RESCIF Franck Lalanne : franck.lalanne@2ie-edu.org
|
|
- Ghislaine Bibeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Franck Lalanne : franck.lalanne@2ie-edu.org
2 Contexte Arsenic (métalloïde) : polluant majeur du sous-sol au Nord Burkina Faso, (Smedley et al., 2007), au Mali (Garcia, 2011) au Ghana (Smedley, 1996; Buamah, 2008; Asante, 2009) Région sahélienne : faible pluviométrie en diminution + forte évaporation Contamination eaux souterraines : seule ressource utilisable tout au long de l année Intoxication chronique : problème majeur de santé publique: kératose, cancer
3 Fermeture d un grand nombre de forages diminution de la ressource disponible pour les populations Problématique Analyser et mettre au point des techniques de traitements pour : - Rouvrir des forages condamnés - Utiliser de nouvelles ressources
4 Objectif général Contribuer à l amélioration de la distribution d une eau potable aux populations; atteinte des OMD au Burkina Faso Objectifs spécifiques : (i) Estimer les ressources en eaux souterraines arséniées au Burkina Faso (ii) Mettre au point des techniques de traitement de ces eaux souterraines adaptées aux zones rurales et urbaines (iii) Limiter l'impact environnemental des résidus concentrés en arsenic en les séquestrant dans des matériaux stables présents localement.
5 Description de l action 3 points principaux : - Méthodes de traitement en milieu urbain - Méthodes de traitement en milieu rural - Méthodes de séquestrations des déchets arséniés issus des procédés
6 Milieu urbain Etude systématique et mise au point d'un procédé d osmose inverse Contexte - Osmose inverse basses pressions : + 90% rétention (Ning, 2002; Chan et al., 2008). - Efficacité pour le traitement du fluor couplage énergie solaire (Sénégal) -Avantages - faible occupation au sol, - faible utilisation de produits chimiques, - robustesse (Diawarra, 2008).
7 Objectifs - Etudier les capacités d élimination ainsi que le fonctionnement interne des techniques membranaires (laboratoire: sur échantillons synthétiques et eaux naturelles) - Etudier la faisabilité technico-économique de l implémentation de cette technique (consommation énergétique) (ONEA)
8 Méthodologie + Etude de l efficacité de 3 types de membranes d osmose inverse basse pression choix de la membrane (efficacité et résistance au colmatage) + Modélisation des mécanismes de transfert à l intérieur des membranes comprendre les paramètres influençant l efficacité (spéciation, ph ) + Compréhension du phénomène de colmatage + Performance du système de traitement énergie, réactifs chimiques, coût du m 3 d eau
9 Milieu rural Contexte + Contexte socio-économique (limitant pour technologies sophistiquées) : - Faible disponibilité de l'électricité (voire une absence) - Forages ou puits isolés équipés de pompes à motricité humaine (PMH) - Main d œuvre locale à très faible qualification - Aucune filière d évacuation, de traitement et de stockage des déchets arséniés Adsorption sur oxyde de fer
10 Un matériau industriel : le GEH + En Inde, 2000 systèmes installés pour 0,5 millions de personnes + Efficace à la fois sur l As(III) et l As(V) + Capacité de traitement jusqu à volume par volume (Blard, 2005) Matériau en grain
11 Méthodologie + Conception du pilote d adsorption adaptable aux pompes à mains et aux conditions locales d utilisation. construction d un pilote d adsorption adaptable à plusieurs matériaux + Tests pilotes en laboratoire vérification des fonctionnalités + Installation du pilote sur les sites choisis et suivi du fonctionnement connaissances fonctionnement, réaction des populations
12 Un matériaux local : la latérite + Riche en Fer + Bonnes capacités d adsorption de l arsenic (Maji, 2007; Partey, 2009). + Très présent en Afrique de l Ouest
13 Méthodologie + Choix et Analyse des latérites Etude du rapport granulométrie/surface spécifique; [hydroxyde de fer] + Etude des capacités d adsorption de l arsenic par la latérite Détermination capacité de traitement; comparaison avec celles du GEH.
