Compte-rendu Rencontres des 19 au 22 novembre 2012
|
|
- Géraldine Charbonneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Compte-rendu Rencontres des 19 au 22 novembre 2012 Projet de l ICOSI en TUNISIE : «Renforcement de la démocratie sociale, du dialogue social et des pratiques de négociation collective en coopération avec les syndicats français» Association Loi N SIRET :
2 2 SOMMAIRE 1 Rappel du contexte et de l objectif général du projet Situation socio-économique de la Tunisie Besoins exprimés par les partenaires sociaux Objectif général du projet Description des activités réalisées dans le cadre du projet Calendrier des réalisations Phase préalable, Novembre 2011 Octobre Mission à Tunis, du 19 au 22 novembre Conclusion.. 13
3 3 1 Rappel du contexte et de l objectif général du projet 1.1 Situation socio-économique de la Tunisie La République Tunisienne est un pays qui compte 10,67 millions d habitants et classé 94 ème pays en terme d Indice de Développement Humain avec une note de 0,745. Les derniers chiffres connus font état d un Produit Intérieur Brut par habitant de US$. L espérance de vie à la naissance est par ailleurs de 74,5 ans. A travers ces chiffres, nous comprenons que la Tunisie est un «pays à revenus moyens» selon la terminologie en vigueur. Mais la situation politique très instable, vingt mois après le renversement du régime de Ben Ali, rend les perspectives économiques encore très indécises. Le contexte social et économique du pays est tendu et trois défis restent de taille : l emploi (spécialement des diplômés), les inégalités régionales de développement et la corruption. 1.2 Besoins exprimés par les partenaires sociaux Les revendications portées par les organisations syndicales tunisiennes consistent aujourd hui à favoriser l emploi des jeunes, à dynamiser les PME, notamment dans les zones les plus défavorisées et à mettre à niveau les entreprises sinistrées durant les derniers événements pour leur permettre de retrouver un bon niveau d activité. Dans ce cadre, le renforcement d une politique d économie sociale et solidaire dans le pays apparaît comme une solution pertinente. L UGTT, principale organisation syndicale tunisienne, a régulièrement soutenu l émergence d entreprises de l économie sociale au cours de son histoire, particulièrement des entreprises coopératives et mutualistes.
4 4 1.3 Objectif général du projet L objectif du projet était d accroître la capacité des représentants syndicaux tunisiens à participer plus activement au renouveau de la démocratie sociale dans un contexte de reconstruction postrévolutionnaire. La volonté de l ICOSI, par la mise en œuvre de cette mission était de participer à la mise en place d une véritable démocratie sociale, corollaire indispensable de l évolution démocratique en cours. Grâce au travail de préparation effectué avec l UGTT et la tenue d une réunion préparatoire (à laquelle ont également participé les experts syndicaux de la CGT et de FO), le thème des journées de formation et d échanges a été recentré sur l économie sociale en Tunisie : rappels des principes fondateurs de l économie sociale, historique, état des lieux, retours d expériences, perspectives de développement et co-construction d éléments de diagnostic en vue de la mise en place de modules de formation à l entreprise coopérative.
5 5 2 Description des activités réalisées dans le cadre du projet L ICOSI a organisé une mission de travail à Tunis du 19 au 22 novembre Cette mission a été l occasion de tenir une session de deux jours d échange et de formation sur le thème de la démocratie et de l économie sociale en Tunisie en présence de syndicats tunisiens et français mais également de représentants d associations. 2.1 Calendrier des réalisations Le présent projet était prévu sur une durée de 4 mois à compter de sa date de lancement en Septembre Au final, ce dernier s est déroulé sur 12 mois, de novembre 2011 à novembre En effet, en raison du contexte social et politique mouvementé en Tunisie et des changements de cadres et de personnel au sein du partenaire tunisien, la mission n a pu être réalisée qu en novembre Mois 1 à 11 : Novembre 2011 à Octobre 2012 Mois 12 Novembre 2012 Phase initiale de préparation et coordination des activités avec les partenaires français et tunisiens. Organisation du programme de travail pour la mission à Tunis. Mission à Tunis : Session d échanges et de formation entre syndicats tunisiens et français à Tunis Suivi - Compilation des conducteurs de formation ; Travail sur les suites à donner au projet.
