Étude de la forme des raies des séries jaune et verte de la cuprite

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Étude de la forme des raies des séries jaune et verte de la cuprite"

Transcription

1 Étude de la forme des raies des séries jaune et verte de la cuprite J.B. Grun, S. Nikitine To cite this version: J.B. Grun, S. Nikitine. Étude de la forme des raies des séries jaune et verte de la cuprite. Journal de Physique, 1963, 24 (6), pp < /jphys: >. <jpa > HAL Id: jpa Submitted on 1 Jan 1963 HAL is a multidisciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

2 Diff The La La JOURNAL DE PHYSIQUE TOME 24, JUIN 1963, PAGE 355. ÉTUDE DE LA FORME DES RAIES DES SÉRIES JAUNE ET VERTE DE LA CUPRITE Par J. B. GRUN et S. NIKITINE, Laboratoire de Spectroscopie et d Optique du Corps Solide. Institut de Physique. Université de Strasbourg. Résumé Les faits fondamentaux montrant que les séries jaune et verte de la cuprite constituent des spectres excitoniques de deuxième classe sont rappelés et discutés. Le profil de l absorption propre des raies est étudié en détail. Les résultats obtenus sont discutés et comparés à la théorie de Toyozawa sur le profil des raies excitoniques Abstract. experimental evidence in favour of the interpretation of the yellow and green series of Cu2O as a second class (weakly forbidden) exciton spectra is discussed. The shape of the absorption lines has been studied in detail and compared with Toyozawa s theory. Good agreement has been found with the Lorentzian unsymmétrical type of lines predicted by the theory. Introduction. 6rentes études de 1 absorption de la cuprite dans le visible aux tres basses temperatures avaient montre que les series j aune et verte observ6es constituaient des spectres de raies excitoniques de deuxieme classe (f aiblement interdits). Cependant, on ne s était guere int6ress6 au profil de ces raies, mais une publication th6orique de Toyozawa montra l int6ret d une telle etude [1]. Nous avons 6tudi6 ces raies et compare nos résultats a la theorie de Toyozawa. Nous allons tout d abord rappeler les donn6es concernant les series j aune et verte. S6rie jaune de la cuprite. serie j aune de la cuprite constitue un spectre excitonique de deuxieme classe, du aux transitions faiblement interdites prevues par la theorie d Elliott [2]. Cette attribution est bas6e sur plusieurs faits fondamentaux que nous allons examiner successivement. Tout d abord, Gross et Nikitine [3, 4] ont montre que la serie j aune forme un spectre de raies hydrog6noide dans lequel manque la raie n 1, comme le prevoit la theorie des spectres de deuxieme classe. En outre, nous avons mesure l intensit6 d oscillation de la raie n 2 à 4,2 OK [5]. Nous avons v6rifi6 que le facteur f de cette raie est de l ordre de grandeur du facteur th6orique évalué par Nikitine pour les spectres de deuxieme classe [6]. ngp2( S.J). 3 x 106 (1) par cellule elementaire, f d% 10s par atome. 11 est environ 104 fois plus faible que celui de la raie n 1 de CuI, raie qui appartient a un spectre de premiere classe [7, 8]. (1) Nous avons utilise pour 6valuer cette intensite d oscillateur un indice de refraction moyen n 3, d6duit de mesures d indice r6centes sur des prismes de cuprite [9], alors que pr6c6demment nous utilisions 1 indice rz 2,;5 obtenu par Wernicke [10] avec des lames minces de cuprite d6pos6es par electrolyse. Enfin, nous avons 6tudi6 la variation des intensit6s d oscillateur dans la s6rie en comparant les facteurs f des raies n 2 et n 3 de la s6rie jaune [5]. Nous avons obtenu experimentalement : La dispersion de ce r6sultat provient du fait qu il est difficile de determiner avec precision Fabsorption continue a laquelle se superposent les raies, donc difficile d obtenir l absorption propre des raies. N6anmoins, si nous comparons ce r6sultat aux rapports th6oriques des intensités des deux premières raies des spectres de premiere classe (fn2/fl1 1 0,125) et des spectres de deuxieme classe (fn3/fn2 0,33), nous ajoutons un nouvel argument h l interpr6tation de la s6rie jaune comme un spectre de deuxieme classe. L ensemble de ces donn6es nous permet de conclure que la serie jaune est un spectre excitonique de deuxième classe (faiblement interdit). Nous pouvons alors determiner avec précision, à partir de la th6orie d Elliott de ces spectres, l absorption propre de ces raies et étudier leur profil [9]. S6rie verte de la cuprite. s6rie vert e de la cuprite constitue 6galement un spectre excitonique de deuxi6me classe. Gross et Nikitine ont montre qu elle forme un spectre de raies hydrog6noide dans lequel la raie n 1 manque. En outre, nous avons mesure l intensit6 d oscillateur de la raie de I h6ll um n 2 de cette serie a la temperature liquide [11]. Nous avons pu expliquer le rapport des intensités d oscillateur des raies n 2 des series jaune et verte par la difference des masses effectives des deux s6ries, d6dultes de leurs constantes de Rydberg. Ces donn6es permettent d interpréter 6galement la s6rie verte comme un spectre de deuxieme classe. Article published online by EDP Sciences and available at

