Audit Régional en endoscopie Antenne Régionale CCLIN-FELIN
|
|
- Anne Guertin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Audit Régional en endoscopie 2008 Antenne Régionale CCLIN-FELIN
2 Organisation Régionale de l audit Développement de l activité endoscopie Evolution de la législation Alertes matériovigilance EVALUATION DES PRATIQUES Coopération ARS FELIN Audit régional par auto évaluation des services endoscopie Formation régionale FELIN Inspection ARS
3 Méthodologie de l audit Groupe travail FELIN Sud Elaboration grille d audit d après audit CCLINSO Audit des pratiques par entretien semi-directif Réalisé par l EOHH de chaque Ets Grille cotée sur Excel, avec graphe automatisé Formation régionale des auditeurs de tous les Ets concernés par l activité Synthèse régionale des Ets participants 5 établissements en mai/juin 2008, 2 Ets en juillet, résultats régionaux définitifs sept 2008
4 Grille d audit 1ère étape (Facultative, intra établissement) Relevé du parc d endoscopes Non Cotée 2ème étape Evaluation de l organisation 3ème étape Evaluation des pratiques 4ème étape Evaluation des LDE
5
6 Participation 7 établissements / % GHSR, CHGM, CJAO, CSB, CD, CHD, CSC 19 services audités, Anesthésie 1 Réanimation 4 Gastro 7 Pneumo 3 ORL 1 Bloc 3 6 LDE évalués
7 Organisation activité Présentation de la grille 20 pts
8 Principaux points à améliorer Le personnel dédié et formé ( surtout en réanimation et au bloc, peu de centralisation) Amélioration en équipement de la salle de traitement (extraction air, bac gradué, vidangeable) La traçabilité du contrôle du bain de désinfectant Les contrôles microbiologiques (insuffisamment réalisés) Le protocole de séquestration et de libération d un endoscope en cas d ESST
9 Contrôles microbiologiques Des contrôles microbiologiques sont réalisés sur vos endoscopes selon un protocole défini par le CLIN Echantillonnage prévu par le CLIN 47% Au retour de réparation 11% Avant utilisation de matériel de prêt 5% Lors d une alerte nationale et/ou locale 74%
10 Contrôle du risque de transmission des ESST(dont Creutzfeldt-Jakob) Existe-il une procédure d'identification des patients à risques, suspects et atteints d'e.s.s.t? 68% Le protocole de séquestration d un endoscope est-il rédigé? 58% La procédure de libération du matériel est elle rédigée? 21% Une procédure de séquestration de matériel a-t-elle déjà été menée dans le service? 2 Ets
11 Traitement Manuel Présentation de la grille 40 pts
12 Principaux points à améliorer Nettoyage/désinfection du bac d immersion entre deux nettoyages Contrôle des temps de nettoyage et d immersion à l aide d une minuterie (ou pompe semi-automatique) Volume d eau de rinçage (pas toujours adapté) Contrôle microbiologique de l eau de rinçage Séchage de tous les canaux à l air médical détendu Stockage : équipement en armoire adaptée et ventilée Accessoires (brosse écouvillon ) pas toujours UU ou stérilisé Traçabilité des différentes étapes Protection du personnel (gant manchette longue nitrile, lunette, tablier, masque inadapté)
13 Protection du personnel Protection respiratoire Protection chimique 5% Masque chirurgical 79% Rien 16% Port de gant Manchettes longues 37% Nitrile 32%
14 Traitement LDE Présentation de la grille 40 pts
15 Principaux points à améliorer Rédaction d un protocole d utilisation du LDE validé par le CLIN Contrôles visuels des tubulures d alimentation et des niveaux des produits avant le programme Schémas de visualisation des modes de raccordement des connexions avec des codes couleurs La formation des professionnels au LDE (67% formés) Le contrôle de l eau de rinçage terminal et la conduite à tenir en cas de non-conformité Traçabilité au niveau du dossier du patient
16 Synthèse globale Traitement en LDE 79% Traitement manuel 85% Organisation 75% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
17 Conclusion Nette amélioration des pratiques par la mise en application de la législation Audit : identification des écarts Mise en conformité ciblée pour chaque service Formation FELIN Inspection ARS en cours
18 Qualité et sécurité du traitement des endoscopes souples non autoclavables Protocole de visite de risques Catherine PAYET D après le diaporama de Chantal LÉGER, Sophie VAN DE STEENE et Muriel PEFAU. CCLIN SUD-OUEST
19 But et objectif du protocole Élaborer une méthode reproductible pour évaluer la qualité et la sécurité du traitement des endoscopes souples non autoclavables. Évaluer le ou les risques de défaillance dans l organisation de l activité et les pratiques professionnelles
