LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2013 N 6.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2013 N 6. www.objectif-lr."

Transcription

1 SEPTEMBRE 2013 N 6 f) 6 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2013 EN PARTENARIAT AVEC

2 entretien Nicolas BOUZOU ÉCONOMISTE DIRECTEUR/FONDATEUR D ASTERÈS entretien 02 Quelle analyse portez-vous sur notre économie touristique régionale? Celle d un potentiel sous-exploité. Oh, tout ne va pas mal dans la région. L hébergement de plein-air résiste bien par exemple. Mais le camping ne suffit pas à faire une offre touristique. L année 2013 n est pas catastrophique. Mais pas bonne non plus. La demande potentielle existe pourtant, notamment celle de la plupart des pays du Nord et des émergents. Mais elle se détourne du Languedoc-Roussillon. Comme le montre notre étude, c est par exemple le cas des Hollandais qui substituent l Espagne à votre région. Avec la mer, d excellentes infrastructures, des vignobles les pouvoirs publics et certains professionnels ont adopté des comportements proches de ceux observés dans les «économies de rente» : on sous-investit car on se laisse porter par ses atouts, sans voir que c est la croissance potentielle de l ensemble d un territoire qui finit ainsi par s affaiblir. Qui attirons-nous et quel type de clientèle devons-nous mieux cibler demain? Il faut faire venir les populations à revenus croissants. Ce n est pas le cas des Français. Il y a très peu à attendre du marché intérieur touristique ces prochaines années. Il faut donc cibler les pays développés dynamiques (Europe du Nord) et les émergents proches (Europe de l Est, Russie). C est le croisement de cet objectif et de vos atouts qui doit déterminer la stratégie d offre. D après vous, quels sont les aspects de notre offre touristique régionale qu il faudrait prioritairement cher- cher à améliorer? Clairement l offre hôtelière, dont le rapport qualité prix n est pas compétitif. Comprenez bien que le contexte macroéconomique a changé depuis La crise a forcé l Espagne, l Italie et le Portugal à procéder à une «dévaluation interne». Les prix y sont en baisse, car les coûts salariaux ont chuté, y compris dans l hôtellerie. Le secteur de l hôtellerie doit donc être plus compétitif en matière de prix tout en montant en gamme. Il faut les deux à la fois. Evidemment ce n est pas simple, mais quand je vois l évolution des nuitées dans la région, je m inquiète. Pensez-vous que l œnotourisme ou bien encore le tourisme industriel (Haribo, Perrier...) soient de nouvelles pistes intéressantes à développer? Absolument. Il faut concevoir un «écosystème» du tourisme, qui contienne des segments diversifiés. L œnotourisme en est un. Le tourisme industriel aussi. Ces deux segments s adressent en outre à des clientèles qui disposent d un pouvoir d achat important (les Allemands sont par exemple friands de tourisme industriel), et qui génère donc des effets multiplicateurs intéressants pour le territoire. Mais, j y reviens, il faut l infrastructure pour les loger, et pour éviter un piège classique en stratégie touristique : devenir Versailles, c est-à-dire un territoire très visité, mais uniquement de passage. La concurrence est rude avec l Espagne toute proche et la région PACA. Comment pouvons-nous nous démarquer? Vous avez raison. PACA connaît des difficultés mais s en sort mieux que le Languedoc-Roussillon. Quant à l Espagne, elle a amélioré son positionnement qualité prix essentiellement via une stratégie déflationniste de diminution des coûts. La clé, c est le positionnement sur des compartiments haut de gamme en cohérence avec le patrimoine naturel et historique du territoire. Un exemple : le réseau qui a été développé le long du chemin de Stevenson, et qui attire environ visiteurs par an, dont beaucoup restent sur place plus d une semaine. Les hébergeurs, restaurateurs, loueurs d âne, prestataires culturels travaillent en réseau. Le positionnement de cette offre est différenciant, à forte valeur ajoutée, et à un prix raisonnable. Et ça marche. C est ce type d initiative qu il faut multiplier. Quels sont les leviers que les pouvoirs publics pourraient activer pour conforter ce secteur majeur de notre économie régionale? D abord faciliter la mise en réseau des acteurs. Une façon moderne de considérer les politiques publiques locales, c est de les imaginer comme des «facilitateurs», alors que les acteurs publics sont souvent perçus comme une contrainte, surtout par les entreprises. Ils doivent regrouper et définir des objectifs communs, faciliter les coopérations et mutualisations. Nous en parlions il y a un instant : ne peut-on pas imaginer un réseau du tourisme industriel agroalimentaire dans la région? Ensuite, mettre du foncier à disposition. C est très bien de construire des maisons de retraite ou des logements sociaux. Mais comment financer les pensions ou les aides sociales sans développement économique préalable? La géographie de la région la prédispose naturellement à développer le secteur touristique. Mais la géographie du tourisme n est plus oligopolistique comme dans les années 1970 ou Elle est ultra concurrentielle et nécessite une adaptation qui ne concerne pas que, loin de là, les voies ferroviaires ou les autoroutes! Les territoires qui ne l acceptent pas auront d ici 10 ans disparu des guides touristiques. Achevé de rédigé le 9 septembre 2013

