La cigarette électronique et son utilité dans la réduction du risque et l aide à l arrêt du tabagisme.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La cigarette électronique et son utilité dans la réduction du risque et l aide à l arrêt du tabagisme."

Transcription

1 La cigarette électronique et son utilité dans la réduction du risque et l aide à l arrêt du tabagisme. Société Française de Tabacologie Toulouse 5-6 novembre 2015 Pierre Bartsch

2 La cigarette selon Big Tobacco. Deux affirmations de PDG de l industrie du tabac retrouvées dans les documents internes de cette industrie après le procès du Minnesota obligeant ces derniers à être publiés sur Internet Nous ne vendons pas du tabac mais de la nicotine. La cigarette est le moyen le plus efficace de délivrer de la nicotine Ceci est devenu inexact depuis l invention et le perfectionnement de la cigarette électronique!

3 Plan de l exposé. 1.La cigarette électronique ou LES cigarettes électroniques? 2. La notion de réduction des risques. 3. Arrêt du tabagisme et réduction des risques avec TSN. 4. Arrêt avec e-cig = souvent (?) harm reduction HR 5. Manque de données EBM efficacité e-cig pour arrêt. 6. Pas de données EBM pour HR en général. 7. Des millions d utilisateurs de e-cig, sans intervention des professionnels de santé ne fument plus. 8. Quelle attitude des professionnels de santé devant les ravages du tabac/bénéfices potentiels de e-cig?

4 1.La cigarette électronique ou LES cigarettes électroniques?

5 Température de chauffe variable (50 à 330 C?) en fct de la puissance électrique (tension de la batterie, intensité et résistance de l atomiseur).

6 Pourquoi cigarettes électroniques au pluriel? Il y a ~500 marques de e-cig sur le marché mondial, avec 2 types principaux cigalikes et modèles à réservoir. (tank model) Zu SH et al. Tob Control 2014 Les doses de nicotine sont variables ( ), ( ), (etc ) L efficacité de l émission varie avec les caractéristiques physiques variées ou variables définies par le voltage, l ampérage et la résistance. Il y a des e-cig automatiques et des manuelles, le volume de vapeur émise et par conséquent la dose de nicotine administrée varie en proportion de ces données physiques et de la durée de l activation. Au moins en GB les plus vendues sont les cigalikes moins efficaces pour induire un arrêt du tabagisme.* Suivi à un an de 1643 F: - pas de e-cig 64% - cigalikes 27% - tank model 9% Ceux qui arrêtent le + souvent sont les utilisateurs quotidiens de modèles avec réservoir. * Hitchman SC et al. Associations between E-cigarette type, frequency of use, and quitting smoking: findings from an online panel survey in GB. Nic Tob Res 2015

7 La cigarette électronique ou e-cigarette Mods (modulable) : parties < fournisseurs réglage de la puissance (W) en fct de la tension (V) et résistance (Ohms) Cigalikes

8 2. La notion de réduction des risques.

9 Harm reduction : de la toxicomanie par injection au tabagisme. I Devant les ravages du SIDA et de l hépatite C chez les toxicomanes,l idée pragmatique d aborder la toxicomanie sous un angle pratique plutôt que moral a pris naissance dans les pays où la vision Santé Publique est dominante (GB, NL). - échange de seringues à usage partagé contre des seringues stériles gratuites. - centres supervisés d injection. - traitements de substitution (méthadone, buprénorphine Subutex) Ils évitent le rituel (et le risque) de l injection avec son effet shoot. Ils ont une cinétique lente évitant la défonce d une part et le manque d autre part. Les centres d injection sont aussi des centres de prise en charge en vue d obtenir un sevrage au mieux, ou en cas de pousuite de la dépendance, d éviter un usage double (substitution + épisodes de recours à l opiacé habituel),quite à accepter une substitution à vie, sans cesser d essayer la réussite d un sevrage total.

10 3. Arrêt du tabagisme et réduction des risques avec TSN.

