loisirs, téléphone, câblodiffusion, Internet et autres (Tableau 3). Il n est guère étonnant qu à la deuxième année, plus de la moitié des ménages avaient encore de la difficulté à régler leurs dépenses mensuelles courantes et à mettre un peu d argent de côté, notamment quand les familles étaient presque deux fois plus nombreuses que la moyenne de Winnipeg (3,9 personnes contre 2,4). TABLEAU 3 Caractéristiques de l emploi, du revenu et des dépenses des ménages Employé 42 % 66 % Revenu brut annuel $ $ Taux de faible revenu 92 % 73 % Loyer mensuel moyen 566 $ 626 $ Coût mensuel moyen de l alimentation 456 $ 618 $ Remboursement mensuel moyen des dettes 179 $ 197 $ Virements de fonds moyens 168 $ 311 $ Solde du revenu 690 $ 979 $ Difficultés à régler les dépenses 60 % 54 % Impossibilité d économiser sur une base régulière 66 % 53 % Il est à noter que ceux qui ont eu accès au logement social de Winnipeg ont bénéficié d avan tages particuliers en matière de logement. La première année, un tiers des participants habi - taient les logements sociaux, mais au cours de la deuxième année, le pourcentage avait augmenté à 46 %. Dans l ensemble, les ménages qui habitaient un logement social étaient plus satisfaits de leurs conditions de logement que ceux qui habitaient un logement du secteur privé : le logement était mieux adapté à leurs besoins et ils étaient davantage satisfaits de la gestion et de la sécurité du bâtiment, ainsi que des dimensions, de l agencement et de l état de l unité. Toutefois, ils étaient moins heureux de leur quartier et expri maient des préoccupations au sujet de l insécurité du voisinage, sans doute liées au fait que la plupart des logements sociaux à Winnipeg ont été construits dans le centre urbain. Le plus grand avantage des logements sociaux était leur coût. Les loyers des logements sociaux étant fixés à 27 % du revenu brut du locataire 3, peu de ménages consacraient plus de 20 % de leur revenu au loyer, même en tenant compte des charges supplémentaires qu ils devaient payer. En moyenne, les locataires de logements sociaux payaient 150 $ de moins par mois que les locataires du secteur privé. En comparaison avec le logement du secteur privé, le logement social semble offrir des avantages qui facilitent le processus d établissement, comme le montre le Tableau 4. TABLEAU 4 Logement social comparé au logement privé Privé Social Privé Social Échantillonnage 68 % 32 % 54 % 46 % Conforme aux NNO 39 % 65 % 58 % 64 % Logement satisfaisant 56 % 94 % 73 % 82 % Sécurité des lieux 74 % 77 % 86 % 68 % Sécurité du quartier 75 % 71 % 81 % 71 % Loyer moyen 563 $ 421 $ 610 $ 421 $ Les réfugiés de l étude de Winnipeg ont signalé être aux prises avec des difficultés liées au fait qu ils n étaient pas familiers avec le marché locatif, les caractéristiques du quartier, et les droits et les devoirs du locataire. Ils ne connaissaient pas d endroit où ils pourraient obtenir les rensei - gnements fiables et complets dont ils avaient besoin. Durant la première année d établissement, ils ont reçu un soutien considérable de la part de leurs répondants et des services aux immigrants. À la deuxième année, les réfugiés avaient davantage de ressources quand venait le temps de trouver un logement : leur réseau social était plus vaste, ils se renseignaient auprès d agences immobilières et de sociétés de gestion immo - bilière, consultaient les sites Web et les journaux et se sentaient à l aise pour explorer les différentes quartiers à pied ou en voiture. Ils connaissaient mieux la ville et le marché locatif, mais estimaient qu ils n avaient toujours pas suffisamment d information pour prendre les meilleures décisions possibles. 3 Le rapport entre le loyer et le revenu a été établi par Services à la famille et Logement Manitoba. Nos diverses cités 123