6 6 2.2 Phase préalable, Novembre 2011 Octobre 2012 Dans un premier temps, le programme de la semaine de travail et les thématiques d intervention ont été définis lors d échanges conduits par l ICOSI en collaboration avec l UGTT. L organisation pratique de la mission a également fait l objet d échanges réguliers : fixation du lieu de la formation, du logement des experts 2.3 Mission à Tunis, du 19 au 22 novembre 2012 Pour les deux jours de travail, 4 experts français ont été mobilisés : - Jean-Jacques SURZUR, délégué syndical national CGT du Crédit Mutuel ; - Djamila MONES, de FO ; - Arnaud BREUIL, Directeur de l ICOSI ; - Marie RABOURDIN, Chargée de mission de l ICOSI.
7 7 Les deux journées de rencontre entre l UGTT et l ICOSI se sont déroulées dans les locaux de formation de l UGTT, rue de Grèce à Tunis. Cette rencontre a permis de réunir une bonne trentaine de personnes : essentiellement des cadres militants de l UGTT issus de la fédération des banques, de la formation et des secteurs confédéraux (jeunes, femmes, international) ainsi que de diverses associations (micro finance et micro assurance) ou coopératives. Elles ont été l occasion d échanger sur les fondements, valeurs et implications pratiques de la mise en œuvre d une Economie Sociale et Solidaire (ESS) en Tunisie. Abdelkerim JERAD, Secrétaire Général Adjoint Responsable de la Couverture Sociale a inauguré la première journée en rappelant que l ESS faisait partie intégrante du programme économique et sociale défendu par l UGTT lors de l indépendance. Malgré les expériences difficiles qui se sont succédées dans les années 80, il a réaffirmé que l ESS constitue une solution aux problèmes de pauvreté et d exclusion et du même coup la volonté de l UGTT de promouvoir la culture de l économie sociale, comme économie de proximité, répondant aux besoins locaux de la population. Après une brève présentation de l association ICOSI (son expertise en matière d ESS, ses relations au mouvement syndical français ), Arnaud BREUIL a fait un exposé des principes guidant l économie sociale : libre adhésion, lucrativité limitée, gestion démocratique et participative et utilité sociale ou collective.
8 8 Sur cette base, il a rappelé d une part que les acteurs de l ESS sont des acteurs économiques à part entière, soumis à des exigences de rentabilité et d autre part, l importance de la part de l économie sociale dans l économie française depuis plusieurs années. Cette introduction était indispensable afin de mettre en lumière les différences d approche et de mesurer de façon concrète la façon dont l ESS peut concourir à faire émerger une croissance économique durable, et faire se conjuguer démocratie sociale et démocratie économique. Afin de mieux comprendre le contexte actuel en Tunisie, Noomen GHARBI, de la Fédération des banques à l UGTT, a établi un diagnostic social, économique et politique du pays. Les grandes inégalités qui règnent en Tunisie en termes de richesses, de chômage et d accès aux services bancaires et financiers permettent de poser un constat relativement alarmant. Selon M. GHARBI, une refonte du système des banques et le déploiement de la microfinance doit se faire en priorité vers les zones les plus enclavées, celles dans lesquelles les inégalités sociales sont les plus persistantes et où l investissement public fait encore gravement défaut. Toujours selon M. GHARBI, la diffusion des valeurs de développement durable et de démocratie sont des étapes nécessaires au développement de l ensemble des régions du pays. Jean-Jacques SURZUR, délégué syndical national CGT du Crédit Mutuel, a quant à lui rappelé les principes qui guident les acteurs de l ESS et qui doivent s appliquer aux banques. Les banques coopératives doivent démontrer la pertinence de leur modèle et l exemplarité de leurs pratiques afin de faire évoluer celles de tous les acteurs bancaires. C est un objectif réaliste que doit se fixer la Tunisie et son secteur bancaire, l investissement à risques n étant pas de mise auprès des petites entreprises.