11 Harm reduction : de la toxicomanie par injection au tabagisme. II Pour ce qui concerne le tabagisme,les effets nocifs sur la santé sont en rapport avec la durée et le nombre de cigarettes fumées, le 1er facteur paraissant encore plus important que le 2e. Longues périodes d arrêt = réduction du risque pour la BPCO *. La réduction du nombre de CPJ = illusion (fume compensatoire). Réduction du déclin de la fonction pulmonaire si diminution effective >85 % du nombre de CPJ.** Peu de fumeurs maintiennent une faible consommation, le moindre incident de la vie quotidienne fait remonter la consommation au moins à l état antérieur. Prise en charge des F = arrêt total de la consommation (qu on espère définitif!). Comme pour les toxicomanes, voie de traitement importante = substitution de longue durée avec cinétique lente ( traitement de substitution nicotinique). TSN. TSN pour l arrêt et ou pour réduction des risques? Usage prolongé sans risques significatifs pour la santé. Borup G. et al.2015 Harm Reduct J * Anthonisen NR et al. AJRCCM **Simmons MS et al.eur Respir J

12 Lung Health Study Anthonisen (2002)

13 Lung Health Study Simmons 2005

14 La nicotine crée la dépendance, la fumée tue. Russel Depuis des décennies, on sait que la cause principale de la morbidité et de la mortalité liées au tabagisme est en rapport avec > de 4000 substances présentes dans la fumée et absentes du tabac avant combustion. La Suède, pays où une tradition ancienne de consommer du tabac oral (snus) est présente chez les hommes, taux particulièrement bas de maladies liées au tabagisme malgré la présence dans la population d un taux réduit mais non négligeable de fumeurs. Ce tabac oral étant fabriqué par l industrie cigarettière, la CEE n a jamais accepté qu on l utilise ailleurs en Europe. Cette industrie a essayé de fabriquer des cigarettes sans combustion (PREPs - Potential Reduced Exposure Products) échec commercial. L industrie pharmaceutique a donc préconisé TSN, nicotine = toxicité faible et pouvoir addictif léger étant donné une cinétique lente, formes inhalatoires développées: rendement en nicotine très faible (Inhaler) ou irritation locale +++ (spray nasal puis spray buccal). Invention de la cigarette électronique.(2004)

15 Le TSN comme traitement de réduction des risques. A une époque où la cigarette électronique n était pas encore commercialisée, un plaidoyer sérieusement argumenté s adressait à la FDA pour donner un libre accès à tous les produits contenant de la nicotine pharmaceutique, en postulant que même si un de ces produits était aussi addictif que la cigarette, il y aurait un bénéfice considérable en matière de santé publique. L auteur ajoutait que ceci mettrait TSN et cigarettes dans une compétition équitable. Sumner W. BMC Public Health Il pourfendait les idées abolitionnistes. Depuis cette époque la disponibilité des TSN, over the counter a fait disparaître toute limitation de la durée du traitement. Il était considéré que 30 % des fumeurs n arrêteraient jamais d être dépendants. En 1996 la Lung Health Study avait déjà montré que l usage pendant plus de 60 mois de gommes à la nicotine ne créait aucun effet secondaire sérieux, même si 5 % des participants avaient arrêté à cause d effets secondaires mineurs. Seulement 1 % poursuivait la prise de gommes en n ayant pas arrêté de fumer. Murray RP et al. Chest

16 Invention de la e-cig Ceci n est pas une pipe! 1 er brevet en 1965 par H.A. Gilbert. Aucune exploitation commerciale. 2 ème brevet en 2005 par Hon Lik, pharmacien et ingénieur chinois; pulvérisation ultrasonique complexe et coûteuse. Créateur de Ruyan (Fumée). vendu à Imperial Tobacco 15 M de US $. 3 ème brevet par David Yunqiang Xiu : vaporisation par résistance chauffante.(ends- Electronic Nicotine Delivery System) ou cigarette électronique(e-cig).nb ENDS implique «nicotine»! Début d une industrie chinoise avec des fabrications en masse depuis Shenzhen et Hong-Kong distribuées dans le monde entier. L exportation se fait par dispositifs complets ou en pièces détachées, permettant aux distributeurs et même aux acheteurs de réaliser des montages variés (mods) et originaux. La e-cig déferle sur le monde Une industrie (européenne) de e-liquides se développe.

17 La e-cig, un outil de cessation tabagique ou de diminution des risques? L ambiguité demeure : dans l esprit de l inventeur dont le père serait mort d un cancer du poumon outil de substitution complète = médicament au même titre que les divers TSN. Médicament = réglementation pharmaceutique du dispositif médical et des liquides utilisés. E-cig = moins dangereuse que la cigarette. Les vendeurs ne plaident pas pour l arrêt! Les vapoteurs, se sont mobilisés pour la cigarette électronique et contre, celle qu ils appellent la tueuse. = substitution complète! Si dans l avenir la cigarette électronique est pharmaceutique,elle sera vendue comme(le meilleur?) substitut nicotinique pour l arrêt? Aujourd hui la communauté scientifique se déchire entre pro et con, les pro sont en général les médecins qui aident les patients à arrêter de fumer et les con, sont des adeptes de la Santé Publique, qui ne sont pas en faveur de la diminution des risques,(non incorporée dans le CCLAT) et qui considèrent qu il ne faut pas admettre une éventuelle dépendance persistante à la nicotine. (abolitionnistes!)

18 Efficacité/Sécurité des cigarettes électroniques pour la réduction et l arrêt du tabagisme. La Cochrane Review, connue pour l extrême prudence de ses conclusions dit: il est évident après deux études, que les e-cig (avec nicotine) aident les F à arrêter de fumer pour une période prolongée, en comparaison avec des e-cig placebo. Cependant le petit nombre d études, le taux bas d évènements et les larges intervalles de confiance signifient que notre confiance dans les résultats est notée basse dans les standards GRADE. Le manque de différence des effets des e-cig avec ceux des patches de nicotine, dans une étude, est incertain pour les mêmes raisons. Les e-cig(avec nicotine) semblent aider les F incapables d arrêter et aussi à réduire leur consommation, en comparaison avec les e-cig sans nicotine ou les patches, mais les limitations ci-dessus affectents aussi la certitude de ces résultats. De plus, l absence de vérification biochimique de la réduction réelle d absorption de fumée (CO) limite encore l évidence. Il n y a aucune raison de penser que l utilisation de e-cig pour une durée courte constitue un risque pour la santé. McRobbie H, Bullen C, Hartmann-Boyce J, Hajek P. Electronic cigarettes for smoking and reduction. Cochrane Database Syst Rev 2014;12:CDO /

19 4.Arrêt du tabac avec e-cig, souvent (?)= utilisation prolongée réduction des risques.

20 Etat des lieux à l automne 2015 Des dizaines de millions d américains et d européens ont arrêté de fumer en utilisant la e-cig, mais pas d étude RCT démontrant le niveau d efficacité de celle-ci. Un pourcentage élevé d utilisateurs (25-60%?) Croes E. E-cig Special Symposium SRNT Sept.2015 continue à vapoter. La question de la réduction des risques à long terme est donc pertinente, mais une preuve RCT sera encore plus difficile et lointaine. Une modélisation du risque, situe le risque de la cigarette électronique à ~5% de celui de la cigarette. Nutt DJ et al.eur Addict Res Public Health England engage les SSS du NHS à incorporer le recours à l e-cig dans l aide à l arrêt chez les F qui ont échoué avec les validés et ceux qui n envisagent pas d arrêter. E-cigarettes: an evidence update. PHE Doc août 2015 Etude de F non désireux d arrêter n=34 e-cig* + TCC : à 8 mois : CPJ initial soit un taux d abstinence de 53% 18/34 e-cig seule cigarettes 0 18,6 8/34 + cigarette 5,8 22,5 8/34 cigarette seule 5,5 26,9 * la teneur en nicotine du e-liquide a été adaptée au nicotine daily intake. Pacifici R et al. Int J Environ Res Public health

21 5. Manque de données EBM efficacité e-cig pour l arrêt du tabac.

22 Etudes RCT Données RCT 300F non motivés : e-cigarette à 7.2 mg, 5.4 mg et 0 mg nicotine Abstinence 1 an : 13%, 9%, 4% (Caponnetto 2013)(sous dosage nicotine!) 657 pts-3 bras : e-cigarette 16 et 0 mg, patch 21 mg Abstinence 6 mois : 7.3%, 4.1% et 5.8% (Bullen 2013) L étude n atteint pas le seuil de signification statistique. Sous dimensionnement-placebo habituellement 10% succès! 48 pts F non motivés, 2 groupes: 1) étude du «craving» 8 semaines au labo. 2 groupes: a) ENDS goût tabac (Joyetech ego-c ou Kanger T2 CC 18mg pouvant utiliser cigarettes ou e-cig ad libitum b) groupe contrôle ne pouvant que fumer Résultat: craving comme une vraie cigarette. 2) étude du comportement tabagique 6 mois, les 2 groupes reçoivent une e-cig. Résultat: à 8 mois: 19% du groupe e-cig et 25% du groupe contrôle (e-cig différée) ne fument plus. 44% ont réduit de > 50% Adriaens K Int J Environ Res Public Health

23 Les études de population (real world) I Etude américaine ( à 2014) n= En % e-cig intensifs 29% intermittents 18% occasionnels (1 à 2 fois) 30% jamais Arrêt : 13,1% en M, 20,4% intensifs, 12,4% chez occasionnels et non utilisateurs. Biener L et al. Nicotine Tob Res 2014 Etude GB ( ) n= 5863 Smoking Toolkit Study F >1an au moins une tentative d arrêt Résultats: Arrêt 20% avec e-cigs 10% avec NRT over the counter 15,4% sans aide. Brown J et al. Addiction 2014 NB: pas de contrôle biochimique.

24 Les études de population (real world) II Echantillon de population n = (25,9% F) (online IPSOS) après ajustement aux caractéristiques de pop. anglaise et recrutement limité aux F actuels n = 4064/1643 à 1 an. utilisateurs e-cig 36% don t 27% cigalikes et 9% 2ème génération Arrêt du tabac : pas de e-cig 13,45% cigalike non quotidien 5,23% quotidien 10,57% 2ème gén.non 8,57% quotidien 27,54% Hitchman SC et al. Nicotine Tob Res 2015

25 Etudes chez les vapoteurs Suivi n= (à 1 an) 72% ex F usage quotidien de e-cig 76% au début de l étude: usage 3 mois 150 puffs/j nicotine 16mg après 1 mois 98% vapotent toujours après 1 an 89% Taux de rechute: après 1 mois 6% après 1 an 6% Dual users : arrêt du tabac après 1mois 22% 1 an 46% ( 5,3 CPJ / F) Etter JF & Bullen C Addict Behav 2014

26 6. Pas de données EBM sur la réduction générale des risques chez les vapoteurs. (ou l amélioration de la santé en comparaison des fumeurs persistants).

27 Etudes chez les vapoteurs II Enquête on-line survey-monkey internationale (10 langues) n = (0,5% NF) âge 39 ans 76,3% M 48% > educ secondaire Parmi les F au départ ( ) 81% se déclarent ex F après ~10 mois de e-cig utilisées quotidiennement(97,1%). M conc. nicotine 18mg/ml (21,5% >20mg/ml) (3,5% 0mg/ml) (chez les F de 20 à 4 CPJ) majorité des cas e-cig de 2ème génération, voire mods (3,7% cigalikes) dans 1/3 des cas DIY liquides! diminution conc. nicotine de 18 à 12mg/ml amélioration subjective de l état de santé* Même population étude des dual users n = 3682 ** moins d utilisation de e-cig de 3ème génération moins d utilisation quotidienne moins de consommation de e-liquide objectif : plus de réduction que d arrêt. *Farsalinos KE et al. Int J Environ Res Public Health ** Farsalinos KE et al. Int J drug Policy

28 Une étude rapporte une amélioration des symptômes d asthme. Effect of smoking abstinence and reduction in asthmatics switching to electronic cigarettes: evidence for harm reduction. Polosa R et al. Int J Environ Res Public Health Amélioration significative à12 mois : spirométrie, contrôle de l asthme et hyperreactivité à la metacholine pas d effet sur exacerbations. Petit nombre de patients n = e-cigs exclusifs 8 utilisateurs mixtes Etude rétrospective

29 Pourquoi cette préférence pour la vape/nrt? 1. Feedback bio-comportemental (geste, throat hit, vision du nuage de fumée. 2. Bénéfices sociétaux : appartenance au groupes de vapoteurs, échange de conseils. 3. aspect hobby : technicité, variété des montages, DIY. 4.Identité personnelle, mon style de vapoteur. 5. Différence entre arrêter de fumer/arrêt nicotine. Barbeau AM, Burda J, Siegel M. Perceived efficacy of e-cigarettes versus NRT among successful e-cigarette users: a qualitative approach. Addiction Science & Clinical Practice

30 Conclusions La science (la Médecine basée sur les preuves) suggère que la e-cig pourrait avoir la même efficacité que les patches de nicotine. L observation de populations spécifiques montre que des millions de F ont substitué la e-cig à la cigarette. La e-cig est le moyen le plus utilisé en GB pour arrêter le tabac. Le bon sens élémentaire suggère que e-cig < dangereuse que tabac. La preuve épidémiologique ne sera obtenue que dans des décennies. Les F meurent aujourd hui, pouvons-nous attendre 20 ans pour agir? Les tabacologues doivent aider les vapoteurs à respirer de l air! Les services d aide à l arrêt doivent nouer des contacts avec les vapoteurs: meilleure connaissance DES e-cig et aide à arrêt de la nicotine. Aide à l amélioration des e-cig, défense des plus efficaces et plus sûres.

31

L addictologue et la cigarette électronique

L addictologue et la cigarette électronique L addictologue et la cigarette électronique Dr Anne BORGNE Groupe HUPSSD RESPADD THS 2013 Biarritz UN PRODUIT Fonctionnement du «vapoteur personnel» Evolution des matériels Les e-liquides Liquide vaporisé

Plus en détail

Smoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD

Smoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD Smoke Without Fire De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD 10/07/2013 CIGARETTE ELECTRONIQUE L OUTIL CARACTÉRISTIQUES DIFFÉRENTS MODÈLES LES ENJEUX ET

Plus en détail

La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?

La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un

Plus en détail

RAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away from tobacco in the society?

RAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away from tobacco in the society? ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, rue Bonaparte - 75272 PARIS CEDEX 06 Tél. : 01 42 34 57 86 RAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away

Plus en détail

Tout ce qu on sait. Réflexions d un bloggeur. Profil et comportement. Les mutations des marchés. Le point de vue de l État / 14

Tout ce qu on sait. Réflexions d un bloggeur. Profil et comportement. Les mutations des marchés. Le point de vue de l État / 14 Santé, réduction des risques et usages de drogues N o 74 / 1 er trimestre 2014 Réflexions d un bloggeur qui connaît le risque et la santé / 2 Que savons-nous vraiment de la toxicité de la nicotine? / 4

Plus en détail

PUBLICITE ET PROMOTION DES

PUBLICITE ET PROMOTION DES PUBLICITE ET PROMOTION DES CIGARETTES ELECTRONIQUES Résumé des résultats Septembre 2014 L Observatoire des stratégies marketing pour les produits du tabac est la première étude ayant documenté et analysé

Plus en détail

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

Projet Fonds Assuétudes 2007

Projet Fonds Assuétudes 2007 Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association

Plus en détail

ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1

ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1 DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine

Plus en détail

NOUVEAUX TRAITEMENTS : PRISE EN CHARGE DU TABAGISME

NOUVEAUX TRAITEMENTS : PRISE EN CHARGE DU TABAGISME NOUVEAUX TRAITEMENTS : PRISE EN CHARGE DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr Forum professionnel : Fédération Française d Addictologie Paris 17

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!

UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible! UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Noza Distribution - 8 rue Jean Moulin 62000 Dainville www.nozadis.com

Noza Distribution - 8 rue Jean Moulin 62000 Dainville www.nozadis.com kyf box modéle classique [ CIEL-0001 ] Le pack comprend : - Une batterie lithium. - Une prise USB - Un adaptateur - Une recharge tabac blond sans nicotine. - Une notice d utilisation en français. - Livré

Plus en détail

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé. Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour

Plus en détail

Tabacologie : mise au point 2015

Tabacologie : mise au point 2015 recommandations Tabacologie : mise au point 2015 Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1276-81 I. Jacot Sadowski C. Clair J. Cornuz Dr Isabelle Jacot Sadowski Ligues de la santé Dr Carole Clair Pr Jacques Cornuz

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à

Plus en détail

TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC. Module 1 FORDD 2013-2014

TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC. Module 1 FORDD 2013-2014 TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC Module 1 FORDD 2013-2014 Dr. J-P. Humair Service de Médecine de 1 er recours Hôpitaux Universitaires de Genève Objectifs d apprentissage Connaître les risques

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

glossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.

glossaire Appellation commerciale Voir nom de marque. glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé

Plus en détail

SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME

SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d

Plus en détail

Vous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.

Vous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire

Plus en détail

Rapport et avis d experts sur. l e-cigarette Avec le soutien de la Direction générale de la santé

Rapport et avis d experts sur. l e-cigarette Avec le soutien de la Direction générale de la santé Rapport et avis d experts sur l e-cigarette Avec le soutien de la Direction générale de la santé Mai 2013 Rapport et avis d experts sur l e-cigarette Avec le soutien de la Direction générale de la santé

Plus en détail

GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM

GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM Questions sur le tabagisme à utiliser dans les enquêtes Sous-ensemble de questions essentielles tirées de l enquête mondiale sur le tabagisme chez les adultes (GATS)

Plus en détail

Projet «Pharmacie vivre sans tabac»

Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Programme national d arrêt du tabagisme www.apotheken-raucherberatung.ch Présentation Programme national d arrêt du tabagisme Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Résultats

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

LES CIGARETTES LÉGÈRES SONT-ELLES MOINS NOCIVES?

