Rapport de la Formation des femmes élues et Femmes leaders des Communes ISARE et RUSAKA sur le leadership féminin et la Participation
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- Frédéric Barbeau
- il y a 8 ans
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1 Rapport de la Formation des femmes élues et Femmes leaders des Communes ISARE et RUSAKA sur le leadership féminin et la Participation 1. Contexte et Pertinence de l activité. La présente activité rentre dans la droite ligne des activités prévues dans le Projet BUN , intitulé «Promouvoir la Participation Citoyenne et la redevabilité de l Administration locale», exécuté par la CEJP en partenariat avec l ONG Catholique irlandaise TROCAIRE. A travers ce projet, la CEJP voudrait en effet contribuer à répondre aux multiples problèmes liés à la Participation de la Population à la gestion quotidienne de leurs entités, et à la redevabilité de l Administration, au niveau local, et plus précisément au niveau communal. Cette activité est donc liée au rôle combien primordial que la femme doit jouer, en tant que leader dans sa Commune, pour faire asseoir les principes d une Bonne Gouvernance locale. La femme qui en effet, a été depuis longtemps écartée dans la prise de décision de part la coutume burundaise, doit se sentir concernée par se qui se passe autour d elle, et participer activement à l organisation de son entité, en jouant un rôle de modèle pour ses pairs. La CEJP a donc jugé nécessaire de renforcer las capacités des femmes leaders et des femmes élues dans les communes où ce projet est exécuté, afin de les aider à jouer pleinement et correctement leur rôle. 2. Objectifs de l activité Objectif global du Projet Promouvoir la Participation citoyenne et la redevabilité de la femme au niveau local Objectif spécifique de l activité Améliorer les connaissances des femmes leaders et femmes élues des communes cibles sur le leadership féminin, le lobby et le plaidoyer
2 Résultat attendu Les femmes leaders et élus locales des communes cibles sont plus outillées pour s impliquer davantage dans la participation des cadres de prise de décision au niveau local. 3. Déroulement de l Activité Les activités de cet Atelier qui s est tenue en dates du 27 au 29 juin 2012 dans les enceintes de Mont Sion Gikungu ont débuté un peu tardivement vers 10h00, suite au retard des participants qui, en totalité venaient de l intérieur et qui n avaient pas pu arriver la veille. Les activités ont débuté saur une prière, suivie d une brève présentation, aux Participants, des objectifs de l activité, et des attentes au sortir de cet atelier, faite par le responsable du Projet à la CEJP. Ensuite, la déléguée de la Coordinatrice de la CEJP a ouvert solennellement les travaux de cet Atelier, demandant aux femmes présentes de faire preuve de beaucoup d intérêt pour les échanges, afin d y tirer le maximum de leçons et d expériences qui leur permettront de servir de modèles aux autres femmes qui les ont choisis pour être des leaders que ce soit au sein des institutions communales (Conseil Communal, Conseils Collinaires), ou au sein d autres organisations et regroupements. A ce sujet, à côté des notions de Participation et de redevabilité, un autre thème lié à l égalité des sexes sera développé par un Prêtre au 3 ème jour, afin de permettre aux participants de comprendre les le fait d être une femme leader, en confrontation avec les questions actuelles en rapport avec l Egalité des Hommes et des Femmes. Une réflexion que nous propose l Eglise catholique, mais qui n est pas seulement dédiée qu aux catholiques, afin de permettre à tout le monde en toute liberté, de comprendre les questions en rapport avec le genre. Le consultant facilitateur, Madame Spès NDIRONKEYE a par la suite procédé au démarrage des travaux, signalant tout de même que les thèmes développés sont vastes et ne pourraient pas faire l objet d un Atelier de 3 