5 Répercussions sur le plan de la politique Les difficultés que vivent les réfugiés pour trouver un logement adéquat et abordable laissent penser qu un certain nombre de changements sur le plan des politiques et des programmes pourrait faciliter le processus d établissement et d inté - gration. Nous abordons ci-dessous quelques exemples de ces initiatives. Il est nécessaire de créer une organisation qui aurait pour mandat de fournir toute l infor - mation sur le logement et les quartiers aux nouveaux arrivants. Les réfugiés ont de la difficulté à trouver des logements abordables. Ce problème est d autant plus sérieux qu ils savent ni comment ni où se procurer des rensei gnements sur le logement. Ils n ont pas d information à jour, fiable et complète sur le marché locatif et les caractéristiques de chaque quartier offrant des logements. Cette lacune peut être à l origine de mauvaises décisions quant au choix du logement et du quartier. Le manque d information sur leurs droits et leurs devoirs rend également les nouveaux arrivants vulné - rables à l exploitation ou à l erreur, du fait qu ils peuvent mal interpréter les contrats de bail. Le problème est exacerbé par le fait qu il n existe aucun organisme pouvant fournir l information nécessaire. Plusieurs des personnes interviewées ont exprimé leur frustration d avoir à traiter avec un si grand nombre d agences pour tenter d obtenir l information dont ils ont besoin. Bien que l on constate souvent des relations relativement positives entre les réfugiés et le personnel de gestion des propriétés, il apparaît nécessaire de préparer de l information et de la documentation sur le logement, afin que les propriétaires et les concierges se familiarisent avec les différences culturelles des nouveaux arrivants; cela éviterait des malentendus suscep - tibles de causer des problèmes de bail, voire des expulsions. La construction de logements de transition faciliterait l établissement et l intégration. Les réfugiés considéraient que le fait de pouvoir être hébergé dès leur arrivée serait bénéfique et leur serait d un grand soutien. Un lieu sécuritaire où vivre était perçu comme la clé de la réussite pour s établir dans un nouveau pays. Il assurerait la stabilité nécessaire pour se reprendre en main. La priorité absolue en matière de politique est l augmentation du parc de logements locatifs abordables. Les conclusions de l étude sur l accès au logement dans les trois villes, et l information supplémentaire sur les locataires du logement social à Winnipeg, mettent en évidence les avan - tages de l accès au logement subventionné. Un logement adéquat, abordable et offrant la sécurité d un contrat de bail ne peut pas régler tous les problèmes auxquels font face les réfugiés, mais il peut leur fournir une base solide à partir de laquelle ils seront à même de relever plus facilement d autres défis. Les loyers élevés, on le constate, épuisent les ressources des ménages, rongent leurs budgets pour les besoins essentiels tels que la scolarité, les soins de santé, les vêtements et l alimentation. De mauvaises condi - tions de logement peuvent également menacer la stabilité de la vie familiale et contribuer à des sentiments négatifs envers leur milieu. L étude illustre l importance d un bon logement dans le processus d intégration et donne une bonne idée des situations difficiles que vivent de nombreux ménages. Elle montre également à quel point l état du marché locatif peut se répercuter sur la capacité des réfugiés à se loger selon leurs moyens. Toutefois, le logement est un seul élément parmi une série de facteurs complexes qui contribuent à une bonne intégration, soit les compétences linguistiques, la réussite de la population active, l absence de discrimination, l accès aux renseignements et au soutien adéquats et le type de quartier. Si l accès à un logement convenable et abordable n est qu une seule étape vers un établissement et une intégration réussie, il procure aux réfugiés la stabilité dont ils ont besoin pour relever tous les autres défis qui accom pagnent ce processus de longue haleine. À propos des auteurs TOM CARTER est titulaire de la Chaire de recherche Canada sur l Évolution et le changement urbains et professeur de géographie à l Université de Winnipeg. Sa recherche et ses intérêts en matière de politique portent sur le logement, l évolution des quartiers, la revitalisation des centres urbains, la politique sociale et l intégration des nouveaux arrivants. RICK ENNS est professeur adjoint à la Faculté de travail social de la University of Calgary, région du Centre et du Nord. Ses intérêts en recherche et en enseignement portent sur l immigration et le logement, l immigration et la pratique du travail social et la santé mentale. Références Canada. Statistique Canada Profils des communautés de 2006 : région métropolitaine de recensement, Ottawa, Statistique Canada.. Société canadienne d hypothèques et de logement Rapports sur le marché locatif, Ottawa, Société canadienne d hypothèques et de logement. 124 Nos diverses cités
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