FOIRE AUX QUESTIONS. 1. Les nouvelles règles en matière d organisation du service
|
|
- Chrystelle Lajoie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FOIRE AUX QUESTIONS 1. Les nouvelles règles en matière d organisation du service Quel est le calendrier de la DSP? La DSP sur le volet compétences clés sera opérationnelle en Sept 2015 pour 5 ans. Il est envisagé que la DSP sur le volet certifiant soit opérationnelle en Les stagiaires seront ils rémunérés? Les conditions de mise en œuvre de la rémunération des stagiaires à compter de septembre 2015 sont à l étude. Pourquoi la Région souhaite t elle augmenter les durées de formation? Les 250 heures annoncées ne sont elles pas trop importantes? Sur le volet compétences clés du Service public de Formation professionnelle et d éducation permanente, l ambition est de fournir un service correspondant à un ensemble de situations pédagogiques et de solutions d accompagnement dans une perspective d insertion sociale et professionnelle et permettant d acquérir de manière conjointe des savoirs et compétences. L'inscription des parcours de formation dans une perspective d'insertion professionnelle nécessite d'ajouter la dimension orientation dans l'accompagnement des publics accueillis. Dans ce cadre, La région souhaite un allongement des durées de prise en charge des stagiaires pour plusieurs raisons : dans le but de renforcer les chances de poursuite de parcours professionnel des publics en termes d intégration du stagiaire dans une formation certifiante ou d accès à l emploi dans le but d intégrer l orientation et l accompagnement dans le parcours du stagiaire 250 H était une hypothèse issue des travaux techniques préparatoires qui n est plus d actualité au regard des travaux de concertation. Les données régionales disponibles donnent à voir d une durée médiane de parcours de 42H (50% des publics réalisent un parcours de moins de 42H) pour une durée moyenne de parcours de 90H tous programmes compétences clé confondus. Pour agir sur le nombre de personnes réalisant des parcours trop courts, ne favorisant pas le processus d apprentissage tout en limitant le nombre de personnes qui ne «sortent plus du système», il convient de définir une durée de parcours qui permette de rapprocher la durée médiane de la durée moyenne des parcours. Par ailleurs, les données de la DARES (direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) font apparaître une durée moyenne de parcours de 115H en Nord Pas de Calais sur les programmes compétences clé de l Etat. Il est envisageable de poser comme référence d allongement de durée celle de 120H dans le cadre du service reconfiguré. Enfin, les données régionales disponibles permettent de constater que la part des publics réalisant au minimum 120H de formation représente 23% du total des publics accueillis en compétences clé. Quelle est la définition de la journée d ouverture qui permet le paiement? Sur le volet compétences clé du SPRFP EP, La journée d ouverture du service qui permet le paiement, correspond à l amplitude que l opérateur de formation juge nécessaire pour répondre aux besoins du territoire dans le respect des obligations de service public (OSP) et sur une base de référence de 7 heures jour. Les ouvertures en demi journée sont possibles sur la même base de référence. Le service est organisé de manière à limiter les ruptures d engagement liées à des 1
2 interruptions de service. Une variation d intensité d ouverture peut être proposée en fonction soit de la période (congés scolaires par exemple), soit de la densité de fréquentation attendue. Un nombre de jours d ouverture sera t il fixé? Sur le volet compétences clé du SPRFP EP, une proposition sera attendue de la part du candidat à la DSP qui pourra être négociée ensuite par la Région Le financement de la journée sera t il lié au stagiaire ou au groupe? Sur le volet compétences clé du SPRFP EP, l unité de coût et de paiement (unité d œuvre de la DSP) n est ni le stagiaire ni le groupe. L unité d œuvre de la DSP est la journée d ouverture du service respectant les obligations de service public. Cela implique un système de rémunération totalement différent de ce qui existe dans le cadre des marchés publics actuels : la rémunération du délégataire est assise sur l ensemble des coûts d exploitation de la journée d ouverture du service. Les organismes de formation candidats à la DSP devront donc établir le coût prévisionnel d exploitation du service en fonction du nombre de journées d ouverture prévues et d un prévisionnel de stagiaires à accueillir. Le calcul de la part fixe liée au coût d exploitation du service ne sera pas affecté par les éventuelles absences des stagiaires, ce qui est très différent du système actuel. Le coût prévisionnel du service sera rémunéré par la Région : dans le cadre d une part fixe et sous condition de réalisation effective des ouvertures, dans le cadre d une part variable et sous condition de réalisation des objectifs de performance. La DSP se tiendra t elle au cours de l année scolaire ou de l année civile? Sur le volet compétences clé du SPRFP EP, le service s exécutera en continu sur une durée de 5 ans. Cependant, l organisation du service devra permettre à la Région un suivi des cohortes accueillies de septembre N à Août N+1, et ce, sur la durée du contrat. Des restitutions périodiques de données liées à la mise en œuvre du service seront attendues et donneront lieu à des consolidations annuelles portant sur une réalisation de septembre à Août. La Région a t elle prévu, dans le cadre de la DSP, la prise en compte de formations de nature interrégionale? (volet formation professionnelle) La question de l interrégionalité des formations certifiantes est à l étude. Quelle place la Région souhaite t elle donner à la participation des usagers dans le cadre de la DSP? La Région donne une importance majeure à cette question : elle est définie comme obligation de service public (OSP) et constitue un des éléments de variabilité de la rémunération du délégataire sur le volet compétences clé du SPRFP EP. Comment seront définis le rôle et la place des prescripteurs dans la nouvelle organisation du service? Pour le volet compétences clés du service public régional de formation professionnelle et d éducation permanente : il n y a pas de prescription obligatoire. Néanmoins un renforcement significatif de la collaboration entre délégataire et les prescripteurs est attendu compte tenu de 2