9 9 La rencontre s est poursuivie par la présentation de quatre retours d expérience : Abdessatar EL HZAMI, Syndicat de la coopérative de marché de gros. Mohamed GUEDICHE, Coopérative sfaxienne ouvrière de production (COSOUP). Habiba SELINI, Société mutuelle centrale des semences agricoles de blé. Coopérative de pêche par les jeunes diplômés chômeurs. Pour chacun des cas représentés, des cas pratiques et d échange ont été mis en avant. Ce partage d expérience a été une parfaite illustration de la nécessité de respecter l ensemble des principes véhiculés par l économie sociale pour que celle-ci puisse produire les effets escomptés. En effet, la volonté de main mise de l Etat sur les coopératives et les conséquences, souvent désastreuses, qui en ont découlées ont permis de démontrer qu une économie sociale dirigée, n en est pas vraiment une. Le principe d indépendance et d autonomie des organismes de l économie sociale vis-à-vis des pouvoirs publics est une condition sine qua non de bonne gouvernance. D autre part, la question du caractère pérenne et viable de l activité économique d une coopérative est primordiale et doit répondre à un modèle économique identifié. La gestion démocratique d une coopérative n est pas un gage de bonne gestion ; en effet, pour être
10 10 viable, une activité doit commencer par répondre aux besoins locaux de la population et avoir des exigences premières de rentabilité. La «force» de l économie sociale est justement de concilier respect des pratiques démocratiques et des valeurs, réponse à une finalité à dominante sociale et rentabilité économique. A l issue des divers échanges, l ensemble des participants ont confirmé leur souhait d œuvrer en faveur du développement de l économie sociale, en tant qu outil de création d emplois et donc logiquement comme instrument de lutte contre le chômage (plus spécialement des jeunes). Djamila MONES (experte de la Confédération FO) a rappelé les racines communes qui existent entre les mouvements syndicaux et l économie sociale. Si le rôle d impulsion, de prise d initiative et d analyse est déterminant pour les acteurs syndicaux dans la mise en place des projets de l ESS (faisant le lien entre démocratie sociale et démocratie économique), il ne s agit pas de créer une «ingérence» syndicale au sein d entreprises de l ESS où les relations «classiques» du travail ne sont pas nécessairement différentes. Dans le cadre de ces échanges, la mise en place d une collaboration rapprochée sur le plus long terme entre l ICOSI et l UGTT s est rapidement dessinée. L élaboration d un projet de coopération sur le thème de l économie sociale entre les deux structures devrait suivre les recommandations suivantes : - désignation d un comité de pilotage regroupant des représentants de l UGTT, de l ICOSI et de ses organisations syndicales membres. Dans l hypothèse où ce projet devrait s élargir à d autres pays de la méditerranée, il est prévu d associer les organisations (associatives, syndicales ) de la région ; - l UGTT doit sauvegarder les acquis existants dans le domaine de l économie sociale et se servir de son expertise pour aider à la création de nouvelles structures ; - afin d assurer la bonne gouvernance des coopératives existantes, l UGTT doit aider à l instauration d une structure entre les coopératives et représentative des acteurs de l ESS ;
11 11 - le département de formation de l UGTT, avec l appui de l ICOSI, doit participer à l élaboration d un module de formation (formation de formateurs) afin de vulgariser et diffuser la culture et la pratique de l économie sociale ; - l ICOSI poursuivra sa mission dans ce cadre en organisant des stages d observation de la pratique de l économie sociale ; - l UGTT et l ICOSI s engagent à organiser des échanges d expériences entre les structures de l économie sociale de différents pays (européens, arabes ) afin d établir les points forts et les points faibles de chacun et d aboutir à un perfectionnement du fonctionnement de ces structures ; - la collaboration entre l UGTT et l ICOSI s attachera tout particulièrement à se développer sur la base d une approche transversale genre et handicap. Dans le même temps, la révision du cadre juridique des coopératives, dans le sens d un assouplissement et la restructuration du système bancaire pour en faire un levier au service des populations ont été désigné comme des pans essentiels du programme politique qui doit être défendu par l UGTT. Le rôle principal de l UGTT est d être un impulseur (par le biais des formations), un appui / accompagnateur des projets de création de structures d économie sociale (sous la forme de création de coopératives de production ou de reprise des entreprises par les salariés). L UGTT est aujourd hui la seule «organisation de masse» en Tunisie susceptible de recenser les demandes sociales et de participer à les «transformer» en projets économiques. La possibilité pour les jeunes, notamment, diplômés, de créer leur propre activité dans le secteur formel dans les zones enclavées est aujourd hui quasiment impossible. L UGTT a un accès naturel et très large à l expression des revendications sociales et des projets émanant du terrain. Elle sera notamment chargée d analyser les besoins économiques, sociaux et politiques au niveau local afin d établir un diagnostic pertinent en fonction des régions. C est sur la base de ces diagnostics qu un développement de la dynamique «économie sociale» pourra prendre racine de manière pertinente. Le syndicat aura également un rôle de plateforme dans les différents gouvernorats. Il mettra en lien les différents acteurs et coordonnera le développement de la culture ESS.
