Rapport d activité SOUTIEN

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1 LE MOT DU PRESIDENT ERE PARTIE L ASSOCIATION SOUTIEN Origine, missions et orientations de l association Historique et création de l Association Les missions du CLIC SOUTIEN Les instances de l Association Les ressources de l Association Les différentes missions de l association Le CLIC SOUTIEN Les activités en tant que structure évaluatrice Les formations suivies en Le site internet Le recueil de la satisfaction des bénéficiaires EME PARTIE LES ACTIONS INDIVIDUELLES EN L ensemble des dossiers en Les dossiers de demandes Répartition mensuelle des entretiens Répartition des entretiens par type La répartition des entretiens à domicile par cantons et par communes La répartition des entretiens par types de professionnel Typologie de la population âgée De quelles communes proviennent les dossiers de demandes? Les catégories de besoins exprimés par les personnes aidées lors des entretiens Le détail des besoins exprimés Les motifs de fermeture des dossiers Les nouveaux dossiers de demande Les nouveaux dossiers de demande L origine des nouvelles demandes Comment les demandeurs ont-ils connus le CLIC? Les évaluations CLIC dans les situations de majeurs vulnerables Rappel des procédures La provenance du signalement La typologie des dossiers Le type de situations signalées au CLIC Résultats des évaluations effectuées Les dossiers faisant l objet d une reconnaissance APA Rappel des procédures Nombre de dossiers La typologie des dossiers Les plans d aides proposés Les dossiers d évaluation pour l action sociale des caisses de retraite La démarche d évaluation globale Typologie des demandeurs Focus par caisse de retraite EME PARTIE LE TRAVAIL DE COORDINATION DANS LES ACCOMPAGNEMENTS COMPLEMENTAIRES L accompagnement des retraités fragilisés de la CNAV La mise en place de la gestion de cas Les accompagnements médico-sociaux complexes CLIC Rapport d activité SOUTIEN

2 4 EME PARTIE LE TRAVAIL EN RÉSEAU Réunions CLIC Conseil Général Réunions avec le SCSMS Les Commissions de Coordination Gérontologique Le schéma de l autonomie Le travail avec les régimes de retraite La Caisse Nationale de l Assurance Vieillesse Le Régime Social des Indépendants La Mutualité Générale de l Education Nationale Les caisses du groupement AGIRC ARRCO Les partenaires locaux Rencontres avec les SAAD Rencontres avec les partenaires locaux Réalisation du GMP du foyer résidence de NEMOURS Les liens avec les Communautés de Communes Les réunions avec le RGS Les réunions avec la MAIA Sud Participation à différentes instances Instances CAE PMV Diagnostic de territoire Les commissions APA Groupe départemental CNAV Le CODERPA Le Comité Territorial sur le Non Recours Le travail avec les autres CLIC Réunion avec le service social CRAMIF La rencontre avec le SAVS Participation au Forum UNA Création d une structure départementale d évaluation EME PARTIE LES ACTIONS COLLECTIVES DE PREVENTION Les actions à destination des aidants Les actions autour du Bien Vieillir CONCLUSION ORIENTATIONS ET PERSPECTIVES POUR ANNEXES Rapport d activité SOUTIEN

3 LE MOT DU PRESIDENT Le bilan d activité de l année 2013 démontre une nouvelle fois que le CLIC SOUTIEN Gâtinais Loing répond à l attente des personnes de plus de soixante ans, et remplit ses missions sur le territoire des quatre cantons du sud Seine-et-Marne. En 2013, le CLIC SOUTIEN Gâtinais Loing aura eu un taux de couverture de plus de 9% des personnes de plus de 60 ans de son territoire avec 1525 dossiers ouverts, soit une augmentation de 17% en un an. Cette évolution est également visible concernant les visites à domicile en progression elles de 21%, avec des évaluations certes toujours plus nombreuses mais également toujours plus poussées avec des conseils sur l habitat, les aides à domicile, le soutien aux aidants, les actions de prévention, les aides techniques. Le CLIC SOUTIEN Gâtinais Loing est au cœur d un réseau qui rassemble tous les acteurs intervenant sur les questions liées au vieillissement sans pour autant se substituer à ces organismes. Discerner les besoins de la personne, répondre à ses questions, l informer sur ses droits, l orienter vers les structures compétentes et l accompagner dans l instruction des dossiers, telles sont certaines des missions de l équipe du CLIC SOUTIEN. L organisation de théâtres forum, de réunions d information, de conférences dans le domaine de la «prévention santé» rassemblent régulièrement de nombreux participants et contribuent à l animation du territoire. Les actions du CLIC SOUTIEN restent toutefois encore insuffisamment connues de bon nombre de personnes et en particulier des municipalités, même si un gros travail a été fait en ce sens et que les mairies manifestent de plus en plus leur soutien, notamment financier, à notre action. Notre structure a choisi de s inscrire dans les valeurs du monde associatif, ce qui nécessite une recherche continue de financements permettant d assurer une certaine pérennité à notre action, mais également de bénévoles qui restent les piliers du modèle associatif. Aujourd hui, nous devons poursuivre la diversification des financements auprès de nos actuels et futurs partenaires. Nous remercions le Conseil Général, l ARS, la CNAV, le RSI, la MSA et les communes pour leur soutien qui nous permet de remplir notre mission d utilité publique. Comme toujours, l équipe salariée que je tiens à saluer pour son enthousiasme et sa disponibilité ne peut rien sans l appui de l ensemble des partenaires du territoire, c est pourquoi je tiens une nouvelle fois à vous remercier pour votre soutien et votre investissement à nos côtés dans l accompagnement des seniors de l extrême Sud Seine-et- Marne. Hugues MONCEL. Rapport d activité SOUTIEN

4 1 ère PARTIE L ASSOCIATION SOUTIEN 1. ORIGINE, MISSIONS ET ORIENTATIONS DE L ASSOCIATION 1. Historique et création de l Association Les services sociaux du Centre Hospitalier de Nemours, les membres des CCAS de Nemours, de Saint Pierre Lès Nemours et les responsables de plusieurs structures d hébergement et de services de soins se sont rencontrés pour discuter et échanger sur les problématiques notamment rencontrées à l occasion des sorties d hospitalisation des personnes âgées. Dès l année 2000 pour aboutir au dépôt d un 1 er dossier de candidature en 2001 auprès de la DDASS. La réflexion partenariale s est poursuivie jusqu en 2005 avec la création de l association Loi 1901 SOUTIEN : Service d Orientation, d écoute et d Information de Nemours. Cette association a été constituée dans le but de servir de support juridique au CLIC afin de chercher une réponse au manque d accompagnement et à la nécessité d envisager un service qui rassemblerait dans un seul lieu les informations nécessaires à un accompagnement des retraités, notamment via la mise en place de leurs aides à domicile. Suite au transfert de la compétence de gestion des CLIC de l Etat au département, les porteurs du projet de création du CLIC SOUTIEN ont poursuivi leur travail en vue d une reconnaissance par le département. C est ainsi que le projet SOUTIEN aura été défendu devant la Commission Départementale des Coordinations Gérontologiques le 28 Juin 2007 avant d être examiné par le Comité Régional de l Organisation Sociale et Médico-Sociale le 5 Décembre suivant. Ayant reçu un avis favorable de ces deux instances, le CLIC SOUTIEN de Nemours a été officiellement reconnu par le Président du Conseil Général de Seine et Marne par l arrêté officiel n /CLIC/N 01 daté du 22 Février 2008 et a ouvert ses portes au public en aout Les missions du CLIC SOUTIEN Partant des principes fondamentaux définis par les cadres réglementaires, le CLIC SOUTIEN a défini ses missions dans ses statuts associatifs qui se résument ainsi : Créer un lieu d information, d accueil et d orientation pour les personnes âgées et leurs proches ; Permettre l installation d une équipe médico-sociale ayant pour objectif d améliorer les réponses aux attentes et aux besoins des personnes âgées de son secteur d intervention, de modifier les représentations sociales de la vieillesse et d organiser les réponses en partenariat autour de la personne ; Mettre à disposition des différents acteurs gérontologiques un lieu ressource, de concertation et d échanges ; Favoriser une meilleure articulation des services de soutien à domicile entre eux mais aussi avec les structures d hébergement et d hospitalisation ; Rapport d activité SOUTIEN

5 Organiser les réponses en partenariat autour de la personne âgée par la recherche des modes d intervention les plus adaptés en les coordonnant ; Favoriser le développement d actions de formation et de rencontres partenariales S intégrer dans les projets de développement ou de création de dispositifs de prise en charge sanitaire et médico-sociale des populations âgées. 3. Les instances de l Association L association SOUTIEN est gérée par deux instances représentatives : le Bureau et le Conseil d administration. Au cours de l année 2013, le bureau se composait de 5 membres (voir annexe.) qui s est réuni à 3 reprises, en Février, Mars et Juillet, réunissant de 3 à 4 personnes. Concernant le conseil d administration, il comptait 12 membres en 2013 (voir annexe ) et s est également réuni 3 fois en 2013, au cours des mois d Avril, Juin et Octobre. Ces instances ont notamment permis d aborder l articulation du CLIC avec la MAIA Sud, la mise en place de la plateforme départementale d évaluation et la vie de l association. 4. Les ressources de l Association a. Les différentes sources de financement Les ressources de l association se composent : de la subvention du Conseil Général ; des subventions de certaines communes du territoire du CLIC ; des subventions des Caisses de Retraite ; de prestations de service ; des dons et adhésions des membres ; des appels à projets (caisses de retraites, ARS ) b. L évolution des financements sur les 3 dernières années. Il nous semble intéressant de voir l évolution des ressources de notre structure, sur les 4 dernières années. On constate une hausse des ressources associatives d environ 38% entre 2010 et TOTAL RESSOURCES Pour autant, les charges de fonctionnement augmentent au moins aussi vite que les ressources, les résultats comptables restent donc toujours précaires. Rapport d activité SOUTIEN

6 L histogramme, ci-dessus, permet de voir l évolution des sources de financement de l association SOUTIEN, sur les 4 dernières années. On constate en particulier la volonté de diversifier les sources de financement, afin de permettre une augmentation de nos ressources. Cependant, il est à noter la difficulté actuelle pour trouver de nouveaux financeurs. En effet, les financements sont, de plus en plus, subordonnés à des appels à projet qui nécessitent un investissement, toujours plus grand, en moyens humains, en temps et en expertise. Nos structures de taille très modeste ont donc de plus en plus de mal à y répondre. 2. LES DIFFÉRENTES MISSIONS DE L ASSOCIATION L Association SOUTIEN est centrée autour de deux pôles d activité principaux : Les missions spécifiques du CLIC ; La mission d évaluation globale pour les caisses de retraite. 1. Le CLIC SOUTIEN a. Les grands principes du CLIC Le CLIC SOUTIEN mobilise, autour des besoins individuels de la personne, les ressources des champs sanitaire, social et médico-social afin de garantir la cohérence des politiques publiques en direction des personnes âgées et ce dans une logique de proximité, d accès aux droits et de mise en réseau entre les professionnels concernés. Rapport d activité SOUTIEN

