Projet innovateur en soins continus : Amélioration de la qualité et diminution des coûts

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1 Projet innovateur en soins continus : Amélioration de la qualité et diminution des coûts Par Renée Massé, inf. clinicienne chargée de projet et Lucie Lemonde, infirmière, équipe de soutien SC PLAN DE LA PRÉSENTATION Introduction But du projet Objectifs du projet Démarche d implantation Résultats Recommandations INTRODUCTION BREF RAPPEL DU CONTEXTE En , l augmentation constante des coûts liés aux SC, et les audit sur la qualité des soins ont mis en évidence la nécessité de revoir ces pratiques. Rapport UETMIS de juillet 2012 La DRC a donc décidé en 2013 de mettre sur pied un comité de projet visant l amélioration des SC 1

2 BUT DU PROJET VISER L EFFICIENCE EN AMÉLIORANT LA QUALITÉ DES SOINS POUR LES PATIENTS PRÉSENTANT: Troubles cognitifs Comportements perturbateurs Risques tels que: interférence aux soins, chute, fugue, agressivité, suicide OBJECTIFS DU PROJET Optimiser et soutenir le processus de travail sur le plan de l efficacité et de la sécurité Offrir des soins continus de qualité Offrir des soins sécuritaires Miser sur l innovation et l apprentissage Stabilisation ou diminution des coûts reliés aux SC Démarche 2

3 Démarche Phase 1 : Choix du modèle de SC Recenser des écrits et analyser de informations Phase 2 : Sélectionner un modèle de SC via le comité SC Réviser les procédures de gestion Diffuser et uniformiser les méthodes et procédures Réévaluer + améliorer en continu les outils de SC Phase 3: Volet formation Implanter par hôpital selon un chronogramme Démarche Phase 4 : Déployer les audits par l équipe de soutien Plan d information des résultats aux professionnels Phase 5 : Plan de pérennité Former des AIC avec outils aide - mémoire Informer coordonnateurs de leur rôle et des nouveaux outils DÉMARCHE PRÉ IMPLANTATION Résultats probants et benchmarking En Australie, Angleterre, États-Unis Du rapport UTEMIS Dans 2 hôpitaux de Québec Hôpital l Enfant-Jésus du CHUQ Institut universitaire en santé mentale de Québec 3

4 Le succès du projet des SC dans les deux hôpitaux de Québec Repose sur: Les SC ne relèvent plus d une prescription médicale Le transfert des responsabilités aux unités de soins La mise en place d une ressource dédiée Résultats probants Les SC sont utilisés comme pratique courante dans les milieux de soins A ce jour, les résultats disponibles ne permettent pas de se prononcer sur l efficacité ou la non- efficacité de l utilisation des SC L utilisation des SC dans leur forme actuelle, (surveillance) ne démontre pas une diminution des risques ou des comportements problématiques.* 1,3,6 Résultats probants Lorsque les SC sont utilisés seulement sous forme de surveillance, il s apparentent à une forme de contrôle * 3 L utilisation des SC et des mesures alternatives devrait se faire parallèlement avec des démarches d analyse sur le plan clinique, organisationnel et environnemental * 3 4

5 Améliorer la sécurité SC Identifier et comprendre les facteurs de risque Faire une évaluation complète et globale Réévaluer systématiquement à chaque quart de travail * 5 Contrer les difficultés rencontrées Leadership infirmier Évaluation du besoin de SC (continuer, adapter ou cesser le SC) Communication intra-équipe et interprofessionnelle Vision et compréhension et terminologie du SC qui diffèrent Documentation des SC Complétion des documents incomplète * 4 DÉMARCHE PRÉ- IMPLANTATION Portrait des SC au CHUM Consultation des employés Nos résultats versus les résultats probants Nos difficultés Consultation des patients Nos résultats versus les résultats probants Nombre de SC Qualité des SC Portrait des SC au CHUM pré-implantation Consultations avec les employés Points de vue identiques aux résultats probants Crainte pour leur propre sécurité Aspect ennuyeux et répétitif de la tâche Inconforts liés à l aspect intrusif Manque de formation 5