jours seulement. Tout en signifiant aux participants que les notions développées ne seront pas exhaustives, elle leur a promis des échanges fructueux, basés non seulement sur les notions préexistantes, mais également sur les expériences des uns et des autres, et les réalités vécues différemment dans chaque commune. Elle a ainsi procédé à la mise en route de la session, en demandant aux Participants de se convenir sur les règles de jeux pendant toute la durée de l Atelier, afin de travailler en toute harmonie et faciliter un bon déroulement de l Atelier. Les Participants ont ainsi élaboré un certain nombre de règles qu ils allaient s imposer comme :
3 Le Respect du Timing Mettre les appareils téléphoniques au mode silencieux pour éviter les dérangements Demander la parole avant d intervenir Le respect de l opinion de l autre Les Participants ont aussi formulé des attentes pour cet atelier : Acquérir des notions suffisantes sur la Participation et le rôle de la femme dans l organisation de sa commune ou sa colline Bénéficier d explications suffisantes sur toutes les inquiétudes et interrogations liées au leadership et à la Participation de la femme Bénéficier des outils didactiques leur permettant de partager les notions acquises avec d autres femmes, leaders ou non, qui n ont pas eu la chance de suivre l Atelier. Abordant ainsi la matière, le facilitateur a présenté aux participants le plan qui allait être suivi : Première Partie : Le leadership : a) Origine et définition b) Les caractéristiques du leadership c) L origine du leadership d) La capacité à être un leader e) Les caractéristiques d un leader f) Les problèmes rencontrés Deuxième Partie : La Participation a) Définition des termes b) Les étapes de la Participation c) La Place de la femme
4 d) La redevabilité des femmes élues (envers qui?) e) Les solutions aux problèmes de la population La 1 ère Journée était donc consacrée à la 1 ère Partie concernant le leadership. Madame le facilitateur a d abord expliqué l étymologie du mot «leadership», qui vient de deux mots anglais à savoir «Leader» qui signifie «celui qui rame», et «Ship», qui signifie «Bateau». En substance, c est celui qui rame pour faire avancer le bateau, donc pour faire avancer les autres. Pour le facilitateur donc, leadership signifie tout simplement la «capacité à comprendre et à gérer les choses et les personnes en vue du bien commun». Dans ce sens, le leadership suppose un bon nombre de qualités, selon les Participants : Priorité à l intérêt commun Plan Communautaire : Programme de société Respect Humilité Courage Sagesse Intelligence A l issu de ces théories, un travail un groupes a été donné aux participants. Le travail consistait à définir quelles seraient les priorités d un leader, et Qu est ce que le leader devrait éviter? Les Participantes, regroupées selon les communes et les catégories (élues locales ou leader communautaire) de provenance, ont pu formuler quelques réponses qui peuvent se résumer ainsi : Priorités pour un bon leader : - L intérêt commun - L écoute de tout le monde - Le Sacrifice
5 - La Vérité - Le bon exemple - Maîtrise de sa responsabilité - Etre digne de confiance - Discrétion - Bonne organisation - Une vision - Une capacité de partage des idées - Techniques et capacités, soit innées, soit acquises Ce qu un leader devrait éviter : - L égoïsme - Le profit personnel - Le racisme/tribalisme - Mauvais comportements (Ivresse, orgueil, ) - Terrorisme - Corruption - Paresse - Colère Pour illustrer ce qu ils venaient de dire, des exemples de leaders ont été donnés : - NTARE RUGAMBA : Pour avoir agrandi les frontières nationales - Mme Christine NTAHE : Pour avoir lutté pour les droits des enfants, et pour tout le soutien qu elle continue à accorder aux enfants en difficultés - Gabriel RUFYIRI : Pour son combat contre la Corruption - Melchior NDADAYE : Héros de la Démocratie