7 Le CLIC SOUTIEN : est un lieu d accueil, d information et d orientation pour les personnes âgées et leurs familles ; recense, mobilise et organise l ensemble des informations, des moyens et des services rendus concernant la personne âgée ; favorise la concertation, l échange, la coordination des partenaires concernés par l action gérontologique ; permet devant des situations complexes et/ou urgentes une prise en charge optimale ; participe à l information et la formation des personnes âgées, de leurs familles, des aidants naturels et professionnels et des bénévoles ; prévoit et conclut la signature de partenariats avec les établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux permettant une réflexion conjointe des divers professionnels autour des besoins de la personne âgée ; favorise la mise en relation de l ensemble des acteurs et contribue à une meilleure coordination des interventions sur son territoire, assurant la cohérence des actions et des partenaires pour une application adaptée et personnalisée de l action médico-sociale. b. L organisation du CLIC SOUTIEN Le territoire d intervention : Le CLIC SOUTIEN intervient sur 4 cantons différents, soit 66 communes (voir annexe 2) : Canton de NEMOURS Bagneaux sur Loing Garentreville Nonville Bourron Marlotte Grez sur Loing Ormesson Chatenoy La Genevraye Poligny Chevrainvilliers Moncourt Fromonville St Pierre les Nemours Darvault Nanteau sur Lunain Treuzy Levelay Fay les Nemours Nemours Canton de CHÂTEAU LANDON Arville Château Landon Mondreville Aufferville Chenou Obsonville Beaumont du Gâtinais Gironville Souppes S/ Loing Bougligny Ichy Bransles La Madelaine Chaintreaux Maisoncelles Rapport d activité SOUTIEN

8 Canton de LORREZ LE BOCAGE Blennes Montmachoux Vaux S/ Lunain Chevry en Sereine Noisy Rudignon Villebéon Diant Paley Voulx Egreville Remauville Flagy St Ange le Vieil Lorrez le Bocage Thoury Ferrotes Canton de LA CHAPELLE LA REINE Achères la Forêt Guercheville Recloses Amponville La Chapelle la Reine Rumont Boulancourt Larchant Tousson Burcy Le Vaudoué Ury Buthiers Nanteau S/ Essonne Villiers sous Grez Fromont Noisy S/ Ecole Le Public cible : Le CLIC SOUTIEN assure un accueil personnalisé et gratuit quelle que soit l origine de la demande : la personne de plus de 60 ans ; la famille, «les aidants familiaux» ; «les aidants naturels» ; les professionnels des secteurs sanitaire, social et médico-social ; les structures médico-sociales ou sanitaires (hospitalière) Les CLIC s inscrivent dans une politique en faveur des personnes âgées concourant à améliorer la qualité de la prise en charge fondée sur une approche globale et personnalisée des besoins des personnes. Au total, la population des plus de 60 ans de notre secteur représente un peu plus de personnes, soit environ 23% de la population totale, répartie comme indiqué dans le tableau suivant. (Chiffres 2010) CANTON POPULATION TOTALE PLUS DE 60 ANS % DE PLUS DE 60 ANS NEMOURS ,02% CHÂTEAU LANDON ,68% LA CHAPELLE LA REINE ,04% LORREZ LE BOCAGE ,52% TOTAL ,55% Rapport d activité SOUTIEN

9 Les horaires d ouverture : Le CLIC SOUTIEN est ouvert au public du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h, cependant, l accueil du public le vendredi après-midi ne se fait que sur rendez-vous. En dehors de ces heures ouvrables, un répondeur permet aux usagers de laisser des messages. Ils sont rappelés systématiquement. Lors de manifestations ou d événements ponctuels, le CLIC peut être amené à fermer ses locaux pour la journée ou demi-journée. L équipe salariée : 2013 a été une année de stabilisation de l équipe salariée. Cette stabilité a facilité le développement des contacts partenaires, de nouveaux projets collectifs 2. Les activités en tant que structure évaluatrice a. Les évaluations CNAV Une convention relative à la fonction d évaluation et d organisation du plan d actions personnalisé a été signée entre la CNAV et l association SOUTIEN, support du CLIC, le 22 juillet 2009 et est entrée en vigueur le 01 septembre Cette convention fixe les conditions dans lesquelles la CNAV confie au CLIC SOUTIEN la mission d évaluer les besoins des retraités, de proposer et d organiser, le cas échéant, un plan d actions personnalisé pour faciliter le maintien à domicile. L équipe du CLIC s engage pour cela à réaliser une évaluation globale et à mettre en place un plan d actions personnalisé des demandes effectuées par : des personnes retraitées à titre principal de la CNAV ; des personnes conjointes sans ressources personnelles d une personne retraitée à titre principal de la CNAV ; et ayant un niveau d autonomie GIR 5 ou GIR 6 selon la grille AGGIR. Nous distinguons 3 types de dossiers d évaluation réalisés au titre de la CNAV : 1. Les dossiers de première demande : toute nouvelle personne souhaitant être aidée à son domicile et bénéficier d une participation financière (suivant ressources) de sa caisse de retraite. Ce dossier d évaluation est constitué d un plan d actions valable une année puis renouvelable tous les deux ans. 2. Les dossiers de réexamen : personne bénéficiant déjà d une prise en charge au titre de la CNAV et ayant un plan d actions en cours. Le renouvellement permet de revoir les aides en place chaque année. Rapport d activité SOUTIEN

10 3. Les dossiers ARDH (Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation) : aide ponctuelle d urgence destinée à soutenir une personne qui sort d un établissement de santé et qui est en perte momentanée d autonomie. L ARDH permet à la personne d être accompagnée pour un retour à l autonomie le plus rapide possible. Lors des évaluations une attention toute particulière est portée aux actions de prévention dites primaires, via des actions au niveau de l environnement (aides techniques, intervention d un ergothérapeute, conseils en aménagement ou adaptation du logement ) ainsi qu au niveau d actions ponctuelles de prévention via des cycles d ateliers et de conférences de sensibilisation b. Les évaluations RSI L année 2012 a été marquée par la reconnaissance de notre structure en tant qu évaluateur par un second régime de retraite principale, à savoir le Régime Social des Indépendants. Ce régime rassemble les anciens commerçants, artisans, entrepreneurs Depuis 2012, l association SOUTIEN s est vue, dans un premier temps, confier les évaluations concernant les retours à domicile après hospitalisation. La convention prévoit que nous intervenions au moment du retour à domicile (suite à la demande du RSI) afin d évaluer les besoins des retraités et de mettre en œuvre les aides nécessaires. Une seconde évaluation est prévue, dans les 45 jours, afin de faire le point sur l évolution du retraité et constituer, si nécessaire, un dossier d Allocation Personnalisée d Autonomie, par exemple. Les échanges, entre le CLIC et le RSI Ile de France Est, ont amené ce dernier à nous proposer d effectuer, à compter de la fin 2012, les évaluations relatives aux premières demandes d aide à domicile formulées par les retraités. Les procédures mises en place par le RSI prévoient que les demandes doivent émaner d un service social hospitalier ou d un service d aide à domicile pour les ARDH. Pour les premières demandes, c est au retraité lui-même de faire la démarche. Voir détail des procédures (voir annexe 3). c. Les évaluations EVAL77 Depuis le 1er octobre 2013, l association SOUTIEN est conventionnée avec la plateforme départementale d évaluation, EVAL77, gérée par l association RELIAGE basée à Lagny. Cette nouvelle organisation engendre une participation aux frais de cette nouvelle structure, ce qui diminue notre rémunération par évaluation effectuée (entre 104 et 106 euros au lieu de 110 euros). Ce conventionnement nous a donc permis de devenir la structure en charge des évaluations pour le compte de la Mutualité Sociale Agricole pour tous les retraités bénéficiant ou demandant à bénéficier d une aide-ménagère, et ce sur l ensemble des communes de notre territoire. Les bénéficiaires de l action sociale MSA ne peuvent pas pour le moment prétendre à des prestations de type «Aide au retour après hospitalisation», nous intervenons donc sur les Rapport d activité SOUTIEN

11 premières demandes et les renouvellements de droits. Actuellement, les prestations sont accordées pour 12 mois, avec possibilité de modification en cours de prise en charge si besoin. La Mutualité Sociale Agricole est caisse de retraite pour les agriculteurs, les ouvriers agricoles, mais également pour les retraités du Crédit Agricole et de Groupama, notamment. d. La Fonction Publique d Etat Dans le cadre de la politique nationale de prévention et d accompagnement du risque dépendance des personnes socialement fragilisées, le ministère en charge de la fonction publique met en œuvre une aide au maintien à domicile en faveur de ses retraités non éligibles à l aide versée par les conseils généraux. À l instar de ce qui est mis en place par la CNAV pour les retraités du régime général, l État a souhaité s inscrire dans le champ de la prévention de perte d autonomie en permettant aux retraités de la fonction publique d État de bénéficier d une aide au maintien à domicile. Cette prestation est proposée, depuis le 17 octobre 2012 : aux fonctionnaires retraités de l État, titulaires d une pension civile de retraite régie par le code des pensions civiles et militaires de retraite de l État ; aux ouvriers d État retraités, titulaires d une pension de retraite servie au titre du régime des pensions des ouvriers des établissements industriels de l État défini par le décret du 5 octobre 2004 ; aux ayants-causes (veuf et veuve non remariés) des bénéficiaires mentionnés aux deux alinéas précédents, titulaires d une pension de réversion, sous réserve de ne pas être éligible à une prestation de même nature. Nous distinguons deux types de dossiers d évaluation réalisés au titre de la fonction publique d état : Les dossiers de première demande : toute nouvelle personne souhaitant être aidée à son domicile ou souhaitant réaliser des travaux d aménagement de son logement. Les dossiers ARDH (Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation) : aide ponctuelle d urgence destinée à soutenir une personne qui sort d un établissement de santé et qui est en perte momentanée d autonomie. Cependant, les conditions d accès à ces prestations sont très restreintes, notamment au niveau des ressources, ce qui limite fortement le nombre de dossiers de ce régime. 3. Les formations suivies en : «La confidentialité et le secret partagé : des professionnels aux usagers accompagnés à domicile», Formation animée par Pierre Brice LEBRUN, juriste (S.SIMON) : Formation MDPH, «Prestations» (E.LECLERRE & S.SIMON) Rapport d activité SOUTIEN

12 : Formation MDPH, «Prestation Compensation du Handicap» (E.LECLERRE) : Formation sur l évaluation globale, organisée par le CNAV (E.LECLERRE & S.SIMON) 17, 23, 24, 30 et : Formation Paie (S.MOLLET), ACE Formation : Formation document unique des risques professionnels (S.SIMON), CER France 4. Le site internet Comme l histogramme ci-dessus le montre, le nombre de visites mensuelles ne cesse de progresser, en particulier au cours du second semestre Les raisons de cette progression ne peuvent être que supposées, cependant, peut être peuton établir un parallèle entre la diffusion auprès des retraités MGEN des actions menées par notre association (diffusion effectuée par la MGEN par mail à ses bénéficiaires) et d une mise en ligne des coordonnées de notre site sur le portail internet du conseil général. Rapport d activité SOUTIEN

