Traitement des rejets générés sur les puits shale gas
|
|
- Adrien Rochefort
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 المعهد الجزاي ري للبترول INSTITUT ALGERIEN DU PETROLE JOURNEES D ETUDES TIGHT & SHALE RESERVOIRS Septembre 2013 Sheraton, Alger Traitement des rejets générés sur les puits shale gas PRÉSENTATRICE : Mme Samira BELLATACHE ORGANISME : Sonatrach-
2 Sommaire 1) Introduction 2) Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel 3) Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits: Les opérations de forage La fracturation hydraulique 4) Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés 5) Cadre réglementaire National 2/48
3 Introduction Depuis quelques années, le développement rapide en Amérique du Nord des gaz non conventionnels a bouleversé le marché du gaz naturel. On regroupe plusieurs types de production comme les tight gaz, les gaz de schistes ou les gaz de houille. Leur point commun réside dans la nécessité de «stimuler» la roche pour obtenir une production commerciale de gaz. 3/48 Les gaz et huiles de schiste ne sont pas contenu dans un réservoir poreux, contrairement au gaz naturel dit «conventionnel», sont emprisonnés dans des couches étendues de roche mère pratiquement compacte et imperméable, leur production nécessite des techniques spécifiques: le forage (vertical,horizontal ou dévié) et la fracturation hydraulique.
4 Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel Opérations de forage du puits ( vertical/horizontal) Les conditions du forage de la première Phase, de la surface à TD: Pas de différence en terme de: Programme de forage Fluide de forage Types des rejets de forage 4/48
5 Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel La fracturation hydraulique Cette deuxième phase est Spécifique pour le forage d un puits Shale gas. La fracturation hydraulique permet production de chaque puits. d augmenter la Cette technique consiste à injecter, dans le puits, de l eau sous pression afin de réaliser une fracturation artificielle de la roche. 5/48 Mélangés à l eau, du sable fin et des additifs chimiques, afin que les fractures ainsi crées ne se referment pas et constituent des drains permettant de produire les hydrocarbures contenus dans la roche.
6 Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel Fracturation hydraulique 6/48 le forage horizontale et la fracturation hydrauliques sont des techniques dont l utilisation conjointe est en mesure de multiplier les capacités d extraction, car le forage horizontal permet d accéder à une plus large surface rocheuse et ainsi augmenter la section productrice de chaque puits par rapport à un forage vertical.
7 Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel Principales différences: Fracturation hydraulique 1. Plusieurs puits sont forés dans le même champs. 7/48
8 Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel Fracturation hydraulique 2. La quantité d eau nécessaire pour la fracturation est très importante, peut atteindre 10,000 à 20,000 m3 selon le nombre de puits, profile du puits et le nombre des opérations de fracturation à effecteur. 8/48
9 Caractéristiques d un forage conventionnel Vs forage non conventionnel Fracturation hydraulique 3. Plus de ressources et moyens par rapport au forage d un réservoir conventionnel. 4. Nécessite une logistique importante pour l approvisionnement, le stockage et la gestion des eaux utilisées pour la fracturation hydraulique et aussi les eaux de reflux ( flow back water). 9/48
10 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits Les opérations de forage Rejets solides : Déblais de forage enrobés par des quantités considérables de fluides de forage Rejets résultant des processus de centrifugation. Rejets liquides : Les eaux usées de nettoyage - déversées dans des excavations réalisées à cet effet, appelées dans le jargon du métier : Bourbier. Les fluides enrobant les déblais de forage Les déversements accidentels de fluides de forage 10/48
11 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits LA BOUE EJECTEE Il s agit de la WBM, non réutilisable, qui est éjectée en fin de phase 26. Ainsi, 1000 à 1200 m3 de boue benthonique sont éjectés lors de la réalisation d un puits à HMD. Les opérations de forage 11/48
12 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits DEBLAIS ENROBÉS Les opérations de forage Déblais (cutting) Partie du fluide adsorbée (séparable par désorption thermique) Partie du fluide séparable par centrifugation > 100 G Partie du fluide séparable par gravité (pesanteur) Les pertes par enrobage sont essentiellement dues au: Phénomène d adsorption 12/48 interactions liquides liquide et solides. surface spécifique.