3 l enjeu d insertion professionnelle du dispositif (poursuite parcours de formation notamment). La question du repérage des publics cibles par les organismes délégataires est notamment susceptible d être posée, en coordination avec les prescripteurs. Pour le dispositif formation professionnelle : la prescription reste obligatoire et pour les publics issus des parcours de compétences clés elle devra évoluer vers une prescription partagée avec le ou les délégataire (s) du volet compétences clés du service public régional de formation professionnelle et d éducation permanente. 2. Le périmètre et le contenu des programmes inclus dans les DSP Comment la Région envisage t elle l intégration du programme Compétences clés actuellement financé par l Etat? Comment vont se répartir les fonds transférés? La Région a t elle, d ores et déjà, identifié le nombre de places concernées? En cas de décentralisation des formations jusqu alors de la compétence de l Etat et de transfert des financements correspondants, la Région procèdera à un examen des mesures à prendre en fonction des besoins exprimés des publics concernés. A quoi correspond le champ de la DSP Certification professionnelle accompagnée? Le périmètre envisagé à ce jour dans le cadre de la concertation, pour la refonte du programme certifiant, est celui résultant de la fusion du programme «Parcours de Formations Professionnelles Accompagnés» et du programme «certifiant» du PRF Qui va décider des actions des formations certifiantes? La Région dans le cadre de sa compétence formation en concertation avec le ou les délégataire (s). Les formations sanitaires et sociales feront elles parties de la DSP Certification professionnelle accompagnée? Les formations visant la création reprise d entreprise seront elles intégrées dans la DSP Certification professionnelle accompagnée? Le programme Création Reprise d Entreprises qui fait l objet d une consultation spécifique ne sera pas inclus dans le périmètre de la DSP. De même, les formations sanitaires et sociales initiales sont régies par des dispositifs spécifiques (L Code de l'action sociale et des familles) et ne seront pas impactées par le déploiement de la DSP. 3. Les publics bénéficiaires du service Compétences Clé Les publics de la DSP sont ils les mêmes que les publics des marchés actuels? Quelles vont être les modalités retenues dans le cadre de la DSP en matière d accès des jeunes et notamment de ceux de de 18 ans? Les allocataires du RSA font ils partie des publics bénéficiaires? 3
4 Les salariés sont ils visés parmi les publics visés par la DSP compétences clés? La DSP compétences clés sera t elle accessible aux publics qui viennent d euxmêmes et notamment les femmes seules ou les bénéficiaires d un minima sociaux dont l objectif n est pas l insertion? La politique de formation professionnelle et d éducation permanente du Conseil Régional Nord Pas de Calais s adresse aux jeunes majeurs et aux adultes et prioritairement aux actifs privés d emploi ou en situation professionnelle précaire. Les publics en situation d illettrisme sont particulièrement visés par ce volet d intervention de la Région Ce service étant cependant ouvert à tous, d autres catégories d usagers peuvent en relever : parents, bénévoles, retraités, voire tous usagers (majeurs) du service public, non demandeur d emploi, souhaitant s inscrire dans une démarche de promotion sociale et d éducation permanente et pour lesquels le service pédagogique décrit ci dessous peut contribuer à l épanouissement personnel. Sont donc admissibles les publics évoqués dans les questions ci dessus listées. 4. L articulation entre la DSP compétences clés et le programme certifiant Quelle est l articulation prévue entre les opérateurs de la DSP compétences clés et les opérateurs positionnés sur le programme certifiant? L introduction du critère de performance d insertion positive dans la mise en œuvre du service Compétences clé obligera les opérateurs des champs susvisés à travailler ensemble. Dans ce cadre la Région prendra les mesures nécessaires pour faciliter ce travail notamment à l occasion de l élaboration du marché certifiant 2015/2018. Néanmoins il est attendu des opérateurs du champ des compétences clé qu ils soient par anticipation forces de proposition quant au développement de ces collaborations. La Région prévoit elle de réunir des groupes de travail des opérateurs positionnés sur les deux programmes pour les faire travailler ensemble? Dans le cadre du déploiement du service par le ou les délégataires, il sera notamment attendu du ou des délégataires du volet compétences clés qu ils soient en mesure d organiser la collaboration avec les opérateurs du certifiant. 4
5 5. Le choix du mode de contractualisation DSP par rapport aux autres modes de gestion Pourquoi la Région n intervient elle pas en subvention? Dès lors que la région définit elle même son besoin et qu elle est à l initiative, elle doit appliquer les règles de la commande publique. La jurisprudence a été amenée à plusieurs reprises à préciser le cadre juridique applicable : sous réserve des textes législatifs ou réglementaires propres à certains secteurs d'activité, il est désormais acquis qu'il ne peut être légalement accordé de subvention en vue de la réalisation de prestations individualisées, mises en œuvre à l'initiative de la Région, répondant à des besoins préalablement identifiés par elle, et donnant lieu au versement d'une rémunération directement liée à l'exécution des obligations mises à la charge des opérateurs. La subvention n est donc pas un mode de gestion envisageable pour la gestion d un Service public régional de la formation. Contrairement à la logique de subvention où la Région ne fait que répondre à un besoin exprimé par un tiers, dans la commande publique, c est la collectivité qui définit le besoin et qui se place en position de donneur d ordre (elle définit les conditions de mise en œuvre des prestations), comme cela est explicité dans l encadré ci dessous. Selon la Circulaire du 3 août 2006 portant manuel d application du code des marchés publics, la subvention constitue une contribution financière de la personne publique à une opération justifiée par l intérêt général mais qui est initiée et menée par un tiers. Il s agira d