13 5. Le recueil de la satisfaction des bénéficiaires La loi n du 2 janvier 2002 reconnait les CLIC dans la nomenclature des établissements et services sociaux et médico-sociaux assurant des missions d informations, de conseil et de coordination au bénéfice d usagers ou d autres établissements et services. Dans ce cadre, nous avons remis, en 2013, un questionnaire de satisfaction à 230 personnes, 85 ont répondu, soit un taux de retour de 37%, ce qui reste très correct pour une telle démarche. Les résultats aux questions sont les suivants : Pour nous permettre de vous identifier, êtes-vous : 18% 1% La personne concernée La personne concernée 81,2% Un membre de l'entourage 17,6% SANS REPONSE 1,2% 81% Un membre de l'entourage SANS REPONSE Recommanderiez-vous le CLIC à votre entourage? OUI 95,3% NON 2,4% SANS REPONSE 2,4% 2,4% 2,4% 95,3% OUI NON SANS REPONSE par téléphone Comment avez-vous contacté le CLIC? par téléphone 56,5% 27,1% 8,2% directement au bureau directement au bureau 7,1% par 1,2% autres 27,1% SANS REPONSE 8,2% 1,2% 7,1% 56,5% par autres SANS REPONSE Rapport d activité SOUTIEN

14 Comment avez-vous connu le CLIC? Plaquettes/affiches/site internet 7,1% Caisse de retraite 16,5% Administration (mairie, MDS, ) 29,4% Hôpital 8,2% Professionnels de santé 11,8% Bouche à oreille 12,9% Autres 15,3% SANS REPONSE 2,4% Comment les bénéficiaires ont connu le CLIC 29,4% 16,5% 7,1% 8,2% 11,8% 12,9% 15,3% 2,4% Pour quelle(s) raison(s) vous avez nous contactés? Demande d'information 20,0% Recherche d'établissement 1,2% Adaptation du logement 4,7% Organisation du maintien à domicile 68,2% Aide administrative 23,5% Autre 5,9% SANS REPONSE 5,9% Raisons pour lesquelles nous avons été contactés 68,2% 20,0% 1,2% 4,7% 23,5% 5,9% 5,9% Rapport d activité SOUTIEN

15 Que pensez-vous de : La qualité de l'accueil Très satisfaisant 84,7% Satisfaisant 12,9% Peu satisfaisant 0,0% Non satisfaisant 0,0% SANS REPONSE 2,4% La qualité de l'entretien Très satisfaisant 81,2% Satisfaisant 15,3% Peu satisfaisant 1,2% Non satisfaisant 0,0% SANS REPONSE 2,4% La qualité des informations fournies Très satisfaisant 71,8% Satisfaisant 24,7% Peu satisfaisant 0,0% Non satisfaisant 0,0% SANS REPONSE 3,5% La documentation remises (listes, plaquettes ) Très satisfaisant 54,1% Satisfaisant 27,1% Peu satisfaisant 0,0% Non satisfaisant 0,0% SANS REPONSE 18,8% Souhaitez-vous être informés des actions du CLIC? OUI 45,9% NON 47,1% SANS REPONSE 7,1% Rapport d activité SOUTIEN

16 2 ème PARTIE LES ACTIONS INDIVIDUELLES EN 2013 Selon la nature des demandes des usagers, nous distinguons trois grandes catégories d activités du CLIC auprès des retraités : 1. L activité liée aux demandes d information et d orientation : appels téléphoniques et/ou visites au CLIC. 2. L activité liée aux demandes d évaluations sans prise en charge : ouverture d un dossier à partir d un appel téléphonique ou d un contact qui nécessite une évaluation au domicile de la personne sans mise en place d aides. 3. L activité liée aux demandes de prise en charge : la réponse à cette demande nécessite une visite au domicile, avec une évaluation de la situation, une prise en compte de l autonomie de la personne (grille AGGIR), la mise en place d un plan d aides personnalisé et un suivi de situation. L ouverture d un dossier de demande de prise en charge donne donc systématiquement lieu à une visite chez la personne âgée. Les étapes sont en règle générale les suivantes : réception de la demande ; visite à domicile ; recueil de données, évaluation des besoins et de la situation ; élaboration d un plan d action ; concertation et/ou orientation vers les partenaires concernés ; suivi ou soutien si nécessaire à la demande de la personne ou du partenaire. Il existe trois types de dossiers qui font l objet d une prise en charge par le CLIC SOUTIEN : Les dossiers de coordination CLIC ; Les dossiers d évaluation pour les caisses de retraite ; Les dossiers d évaluation PMV (Personne Majeure Vulnérable). Les dossiers de coordination CLIC concernent les personnes dont la situation est complexe et nécessite un suivi individuel souvent sur une longue durée, avec une coordination des partenaires. Ceci se fait dans le cadre des missions dévolues aux CLIC. Les dossiers d évaluation pour les caisses de retraite concernent les évaluations auprès de toute personne âgée autonome (relevant d un GIR 5 ou 6) pour laquelle est mis en place un plan d aides personnalisé, dans le cadre de financement d aides au maintien à domicile, et dont une partie est prise en charge par la caisse de retraite. Cependant, ces dossiers engendrent dans la grande majorité des cas des actions hors du cadre du dossier caisse de retraite à proprement parlé, via des demandes de renseignements, des aides financières, du soutien aux aidants ou encore des orientations complémentaires. Rapport d activité SOUTIEN

17 3. L ENSEMBLE DES DOSSIERS EN Les dossiers de demandes Nous allons, ici, considérer l ensemble des dossiers de demande (nouveaux ou déjà créés) sur lesquels le CLIC SOUTIEN intervient, ce qui nous permet d évaluer le volume de l activité réelle. a. Le nombre de dossiers traités Le tableau ci-dessous nous permet de visualiser l ensemble des dossiers mais aussi le nombre de nouveaux dossiers ainsi que le nombre de visites à domicile et d entretiens que l équipe du CLIC SOUTIEN a traité en Le nombre total des dossiers tient compte des dossiers ouverts de 2009 à 2013 restés actifs sur l année Nombre de dossiers de demandes Total du nombre de dossiers Nouveaux dossiers Nombre d'entretiens 9243 dont nombre de visites à domicile 524 Nous reviendrons sur le détail des entretiens et des visites à domicile dans les paragraphes suivants. b. La nature des dossiers Comme nous l indiquons en introduction de partie, les dossiers traités par le CLIC sont divisés en trois grandes catégories traduisant la nature du ou des besoin(s) du retraité. Le tableau ci-dessous nous indique pour quel type de besoin les personnes âgées ou leur entourage nous ont contactés. NATURE DES BESOINS NB de demandes en 2013 En % 2013 Demande d'information, orientation ,8% Demande d'évaluation sans prise en charge ,8% Demande de prise en charge ,5% Total % Rapport d activité SOUTIEN

18 On constate que les dossiers de prise en charge représentent pratiquement la moitié des dossiers du CLIC. Pour autant, il est important de garder à l esprit que ces dossiers ont certes fait l objet d une démarche via une caisse de retraite mais que bon nombre d entre eux contiennent des demandes et échanges en dehors des procédures caisse de retraite. De plus, ces dossiers de prise en charge restent actifs jusqu au décès, départ en EHPAD ou éventuellement à une prise en charge APA, alors que les dossiers d information/orientation sont souvent clôturés, les personnes ayant eu les réponses adéquates, elles n ont pas de raison de solliciter à nouveau le CLIC sauf changement de situation ou nouveau questionnement. Enfin, il est à noter que même si les dossiers de prise en charge restent stables en nombre, leur part dans l activité globale du CLIC diminue en raison de la forte augmentation du nombre de dossiers dits de «1 er niveau», à savoir les dossiers Information/Orientation. Rapport d activité SOUTIEN

19 2. Répartition mensuelle des entretiens Pour chaque personne est créé un dossier de demande, dans lequel sont saisis tous les entretiens ou contacts avec cette personne ou son entourage. Ainsi, un même dossier comporte plusieurs entretiens. En 2013, 9243 entretiens ont été réalisés, soit une moyenne de 6 contacts par dossier. MOIS NB D'ENTRETIENS EN 2012 NB D'ENTRETIENS EN 2013 janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre TOTAL Le tableau ci-dessus met donc en évidence une progression de plus de 36% du nombre des entretiens annuels entre l année 2012 et l année 2013, à effectif équivalent. On constate qu au cours de l année 2013, la moyenne mensuelle des entretiens était de 770 contre une moyenne de 565 en Ces entretiens peuvent prendre différentes formes et s effectuer avec les personnes elles-mêmes, leur entourage ou des professionnels intervenant dans la situation. Rapport d activité SOUTIEN

20 3. Répartition des entretiens par type Le tableau et le graphique suivants permettent de cibler les moyens de communication utilisés pour les entretiens : TYPE NB 2013 En % 2013 COURRIER 581 6,3% EN ETABLISSEMENT 23 0,2% PAR OU FAX ,5% REUNION 251 2,7% TÉLÉPHONE ,3% VISITE AU CLIC 217 2,3% À DOMICILE 524 5,7% TOTAL % On constate que comme l an passé, les entretiens effectués dans les locaux du CLIC ne cessent de progresser. Nous dénombrons ainsi 217 entretiens dans nos locaux contre seulement 123 en La répartition des entretiens à domicile par cantons et par communes 524 visites à domicile ont été réalisées en 2013 contre 430 en 2012, soit une progression de +21% à ratio de personnel équivalent. Dans le tableau suivant, les données concernent la domiciliation des personnes pour lesquelles l équipe du CLIC SOUTIEN a effectué ces visites à domicile : Rapport d activité SOUTIEN

21 CHÂTEAU LANDON LA CHAPELLE LA REINE LORREZ LE BOCAGE PRÉAUX VILLES NB VISITES ARVILLE 0 AUFFERVILLE 3 BEAUMONT DU GATINAIS 17 BOUGLIGNY 2 BRANSLES 7 CHAINTREAUX 4 CHÂTEAU LANDON 17 CHENOU 2 GIRONVILLE 0 ICHY 0 LA MADELEINE SUR LOING 1 MAISONCELLES EN GATINAIS 0 MONDREVILLE 0 OBSONVILLE 0 SOUPPES SUR LOING 52 ACHERES LA FORET 12 AMPONVILLE 2 BOISSY AUX CAILLES 1 BOULANCOURT 0 BURCY 2 BUTHIERS 3 FROMONT 1 GUERCHEVILLE 1 LA CHAPELLE LA REINE 11 LARCHANT 4 LE VAUDOUÉ 4 NANTEAU SUR ESSONNE 7 NOISY SUR ECOLE 5 RECLOSES 7 RUMONT 1 TOUSSON 1 URY 6 VILLIERS SOUS GREZ 10 BLENNES 2 CHEVRY EN SEREINE 0 DIANT 1 EGREVILLE 9 FLAGY 5 LORREZ LE BOCAGE PRÉAUX 16 MONTMACHOUX 1 NOISY RUDIGNON 1 PALEY 6 REMAUVILLE 0 ST ANGE LE VIEIL 2 THOURY FÉROTTES 2 VAUX SUR LUNAIN 0 VILLEBÉON 0 Rapport d activité SOUTIEN

