La «monnaie» contient donc, comme sous-ensemble, la monnaie-papier. Certains en doute, mais nous verrons pourquoi cela n est pas discutable.
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- Jean-Charles Lussier
- il y a 8 ans
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1 Monnaie, réalités et utopies La lecture d une vidéo, très intéressante, produite par l organisation «themoneyfix» m a incité à reprendre l explication du «système monétaire», à la fois pour en tenter de mettre fin aux fantasmes qui y sont associés, et aussi, le plus important, pour essayer d indiquer quelques pistes de solutions pour que la monnaie soit davantage un moyen mis à la disposition de l économie qu une fin en soi. Tout d abord, je vais fixer le vocabulaire employé, avant de parcourir les grandes lignes de la vidéo indiquée ci-dessus en en commentant les principaux points. J émettrai ensuite quelques commentaires plus personnels. Le vocabulaire monétaire : Ce que les anglo-saxons appellent «money» sera traduit ici par «argent» (au sens de «monnaie», ou, s il convient d être plus explicite et plus précis, agrégat monétaire M1). Le mot «currency» sera traduit par «argent liquide», ou encore «monnaie-papier» (Nous essaierons d'éviter, pour cette «currency» d autres équivalents, comme «cash» ou «monnaie fiduciaire» ou «billets» ou "liquidités"). La «monnaie» contient donc, comme sous-ensemble, la monnaie-papier. Certains en doute, mais nous verrons pourquoi cela n est pas discutable. Que nous dit, ou nous rappelle, cette vidéo, sur l aspect sociologique de la monnaie: 1) Quelques faits et phénomènes sociologiques. L argent semble gouverner la plupart des existences, que l on en ait très peu, ou énormément. Peu de gens savent réellement ce qu est la monnaie, et ne semblent d ailleurs pas vraiment s en préoccuper. C est davantage les usages de la monnaie, ce qu on peut faire avec, que ce qu elle est, qui préoccupent la plupart des gens 2) Après avoir rappelé que la «Federal Reserve» américaine repose, depuis 1913, sur un consortium de banque privées et n est donc ni «fédérale», ni «réserve», le problème de la «réalité sociale» de la monnaie est soulevé. 3) Deux pistes de réflexion sont proposées: Pourquoi la monnaie, qui devrait être au service de tous, est-elle gérée, au moins aux Etats- Unis, par un organisme privé? Ne serait-ce pas parce qu il y a un lien entre le système monétaire et l inconscient collectif de la société : avec sans doute, en subliminal, le fait qu il faudrait changer de société pour pouvoir changer de système monétaire sur ce point, je militerai plutôt pour l inverse? Le grand «secret», ou le mystère de la monnaie va alors nous être révélé, au bout de 14 minutes instructives, car partant des impressions de «l homme de la rue» 4) Pour cela, on nous rappelle d abord le rôle des banquiers de l'époque du «standard-or». La première monnaie, ou le premier «papier-monnaie», correspondait simplement à des reçus contre or. Au lieu de se balader et de payer avec des pièces d or, on déposait son or à la Page 1 / 6
2 banque, en échange d un reçu, et on payait avec ce reçu, qui circulait donc à la place de l or, seule monnaie sonnante et trébuchante de l époque. 5) Comme ce n était pas très «rentable» pour nos banquiers, ces derniers se sont mis à émettre plus de papier-monnaie qu ils n avaient dans leur coffre. Il ne nous est pas dit comment cela était possible (puisque ces morceaux de papier ne pouvaient pas être remis en tant que reçus, puisque de l or nouveau n était pas apporté, par hypothèse même). On ne peut que supposer que c était le début de la monnaie dette, ou du crédit bancaire. Le banquier A disait à son client B. Je vous prête 1000 dollars, ou, mieux, je vous fais un papier valant 1000 dollars : B, tout content, demandait rarement à voir si cet or existait bien, ou si cet or venait d un autre client C, qui aurait déposé son or à la banque. 6) C est donc le début de «création monétaire» par les banques. Les banques émettent plus de papier-monnaie qu ils n ont réellement d or, ou de «reçus d or» ou de «dépôts» en or. Ce grand secret n en ait pas vraiment un, du moins il se révèle périodiquement à chaque panique bancaire, quand les gens veulent «toucher» leur or, et plus uniquement utiliser le "bout de papier" délivré par telle ou telle banque. 