3 Profil Profil Forme 356 Nous pouvons alors determiner avec precision, a partir de la th6orle d Elliott de ces spectres, l absorption propre de ces raies et 6tudier leur profil [9]. Soit 3 1 pour une raie completement dissymetrique (Av+, 0 par exemple), 3 0 pour Forme des raies. Nous allons donc 6tudier en detail la forme des raies n 2, 3 et 4 de la série j aune et n 2 de la série verte a la temperature de I h6lium liquide. Nous avons remarque que ces différentes raies ont une forme caracteristique : elles sont dissymetriques. Nous avons d6fini a partir du nombre d onde vmax, du maximum de chaque raie une demilargeur vers les grandes valeurs de v : A,)+, et une demilargeur vers les petites valeurs de v : A v [5]. La demilargeur moyenne est donc 6gale h : nous avons uti Pour caracteriser la dissymetrie, lis6 le parametre suivant : FIG. 1. de raie lorentzienne (dissymétrique). une raie completement symetrique (Av+ A,)). Ces raies présentent toutes un profil semblable. Elles peuvent etre repr6sent6es par une fonction Fic. 2. des raies n 2, 3 et 4 de la s6rie jaune a 4 0 K. (Echantillon de 10 t1. d 6paisseur). FIG. 3. de la raie de la s6rie verte a 4 OK. (Échantillon de 10 u d épaisseur.)