14 Schéma du pilote d adsorption (GEH)
15 Séquestration des déchets arséniés Contexte Procédés étudiés filtration/adsorption Déchets solides et liquides fortement chargés Séquestration des déchets dans des matrices stables (déchets ultimes)
16 Les matrices Les phosphates naturels + Les roches phosphatées naturelles propriétés de sorption des ETM, (même à faible teneur 12% - (Saxena, 2006)) + Burkina Faso est un producteur de phosphates (Teboh, 1997) +. Minéraux du Burkina: teneur en phosphate (P 2 O 5 ) :27% (Van Straaten, 2002). Les Hydroxyapatites + Composés de formules Ca 10 (PO 4 ) 6 (OH) 2 (Calcium et phosphate) + Possibilités de production au Burkina : phosphates + CaCl 2 et le CaCO 3 + Hydroxyapatites connues comme matériau de stockage pour la stabilisation des métaux lourds (Verwilghen, 2006 ; Bailliez, 2007; Nzihou 2010)
17 Méthodologie Phase 1 : mise au point de protocoles de désorption de récupération de l arsenic sur les résidus solides issus des procédés de traitement de l eau + Caractérisation du matériau la structure interne du matériau est caractérisée par fluorescence X + Analyse physico-chimique du matériau les éléments physico-chimique sont caractérisés + Etude de la récupération de l arsenic. choix de la meilleure méthode d extraction en fonction du matériau
18 Phase 2 : Mise au point en laboratoire d'un procédé de stabilisation/séquestration de l'arsenic dans les hydroxyapatites + Adsorption de solutions réelles concentrées mélange des solutions réelles obtenues avec les matériaux adsorbant + Tests de lixiviation déshydratation et séchage des matériaux; lixiviation à ph variables
19 Perspectives 1- A court terme + Une étude de la mise en œuvre de terrain des pilotes de traitement de l arsenic par adsorption sur latérite et phosphate + Une étude de la mise en œuvre de terrain du pilote de traitement de l arsenic par filtration membranaire (osmose inverse). + Une cartographie du Burkina Faso permettant la mise en relation de l occurrence de certaines maladies (hyperpigmentations et kératoses) avec la présence d arsenic dans les eaux de consommation.
20 2- Long terme + Paramètres physico-chimiques, géologiques et microbiologiques liés à la présence et la spéciation de l arsenic dans les eaux et les sols + Une étude approfondie de l impact de ce polluant sur la santé avec la recherche de biomarqueurs de la toxicité de l arsenic et le développement d outils biologiques pour la détection + Une connaissance des mécanismes de transfert de l arsenic dans le système eau/sols/plantes afin de mesurer l impact de ce polluant sur les cultures vivrières irriguées par des eaux arséniées. + Une étude sur le lien activités minières (notamment aurifère)/présence d arsenic, car le secteur minier est en plein développement au Burkina Faso et dans le sous région.
Est-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailMesures in situ et sur site
Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailBachelors Technologiques
Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détail«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim
«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim Dates et faits marquants 1987 : études de l ANDRA sur le comportement du sel des Mines de Potasse
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailPassons aux épreuves pratiques : Après avoir défini le terme «Fossile», nous passons à leur observation à la loupe binoculaire.
Du Saucats au Lissandre : Une histoire d eau Projet mené par des cinquièmes du Collège Paul Emile Victor de Branne. Dès notre arrivée, nous découvrons un musée et tentons de définir le terme «Réserve»
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailPrésentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com
1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailEnvironnements pollués
Nom du service émetteur Environnements pollués Nom du service émetteur Recherche et caractérisation de microorganismes dans des compartiments géologiques profonds Vanessa Barsotti Thèse soutenue 03.11.2011
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailarium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust
arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Eau de type 2 de qualité constamment élevée grâce à la technologie EDI moderne Consommation d eau optimisée auto matique ment
Plus en détailIAMGOLD Vue d ensemble
IAMGOLD Vue d ensemble IAMGOLD Corporation est un producteur aurifère de rang intermédiaire possédant cinq mines d or en production situées sur trois continents. À sa solide base d actifs stratégiques
Plus en détailRéalisation d un avis d experts : «Bruit de fond» des polluants dans l environnement
Réalisation d un avis d experts : «Bruit de fond» des polluants dans l environnement Analyse des données existantes et identification des lacunes RECORD 09-0812/1A décembre 2010 RECORD ETUDE N 09-0812/1A
Plus en détailNote de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines
Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.
Plus en détailPrésentation : A. A. TOSSA
LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)
Plus en détailPRESENTATION GROUPE LHP
PRESENTATION GROUPE LHP 1. PRESENTATION DU GROUPE Micropolluants Technologie : Laboratoire d analyses spécialisé dans la détection de polluants présents à l état de traces et d ultra traces dans les domaines
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailFaire le bon choix: un comparatif des technologies d approvisionnement en eau en milieu rural.
