INVESTIGATION D UNE ÉPIDÉMIE. DU d Hygiène Hospitalière Service d Hygiène Hospitalière CHU Bordeaux Dr Véronique MARIE
|
|
- Isaac Papineau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INVESTIGATION D UNE ÉPIDÉMIE DU d Hygiène Hospitalière Service d Hygiène Hospitalière CHU Bordeaux Dr Véronique MARIE 1
2 Qu est-ce qu une épidémie? Définition donnée dans Surveiller et prévenir les infections associées aux soins, Toute augmentation du nombre de cas pour une pathologie donnée* par rapport à des valeurs de référence sur une période de temps Augmentation temporo-spatiale d un nombre d infections causées par un même agent infectieux lors d une exposition à une même source lors de l existence d une transmission croisée dans le même espace géographique pendant une période de temps défini * infectieuse ou non 2
3 Investigation d une épidémie démarche méthodologique approche multidisciplinaire clinique épidémiologique environnementale microbiologique À la fois descriptive et aussi analytique (test d'hypothèses) 3
4 Pourquoi investiguer une épidémie? À court terme : pour stopper l épidémie À court et moyen terme : pour prévenir la survenue d un autre épisode identique À long terme : pour améliorer la connaissance des voies de transmission des agents infectieux lors des soins 4
5 Objectifs de l investigation Déterminer : agent responsable réservoir source mode de transmission population à risque 5
6 Définitions Réservoir (endogène / exogène) lieu habituel et permanent où un germe persiste et se multiplie Source lieu de contact entre le germe et l hôte NB : source et réservoir peuvent être identiques Mode de transmission (direct : gouttelettes, air/ indirect : contact, matériel contaminé) 6
7 Étapes de l investigation (1) Description de l épidémie (2) Formulation des hypothèses + mise en place des premières mesures de prévention (3) Vérification des hypothèses + mise en place de mesures de prévention plus spécifiques (4) Rédaction d un rapport et rétro-information dans le service (5) Évaluation des mesures prises 7
8 Pré-requis pour détecter une épidémie Suppose de bien savoir de quoi l on parle : définition des cas +++ Suppose d avoir la connaissance du taux de base des cas Suppose donc d avoir un système de surveillance et d alerte 8
9 Comment détecter une épidémie? Sources d information : signalement interne des services cliniques laboratoire de microbiologie Confirmer l augmentation de l incidence éliminer une pseudo-épidémie (changement des modalités de prélèvements, des techniques de laboratoire, de la surveillance, augmentation population exposée) 9
10 1 ère ETAPE : DESCRIPTION DE L EPIDEMIE 10
11 Décrire l épidémie détectée T comme temps (chronologie des cas) courbe épidémique L comme lieu distribution géographique des cas P comme personnes (caractéristiques des cas) détermination de sous-groupes à risque? 11
12 Description temporelle (T) Courbe épidémique en abscisses : unité de temps (semaine, mois, année) en ordonnées : nombre de cas 12
13 Description temporelle (T) Allure générale courbe épidémique => hypothèses sur les modalités de transmission du germe responsable de l épidémie source extérieure commune (brève vs continue ou intermittente) transmission croisée interhumaine 13
14 Description T :exemples de courbes épidémiques 14
15 Figure. Exemple d épidémie de source commune prolongée et intermittente : épidémie de légionellose dans le département du Pas-de-Calais à partir d une TAR industrielle, France, novembre 2003 janvier 2004 [16]. Le suivi des cas par date de début des signes permet de suggérer des hypothèses et d évaluer l impact des mesures prises. 15
16 EXEMPLE: Courbe épidémique C. difficile 639 cas entre janvier 2006 et novembre ES du Nord Pas-de-Calais et de Picardie 2 ème campagne de prévention ère campagne de prévention Courbe épidémique cas non 027 cas 027 possibles cas 027 probables Nombre de cas cas 027 certains Semaine de diagnostic (résultat de toxine positive) 16
17 Exemple de tableau synoptique des cas Un chevauchement des périodes d hospitalisation permet d évoquer l hypothèse d une transmission croisée. 17
18 Description de lieu (L) Répartition spatiale des cas dans un service plan du service ou de l unité localisation des cas (points rouges) dans ce plan 18
19 Description de lieu (L) Visualisation répartition spatiale des cas => oriente sur la localisation de la source de l épidémie (unité de lieu) 19