6 Portrait des SC au CHUM pré-implantation Consultations avec les employés Difficultés spécifiques Divergence dans la conception du SC Manque de connaissance Sur les outils déjà en place Sur les rôles des différents intervenants Communication intra-équipe Leadership AIC et infirmier Portrait des SC au CHUM pré-implantation Consultations des patients Points de vue différents des résultats probants Pas d Inconforts reliés au caractère intrusif / violation de la vie privée Pas d augmentation de la détresse et de la désorganisation parfois en lien avec le manque d information sur les raisons des SC Provoque rarement des émotions telles que: anxiété, colère, frustration, diminution de l estime de soi, désespoir, manque d espace (claustrophobie), etc. (Selon Bélanger, Hamel, Coulombe et Rhainds, (2012)- tiré de Cleary et al.(1999), Ashaye Portrait des SC au CHUM pré-implantation Portrait des SC à HND Accès aux SC actifs via Logibec (dossier médical) Rapport des SC actifs demandés par les unités Moyenne de SC par jour en mai SC / jour (jusqu à 17 SC/ jr) 6

7 Portrait des SC au CHUM pré-implantation Qualité des SC Création d un formulaire d évaluation de la qualité des SC jumelant les critères de l OIIQ et ceux des audits du CHUM en 2010 Approuvé par le comité SC Offrir des SC de qualité CRITÈRES DE BASE Évaluation initiale complétée Mesures alternatives tentées avant ou après le SC Notes au dossier en lien avec le risque Description des manifestations justifiant le SC PTI ajusté avec le risque, la décision et les directives aux PAB / inf / famille Plan de travail remis au PAB Grille d'observation complétée 7

8 Évaluation des critères de qualité de base HND pré-implantation Évaluation initiale Mesures alternatives Manifestation Notes/risque PTI FAIT PTI/risque PTI/directive PTI/décision Plan de travail Grille d'observation 0 Mai Juin 2013 DÉMARCHE D IMPLANTATION Rechercher l implication des acteurs clés Diffusion du projet par des rencontre avec: Les ICU Les ICU avec les AIC de chaque unité Les coordonnateurs Implantation projet SC au CHUM En deux volets: Administratif : Budgétisation, mesures d intéressement et bureau de projets Clinique : Équipe de soutien, évaluation et formation 8

9 Volet administratif Mesure d intéressement en fonctions des cibles par unités Volet administratif UN PROJET INNOVATEUR VISANT L ÉMULATION DES ÉQUIPES Les sommes économisées en soins continus seront attribuées : 30% de l économie peut être utilisé par l unité pour un projet d amélioration Ce montant est conditionnel au dépôt d un projet jugé satisfaisant par le bureau de projet 30% retourne au bureau de projet pour financer des projets cliniques similaires pour les unités qui utilisent peu les SC ou sont déjà performante à ce niveau et pour l autofinancement de l équipe soutien des SC 40% vont à la direction des finances Volet clinique Équipe de soutien 9

10 Rôle de l équipe de soutien Fournir un service de suivi individualisé lors d un SC Accompagner, soutenir Les AIC, infirmières, I.A. et les PAB Encadrer la pratique Veiller au respect de la procédure de gestion des SC Rôle de l équipe de soutien Évaluer et mesurer la qualité des SC selon nos critères Former les équipe; À la nouvelle vision Sur le leadership infirmier Aux outils disponibles Aux interventions souhaitées Volet clinique 10

11 Volet clinique DIFFUSER LA VISION Harmoniser et diffuser la vision des SC SC = Soin intensif pas seulement une surveillance Communication intra-équipe et interdisciplinaire SC = Soin actif Se questionner sur les stratégies aidantes Rechercher les causes Faire des activités avec le patient visant l autonomie Créer un lien personnalisé Donner des soins individualisés pour maintenir / retrouver l autonomie aux patients ayant des difficultés de comportement ou présentant des risques tel; fugue, errance, interférence aux soins, chute, agressivité, suicide.. L infirmière évalue le comportement, les réactions physiques et psychologiques du patient. Recherche les causes et les mesures alternatives. Tente d obtenir la collaboration du pt L infirmière discute avec AIC pour améliorer la compréhension de l état du pt et se questionne sur les stratégies aidantes Utilise son leadership pour guider l équipe 11

12 Pourcentage Le PAB fait des activités avec le patient en utilisant les cinq sens afin qu il maintienne /retrouve son autonomie Socialise avec le patient afin de créer un lien personnalisé Ex. : lire le journal et discuter d un sujet en observant sa mémoire, jouer aux cartes, faire parler des moments agréables du passé, (intérêts professionnels, loisirs, culinaire ) Le PAB note sur la grille d observation toutes les informations pertinentes permettant : De comprendre les causes des comportements à risque Les événements survenus avant La description des faits, l heure, le lieu, les interventions aidantes, celles qui augmentent la crise, les réactions du patients Communique à l infirmière l évolution du risque et transmet tous autres changements RÉSULTATS Moyenne globale de la qualité à HND Temps 0 / Audit Temps 0 (P1 2013) 40 Audit 9 mars Temps 0 (P1 2013) Audit 9 mars 2015 Période 12

13 Pourcentage Critères de la qualité à HND Temps 0/Audit Temps 0 (P1à P3 2013) Audit 9 mars Moyenne globale de la qualité à HDM Temps 0 / Audit Temps 0 (P1 2014) 40 Audit 10 mars Temps 0 (P1 2014) Audit 10 mars 2015 Période 120 Critères de la qualité à HDM Temps 0/Audit Temps 0 (P1 2014) Audit 10 mars

14 Pourcentage Moyenne globale de la qualité à HSL Temps 0 / Audit 74, , , ,5 71 Temps 0 (P6 2014) Audit 11 mars , ,5 69 Temps 0 (P6 2014) Audit 11 mars 2015 Période 120 Critères de la qualité à HSL Temps 0/Audit Temps 0 (P6 2014) Audit 11 mars 2015 Communication Amélioration perçu par les AIC suite au projet PAB: 77 % Recherche l information en lien avec le risque Transmission d observations à l infirmière et à l AIC La communication avec le patient pour créer un lien personnalisé De la vigilance Infirmière: 68 % Consulte les collègues/famille avant et après la mise en place du SC Sur son leadership auprès du PAB. AIC: 100% La communication, la réévaluation de la pertinence du SC L exploration des mesures alternatives possibles. 14

15 Communication Amélioration perçu par les AIC suite au projet PAB: 77 % Recherche l information en lien avec le risque Transmission d observations à l infirmière et à l AIC La communication avec le patient pour créer un lien personnalisé De la vigilance Infirmière: 68 % Consulte les collègues/famille avant et après la mise en place du SC Sur son leadership auprès du PAB. AIC: 100% La communication, la réévaluation de la pertinence du SC L exploration des mesures alternatives possibles. Heures soins continus depuis Évolution des coûts depuis

16 Comparaison des coûts en SC et En , économie brut de $ En , économie réel de $ en tenant compte du coût des infirmières en soutien aux SC En , économie brut de xxxxxxx$ La cible pour économie estimée à $ INNOVATIONS Innovations Mesure d intéressement par unités selon les cibles Un projet innovateur visant l émulation des équipes une des coûts et/ou une de la qualité des SC rend éligible à un % des gains qui sera remis aux équipes pour un projet d unité Information sur les SC regroupés: carrousel/cartable Réviser, créer et regrouper tous les outils utiles pour les SC Documents Aide-mémoire AIC, infirmière, PAB Exemple de PTI sur les risques Guide décisionnel pour l utilisation SC ou MC 16

17 RÔLE DE L AIC : UNIFORMISER LA VISION ET FAIRE CONNAÎTRE LES OUTILS DE SC Un soin continu est un soin intensif, pas seulement une surveillance Dormir, lire et utiliser le cellulaire pour des fins personnelle ne peut pas être toléré. L infirmière doit préciser le niveau de surveillance requis pour le SC sur le plan de travail ex: Surveillance constante avec ou sans suivi à la toilette ou q. 15 min., q. 30 min., avec PAB au corridor ou surveillance à distance (observation discrète sans être vu par pt) La personne qui fait le SC doit faire un soin intégral selon sa catégorie d emploi Le SC est un soin actif, faire des activités selon la capacité du patient permettant ainsi d évaluer l évolution du risque Le SC est un soin personnalisé. Le PAB doit; Socialiser avec le patient afin de créer un lien personnalisé S informer sur l histoire de vie du patient (peu diminuer l angoisse ) Comprendre et chercher le besoin derrière le comportement perturbateur LES OBSERVATIONS DU PAB DOIVENT CONTENIR : Les soins du patient et ses réactions Ex: bain, marche, activités Les comportements observés en lien avec le risque Ce qui a précédé le comportement à risque Les interventions faites par l équipe (autre que l infirmière) La réaction du patient aux interventions faites Ce qui aide à calmer la situation ou la crise Ce qui augmente la situation ou la crise Les progrès ou la détérioration observés À chaque fois qu il y a un comportement à risque le PAB doit faire des observations. 17

18 Réévaluation régulière de la situation clinique Dépistage de nouveaux facteurs de risque Guide de décisionnel pour l utilisation du soin continu (SC) ou d une mesure de contention (MC) Interventions préventives universelles Évaluation initiale rigoureuse ATCD Identification du ou des problèmes Identification des causes, risques et besoins Environnement, réseau social, mécanismes adaptation, etc. Dépistage des facteurs de risque ou des risques actuels Contribution : Patient Famille / proche Équipe PTI Facteur de risque présent = situation planifiée Discussion interdisciplinaire Interventions et Mesures alternatives Résultats non concluants avec les mesures alternatives = Décision d utiliser un SC ou une MC Soin continu Indication : Modalité intensive de traitement et de surveillance lors d un risque Garder la mobilité du patient Diminuer le comportement perturbateur Colliger des données pertinentes pour améliorer l évaluation de la condition de la personne Risques liés à un SC : Violence envers le personnel assurant le SC (ex : lance des objets) Augmentation de l anxiété Atteinte à l intimité / dignité Éléments à considérer pour la décision Risques liés à une MC Physiques : Immobilité, perte de masse osseuse et musculaire, plaie de pression, incontinence, constipation, déclin fonctionnel et de l autonomie, strangulation, séjour prolongé (infection, dénutrition, neuropathie), inconfort, délirium Psychologiques : Détresse, frustration, anxiété, agitation, dépression, peur, diminution de l estime de soi Mesure de Contention Indication : Danger réel et imminent d infliger des blessures à lui-même ou autrui Contre-indications : Obésité significative Problème respiratoire ou cardiaque Intoxication Besoin de réadaptation ou risque de déconditionnement Convulsions Muet et/ou sourd Trama psychologique de violence Agitation extrême (personne âgée, tx anticoagulotérapie, risque de blessure) Offrir des SC de qualité CRITÈRES DE QUALITÉ AJUSTÉS Notes inf. en lien avec le risque Mesures alternatives avant et après SC Implication de la famille inscrite Évaluation de la condition physique et Ψ q 8 h Note selon le PAB Justifiant la poursuite ou cessation du SC 18

19 PTI Complété avant le début du SC Ajusté avec le risque, la décision et les directives aux PAB/inf./famille Réévaluation de l'état physique et mentale Niveau de surveillance requis Mesure alternative et activités visant l'autonomie Plan de travail Reçu et ajusté. Explications données par l'inf. Les risques et les problèmes de santé associés Niveau de surveillance requis (constant/15-30 min) Soins, activités pour maintenir l'autonomie Directives spécifiques selon PTI Grille d'observation Comportement et l'évolution du risque Soins, activités et réactions en lien avec le risque Note indiquant ce qui augmente ou diminue la crise Note justifiant la poursuite ou cessation du SC Rapport donné à l'inf. Les grilles sont regroupées 19

20 Lorsque les soins continus sont cessés Noter la date et l heure de la cessation dans le PTI et au dossier Aviser la famille, si celle-ci n a pu participer à la décision Remettre toutes les grilles d observation à votre chef d unité PÉRENNITÉ Pour maintenir la pérennité du projet des SC, nous avons : Donné des formations aux AIC sur leurs rôles afin de maintenir la qualité des SC et sur la communication pour obtenir la collaboration du personnel. Fait des rencontres avec les coordonnateurs et les conseillères pour uniformiser la pratique, transmettre les nouveaux outils de SC pour le suivi de l infirmière et soutenir les AIC dans leur rôle. Rencontré la responsable de l EV et les conseillères responsables de l intégration des employés afin d avoir un discours uniforme sur les rôles et les outils en SC. 20

21 IMPACTS SECONDAIRES ET IMPRÉVUS Amélioration de la qualité plus large que visé par le projet. Difficulté à rencontrer les employés sur les heures de travail, autant pour les formations de groupe que pour les suivis individuels. Grand besoin des PAB de ventiler sur la gestion des SC. Comité de documentation non implanté remplacé par comité ad hoc pour la révision, la création et la validation des outils. Conséquence, certains outils ont été révisés par le comité mais n ont pas été officialisés. RECOMMANDATIONS 21

22 Nous recommandons un soutien mobile auprès des AIC afin de maintenir la qualité des SC. Malgré notre disponibilité, les AIC ou les ICU appellent en dernier recours l équipe de soutien même si elles ont besoin d aide. Par compte lorsque nous circulons sur les étages, notre soutien est réclamé et elles sont ouvertes à discuter des situations cliniques. Notre présence fait un rappel des bonnes pratiques. Nous recommandons de débuter avec les critères de qualités ajustés pour l efficacité du projet SC Nous recommandons l approche un à un car elle est appréciée par les équipes et elle facilite le lien de confiance Elle diminue la résistance aux changements, ce qui amène un impact direct sur l amélioration de la pratique Le porteur de projet devrait être connu par les milieux pour faciliter la collaboration des équipes Pour l ICU une collaboration étroite avec la gestion des finances pour être informé de l utilisation réel des SC et des coûts qui s y rattache PÉRENNITÉ 22

23 Pour maintenir la pérennité du projet des SC, nous avons : Donné des formations aux AIC sur leurs rôles afin de maintenir la qualité des SC et sur la communication pour obtenir la collaboration du personnel. Fait des rencontres avec les coordonnateurs et les conseillères pour uniformiser la pratique, transmettre les nouveaux outils de SC pour le suivi de l infirmière et soutenir les AIC dans leur rôle. Rencontré la responsable de l EV et les conseillères responsables de l intégration des employés afin d avoir un discours uniforme sur les rôles et les outils en SC. 23

24 La pratique des soins continus dans une perspective d amélioration de la qualité des soins et services David Gaulin, co-gestionnaire - santé mentale et médecine des toxicomanies, DRC Renée Massé, infirmière clinicienne, chargée de projet: volet clinique, DRC Lucie Lemonde, infirmière, projet: volet clinique, DRC Fatima Guarrab, infirmière, projet: volet clinique, DRC Priscille Giroux, infirmière clinicienne,, projet: volet clinique, DRC Maryse Parkinson, infirmière clinicienne,, projet: volet clinique, DRC Mai 2014 MIEUX INTERVENIR LORS D UN SOIN CONTINU Formation pour les PAB 1 24

25 PÉRIODE 12 (8 février - 7 mars 2015) 2015 HND SUIVI QUOTIDIEN SC Unités Soins continus par étage Étages 12-févr 13-févr 16-févr 17-févr 18-févr 09-févr 10-févr 11-févr 19-févr 20-févr 06-mars TOTAL Période 12 2 G NOUVEAU Risque suicide Risque chute Risque fugue Risque agression Risque errance Interf. Au trait N/D GP / OGE AB 0 NOUVEAU 0 Risque suicide Risque chute Risque fugue Risque agression Risque errance Interf. Au trait N/D GP / OGE NOUVEAU CESSÉ Nuit seul TOTAL pt/sc Total pab/sc Références *1 CHUM (Mars 2011) Évaluation de la qualité des processus de soins : Soins continus. Sommaire des résultats *2 Bjorklund, P. et La Page Rausch, D (2010), Deacreasing the cost of constant observation, Jona vol 40,no 2,p *3 Bélanger, Hamel, Coulombe et Rhainds, (2012). Évaluation de la surveillance constante et des technologies d aide à la surveillance comme mesures alternatives à la contention et à l isolement chez des adultes hospitalisés ou en centre d hébergement - Rapport d évaluation. *4 Jayaram, G., Sporney H.,Penticone, P.( 2010). The Utility and Effectiveness of 15-minute Checks in Inpatient Settings. Psychiatry (Edgmont). 7(8): *5 Chang-Yi Yin, Huey-Ming Tzeng, & Grunawalt, J. (2008) Effective assessment of use of sitters by nurses in inpatient care settings, Jan original research, p *6 Stewart, D., Bowers, L., Warburton, (2009). Constante observation spéciale et automutilation dans les salles psychiatriques aigus : une analyse longitudinale. City University, Londre 25

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