13 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits LES SOURCES DE REJET DES EAUX L eau est employée pour : La fabrication des boues de forage L évacuation des déblais vers le bourbier L entretien et le nettoyage de l appareil. L alimentation du camp de vie Le Refroidissement des équipements Consommation en eau pour le forage d un puits à HMD : Les opérations de forage 13/48 Horizontal : m 3 Vertical : m 3
14 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits La fracturation hydraulique Estimation du volume d eau utilisé lors d un forage horizontal et d une fracturation hydraulique dans divers bassins des États-Unis 14/48
15 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits La gestion de l eau La fracturation hydraulique La gestion des ressources en eau doit intégrer ces aspects majeurs: 1. La disponibilité de la quantité d eau nécessaire au forage et à la fracturation, 2. Les additifs chimiques utilisés dans la préparation des eaux de fracturation, 3. Le recyclage et le traitement de l eau utilisée pour un usage ultérieur, 15/48 4. La prévention d éventuelles contaminations d autres aquifères par les fluides de forage.
16 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits La gestion de l eau La fracturation hydraulique Le fluide injecté lors de la fracturation hydraulique est formé par un mélange d eau et de sable ( +95 %) ainsi que des additifs chimiques. Les additifs chimiques servent à rendre la fracturation hydraulique plus efficace et leur composition peut varier selon les conditions géologiques. Ils se classement en trois grandes catégories: 1. les biocides qui réduisent la prolifération des microorganisme dans le fluide et dans le puits, 2. les produits qui favorisent la pénétration du sable dans les fractures pour les maintenir ouvertes, 16/48 3. Les produits qui augmentent la productivité des puits.
17 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits La fracturation hydraulique 17/48
18 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits La fracturation hydraulique Impact potentiel des gaz de schiste sur la pollution de l eau et des nappes phréatiques: Une partie de l eau utilisée est récupérée ( entre 50 et 80%) dans de vaste bassins de récupération. ces eaux de reflux de fracturation doivent être traitées avant d être réutilisé ou rejeté. Selon un rapport rédigé par la commission de l Énergie et du Commerce de la Chambre des représentants Américaine, l exploitation du gaz de schiste a nécessité entre l utilisation de plus de 2500 produits pour la fracturation hydraulique, contenant 750 substances chimiques dont 29 sont connu pour le risque qu elles présentent pour la santé et l environnement. 18/48 La toxicité et l écotoxicité des additifs chimiques présents dans ce fluide, les éléments ou substances chimiques présents dans les formations du sous sol et pouvant avoir été remobilisés doivent être déterminés, afin de mieux cerner le procédé de traitement à employer pour les eaux de rejets.
19 Principaux rejets générés par le forage non conventionnel d un puits La fracturation hydraulique Résultats d Analyse Chimique de quelques Échantillons des eaux de reflux prélevés sur des sites opérationnels aux USA ( Pennsylvanie, New York et West Virginia). 19/48
20 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Pour les chantiers de forage de puits avec la boue à base d huile: centrifugeuse de séchage ( drying Process) recyclage et réutilisation des eaux étanchéité des bourbiers avec liner en PEHD Pour les chantiers de forage de puits avec la boue à base d eau: recyclage et réutilisation des eaux étanchéité des bourbiers avec liner en PEHD Pour les chantiers de forage en Exploration Nord à base d eau : étanchéité des bourbiers avec liner en PEHD unité de traitement des eaux ( Dewatering unit) 20/48 Dewatering Unit: cette unité est mise en place pour le traitement adéquat des eaux résiduelles afin de permettre leur réutilisation à différents usages. La qualité du traitement des eaux doit répondre aux valeurs limites figurant dans le décret Exécutif N du 19 avril 2006 définissant les valeurs limites des