4 357 lorentzienne, corrig6e par un terme tenant compte de leur dissym6trie : ou Av1/2 et 8 ont ete d6finis precedemment et ou vo Vmax + 8Avi/2. C est une constante que l on peut 6valuer a partir du coefficient d absorption maximum et de la demilargeur moyenne de chaque raie. En effet, on obtient en negligaant les termes en a2 : de meme : Le profil d une telle raie est indiqué figure 1. Nous avons pu 6tablir les fonctions repr6sentant les différentes raies 6tudi6es : pour la raie n 2 de la s6rie jaune, localisé. Dans les deux cas, l interaction entre diff 6 rentes bandes d énergie excitoniques et les phonons provoquent 1 asymetrie des raies. 11 est certain que 1 etude de la dissymétrie des raies doit fournir des donn6es fort importantes sur les excitons. Mais il semble que la théorie, dans son 6tat actuel, ne peut pas etre appliquée aux tres basses temperatures. 11 est donc n6cessaire d attendre des nouveaux progres de la theorie (2). La forme lorentzienne (avec asymetrie) des raies d absorption de la cuprite confirme la validit6 du modele de 1 exelton non localise dans ce cas. La largeur des raies doit alors varier lineairement avec la temperature, sauf aux tres basses temperatures oli elle reste constante. Lors d une etude pr6 c6dente [5], nous avons effectivement remarque que les raies ont sensiblement la meme largeur aux temperatures de l hélium et de l hydrogene liquides, mais s élargissent considerablement a la temp6 rature de 1 azote liquide. Nous n avons pas poursuivi cette etude a plus haute temperature, car il est alors difficile de connaitre avec precision l absorption continue a soustraire de l absorption totale pour obtenir I absorption propre des raies. Les erreurs commises sur 1 evaluation de la largeur de la raie deviennent trop importantes [12]. Enfin, d apr6s la theorie de Toyozawa, les niveaux excitoniques ne coincident pas avec les maxima des raies car cellesci sont dissymetriques. Ils correspondent aux nombres d onde suivants : pour la raie n 3 de la s6rie jaune, pour la raie n 4 de la s6rie jaune, pour la raie n 2 de la s6rie verte. Les profils experimentaux et calcul6s des diffé 2 et 3. On rentes raies sont repr6sent6s figures peut remarquer 1 excellent accord, sauf pour la raie n 2 de la serie j aune vers les petits nombres d onde. Comparaison avec la thdorie de Toyozawa. Toyozawa a 6tudl6 la forme des raies excitoniques [1]. 11 a montre que, lorsque l interaction excitonphonon et la masse de 1 exciton ne sont pas trop grandes, lorsque la temperature n est pas trop 6lev6e, la raie d absorption excitonique est de forme lorentzienne. Ce cas correspond au mod6le de 1 exciton d6localis6. Si, par contre, l interaction excitonphonon ou la masse effective sont grandes ou la temperature élevée, la raie est de forme gaussienne. Ce cas correspond au mod6le de 1 exciton Ils sont décalés vers les grandes energies par rapport aux maxima des raies. Ce d6calage diminue lorsque le nombre quantique n de la raie augmente car la largeur et la dissymetrie diminuent alors. On obtient ainsi un 6cart de 5 cm1 pour la raie n 2, de 2 cm1 pour la raie h 3, de 0,5 cm1 pour la raie n. 4 et pratiquement nul pour les raies de nombre quantique plus élevé dans le cas de la serie jaune, de 20 cm1 pour la raie n 2 de la s6rie verte. 11 est donc nécessaire de calculer les formules hydrog6noides donnant les nombres d onde des différents niveaux excitoniques a partir des nombres d onde de raies de nombre quantique élevé. Nous avons calcule la formule hydrog6noide de la serie j aune a 4 OK en tenant compte des decalages évalués précédemment : L ancienne formule s écrit : (2) Les auteurs remercient le Professeur Y. Toyozawa pour une discussion très int6ressante au sujet de 1 application de la théorie aux résultats experimentaux obtenus et pour la communication de calculs in6dits lors d un s6minaire en fevrier 1963 a Strasbourg.

5 2014 J. Nous 358 On remarque une variation non n6gligeable de la constante de Rydberg. Conclusion. avons pu tracer avec precision la courbe d absorption des raies excitoniques de la cuprite et 6tudier en detail leur profil. Nous avons compare nos résultats a la theorie de Toyozawa sur le profil des raies excitoniques. Nos résultats sont bien d6crits par cette th6orie relative aux excitons d6localls6s. Nous avons 6ga de la lar lement compare la variation thermique geur des raies observ6e experimentalement avec celle prevue theoriquement. Nous avons enfin determine les energies exactes des niveaux excitoniques qui, comme le montre Toyozawa, ne peuvent etre deduits des energies des maxima des raies que moyennant une correction. Manuscrit regu le 23 mars BIBLIOGRAPHIE [1] TOYOZAWA (Y.), Prog. Theor. Phys., 1958, 19, 124 ; 1958, 20, 53. Phys. Chem. Solids, 1959, 8, 289. [2] ELLIOTT (R. J.), Phys. Rev., 1957, 108, [3] GROSS (E. F.) et KARRYEV (N. A.), Dokl. Akad. Nauk SSSR., 1952, 84, 261 ; 1952, 84, 471. [4] NIKITINE (S.), PERNY (G.) et SIESKIND (M.), J. Physique Rad., 1954, 15, C. R. Acad. Sc., 1954, 238, 67. [5] NIKITINE (S.), GRUN (J. B.) et SIESKIND (M.), J. Phys. Chem. Solids, 1961, 17, 292. [6] NIKITINE (S.), J. Phys. Chem. Solids, 1959, 8, 190 ; Progress in Semiconductors, 1962, 6, 233. [7] NIKITINE (S.), EL KOMOSS (S. G.), REISS (R.) et RINGEISSEN (J.), J. Chim. Phys., 1958, 55, 665. [8] REISS (R.), Thèse, Cahiers de Physique, 1959, 13, 129. [9] GRUN (J. B.), Thèse, Revue d Optique, 1962, 41, 439. [10] WERNICKE (W.), Ann. Phys. Chem., 1870, 19, 132. [11] GRUN (J. B.), SIESKIND (M.) et NIKITINE (S.), J. Physique Rad., 1961, 22, 176. [12] ZVEREV (L. P.), NOSKOV (M. M.) et JA SHUR (M.), Fiz. Tverd. Tela, 1960, 2, 2643.