22 NEMOURS VILLEMARÉCHAL 2 VOULX 10 BAGNEAUX SUR LOING 12 BOURRON MARLOTTE 10 CHATENOY 0 CHEVRAINVILLIERS 1 DARVAULT 8 FAY LES NEMOURS 2 GARENTREVILLE 1 GREZ SUR LOING 7 LA GENEVRAYE 4 MONCOURT FROMONVILLE 8 NANTEAU SUR LUNAIN 6 NEMOURS 146 NONVILLE 6 ORMESSON 3 POLIGNY 17 ST PIERRE LES NEMOURS 46 TREUZY LEVELAY 7 TOTAL 524 Nos visites auront donc eu lieu dans 58 des 66 communes de notre territoire d intervention, contre seulement 49 communes en 2012, ce qui montre que notre couverture du territoire ne cesse de s améliorer. 5. La répartition des entretiens par types de professionnel Sur les 9243 contacts enregistrés en 2013, les 2/3 se font avec un partenaire en présence ou non du bénéficiaire. Nous avons regroupés ces professionnels par catégories pour mettre en avant les principaux partenariats existants. Rapport d activité SOUTIEN

23 CATÉGORIE SAAD / Portage de repas / Transport / Téléassistance NB D'ENTRETIENS EN % ,7% PACT / Bailleurs 110 1,9% Bénévoles / Représentants des usagers 32 0,5% Caisses de retraite ,3% CCAS / Mairies 205 3,5% Médecins 115 2,0% EHPAD / Foyers logements 67 1,1% Hôpitaux / Soins de suite 189 3,2% IDE / SSIAD 70 1,2% Services de tutelles / Mandataires 86 1,5% Services sociaux des hôpitaux ,7% MDS / CG / Equipe APA ,2% Réseaux de santé 201 3,4% Autres (dont CLIC / MAIA ) 108 1,8% TOTAL ,0% Ce tableau nous permet de mettre en avant la diversité des partenaires et montre que les caisses de retraite représentent moins du 1/3 des échanges entre le CLIC et un professionnel. Il est également intéressant de noter la présence dans près de 11% des échanges des services sociaux hospitaliers et dans plus de 12% ceux du Conseil général. 6. Typologie de la population âgée a. Répartition par sexe La répartition entre hommes et femmes reste stable avec une proportion de 71% de femmes pour seulement 29% d hommes. Rapport d activité SOUTIEN

24 b. Répartition par tranches d âge Concernant la structure par âge, nous obtenons les éléments suivants : TRANCHE AGE NOMBRE SANS RENSEIGNEMENT 173 MOINS DE 50 ANS 6 DE 50 A 59 ANS 16 DE 60 A 69 ANS 147 DE 70 A 79 ANS 344 DE 80 A 89 ANS 630 DE 90 A 99 ANS 206 DE 100 A 109 ANS 3 TOTAL De quelles communes proviennent les dossiers de demandes? CHÂTEAU LANDON VILLES NB DOSSIERS ARVILLE 3 AUFFERVILLE 8 BEAUMONT DU GATINAIS 54 BOUGLIGNY 9 BRANSLES 17 CHAINTREAUX 8 CHÂTEAU LANDON 70 CHENOU 4 GIRONVILLE 3 Rapport d activité SOUTIEN

25 LA CHAPELLE LA REINE LORREZ LE BOCAGE PRÉAUX NEMOURS ICHY 1 LA MADELEINE SUR LOING 6 MAISONCELLES EN GATINAIS 0 MONDREVILLE 2 OBSONVILLE 0 SOUPPES SUR LOING 128 ACHERES LA FORET 31 AMPONVILLE 4 BOISSY AUX CAILLES 1 BOULANCOURT 2 BURCY 2 BUTHIERS 11 FROMONT 2 GUERCHEVILLE 3 LA CHAPELLE LA REINE 41 LARCHANT 12 LE VAUDOUÉ 13 NANTEAU SUR ESSONNE 10 NOISY SUR ECOLE 23 RECLOSES 14 RUMONT 3 TOUSSON 4 URY 6 VILLIERS SOUS GREZ 13 BLENNES 9 CHEVRY EN SEREINE 9 DIANT 1 EGREVILLE 24 FLAGY 9 LORREZ LE BOCAGE PRÉAUX 19 MONTMACHOUX 4 NOISY RUDIGNON 8 PALEY 20 REMAUVILLE 6 ST ANGE LE VIEIL 2 THOURY FÉROTTES 9 VAUX SUR LUNAIN 0 VILLEBÉON 3 VILLEMARÉCHAL 6 VOULX 25 BAGNEAUX SUR LOING 39 BOURRON MARLOTTE 43 CHATENOY 7 CHEVRAINVILLIERS 3 DARVAULT 19 FAY LES NEMOURS 11 Rapport d activité SOUTIEN

26 AUTRES GARENTREVILLE 2 GREZ SUR LOING 28 LA GENEVRAYE 12 MONCOURT FROMONVILLE 37 NANTEAU SUR LUNAIN 8 NEMOURS 351 NONVILLE 13 ORMESSON 6 POLIGNY 20 ST PIERRE LES NEMOURS 146 TREUZY LEVELAY 8 HORS SECTEUR 72 NON RENSEIGNÉ 38 TOTAL 1525 Désormais, notre CLIC intervient donc auprès des habitants de 64 de nos 66 communes. Notre couverture géographique peut donc être considérée comme complète. Concernant les dossiers «hors secteur», ils restent nombreux du fait de notre positionnement au croisement des départements de la Seine et Marne, du Loiret, de l Essonne et de l Yonne. De plus, notre implantation au sein d un Centre Hospitalier qui accueille des patients de l ensemble de ces territoires renforcent encore la venue de familles qui résident hors de notre territoire. Aussi souvent que possible, nous les réorientons vers les CLIC de leur lieu de résidence, lorsqu ils existent. Si l on s en tient aux 1415 dossiers en cours sur notre territoire, on constate que nous avons un taux de prise en charge de la population des plus de 60 ans qui s élève à plus de 9%. Rapport d activité SOUTIEN

27 8. Les catégories de besoins exprimés par les personnes aidées lors des entretiens TYPE DE BESOINS NB DE DEMANDES EN % information - conseil - orientation ,1% CNAV ,5% RSI 84 1,0% MSA 4 0,05% évaluations (hors CNAV - RSI) 252 2,9% aide à domicile 570 6,5% aide administrative 197 2,2% hébergement 140 1,6% soins à domicile 73 0,8% prévention - dépistage 36 0,4% aménagement de l'habitat 113 1,3% situation de crise 11 0,1% aides financières 684 7,8% soutien psychologique 156 1,8% informations juridiques 190 2,2% handicap 36 0,4% loisirs 0 0% divers 0 0% sans renseignements 315 3,6% TOTAL % Ce tableau montre que la plupart des demandes exprimées portent sur des demandes globales d information (38%). Il faut noter que la CNAV a une part importante, mais qui rend compte du nombre important de démarches lié à ce type de dossier (information du bénéficiaire, lien avec la caisse, transmission de documents, coordination avec le service prestataire.). On peut également relever que les demandes concernant les aides financières continuent leur progression. Il s agit notamment de démarches en vue d obtention d aides financières pour les fournitures d énergie ou l achat d électroménager, mais également de plus en plus de demandes pour des aides au paiement de soins médicaux ou d appareillage. Un important travail est mené par l équipe du CLIC sur l ouverture des droits CMUC et ACS (Aide à l acquisition d une complémentaire santé) notamment. De plus, les demandes d information relatives aux droits APA sont également Rapport d activité SOUTIEN

28 9. Le détail des besoins exprimés DETAIL TYPE DE BESOINS NB DE DEMANDES INFORMATION - CONSEIL - ORIENTATION 3356 divers 1672 fiscalité 3 retraite 45 fonctionnement CLIC 5 maladies de la mémoire 47 retour à domicile 183 suivi de la personne 1401 CNAV 2601 RSI 84 MSA 4 EVALUATION (HORS CNAV - RSI) 252 évaluation avec un professionnel 30 évaluation CLIC 141 évaluation gérontologique 26 évaluation GMP 16 évaluation PMV 39 SERVICES A DOMICILE 570 aide à la personne 138 CESU 9 jardinage 4 maintien à domicile 224 pédicure 0 portage de repas 38 transports 64 téléassistance 93 AIDE ADMINISTRATIVE 197 aide aux démarches administratives 145 accompagnement social 55 HEBERGEMENT 140 accueil de jour 11 EHPAD 68 EHPAD aide sociale 23 EHPAD Alzheimer 6 foyers logement 19 hébergement temporaire 13 SOINS A DOMICILE 73 Hôpital court séjour 8 Hôpital de jour 0 Hospitalisation à domicile 7 Soins infirmiers 8 Soins palliatifs 1 SSR 28 Toilette médicalisée 21 PREVENTION -DEPISTAGE 36 Atelier marche 0 Consultation mémoire 11 Nutrition 23 Prévention des chutes 2 AMENAGEMENT HABITAT 113 Rapport d activité SOUTIEN

29 Adaptation du logement 78 Aide technique 16 Amélioration de l'habitat 19 SITUATION DE CRISE 11 Conflit familial 1 Hospitalisation d'office / HDT 0 Isolement 3 Saisine procureur 5 Troubles du comportement 2 AIDES FINANCIERES 684 Aide sociale 77 APA 470 Congés solidarité 0 Financement divers 137 SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE 156 Bénévolat 0 Consultation psychologue 16 Groupe de paroles 0 Solitude 4 Soutien aux aidants 99 Soutien moral/ écoute 37 INFORMATIONS JURIDIQUES 190 Informations juridiques 37 Protection des majeurs 153 HANDICAP 36 LOISIRS 0 DIVERS 0 SANS RENSEIGNEMENTS 315 TOTAL Les motifs de fermeture des dossiers Les dossiers de demande sont fermés pour différentes raisons : dossiers traités, déménagement, hospitalisation, retour à l autonomie MOTIF DE FERMETURE NOMBRE Dossier traité - abouti 388 Décès 57 Déménagement 6 Institutionnalisation 29 Orientation APA 73 Aide sociale 3 Autre caisse de retraite 3 Demande classée "sans suite" (refus, impossibilité de réponse ) 68 TOTAL 627 File active au 31 décembre Les dossiers dit «traités» correspondent aux dossiers où toutes les demandes de la personne ont reçues une réponse et pour lesquels aucun contact n a été enregistré pendant au moins 6 mois. Rapport d activité SOUTIEN

30 4. LES NOUVEAUX DOSSIERS DE DEMANDE 1. Les nouveaux dossiers de demande Un nouveau dossier est créé dans deux cas de figure : une personne âgée fait appel à nous, elle n est pas encore connue de notre structure ; une personne âgée a déjà fait appel à nous dans le passé mais cette demande est antérieure à plus de 6 mois. Nous créons donc un nouveau dossier de demande. En 2013, 663 nouveaux dossiers ont ainsi été créés et ont sollicité l intervention de l équipe du CLIC SOUTIEN. Le tableau et le graphique, suivant, permettent de cibler les besoins des nouvelles demandes : NATURE DES BESOINS NB de demandes en 2013 En % 2013 Demande d'information, orientation ,6% Demande d'évaluation sans prise en charge ,6% Demande de prise en charge ,8% Total % Le nombre de nouveaux dossiers, ouverts en 2013, a augmenté d environ 16,5% par rapport à l année La répartition par nature des besoins reste relativement similaire entre les 2 années, même si on note une légère baisse des dossiers de prise en charge. Rapport d activité SOUTIEN