7) Ce qui suit en italique est un commentaire personnel : Le seul «secret», peut être, c est que le même phénomène s applique maintenant à la «monnaie-papier» vs la «monnaie tout court». Je m explique : Quand seul le stock-d or donnait lieu à des reçus délivrés par la banque, ces reçus «circulant» correspondaient à une épargne initiale (l or) qu on utilisait pour des échanges diverses : à un moment donné, il y avait autant de bouts de papier que de dépôts. Quand le nombre de bouts de papier s est mis à être supérieur au nombre de reçus c est à- dire au véritable or- cela signifie seulement que l épargne était insuffisante pour couvrir les besoins d échanges. Ce n est ni bien, ni mal, c est comme cela. Les bouts de papier «circulant» étaient supérieurs en nombre aux «reçus». Ce n est pas nécessairement du «vent», tant que les bouts de papier circulant correspondent à une véritable richesse, à un triptyque «production-consommation-investissement» supplémentaire. Ce n est que si ce triptyque n est plus là que l on peut se demander à quoi servent tous ces bouts de papier. Lorsque l on préfère un stock d or immobile à ce que l on peut acheter avec des bouts de papier circulant parce que on ne croit plus que l on peut acheter avec ces bouts de papier que la panique bancaire, le «cash crunch» n est pas loin. 8)Ainsi, lorsque le stock d or a été remplacé par le stock de monnaie-papier (les billets), et lorsque les «bouts de papier circulant» ont été remplacés par la «monnaie scripturale» - de simples inscriptions sur les livres de comptes des banques, rien n a véritablement changé. Les prospecteurs et les déposants d or ont été remplacés par la Banque Centrale, seule habilité à «créer les billets». Les «bouts de papier» émis par les banques ont été remplacés par la monnaie scripturale émise par les banques. Mais le principe était et reste le même : les banquent créent des moyens de paiement supplémentaires en prêtant davantage qu elles n ont en dépôts : «les crédits font les dépôts», même s il est nécessaire qu il y ait Page 2 / 6
3 initialement certains dépôts pour consentir des crédits plus importants. 9) Mais pourquoi les banques procèdent elles ainsi : quand elles accordent plus de prêts qu elles n ont en dépôts, que ce soit en or ou en papier-monnaie (dollars ou euros), elles prennent le risque d être en «illiquidité» et donc d être «liquidées», mises en faillite. Elles font un pari, et une constatation. Le risque qu elles prennent : ne pas pouvoir fournir assez de liquidités (de l or, il y a un siècle, ou des billets de nos jours) leur semble faible, très faible, relativement aux intérêts qu elles obtiennent en échange de cette création monétaire. Un seul exemple, pour illustrer cela. Prenons une banque qui a 10 milliards de liquidités, 8 milliards de dépôts clients et 2 milliards en fonds propres. Avec des ratios "prudentiels" classiques, elle pourrait prêter jusqu à 100 milliards. Si elle prête à 5% (ce qui n est pas très élevé) elle va gagner en un an 5 milliards (pour 2 milliards de fonds propres : rentabilité, 250%. Son risque : que ses clients veuillent retirer plus de 8 milliards, voire plus de 10 milliards, en liquide : faible risque, dans un contexte «normal», mais risque quand même. Pour se couvrir, elle sait mieux que du temps de l étalon-or qu elle peut compter sur 3 ressources : ses confrères- sur le marché interbancaire- d autres institutions financières- sur la marché monétaire- la banque centrale, enfin la seule susceptible de «créer» du papiermonnaie, les «véritables liquidités». Actuellement (rapport Natixis de janvier 2010), les banques commerciales européennes peuvent se procurer de la monnaie centrale (monnaie papier ou monnaie scripturale centrale) à 1.5%, pour prêter à 4 ou 5% - (à 4% pour l état français, alors que c est lui qui permet cet emprunt des banques à 1.5%.) Le risque encouru n est donc pas très important, beaucoup moins grand en tout cas que du temps des stocks d or : pas facile de trouver une mine d or nouvelle en cas de panique bancaire Pour en revenir à la vidéo elle-même, leurs auteurs insistent sur une idée fort juste, mais pas toujours bien assimilée, qui consiste à dire que la monnaie est davantage une idée, un accord, un «agreement» (donc une convention) qu une réalité. Le système monétaire est un système d information dans lequel certaines personnes reconnaissent devoir de l argent à d autres, ces reconnaissances de dette pouvant prendre plusieurs supports, dont le support physique, tangible, devient de moins en moins utilisé (3 à 5% des échanges), alors que l information elle-même est de plus en plus dématérialisée (les moyens de l utiliser étant essentiellement la carte bancaire, le chèque, le RIB et le virement bancaire de compte à compte), la monnaie «immatérielle» étant utilisée dans plus de 95% des cas. Les prêts sous-jacents à cette émission de monnaie «virtualisée», de cette monnaie scripturale, se concrétisant par une simple écriture dans les «bank accounts», les dépôts à vue (qu il vaudrait mieux appeler comptes à vue, car il n y a pas eu préalablement de dépôts) 10) C est donc l intérêt bien compris des banques qui est à la base des prêts bancaires, que ces prêts soient justifiés ou non, «votre argent m intéresse» disent les banques, en fait ce serait plutôt «les prêts que je vous accorde m intéressent» que devrait dire chaque banque. 11) C est à partir de cet «intérêt» que les auteurs de la vidéo émettent deux thèses, qui Page 3 / 6