12 12 L ICOSI, pour sa part, aura un rôle d appui et d intermédiation. L association s engage à apporter son expertise et son réseau (syndicats, associations, banques coopératives) au service de projets d économie sociale qui auront été identifiés et soutenus par l UGTT. Un fonds d investissement solidaire à vocation euro méditerranéenne actuellement en cours de montage (CoopMed) par des acteurs bancaires coopératifs et des entreprises de l économie sociale (dont certains sont membres de l ICOSI) pourra s appuyer sur ces éléments de diagnostic et apporter son appui aux projets entrepreneuriaux ciblés.
13 13 Conclusion La mission à Tunis a permis dans un premier temps de renforcer les liens d ores et déjà établis avec les membres de l UGTT. L ICOSI et les représentants FO et CGT ont pu, grâce aux éclairages précieux de nos partenaires, mieux appréhender le contexte socioéconomique et politique actuel de la Tunisie mais également découvrir l histoire du développement de l économie sociale dans le pays. Pour les partenaires tunisiens, ces quelques jours ont été l occasion de revoir les fondements de l économie sociale et d envisager la relance de cette dynamique dans leurs gouvernorats. A l appui d expériences pratiques tunisiennes de coopératives, nous avons pu, ensemble, établir un plan d action et des recommandations dans le sens d une coopération rapprochée entre l UGTT et l ICOSI dans le domaine de l économie sociale. De nouvelles pistes de financement feront donc l objet de recherches par l ICOSI dans le but de poursuivre la dynamique de coopération engagée entre tous les partenaires et de pouvoir répondre aux sollicitations locales formulées pour des sessions de formation complémentaires.
Rhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr
Rhône Développement Initiative 1993-2013 Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité www.rdi.asso.fr Jean-Jacques MARTIN, Président de RDI Membre des réseaux nationaux RDI Edito
Plus en détailRèglement du concours du Prix de l Etudiant Entrepreneur en Economie Sociale 2012 (5 ème édition)
Règlement du concours du Prix de l Etudiant Entrepreneur en Economie Sociale 2012 (5 ème édition) ARTICLE 1 : OBJET DU CONCOURS La Mutuelle Des Etudiants (LMDE), mutuelle n 431 7 91 672 soumise aux dispositions
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailamplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire
1 amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire 1 - Amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire Les entreprises
Plus en détailM. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso
UNE EXPERIENCE D APPUI AUX PME/PMI AU BURKINA FASO M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso 1 Le Burkina Faso PME/PMI - Burkina Faso 3 Le Burkina
Plus en détail«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP
«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP I. Présentation de l action La Région Rhône-Alpes a lancé en 2007, en partenariat avec l Union régionale des Scop (Urscop),
Plus en détailACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796.
Plus en détailLa loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue
La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les
Plus en détailCAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS
CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS Projet de loi no 27 Loi sur l économie sociale Mémoire présenté au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire dans le cadre
Plus en détailLe présent règlement intérieur complète et éclaire les statuts de Sud Chimie. Il s impose aux sections syndicales.