3 édito édit Le tourisme, une formidable richesse économique pour notre territoire On parle souvent de ce qui va mal et pourtant la France reste en 2012 la 1 ère destination touristique mondiale avec 83 millions de visiteurs étrangers ayant choisi notre pays pour séjourner. Notre région, particulièrement attractive, n est pas en reste. Nous occupons la 4 ème place au classement des régions de France les plus visitées avec 15 millions de touristes qui transitent par le Languedoc-Roussillon. On imagine sans peine l impact économique et social majeur que cela représente. Au-delà des retombées directes (hébergement, restauration, activités touristiques ), c est en effet toute une chaîne d acteurs qui bénéficie de ces recettes touristiques. Cette activité, non délocalisable, est donc profitable pour l activité et l emploi. Si nous disposons d atouts indéniables, notre industrie touristique est cependant fragile car nous sommes en compétition permanente avec d autres régions et Pays. Le saviez-vous? L activité touristique pèse à elle seule 15% du PIB régional (contre 7% du PIB national) et elle générerait un chiffre d affaire de 7 milliards d euros! Il nous est donc apparu évident avec Nicolas BOUZOU de vous proposer un focus spécifique sur ce secteur. Pour relever le défi d une croissance touristique durable, qui doit dépasser la périodicité estivale, nous sommes tous concernés. Les collectivités ont la responsabilité de valoriser l identité et les nombreux atouts de notre territoire (patrimoine, festivités et autres animations, sites remarquables ) tout en créant les conditions du développement et/ou de la réhabilitation d infrastructures et de nouvelles activités touristiques. en partenariat avec OBJECTIF LANGUEDOC-ROUSSILLON, LE NEWS DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE Catherine DUMONT PRÉSIDENTE DE L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION DE MONTPELLIER Parallèlement, il appartient aux opérateurs de prendre en compte les nouveaux comportements des visiteurs (réservation de dernières minutes, attrait des promotions ) et de se démarquer par une offre originale et de qualité, le tout dans un fort esprit de services, adapté aux nouvelles demandes. Les résidents sont aussi d excellents ambassadeurs et ils sont nombreux à accueillir famille et amis pour quelques jours ou plus. Les Experts-Comptables sont aux côtés des chefs d entreprise pour les conseiller dans leurs choix et les accompagner avec réactivité, par exemple dans le choix des bons contrats de travail, dans la gestion de leurs marges, de leur trésorerie, de la couverture de leurs frais fixes et variables. Le regard porté par Nicolas BOUZOU est précieux, car il s enrichit en partie sur les données exclusives que nous recueillons chaque semestre auprès des consœurs et confrères de notre région. Je vous laisse découvrir les éléments de cette 6 ème vague de notre Baromètre que vous pouvez consulter également sur notre site web www ecozoom.fr 03