20 Objectifs intermédiaires Répertorier et analyser les sources d information existant dans l établissement Vérifier le niveau de conformité des pratiques avec la réglementation et les recommandations Rechercher des mécanismes existants ou les barrières à activer permettant l identification de non conformités avant la survenue d un évènement indésirable grave Repérer le niveau de connaissances, d implication et le rôle de chaque acteur de la gestion des risques lié au traitement des endoscopes
21 Matériel Matières Produits Milieu Pinces à biopsies Endoscopes : Bacs de traitement Nombre Type (canaux) Propriété de E de S Brosses et écouvillons Equipe responsable du traitement Responsable biomédical Gestionnaire des risques Main d oeuvre Bouchons de lavage irrigateurs LDE Direction de soins Praticiens EOH et CLIN Détergent Désinfectant Médecin du travail Cadre de santé du service Stockage des DM Traçabilité Méthode Risque chimique Risque AES Rapport accréditation Signalements IN Fiches de poste Transport des DM Salle : Organisation Ergonomie Traitement de l air Formations des professionnels Protocoles Evaluation des pratiques Evaluation risque ESST Niveau de risque infectieux / acte Procédure de séquestration Rendement / pression Qualité du traitement manuel des endoscopes non autoclavables Facteurs influençant la gestion des risques concernant le traitement manuel des endoscopes non autoclavables
22 La visite de risque Méthode utilisée dans le secteur industriel et de l assurance conçue pour aider à cerner l activité dans son ensemble Dans le secteur de l assurance : permet d étudier qu un risque identifié est pris en compte et anticipé, que l incident ou l accident qu il doit couvrir relèverait de l aléa = risque subi, par distinction avec une prise «volontaire» de risque La méthode de la visite de risque a été transposée au secteur de la santé dans le cadre de la «sécurisation du circuit du médicament dans les établissements de santé» par le CCECQA en 2003
23 Quand et pourquoi? Méthodologie (1) A la demande d un établissement de santé Démarche a priori pour évaluer les défaillances de l organisation existante et mettre en place des barrières dans le cadre d une démarche qualité Démarche a posteriori pour évaluer les conditions d organisation de l activité dans le cas d une investigation
24 Méthodologie (2) Comment? Groupe de travail : au moins un professionnel du site demandeur et un référent ARLIN Différentes étapes : Rencontre initiale avec les membres du groupe de travail Entretiens individuels Observations de l organisation et des pratiques Analyse de documents Restitution en fin de visite Envoi d un rapport final
25
26 Exemple de planification de visite
27
28
29 Entretiens individuels Professionnels concernés cadre de santé du service gestionnaire des risques praticiens réalisant des endoscopies responsable service biomédical médecin du travail Objectifs : mesurer les connaissances, la prise de conscience et les actions mises en place et croiser les informations recueillies Thèmes communs + thèmes spécifiques
30 Thèmes Cadre de santé Gestionnaire de risques Praticiens endoscopistes Médecin du travail Responsable biomédical Protocole, formation X X X X Endoscopes X X X X Architecture, équipements X X X X Désinfectant X X X Procédures de traitement X X X Traçabilité X X Alertes X X X X Équipe X X X X Patient X X Évaluation X
31
32
33 Engagements de l établissement Disponibilité totale du correspondant local Information/participation de tous les professionnels concernés Préparation de la visite 10 jours au moins avant la date programmée : planning de la visite (déroulement) mise à disposition des documents Évaluation des pratiques de traitement des endoscopes avant ± pendant ± après la visite Fiche CAT en cas de dysfonctionnement grave lors du traitement Suivi dans le cadre de la démarche qualité
34 Missions de l ARLIN Méthodologie et formation du correspondant local Expertise (réglementation, bonnes pratiques en matière de gestion du risque infectieux et traitement des endoscopes) Participation active à la visite et réalisation des entretiens Co-animation de la restitution Analyse/exploitation des observations et entretiens Rédaction du rapport final en collaboration avec le correspondant local
35 Principaux résultats L architecture et les équipements Les endoscopes L équipe Les procédures Les pratiques L organisation de l activité Les risques professionnels La gestion des risques a priori et a posteriori Le risque ATNC Calcul de scores