une subvention si l initiative du projet vient de l organisme bénéficiaire et si aucune contrepartie directe n est attendue par la personne publique du versement de la contribution financière. Dans le cas contraire, il s agira d un marché public. La notion d initiative implique non seulement l impulsion du projet mais aussi sa conception et sa définition.». Les critères de la subvention sont donc les suivants : C est une aide à une structure publique ou privée soit pour le fonctionnement, soit pour l équipement, soit pour le financement d activités ou de programmes. La subvention ne constitue pas la contrepartie du travail réalisé et ne peut être regardée comme un service rendu L aide peut être partielle et induit alors le principe du cofinancement qui se constate en argent ou en nature ; Le soutien financier a un caractère facultatif, précaire et conditionnel Elle est versée par une personne publique. La personne publique n a pas à justifier d une mise en concurrence pour attribuer une subvention (principe de la liberté d octroi de la personne publique). Elle est attribuée pour financer des activités : elle doit être à la fois conforme aux missions de la personne publique et à l objet social du bénéficiaire (association). La personne publique ne doit pas avoir pris l initiative, ni supporter la responsabilité de la réalisation des activités subventionnées. Il s agit de contributions financières de la personne publique à une opération d intérêt général (national ou local), initiée et menée par un tiers pour répondre à des besoins que celui ci a définis La demande formelle doit venir du bénéficiaire. La personne publique, par une convention, accepte de contribuer seulement à soutenir la réalisation de l objet social de la structure ou de la réalisation d une liste d activités En conséquence : la subvention ne peut pas être un mode de gestion du Service Public : la gestion d un service public suppose un intérêt général et la prise en charge par la région qui va définir des moyens pour satisfaire cet intérêt général. 5
6 Certains projets, hors du champ des programmes gérés dans le cadre des futures DSP, pourront continuer à être subventionnés par la Région dès lors que ces projets sont à l initiative de tiers et portés par eux, qu ils ne donnent pas lieu à une contrepartie directe, qu ils fassent l objet de cofinancements. Dans certains secteurs, un texte législatif prévoit un financement spécifique, (par voie de subvention) comme c est le cas pour les formations sanitaires et sociales et l apprentissage. Pourquoi les autres Régions n ont elles pas choisi ce mode de contractualisation? La Délégation de service public constitue un mode de contractualisation particulièrement innovant mais long et complexe à mettre en œuvre pour la première fois. Or, c est un sujet sur lequel la Région Nord Pas de Calais s est mobilisée depuis 2008 dans le cadre d une étude de faisabilité de la DSP sur la formation qui a mis en avant tous les avantages de ce mode de gestion au regard du mode marché. Parmi les avantages on peut citer les opportunités de renouvellement du service à travers une plus grande initiative des opérateurs, la possibilité de mettre en place un nouvel espace de discussion avec les acteurs de la formation, la possibilité d inscrire la gestion du service dans une durée plus longue que celle du marché et l opportunité d inscrire des objectifs de performance pour le service. La mise en place d une DSP pour le Programme Compétences Clés dans un premier temps, et pour le programme certifiant dans un second temps est donc une opération extrêmement observée par les autres Régions en raison de son caractère innovant et des avantages qu il permet. 6. Les modalités de rémunération des opérateurs dans le cadre de la DSP volet Compétences clé du SPRFP EP Pourquoi une part variable doit elle être mise en place? pourquoi faire peser un risque d exploitation sur les opérateurs? Selon l'article L du Code général des collectivités territoriales, une Délégation de service public (DSP) est un contrat par lequel une personne publique confie la gestion d'un service public dont elle a la responsabilité à un délégataire "dont la rémunération est substantiellement liée aux résultats de l'exploitation du service". Cette condition n'est pas remplie si l'opérateur, quels que soient les résultats de son activité, n'est exposé à aucun risque de perte. En matière de DSP, il faut que le délégataire soit soumis à un risque d'exploitation résultant du caractère variable d'au moins une partie de sa rémunération. Il est possible de garantir une partie de la rémunération mais pas la totalité et c est ce que la Région Nord Pas de Calais propose de mettre en œuvre dans le cadre de son projet de mise en place d une DSP : Le risque d exploitation (la part variable) ne porte que sur une partie de la rémunération de l opérateur et non sur la totalité. Ainsi, la part de risque est limitée à la partie variable de la rémunération ; La plus grande partie de la rémunération de l opérateur sera fixe; La part variable sera liée aux résultats de l'exploitation du service et la Région Nord Pas de Calais souhaite que cette partie variable de la 6
7 rémunération de l opérateur soit liée à des critères permettant de mesurer la qualité du service rendu à l usager. Il faut en outre ajouter qu aujourd hui, dans le cadre des marchés publics, pour donner plus de souplesse à ce mode de gestion qui ne permet pas de tenir compte de manière satisfaisante des évolutions du service public et des besoins des publics, les opérateurs de formation sont également exposés à une forme de risque, dans la mesure où les marchés sont des marchés à bons de commande annuels, sans mini ni maxi et que les absences des stagiaires sont défalquées de la rémunération de l opérateur (alors que leur coût d exploitation reste lui inchangé). Comment les parts fixes et variables de la rémunération vont elles être définies? selon quels critères seront elles attribuées? A quelle hauteur seront elles fixées? La part fixe sera calculée, comme dans toute délégation de service public, à partir des coûts d exploitation du service (par exemple frais de personnel, matériels pédagogiques, frais immobiliers, chauffage, électricité ), sur la base d un nombre de journées d ouverture à l année. En ce qui concerne la part variable, les critères de qualité