4 LACOMPÉTITIVITÉRÉGIONALE La saison touristique en Languedoc-Roussillon Malgré ce que certaines publications estivales ont pu laisser entendre, la saison n aura semble-t-il pas été si mauvaise. Selon les premières estimations de fréquentation pour cet été, et en pariant sur une arrière saison un peu meilleure que ne l a été le printemps, la fréquentation touristique devrait s avérer en légère hausse cette année (+1% pour les nuitées d hôtels et de camping en LR, estimation Asterès). Ce n est pas Waterloo mais pas Austerlitz non plus. LA FRÉQUENTATION TOURISTIQUE DEVRAIT PROGRESSER EN 2013, MAIS MODÉRÉMENT Le véritable enjeu aujourd hui, c est de savoir si les étrangers reviennent en Languedoc-Roussillon. Car la région a perdu des «parts de marché» ces dernières années au profit de l Espagne et notamment de la toute proche Catalogne. Les Néerlandais (tout de même un tiers des nuitées de touristes étrangers dans la région) ont notamment eu tendance à se détourner du Languedoc-Roussillon (et de manière générale, de la France) au profit de l Andalousie, de la Catalogne, des Baléares ou encore des Iles Canaries. LE LANGUEDOC-ROUSSILLON A PERDU TOURISTES NÉERLANDAIS ENTRE 2008 ET Nuitées de tourisme (hôtels et campings) en Languedoc-Roussillon nombre et croissance en glissement annuel e Source : Asterès d après INSEE et enquêtes CCI Montpellier Variation des nuitées de touristes néerlandais ( ) Canaries 5% 4% 3% 2% 1% -1% < > Source : Asterès d après INSEE et INE 04

5 LACOMPÉTITIVITÉRÉGIONALE Ce sont les hôtels qui ne parviennent pas à se positionner par rapport à la concurrence et qui accusent un net manque à gagner en comparaison avec la Catalogne voisine. Le Languedoc-Roussillon réalise une performance correcte en ce qui concerne les campings, et gagne des touristes allemands et belges. Mais pour conquérir la clientèle russe, est-européenne, américaine et asiatique, qui recèle le plus fort potentiel de croissance aujourd hui, l offre hôtelière est clef et elle n est visiblement pas adaptée au marché dans la région. C est essentiellement la baisse des prix qui a amélioré le rapport qualité-prix de l offre touristique espagnole et qui a incité les touristes étrangers à se diriger vers ce pays. L austérité pratiquée par l Espagne et décriée par la France porte ses fruits outre-pyrénées. En 2013, la situation semble s être un peu améliorée en Languedoc-Roussillon : les touristes étrangers ont été un peu plus nombreux grâce à un début de baisse des tarifs hôteliers. Pour que ce retour en grâce soit durable, il faut restaurer le rapport qualité prix de l offre touristique monter en gamme, sans doute, mais sans augmenter les prix! IL FAUT VEILLER AU RAPPORT QUALITÉ-PRIX DE L OFFRE POUR CONCURRENCER L ESPAGNE Evolution des nuitées de touristes étrangers entre 2008 et % 2 15% 1 5% -5% Languedoc-Roussillon PACA Catalogne Hôtels Campings Total Source : Asterès d après INSEE et INE. Touristes ni Français ni Espagnols Evolution des prix des hôtels (indice base 100 en décembre 2008) déc.-08 mars-09 juin-09 France Linéaire (France) sept.-09 déc.-09 mars-10 juin-10 sept.-10 déc.-10 Source : Asterès d après INSEE et INE mars-11 juin-11 Espagne Linéaire (Espagne) sept.-11 déc.-11 mars-12 juin-12 sept.-12 déc.-12 mars-13 juin-13 Capter la clientèle nord-européenne et des pays émergents est d autant plus important que la clientèle française offre peu de possibilités de croissance. La consommation des ménages devrait progresser très faiblement en Dans les années qui viennent, les nuitées de touristes français augmenteront trois fois moins vite qu au cours des années LES TOURISTES FRANÇAIS NE SUFFISENT PLUS À LA RÉGION Consommation des ménages français Croissance en volume 3% 2% 1% 3% 2% 2% Source : INSEE, prévisions Asterès 1% 0,5% 0,4% 0,1% -0,4% -1% p 2014p 05

6 LEMARCHÉDUTRAVAIL La croissance et l emploi en Languedoc-Roussillon Tendance récente de l emploi (emploi salarié marchand, variation trimestrielle) La zone euro est sortie de récession, après les Etats-Unis et le Japon. Mais la reprise y est encore modérée, en particulier en France, pays plombé par un déficit structurel de compétitivité. Le Languedoc-Roussillon ne s en tire pas mieux. REPRISE NANOSCOPIQUE DANS LA RÉGION L emploi aurait à nouveau reculé au deuxième trimestre dans la région. Le secteur de la construction, désormais lanterne rouge du territoire, continue de perdre des emplois. Quant aux créations dans les autres secteurs, elles sont trop limitées pour avoir des effets à l échelle macroéconomique. L écart entre le taux de chômage régional et le taux national s est encore creusé ces derniers mois. Le taux de chômage régional avoisine 15% actuellement. Pourtant, en bonne logique statistique, il devrait converger vers la moyenne métropolitaine! C est qu en 2012, et pour la première fois depuis quinze ans, la région a fait moins bien que la moyenne nationale en termes d emplois, ce qui s explique par la crise du BTP - particulièrement forte dans la région et plus encore dans les Pyrénées-Orientales (la baisse de la demande se mêle à des pertes de part de marché vis-à-vis des pays du sud). Voilà pourquoi ce secteur appelle une surveillance particulière. LA CRISE DU BTP PÈSE SUR LE TERRITOIRE ,5% 3, 2,5% 2, 1,5% 1, 0,5% -0,5% -1, France (échelle de droite) Languedoc-Roussillon (échelle de gauche) 2008T2 2008T4 2009T2 2009T4 2010T2 2010T4 2011T2 2011T4 2012T2 Source : INSEE, estimation Asterès pour le LR pour T L emploi sur longue période (emploi total, variation annuelle) France (metr.) 2012T4 2013T2e Languedoc-Roussillon ,5% e Source : INSEE, emploi total. Estimation Asterès pour Méthodologie Ce document s appuie sur une enquête réalisée en août-septembre 2013 par l Ordre des Experts-Comptables de Montpellier. 61 structures représentant 98 Experts-Comptables ont participé à l enquête. Ces Experts-Comptables ont réalisé bulletins de salaires au premier semestre Les Experts-Comptables de la région suivent salariés par mois (soit un quart de l emploi salarié régional) et réalisent plus de 2,5 millions de bulletins de salaires par an. Les données issues de l enquête sont mises en perspective grâce aux statistiques publiées par : l Insee l Insee Languedoc-Roussillon Pour l Espagne,l Instituto Nacional de Estadísticas (INE) Pôle Emploi la Banque de France Le Ministère du tourisme l Acoss (URSSAF) Eurostat

7 QUESTIONSD ACTUALITÉ AUXEXPERTS-COMPTABLES Le nombre de bulletins de salaires émis par les Experts- Comptables a peu progressé au premier semestre 2013 (+1% sur un an). Les cabinets gagnent des «parts de marché» (l émission des bulletins de salaires leur est de plus en plus souvent confiée). Aussi une hausse de cet ordre est-elle compatible avec un recul de l emploi? Les bulletins de salaires émis (indice base 100 au premier semestre 2009) S1 09 S2 09 S1 10 S2 10 S1 11 S2 11 S1 12 S2 12 S1 13 Selon les Experts-Comptables, l activité devrait à nouveau se dégrader quelque peu dans les mois à venir : près de la moitié des Experts-Comptables constatent une stagnation des carnets de commandes au cours du semestre (par rapport au premier semestre 2012) et 4 d entre eux observent une dégradation de ces carnets. La trésorerie et la rentabilité des entreprises s en ressentent. L activité des entreprises (évolution en % des structures d EC sondées au 1 er sem vs 1 er sem. 2012) Carnet de commandes Trésorerie Rentabilité Amélioration Stagnation Dégradation Fait remarquable, c est l industrie qui s est le moins mal comportée dans la région au premier semestre. Les Experts-Comptables ont en revanche été très nombreux à constater une dégradation dans le commerce, la construction, l hôtellerie-restauration. Si la reprise s est timidement amorcée au cours du semestre, c est bien par les exportations, qui ont bénéficié à l industrie. La demande régionale, privée et publique, dont dépendent la construction et le commerce, a faibli. La situation de l hôtellerie et restauration s est dégradée malgré une certaine tenue de la fréquentation, car les touristes ont modéré leurs dépenses. Cette faiblesse de la demande interne est assez nouvelle dans la région et risque de durer. Le Languedoc-Roussillon fait face à un changement de modèle de croissance qui lui impose de conquérir la clientèle étrangère, que ce soit par l export ou par le tourisme. La conjoncture par secteur (solde entre % des cabinets observant une amélioration et % des cabinets observant une dégradation) Commerce Construction Hôtell. - restauration Industrie

8 QUESTIONSD ACTUALITÉ AUXEXPERTS-COMPTABLES Les Experts-Comptables sondés sont sceptiques quant à l impact des mesures de politiques économiques adoptées par le gouvernement. 8 d entre eux pensent qu elles n auront pas d impact. Le préfinancement du Crédit impôt compétitivité emploi est une mesure qui semble avoir eu peu d effets dans la région. En effet, près de 6 des cabinets d expertise comptable n avaient accompagné aucune entreprise dans cette démarche à la fin août La moitié des cabinets qui avaient établi une attestation de préfinancement n en avait fait qu une seule. Préfinancement du CICE (nombre d attestations par structure d expertise-comptable sondée) 5% 7% Aucune 7% 23% 59% à 4 5 et plus Pourquoi le pré-financement a-t-il eu aussi peu de succès? L explication la plus souvent invoquée par les Experts-Comptables est l intérêt limité de ce dispositif pour les entreprises (54% des sondés). Vient ensuite la complexité du dispositif (43%). Le coût de l obtention du préfinancement est peu invoqué (16%), et le manque d information est une explication qui peut quasiment être écartée (3%). L intérêt du dispositif est jugé limité alors même que la trésorerie des entreprises se dégrade. L intérêt financier n est bien sûr pas nul mais il s avère trop faible au regard, justement, de la complexité du dispositif. Préfinancement du CICE (raisons invoquées du manque d engouement pour le dispositif) Intérêt limité Complexité Frais d accès Manque d information Autre 3% 1 16% 43% 54% Ordre des Experts-Comptables Région Montpellier 661 rue Louis Lépine BP MONTPELLIER CEDEX 1 Tél. : Fax : Mail : cro@oec-montpellier.org Site : - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2013

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr. SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY

I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY I) Le contexte II) Le programme I) Le contexte II) Le contexte La destination France 1 ère destination mondiale en nombre de touristes avec 84,7 millions de visiteurs étrangers (en 2013). 1 touriste sur

Plus en détail

A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.

A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans. 1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont

Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur

Plus en détail

LES NOTES D ALTAÏR. L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences.

LES NOTES D ALTAÏR. L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences. LES NOTES D ALTAÏR L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences. Altair Think tank culture médias interpelle les parlementaires afin qu ils prennent le temps de la réflexion

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Avec près des deux tiers des

Avec près des deux tiers des Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions

Plus en détail

Deux outils élaborés en concertation avec les professionnels du tourisme régional

Deux outils élaborés en concertation avec les professionnels du tourisme régional Avec, chaque année, 15 millions de touristes accueillis et près de 100 millions de nuitées enregistrées, le Languedoc-Roussillon est la 4 ème région touristique française en terme de fréquentation et d'emplois

Plus en détail

VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional

VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une

Plus en détail

L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS

L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS FOCUS AGROALIMENTAIRE BROME-MISSISQUOI 2011 L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES UN CHIFFRE D AFFAIRE ANNUEL DE PRÈS DE 67MILLIONS PLUS DE 1000 EMPLOIS La transformation agroalimentaire

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

L accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs

L accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs 27 millions de visiteurs, dont 7 millions d étrangers et 0 millions de Français 44 millions de visiteurs au total pour Paris et sa région Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre Principales nationalités

Plus en détail

Guide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels. Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne

Guide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels. Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne Guide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne 1 Sommaire 3 Introduction 4-6 Faites votre choix Une fiche d identité des

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS

LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

CRT Picardie. Enquête auprès des acteurs du tourisme

CRT Picardie. Enquête auprès des acteurs du tourisme CRT Picardie Enquête auprès des acteurs du tourisme 1 Votre entreprise ou structure / organisme institutionnel Votre nom : Votre titre : Votre e-mail : (pour pourvoir vous envoyer le résultat de l enquête)

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

Les investissements internationaux

Les investissements internationaux Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches

Plus en détail

Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011

Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

ENTREPRISE DE NETTOYAGE

ENTREPRISE DE NETTOYAGE ENTREPRISE DE NETTOYAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE

Plus en détail

POURQUOI INVESTIR EN FRANCE

POURQUOI INVESTIR EN FRANCE POURQUOI INVESTIR EN FRANCE UN PAYS SITUÉ AU CŒUR DU MARCHÉ EUROPÉEN AVEC UNE PORTE D ACCÈS À LA ZONE EMEA 10 L ESSENTIEL EN POINTS 1 UNE PUISSANCE ÉCONOMIQUE DE RANG MONDIAL La France est la 2 e puissance

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

13.1. L encours de crédit à la consommation en Europe à fin 2007 137,5 103,4 97,9

13.1. L encours de crédit à la consommation en Europe à fin 2007 137,5 103,4 97,9 Pour un développement responsable du crédit en France 3. FICHE PAYS 3.. L encours de crédit en Europe à fin 007 en Europe à fin 007 (en milliards d euros) Roy aume-uni Allemagne France Espagne Italie Grèce

Plus en détail

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014 LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le

Plus en détail

Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI

Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI Jiawei Ye Pramex International Université Paris-Dauphine - 1 - - 2 - Pramex International (cabinet

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer

Plus en détail

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement

Plus en détail

La région Nord-Pas-de-Calais

La région Nord-Pas-de-Calais La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des

Plus en détail

Toujours pas de reprise

Toujours pas de reprise 2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.

Plus en détail

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

INVESTIR EN FRANCE : Réalisation

INVESTIR EN FRANCE : Réalisation INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT En 2014, 1 014 décisions d investissement en France ont créé ou maintenu 26 535 emplois. 1 er pays en Europe

Plus en détail

BOURBON. Intervention de Jacques de Chateauvieux Président du conseil d administration Assemblée Générale mixte - 21 mai 2015 BOURBONOFFSHORE.

BOURBON. Intervention de Jacques de Chateauvieux Président du conseil d administration Assemblée Générale mixte - 21 mai 2015 BOURBONOFFSHORE. BOURBON Intervention de Jacques de Chateauvieux Président du conseil d administration Assemblée Générale mixte - 2 mai 205 BOURBONOFFSHORE.COM _ BOURBON DEMAIN Mesdames, Messieurs, chers Actionnaires Ceux

Plus en détail

CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii

CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens

Plus en détail

24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10

24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Agenda 1. Fiche d'identité de Solucom 2. Marché et activité du 1 er semestre 2010/11 3. Résultats semestriels 2010/11 4. Les ressources humaines, un enjeu

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

L immobilier au service de l épargne

L immobilier au service de l épargne Corporate au service de l épargne La performance durable au service de l épargne 14 15 Dans un marché de l immobilier d entreprise particulièrement concurrentiel, la construction d un patrimoine de qualité

Plus en détail

Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Autorité de régulation des jeux en ligne Données T1 2014

Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Autorité de régulation des jeux en ligne Données T1 2014 1 Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France 1 er trimestre 2014 2 Synthèse des données d activité Les éléments suivants ont été constitués sur la base des données transmises par les opérateurs

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

Les atouts de la France pour surmonter la crise

Les atouts de la France pour surmonter la crise Les atouts de la France pour surmonter la crise Institut CSA pour RTL Juin 01 Fiche technique Sondage exclusif CSA / RTL réalisé par Internet du 1 au mai 01. Echantillon national représentatif de 100 personnes

Plus en détail

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

de la logistique dans les Pyrénées Orientales

de la logistique dans les Pyrénées Orientales Le secteur du transport et de la logistique dans les Pyrénées Orientales Soirée économique des Délégués Consulaires de la CCI de Perpignan jeudi 30 octobre 2014 Le positionnement du département au sein

Plus en détail

Bilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille. Bilan de saison 2014 Agence Ouest Cornouaille Développement

Bilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille. Bilan de saison 2014 Agence Ouest Cornouaille Développement Bilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille L Agence Ouest Cornouaille Développement, en quelques mots L AOCD, en quelques mots www.pro-aocd.fr => Financée en majeure

Plus en détail

Qu est-ce que la compétitivité?