21 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage SS SS SS MC Réduction du Fluid On Cutting % LGS Centrifugeuses Pas de déversement Dryed Cuttings Lined Pit Wet Cuttings Lined Pit 21/48
22 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage 22/48
23 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Réduire de 70% la valeur de rétention référentielle d huile sur les déblais en : OOC% massique par un traitement mécanique supplémentaire en aval des Shale Shakers. La valeur référentielle est fixée à 25%. 1 Entrée des cuttings Les déblais sortant de l unité du Drying Process sont de concentration avoisinant les 5% OOC. Sortie des cuttings 23/48
24 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage CUTTING DRYIN PROCESS BOUE RECUPEREE DRY CUTTINGS OU REUTILISATION STOCKAGE RECYCLAGE 24/48
25 Nouvelle approche de gestion Intégrée des rejets de forage Épurer les eaux de rejets pour les réutiliser dans le nettoyage, réduisant ainsi la consommation en eau et les risques liés à l infiltration des eaux usées. Prévenir tout risque de déversement accidentel de rejets solides et/ou liquides sur le rig et le cas échéant, intervenir afin d y remédier avec les moyens appropriés. RIG CLEANING & WATER REUSE Ce projet assure en première étape la réduction de 30% de la quantité d eau actuellement utilisée sur chantier. 25/48
26 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Wet Pit Les opérations de forage 26/48
27 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Dry Pit Les opérations de forage 27/48
28 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Implémenter un plan de ségrégation des rejets solides et/ou liquides. Les opérations de forage WASTES SEGREGATION & PIT LINER Fournir, poser un liner en HDPE (Polyéthylène haute densité) devant servir à étancher le compartiment OBM- Cuttings du bourbier. 28/48
29 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Procédé de traitement par Stabilisation & Solidification Ce procédé consiste à stabiliser au moyen d un produit chimique (Dissilicate de Sodium) toutes les concentrations d hydrocarbures et de métaux lourds contenus dans les déblais et à solidifier ces déblais par du laitier de ciment. Après traitement, et une fois que le processus de durcissement est atteint, nous obtenons une matrice qui incorpore les rejets en une pierre synthétique. ce phénomène est appelé l encapsulation. 29/48 Phénomène d encapsulation
30 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Procédé de traitement par Stabilisation & Solidification L unité de Solidification à Hassi-Messaoud 30/48
31 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Procédé de traitement par Désorption Thermique La désorption thermique est une technique de traitement des terres contaminées par des composés organiques (hydrocarbures, HAP). Ce procédé consiste à chauffer les terres polluées dans un four rotatif dans lequel un brûleur produit une chaleur entre 250 et 550 C. Cette dernière permet la volatilisation des polluants sous forme de gaz qui seront dépoussiérés et épurés par filtre à manches. La qualité essentielle du procédé est la décontamination totale des terres, indépendamment des concentrations en entrée. Le four rotatif permet un traitement homogène du matériau, d où une grande fiabilité dans les résultats. 31/48
32 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Procédé de traitement par Désorption Thermique 32/48
33 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Procédé de traitement par Désorption Thermique 33/48 L unité Thermique à Hassi-Messaoud
34 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Contrôle de la qualité de traitement L arrêté du 18 décembre 1992 relatif au stockage de certains déchets industriels spéciaux ultimes et stabilisés pour les installations nouvelles et publié au Journal Officiel de la République Française le 30/03/1993, est la norme suivie, pour le traitement des déblais de forage. Cet arrêté définit les paramètres qui devraient être analysés et leurs limites maximales à ne pas dépasser pour que les déblais puissent être rejetés dans la nature. 34/48 Ces valeurs limites sont données dans le tableau suivant.