LES CIGARETTES LÉGÈRES SONT-ELLES MOINS NOCIVES? LS IGATTS LÉGÈS SONT-LLS MOINS NOIVS? Journaliste : M. D. Duterte VM productions, 1999 Durée : 01 min 9 s Ainsi donc, les fumeurs qui se donnaient bonne conscience en fumant des cigarettes légères ont

Plus en détail

Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE

Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

La consommation de tabac chez les jeunes, de 2001 à 2009/10

La consommation de tabac chez les jeunes, de 2001 à 2009/10 Psychologisches Institut Sozial- und Gesundheitspsychologie Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung La consommation de tabac chez les jeunes, de 200 à 2009/0 Résumé du rapport de recherche 20 Monitorage

Plus en détail

Qualité des soins Campagne de sensibilisation

Qualité des soins Campagne de sensibilisation Qualité des soins Campagne de sensibilisation INAMI Service des Soins de Santé Direction Recherche, développement et promotion de la qualité Dr Carl Cauwenbergh et Isabelle Collin Carl.cauwenbergh@inami.fgov.be

Plus en détail

Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres

Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment

Plus en détail

Inhalateurs électroniques de nicotine

Inhalateurs électroniques de nicotine Conférence des Parties à la Convention-cadre de l OMS pour la lutte antitabac Sixième session Moscou (Fédération de Russie), 13-18 octobre 2014 Point 4.4.2 de l ordre du jour provisoire FCTC/COP/6/10 21

Plus en détail

P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com

P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com Groupe Pantec: 19 ans de tradition en ingénierie avec spécialisation en mécatronique

Plus en détail

http://www.inami.fgov.be/drug/fr/drugs/groups/asthma_bpco_copd/faq.htm

http://www.inami.fgov.be/drug/fr/drugs/groups/asthma_bpco_copd/faq.htm Page 1 sur 6 Vous êtes ici : Accueil > Médicaments et autres > Médicaments > Asthme et BPCO : prescription des médicaments selon les recommandations > FAQ - Asthme et BPCO Questions fréquemment posées

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES

Plus en détail

Présentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool

Présentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool Forum PSLA - 6 mars 2014 Présentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool Karin Zürcher, Claudia Véron Chargées de projet CIPRET-Vaud Ligues de la santé Un

Plus en détail

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 2 Pour les personnes qui ne veulent pas cesser

Plus en détail

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005 1 Le partenariat des organismes communautaires du Nouveau-Brunswick liés au sida ÉNONCÉ DE POSITION Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2013"

La santé des étudiants en 2013 1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de

Plus en détail

Everything stays different

Everything stays different Everything stays different Manuel Français Manuel Contenu 1. Avant utilisation................ 3 2. Champ d application......... 3 3. Produits livrés.................. 4 4. Spécifications.................

Plus en détail

TEPZZ 8758_8A_T EP 2 875 818 A1 (19) (11) EP 2 875 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: A61K 33/00 (2006.01) A61P 25/06 (2006.

TEPZZ 8758_8A_T EP 2 875 818 A1 (19) (11) EP 2 875 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: A61K 33/00 (2006.01) A61P 25/06 (2006. (19) TEPZZ 878_8A_T (11) EP 2 87 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.0.1 Bulletin 1/22 (1) Int Cl.: A61K 33/00 (06.01) A61P 2/06 (06.01) (21) Numéro de dépôt: 14680.3 (22)

Plus en détail

Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie

Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?

Plus en détail

STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière

STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière Service évaluation économique et santé publique 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis

Plus en détail

BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...

BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation

Plus en détail

Aide à l arrêt du tabagisme chez les patients atteints de broncho-pneumopathie chronique obstructive. Recommandations aux professionnels de la santé

Aide à l arrêt du tabagisme chez les patients atteints de broncho-pneumopathie chronique obstructive. Recommandations aux professionnels de la santé Aide à l arrêt du tabagisme chez les patients atteints de broncho-pneumopathie chronique obstructive Recommandations aux professionnels de la santé Ce document a été rédigé par l équipe d aide au sevrage

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006. (19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:

Plus en détail

Programme national tabac 2008 2012

Programme national tabac 2008 2012 Programme national tabac 2008 2012 Programme national tabac 2008 2012 1 Sommaire Avant-propos 3 Résumé 4 1 Contexte 8 1.1 Consommation de tabac en Suisse 8 1.2 Effets de la consommation de tabac sur la

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation

Plus en détail

Informations de base concernant la publicité pour le tabac

Informations de base concernant la publicité pour le tabac Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Informations de base concernant la publicité pour le tabac Avril 2015 Office fédéral de la santé publique OFSP Table des

Plus en détail

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université

Plus en détail

Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET

Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales

Plus en détail

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada

Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada POLITIQUE DE L AMC Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada Les pénuries de plus en plus graves de médicaments d ordonnance des dernières années et les ruptures de stocks

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

GUIDE POUR UNE POLITIQUE EN MATIÈRE DE TABAGISME DANS L ENTREPRISE

GUIDE POUR UNE POLITIQUE EN MATIÈRE DE TABAGISME DANS L ENTREPRISE GUIDE POUR UNE POLITIQUE EN MATIÈRE DE TABAGISME DANS L ENTREPRISE SOMMAIRE 1 Pourquoi mettre en place une politique relative au tabac dans l entreprise? 4 1.1 Qu est-ce que le tabagisme passif? 4 1.2

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

En 1949, Camel, une marque de

En 1949, Camel, une marque de L arrêt tabagique Claude Patry, M.D. En 1949, Camel, une marque de cigarettes, produisait une publicité télé montrant un médecin fort occupé à faire ses visites à domicile. De retour à son bureau, il s

Plus en détail

province (les aspects méthodologiques sont présentés dans l encadré à la page 2).

province (les aspects méthodologiques sont présentés dans l encadré à la page 2). SANTÉ ET BIEN-ÊTRE INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Zoom santé Janvier 2010 Numéro 19 Alors que le cigarillo perd des adeptes, le poker gagne du terrain chez les élèves du secondaire Gaëtane Dubé*,

Plus en détail

Exemple de recherche documentaire

Exemple de recherche documentaire Exemple de recherche documentaire Étape 1 : Préparer le plan de recherche Démarrez votre recherche en écrivant clairement votre sujet (formuler une question si nécessaire), en identifiant les concepts

Plus en détail

LES PRATIQUES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME PAR LES MEDECINS GENERALISTES DE LA PREFECTURE DE RABAT

LES PRATIQUES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME PAR LES MEDECINS GENERALISTES DE LA PREFECTURE DE RABAT 1 ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE LA SANTE INSTITUT NATIONAL D'ADMINISTRATION SANITAIRE I.N.A.S Septième cours de Maîtrise En Administration Sanitaire et Santé Publique (2002 2004) LES PRATIQUES D AIDE A

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

Prévention du tabagisme en milieu scolaire: agir plutôt sur les comportements ou sur le contexte sociopolitique?

Prévention du tabagisme en milieu scolaire: agir plutôt sur les comportements ou sur le contexte sociopolitique? MARS 2013 Edition speciale «Seminaire de l AT 2012» Prévention du tabagisme en milieu scolaire: agir plutôt sur les comportements ou sur le contexte sociopolitique? Dans ce débat qui agite la prévention

Plus en détail

Le cannabis en question(s)

Le cannabis en question(s) Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents

Plus en détail

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques

Plus en détail

promotion santé Arrêter de fumer C'est possible!

promotion santé Arrêter de fumer C'est possible! promotion santé Arrêter de fumer C'est possible! Une publication des Mutualités Libres Rue Saint-Hubert, 19-1150 Bruxelles T 02 778 92 11 promotionsante@mloz.be www.mloz.be > Coordination : Pascale Janssens

Plus en détail

Arrêter de fumer C est possible!

Arrêter de fumer C est possible! Conseil santé Arrêter de fumer C est possible! www.omnimut.be 1 www.omnimut.be Arrêter de fumer C est possible! arrêter de fumer c est possible! Arrêter de fumer est une décision personnelle importante.

Plus en détail

EP 2 063 325 A2 (19) (11) EP 2 063 325 A2 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.05.2009 Bulletin 2009/22

EP 2 063 325 A2 (19) (11) EP 2 063 325 A2 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.05.2009 Bulletin 2009/22 (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 063 325 A2 (43) Date de publication: 27.05.2009 Bulletin 2009/22 (51) Int Cl.: G04B 17/06 (2006.01) G04B 17/34 (2006.01) (21) Numéro de dépôt: 08167317.0

Plus en détail

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction

Plus en détail

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.