31 2. L origine des nouvelles demandes Le tableau suivant indique qui sont les professionnels (ou familles) à l origine de l ouverture du nouveau dossier de demande : ORIGINE DE LA DEMANDE NB DE DOSSIERS EN % par la personne âgée ou la famille ,2% médecin généraliste 3 0,5% professionnels de santé (ESA, MAIA, IDE, kiné, pharmacien ) 6 0,9% mairie - CCAS 38 5,7% Caisses de retraite / EVAL ,0% Réseaux de santé / HAD 12 1,8% autres associations (AGSMC, France Alzheimer, ATSM ) 3 0,5% Hôpital - Clinique - SSR 27 4,1% services de soins à domicile 1 0,2% services d'aide à domicile 45 6,8% services sociaux (MDS, SAVS, assistantes sociales) 70 10,6% foyers logements/maisons de retraite 17 2,6% autre (CG, PACT, autre CLIC..) 15 2,3% sans renseignement 8 1,2% TOTAL % Rapport d activité SOUTIEN

32 Ce tableau montre que la porte d entrée principale pour les dossiers reste la personne âgée elle-même ou sa famille pour la moitié des dossiers (49,2%). Les professionnels les plus nombreux à nous solliciter restent les caisses de retraite, mais seulement dans 14% de nos dossiers ; suivis par les services sociaux des MDS, hôpitaux qui nous orientent 10% de nos nouveaux dossiers ; puis viennent les services d aide à domicile (6,8% des dossiers). 3. Comment les demandeurs ont-ils connus le CLIC? ORIGINE NOMBRE En % autres professionnels ,1% mairie -CCAS 69 10,4% caisse de retraite 9 1,4% médecins 14 2,1% bouche à oreille 30 4,5% Hôpital - Clinique -SSR 22 3,3% autre CLIC 2 0,3% presse 7 1,1% internet 12 1,8% structures d'hébergement 1 0,2% déjà connu du CLIC 79 11,9% services d'aide à la personne 14 2,1% autre 8 1,2% sans renseignement 36 5,4% MDS / CG 21 3,2% TOTAL % Lorsqu une personne nous contacte, nous lui demandons systématiquement comment elle a eu nos coordonnées. En effet, cette information nous est cruciale pour évaluer quels sont les professionnels qui nous orientent les personnes et par la même les professionnels vers lesquels nous devons poursuivre notre travail d information et de communication. Rapport d activité SOUTIEN

33 Depuis 2 années, nous constatons une augmentation des personnes orientées par leurs mairies mais également des personnes qui reviennent vers nous ou qui nous oriente un de leur proche suite à un précédent accompagnement. Cette seconde catégorie représente désormais plus d un dossier sur 10, ce qui peut laisser à penser que les prises en charge proposées satisfont suffisamment les personnes pour revenir vers nous LES ÉVALUATIONS CLIC DANS LES SITUATIONS DE MAJEURS VULNERABLES 1. Rappel des procédures Le 3977 est le numéro national contre la maltraitance des personnes âgées et des adultes handicapés. Il a été mis en place suite au Plan national pour la Bientraitance présenté par Philippe BAS en mars Le numéro national a été lancé le 5 février 2008 par Valérie LETARD, Secrétaire d Etat à la solidarité. L organisation du 3977 repose sur une écoute nationale, gérée par l AFBAH, et un suivi local par les associations du réseau ALMA, le conseil général ou une association qui est conventionnée avec lui. A qui s adresse le 3977? Aux personnes âgées et aux personnes handicapées victimes de maltraitance, aux témoins de situation de maltraitance, à l entourage privé et professionnel, aux personnes prenant soin d une personne âgée ou handicapée et ayant des difficultés dans l aide apportée. Rapport d activité SOUTIEN

34 Quand peut-on appeler? Du lundi au vendredi de 9h à 19h. Qui est l écoutant? Une équipe pluridisciplinaire (psychologues, travailleurs sociaux, juristes ) chargée d écouter, de soutenir et d orienter les appelants. Quel est le rôle de la plateforme téléphonique nationale? Elle centralise l ensemble des appels. Elle est chargée de la première écoute. L écoutant prend les renseignements administratifs relatifs à la situation de la personne qui appelle. Elle détermine le ou les motifs principaux de l appel (maltraitance ou autre). Elle oriente et transmet aux centres locaux tout appel nécessitant une analyse, des conseils ou des informations relevant des référents de proximité. Cette première analyse permet aux antennes locales et/ou aux départements de traiter et de prendre en charge la situation. En Seine-et-Marne, suite à la mise en place de ce numéro et dans le cadre des dispositions du schéma départemental en faveur des personnes âgées , la question des modalités du traitement et de l accompagnement des situations de maltraitance s est posée. Ainsi, dès 2008, l investissement des CLIC dans le dispositif général d accompagnement des personnes âgées, et donc des Personnes Majeures Vulnérables (PMV) a été mis en avant. Les différents échanges menés lors des rencontres avec le Conseil Général ont rapidement permis la mise en œuvre d un dispositif qui prévoit l intervention des CLIC dans les situations de PMV inconnues des équipes APA. 1. La provenance du signalement PROVENANCE DES SIGNALEMENTS NOMBRE Maison Départementale des Solidarités (MDS) 5 Département Autres 4 TOTAL 14 Pour la première fois nous avons reçu des demandes d interventions de la part du Procureur de la République (via le Conseil général) nous demandant d évaluer des situations pour lesquelles il avait été saisi mais souhaitait des informations complémentaires. Ces dossiers portaient souvent sur des demandes émanant des mairies pour des personnes isolées ou des problèmes d insalubrité de logement. On constate une nouvelle fois que la Maison des Solidarités de Nemours nous sollicite régulièrement sur des situations préoccupantes. Le plus souvent ces évaluations se font de manière conjointe avec un membre du personnel de la MDS, ce qui permet un regard croisé et complémentaire sur ces situations complexes qui nécessitent très souvent des réponses sociales, en particulier au niveau d aide financière d urgence ou de questions de relogement. Rapport d activité SOUTIEN

35 2. La typologie des dossiers Parmi les 14 demandes d évaluations, 9 concernaient des femmes et 5 des hommes, ce qui renvoi à la proportion légèrement inférieure à la proportion habituelle des femmes parmi nos prises en charge : 64% contre 71% pour l ensemble des dossiers. L élément de l âge est plus parlant. En effet, on constate que le tiers des dossiers concernent des personnes de moins de 70 ans contre 9,6% pour nos dossiers habituels. Cette statistique est relativement cohérente avec ces situations complexes qui renvoient souvent à des situations de très grande précarité avec également des pathologies addictives souvent présentes et provoquant des détériorations cognitives précoces. TRANCHE AGE NOMBRE ans ans ans 5 plus de 90 ans 1 TOTAL Le type de situations signalées au CLIC PROBLEMATIQUES ÉVOQUÉES NB SITUATION maltraitance 5 épuisement de l'aidant 0 problématique psychiatrique (Diogène, comportement violent, alcoolisme ) 3 isolement 3 conflit familial 2 désorientation 0 problème financier 1 problème de logement (insalubrité, non adapté ) 3 problème de voisinage 0 autres 2 TOTAL 19 Ce tableau reprend les motifs évoqués dans les signalements reçus au CLIC. On constate que le plus souvent c est une notion de maltraitance qui ressort des informations reçues, sachant qu il peut s agir de formes de maltraitance diverses, allant de la privation de droits civiques, à la maltraitance physique en passant par la maltraitance psychologique et ou financière. Rapport d activité SOUTIEN

36 Ce tableau laisse également transparaître le fait que souvent plusieurs difficultés sont énoncées au sein d une même demande d évaluation. 4. Résultats des évaluations effectuées PROBLEMATIQUES RENCONTRÉES NB SITUATION maltraitance 1 épuisement de l'aidant 1 problématique psychiatrique (Diogène, comportement violent, alcoolisme ) 1 isolement 0 conflit familial 1 désorientation 2 problème financier 0 problème de logement (insalubrité, non adapté ) 4 problème de voisinage 0 autres 2 TOTAL 12 Comme nous l indiquions lors du rappel des procédures, notre intervention doit porter avant tout sur une évaluation de la situation afin de vérifier si les inquiétudes sont ou non avérées et si des interventions peuvent être envisagées pour améliorer la situation, on parle de préconisations. Le tableau ci-dessus reprend les éléments repérés par notre équipe lors de l évaluation. Le décalage au niveau du nombre est à mettre en rapport avec une évaluation qui n a pu être effectuée en raison du décès de la personne durant la procédure de transmission des éléments et pour l autre d une situation qui avait été prise en charge par le service social de la MDS et pour laquelle notre intervention était devenue inutile. 6. LES DOSSIERS FAISANT L OBJET D UNE RECONNAISSANCE APA 1. Rappel des procédures Pour être en cohérence avec les orientations du schéma départemental en faveur des Personnes âgées , les CLIC souhaitaient la reconnaissance de leur évaluation de la dépendance, par les équipes APA. Le 20 août 2010, signature de la «Convention relative à l instauration de la reconnaissance mutuelle des évaluations, du plan d aide et du plan d actions personnalisé des personnes âgées en perte d autonomie», par le Conseil Général, la CNAV et chaque CLIC de Seine-et-Marne instituant la mise en œuvre au 1 er septembre Rapport d activité SOUTIEN

37 2010, sur les secteurs des Maisons Départementales des Solidarités couvertes par des CLIC. 2. Nombre de dossiers 13 dossiers ont faits l objet d une procédure de reconnaissance mutuelle APA, contre 8 au cours de l année On constate une progression constante de cette procédure depuis sa mise en œuvre, comme le montre le graphique suivant : 3. La typologie des dossiers Sur les 13 dossiers, 9 concernaient des femmes et 4 des hommes. Répartition par âge des dossiers de reconnaissance mutuelle APA A 69 ANS 70 A 79 ANS 80 A 89 ANS Rapport d activité SOUTIEN