Qu est-ce que la compétitivité? Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

La compétitivité de l industrie française est un enjeu majeur pour la politique européenne.

La compétitivité de l industrie française est un enjeu majeur pour la politique européenne. 007-011 Avant propos_avant-propos 25/07/13 17:20 Page7 Avant-propos Gerhard CROMME* L Europe et l Allemagne ont besoin d une France compétitive Cet article reprend les thèmes du discours prononcé par Gerhard

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009 ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur

Plus en détail

Compétitivité française : Quelques constats

Compétitivité française : Quelques constats Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis

Plus en détail

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de

Plus en détail

INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION

INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Plan marketing 2010-2014. Doubs tourisme (Cdt)

Plan marketing 2010-2014. Doubs tourisme (Cdt) Plan marketing 2010-2014 Doubs tourisme (Cdt) Pourquoi un plan marketing? Le schéma départemental de développement touristique Ce schéma (SDDT) définit cinq grands axes pour le développement touristique

Plus en détail

Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique

Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique Pôle Santé Méditerranée Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique Marseille, le 12 juillet 2011 Fruit d une réflexion et d une vision partagée, le Pôle Santé Méditerranée

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique?

Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique? Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique? Fiscalité de l'épargne (1/2) Le Belge est, d'après les statistiques disponibles, un des meilleurs épargnants d'europe. Pourtant, plus d'un quart

Plus en détail

Contribution des industries créatives

Contribution des industries créatives RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes

Plus en détail

Un climat des affaires conforté

Un climat des affaires conforté JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont  N 4 N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité

Plus en détail

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l

Plus en détail

L assurance de Groupe. 10 questions souvent posées sur l assurance de groupe

L assurance de Groupe. 10 questions souvent posées sur l assurance de groupe L assurance de Groupe Un must, aussi pour les PME 10 questions souvent posées sur l assurance de groupe Les pensions complémentaires ont le vent en poupe La pension légale d un travailleur salarié belge

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009 Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire

«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire «Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire Congrès exceptionnel FGTB Liège-Huy-Waremme 2009 - Document de travail

Plus en détail

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords

Plus en détail

CARAMAPS, Votre guide de voyage en camping-car. Dossier de presse - Avril 2015

CARAMAPS, Votre guide de voyage en camping-car. Dossier de presse - Avril 2015 CARAMAPS, Votre guide de voyage en camping-car Dossier de presse - Avril 2015 SOMMAIRE CARAMAPS en quelques mots... 3 Comment ça marche?... 4 L accueil collaboratif Caramaps... 5 L histoire de CaraMaps...

Plus en détail

Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet

Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet Evaluation comparative de sites Internet Quoi? Ce document est un résumé des résultats de l étude menée sur une quinzaine de sites Internet dans le domaine

Plus en détail

Nos régimes d épargne-retraite collectifs 5057-00F-AOÛT13. Des solutions simples pour vous faciliter la vie!

Nos régimes d épargne-retraite collectifs 5057-00F-AOÛT13. Des solutions simples pour vous faciliter la vie! Nos régimes d épargne-retraite collectifs 5057-00F-AOÛT13 Des solutions simples pour vous faciliter la vie! Comment attirer et fidéliser un personnel qualifié dans un marché compétitif. Aux yeux des employés,

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE

TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE SOMMAIRE MARCHÉ DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE...

Plus en détail

Indices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014

Indices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014 COMMISSARIAT Général au développement durable n 621 Mars 2015 Indices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014 OBSERVATION ET STATISTIQUES transport Les prix du transport

Plus en détail

Un bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles

Un bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles Chiffre d affaires 3M 2014 Le Patio, Le Patio, Lyon Lyon - - Villeurbanne CB 21, La Défense Un bon début d année 6 mai 2014 Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité 7 000 m² loués à La Défense

Plus en détail