La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale

La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale Stéphanie Perriere To cite this version: Stéphanie Perriere. La voix en images : comment l

Plus en détail

Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales

Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Natacha Gondran To cite this version: Natacha Gondran. Système de diffusion d information

Plus en détail

statique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017

statique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017 Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique J. Bertrand To cite this version: J. Bertrand. Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique. J. Phys. Theor. Appl., 1874,

Plus en détail

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement

Plus en détail

Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique

Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique E. Bichat To cite this version: E. Bichat. Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique. J. Phys. Theor.

Plus en détail

Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans

Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans l infrarouge à 3µ G. Bosschieter, J. Errera To cite this version: G. Bosschieter, J. Errera. Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans

Plus en détail

L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne

L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité

Plus en détail

Jessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545

Jessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545 Mesures de la charge électrique de gouttelettes d eau ou de solutions salines au cours de processus d évaporation, ou de condensation de vapeur d eau sur elles Jessica Dubois To cite this version: Jessica

Plus en détail

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.

Plus en détail

Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel

Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel Bernard Dauga To cite this version: Bernard Dauga. Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel. Bulletin de l EPI (Enseignement Public et Informatique),

Plus en détail

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes M. Aubert To cite this version: M. Aubert. Famille continue de courbes terminales du spiral

Plus en détail

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Les Champs Magnétiques

Les Champs Magnétiques Les Champs Magnétiques Guillaume Laurent To cite this version: Guillaume Laurent. Les Champs Magnétiques. École thématique. Assistants de prévention, Paris, France. 2014, pp.31. HAL Id:

Plus en détail

Réalisation d un dispositif de mesure de la conductibilité thermique des solides à basses températures

Réalisation d un dispositif de mesure de la conductibilité thermique des solides à basses températures Réalisation d un dispositif de mesure de la conductibilité thermique des solides à basses températures P.L. Vuillermoz, P. Pinard, F. Davoine To cite this version: P.L. Vuillermoz, P. Pinard, F. Davoine.

Plus en détail

Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique.

Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique. Sensibilisation à la sécurité informatique Jean-Luc Archimbaud To cite this version: Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique. lieux en France, 1997, pp.17. École

Plus en détail

Hémomixer Etude des sollicitations du corps d épreuve

Hémomixer Etude des sollicitations du corps d épreuve Hmomixer Etude des sollicitations du corps d preuve TP 2 heures Noms : Prnoms : Classe : Date : Note : /20 Objectifs A l issue de la sance vous devez être en mesure : - de dire de quelle nature est la

Plus en détail

Etude des convertisseurs statiques continu-continu à résonance, modélisation dynamique

Etude des convertisseurs statiques continu-continu à résonance, modélisation dynamique Etude des convertisseurs statiques continucontinu à résonance, modélisation dynamique J.P. Ferrieux, J. Perard, E. Olivier To cite this version: J.P. Ferrieux, J. Perard, E. Olivier. Etude des convertisseurs

Plus en détail

Le libre parcours moyen des électrons de conductibilité. des électrons photoélectriques mesuré au moyen de la méthode des couches minces. J. Phys.

Le libre parcours moyen des électrons de conductibilité. des électrons photoélectriques mesuré au moyen de la méthode des couches minces. J. Phys. Le libre parcours moyen des électrons de conductibilité et des électrons photoélectriques mesuré au moyen de la méthode des couches minces H. Mayer, R. Nossek, H. Thomas To cite this version: H. Mayer,

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Program Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal Languages

Program Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal Languages Program Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal Languages Albert Cohen To cite this version: Albert Cohen. Program Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal

Plus en détail

Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI

Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI Jean-Pierre Dedieu To cite this version: Jean-Pierre Dedieu. Les intermédiaires privés dans les finances royales

Plus en détail

Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud

Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian Muresan, Frédéric Suter To cite this version: Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Peut-on perdre sa dignité?