6 - Pierre BUYOYA : Pour son implication à la recherche de la Paix au Burundi à travers l accord d Arusha - Nelson Mandela : Pour son combat contre l Apartheid en Afrique du Sud En guise de complément, madame le consultant facilitateur a souligné qu un bon leader doit se connaître soit même (ses forces et ses faiblesses), connaître l intérêt de ceux qu il dirige, et aussi connaître son entourage. Quelques catégories de leaders existent ainsi selon leur personnalité : - Ceux qui usent de leur intelligence - Les provocateurs - Ceux qui aiment convaincre - Ceux qui mettent en avant le travail Un travail en groupe pour identifier les avantages et inconvénients des uns et des autres a été donné. Il s agissait également de dire pourquoi l un et pas l autre. Le tableau ci dessous reprend les réponses telles que données par les Participantes : Groupes Avantages Inconvénients - Abakorana ubwenge (Ceux qui usent de leur intelligence) - Abakunda gusotora (Les provocateurs) - kwiyumvira imigambi (Réfléchissent sur les Projets) - Gutohoza (Enquêtent) - Kwitonda (Sagesse) - Ingingo yiyumviyiwe (Décisions réfléchies) - Gutohoza ukuri (Recherche de la vérité) - Gutanga impanuro kubazikeneye ariko batabizi (Prodiguent des conseils à ceux qui en ont besoin
7 mais qui l ignorent) - Abihatira kwumvisha (Ceux qui aiment convaincre) - Abashira imbere ibikorwa (Ceux qui mettent en avant le travail) Iterambere (Développement) Birahuza abantu (unit les gens) Kurwanya ubunebwe (Combattent la Paresse) - Kwanka (Refus) - Akajagari (Désordre) - Imigambi ntiranguka (Pas de concrétisation des projets) Kurwanya ubushomeri (Luttent contre le chômage) Amazi meza (Eau Potable) Ubwenge (Intelligence) Amagara meza (Bonne santé) A l issu de cet exercice, il a été question cette fois ci de savoir, en tant que leader, l image que l on donne, et que l on a de soi même : Comment les hommes nous voient (nous considèrent) en tant que femme? Comment les femmes se voient (se considèrent) elles même? Comment les femmes voient considèrent les hommes? En effet, le leader doit se connaître et connaître son entourage, il doit par conséquent savoir ce que les autres pensent de lui. Les résultats des travaux en groupes se présentaient de la sorte : o Comment les hommes nous voient (Considèrent) les femmes? Elles sont bêtes
8 Elles se comportent comme des enfants Elles sont des serviteurs pour les hommes Elles ne sont capables de rien Elles sont dominatrices (bariganza) Elles sont orgueilleuses Elles n ont pas de forces Elles se déconsidèrent Elles sont indiscrètes o Comment les femmes se voient (se considèrent)? Elles sont compatissantes (Kiremesha?) Elles se discriminent Elles sont orgueilleuses Elles sont capables Elles sont éducatrices Elles entretiennent la famille Elles sont le pilier du ménage Elles sont travailleuses Elles sont des leaders Elles ont de la pitié Elles sont des conseillères Elles sont sages (baritonda) Elles sont changeantes Elles sont compréhensives (barihangana)
9 Elles sont respectueuses Elles sont économes o Comment les femmes voient les hommes? Ils sont changeants (ba mahindagu) Ils sont des protecteurs de la famille Ils sont les piliers du ménage Ils sont égoïstes Ils se ventent Ils sont égocentriques en matière de gestion familiale (Barigubana ivy urugo) Ils se respectent Ils se soutiennent Ils représentent la famille Ils sont des ivrognes Ils gèrent mal (Ni ba bisesagu) Ils sont infidèles Ils sont provocateurs Ils ne parlent pas beaucoup Ils sont puissants (ni ibihangange) Ils n ont pas de pitié Ils aiment la puissance Pour la première journée, les discussions ont été émaillées de pas mal de témoignages et d expériences sur le vécu quotidien. Les participantes n ont pas cessé de donner des contre exemples sur les vrais leaders en se référant sur des cas déjà observés chez eux, là où ils vivent. La journée s est terminée sur une évaluation où chaque participant s est exprimé sur