35 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés Les opérations de forage Les paramètres à analyser sur les déblais avant et après traitement 35/48 PARAMETRES UNITES METHODES NORMES REQUISES Hydrocarbures (HC) Mg/l Infrarouge 2.5 PH Ph-meter 4-13 Chrome VI (Cr Absorption Mg/l 6+) atomique 5 Chrome Total (Cr) Mg/l Absorption atomique 50 Plomb (pb) Mg/l Absorption atomique 50 Zinc (Zn) Mg/l Absorption atomique 250 Cadmium (Cd) Mg/l Absorption atomique 25 Cyanure (CN) Mg/l Absorption atomique 5 Nickel (Ni) Mg/l Absorption atomique 50 Arsenic (As) Mg/l Absorption atomique 5 Mercure (Hg) Mg/l Absorption atomique 5
36 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés La fracturation hydraulique Procédés de traitement des eaux de reflux ( Flow Back Water - FBW) La technique de traitement des eaux de reflux des opérations de fracturations dépend principalement de la nature et la taille des contaminants présents et qui sont réparties en général en deux catégories: Solides En Suspension (Total Suspended Solids TSS) Solides Dissous (Total Dissolved Solids TDS et qui englobe aussi les HC) 36/48
37 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés La fracturation hydraulique Procédés de traitement des eaux de reflux (Flow Back Water - FBW) Traitement des Solides en Suspension (TSS) La taille des solides en suspension dans l Eau recyclée ne doit pas dépasser 20 µm, d où la nécessité d une filtration. Le sable (Propants) injecté, polymère et déblais générés par l opération de fracturation sont à l origine des TSS dans les eaux de reflux FBW. 37/48
38 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés La fracturation hydraulique Procédés de traitement des eaux de reflux ( Flow Back Water - FBW) Traitement des Solides Dissous (TDS) L élimination des solides dissous, principalement les sels, est beaucoup plus compliquée, difficile, et coûteuse en comparaison avec l élimination des solides en suspension. La diversité des types des TDS a mené au développement de divers procédés de traitement énumérés ci-après. 38/48
39 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés La fracturation hydraulique Procédés de traitement des eaux de reflux ( Flow Back Water - FBW) Méthodes de traitement des solides dissous (TDS) aux USA Les procédés les plus efficaces pour le traitement des TDS sont: Électro-Coagulation Osmose inversé Nano-Filtration L électro-coagulation est le procédé le plus économique et plus rapide. 39/48
40 Techniques et procédés de gestion et traitement des effluents rejetés La fracturation hydraulique Procédés de traitement des eaux de reflux ( Flow Back Water - FBW) Types et Coûts De Diverses Méthodes de Traitement des TDS (USA) 1m 3 =3.78 Gal 40/48
41 Cadre réglementaire National 41/48 Loi n du 12 décembre 2001 relative à la gestion, au contrôle et à l'élimination des déchets. Art Les déchets spéciaux ne peuvent être traités que dans des installations autorisées par le ministre chargé de l'environnement conformément aux dispositions réglementaires en vigueur. Art Il est interdit à tout générateur et/ou détenteur de déchets spéciaux dangereux de les remettre ou de les faire remettre à : - toute autre personne que l'exploitant d'une installation autorisée pour le traitement de cette catégorie de déchets, - tout exploitant d'une installation non-autorisée pour le traitement desdits déchets. Art Quiconque remet ou fait Tableau issu de la nomenclature des déchets (décret exécutif ) remettre des déchets spéciaux dangereux en vue de leur traitement, à une personne exploitant une installation non autorisée pour le traitement de cette catégorie de déchets, est punie d'un emprisonnement de six (6) mois à deux (2) ans et d'une amende de quatre cent mille ( ) à huit cent mille ( ) dinars ou de l'une de ces deux peines seulement. SD: classé déchet spécial dangereux S : classé déchet spécial
42 Cadre réglementaire National Les déchets traités par solidification / stabilisation peuvent être considérés eux même comme des déchets, selon la nomenclature des déchets spéciaux. 42/48
43 Cadre réglementaire National déclaration des déchets spéciaux dangereux Décret exécutif n du 10 septembre 2005 fixant les modalités de déclaration des déchets spéciaux dangereux. Depuis la date de publication du décret en 2005, les informations relatives à la nature, la quantité, les caractéristiques, le traitement des déchets et les mesures prises et à prévoir pour éviter la production des déchets, qui constituent la déclaration des déchets spéciaux dangereux sont établies dans un formulaire qui doit être transmis à l administration chargée de l environnement, dans un délai n excédant pas trois (3) mois au-delà de la clôture de l année considérée par la dite déclaration. 43/48