REGLEMENT INTERIEUR SUD CHIMIE Règlement INTERIEUR Le présent règlement intérieur complète et éclaire les statuts de Sud Chimie. Il s impose aux sections syndicales. Il a été adopté par le 5ème congrès
Plus en détailOBJECTIFS. Objectif général
Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement
Plus en détailOffre Technique Tunis, Décembre 2013. Société d Ingénierie Informatique Spécialiste en Infrastructure de Pointe et des Systèmes d Information
Version 1.0 H. Wali P: 00 / 00 Indice: Madame, Monsieur, Les nouvelles technologies de l information et de la communication engendrent la nécessité pour les entreprises de traiter de plus en plus rapidement
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailMaghreb Startup Initiative
L EXCELLENCE au rendez-vous! Algérie Maroc Tunisie Edition pilote Une 1ère édition organisée simultanément dans les trois pays du Maghreb et déployée sur une année! (mai 2012 - mars 2013) Regional Sponsors:
Plus en détailBanque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale
Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détail«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»
«accelerateur de croissance de l economie tunisienne» Note conceptuelle LE MOT DU PRESIDENT Le Capital-Investissement - ou Private Equity - est un des moteurs du financement de l économie réelle et du
Plus en détailEconomie autrement quinzaine du Narthex 19-11-2014
Economie autrement quinzaine du Narthex 19-11-2014 2 LE CREDIT COOPERATIF Ø banque à part entière, Ø banque coopérative actrice d une finance patiente, Ø banque engagée, Ø banque de l économie sociale
Plus en détailLE FONDS NATIONAL DE GARANTIE
LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE Le fonds National de Garantie a été institué par la loi n 100 du 31 décembre 1981 portant loi de Finances pour la gestion 1982, article 73 tel que modifié par l article 66
Plus en détailSuivi et évaluation des marchés ayant intégré le développement durable
Suivi et évaluation des marchés ayant intégré le développement durable L expérience du Conseil général de l Isère. Blandine Collin - service juridique - DDQ CGI intervention RAEE du 11-02-2010 1 HISTORIQUE
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources
Plus en détailAFAST pour la RSE L Association des Femmes d Affaires Suisses et Tunisiennes pour la Responsabilité Sociétale/Sociale de l Entreprise 21.05.
AFAST pour la RSE L Association des Femmes d Affaires Suisses et Tunisiennes pour la Responsabilité Sociétale/Sociale de l Entreprise 21.05.2015 AFAST pour la RSE S Statuts de l AFAST pour la RSE Dénomination
Plus en détailDISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE
A DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA charte QUALITÉ LABEL SOCIAL Label Sokial an Trañsportoù e Breizh SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE DISPOSITIFS PARTICULIERS TRANSPORTS
Plus en détailTexte n DGI 2009/36 NOTE COMMUNE N 17/2009
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE Documents Administratifs N 2009/05/20 0.1.0.0.1.2. (IMPOTS) Texte n DGI 2009/36 NOTE COMMUNE N 17/2009 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailCommunication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting
Communication sur le progrès 2012 (CoP) SterWen Consulting Introduction Notre engagement RSE SterWen Consulting adhère au Pacte Mondial des Nations Unies depuis 2009. A ce titre, SterWen Consulting soutient
Plus en détailLa protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille!
La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale est un terme générique qui recouvre, la Sécurité Sociale (régime général obligatoire solidaire, géré
Plus en détailProfil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0
SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes
Plus en détailLe plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire
Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de
Plus en détailSOMMAIRE. Bulletin de souscription
SOMMAIRE Flash-emprunt subordonné «Tunisie Leasing 2011-2» Chapitre 1 : Responsables de la note d opération 1.1. Responsables de la note d opération 1.2. Attestation des responsables de la note d opération
Plus en détailACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure
Plus en détaileducationsolidarite.org
Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org
Plus en détailElaboration participative des programmes communaux
Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association
Plus en détailUniversité Paris Dauphine rentrée 2014-2015 Licence Mention Sciences sociales
Université Paris Dauphine rentrée 2014-2015 Licence Mention Sciences sociales Parcours ouverts aux étudiants Khâgne BL, AL et SHS via les banques d épreuves BEL et L-SES Version décembre 2013 La Licence
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailGuichet Fiscal Unique Accueil fiscal et Service des Impôts des Particuliers (S.I.P.) : le point sur les revendications F.O.-TRÉSOR
Guichet Fiscal Unique Accueil fiscal et Service des Impôts des Particuliers (S.I.P.) : le point sur les revendications Sommaire : au 10 février 2009 (mise à jour surlignée en jaune) 1 - NOMINATION DU COMPTABLE
Plus en détailREFERENCES PROFESSIONNELLES
Expertise Microfinance LOUGA/MONTAGNE NORD, IMMMEUBLE IBRA NDIAYE TEL: 77 569 39 09/77 560 29 54 Mail : ascodevlg@gmail.com /ascodev@orange.sn REFERENCES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES SERVICES DE LA
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE
CHAPITRE 1 ORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE L enjeu théorique COOPÉRATION ET ÉCONOMIE SOCIALE : UNE SYNTHÈSE INTRODUCTIVE L initiative
Plus en détailL écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon
L écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon Debate 7. Muriel Nivert-Boudou DG Cress LR www.cresslr.org www.coventis.org Bref historique de l ESS en France L Economie sociale est née et a pris son essor
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailCOMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour
COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du
Plus en détailSommaire... 2. Introduction... 4. Présentation de Sousse... 5. Analyse descriptive... 6. 1. Infrastructure... 6. 1.1. Part des routes classées...
Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 4 Présentation de Sousse... 5 Analyse descriptive... 6 1. Infrastructure... 6 1.1. Part des routes classées... 6 1.2. Taux de raccordement au réseau d assainissement...
Plus en détailLes caractéristiques du secteur bancaire français
Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes
Plus en détailACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES
Caisse Régionale de CREDIT AGRICOLE MUTUEL de la TOURAINE et du POITOU ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES Entre les Soussignés : La CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détailL ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Définitions Un peu d histoire Quelques chiffres, les acteurs La finance solidaire Définitions L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble deux concepts, rappelé dans
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2002/66 NOTE COMMUNE N 44/2002
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2002/08/35 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2002/66 NOTE COMMUNE N 44/2002 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailSession d ouverture du 4 ème Forum Convergences 2015
Session d ouverture du 4 ème Forum Convergences 2015 Séance plénière // Général Modérateur François de Witt Président, Finansol Intervenants Pierre Schapira Adjoint au Maire de Paris chargé des Relations
Plus en détailMINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3257 Convention collective nationale IDCC : 1601. BOURSE (3 e édition. Juin 2004) ACCORD DU 8 JUILLET 2005
Plus en détailVision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement
Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,
Plus en détailLicence professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et entrepreneuriat
Promotion / Site : Clermont-Ferrand Licence professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et entrepreneuriat Objectif de cette licence professionnelle : Former des cadres intermédiaires du
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailPROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement
PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à
Plus en détailFormation de dirigeant de PME
Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise
Plus en détailAtelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie
République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de
Plus en détailCONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines
CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous
Plus en détailProjet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique
Projet d accord-cadre sur la qualité de vie au travail dans la fonction publique Les conditions d exercice des missions des agents publics, leurs métiers et l organisation des services ont beaucoup évolué
Plus en détailLE GROUPE MACIF ET LA RSE
LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur
Plus en détailSEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...
P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.
Plus en détailLes grandes réalisations sont la somme de toutes les petites
ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards
Plus en détailFICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL
L ENTREPRENEUR INDIVIDUEL À RESPONSABILITÉ LIMITÉE BERCY > LE 27 JANVIER 2010 FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL Quel est l intérêt du dispositif? L EIRL permet la séparation du patrimoine de l entrepreneur,
Plus en détailTOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS
TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,
Plus en détailQUALITE DE VIE AU TRAVAIL
DANS L ESS BAROMETRE 2013 QUALITE DE VIE AU TRAVAIL Synthèse des résultats 1 ère édition Février 2014 Baromètre CHORUM de la qualité de vie au travail dans l ESS www.chorum.fr 1 Edito En octobre 2013,
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailNotre métier : Vous accompagner dans votre Projet
Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet Formation initiale en alternance (scolaire ou apprentissage) Formation continue FORMATION INITIALE > Bac Pro Bio Industries de Transformation Accéder x
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Management des organisations de l économie sociale et solidaire de l Université de la Réunion Vague E 2015-2019
Plus en détailPolitique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation
Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Vue d ensemble du Processus de consultation et de participation Société financière
Plus en détailRèglement du prix OCTOBRE 2014
Règlement du prix OCTOBRE 2014 Avec l'ambition de faire progresser la qualité de l emploi associatif et dans le cadre de la Grande cause nationale 2014, Le Mouvement associatif en partenariat avec l UDES,