4 reposent sur une réalité, mais dont les conclusions sont partiellement discutables. Puisque le «principal» des dettes, des emprunts, est censé être remboursé, un prêt de 10 milliards ne créera pas en permanence 10 milliards, un solde brut de 10 milliards ne devant pas être confondu avec un solde net de 10 milliards. Faut-il, à l opposé, en conclure qu il n y a pas de création monétaire «scripturale» durable, comme le maintient (à tort d après moi) un petit courant hétérodoxe? Les auteurs de la vidéo ne répondent pas directement sur ce point ce qui est bizarre, en développant les deux thèses suivantes : L intérêt n étant pas créé lors de l octroi de crédits ce qui est vrai ne pourra pas être remboursé à partir de cet emprunt ce qui est encore vrai, et les ressources correspondantes devront donc être trouvées ailleurs ce qui est encore vrai. Ils en concluent que les intérêts ne pourront être payés qu à partir d autres ressources ce qui est reste vrai et que ces ressources correspondent nécessairement à des dettes, ce qui est partiellement discutable. S il y a eu croissance, on peut aussi imaginer que la Banque Centrale a pu accompagner cette croissance d une émission de monnaie-papier supplémentaire, ou encore que l intérêt payé aux banques a pu servir à ces mêmes banques qui ont le droit de dépenser leur propre argent (= «money»), même si elles préfèrent dépenser celui de leurs clients, créé «ex nihilo» - pour acheter la production supplémentaire permise par la croissance. Par ailleurs, ces mêmes auteurs soutiennent que si chaque personne endettée remboursait toutes ses dettes, le système monétaire s effondrerait, car il n y aurait plus de monnaie. Là encore, c est «presque» vrai, tout dépend des taux d intérêt et du ratio de liquidité. Si nous reprenons notre exemple, avec 10 milliards de monnaie fiduciaire (=billets), un taux d intérêt de 5%, et 100 milliards de prêts, il faut rembourser 105 milliards : il n y aura plus de dettes, et il restera 5 milliards de «liquidités», de monnaie fiduciaire. Leur thèse est donc «théoriquement» fausse, mais «pratiquement «vraie», car le taux d intérêt moyen est sûrement plus élevé que celui que j ai indiqué, et il semble difficile que chacun puisse rembourser tous ses emprunts sans mettre à mal l équilibre économique général. Je soutiendrais plus volontiers pour ma part la proposition suivante : supprimer les dettes des états et des exclus : cela mettrait quelques banques en faillite, mais l on s en remettrait sans doute. On en arrive maintenant aux pistes plus ou moins réalistes, parfois m^me utopiques, proposées par les auteurs de la vidéo : j en citerai trois, et en rajouterai deux autres de mon propre chef. Les cinq pistes proposées ont toutes le même objectif : permettre que le système socioéconomique dans lequel nous vivons ne reste pas indéfiniment l otage d un système monétaire mal conçu, et éviter que le développement potentiel de richesses, matérielles ou non, ne soit bloqué, ou orienté, par la chape de plomb d une monnaie ne profitant essentiellement qu aux plus riches, au dépens des plus pauvres ou des moins chanceux. Ces cinq pistes sont : monnaie complémentaire «classique», crédit mutuel, troc, crédit social et monnaie fondante. Monnaie complémentaire «classique» et troc partagent une vision commune : il ne s agit pas de remplacer la monnaie «normale», celle gérée par les banquiers, mais de la compléter. Page 4 / 6