44 Cadre réglementaire National Décret exécutif n du 14 décembre 2004 fixant les règles générales d aménagement et d exploitation des installations de traitement des déchets et les conditions d admission de ces déchets au niveau de ces installations. Art. 3. Sont qualifiées d installations de traitement des déchets toutes installations destinées à la valorisation, au stockage et à l élimination des déchets, notamment : les centres d enfouissement techniques de déchets spéciaux ; les installations d incinération des déchets spéciaux ; les installations de co-incinération ; les installations de traitement physico-chimique des déchets ; les installations de valorisation des déchets. etc. Art. 12. L admission des déchets spéciaux sur le site d installation de traitement est conditionnée par l obtention d un certificat d acceptation préalable délivré par l exploitant de l installation de traitement pour une durée d un (1) an, période à l issue de laquelle la procédure d obtention doit être renouvelée. Décret exécutif n du 31 mai 2006 définissant la réglementation applicable aux établissements classés pour la protection de l'environnement et Décret exécutif n du 19 mai 2007 fixant la nomenclature des ICPE 44/48 AM : Autorisation ministérielle (procédure d'exploitation d'établissement classé)
45 Cadre réglementaire National Décret exécutif n du 14 décembre 2004 fixant les règles générales d aménagement et d exploitation des installations de traitement des déchets et les conditions d admission de ces déchets au niveau de ces installations. Art. 3. Sont qualifiées d installations de traitement des déchets toutes installations destinées à la valorisation, au stockage et à l élimination des déchets, notamment : les centres d enfouissement techniques de déchets spéciaux ; les installations d incinération des déchets spéciaux ; les installations de co-incinération ; les installations de traitement physico-chimique des déchets ; les installations de valorisation des déchets. etc. Art. 12. L admission des déchets spéciaux sur le site d installation de traitement est conditionnée par l obtention d un certificat d acceptation préalable délivré par l exploitant de l installation de traitement pour une durée d un (1) an, période à l issue de laquelle la procédure d obtention doit être renouvelée. Décret exécutif n du 31 mai 2006 définissant la réglementation applicable aux établissements classés pour la protection de l'environnement et Décret exécutif n du 19 mai 2007 fixant la nomenclature des ICPE 45/48 AM : Autorisation ministérielle (procédure d'exploitation d'établissement classé)
46 Cadre réglementaire National Aspects HSE dans la Loi sur les Hydrocarbures Article 18 : Les études environnementales «Toute personne doit, avant d entreprendre toute activité objet de la présente loi, préparer et soumettre à l approbation de l autorité de régulation des hydrocarbures, une étude d impact environnementale et un plan de gestion de l environnement comprenant obligatoirement la description des mesures de prévention et de gestion des risques environnementaux associés auxdites activités conformément à la législation et réglementation en vigueur en matière d environnement». 46/48
47 Cadre réglementaire National Aspects HSE dans la Loi sur les Hydrocarbures Article 80 : Les obligations en cas d abandon et réhabilitation de sites «Pour tout ouvrage dont l état ne désire pas le transfert de propriété, le contractant devra prendre en charge tous les coûts d abandon et/ou de restauration du site prévus par le contrat conformément aux textes réglementaires en matière de sécurité industrielle et d environnement». 47/48
48 MERCI POUR VOTRE ATTENTION 48/48
Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation Etude de faisabilité
المعهد الجزاي ري للبترول INSTITUT ALGERIEN DU PETROLE JOURNEES D ETUDES TIGHT & SHALE RESERVOIRS 17-18 Septembre 2013 Sheraton, Alger Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation
Plus en détailHYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS
HYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS Qu'appelle t'on hydrocarbures non conventionnels? Que ce soit une production d'hydrocarbures conventionnels ou non conventionnels, il s'agit des mêmes types d'hydrocarbures.