Plus en détailLes activités du Ministère
MINISTERRE DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DE LA PROMOTION DES PME ---------------- Le Ministre Le Cabinet ---------------- REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ---------------- Union-Discipline-Travail Les activités
Plus en détailSwitchMed Programme de formation d Entrepreneurs Verts en Tunisie. Photo : UNIDO. Appel à candidatures
SwitchMed Programme de formation d Entrepreneurs Verts en Tunisie Photo : UNIDO Appel à candidatures Tu es un éco-entrepreneur? Tu as une idée de création d entreprise verte en tête? d Entrepreneurs Verts
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailL histoire de l assurance en Algérie
POINT DE VUE POINT OF VIEW Assurances et gestion des risques, vol. 81(3-4), octobre-décembre 2013, 285-290 Insurance and Risk Management, vol. 81(3-4), October-December 2013, 285-290 L histoire de l assurance
Plus en détailCompétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailDiplôme Universitaire Responsable Mutualiste. En formation continue. Responsable Pédagogique Irène POLITIS PRAG FORMATION CONTINUE PANTHEON SORBONNE
Diplôme Universitaire Responsable Mutualiste En formation continue Responsable Pédagogique Irène POLITIS PRAG FORMATION CONTINUE PANTHEON SORBONNE INTITULÉ DE LA FORMATION Diplôme Universitaire RESPONSABLE
Plus en détailNOTRE PACTE COOPÉRATIF ET TERRITORIAL
2014 NOTRE PACTE COOPÉRATIF ET TERRITORIAL GOUVERNANCE DES MOTS ET DES ACTES Nous avons voulu traduire cette année notre bilan par des mots et derrière chaque mot des actes. C est notre ambition chaque
Plus en détailINTRODUCTION ET DIAGNOSTIC
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel INDUSTRIES DE LA MAROQUINERIE ACCORD DU 8 DÉCEMBRE 2014 RELATIF AU
Plus en détailco-développent LE 1 ER INSTITUT EURO-MÉDITERRANÉEN DE TECHNOLOGIE L INSA EURO-MÉDITERRANÉE
co-développent LE 1 ER INSTITUT EURO-MÉDITERRANÉEN DE TECHNOLOGIE L INSA EURO-MÉDITERRANÉE Fès Maroc Bienvenido Bienvenue Willkommen Benvenuto Bem-vindo Welcome MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailCONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011 RELATIF À LA
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle perspective d emploi pour les jeunes : FAIRE CARRIERE DANS LE SECTEUR DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle perspective d emploi pour les jeunes : FAIRE CARRIERE DANS LE SECTEUR DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Avril 2014 COMMUNIQUE DE PRESSE L IPAC modernise ses formations en
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailTERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET GESTION DE BASES DE DONNEES
REPUBLIQUE TUNISIENNE --*-- MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET
Plus en détailCHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective IDCC : 1468. CRÉDIT MUTUEL (29 juin 1987) AVENANT DU 24 SEPTEMBRE
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailCentre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.
Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.org I- PRESENTATION DU CRADAT A- Création - Siège Le Centre Régional
Plus en détaildes valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS
L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur
Plus en détailLa Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises
mardi 22 septembre 2009 La Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises Baptiste MAUREL 04 67 22 80 35 ///
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailCOMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD
Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de
Plus en détailTexte n DGI 2002/31 NOTE COMMUNE N 18/2002 R E S U M E. Déduction des primes d assurance vie collectives de l assiette imposable
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2002/04/15 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2002/31 NOTE COMMUNE N 18/2002 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailLa coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence.
1 Une mission «coopération décentralisée» existe depuis 8 ans à l ARENE Île-de-France. Résultat d une délibération sur l action internationale votée par la Région Île-de-France souhaitant que celle ci
Plus en détailCOMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT
COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT NOVEMBRE 2013 2 Le mot de la direction Lorsque nous avons fondé NEXEO, nous avions déjà une expérience significative du métier de la prestation intellectuelle
Plus en détailA. Secteur des services aux entreprises
A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271
Plus en détail