38 4. Les plans d aides proposés Cette procédure a permis de solliciter des aides pour la préparation des repas, l aide aux courses, le ménage, mais également de l aide à la toilette et à la mise en place d une télé assistance. Ces demandes ont concerné principalement des passages en GIR 4, c'est-à-dire des personnes qui ont une perte modérée au niveau de leur autonomie et qui ont besoin d une aide ponctuelle mais régulière. Les plans mis en place correspondaient à des interventions à hauteur de 20 à 25 heures mensuelles. 7. LES DOSSIERS D EVALUATION POUR L ACTION SOCIALE DES CAISSES DE RETRAITE 1. La démarche d évaluation globale En 2013, le CLIC SOUTIEN a reçu 331 demandes d interventions de la part des différents régimes pour lesquels il est évaluateur, à savoir la CNAV, la Fonction Publique d Etat, le RSI et la MSA. Nous nous attacherons ensuite plus précisément aux évaluations liées à chaque régime. Cependant, il nous parait utile de voir le profil des retraités faisant appel à leur caisse en vue d une aide au maintien à domicile, désormais appelée «Aide au Bien Vieillir». Chaque régime applique ses propres règles d attribution, mais tous proposent à leurs retraités selon leur degré de fragilité de les aider à financer des aides à domicile. Ces aides sont limitées puisque les caisses de retraite sont référentes uniquement pour les retraités relevant des catégories GIR 5 et 6, c'est-à-dire qui restent autonomes mais peuvent présenter des critères de fragilité. Le CLIC SOUTIEN a toujours souhaité développer cette activité avec les différents régimes de retraite car cela nous permet de toucher des retraités qui, sans cette visite à domicile, ne nous solliciteraient pas. L évaluation globale qui est effectuée au domicile a certes vocation à répondre à la demande de la caisse de retraite quant au respect des critères d attribution qu elle aura déterminé, mais cela nous permet également d élargir nos réponses en abordant la prévention santé, l aide aux aidants familiaux, les ouvertures de droits (notamment aide à l acquisition d une complémentaire santé) et de répondre à des questions sur les dispositifs d aide aux seniors mis en place. C est pourquoi ces dossiers ne sont pas différenciés de notre action CLIC car la plupart du temps, les évaluations à proprement parlé sont suivies d autres actions d information ou d accompagnement. Rapport d activité SOUTIEN

39 2. Typologie des demandeurs SEXE NOMBRE FEMME 244 HOMME 87 TOTAL 331 On constate une nouvelle fois que les femmes représentent plus de 70% des demandeurs, comme pour le reste de nos bénéficiaires. Concernant l âge, la majorité des demandeurs ont entre 70 et 89 ans, malgré les actions des caisses à destination des «jeunes retraités» de moins de 75 ans. Ces actions ont pour objectif de travailler sur les différents aspects de la prévention plus que de proposer des prestations d aide humaine. TRANCHE AGE NOMBRE ans ans ans ans ans et plus 0 TOTAL 331 Lorsque l on s intéresse au degré de dépendance, on constate que la moitié des bénéficiaires sont en catégorie 5, c'est-à-dire qu ils présentent des fragilités au niveau physique qui peuvent les limiter dans certaines actions telles que les sorties de leur domicile, la gestion administrative. Répartition par GIR 8% 2% 50% 40% GIR 6 GIR 5 GIR 4 GIR 3 Ponctuellement nous rencontrons des retraités relevant des catégories de dépendance 4 et 3, mais nous sommes le plus souvent dans un contexte de sortie d hospitalisation, c'est-àdire sur une perte temporaire de l autonomie. Rapport d activité SOUTIEN

40 3. Focus par caisse de retraite a. La CNAV Le CLIC SOUTIEN a reçu 313 commandes de la part de l action sociale de la CNAV Ile de France. Cependant, dans 41 situations, l évaluation n a pas eu lieu soit parce que la personne ne souhaitait plus d aide, était décédée, était bénéficiaire de l APA ou bien encore parce qu elle avait déménagé ou était entrée en EHPAD. Les 272 dossiers traités se répartissaient comme suit : Type de dossier Nombre 1ere demande 77 Réexamens 169 ARDH 26 TOTAL 272 Répartition des commandes CNAV 9,6% 62,1% 28,3% 1ere demande Réexamens ARDH Pour mémoire, le CLIC SOUTIEN est habilité à intervenir auprès des retraités sollicitant pour la première fois leur caisse, mais est également en charge de ré évaluer la situation tous les 2 ans ou chaque année pour refaire le point sur l autonomie de la personne et vérifier si les aides qui avaient été mises en place suite à notre venue sont toujours en accord avec les besoins. Enfin, nous avons effectué en 2013, 26 dossiers ARDH sur des sorties d hospitalisation contre 34 en Seul un dossier de la fonction publique d état a été traité, en 2013, pour ce régime. b. Le RSI Concernant le partenariat avec le RSI, seules 14 évaluations ont été effectuées au cours de l année situation correspondait à une 1ère demande d ouverture de droits, les autres visites se sont effectuées dans le cadre de retour à domicile après hospitalisation. Type de demande Nombre Sorties d hospitalisation 13 1ères demandes 1 TOTAL 14 Rapport d activité SOUTIEN

41 Concernant les évaluations RSI, il nous semble important de signaler que ces dossiers d évaluation nous conduisent le plus souvent à solliciter l action sociale RSI pour d autres demandes. En effet, les retraités RSI présentent le plus souvent une fragilité financière importante qui les rend vulnérables. Il n est donc pas rare de travailler sur l ouverture de droits à l aide à la complémentaire santé ou à des aides financières pour couvrir des soins de santé ou des frais de fourniture d énergie. c. La MSA via la plateforme EVAL77 Depuis le 1er octobre 2013, le CLIC SOUTIEN est habilité à effectuer les évaluations pour les retraités de la Mutualité Sociale Agricole, via la plateforme EVAL77. L activité a donc été limitée à un trimestre, sachant que ce régime ne dispose pas de prestations en urgence pour les sorties d hospitalisation, notre action se limite donc pour le moment au traitement des demandes de ré examens et de première demande. Type de dossier Nombre 1ere demande 0 Réexamens 4 TOTAL 4 Rapport d activité SOUTIEN

42 3 ème PARTIE LE TRAVAIL DE COORDINATION DANS LES ACCOMPAGNEMENTS COMPLEMENTAIRES Certaines situations prises en charge par le CLIC SOUTIEN nécessitent la mise en place d un accompagnement médico-social plus important de par la fragilité des personnes. Cette fragilité peut émaner de différents facteurs : santé, famille, financiers, environnement. Ces situations font alors l objet d un accompagnement plus diversifié et nécessite souvent un travail de coordination avec les partenaires. C est tout particulièrement le cas pour les situations inclues dans le dispositif d accompagnement complémentaire proposé par la CNAV, les situations relevant d une gestion de cas et des situations complexes prises en charge par le CLIC qui peuvent ou non faire suite à une évaluation de majeur vulnérable. 1. L ACCOMPAGNEMENT DES RETRAITES FRAGILISES DE LA CNAV Ce dispositif a été mis en place par la CNAV en 2011 afin de compléter son offre initiale d action sociale à destination de ses retraités. Ce dispositif n a pas été reconduit sur les 6 premiers mois de 2013, le CLIC SOUTIEN a tout de même répondu à l appel à projet qui porte sur 18 mois, de juillet 2013 à décembre Les résultats de l étude ne peuvent donc pas encore être connus, cependant, nous constatons que le nombre de retraités entrant dans les critères continuent de croître et que les accompagnements portent désormais sur l aide aux aidants, mais également de plus en plus sur de l ouverture de droits, en particulier ACS, et sur les soutiens financiers. 2. LA MISE EN PLACE DE LA GESTION DE CAS La création de la MAIA sud 77 fin 2012 a permis d ouvrir dès juin 2013 les prises en charge dans le cadre de la gestion de cas. Ce nouveau dispositif a créé un nouveau métier, les gestionnaires de cas, qui ont pour rôle de devenir référent des personnes incluses auprès des différents organismes et de pouvoir les accompagner dans tout leur parcours et démarches. Les situations prises en charge sont dites «complexes», c'est-à-dire que les personnes cumulent des critères de fragilité mais surtout les situations qui présentent un blocage qui peut se manifester soit par le refus de la personne de mettre en place les aides préconisées, soit par le refus d entrer en institution ou encore par l inadéquation des aides mises en œuvre avec les besoins repérés. Rapport d activité SOUTIEN

43 Le gestionnaire de cas est limité de par son cadre légal d intervention à 40 accompagnements simultanés, ce qui permet cette proximité dans la prise en charge que nos équipes, trop restreintes, ne peuvent offrir. L inclusion d une personne dans ce nouveau dispositif ne nous exclut pas de la prise en charge, cela nous permet seulement un relais supplémentaire et nous permet de nous concentrer sur les actes relevant de notre cœur de métier auprès de ces personnes. Sur le dernier semestre 2013, qui marquait le début de ce dispositif, une situation a fait l objet d une inclusion. Elle concernait une femme qui vivait seule, sans famille proche et qui présentait depuis quelques mois des dettes qui s accumulaient et une hygiène de plus en plus précaire. Plusieurs professionnels accompagnaient madame dont le CLIC pour la partie maintien à domicile et ouverture de droits, mais rapidement la prise en charge médicale est devenue complexe, madame ne pouvant plus se déplacer seule, la gestion de cas a donc permis non seulement un accompagnement de madame vers les soins, mais également un dialogue avec les professionnels du monde médical. 3. LES ACCOMPAGNEMENTS MÉDICO-SOCIAUX COMPLEXES CLIC Le cœur de métier des évaluateurs intervenant au sein des CLIC restent l accompagnement médico-social des personnes à leur domicile. Pour ce faire, ils ont à leur disposition un savoir-faire d évaluation multi dimensionnelle, mais également de connaissances spécifiques de la personne âgée et de ses difficultés. Les évaluateurs sont donc souvent confrontés à des situations nécessitant la mobilisation de leurs compétences et des réseaux partenariaux tissés sur le secteur pour répondre aux situations qualifiées de complexes, qui mêlent plusieurs thématiques d ordre administratif, financier et morale souvent dans un contexte familial, géographique ou social difficile. Trois situations type rencontrées au cours de cette année : Visite chez Mme B. retraitée CNAV souhaitant une aide ménagère car elle se sent très fatiguée. Mme habite en milieu rural avec son époux dépendant souffrant de troubles cognitifs. Compte tenu de la dépendance de son époux, nous l aidons à constituer un dossier APA qui permettra à Mr de bénéficier d aides humaines pour les actes quotidiens et de soulager Mme, aidante principale. Nous préconisons également une évaluation du RGS 77 pour que Monsieur puisse être évalué par un gériatre et ainsi obtenir un bilan de ses troubles cognitifs. Madame est l aidante principale de son époux et est épuisée par cet accompagnement. Nous lui proposons donc un RDV mensuel gratuit avec la psychologue du CLIC soutien dans le cadre de notre programme d action aux aidants. Mme n étant pas véhiculée, nous l aidons Rapport d activité SOUTIEN