36
37 A LA REUNION 3 visites de risques Sur l endoscopie En binôme ARLIN 1 Hygiéniste d un autre établissement
38 Préparation de la visite Recherche documentaire permet d associer des personnels qui ne seront pas forcément présents lors de la visite assez longue mais instructive Ex : pas de protocole de séquestration des endoscopes en cas de MCJ Organisation Rendez vous
39 Le déroulement de la visite Points positifs Implication des acteurs au-delà des agents responsables de la désinfection Bonne mobilisation du personnel paramédical et médical Effet «regard extérieur» Echanges dans un climat de confiance Retentissement au niveau de l établissement Points moins positifs Difficile d aborder le risque du geste en totalité Idem lors d un audit qui est encore plus restrictif
40 Après visite Ressenti des équipes pas toujours facile à évaluer mais dans l ensemble positif Etablisement dans l attente du rapport mais à l écoute des 1 es conclusions PH hygiéniste plutôt rassuré Procédure globalement respectée Découvre parfois ou conforte les problèmes existants Mise en place d actions correctives Matériels, organisation, formations, procédures
41 Conclusion Une démarche proactive se situe avant la survenue d un accident facilite la participation et la prise de conscience des défaillances par les professionnels concernés au niveau local pourrait être complétée par une analyse de scénario
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailRéférent et management
Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailGROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013
GROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013 Composition du groupe de travail BERJAMY Fatima Praticien
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailHAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1
Référentiel d évaluation des centres de santé HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Sommaire Introduction p. 3 et 4 Référentiel d évaluation p. 5 à 8 Référentiel d évaluation
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailIdentification et analyse des ruptures de flux en pratique
Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité
Plus en détailRéseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006
Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailMonitoring d un Datacenter du concept à la réalisation
Monitoring d un Datacenter du concept à la réalisation Par Norbert Andrey Tél: ++41(0)21 316 26 00 - Fax: ++41(0)21 316 27 26 Page 1 Objectifs - Détecter les défauts de fonctionnement et les notifier -
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailPrincipaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc
MODELE DE FICHE DE POSTE INTITULE DU POSTE : AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES OBJECTIF PRINCIPAL DU POSTE : Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailCRM Assurance. Fonctionnalités clés. Vue globale de l assuré. Gestion des échanges en Multicanal
CRM Assurance Fonctionnalités clés Vue globale de l assuré Le CRM pour les compagnies d'assurances est une solution spécialement conçue pour mettre en place et soutenir les fondements d une orientation
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Direction générale de la santé
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Direction générale de la santé * Réponses à des questions fréquemment posées au sujet de l application de l instruction n DGS/RI3/2011/449 du 1er décembre
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailLe patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015
Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailLa fonction Conformité dans l assurance
La fonction Conformité dans l assurance L approche par les risques L exemple de la lutte contre le blanchiment Présentation pour : Faculté d Orléans Intervenant(s) : Laurent GUEREL AG2R LA MONDIALE 1/19
Plus en détail1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4
Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailCatalogue 2014 OFFRE DE SERVICES. Solutions de services CVC complètes et sur-mesure pour vos installations SERVICE
Catalogue 2014 OFFRE DE SERVICES Solutions de services CVC complètes et sur-mesure pour vos installations SERVICE 1 Sommaire Vous êtes entre de bonnes mains! Un service de proximité Une équipe à votre
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailZone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires
5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.