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailLe droit et les hydrocarbures «non conventionnels»
Le droit et les hydrocarbures «non conventionnels» Colloque LIED mardi 2 avril 2013 «Une énergie non conventionnelle : les hydrocarbures de roches mères approche interdisciplinaire». Gaz de schiste et
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailLes hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution?
Depuis maintenant quelques années, les hydrocarbures non conventionnels prennent une place grandissante dans l'approvisionnement mondial en hydrocarbures. Est-ce une révolution ou une évolution normale?
Plus en détailCRIIRAD. Mars 2011 - n 51. Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité GAZ DE SCHISTE
Mars 2011 - n 51 CRIIRAD Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité Bulletin d information des adhérents de la CRIIRAD GAZ DE SCHISTE SIGNALISATION DES RISQUES RADIOLOGIQUES
Plus en détailGaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur
SECTEURS DE CROISSANCE Gaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur Des ressources abondantes et largement répandues ENJEUX Gaz de charbon, gaz de schiste, tight gas : les gaz non conventionnels
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailRéglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures
Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures 2012 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire et normative a été établie à partir : de la norme NF EN 858-1 COMPIL sur les
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailLe gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I
Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I CLUB DE NICE 5/12/2012 Le gaz naturel dans l Union Européenne
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détailLE GAZ DE SCHISTE ET SES IMPLICATIONS POUR L AFRIQUE ET LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
LE GAZ DE SCHISTE ET SES IMPLICATIONS POUR L AFRIQUE ET LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT 1 REMERCIEMENTS Élaboré dans la perspective de la stratégie de la Banque africaine de développement dans le
Plus en détailLe gaz de schistes : son exploitation
Le gaz de schistes : son exploitation Résumé de l exploitation du gaz de schiste Après la lecture de cet article, ce schéma synthétique vous apparaîtra très simple et clair. Déjà, il sera plus grand. Le
Plus en détailSynthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne
Synthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne Version 1 28 mai 2009 Synthèse sur les réglementations et permis relatifs
Plus en détailChangements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 -
NOTE DE POSITION Changements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 - SOMMAIRE 1. Principes d exploration et d exploitation et rappel du contexte national
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailExemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Plus en détailFor the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailRisques potentiels de l exploration et de l exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Ile de France
Risques potentiels de l exploration et de l exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Ile de France Rapport du Conseil scientifique régional d Ile de France Mars 2012 Rapport du CSR 1 Rédacteurs
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailVILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES
VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailNotice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux
Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 Décret n 2005-635 du 30 mai 2005 Arrêté du 29 juillet 2005 Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets
Plus en détailP R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
P R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Affaire suivie par : Mme Gisèle ATOUBA 02 32 76 53 91 mél : 02 32 76 54 60 gisele.atouba@seine-maritime.pref.gouv.fr
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailSolutions de mesure pour le raffinage
Solutions de mesure pour le raffinage Débitmétrie et densimétrie de précision Les meilleures des mesures en ligne «Il est difficile de répondre à la demande de façon efficace, économique et responsable.»
Plus en détailMission d information et d évaluation sur le gaz de schiste *** Département de Lot-et-Garonne Novembre 2012
Mission d information et d évaluation sur le gaz de schiste Rapport d étude *** Département de Lot-et-Garonne Novembre 2012 Mission d information et d évaluation sur le gaz de schiste - Rapport d étude
Plus en détailMINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE
MINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE Présenté par GNAMBA A. Claude Sous-directeur de l Approvisionnement et du Raffinage Direction Générale des Hydrocarbures
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailIngénierie du stockage souterrain de Gaz Naturel. Jacques GRAPPE, GEOSTOCK
Ingénierie du stockage souterrain de Gaz Naturel Jacques GRAPPE, GEOSTOCK Ingénierie du stockage souterrain de gaz naturel: aujourd hui et demain 1. Généralités 2. Les principales composantes d un stockage
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailBENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS
BENOIST BUSSON Cabinet d Avocats 250 bis, boulevard Saint-Germain 75007 PARIS MonsieurleProcureurdelaRépublique TribunaldeGrandeInstancedeMontauban Placeducoq 82000MONTAUBAN Paris,le20octobre2010 LR+AR
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détail«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim
«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim Dates et faits marquants 1987 : études de l ANDRA sur le comportement du sel des Mines de Potasse
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailPRESENTATION GROUPE LHP
PRESENTATION GROUPE LHP 1. PRESENTATION DU GROUPE Micropolluants Technologie : Laboratoire d analyses spécialisé dans la détection de polluants présents à l état de traces et d ultra traces dans les domaines
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailGestion des stériles des mines d uranium et des résidus des usines de concentration d uranium RD/GD-370
Gestion des stériles des mines d uranium et des résidus des usines de concentration d uranium RD/GD-370 Juillet 2011 Gestion des stériles des mines d uranium et des résidus des usines de concentration
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailQuantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY.
Quantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY. Présentation M. BEAU Pierre-Alexis, 20 ans, En 2 ème année de BTSA GEMEAU, Gestion Et Maitrise de l Eau à l ENIL
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailLes infos à connaître
1 Les infos à connaître au sujet des sous-couches des dalles de moquette Document d information technique portant sur les impacts environnementaux des sous-couches des dalles de moquette 2 3 Table des
Plus en détailPétrole & Gaz Traitement des Eaux Constructions Industrielles
Pétrole & Gaz Traitement des Eaux Constructions Industrielles PROFIL Raison Sociale: E.P.P.M «Engineering Procurement & Project Management» Capital Social: 5 000 000 $ Date de Création: 1993 Forme Juridique:
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailDiscovering Hidden Value
Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de
Plus en détailLes articles traités : les nouvelles exigences du règlement n 528/2012
Journée réglementation biocides FCBA 08/04/2014 Les articles traités : les nouvelles exigences du règlement n 528/2012 Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailRESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE
RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE Johanna GRANDA (1), Alain ARNAUD (1) et Azzédine BOUDIAF (2) (1) ALTAMIRA INFORMATION S.L.,
Plus en détailCaractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire
Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des
Plus en détailVu le décret présidentiel n 2014-145 du 28 Joumada Ethania 1435 correspondant au 28 avril 2014 portant nomination du Premier ministre;
Décret exécutif n 2015-87 du 20 Joumada El Oula 1436 correspondant au 11 mars 2015 définissant le montant et les modalités d'octroi de subvention pour sujétion imposée par l'etat pour l'importation et
Plus en détailL O I S. «Art. 5. Au sens de la présente loi, on entend par : 14 Rabie Ethani 1434 24 février 2013 4 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 11
4 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 11 L O I S Loi n 13-01 du 19 Rabie Ethani 1434 correspondant au 20 février 2013 modifiant et complétant la loi n 05-07 du 19 Rabie El Aouel 1426 correspondant
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailChangements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1
Changements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1 TITRE ABRÉGÉ 1. Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports
Plus en détailLe Préfet du Loiret Officier de la Légion d Honneur Officier de l Ordre National du Mérite
Direction départementale de la protection des populations Service de la sécurité de l environnement industriel Affaire suivie par Mme Nadège ROLAIN Téléphone : 02.38.42.42.77 Courriel : nadege.rolain@loiret.gouv.fr
Plus en détailLa stratégie développement durable de Nov@log. Alan Fustec Directeur du domaine d actions stratégiques développement durable
La stratégie développement durable de Nov@log Alan Fustec Directeur du domaine d actions stratégiques développement durable Sommaire Un mot sur le partenariat Nov@log-Lucie Introduction : contexte Conséquence
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détailL eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires
L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailParis, le 22 décembre 2008 N 39-08
Paris, le 22 décembre 2008 N 39-08 Obtention de la licence d exploitation pour le champ d Ocelote en Colombie Obtention d un nouveau permis d exploration en Colombie Dernières nouvelles sur le démarrage
Plus en détailCondition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession.
Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession. HYDAC Allemagne HYDAC Chine HYDAC Danemark Le partenaire compétent pour le Condition Monitoring. Avec plus de 4.000 collaborateurs
Plus en détail