44 dans les démarches pour des chéquiers Sortir + pour qu elle puisse se rendre aux RDV et autres déplacements véhiculés. Mme C. nous contacte car elle vient de rentrer à son domicile suite à une opération et aurait besoin d une aide à domicile. Retraitée RSI, elle peut donc bénéficier d un dispositif en urgence pour une durée de 3 mois et avoir une aide à domicile pour l aider dans les tâches quotidiennes le temps de récupérer son autonomie. Lors de l évaluation, nous constatons que Mme dispose de faibles ressources. Nous constituons donc un dossier d ASPA afin qu elle perçoive un complément de revenus mensuels. Nous l aidons également dans la constitution d un dossier pour une aide à la complémentaire santé. Mme s est fait opérer de la hanche et a beaucoup de difficultés à accéder à sa baignoire. Elle souhaiterait une douche mais n a jamais pu faire cet aménagement pour raison financière. Nous lui indiquons qu elle peut bénéficier de financements via sa caisse de retraite et être aidée par le PACT ARIM dans la recherche de subventions complémentaires et l aidons dans les démarches. Mr D. nous contacte pour sa mère âgée de 87 ans, veuve et qui semble avoir de plus en plus de mal à gérer le quotidien. Elle a chuté dernièrement et son fils s est rendu compte d un certain laisser aller inhabituel dans les papiers et le logement de sa mère. Nous proposons à mr de rencontrer sa mère. Mr nous explique que jusqu ici mme est réticente à toute intervention à son domicile et n est pas sûr qu elle accepte de nous recevoir. Contre toute attente, une de ses voisine a une aide à domicile et parvient à convaincre mme de l utilité de la démarche. Lors de notre visite, nous constatons que mme a du mal à resituer les derniers évènements, reste évasive dans ses réponses voire contourne nos questions. Elle refuse la mise en place d aide-ménagère malgré un problème certain dans l entretien de son logement, cependant, elle reconnait l utilité d une télé assistance pour limiter les conséquences éventuelles d une nouvelle chute. Elle exprime également un manque d envie pour préparer ses repas et accepte d être mise en relation avec un service de portage, refusant pour le moment l intervention d une aide à domicile pour la préparation de ses repas. Suite à notre venue, nous avons pu organiser avec le fils la mise en œuvre du portage de repas et de la télé assistance, mais également faire intervenir le RGS pour évaluer les difficultés de mme. Le fils a pu bénéficier d un accompagnement sur le plan psychologique par le CLIC et participe ponctuellement aux rencontres des aidants. L accompagnement de mme se poursuit dans l objectif de pouvoir augmenter les aides et mieux l accompagner dans son quotidien. Rapport d activité SOUTIEN

45 A travers ses exemples, nous pouvons voir qu une simple demande d aide-ménagère constitue le plus souvent une porte d entrée pour aborder d autres problématiques du maintien à domicile. L évaluation CLIC évite aussi au retraité de se perdre dans un millefeuille institutionnel avec de multiples interlocuteurs et de ne savoir lequel solliciter et renforce ainsi la notion de guichet unique des CLIC pour les plus de 60 ans. Rapport d activité SOUTIEN

46 4 ème PARTIE LE TRAVAIL EN RÉSEAU Afin d améliorer sans cesse la qualité de l accompagnement que nous proposons aux personnes nous sollicitant, il nous est indispensable d être présent dans le tissu médicosocial existant autour des seniors. Ce travail en partenariat génère de nombreuses rencontres, que ce soit à l échelle départementale, régionale ou locale. 1. RÉUNIONS CLIC CONSEIL GÉNÉRAL Le Conseil Général, instance de tutelle des Centres Locaux d Information et de Coordination depuis 2005 organise des rencontres régulières avec les CLIC, mais fait également appel à leur expertise afin de mener des réflexions plus collectives 1. Réunions avec le SCSMS Cette instance vise avant tout à faciliter la communication entre les CLIC et le Conseil Général autour des différents projets menés sur les territoires. En 2013, nous nous sommes rencontrés à 3 reprises en avril, juillet et novembre. Ces 3 rencontres ont notamment permis de poursuivre le travail sur les questions du traitement des dossiers des Personnes Majeures Vulnérables, des liens entre les CLIC et les équipes APA, mais également sur le développement des MAIA entre autre. 2. Les Commissions de Coordination Gérontologique Ces commissions ont été ouvertes en 2013 aux 3 MAIA du département. Désormais, outre les gestionnaires des associations et groupements supports de CLIC, sont donc conviés l Agence Régionale de Santé (en charge des MAIA) et les pilotes des MAIA. Ces commissions ont été l occasion : de présenter les synthèses des activités des CLIC pour l année 2012, de nous informer sur les ouvertures des différents appels à projets pour les nouveaux CLIC (secteur de Tournan et Coulommiers) de nous présenter la démarche d élaboration du nouveau schéma de l autonomie de nous informer de la création d un annuaire médico-social de l autonomie de suivre la mise en œuvre de la plateforme départementale d évaluation. Rapport d activité SOUTIEN

47 3. Le schéma de l autonomie 2013 aura été marquée par le lancement de la démarche pour l élaboration d un nouveau schéma de l autonomie. En effet, ce sera la première fois que le département travaillera sur un document autour de l autonomie, en prenant en compte à la fois la population des personnes atteintes d un handicap et des personnes âgées. Cette démarche, présentée en décembre 2013, se poursuivra sur toute l année 2014 en faisant participer les acteurs à la fois du monde du handicap et de celui de la gérontologie. Le rendu final devant intervenir fin 2014 / développer à destination de ces populations. début 2015 et fixera les axes prioritaires à 2. LE TRAVAIL AVEC LES REGIMES DE RETRAITE 1. La Caisse Nationale de l Assurance Vieillesse En 2013, le travail avec la CNAV s est principalement poursuivi autour de la mise en place des Paniers De Services (PDS) jusqu à l été. En effet, notre CLIC avait été sollicité pour la réflexion initiale sur ce projet et avait été pressenti pour y être intégré en expérimentation. Nous avons participé à 4 nouvelles réunions au cours du premier semestre avant de demander à nous retirer de cette démarche. La CNAV a également sollicité les CLIC du 77 pour réfléchir à la mise en place d un questionnaire (ATOO) qui a vocation à travailler sur la prévention par une évaluation des habitudes de vie des jeunes retraités actifs. Ce questionnaire permet ensuite de diffuser des conseils en prévention en lien avec les habitudes de chacun. Cette réunion qui a eu lieu début octobre n a pas pour le moment entrainé de mise en place généralisée. 2. Le Régime Social des Indépendants Dans le cadre de notre partenariat et de nos missions d évaluateur pour ce régime de retraite, nous avons eu une réunion entre les CLIC et les responsables action sociale du RSI en juin afin de travailler sur les différents dispositifs mis en place à destination de ces retraités. 3. La Mutualité Générale de l Education Nationale Notre CLIC a développé fin 2012 des relations partenariales avec la délégation de seine et marnaise de la MGEN. Notre rencontre en avril 2013 a permis de mettre en place un Rapport d activité SOUTIEN

48 partenariat sur les actions collectives proposées par le CLIC et que la MGEN accepte de relayer de manière très large auprès de ses adhérents. Ce partenariat nous permet de toucher une population de seniors qui jusque-là ne nous sollicitait pas ou peu. A notre étonnement, ces retraités sont très actifs sur nos actions et donne un dynamisme nouveau aux échanges. Dans la lignée de ce partenariat, la MGEN nous a proposé de faire une rapide présentation de notre structure lors d un après-midi organisé par la MAIF prévention et la MGEN sur la thématique des risques domestiques pour les seniors le 20 novembre. 4. Les caisses du groupement AGIRC ARRCO Enfin, nous avons participé à une rencontre de partenaires organisée par l action sociale AGIRC - ARRCO à Melun fin janvier Ce fut l occasion de recueillir des informations sur les prestations proposées aux retraités de ces caisses. 3. LES PARTENAIRES LOCAUX 1. Rencontres avec les SAAD Chaque année, l équipe du CLIC SOUTIEN organise au moins une réunion avec les services prestataires de son territoire afin de faire le point sur le partenariat, réfléchir aux articulations et aux procédures en place et, si besoin, les modifier ou les compléter. En 2013, cette réunion a eu lieu le 12 février. Elle a permis de travailler sur les évaluations effectuées par le CLIC pour la CNAV et le RSI, mais également d échanger plus avant sur les spécificités de notre territoire. 10 services prestataires étaient présents, ce qui a permis des échanges à la fois sur l articulation avec le CLIC et les caisses mais également des échanges transverses entre services prestataires qui ne se connaissent pas toujours. 2. Rencontres avec les partenaires locaux De plus, tout au long de l année l équipe du CLIC rencontre les partenaires du territoire. En 2012, ces rencontres ont notamment concerné : AP Services (service d aide à la personne) l EHPAD de Chaintréauville l EHPAD des Jardins du Loing Rapport d activité SOUTIEN

49 l EHPAD de La Garenne l Equipe Spécialisée Alzheimer de la Croix Rouge Télé assistance 77 Equinoxe AJC Médical (fournisseur de matériel médical) Union Française des Centres de Vacances Le Pôle d Activités et de Soins Adaptés du Centre Hospitalier de Nemours Le CCAS de Saint Pierre les Nemours 3. Réalisation du GMP du foyer résidence de NEMOURS Pour la quatrième fois, le CLIC SOUTIEN a réalisé le «GMP» (Gir Moyen Pondéré) du foyer logement Paul Vincent situé à Nemours. Ce GMP rend compte à un moment T du niveau d autonomie de l ensemble des personnes résidant au sein d un même établissement. En effet, selon un décret du 9 mars 2007, les responsables des foyers logements doivent procéder annuellement au girage de leurs résidents afin de pouvoir calculer leur GMP. Cette évaluation permet de fournir une vision globale du degré d autonomie des personnes résidant dans ce type de structures non médicalisées. En 2013, l évaluation s est effectuée sur 2 journées et demie, en juillet et aura concerné 18 personnes. Cette évaluation effectuée grâce à l outil AGGIR (grille nationale d évaluation de la perte d autonomie) a ensuite été saisie informatiquement (ce qui a demandé une demijournée) avant d être transmise au service du Conseil Général en charge du contrôle des foyers logement. 4. Les liens avec les Communautés de Communes Suite au travail sur le diagnostic territorial mené par la Maison des Solidarités de Nemours, les rencontres avec les secrétaires des mairies des Communautés de Communes s est achevé en 2013 avec les municipalités de la Communauté Gâtinais Val de Loing. Cette réunion a eu lieu le 4 avril à la MDS et a rassemblé les secrétaires de mairies, les représentants du service Prestations de la DGA et l équipe APA. Cette rencontre a permis de présenter l articulation territoriale autour de la question des seniors et de répondre aux diverses questions des secrétaires. De plus, le CLIC SOUTIEN a été intégré aux travaux de la Communauté des Communes du Bocage Gâtinais en vue de la création d un Centre Intercommunal d Action Sociale. Ces travaux ont amené les élus locaux à entendre les relais sociaux du territoire pour établir un état des lieux sur les différentes populations (de la petite enfance aux seniors) et de définir les priorités de leur action locale. Ces réunions se sont tenues les 7 novembre et 19 décembre Rapport d activité SOUTIEN