sur lesquels la Région réfléchit portent sur deux dimensions : o Les critères liés aux effets attendus sur l usager ; o Les critères liés à l amélioration du service dans le cadre du Plan d amélioration de service que devra proposer le candidat à la Région. La mise en place des obligations de service public, le respect des principes d ouverture du service contractualisé avec l opérateur, les résultats des opérateurs sur les critères définis par la Région (et les indicateurs liés) feront l objet d un reporting précis pour les organismes de formation et d un contrôle par la Région La part variable aura t elle un mini et un maxi? En ce qui concerne la rémunération de l opérateur, la répartition entre part fixe et part variable (c est à dire le % affecté à la part fixe et à la part variable) sera précisément définie par la Région et précisée dans les documents de consultation, au moment de la mise en concurrence. En ce qui concerne la part variable, pour chaque critère retenu sera défini un indicateur assorti d une valeur cible minimale à atteindre ou à dépasser. La rémunération variable de l opérateur dépendra des résultats qu il a obtenus pour chacun des critères retenus. Le pourcentage de la part variable est il déjà fixé? Il est nécessaire que la part variable soit «substantielle» afin de matérialiser un risque d exploitation à la charge de l opérateur. 7
8 Par délibération du 07 octobre 2013, la commission permanente a validé le montage suivant conforme aux exigences juridiques : une part fixe de la rémunération à hauteur de 80% des coûts prévisionnels de fonctionnement du service. une part variable à hauteur de 20% des coûts prévisionnels de fonctionnement du service. un bonus à hauteur 5% des coûts prévisionnels. Qui fixera les taux cibles des objectifs à atteindre pour la part variable? Les taux cibles permettant de calculer la part variable de la rémunération l opérateur seront proposés par les organismes de formation et feront l objet d une négociation avec la Région lors de la phase de négociation. Les objectifs seront ils différents selon les territoires? Lors de la négociation la Région veillera à ne pas creuser les disparités entre les territoires en tenant compte des besoins spécifiques de ces derniers et en les faisant converger vers un objectif régional. Quel est le contenu de la part variable? A ce stade, la Région a pré identifié six critères de qualité. Il s agit des obligations de service public sur lesquelles la région attend les évolutions les plus importantes de la part des opérateurs de formation. Ces critères de qualité identifiés comme particulièrement stratégiques portent sur deux dimensions : a. D une part, des critères liés aux effets sur l usager : Les effectifs accueillis ; Le taux de sortie positive / suite de parcours ; Le taux d abandon ; La durée de parcours. b. D autre part, des critères liés à l amélioration du service (Plan d amélioration de service) : Le développement de la participation des usagers comme facteurs d engagement de l usager et de qualité du service L évolution d une ingénierie des savoirs à une ingénierie des compétences Comment sera mesurée l atteinte de l objectif d accès à l emploi? L insertion constitue bien entendu une question centrale pour déterminer la «performance» d un programme de formation dont elle constitue un des objectifs. Mais, c est en même temps une 8
9 notion délicate à définir et objectiver. Le choix de la Région est de réfléchir cet objectif d insertion en termes de «sorties positives», notion qui vise à la fois l insertion dans un emploi ou l inscription dans une suite de parcours de formation. La capacité d innovation sera t elle prise en compte dans le calcul de la part variable? La place faite à la capacité d initiative et d innovation des organismes de formation constitue un des avantages du recours à la DSP. En effet, dans le cadre d une DSP, la collectivité délègue la gestion d un service public à un (ou plusieurs) opérateur(s) de formation. Afin qu il y ait une véritable «délégation», il est donc nécessaire que les missions déléguées ne soient pas trop limitées. Au delà de l approche «client fournisseur» qui caractérise le marché public, il s agit d instaurer une relation contractuelle basée sur le fait d impliquer davantage le délégataire dans la mise en place et la réussite du service, sur des relations partenariales plus coopératives et de laisser une place plus importante à la capacité d initiative et d innovation de l opérateur. Cette importance accordée à la capacité du délégataire à «innover» est d autant plus importante que la Région souhaite une reconfiguration du programme de formation et souhaite mettre fortement l accent sur certaines obligations de service public sur lesquelles des évolutions importantes sont attendues de la part des opérateurs de formation. Cela suppose de faire bouger les curseurs, de travailler autrement et de monter les exigences notamment en termes d ingénierie de formation et d ingénierie de parcours. Les critères de qualité concerneront principalement les obligations de service public sur lesquelles la région attend les évolutions les plus importantes de la part des opérateurs et c est ainsi que leur capacité à innover sera prise, de même que dans le déploiement du Plan d amélioration de service. 7. Les règles applicables aux éventuels groupements dans le cadre d une DSP Dans le cadre de la DSP, sera t il obligatoire d appartenir à un groupement? D un point de vue juridique, le délégant ne peut pas imposer aux candidats de répondre en groupement : il ne sera donc pas obligatoire de constituer un groupement pour proposer sa candidature. Le choix de constituer ou non un groupement n est donc pas à analyser d un point de vue juridique mais d un point de vue d opportunité : «mon organisme de formation est il en capacité de répondre seul à la commande de la Région, dans le cadre de la DSP?». C est une question de stratégie et de prise de risque. Ce n est pas une question de faisabilité juridique. 9
10 A cet égard, il est important de souligner que, dans de nombreuses régions, des phénomènes de regroupement sont actuellement constatés (et cela quel que soit le mode de contractualisation retenu). Ces phénomènes sont notamment liés à la volonté des Régions de privilégier des processus d achat davantage intégrés, de construire des programmes de formation qui articulent différentes prestations de formation dans une approche parcours et qui fassent une place plus systématique à l accompagnement des stagiaires. C est un mouvement de fond qui est engagé dans la plupart des Régions. En Région Nord Pas de Calais, le choix de construire des programmes davantage intégrés a été pris dans le cadre de la refonte du Service public régional de formation et, de façon plus générale, le mouvement de regroupement des organismes de formation est enclenché dans la Région depuis une dizaine d années, bien que la Région reste attachée à la diversité de l appareil de formation. Dès lors, en la matière, il est sans doute nécessaire pour les organismes de formation de définir des stratégies en cohérence avec leur identité, les évolutions de l environnement et les nécessités d optimisation des moyens consacrés au service. Les regroupements ne sont pas nécessairement antinomiques avec la diversité ; cela dépend de la façon dont ils sont conçus et organisés par les opérateurs eux mêmes. Cette décision appartient aux opérateurs et ne sera pas imposée par la Région. Que se passe t il si le délégataire devient défaillant en cours de DSP? Il en va en matière de DSP comme pour tout contrat administratif. En cas de défaillance, une échelle de sanctions est applicable. La plus grave est la résiliation pour faute de la délégation de service public (à cet égard, les sanctions sont similaires à celles applicables dans le cadre des marchés publics). Les membres d un groupement peuvent ils changer en cours de DSP? La modification de la composition du groupement n'est pas libre ; elle est soumise à une autorisation préalable de la Région. Comment intervient le cofinancement du FSE dans le cadre d un groupement? La Région comme par le passé continuera de gérer le FSE dans le respect des règles gouvernant ce fonds. La DSP autorise t elle un mécanisme de paiement direct des cotraitants comme cela existe aujourd hui dans le cadre des marchés publics? En l'absence de texte précis en matière de DSP, il faut considérer que le principe de liberté contractuelle trouve à s'appliquer. A défaut de précision quant à la répartition des missions, chaque entreprise du groupement sera solidairement responsable de l'exécution de tout le contrat. Le contrat est indivis au sens de l'article 1222 du Code civil. Cependant, cette solidarité ne fait pas obstacle à la définition dans l'un 10
11 des documents contractuels, d'une clé de répartition de la rémunération entre les membres du groupement. Cela permet il pour autant de prévoir que les membres d'un groupement conjoint ou solidaire peuvent bénéficier de paiements séparés sur la base de cette clé de répartition? Cela parait exclu pour plusieurs raisons qui tiennent moins au cadre juridique qu à la façon dont le programme est conçu : D une part, le programme Compétences Clés suppose de définir un parcours adapté aux besoins de chaque stagiaire, dont la durée et le contenu pourront varier d un stagiaire à un autre (défini pour chaque stagiaire lors la phase de positionnement). Dès lors, la répartition des stagiaires entre les différents membres du groupement parait difficile à prédéterminer, ce qui rend impossible la prédéfinition des clés de répartition entre organismes de formation du groupement. D autre part, dans l hypothèse de création d une société dédiée, la rémunération directe des cotraitants se combine difficilement avec l'existence d'une société dédiée puisque dans ce cas, c'est cette société qui perçoit la rémunération. Dans le cadre de la DSP, la Région va t elle imposer que les organismes décidant de répondre en groupement constituent une entité juridique. Les éventuels groupements vont ils devoir créer des sociétés dédiées : où en est la réflexion de la région à propos de la mise en place de sociétés dédiées? Juridiquement, la création d une société dédiée ne peut pas être imposée dans tous les cas de figure. Cette solution présente des avantages dans le cadre de toute DSP, pour la transparence de gestion du service dans la mesure où la société dédiée permet d isoler la contribution du délégant dans le cadre de la DSP. En outre, le recours par la société dédiée à un expert comptable (voire un commissaire aux comptes) peut faciliter la tâche des organismes de formation de petite taille (qui ne sont pas forcément très bien dotés en fonctions comptables supports). Si la constitution d une société dédiée n est pas imposée, la tenue d une comptabilité analytique séparée est en revanche, elle, dans tous les cas de figure obligatoire. Lors de la mise en concurrence, quel est le statut des partenaires impliqués dans le cadre d un groupement qui ne sont pas mandataire? Le régime des délégations de service public n'impose pas de règle particulière quant à la forme des groupements et au statut des partenaires mais, en matière de DSP comme en matière de contrat public, la collectivité ne peut régir les relations contractuelles qu'entretiennent entre eux les membres du groupement (CE, 17 juin 1985, SA de Paniagua, req. n 47624). 11
12 Les relations financières entre cocontractants relèvent donc de la liberté contractuelle entre partenaires et il ne peut revenir au délégant (en l occurrence à la Région) de définir les règles du jeu. A moins qu'elle n'observe un grave déséquilibre susceptible de remettre en cause la bonne exécution des prestations, les relations entre les membres du groupement ne sont donc pas contrôlées par la Région. Enfin, la Région sera attentive lors de la phase de mise en concurrence à la cohérence et à la bonne articulation des approches proposées, ce qui suppose un mode de fonctionnement du groupement qui soit articulé plutôt que juxtaposé et qui soit respectueux de chaque partenaire. 8. Le niveau d allotissement de la DSP volet compétences clé du SPRFP EP Quel sera l allotissement retenu? Le niveau d allotissement retenu par délibération du 7 octobre 2013 est celui du grand territoire GRANDS TERRITOIRES Métropole BASSINS D EMPLOI Lille, Roubaix Tourcoing Flandre Littoral Audomarois Flandre Lys, Dunkerque, Saint Omer Grand Artois Arrageois/Ternois, Lens/Liévin/Hénin/Carvin, Bruay/Béthune) Grand Hainaut Littoral Pas de Calais Douai, Valenciennes, Sambre Avesnois,Cambrésis Calais, Boulogne, Montreuil L allotissement retenu est celui qui permet de tenir compte des exigences suivantes : La proximité territoriale d organisation du service : Les territoires envisagés sont caractérisés par des zones à forte ou moyenne densité urbaine, desservies par les transports en commun, offrant des possibilités de restauration diversifiées mais aussi par de larges zones rurales à faible densité de population et peu ou pas desservies par les transports en commun. Aussi le service doit il se déployer sur les territoires de telle manière qu il puisse permettre un accès en proximité à des espaces, de taille variée selon la zone de population concernée, bien identifiés et valorisés sur le territoire, offrant une palette 12
13 d activités permettant d assurer les fonctions de formation, d orientation et d implication des usagers. Le niveau pertinent d optimisation des moyens et ressources du délégataire La proximité sera t elle imposée? Oui et à cet égard l Obligation de service public (OSP) qui exige d organiser le service en proximité et d en faciliter l'accès par la diffusion d'une information claire et compréhensible par les publics concernés, revêt un caractère déterminant. Le ou les délégataire(s) structurera un maillage territorial du service de manière à en faciliter un accès en proximité pour les usagers. En cas d impossibilité à proposer l ensemble du service sur un seul site, le délégataire devra mettre en œuvre les conditions facilitant cette offre de proximité, (permanences décentralisées, services itinérants, formation ouverte et à distance, appui sur des tutorats externes...) Les choix de localisations du service doivent permettre de répondre le mieux possible aux difficultés rencontrées par les publics vivant dans des zones rurales et/ ou enclavées. La DSP sera t elle mono ou multi attributaires? Il est mis en évidence que sous réserve de l allotissement décrit ci avant, une mono attribution de chaque lot pouvait être envisagée et ne mettait pas en péril l offre de formation par la possibilité de répondre en groupements. La reconfiguration en profondeur du service implique pour un territoire donné qu il y ait une cohérence dans l organisation du service et une lisibilité de l offre pour le public dudit territoire. De même le niveau d implication attendu des opérateurs dans le cadre de l organisation du service suppose un seuil critique d activité pour un service économiquement viable. 9. Le pilotage de la DSP et les nouvelles relations à construire délégant délégataires Y aura t il un dialogue de gestion? ce dialogue sera t il annuel? Oui : ce dialogue est indispensable et a minima annuel Oui Y aura t il toujours un interlocuteur de la Région en proximité? Quel va être le rôle des chargés de mission territoriaux? Une contribution au dialogue de gestion, au pilotage et au contrôle 10. Le budget affecté aux programmes organisés dans le cadre des DSP La Région prévoit elle d augmenter le budget? Pas d augmentation prévue à ce jour. 13
14 La DSP va t elle permettre de mobiliser d autres financements notamment ceux des communes, des départements? Juridiquement, aucun texte n interdit le délégataire de mobiliser d autres financements. Les financements liés à la DSP devront, néanmoins, être isolés au sein des produits du service dans le cadre d une comptabilité analytique ou dans le cadre de la société dédiée si une telle société est créée. 14
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailDate limite de remise des dossiers de réponse :
REGLEMENT DE L APPEL A MANIFESTATION D INTÉRÊT POUR LA MISE EN ŒUVRE DU TROISIEME SEGMENT DU SERVICE PUBLIC REGIONAL DE LA FORMATION (SPRF) SOUS FORME D UN SERVICE D INTERET ECONOMIQUE GENERAL (SIEG) TERRITRORIALISE
Plus en détailLe régime juridique qui est contractuellement attaché aux
La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques
Plus en détailAPPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE
MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE I. Public cible de l appel à projets Un appel à projets est
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailChantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC
Chantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC LOCALISATION : Quartier des bassins à Cherbourg-Octeville
Plus en détailAction de soutien à la mobilité
UNION EUROPÉENNE Fonds social européen Investit pour votre avenir PROGRAMME DEPARTEMENTAL D INSERTION 2012-2016 APPEL A PROJETS 2015 Action de soutien à la mobilité Date de lancement de l appel à projets
Plus en détailAPPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France
PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France Contacts Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation professionnelle d Ile de France Orientation et appui Service FSE
Plus en détailAPPEL A PROJET. Programme opérationnel FEDER-FSE-IEJ 2014-2020 Région Languedoc-Roussillon. Initiative pour l Emploi des Jeunes
APPEL A PROJET Programme opérationnel FEDER-FSE-IEJ 2014-2020 Région Languedoc-Roussillon Initiative pour l Emploi des Jeunes «Entrepreneuriat des jeunes» Date de lancement : 12 août 2015 Modalité de publicité
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailAccompagnement en Chantier d insertion
UNION EUROPEENNE Fonds Social Européen Département de Seine-Maritime Accompagnement en Chantier d insertion 2012/2013 Direction de l insertion Mai 2011 Accompagnement en Chantier d insertion 1 Préambule
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailFAQ appel à candidatures LEADER 2014-2020
FAQ appel à candidatures LEADER 2014-2020 Remarque préalable : ce document a un caractère technique ; il garde un caractère non définitif dans la mesure où le PDR n est pas encore adopté, et que des prescriptions
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailAVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE
AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L AGENCE REGIONALE DE SANTE D ALSACE RELATIF A LA CREATION DE PLACES DE SERVICES DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) ARS Alsace Cité
Plus en détailProgramme national «très haut débit»
Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailAppel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers
Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détailComité national d évaluation du rsa Annexes
Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailPRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.
cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détailI OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISSION PARITAIRE NATIONALE DE L'EMPLOI DE LA METALLURGIE Qualification : 1997 03 42 69 0156 Catégorie : C* Dernière modification : 10/09/2009 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Chargé (e) de travaux
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailAppel à Projets MEITO CYBER
Appel à Projet 2014 2015 RÈGLEMENT Appel à Projets MEITO CYBER Soumission des propositions Contacts Les dossiers de candidature sont téléchargeables sur le site de la MEITO : www.meito.com Les dossiers
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailDISPOSITIFS Accompagnement
DISPOSITIFS Accompagnement JUILLET 2014 SOCIÉTÉ D'INVESTISSEMENT FRANCE ACTIVE /fr/outils/sifa.php Type d'aide : Accompagnement ; Prêt Financement remboursable /// Nature : prêt participatif ou compte
Plus en détailSchéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE
VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE SOMMAIRE 1.DIAGNOSTIC REGIONAL DE LA DELIVRANCE DU MEDICAMENT EN AMBULATOIRE... 3 1.1.Les modes d ouverture d une pharmacie... 3 1.2.Le
Plus en détailPROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL
Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort
Plus en détailAPPEL A PROJETS POUR LE PROGRAMME D INVESTISSEMENTS D'AVENIR «PROJETS INNOVANTS EN FAVEUR DE LA JEUNESSE» (PROGRAMME 411)
APPEL A PROJETS POUR LE PROGRAMME D INVESTISSEMENTS D'AVENIR «PROJETS INNOVANTS EN FAVEUR DE LA JEUNESSE» (PROGRAMME 411) Date de lancement de l appel à projets 17/02/2015 Adresses de publication de l
Plus en détail...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détailFINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE»
Manuel de mise en œuvre de la communication pour le changement social et comportemental (CCSC) à destination des adolescents en milieu urbain en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) Organisation
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détail10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux
Juin 2006 10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux Article publié dans le Courrier des maires, n 191 du 01 mai 2006, par Emmanuel Duru, Responsable des
Plus en détailPetites Informations Juridiques n 1
L OBLIGATION DE REPRISE DU PERSONNEL DANS LES CONTRATS DE TRANSPORT Cadre législatif et réglementaire Droit communautaire Règlementation interne Article 4.5 du règlement n 1370/2007/CE du 23 octobre 2007
Plus en détailL environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements
L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements Mission IGAS CPF - Réunion GC quadripartite du 24 octobre 2013 1 Sommaire de la présentation 1. Le CEP : un accompagnement
Plus en détailPOUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017
LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion des flux internationaux des PME/PMI - Achats, vente, négociation internationale de l Université du Littoral
Plus en détailLe diagnostic Partagé,
Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase
Plus en détailDocument de Consultation des Entreprises Préfecture de Corse
Réalisation d une enquête auprès des jeunes en demande d insertion Document de Consultation des Entreprises Préfecture de Corse SOMMAIRE 1. OBJET DE LA CONSULTATION 2 2. PRESENTATION DU GIP CORSE COMPETENCES
Plus en détailAppel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)
Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre
Plus en détailCAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015
CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détailLe retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité?
L éducation physique à l école : Le retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité? Avril 2009 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailCahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique
Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique Actualisation et mise en œuvre d une Stratégie de Cohérence Régionale d Aménagement
Plus en détailMAPPP/12-14 02/10/2012. Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP
MAPPP/12-14 02/10/2012 Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP L article 14 de la loi n 2009-179 du 17 fév.2009 dispose que : «/. Le contrat de partenariat est un contrat administratif
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailF-Gif-sur-Yvette: Matériel informatique de sauvegarde 2008/S 78-105656 AVIS DE MARCHÉ. Fournitures
1/5 F-Gif-sur-Yvette: Matériel informatique de sauvegarde 2008/S 78-105656 AVIS DE MARCHÉ Fournitures SECTION I: POUVOIR ADJUDICATEUR I.1) NOM, ADRESSES ET POINT(S) DE CONTACT: Synchrotron Soleil, L'Orme
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailSection des Formations et des diplômes
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Chargé de gestion patrimoniale immobilière de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailVille de VANNES. DSP du Casino. Rapport de présentation (article L.1411-4 du CGCT)
Ville de VANNES DSP du Casino Rapport de présentation (article L.1411-4 du CGCT) La Ville de Vannes a été classée «station de tourisme» par décret en date du 8 juin 2006. En application de l article 1
Plus en détailLe nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014
Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!
Plus en détailAPPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE
APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations
Plus en détail«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience
«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés
Plus en détailPOUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009
POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009 1 Une politique régionale concertée Le 20 Mai 2008, le CRIF organise une large concertation
Plus en détailGUIDE DE L EMPLOYEUR
Unité Territoriale de Paris GUIDE DE L EMPLOYEUR Actualisé le 07 août 2013 CONTRAT UNIQUE D INSERTION(CUI) : 1. CONTRAT D ACCOMPAGNEMENT DANS L EMPLOI (CAE) 2. CONTRAT INITIATIVE EMPLOI (CIE) 3. EMPLOIS
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détailACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 7 JUIN 2011 SUR L ACCES DES JEUNES AUX FORMATIONS EN ALTERNANCE ET AUX STAGES EN ENTREPRISE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 7 JUIN 2011 SUR L ACCES DES JEUNES AUX FORMATIONS EN ALTERNANCE ET AUX STAGES EN ENTREPRISE Considérant que l alternance est un moyen particulièrement adapté, à tous
Plus en détail«Accès à la commande Publique, pour les PME-PMI» Les bonnes pratiques, les prés-requis et les contraintes pour accéder à la commande publique
«Accès à la commande Publique, pour les PME-PMI» Les bonnes pratiques, les prés-requis et les contraintes pour accéder à la commande publique Sommaire I) Qu est-ce qu un marché public?... 4 II) Quelles
Plus en détailAppel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016
Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Date limite pour l annonce du dépôt d une demande de soutien
Plus en détailInvestissements d Avenir
Investissements d Avenir Financement de l Economie Sociale et Solidaire APPEL A PROJETS SECTORIELS : Auto-construction et habitat coopératif Santé et services sociaux Mobilité durable Numérique 1/15 IMPORTANT
Plus en détailTravaux de Serrurerie
REGLEMENT DE CONSULTATION (RC) Travaux de Serrurerie TRAVAUX D AMENAGEMENT DES TERRASSES 10 ET 11 DANS LE SECTEUR 2.1 DE LA ZAC SEINE ARCHE Direction des Etudes Générales et Travaux Marché de Travaux n
Plus en détailInvestissements d avenir. Initiative PME - Biodiversité
Investissements d avenir Initiative PME - Biodiversité Calendrier de l Initiative L Initiative est ouverte le 9 juillet 2015. Les relevés des projets sont effectués : 1 re clôture 2 nde clôture 5 octobre
Plus en détailCIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE
CIRCULAIRE CDG90 11/12 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.)
Montélimar Sésame Règlement de la consultation Collecte des cartons des activités sur la commune de Montélimar MARCHE PUBLIC DE SERVICES OOO REGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.) OOO Pouvoir adjudicateur:
Plus en détailCahier des charges assistance juridique de l Apur 13 août 2013
Cahier des charges assistance juridique de l Apur 13 août 2013 1 Présentation de l Apur 2 1.1 Création, missions 2 1.2 Statuts et membres 2 1.3 Fonctionnement 2 2 Contexte général de la mission 3 3 Prestation
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT 1414214 D Intitulé du texte : projet de décret relatif aux modalités de calcul du taux annuel effectif de l assurance Ministère à l origine de la
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détail«Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation»
«Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation» Note de présentation Le réseau des pôles ressources d aide au développement de la vie associative du Nord - Pas de Calais propose à
Plus en détailRéunion Information Investissements d Avenir
Réunion Information Investissements d Avenir Logiciel Embarqué et Objets Connectés Sophia, 16 Juillet 2013 Investissements Avenir : Réorientation Réorientation de 2,2 Mds$ du budget non engagé des IA Soutien
Plus en détailConditions Générales Location d équipements terminaux
Conditions Générales Location d équipements terminaux Vous trouverez dans le présent document les conditions générales qui s'appliquent à la location des équipements terminaux de Orange. Elles peuvent
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) COMMUNE DE TRAMOLE Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Personne Responsable du Marché représentant le pouvoir
Plus en détailINITIATIVE FORMATION Volet : Création et Reprise d Entreprise
INITIATIVE FORMATION Volet : Création et Reprise d Entreprise Foire aux questions (FAQ) Dispositif mis en œuvre à compter du 25 juin 2013 (délibération du 24 juin 2013) Le dispositif Initiative Formation
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailMECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP)
MAPPP/12-16 FICHE : CRISTALLISATION DES TAUX MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP) Introduction Cette note examine les différentes modalités de couverture du risque
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailDepuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.
Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce
Plus en détailLoi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi
Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi Généralisation de la complémentaire santé pour les salariés Portabilité des droits votre mutuelle. votre expert santé L accès aux soins
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailNOTE D ORIENTATION n 2013-001/DATAR PREPARATION DES PROGRAMMES EUROPEENS 2014-2020
NOTE D ORIENTATION n 2013-001/DATAR PREPARATION DES PROGRAMMES EUROPEENS 2014-2020 Après plus de dix-huit mois de négociations entre les Etats européens et un premier échange infructueux entre les chefs
Plus en détailGuide pour aider à l évaluation des actions de formation
Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l
Plus en détailNOTE D ORIENTATION 2015
NOTE D ORIENTATION 2015 Introduction 1. Le Fonds de l OIM pour le développement, créé en 2001, vient en aide aux Etats Membres en développement et à ceux dont l économie est en transition en vue de l élaboration
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION
REPUBLIQUE FRANCAISE Mairie d ORCINES Place Saint Julien 63870 ORCINES 04 73 62 10 09 04 73 62 73 00 mairie.orcines@wanadoo.fr www.orcines.fr REGLEMENT DE LA CONSULTATION Maître d ouvrage COMMUNE D ORCINES
Plus en détail