5 La monnaie complémentaire présentée dans la vidéo repose sur une expérience concrète, et est émise en équivalents horaires, ce que n aurait pas désavoué Karl Marx avec sa valeurtravail, l heure de travail étant l étalon de mesure de toute chose. Cette idée est voisine de celle développée par les tenants français de l écosociétalisme, dont l un des représentants les plus connus est André-Jacques Holbecq. Je crois moyennement à ce type de monnaie qui, d après moi, ne peut avoir un sens qu au niveau d une communauté assez retreinte ne dépassant pas quelques centaines d individus : c est cependant une bonne approche de monnaie «complémentaire», elle peut par ailleurs avoir un impact sociologique et psychologique non négligeable, en resocialisant des exclus ou des personnes fragilisés par le «système». Un autre inconvénient souligné par l un des auteurs de la video est que cette monnaie «horaire» reste une monnaie, et que son montant est donc défini. Il peut donc y avoir insuffisance de monnaie, de stock de monnaie (ce contre argument me semble cependant discutable, car le nombre d heures dans une journée est limité, lui aussi) Le troc, («bartering»), là encore, ne veut pas remplacer la monnaie classique, mais la compléter. On va échanger des services des produits, par l intermédiaire d une bourse, d un journal d information, éventuellement de sites web, le principe étant de lutter contre les ressources inutilisées et les besoins non satisfaits : imprimerie ne tournant qu à 50% de ses possibilités, voitures de collection dormant dans un garage, restaurants à moitié vide, etc. Là encore, au niveau d une association locale, ou d une communauté pas trop importante, cela peut avoir un impact socio-psychologique, mais je ne vois pas ce troc industrialisé comme LA piste d avenir. La piste crédit mutuel me semble plus riche, car elle sort résolument des sentiers battus. Elle repose sur le fait qu il n y pas de «stock» de monnaie, que le solde global du «crédit mutuel» est nécessairement nul. A un moment donné, il y a des débiteurs et des créditeurs, mais le solde débit-crédit est nécessairement nul. Chacun commence sa journée, ou son année, avec un solde de zéro, et en fonction de sa consommation et de sa «production» (de biens ou des services) se retrouve à un moment donné débiteur ou créditeur. L idée semble fort intéressante, et son emploi «communautaire» tout à fait envisageable. Mais sa mise en pratique généralisée reste un mystère pour moi, en dépit de tous les livres et articles ou pointeurs que j ai parcourus sur la question. Dans un monde où tous les individus seraient solidaires et généreux, il n y aurait aucun souci. Dans le monde réel, le problème du contrôle me semble fondamental. Les deux dernières pistes ne figurent pas dans la vidéo. L une est celle du crédit social de Louis Even ( contexte dans lequel la production et la consommation sont directement socialement reconnus et (donc?) monétarisés. La monnaie est émise au moment de la production, et détruite au moment de sa consommation. Les prix sont émis en ce que l on veut, en «euros normaux» ou en «heures de travail», tout dépend du contexte socio-économique. Les banques sont supprimées, au moins dans leur rôle de faiseurs de dettes (et de taux d intérêt), elles peuvent conserver leur rôle de comptable. Pour moi, c est «LA» piste à Page 5 / 6
6 creuser, car elle peut être généralisée et/ou imposée à un département, une région ou un pays tout entier : ce n est pas une utopie communautaire, restreinte à une communauté «sympa». Ce peut être une utopie, mais si elle se concrétise, elle ne dépend pas de la gentillesse ou de la bonhomie des individus qui constitueraient la société concernée. Autre piste enfin, monnaie complémentaire ou monnaie de remplacement, je ne sais, celle de la monnaie fondante de S. Gesell. C est une monnaie anti-thésaurisation, une monnaie biodégradable, une monnaie que l on force à circuler. Le fait qu elle perde automatiquement, officiellement, un peu de sa valeur chaque mois (par exemple 1% par trimestre) est censée permettre, voire imposer, sa circulation importante. Si le possesseur d argent est incité à le dépenser dès qu il le reçoit, la séparation des deux parties de la transaction, vente d un bien ou service contre réception de monnaie, et dépense de monnaie contre achat d un bien ou service devrait rendre ce délai moins long, voire presque instantané, et relancer ainsi les ventes, donc la production. Plus de matelas de billets. La fonction «réserve de valeur» dépeinte par certains comme le mal absolu n existerait donc plus. Là aussi, c est sans doute une idée à creuser, car elle ne fait pas spécialement appel à de bons sentiments, même si de tels sentiments sont fort souhaitables bien sûr. Parmi d autres pistes, certains suggèrent de ne rien changer, au petit détail près d empêcher toute création monétaire par des prêts privés de banques privées, une des expressions du slogan «100% money». Je n y crois guère, mais Commentaires et critiques bienvenus, Page 6 / 6
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