50 5. Les réunions avec le RGS Comme chaque année, les réunions de coordination avec le RGS se sont poursuivies au cours de l année Ces réunions sont l occasion pour les équipes d échanger sur les personnes accompagnées par nos deux structures. Nous profitons de ce temps pour faire le point et nous articuler sur les situations, en particulier celles avec des aidants en difficulté ou avec des bénéficiaires dont l état de santé nécessite une attention particulière. En 2013, ces rencontres ont eu lieu à 5 reprises en Janvier, Mars, Juin, Septembre et Novembre. Une dizaine de dossiers sont en général abordés. 6. Les réunions avec la MAIA Sud 77 La mise en place de la MAIA Sud 77 a généré un certain nombre de réunions au cours de l année, que ce soit pour la Directrice en délégation du président pour les Tables Tactiques et le groupe de travail sur les critères d inclusion, mais également pour le reste de l équipe en ce qui concerne l articulation entre les CLIC et la MAIA, en particulier pour la mise en place de la gestion de cas. Trois tables tactiques ont eu lieu au cours de l année 2013, en Février, en Juin et Novembre. Ces réunions rassemblent l ensemble des partenaires du territoire de la MAIA afin de travailler à l articulation et à la mise en place des outils MAIA afin de créer le guichet intégré. Trois réunions ont également eu lieu concernant la définition des critères d inclusion en Gestion de Cas. Ce groupe rassemblait également des représentants d hôpitaux, de services d aide à la personne, d établissement de réadaptation, des EHPAD et des Réseaux de santé. Les travaux se sont étalés sur les mois de mars, avril et septembre. Enfin, deux rencontres ont eu lieu entre les gestionnaires de cas et les équipes du CLIC afin de mieux appréhender le cadre d intervention de la gestion de cas. En effet, seules les situations complexes qui présentent des blocages importants ont vocation à intégrer la gestion de cas. 4. PARTICIPATION À DIFFÉRENTES INSTANCES En tant que partenaire privilégié dans l accompagnement des seniors, le CLIC SOUTIEN est amené à participer de manière permanente ou ponctuelle à plusieurs instances locales, départementales ou régionales Rapport d activité SOUTIEN

51 1. Instances CAE PMV Lors de la réalisation des diagnostics territoriaux des MDS, il est apparu que la prise en charge des situations des personnes majeures vulnérables était un axe d amélioration commun aux MDS de Fontainebleau, Montereau et Nemours. Les responsables des MDS ont, en effet, constaté le manque de lieux d échanges et d aide à la prise de décision partenariale, dans les situations de majeurs. Ils ont alors imaginé créer une instance collégiale inspirée des commissions mises en place dans le cadre des situations d enfants. Ces Commissions d Aide à l Evaluation PMV ont été mises en place au début de l année 2012 de manière partagée entre les 3 MDS. Chaque MDS organise durant 1 trimestre les CAE PMV, en fonction des situations proposées par les professionnels. Ces CAE PMV sont constituées de «professionnels experts» au rang desquels se trouvent les CLIC référents sur les MDS. 2. Diagnostic de territoire La Maison des Solidarités de Nemours avait déterminé parmi les axes de travail à développer suite au diagnostic de territoire établi en 2011, un axe portant sur l articulation des acteurs lors de la sortie d hospitalisation des personnes âgées. Une première rencontre avait eu lieu entre l équipe APA et les assistantes sociales des hôpitaux en 2012, une seconde rencontre s est tenue le 10 octobre entre les équipes des CLIC FACIL et SOUTIEN et l équipe APA. De cette réunion a émané un projet de réunion d information autour des dispositifs d aide au retour à domicile proposé par certaines caisses de retraite ainsi que sur l APA d urgence, mais cette réunion n a pas pu être organisée sur la fin Comme chaque année un bilan d étape a eu lieu le 6 novembre à Darvault. 3. Les commissions APA L évaluatrice du CLIC participe à ces réunions lorsque des bénéficiaires caisses de retraite font l objet de la procédure dite de «reconnaissance mutuelle», c'est-à-dire pour ouvrir leurs droits à l APA. Ces réunions se déroulent le vendredi matin et rassemblent l équipe APA, à savoir les évaluateurs et un des médecins. Au cours de cette réunion, l évaluatrice présente les situations des bénéficiaires et valide avec l équipe APA son évaluation du degré de dépendance de la personne. Les aides à mettre en œuvre sont également abordées afin de faciliter les passations de dossiers. En 2013, le CLIC SOUTIEN a participé à 4 commissions APA. Rapport d activité SOUTIEN

52 4. Groupe départemental CNAV Le groupe départemental CNAV s est réuni à 2 reprises au cours de l année Ce groupe était jusqu ici constitué des structures évaluatrices de la CNAV, du conseil général, de la CNAV, du PACT de Seine et Marne et des représentants de la CRAMIF. L année 2013 l a vu s élargir aux représentants de l action sociale du RSI et de la MSA. Ce groupe est l occasion pour la CNAV de nous faire part des évolutions des dispositifs en place. Ainsi, en 2013, nous sommes revenus sur la mise en œuvre du dispositif ARDH, des nouvelles règles sur les actions de prévention et le futur dispositif des paniers de service. 5. Le CODERPA Le CLIC SOUTIEN poursuit sa collaboration avec le CODERPA en restant membre de la Commission Environnement et Dépendance. Malheureusement, en raison des contraintes de temps, nous n avons pas pu être présents lors des rencontres de cette commission, cependant, nous avons apporté certaines contributions, notamment sur la question des sorties d hospitalisation via des échanges directs avec la présidente de la commission et certains autres membres. De plus, il a été décidé que la prochaine Journée «Bien préparer et vivre sa retraite» organisée en 2014 aurait lieu à Nemours, le CLIC SOUTIEN y sera donc présent afin de présenter les missions des CLIC. Dans le cadre de la préparation de cette journée, nous avons participé à une réunion le 3 décembre 2013 avec les membres de la commission en charge de ce projet. 6. Le Comité Territorial sur le Non Recours Au cours de l année 2013, le Secrétariat Général pour la Modernisation de l Action Publique a été mandaté par le Premier Ministre pour étudier les causes de non recours à certaines prestations sociales, dont l ASPA (Allocation de Solidarité pour Personnes Agées), la CMU, l ACS (Aide à l acquisition d une Complémentaire Santé), le RSA et proposer des actions locales en vue de limiter ce non recours. Deux départements ont été retenus en vue de cette expérimentation, à savoir la Loire Atlantique et la Seine et Marne. Le travail mené en Seine et Marne visait principalement les secteurs ruraux et péri urbains. Le SGMAP a dans un premier temps rencontré les responsables de la Maison des Solidarités de Nemours qui les a réorientés vers différents partenaires dont le CLIC. C est ainsi que nous avons rencontré les chargés de mission du SGMAP le 18 janvier afin de compléter l état des lieux sur ces questions. Au vue de notre public, nous avons principalement réfléchi aux questions du non recours à l ASPA, à l ACS et dans une moindre mesure à la CMUC. Rapport d activité SOUTIEN

53 Suite à cet état des lieux et à la réalisation d entretiens avec des non recourants, le travail s est poursuivi au sein du COmitéTERritorial qui s est réuni toutes les 8 semaines à la Préfecture de Seine et Marne afin de dégager les expérimentations à mettre en œuvre au niveau du département. L ensemble de ces travaux ont aboutis à la fin de 2013, l évaluation des expérimentations menées se poursuivra au cours de l année LE TRAVAIL AVEC LES AUTRES CLIC En 2013, le travail en partenariat avec les autres CLIC a été principalement consacré au travail de mise en œuvre d une structure départementale d évaluation telle que nous l évoquerons dans le point suivant, cependant 3 actions communes peuvent être mises en avant pour cette année. 1. Réunion avec le service social CRAMIF Depuis la modification du circuit du traitement des ARDH CNAV de 2012, les visites dites de suivi effectuées 6 semaines environ après la première visite sont confiées au service social de la CRAMIF. Une réunion a donc été organisée le 13 septembre 2013 dans les locaux du CLIC FACIL. En effet, elle concernait uniquement le territoire sud du département correspondant à l équipe de la CRAMIF basée à Avon et donc les CLIC FACIL, RELIAGE, SILLAGE et SOUTIEN. Cette rencontre a permis d atténuer certaines difficultés dans nos articulations et favoriser une meilleure connaissance de chacun. 2. La rencontre avec le SAVS L année 2013 a également été celle de la confirmation d une volonté du conseil général de rapprocher les questions liées aux situations de handicap et celles liées aux seniors, notamment par le lancement des travaux du schéma de l autonomie. Devant cette volonté, il a paru nécessaire de commencer à prendre quelques contacts avec les structures qui interviennent sur les mêmes questions que les CLIC mais auprès du public handicap. C est pourquoi une réunion entre les équipes des CLIC du département et Christine GAUTHIER, la directrice du Service d Accompagnement à la Vie Sociale de Nemours qui est géré par l association des Amis de l atelier s est tenue le 26 septembre. Mme GAUTHIER a exposé les missions du SAVS ainsi que celles des SAMSAH (Service d Accompagnement Médico Social pour Adultes Handicapés). Lors de cet échange, nous avons également pu réfléchir à l articulation possible entre nos services, par exemple autour des situations d adultes handicapés vieillissants que nous rencontrons. Rapport d activité SOUTIEN

54 3. Participation au Forum UNA Cette année encore, les CLIC de Seine et Marne étaient représentés au Forum de l UNA qui s est déroulé le samedi 28 septembre à Savigny le Temple. Les directeurs se sont relayés sur la journée pour répondre aux questions des particuliers, aides à domicile et partenaires présents. 6. CRÉATION D UNE STRUCTURE DÉPARTEMENTALE D ÉVALUATION Suite à la demande de Christiane FLOUQUET, directrice de l action sociale de la CNAV Ile de France, une réflexion a été entamée par les CLIC de Seine et Marne sur la question de la mise en place d une structure départementale d évaluation qui pourrait être sollicitée par les caisses de retraite en tant qu évaluateur afin que les caisses disposent d un interlocuteur unique à l échelle départementale. En Seine et Marne, madame FLOUQUET a interpellé les CLIC pour travailler de manière collective sur cette question. Tout au long de l année 2013, de multiples réunions de travail ont eu lieu avec l appui d un juriste conseil spécialisé notamment dans la création de Groupements de Coopération Sociale et Médico-Sociale, forme qui semblait convenir à la fois aux CLIC et à la CNAV. Les travaux menés au cours de l année ayant pris du retard, une plateforme temporaire a été mise en œuvre en s appuyant sur l association RELIAGE (qui est également porteuse du CLIC de Lagny) dès le mois de juillet pour répondre aux demandes de retraités CNAV sur les territoires du Nord et du Centre du département qui ne disposaient pas de structure évaluatrice. Cette même plateforme a ensuite conventionné avec la MSA. A la fin de l année 2013 la réflexion se poursuivait avec comme piste principale le maintien de la forme actuelle de la plateforme portée par l association RELIAGE, le fonctionnement d un GCSMS entrainant des charges a priori trop importantes. Le travail sera poursuivi en 2014 par l ensemble des structures porteuses de CLIC en Seine et Marne. Rapport d activité SOUTIEN

55 5 ème PARTIE LES ACTIONS COLLECTIVES DE PREVENTION En 2013, le CLIC SOUTIEN a poursuivi ses actions d animation du territoire en proposant, tout au long de l année, des actions de prévention. Ces actions ont pris différentes formes : Un cycle de rencontres pour les aidants : 9 séances pour 49 participations Des consultations individuelles avec une psychologue : 12 permanences pour 27 consultations Deux théâtres forum sur les aidants familiaux : 47 participants Une conférence juridique sur les règles de succession : 27 participants Un cycle d ateliers sur la prévention des chutes : 72 participations sur les 6 dernières séances Deux conférences sur l alimentation : 25 participants Un repérage à domicile des risques de dénutrition : 169 personnes ont participé Un théâtre forum sur le bien vieillir : 19 participants. Au total les actions de prévention du CLIC SOUTIEN auront touché 435 personnes sur l année Les participations se répartissent suivant la thématique abordée et par la forme d action comme indiqué dans les diagrammes ci-dessous : Rapport d activité SOUTIEN

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