Plus en détailVous avez dit: armoires??
Vous avez dit: armoires?? Prononcer : ESET Enceinte de Stockage des Endoscopes Thermosensibles Pr. René LAUGIER Dr. Joseph HAJJAR Recommandations de bonnes pratiques d utilisation des ESET Promoteurs :
Plus en détailConstruire le document unique. d évaluation. des risques professionnels
Construire le document unique d évaluation des risques professionnels Ce guide a pour objet de résumer les obligations réglementaires, et de proposer une organisation pour faciliter la réalisation et l
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec
Plus en détailFonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com
Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut
Plus en détailUn portail de management des risques routiers
Un portail de management des risques routiers SOMMAIRE VERSION 1 - DECEMBRE 2009 Le risque routier, risque d entreprise... 2 La démarche de prévention supportée par Veofleet... 2 Le choix d un portail...
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailDocument élaboré par :
CCLIN Sud-Ouest Document élaboré par : C. Aubeneau - Poitiers G. Boutolleau - Sainte Foy La Grande A. Bui-Quoc - Limoges M. Halary - Angoulême F. Jouannet - Angoulême J. Lalanne Claux - Dax D. Le Ménahèze
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détail25 % EXPERTS PAR AN. + de 20. + de 35. près de 50 DE CROISSANCE DE L OPEN SOURCE ANNÉES D EXPERIENCE AU SERVICE DE L OPEN SOURCE
PRESENTATION DE 700 25 % DE L OPEN SOURCE PAR AN DE CROISSANCE EXPERTS + de 20 ANNÉES D EXPERIENCE AU SERVICE DE L OPEN SOURCE + de 35 PARTENAIRES OPEN SOURCE près de 50 Smile Open Source Solutions - Toute
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailTout le matériel (actif) qui sert à produire: boulons, capteurs, automates, vérins, câblage, éclairage, etc.
1 La maintenance 2 De quoi? Tout le matériel (actif) qui sert à produire: boulons, capteurs, automates, vérins, câblage, éclairage, etc. Pourquoi? Garder le matériel de production (les actifs) en état
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailGESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS CONNECT TO BETTER Q-BIC PLUS 1. #LesRèglesOntChangé CONNECT TO BETTER CONNECT TO BETTER
GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS #LesRèglesOntChangé Q-BIC PLUS 1 LES NOUVELLES RÈGLES DE LA GESTION DES EAUX PLUVIALES COMMENCENT ICI Wavin Q-Bic Plus, nouveau système de rétention/infiltration
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailDiplôme de Comptabilité et de Gestion. D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0
Diplôme de Comptabilité et de Gestion DCG D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0 Validation des Acquis de l Expérience VAE R é f é r e n t i e
Plus en détailLimitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing
Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire
Plus en détailSYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -
SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détail«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»
«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste
Plus en détailSolution d intelligence marketing et CRM
Solution d intelligence marketing et CRM L entreprise d aujourd hui est littéralement ensevelie sous une masse d information générée par son activité commerciale et par les liens qu elle tisse avec ses
Plus en détailLiaison Bac Pro ASSP - BTS
Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,
Plus en détailFRANÇAIS. Les monde des units dentaires de référence
FRANÇAIS Les monde des units dentaires de référence Table des matières Planmeca Sovereign 4 Planmeca Compact i 10 DECOUVREZ LE MONDE FASCINANT DES UNITS DENTAIRES DE PLANMECA Planmeca Romexis 18 Planmeca
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailFormation obligatoire d adaptation à l emploi
Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à
Plus en détailRAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN
" PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailEvaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)
Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailGETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE
GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailFiche de poste : Agent d entretien FICHE DE POSTE. AGENT d ENTRETIEN 1/7
FICHE DE POSTE AGENT d ENTRETIEN Fiche de poste actualisée le lundi 18 février 2013 1/7 1 SOMMAIRE 2 Positionnement... 3 3 Relations internes et externes... 3 4 Presentation du service entretien... 4 5
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailTechnicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants
PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique
Plus en détailLA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE
1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème
Plus en détailVos besoins, nos obligations
S Ingénierie Assistance Technique - Conseil Management des projets Prévention des risques Vos besoins, nos obligations Contact: Mr EL AAMRANI Saïd, Gérant 43 rue des Hirondelles, BP 600-68 76330 Notre
Plus en détailRepères. Gestion des défibrillateurs automatisés externes
Repères Gestion des défibrillateurs automatisés externes Juin 2014 Défibrillateurs automatisés externes grand public : Recommandations à suivre Vous êtes une entreprise, une structure accueillant du public
Plus en détailWebInfoRoute. Gestion de l'information routière. outil développé en partenariat avec le. Conseil Général des Hautes-Alpes.