Peut-on perdre sa dignité? Peut-on perdre sa dignité? Eric Delassus To cite this version: Eric Delassus. Peut-on perdre sa dignité?. 2013. HAL Id: hal-00796705 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00796705 Submitted

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Les déterminants du volume d aide professionnelle pour. reste-à-charge

Les déterminants du volume d aide professionnelle pour. reste-à-charge Les déterminants du volume d aide professionnelle pour les bénéficiaires de l APA à domicile : le rôle du reste-à-charge Cécile Bourreau-Dubois, Agnès Gramain, Helen Lim, Jingyue Xing, Quitterie Roquebert

Plus en détail

Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire

Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire Stéphanie Demonchaux To cite this version: Stéphanie Demonchaux. Étude des formes de pratiques de la gymnastique

Plus en détail

Optimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z.

Optimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z. Page/0 - BUT DE LA MANIPULATION : Optimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z. - LES PLANS D EXPERIENCE -LA METHODE DU DOCTEUR TAGUCHI. La mthodologie Taguchi de mise en oeuvre des plans

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque

Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Grégory Wegmann, Stephen Nozile To cite this version: Grégory

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska, J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Remarques sur l absorption optique des métaux du groupe IB pris en couches très minces pour différentes vitesses de formation

Remarques sur l absorption optique des métaux du groupe IB pris en couches très minces pour différentes vitesses de formation Remarques sur l absorption optique des métaux du groupe IB pris en couches très minces pour différentes vitesses de formation N. Emeric, A. Emeric, R. Philip To cite this version: N. Emeric, A. Emeric,

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure.

Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure Sylvain Meille To cite this version: Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa

Plus en détail

Perspectives du développement de l énergie solaire en U.R.S.S. : conversion thermodynamique en électricité

Perspectives du développement de l énergie solaire en U.R.S.S. : conversion thermodynamique en électricité Perspectives du développement de l énergie solaire en U.R.S.S. : conversion thermodynamique en électricité P.P. Aparissi, I.A. Malevsky, B.V. Tarnijevsky, V.K. Goucev, A.M. Karpenko To cite this version:

Plus en détail

Un SIG collaboratif pour la recherche historique Partie. Partie 1 : Naissance et conception d un système d information géo-historique collaboratif.

Un SIG collaboratif pour la recherche historique Partie. Partie 1 : Naissance et conception d un système d information géo-historique collaboratif. Un SIG collaboratif pour la recherche historique Partie 1 : Naissance et conception d un système d information géo-historique collaboratif Claire-Charlotte Butez, Francesco Beretta To cite this version:

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Spectrophotomètre d absorption à deux faisceaux pour l ultraviolet lointain

Spectrophotomètre d absorption à deux faisceaux pour l ultraviolet lointain Spectrophotomètre d absorption à deux faisceaux pour l ultraviolet lointain M. C. Castex, M. M. P. Monlouis, J. Romand To cite this version: M. C. Castex, M. M. P. Monlouis, J. Romand. Spectrophotomètre

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

La complémentaire santé : une généralisation qui

La complémentaire santé : une généralisation qui La complémentaire santé : une généralisation qui n efface pas les inégalités Thibaut De Saint Pol, François Marical To cite this version: Thibaut De Saint Pol, François Marical. La complémentaire santé

Plus en détail

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)

Plus en détail

INTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE - INFLUENCE DU DIFFUSEUR

INTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE - INFLUENCE DU DIFFUSEUR INTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE - INFLUENCE DU DIFFUSEUR A. Randrianarison, C. Legros To cite this version: A. Randrianarison, C. Legros. INTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE -

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION

PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION Catherine Auxiette, C. Gerard To cite this version: Catherine Auxiette, C. Gerard. PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COG-

Plus en détail

Systèmes de transmission

Systèmes de transmission Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un

Plus en détail

Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder?

Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder? Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder? H. Chevalier, M. Gosselin, Sebastian Costa, Y. Paillet, M. Bruciamacchie To cite this version: H.

Plus en détail

AICp. Vincent Vandewalle. To cite this version: HAL Id: inria-00386678 https://hal.inria.fr/inria-00386678

AICp. Vincent Vandewalle. To cite this version: HAL Id: inria-00386678 https://hal.inria.fr/inria-00386678 Sélection prédictive d un modèle génératif par le critère AICp Vincent Vandewalle To cite this version: Vincent Vandewalle. Sélection prédictive d un modèle génératif par le critère AICp. 41èmes Journées

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Un exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage

Un exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage Un exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage Béatrice Parguel To cite this version: Béatrice Parguel. Un exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage. 50 fiches sur le marketing

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)

Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) 1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240 I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes

Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction

Plus en détail

Mesures et incertitudes

Mesures et incertitudes En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire

Plus en détail

Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants)

Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants) CIVILITE-SES.doc - 1 - Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants) 1 PRÉSENTATION DU DOSSIER CIVILITE On s intéresse

Plus en détail

Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique

Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

Modèle d évaluation quantitative des risques liés au transport routier de marchandises dangereuses

Modèle d évaluation quantitative des risques liés au transport routier de marchandises dangereuses Modèle d évaluation quantitative des risques liés au transport routier de marchandises dangereuses Raphaël Defert To cite this version: Raphaël Defert. Modèle d évaluation quantitative des risques liés

Plus en détail

TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS!

TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! FICHE 1 Fiche à destination des enseignants TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! Type d'activité ECE Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences exigibles du programme de Terminale S TYPE ECE Evaluation

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N 1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Chapitre 1 : Évolution COURS

Chapitre 1 : Évolution COURS Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir

Plus en détail

LES CLAUSES DES CONTRATS DE DETTE DES PETITES ENTREPRISES : CAS DES ENTREPRISES CANADIENNES

LES CLAUSES DES CONTRATS DE DETTE DES PETITES ENTREPRISES : CAS DES ENTREPRISES CANADIENNES LES CLAUSES DES CONTRATS DE DETTE DES PETITES ENTREPRISES : CAS DES ENTREPRISES CANADIENNES Julien Bilodeau, Franck Missonier-Piera, Igor Oliveira Dos Santos To cite this version: Julien Bilodeau, Franck

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

TD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe.

TD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe. TD 11 Les trois montages fondamentaux.,.,. ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe ***exercice 11.1 On considère le montage ci-dessous : V = 10 V R 1 R s v e

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

TPG 12 - Spectrophotométrie

TPG 12 - Spectrophotométrie TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des

Plus en détail

PLAN DE COURS CEGEP DU VIEUX-MONTRÉAL

PLAN DE COURS CEGEP DU VIEUX-MONTRÉAL PLAN DE COURS CONTRÔLE DE LA QUALITÉ 241-B60-VM TECHNIQUE DE GÉNIE MÉCANIQUE 241-06 PONDÉRATION : 2-1-1 Compétence : 012Z Contrôler la qualité d un produit DÉPARTEMENT DE LA MÉCANIQUE CEGEP DU VIEUX-MONTRÉAL

Plus en détail

Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites

Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites M. Ropital, T. Rogaume, D. Halm Institut Pprime, UPR 3346 CNRS, ISAE-ENSMA, Université de

Plus en détail

Comment sauvegarder ses documents

Comment sauvegarder ses documents Comment sauvegarder ses documents Diffusé par Le Projet Documentation OpenOffice.org OpenOffice.org Documentation Project How-To Table des Matières 1. Préliminaires...3 2. Enregistrer un nouveau document...4

Plus en détail

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP. Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure

CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure Introduction CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - La mesure d une résistance s effectue à l aide d un multimètre. Utilisé en mode ohmmètre, il permet une mesure directe de résistances hors

Plus en détail

Chapitre 7 Les solutions colorées

Chapitre 7 Les solutions colorées Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009

CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009 Société en commandite Gaz Métro CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009 Taux de la contribution au Fonds vert au 1 er janvier 2009 Description Volume Coûts Taux 10³m³ 000 $ /m³ (1) (2)

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail