OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer
|
|
- Claudine Roberge
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer IFSI Croix Rouge Dr Coulet Olivier Service ORL et chirurgie cervico-faciale Hôpital Laveran
2 Cavité buccale / oropharynx
3 Rappel anatomique rhinopharynx oropharynx hypopharynx larynx
4 Oropharynx Pathologie = angines Infections des amygdales Aigues ou chroniques
5 Grosses amygdales
6 Angines aigues 5 grands types angines érythémateuses, angines érythémato-pultacées, angines à fausses membranes, angines ulcéreuses et ulcéro-nécrotiques, angines vésiculeuses
7 Angines aigues Angines érythémateuses (rouges) -Virales +++ (pharyngite, rhinite associée) 70-80% -Bactériennes: très rouges, très douloureuses, évolution longue, anomalies à la prise de sang -Fièvre, asthénie, adénopathies
8 Angines aigues Test détection rapide Recherche du steptocoque β hémolytique du groupe A = bactérie Nécessite antibiotiques
9 Angines aigues Erythémato-pultacées (blanches) -Bactériennes +++ Strept β hémolytique A Mais peuvent aussi être virales : test de détection rapide
10 Angines aigues Angines pseudo-membraneuses (fausses membranes) - Attention: diphtérie Membranes adhérentes, grosse altération état général, Patient non vacciné, immigré - Mononucléose infectieuse Membranes non adhérentes, adolescent (maladie du baiser), adénopathies, éruption cutanée, atteinte viscérale (foie, rate)
11 Angines aigues Ulcéreuses et ulcéro-nécrotiques Angine de vincent Unilatérale Nécrotique Amygdale souple Germe particulier: fusospirillaire
12 Angines aigues Ulcéreuses et ulcéro-nécrotiques Chancre syphilitique Ulcération unilatérale, indolore, adénopathie associée, amygdale indurée, population à risque MST Ulcérations bilatérales Leucémies, agranulocytoses (médicamenteuses)
13 Angines aigues Angines vésiculeuses Virales: herpangine, primo-infection herpétique
14 Complications angines aigues Locales: Phlegmon periamygdalien Abcès collecté autour de l amygdale Voix nasonnée Difficulté à ouvrir bouche (trismus) Dysphagie +++ hypersialorrhée Bombement pilier antérieur Amygdale refoulée en arrière
15 Complications angines aigues Générales: Septicémies Rhumatisme articulaire aigu (polyarthrite,cardite) par réaction immunitaire au strepto A Glomérulo-néphrite, insuffisance rénale d origine immunitaire liée au strepto A
16 Angines chroniques Amygdales cryptiques, caséuses Mauvaise haleine
17 Indications chirurgicales de l amygdalectomie o Angines récidivantes : 5-6 par an o Obstruction des voies aériennes o A distance phlegmon périamygdalien
18 amygalectomie Anesthésie générale Ambulatoire possible (très encadrée, information+++) Hospitalisation courte (24-48 h)
19 Suites amygdalectomie Douleurs +++ Plus importantes chez les adultes Traitement antalgique précoce (ne pas attendre que la douleur s installe) Anti-inflammatoires (corticoïdes, antiinflammatoires non stéroïdiens) Suivi EVA +++ Otalgie réflexe
20 Complications amygdalectomie Hémorragie +++ Dans les 24 h A la chute escarre (env 1 semaine) Plus fréquentes chez adulte Peuvent nécessiter reprise chirurgicale Information +++, attention chirurgie ambulatoire température
21 Soins après amygdalectomie Principes: éviter saignement, soulager douleur, ne pas irriter, donner fiche au patient: J0: aucune alimentation, sucer des glaçons l après midi J1: alimentation liquide, froide = lait, yaourt, crème sucrée, glace, sirop fruit eau glacée J2-J3 : alimentation molle, tiède ou froide = bouillies, laitages, tapioca, semoule, flan, jambon mixé, donner à boire fréquemment des boissons froides, non acides, non irritantes, pas de soda J4-J10: texture normale, Chocolat, lait sucré froid avec pain de mie, potage tiédi, purées, jambon, viande, poisson haché fin, riz, pâtes, petits suisses, yaourt, compotes de fruits A partir J10 alimentation normale
22 Information amygdalectomie Risques de saignement Rester au calme, pas d activités physiques, arrêt travail au moins 1 semaine voire 2 Douleurs Otalgies réflexes Enduit blanchâtre pendant 8-10 j Pas paniquer si s alimente mal, insister sur hydratation
23 Pathologie pharynx et larynx rhinopharynx oropharynx hypopharynx larynx
24 Pathologie rhinopharynx ( cavum) Chez l enfant: hypertrophie végétations adénoïdes pathologie du petit enfant ( < 6 ans) Nez bouché, respiration buccale, ronflements, rhinites à répétition Otites par obstuction de l orifice de la trompe eustache
25 Pathologie rhinopharynx ( cavum) Otites par obstuction de l orifice de la trompe eustache
26 Recherche hypertrophie adénoïdienne Examen: remontant le voile, miroir, fibroscopie, au toucher digital Auparavant: Radiographies du cavum Auparavant: Radiographies du cavum de profil
27 Indication adénoïdectomie Otite séreuse persistante (au moins supérieur mois) Importante gêne respiratoire (ronflements, respiration buccale) Souvent associée ( aérateurs trans tympaniques, amygdalectomie)
28 Suites adénoïdectomie En général très simples Éviction scolaire 1 3 jours Ronfle encore quelques temps après en raison oedeme (prévenir parents)
29 Pathologie pharynx et larynx rhinopharynx oropharynx hypopharynx larynx
30 Pathologie hypopharynx Manifestations du reflux gastro oesophagien irritations de gorge Brûlures Toux chronique Infections à répétition
31 Pathologie larynx rhinopharynx oropharynx hypopharynx larynx
32 Pathologie larynx Cordes vocales
33 Pathologie larynx Laryngites : traumatiques: Allergiques: oedeme quincke Infectieuses:
34 Pathologie larynx Laryngites : infectieuses Peuvent être impressionnantes chez le petit enfant par la dyspnée laryngée ( gêne et tirage à l inspiration) Forme très particulière et grave = épiglottite = abcès de l épiglotte Enfant ne peut avaler salive, bave, fièvre +++, position assise ne pas allonger enfant, ni regarder abaisse langue
35 Pathologie larynx Tumeurs benignes: nodules, kystes, polypes des cordes vocales nodules kyste polype
36 Traumatismes du larynx Traumatismes fermés Traumatismes ouverts
37 Traumatismes fermés du larynx Étranglements, pendaisons Chocs directs (sport, coup de pieds, accidents de voiture)
38 Traumatismes ouverts du larynx Plaies du cou Plaies par arme blanche Plaies par balle
39 Traumatismes du larynx Risques: respiratoires +++, peuvent apparaître secondairement Lésions associées: Hémorragiques: vaisseaux si plaie Neurologiques: rachis
40 Traumatismes du larynx Signes cliniques: (1 ou plusieurs) Dyspnée Dysphagie Dysphonie Emphysème sous cutané (traumatisme fermé), plaie soufflante Douleurs spontanées, au toucher, à la déglutition (odynophagie)
41 Traumatismes du larynx Bilan: Nasofibroscopie:contrôler anatomie et mobilité du larynx Scanner pour rechercher des fractures cartilagineuses
42 traitement Grave: détresse respiratoire ou lésions importantes Trachéotomie Chirurgie: calibrage, réparation Pas grave: Surveillance Traitement médical : antalgiques, anti-inflammatoires Toute plaie perforante est explorée chirurgicalement
43 cancers des voies aéro-digestives supérieures
44 Voies aérodigestives supérieures (VADS) Regroupent les cavités aériennes et digestives: Cavité buccale Fosses nasales Sinus Pharynx Larynx Bouche oesophagienne
45 Rappel anatomique Carrefour aéro-digestif Axe respiratoire Axe digestif
46 Rappel anatomique
47 Rappel anatomique vue postérieure larynx épiglotte Os hyoïde Repli ary épiglottique Cartilage thyroïde Sinus piriforme Muscles aryténoïdiens Muscles aryténoïdiens Muscles cricoïdiens Cartilage cricoïde trachée
48 Rappel anatomique coupe frontale du larynx BASE DE LANGUE EPIGLOTTE Muscle thyro- aryténoïdien Cartilage thyroïde CORDE VOCALE Muscle crico aryténoïdien Muscle crico thyroïdien cartilage cricoïde Bande ventriculaire Muscle thyro-hyoïdien Ventricule laryngé Muscle vocal Ligament vocal GLOTTE Glande thyroïde TRACHEE
49 Rappel anatomique VUE SUPERIEURE DU LARYNX Epiglotte Bande ventriculaire Corde vocale Aryténoïde Commissure postérieure
50 Cancers des vads en France Problème de santé publique En europe la France est le pays avec taux d incidence le plus élevé (hommes et femmes)
51 Cancers des vads en France Même si diminution incidence depuis ème cancer chez l homme (16855 nouveaux cas par an) 5 ème cause de mortalité masculine 6309 décès par an (chiffres: revue santé publique 2003)
52 Cancers des vads Distinguer les cancers des fosses nasales, sinus et rhinopharynx Cancers cavité buccale, oropharynx, hypopharynx, larynx et bouche oesophagienne
53 Cancers sinus Retenir adénocarcinome de l ethmoïde Cancer rare Travailleurs du bois (maladie professionnelle) Obstruction nasale, saignements de nez, douleurs Extension vers la base du crâne
54 Pathologie rhinopharynx ( cavum) Chez l adulte: ( en fait à tout age) cancer du cavum = Carcinome indifférencié du rhinopharynx plus particulièrement patient d asie sud est et du maghreb Pas de lien avec tabac et alcool Infection virale constante associé virus Epstein Barr
55 Pathologie rhinopharynx ( cavum) cancer cavum Signes cliniques: cou: Adénopathies cervicales ( ganglions) car souvent diagnostic tardif Oreille: surdité unilatérale Nez: Obstruction nasale, épistaxis Nerfs: douleurs (névralgies, atteintes nerfs craniens)
56 Pathologie rhinopharynx ( cavum) cancer cavum
57 Pathologie rhinopharynx ( cavum) cancer cavum scanner irm
58 Cancers cavité buccale, oropharynx, hypopharynx, larynx et bouche oesophagienne Cancers épidermoïdes Facteurs de risque: tabac et alcool +++
59 Cancers cavité buccale, oropharynx, hypopharynx, larynx et bouche oesophagienne Signes d alerte Les 4 d : douleur, dysphagie, dyspnée, dysphonie Amaigrissement Adénopathie cervicale Attention: otalgie réflexe +++, odynophagie
60 Cancers cavité buccale, oropharynx, hypopharynx, larynx et bouche oesophagienne Penser au cancer d autant qu il s agit d un patient d age mûr (>50 ans), alcoolo-tabaggique, apparition des signes depuis + de 3 semaines
61 Cancers cavité buccale Lésion ulcérée Lésion bourgeonnante Douleurs alimentention et à la traction de la langue
62 Cancer oropharynx Attention aux lésions amygdaliennes unilatérales chroniques (3> semaines) = cancer Odynophagie (douleur mangeant) Otalgie réflexe +++ Adénopathies cervicales
63 cancer hypopharynx (sinus piriforme) Odynophagie (douleur mangeant) Dysphagie (gêne pour avaler) Dysphonie (gêne pour parler) Otalgie réflexe +++ Adénopathies cervicales
64 Pathologie hypopharynx scanner irm
65 cancers larynx Fumeurs +++ Corde vocale Tumeur du larynx étendue Dysphonie Dyspnée au stade évolué
66 Bilan d extension extension locale Régionale (ganglions) Général: métastases pulmonaires, hépatiques, cérébrales, osseuses, autres Mais aussi chercher d autres cancers simultanés avec les mêmes facteurs de risques (cancers synchrones) VADS, poumon,vessie
67 Bilan d extension Classification TNM T = tumeur I, II, III, IV (x si non classable) N= ganglions I, II (a,b,c), III (x si non classable) M= métasatases 0 ou 1 (x si non classable)
68 Bilan d extension Extension locale tumeur: Endoscopie sous anesthésie générale plus biopsies pour examen anatomopathologique Fibroscopie bronchique et oesogastrique (recherche de lésions synchrones) Scanner cervical parfois IRM (tumeur et adénopathies) et thoracique (métastases) Echographie hépatique ou scanner (métastases) PET scanner selon les cas
69 Annonce et décision thérapeutique dispositif d annonce du diagnostic 2 consultations médicales annonce et proposition thérapeutique 1 consultation paramédicale par infirmière de soins formée Décision en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP): Chirurgien ORL Radiothérapeute chimiothérapeute Discussion de la stratégie la plus adaptée en fonction extension locale, régionale (adénopathies) et générale (métastases), état général du patient et de son âge
70 Moyens thérapeutiques curatifs Chirurgie, Radiothérapie, Chimiothérapie Souvent associés
71 Radiothérapie externe principe: les cellules tumorales plus sensibles que les cellules saines qui vont récupérer, brûlure par rayons X Après la chirurgie En traitement seul pour les lésions très limitées (externe ou curithérapie) En association avec la chimiothérapie
72 Radiothérapie externe Pendant le traitement Brûlures peau (crème) Brûlures muqueuses= mucites (bains de bouche, coca cola) mycoses Séquelles Sécheresse bouche (atrophie des glandes salivaires) Oèdemes Radionécroses (cartilages, mandibule)
73 Radiothérapie externe Avant le traitement: Nécessite calculs dose et volume irradié (centrage) par le radiothérapeute Remise en état buccodentaire (à cause asialie avec risque caries accru)
74 Radiothérapie externe Nécessite calculs dose et volume irradié (centrage) par le radiothérapeute Délivrance 2 gray par séance, 1 séance par jour, 5 j sur 7, 10 gray par semaine Sur tumeur 70 Gy (7 semaines) Sur les aires ganglionnaires 50 Gy
75 chimiothérapie Principe: produit utilisé par voie veineuse qui va enrayer la division cellulaire en bloquant certaines étapes (synthèse de l ADN, de l ARN, synthèse protéines) Effets secondaires: s attaquent aux cellules de l organisme en division : chute cheveux, diminution des cellules sanguines, effets digestifs par destruction des cellules digestives Améliorer la tolérance: injections par cures ou continues par pompes
76 chimiothérapie pour les cancers des VADS la chimiothérapie ne peut guérir à elle seule le cancer Association avec radiothérapie ( sensibilise cellules aux rayons) À visée palliative
77 chimiothérapie Chimiorésistance Cellules cancéreuses développent des mécanismes de défenses face à la chimiothérapie Implique changement de molécule
78 chimiothérapie Produits utilisés Cysplatyl 5FU = le standard Taxotère = souvent 2 ème ligne Erbitux Anticorps spécifique des cellules tumorales épidermiques
79 chimiothérapie Mise en place d un site implantable Attention insuffisance rénale (cysplatyl) Attention insuffisance cardiaque 5 FU
80 chimiothérapie Effets en ORL: Mucite: destruction des cellules muqueuses, brûlures en mangeant, nausées, mycoses, infections locales, faire des bains de bouche Toxicité cutanée erbitux
81 Moyens thérapeutiques adjuvants Traitement de la douleur (recours facile à la morphine) Mise en place d une gastrostomie pour faciliter l alimentation Soutien psychologique
82 chirurgie Principe enlever toute la tumeur et les ganglions (curage ganglionnaire)
83 chirurgie Résécabilité: la tumeur peut elle être enlevée avec des marges satisfaisantes? Opérabilité: état général du patient, séquelles prévisibles Notion d atteinte fonctionnelle: phonation, déglutition, respiration Rançon esthétique
84 Chirurgie = traitement des aires ganglionnaires Enlever les métastases présentes À visée préventive C est le curage ganglionnaire
85 Groupes ganglionnaires
86 Curages Radical non conservateur veine jugulaire interne, muscle sternocleidomastoidien nerf spinal Fonctionnel (radical modifié) Le plus souvent
87 Chirurgie de la tumeur Exérèse: langue: glossectomie oropharynx: bucco-pharyngectomie Larynx: laryngectomie Hypopharynx: pharyngo-laryngectomie Reconstruction: utilisation de lambeaux musculaires ou musculocutanés pour fermer perte de substance
88 Laryngectomie totale Laryngectomie totale si tumeur évoluée, suppression du carrefour aérodigestif
89 Laryngectomie totale Laryngectomie totale si tumeur évoluée, suppression du carrefour aérodigestif Abouchement total et définitif de la trachée à la peau = trachéostomie à ne pas confondre avec trachéotomie Dans la trachéostomie on sépare définitivement l axe respiratoire de l axe digestif
90 Laryngectomie totale Mise en place d une sonde nasogastrique 10 à 15 j pour permettre cicatrisation hypopharynx Car sinon risque pharyngostome (salive coule par la peau)
91 Soins après laryngectomie totale Réfection pansement pendant env 8 j Alimentation: sonde nasogastrique 10 à 15 j Antibiotiques et corticoïdes Soins de trachéostomie: Aérosols et humidification (éviter bouchons) Nettoyage canule et aspirations Retrait canule 3 mois puis nez artificiel = filtre Réeducation orthophonique
92 Laryngectomies partielles Si tumeur limitée laryngectomie partielle qui consiste à enlever la zone tumorale Corde vocale, 2 cordes vocales, épiglotte, aryténoïde, moitié du larynx en conservant les fonction du larynx = chirurgie fonctionnelle (déglutition, phonation, respiration)
93 Laryngectomies partielles cordectomie Cordectomie laser Avantages suites simples: pas de trachéotomie, ni sonde nasogastrique
94 Laryngectomies partielles On enlève la zone tumorale et on reconstruit en suturant les cartilages et l os hyoide restant (suture = pexie) Au cours de la chirurgie: trachéotomie temporaire (5 à 7 j) est réalisée Mise en place d une sonde nasogastrique 15 j à 1 mois
95 Laryngectomies partielles Laryngectomie frontale antérieure reconstructive (Tucker) CHEP: crico-hyo-epiglottopexie (Majer Piquet) CHP: crico-hyopexie (Labayle) Laryngectomie sus glottique
96 Soins après laryngectomie partielle Réfection pansement pendant env 8 j Alimentation: Gastrotomie ou sonde naso gastrique Reprise alimentation après contrôle radio (recherche fausses routes) 15 j à 3 semaines Antibiotiques et corticoïdes Soins de trachéotomie: Aérosols et humidification (éviter bouchons) Nettoyage canule et aspirations Retrait canule 8 à 10j orthophonie
97 Réhabilitation vocale après laryngectomie Laryngectomie partielle Réeducation orthophonique pour améliorer la voix et la déglutition Laryngectomie totale Pas de problème en règle de déglutition sauf rétrecissement (sténose) Orthophonie
98 Réhabilitation vocale après laryngectomie totale Voix oesophagienne = parler en rotant
99 Réhabilitation vocale après laryngectomie totale Voix à l aide d un implant phonatoire
100 Réhabilitation vocale après laryngectomie totale laryngophone
101 Merci et bon courage Coordonnées: O Coulet Secrétariat Secrétariat directrice de soins
Cancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT. LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures
FICHES INFO THERAPIE MIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures Ce document a été élaboré par les membres du bureau de la SFjRO avec l'aide de
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailItem 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives. Objectifs pédagogiques
Item 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives supérieures. I. EPIDEMIOLOGIE II. TRAITEMENT III. DIAGNOSTIC ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE IV. SUIVI POST-THERAPEUTIQUE V. PREVENTION VI.
Plus en détailPOLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers
POLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers Pr Laccourreye 2 INTRODUCTION La réforme du 2 e cycle des études médicales a provoqué un «éclatement» de l enseignement de l otorhinolaryngologie.
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détaille traitement de la douleur
le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailL AMYGDALECTOMIE. Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant. Pour vous, pour la vie
23 L AMYGDALECTOMIE Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant Pour vous, pour la vie L amygdalectomie Cette brochure vous aidera à comprendre ce qu est l amygdalectomie L
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailComprendre la chimiothérapie
Comprendre la chimiothérapie Réédition actualisée 2008 c o l l e c t i o n Guides d information Le déroulement d une chimiothérapie Son action Ses aspects pratiques Ses effets secondaires La surveillance
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailUNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE
UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE Création d un site Internet pédagogique à l usage des étudiants de DCEM2
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailpathologie du 8cd terminologie :
terminologie : dysphagie achalasie odynophagie pyrosis hernie hiatale oesophage de barrett léiomyome hypersialorrhée hémoptysie atélectasie hypoxémie pneumothorax épistaxis xérostomie stomatite difficulté
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailVous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.
Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailLa maladie de Wegener La granulomatose de Wegener
La granulomatose de Wegener La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailL hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée
L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée Un constat En France Si les Français déclarent user 1,5 6 brosses à 4,4 dents et 22 tubes de dentifrice par an, Journée CCLIN Paris Nord ARELIN NPC 10
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailL HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE
L HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE Par Monique Gemme, H.D., diplômée du Cégep Édouard- Montpetit en 1988, pratiquant depuis 1989 au centre de Prosthodontie Maxillo-Faciale de L hôpital Notre-Dame du
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailRégimes pathologies de l œsophage
Régimes pathologies de l œsophage I) Le reflux gastro-oesophagien (RGO) Définition On appelle RGO la remontée anormale et répétée du contenu gastrique dans l œsophage en dehors des efforts de vomissements
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détail