Plus en détail

TABAGISME. Les organisations responsables de la prévention & Les moyens mis à disposition des fumeurs pour arrêter

TABAGISME. Les organisations responsables de la prévention & Les moyens mis à disposition des fumeurs pour arrêter FACULTE DE MEDECINE Troisième année Université de Genève Unité Immersion en Communauté TABAGISME Les organisations responsables de la prévention & Les moyens mis à disposition des fumeurs pour arrêter

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions?

Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Quelques pistes de réflexions à partir de l expérience du Respadd David Michels, chargé de projets, Respadd Introduction L engagement de

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

Impact de la publicité sur les professionnels

Impact de la publicité sur les professionnels Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie

Plus en détail

Le guide pratique pour y parvenir

Le guide pratique pour y parvenir Le guide pratique pour y parvenir 1 2 3 4 Il n est pas facile d arrêter de fumer. Il s agit de renoncer à une habitude quotidienne solidement installée, de changer de comportement Cela prend du temps et

Plus en détail

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011 Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels

Plus en détail

Je viens d arrêter de fumer. Les astuces anti-rechute

Je viens d arrêter de fumer. Les astuces anti-rechute 4 6 Je viens d arrêter de fumer Les astuces anti-rechute Table des matières 3 Quatre conseils prioritaires 4 Prévenir la rechute 4 En cas de besoin urgent de fumer 5 Substituts nicotiniques et médicaments

Plus en détail

C est décidé, j arrête de fumer

C est décidé, j arrête de fumer C est décidé, j arrête de fumer 3 C'EST DÉCIDÉ, J'ARRÊTE DE FUMER Cette brochure est destinée aux personnes qui sont prêtes à tenter d'arrêter de fumer. Elle est destinée aussi bien aux femmes qu aux hommes,

Plus en détail

An Act to Amend the Tobacco Sales Act. Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac CHAPTER 46 CHAPITRE 46

An Act to Amend the Tobacco Sales Act. Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac CHAPTER 46 CHAPITRE 46 2015 CHAPTER 46 CHAPITRE 46 An Act to Amend the Tobacco Sales Act Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac Assented to June 5, 2015 Sanctionnée le 5 juin 2015 Her Majesty, by and with the advice and

Plus en détail

Arrêt du tabagisme : Revue des ressources francophones. Tobacco Cessation: Review of French-Language Resources

Arrêt du tabagisme : Revue des ressources francophones. Tobacco Cessation: Review of French-Language Resources Arrêt du tabagisme : Revue des ressources francophones Tobacco Cessation: Review of French-Language Resources PROJET TEACH, Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) Peter Selby, MBBS, CCMF, M.Sc.,

Plus en détail

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

InfoPOEMs. CHAQUE MOIS, Le Médecin du Québec publie une sélection de résumés d articles de recherche provenant de la banque

InfoPOEMs. CHAQUE MOIS, Le Médecin du Québec publie une sélection de résumés d articles de recherche provenant de la banque Fédération des médecins omnipraticiens du Québec The Clinical Awareness System TM CHAQUE MOIS, Le Médecin du Québec publie une sélection de résumés d articles de recherche provenant de la banque d articles

Plus en détail

MAISON L ALCÔVE Programme d abandon du tabac. Présentation du programme «J Tabac maintenant!»

MAISON L ALCÔVE Programme d abandon du tabac. Présentation du programme «J Tabac maintenant!» MAISON L ALCÔVE Programme d abandon du tabac Présentation du programme «J Tabac maintenant!» Chantal Levesque, M. Sc. Septembre 2006 Remerciements La réalisation du programme «J Tabac maintenant!» est

Plus en détail

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

C est décidé, j arrête de fumer. Les astuces pour réussir

C est décidé, j arrête de fumer. Les astuces pour réussir 3 6 C est décidé, j arrête de fumer Les astuces pour réussir Table des matières 3 Les raisons d arrêter de fumer 4 Santé 4 Stratégies pour se préparer 6 Méthode progressive 7 Passez à l action! 8 Surmonter

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition

Plus en détail

Arrêter de fumer. C est possible

Arrêter de fumer. C est possible Arrêter de fumer. C est possible www.mutsoc.be www.solidaris.be Table des matières Introduction à quel stade vous situez-vous? p.05 Vous hésitez et vous vous demandez pourquoi arrêter de fumer? p.06 Arrêter

Plus en détail