Série technique de GWI : qualité des infrastructures. Série technique de GWI : la qualité des infrastructures pour un accès durable à l eau et à l assainissement AFRIQUE DE L OUEST Faire le bon choix:
Plus en détailPompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1
Fiche technique n 1 Pompes à Chaleur & environnement acoustique Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur Association Française pour les Pompes A Chaleur 1 1 Puissance et pression acoustique
Plus en détailrelatif au Code international de gestion du cyanure
INSTITUT INTERNATIONAL DE GESTION DU CYANURE Définitions et sigles relatif au Code international de gestion du cyanure www.cyanidecode.org Juin 2012 Le Code international de gestion du cyanure (ci-après
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailPrésentation du programme
FILIERE UNIVERSITAIRE FRANCOPHONE Master recherche Ecotoxicologie, Environnement et Gestion des Eaux (MEEGE) Présentation du programme Master recherche «Ecotoxicologie, Environnement et Gestion des Eaux»
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailWest Africa Water Supply, Sanitation and Hygiene (USAID WA-WASH) Program
Présentation sur les Services Durables a l Echelle (Triple-S): une initiative d apprentissage pour l approvisionnement des services d eau potables permanent www.waterservicesthatlast.org July 2012, IRC
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailGE Power & Water Water & Process Technologies. Solutions de traitement d eau pour l industrie Agroalimentaire
GE Power & Water Water & Process Technologies Solutions de traitement d eau pour l industrie Agroalimentaire Depuis plus d un siècle, GE fournit des solutions durables pour aider les clients du monde entier
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailSuivi environnemental de réalisation (SER)
Assainissement définitif de la décharge industrielle de Bonfol Suivi environnemental de réalisation (SER) Commission d information et de suivi, séance du 11.12.2009 Grégoire Monin, directeur de CSD Porrentruy,
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailGaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur
SECTEURS DE CROISSANCE Gaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur Des ressources abondantes et largement répandues ENJEUX Gaz de charbon, gaz de schiste, tight gas : les gaz non conventionnels
Plus en détailQU EST-CE QUE LA CHLORATION?
QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent
Plus en détailPoint de Contact National. Assurer l approvisionnement en matières premières non énergétiques et non agricoles
Point de Contact National Assurer l approvisionnement en matières premières non énergétiques et non agricoles Répartition du sujet selon les thématiques 1 Calls Waste Water Inno. Low carbon, ressource
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailTiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES
ÉDITIONS JOHANET, 60, RUE DU DESSOUS DES BERGES - 75013 PARIS TÉL. 01 44 84 78 78 - FAX 01 42 40 26 46 - WWW.REVUE-EIN.COM REVUE MENSUELLE - ISSN 0755-5016 Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailQUATRIÈME TRIMESTRE 2003 PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003
COMMUNIQUÉ QUATRIÈME TRIMESTRE 2003 TSX-SMF PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003 Montréal, Québec, le 21 avril 2004 SEMAFO (TSX SMF)
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailMobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques
Mobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques Période : février 2010 à août 2010 AgroParisTech Chimie Analytique Paris Mots clés : Biodisponibilité,
Plus en détailSTOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients
STOCKAGE SOUTERRAIN Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients Prestations de service complètes à l échelle européenne Gestion
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailCATALYZED HYDROGEN PEROXIDE (CHP process) Traitement d une pollution COHV pure (DNAPL) en milieu urbain
CATALYZED HYDROGEN PEROXIDE (CHP process) Traitement d une pollution COHV pure (DNAPL) en milieu urbain INTERSOL Lyon Mercredi 27 mars 2013 Guillaume Garcia +33 (0)6 81 58 59 48 ERT France 109 av Lespinet
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailFONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF)
FONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF) 1. MISSION DE FEFISOL Appui financier et technique aux structures en développement ou en consolidation, en Afrique, et qui
Plus en détailChoc de simplification
Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailTABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE
TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailMASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE
MASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité : METIERS DE LA SANTE ASSOCIES
Plus en détailSystème de gestion des données du secteur des transports (TSDMS)
Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Exposé succinct I. Introduction II. Objet de la gestion des données du secteur des transports III. Efforts passés et présents par le SSATP
Plus en détailSYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL
15 e École d été en évaluation environnementale Évaluation de la durabilité du développement urbain et industriel : outils d analyse de l empreinte écologique et des impacts sociaux et sanitaires Douala,Hôtel
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détail"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE"
"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE" La loi d'épuration expérimentale TILLIÉ-TURCO Deux chercheurs niçois, spécialistes de la valorisation des Déchets Industriels Réutilisables - les "D.I.R" comme
Plus en détailRESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS
RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS LIEU : SURFACE D INTERVENTION: COÛT : LIVRAISON : ARCHITECTES : ARCHITECTES ASSOCIES : B.E.T. : MAÎTRE DE L OUVRAGE : MISSION : TOURS 3 000 m² (SHON) 3 845 000
Plus en détailPanorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2
Panorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2 81 eme congrès de l'acfas Le BRGM: service géologique français Le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) est l'établissement
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailNORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999
CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine
Plus en détailLa Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013
La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailCaractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire
Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des
Plus en détailMASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE
MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailDÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR
DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire
Plus en détailGestion des stériles des mines d uranium et des résidus des usines de concentration d uranium RD/GD-370
Gestion des stériles des mines d uranium et des résidus des usines de concentration d uranium RD/GD-370 Juillet 2011 Gestion des stériles des mines d uranium et des résidus des usines de concentration
Plus en détail