20 Localisation géographique des cas, avril 2007 (n=48) ES 01/07 30 cas MR 02/07 2 cas ES W 09/06 1 cas Légende ES E 04/06 10/06 8 cas ES AH 10/06-1 cas ES AJ 11/06-1 cas souches 027 isolées souches non 027 isolées souches non typées ES F 05/06 1 cas ES Q 08/06 11/06 39 cas ES I 03/06 09/06 31 cas ES C 01/06 11/ cas ES Y 09/06 1 cas ES J 06/06 2 cas ES S 09/06 10/06 7 cas ES M 06/06 10/06 9 cas EHPAD K 04/06 10/06 8 cas Lens ES AG 09/06 1 cas ES AE 10/06 1 cas ES AC 09/06 10/06 2 cas MR O 06/06 1 cas ES X 09/06 MR Z 5 cas 09/06 4 cas ES L 05/06 10/06 25 cas ES D 11/05 03/06 6 cas ES R 09/06 11/06 5 cas ES U 09/06-11/06 2 cas ES AK 11/06 1 cas ES P 08/06 09/06 7 cas ES T 09/06 1 cas ES A 01/06 11/06 ES AI 11/06 2 cas 78 cas ES H 05/06 11/06 ES AF 25 cas 09/06 10/06 2 cas ES G 04/06 09/06 6 cas Pour chaque épisode : Type d établissement & identifiant ES = établissement de santé MR = maison de retraite EHPAD = Etablissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes Période de survenue des cas Nombre total de cas ES V 09/06 1 cas ES AB 08/06 09/06 3 cas ES AD 10/06 1 cas ES N 06/06 11/06 21 cas ES B 08/06 09/06 6 cas ES AA 09/06 3 cas Données InVS / CClin Nord / Hôpital Saint-Antoine / CNR Anaérobies 20
21 Description des cas Recueil des caractéristiques cliniques des cas Recherche de facteurs de risque de l infection en cause et d une exposition commune aux différents cas Analyse des dossiers, recueil d informations Caractéristiques générales : âge, sexe, date d admission, provenance, motif principal d hospitalisation, antécédents, terrain, antibiothérapie Caractéristiques de l infection : date (durée d exposition), évolution, localisation Procédures diagnostiques invasives récentes selon le type d infection (endoscopie, cathétérisme, biopsie, durée d intervention, lieu, opérateur) Cas certain / cas probable / cas possible 21
22 2 ème ETAPE : FORMULATION DES HYPOTHESES PREMIERES MESURES 22
23 Formuler des hypothèses Hypothèses concernant : l agent responsable le réservoir la source le mode de transmission 23
24 Formuler des hypothèses Proposer des mesures de contrôle dès que possible puis réajuster selon avancée de l investigation Dans l objectif de tester et confirmer ces hypothèses 24
25 Premières mesures de prévention Dans tous les cas : respect des précautions standard (hygiène des mains +++) Transmission croisée mesures d isolement adaptées en fonction du site infecté et du mode de contamination notion de cohorting (personnel dédié, sectorisation temporaire) voire fermeture de lits, d unités 25
26 3 ème ETAPE : VERIFICATION HYPOTHESES MESURES PLUS SPECIFIQUES 26
27 Vérification des hypothèses Intervention Épidémiologistes Hygiénistes Microbiologistes Recherche des cas additionnels Enquête épidémiologique analytique Enquête de pratiques Enquête microbiologique 27
28 Enquête microbiologique Orientée par l'épidémiologie et par le type de microorganisme, elle permet de tester les hypothèses Recherche d un réservoir environnemental Eau (robinet, douche..), air, dispositif médical. Mise en évidence d une voie de transmission ou d un réservoir intermédiaire (2 intention) Mains du personnel en cas de manuportage, réservoir nasal de SARM chez le personnel, surfaces Comparaison des souches afin de délimiter l épidémie et confirmer le réservoir ou la source Distingue souche épidémique et souche sporadique, affirme la nature clonale des souches (lien génotypique) Struelens M. Infect Control Hosp Epidemiol
29 Acinetobacter baumannii résistant à l imipénème dans le Sud Ouest (Pr Nordmann et Dr Burucoa) 29
30 Profils ECP Épidémie A B C D A A A E F G 9 souches testées en ECP 7 patients et 2 eaux - 7 souches des patients toutes différentes - 2 souches de l'eau de la chambre occupée par un patient porteur et la souche de l'hémoculture du patient sont identiques ECP infirme l'épidémie mais permet de faire le lien entre un patient infecté et l'eau du robinet de sa chambre après son départ Désinfection de la robinetterie élimination de la souche Pas de nouveau cas 30
31 Profil ECP Épidémie B 12 souches testées en ECP : 9 patients et 3 eaux 2/9 patients n'étaient pas passés en réanimation et 1/3 eau venait d'un autre service - 9 souches identiques : 7 patients tous passés en réanimation et 2 fois le même point d'eau à 1 mois d'intervalle, malgré la désinfection de la robinetterie ECP affirme l'épidémie avec identité des souches des patients passés en réanimation et du point d'eau central Désinfection de la robinetterie insuffisante Changement de robinetterie élimination de la souche 31
32 Enquête épidémiologique analytique Indispensable en cas de non contrôle de l épidémie pour tester et confirmer les hypothèses Méthodes d investigation spécifiques Cas-témoins Cohorte rétrospective ou prospective Consistent à comparer les caractéristiques des patients infectés à celles des non infectés afin de voir les différences observées entre les deux groupes et les tester statistiquement But : mettre en évidence des facteurs de risque ou une exposition spécifique commune Analyse de la littérature Gastmeir P. Am J Infect Control 2006 Enquête analytique dans 429 (27,5%) des 1561 épidémies répertoriées 32
33 Epidémies d Infections Associées aux Soins Résolution Analyse de la littérature Gastmeir P. Am J Infect Control épidémies répertoriées Aucune source identifiée : 37,1% Si source identifiée Patients : 40,3% Matériel ou DM : 21,1% Environnement : 19,8% Comparaison génotypique : 58,4% Enquête analytique : 27,5% 33
34 Etude analytique Enquête Cas-Témoin Mesurer une association entre l exposition à un facteur et la survenue de la maladie Comparer les expositions parmi un groupe de sujets malades CAS parmi un groupe de sujets non-malades TEMOINS Calcul d un Odds Ratio (OR) 34
35 Etude analytique Enquête Cas-Témoin Choix des témoins doit être issu de la population d où proviennent les cas doit être le plus proche possible (caractéristiques) des cas, sans la maladie mauvais choix du groupe témoin biais dans l analyse information sur l exposition doit être la même dans les 2 groupes 35
36 Etude analytique Enquête Cas-Témoin CAS TEMOINS Exposés a b Non exposés c d cote d exposition chez les cas = a/c cote d exposition chez les témoins = b/d OR = cote d exposition chez les cas = a/c = a*d cote d exposition chez les témoins b/d b*c 36
37 Etude analytique Enquête Cas-Témoin L interprétation de l OR se fait de la façon suivante OR = 1 : absence de relation entre le facteur de risque et la maladie OR > 1 : risque accru de maladie (facteur de risque) OR < 1 : risque réduit de maladie (facteur protecteur) Attention tenir compte de la significativité statistique ou de l intervalle de confiance de l OR 37
38 Etude analytique Enquête Cas-Témoin Infection de site opératoire et antibioprophylaxie ISO + ISO - Antibioprophylaxie Pas d antibioprophylaxie 7 90 OR= (3X90)/(7X100)=0,38 38
39 Mesures plus spécifiques À définir au terme de l investigation : Éradication de la source Modification des procédures à risque Immunisation des patients et/ou du personnel Adaptation des équipements et des locaux Organisation du travail, fermeture temporaire ou définitive d un service ou d une unité Sensibilisation du personnel Organisation de la gestion du risque au niveau de l établissement 39
40 4 ème ETAPE : REDACTION DU RAPPORT RETRO-INFORMATION 40
41 Rédaction du rapport Rapport écrit détaillé de l ensemble de l investigation Importance des notes d étapes Objectifs Référence Document médico-légal Document pédagogique Publication scientifique 41
42 5 ème ETAPE : EVALUATION DES MESURES PRISES 42
43 Phase d évaluation et synthèse Suivre l impact des mesures proposées et s assurer de leur mise en œuvre Mettre en place une surveillance prospective afin de vérifier l arrêt de l épidémie Rendre compte : informer, communiquer auprès de tous les acteurs concernés Diffusion du rapport, réunions Signaler au CCLIN et ARS (signalement externe) 43
44 APPLICATION 44
45 Epidémie avec rôle de l environnement : Exemple Du mois d avril au mois de mai, 5 cas d infections à Acinetobacter baumannii résistant à l imipenème sont identifiés dans le service de réanimation chirurgicale d un CHU 1 ère partie : Quelle est votre attitude? 45
46 Acinetobacter baumannii bactérie très disséminatrice est responsable dans la littérature d épidémies très difficiles à juguler en raison de sa persistance dans l environnement et ce malgré son caractère au départ peu pathogène. L infection une fois installée chez un patient fragile peu être gravissime. Recherche du cas index établissement de la courbe épidémique ; de la répartition temporo spatiale. Ces éléments ne permettent pas de conclure à l origine de l épidémie. Des mesures immédiates de renfort des procédures d hygiène sont mises en place avec sectorisation des soins, dépistage systématique des entrants et de tous les patients toutes les semaines. L analyse phénotypique des souches (antibiogramme) suggère une identité des souches. L identité clonale sera confirmée par l analyse génotypique mais tardivement (3 semaines). 46
47 La fermeture d une des 2 unités de la réanimation est décidée lors de l apparition de 2 cas secondaires malgré la mise en place de ces mesures. Des cas additionnels sont retrouvés dans d autres services de chirurgie. 2è partie : Quelle analyse faites-vous de la situation? 47
48 L apparition de cas additionnels étend la recherche du réservoir hors du service de réanimation chirurgicale ; il est indispensable de rechercher la circulation des cas : le point commun des cas = chirurgie, l enquête doit être menée au bloc opératoire : enquête sur d autres points communs (chirurgien, anesthésiste, salle), sur les locaux, l environnement, chariot d anesthésie (prélèvements bactériologiques) ou encore dans la salle de réveil (pratiques d hygiène, organisation du travail, charge en soin.). 48
49 Eléments d enquête la salle de réveil accueillait trop de patient (charge en soins trop élevée par rapport au personnel et aux locaux) et trop longtemps (> 24 heures) et devenait une annexe de la réanimation un chariot d anesthésie s est révélé contaminé par Acinetobacter baumannii l environnement de la salle de réveil s est révélé contaminé en divers sites. 3è partie : Quelles mesures prenez-vous? 49
50 -Diminuer la charge en soins : arrêt des admissions pour chirurgie programmée et nettoyage et désinfection complète du bloc opératoire -Prendre les mesures nécessaires pour vider la salle de réveil (destination des patients en réanimation, [celle-ci a été déjà nettoyée] ou en salle avec les mesures qui s imposent -Dépistage systématique des unités de réanimation et de chirurgie pour tous les entrants et tous les patients chaque semaine -Regroupement géographique et technique des cas ; surveillance de l environnement -Reprendre l activité du bloc opératoire avec prudence en surveillant l arrivée de nouveaux cas et après vérification microbiologique des locaux. 50
51 La dissémination des Acinetobacter est très rapide dans les secteurs à risque La charge en soins joue un rôle primordial L environnement est le réservoir secondaire et doit être contrôlé La sectorisation, le dépistage systématique et le nettoyage régulier sont les moteurs de la gestion de ce type d épidémie La coopération entre toutes les équipes est primordiale Il existe un bénéfice pour l avenir dans la gestion d une épidémie 51
52 52
53 53
54 54
55 55
56 56
57
58 58
Les Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailSPECIFICATION DES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISES (E.D.I.)
SPECIFICATION DES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISES (E.D.I.) Dernière mise à jour : octobre 2013 Ce document a pour objectif de décrire ce que l OPCA (OPCA 3+) attend du fichier à transmettre par l adhérent.
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détail1S Modèles de rédaction Enoncés
Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailINFORMATIONS DIVERSES
Nom de l'adhérent : N d'adhérent :.. INFORMATIONS DIVERSES Rubrique Nom de la personne à contacter AD Date de début exercice N BA Date de fin exercice N BB Date d'arrêté provisoire BC DECLARATION RECTIFICATIVE
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailBILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY
Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailSurveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies
Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Philippe Vanhems Service Hygiène Hospitalière, Epidémiologie et Prévention Pôle Santé, Recherche, Risques et Vigilances
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailGESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions
Plus en détail3 ème 2 DÉVELOPPEMENT FACTORISATIONS ET IDENTITÉS REMARQUABLES 1/5 1 - Développements
3 ème 2 DÉVELOPPEMENT FACTORISATIONS ET IDENTITÉS REMARQUABLES 1/5 1 - Développements Développer une expression consiste à transformer un produit en une somme Qu est-ce qu une somme? Qu est-ce qu un produit?
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailBulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest.
Bulletin N 47 Octobre 2008 - Trimestriel AU SOMMAIRE Bloc-Notes p. 1 Erratum p. 1 C.CLIN Ouest BLOC-NOTES Nouveautés du site http://www.cclinouest.com - Les résultats de la surveillance des Bactéries Muti-Résistantes
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailPrévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe)
Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Collection Documents Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes
Plus en détailOUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION
OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailActivités informatiques du BCCDC
Activités informatiques du BCCDC Atelier sur la surveillance en santé environnementale Le 26 février 2013 Informatique en santé publique Application de disciplines clés pour la santé publique Science de
Plus en détailCas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot
Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailCALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING
CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailCasaques, champs, trousses chirurgicales et customs packs RENFORCEZ VOTRE DÉFENSE CONTRE LES INFECTIONS EN CHIRURGIE
Casaques, champs, trousses chirurgicales et customs packs RENFORCEZ VOTRE DÉFENSE CONTRE LES INFECTIONS EN CHIRURGIE COMPTEZ SUR L EXPERTISE DE HALYARD À PRÉVENIR LES INFECTIONS EN CHIRUR Solutions pour
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailDr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailDiatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile
DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détail