WebInfoRoute Gestion de l'information routière outil développé en partenariat avec le Conseil Général des Hautes-Alpes Sommaire L'information routière dans les Hautes-Alpes Patrouilles Viabilité hivernale
Plus en détailLa métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart
La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général
Plus en détailCatalogue des formations pour vos collaborateurs, pour vos clients,
Catalogue des formations pour vos collaborateurs, pour vos clients, Formations en Webconférence... 2 Formation Administrateur : Plan Démarrage SharePoint... 3 Formation Administrateur Microsoft Office
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailAssurance de la qualité Initiation
Assurance de la qualité Initiation Définition et principe La qualité, c est : L aptitude d un ensemble de caractéristiques intrinsèques à satisfaire des exigences ISO 9000 2000 3.1.1 Série des normes ayant
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détailLa gestion des risques en établissement de santé Point de vue de la Société française de gestion des risques en établissement de santé SoFGRES
La gestion des risques en établissement de santé Point de vue de la Société française de gestion des risques en établissement de santé SoFGRES Gilbert Mounier 1 La SoFGRES association loi 1901 à but non
Plus en détailL exploitation des rapports de vérifications réglementaires : quels enjeux, quelle solution?
L exploitation des rapports de vérifications réglementaires : quels enjeux, quelle solution? 5 décembre 2013 Sommaire L exploitation des rapports de vérifications réglementaires : Quels enjeux? Bureau
Plus en détailCatalogue de. formations
Catalogue de 2014 formations GC Epsilim - 4, avenue de la Révolu on - 87000 imoges - Tél. 05 44 00 00 44 - Fax 05 55 58 74 49 - N agrément forma on 74870088287 EITO adame, onsieur, e GC EPII propose à
Plus en détail24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?
24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,
Plus en détailMise en œuvre de les capteurs dans la gestion de l eau
Mise en œuvre de standards OGC pour les capteurs dans la gestion de l eau Forum OGC France Journée de l interopérabilité 5 décembre 2012 Simon Le Grand 09/12/2012) Veolia Eau Ile de France Direction Technique
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailHSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net
HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.
Plus en détailQualité et gestion des risques
formation 2007 Qualité et gestion des risques Qualité et certification HAS Démarche qualité Qualité et certification ISO Qualité en imagerie Qualité au laboratoire Management des risques Risques spécifiques
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailGAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES. Gamme de LDE de Getinge 1
GAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES Gamme de LDE de Getinge 1 2 Gamme de LDE de Getinge TRAITEMENT DES ENDOS- COPES - RAPIDE ET À L ABRI DES ERREURS L augmentation
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailLES DIFFERENTS SYSTEMES DE MARQUAGE DES INSTRUMENTS. Atelier n 2
LES DIFFERENTS SYSTEMES DE MARQUAGE DES INSTRUMENTS Atelier n 2 UNITES DE SOINS MCJ PRE-DESINFECTION Transport UTILISATION Dossier médical informatisé du patient Logiciel de traçabilité du processus de
Plus en détail