10 la méthodologie utilisée, la qualité des notions, le facilitateur, la logistique (accueil, prise en charge). La 2 ème journée a commencé par la lecture des questions et recommandations issues de l évaluation de la 1 ère journée. En gros, en ce qui concerne la matière et le facilitateur, plus de 95% des participants étaient satisfaits des sujets traités et de la finesse et l écoute dont le facilitateur a fait preuve au cours des échanges. Toutefois, les participants ont recommandé une augmentation du temps imparti à ces échanges, combien utiles et indispensables dans leur tâche quotidienne. Pour ce qui est de la logistique, les participants ont apprécié positivement l accueil et la prise en charge de la 1 ère journée. La 2 ème journée a été principalement axée sur le thème de la «Participation». Un travail de départ pour définir la Participation à la vie du pays (Guterera mu buzima bw igihugu) a donné les résultats contenus dans le tableau suivant : Questions : - Ayo majambo asigura iki kuri wewe? - Ngo umukenyezi w umurundikazi yoba yaserutse atevye mu bijanye n ugutunganya ivy igihugu? Ni vyaba ari vyo vyoba vyavuye kuki? Réponses: Groupe I Groupe II Groupe III Réponses 1 ère Question - Guseruka ugatanga intererano mu kwubaka igihigu Réponses 1ère Question - kuba umwenegihugu - gukunda igihugu - kutaba sindabibazwa - gukurikirana ibibera mu gihugu - guserura Réponses 1ère question - kwiyumvamwo ubwenegihugu - Kutaba sindabibawza - gushikiriza ivyiyumviro
11 ivyiyumviro mw itunganywa ry igihugu Réponses 2ème Question - Imigenzo ya kera: umunyakigo - Kwama ku bikorwa - Amashure magufi - Amaze kwiga, agasuzuguro k abagabo - Gusuzugurana hagati y abakenyezi ubwabo - Gukumirwa - Intambamyi z abagabo Réponses 2ème Question - Imigenzo yakumira umukenyezi:isa ke ntibika, umunyakigo - Abakobwa ntibaja mw ishure - Kwikumira kw abakenyezi bonyene - Intwaro zitaha agateka umukenyezi Réponses 2ème question - Imigenzo n imico yak era - Isoni n ubwoba - Kudahabwa ijambo - Kutajanwa mw ishure - Après le travail en groupes, le facilitateur a donné quelques orientations par rapport aux questions : Définition : - ni uburenganzira bw umwenegihugu kandi itegeko - Guterera mu kwubaka aho abaye - Kuronswa akaryo ko guterera mu kwubaka no guteza imbere aho ubaye - Bica mu kuronwa akaryo ko gushikiriza ivyiyumviro n ivyipfuzo vyawe
12 Intwaro: - Ingene ingingo zibatwa n ingene zishirwa mu ngiro - Ubuhinga bwo gutwara mu gutunganya ivyigihugu kunzego zitangukanye Intwaro rusangi: umwidegevomu bukorwa - Uburenganzira mu gushikiriza - Ni uburyo bwo kutwara abanyagihugu kubw abanyagihugu - Niyo nshingiro y intwaro ibereye Naho utoshobora kwishikiriirza ivyiyumviro, gutora uwukuvugira, ni co gitulma : kwumviriza abiyamamaza kugira wumve ivyiyumviro ciwe. Mbega uwo ashaka kudushikana kuki? Hehe? Ivyigihugu birandaba, ni rwanje: sans moi: contre moi Au 3 ème jour, après le travail et les échanges sur la Participation, il était question de parler de la redevabilité. La question posée a été : Envers qui les élus sont redevables? Avec un brainstorming, quelques idées sont venues des Participantes. Ainsi pour elles, l élu est redevable envers : La Population Les femmes élues sont redevables envers les autres femmes Comment garantir ainsi les processus de redevabilité? Les participantes ont parlé ici des réunions prévues par la loi, et ont même relevé les entraves qui font que ces cadres ne soient pas respectés, après avoir fait ce constat. Il s agit entre autres raisons : du manque de moyen, du manque de cohésion, du non respect des électeurs envers les élus, et du fait de ne pas tenir compte des contributions des autres. En ce qui concerne le plaidoyer, les problèmes cruciaux et leurs causes au niveau de chaque commune ont été relevés, et des pistes de solutions envisagées : 1) Commune RUSAKA : Chômage Causes : Favoritisme dans les recrutements (liés aux appartenances politiques, liens familiaux, amicaux, etc.)
13 2) Commune ISARE Pauvreté Causes : Guerre civile qui a perduré dans la région Ce 3 ème jour même, un autre exposé sur l Enseignement de l Eglise catholique par rapport au concept Genre a été donné aux Participantes. Il ne s agissait pas de prôner les principes de l Eglise catholique par rapport à ce concept, mais plutôt de proposer aux Participantes, de plusieurs appartenances religieuses, la réflexion et la position des Pasteurs de l Eglise sur cette question, afin que elles mêmes puissent y tirer ce qu elles jugent pertinent et meilleur pour promouvoir la femme. Le conférencier sur ce thème, M. L Abbé Félix FUPI a donc présenté l historique du mot Genre. Il a signifié aux Participants que le mot Genre est un concept lié au développement, qui traite des inégalités sociales pouvant être un facteur de blocage pour le développement. Avant de parler de l enseignement de l Eglise catholique, il a brossé l historique de ce concept, en rappelant les grandes figures mondiales dans la lutte pour les droits de la femme, et les grandes dates qui ont marqué l évolution du concept genre selon le contexte. Abordant l enseignement de l Eglise par rapport à ce concept, l orateur a d abord relevé les inquiétudes de l Eglise catholique en matière de lutte pour les droits de la femme : Une partie de ceux qui luttent pour ces droits se basent sur les violences faites aux femmes, et semblent inciter les femmes au soulèvement contre les hommes Les autres rejettent les différences innées entre les hommes et les femmes, ce qui est contraire même à la parole de Dieu L Eglise met naturellement en avant les saintes écritures surtout la Bible qui nous enseigne que l homme et la femme ont été créés à l image de Dieu. L homme et la femme ont été créés dans leur différence biologique parce que Dieu avait un projet sur eux : fonder un foyer, se multiplier et avoir une famille, ce qui est fondamentale pour l Eglise Catholique. L Eglise ne reconnaît que l hétérosexualité (l union entre la femme et l homme). Toute femme qui renie sa nature biologique perd sa dignité. L injustice subie aux femmes inhérente au péché originel est certes à combattre, mais dans l amour. L Eglise reconnaît que les femmes ont le plein droit d apporter leur contribution à la
14 communauté dans tous les domaines (politico socio économique) dans les limites de leurs compétences et dans le strict respect de la loi. Les femmes sont constamment invitées à lutter pour la vie car Dieu les a créées pour donner la vie. Aimer l homme dans toute sa dimension et lutter pour la dignité humaine, surtout la catégorie des vulnérables auxquels la femme doit manifester sa sollicitude, telle doit être le leitmotiv dans toutes leurs actions. Les femmes doivent agir de telle sorte que les familles nucléaires soient protégées de tout le péril émanant de nouvelles tendances. Elles doivent également lutter pour la protection de bonnes mœurs qui ont toujours prévalu. Elles doivent toujours manifester en tout lieu, leur chrétienté. Par conséquent, elles doivent discerner le vrai de l ivraie dans toutes les formations qu elles reçoivent pour ne retenir que celles promeuvent les bonnes valeurs, celles enseignées par l Eglise Catholique. Beaucoup de questions et d interventions liées surtout aux habitudes, aux pratiques usuelles ont été posées, et les femmes présentes ont été invitées à réfléchir profondément sur cet enseignement pour y puiser des notions qui pourraient les éclairer au quotidien. L Atelier s est terminé sur une marque d insatisfaction des participantes, qui aimeraient avoir plus de temps pour échanger en long et en large sur les notions acquises. Toutefois, des engagements ont été formulés : Femmes élues Locales Commune ISARE : Multiplier les réunions pour restituer les notions acquises au cours de la formation surtout dans les communautés de base Enseigner les valeurs positives de la Culture Burundaise, surtout envers la jeunesse Donner le rythme de la participation dans la vie de tous les jours Femmes leaders Commune ISARE Restituer les notions acquises dans nos organisations Ecouter les doléances des populations et les défendre devant qui de droit Demander la permission aux communes pour tenir des réunions de sensibilisation sur les notions acquises
15 Femmes élues RUSAKA Sensibiliser les femmes à participer à la vie du pays Etre au service de ceux qui les ont élues Plaider pour la cause de ceux qui les ont élues, surtout les femmes Aider les associations communautaires dans le renforcement des capacités des membres Chercher une solution durable au problème du chômage Sensibiliser les parents pour qu ils s attèlent à l éducation citoyenne de leurs enfants dès le bas âge Restaurer les valeurs positives de la Culture Burundaise Femmes leaders RUSAKA Contribuer au renforcement des valeurs familiales dans les communautés Etre de bons modèles pour le changement des mentalités en paroles et en actes Restituer les notions reçues Mettre à découvert toutes les formes de violences faites aux femmes Enseigner aux femmes de respecter leurs époux comme le dit la parole de Dieu Prier pour le Burundi Avant de clôturer la réunion, l Assistante à la coordination de la CEJP, qui avait ouvert les travaux, a invité les Participantes à aller vivre au quotidien ce qu elles ont appris, et à être les promotrices du changement visé, en donnant les bons exemples. L atelier aura vu la Participation de 63 femmes sur les 66 invitées, provenant des communes ISARE et RUSAKA.
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