Thèmes principaux : Ophtalmopédiatrie : handicap visuel chez l enfant

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Thèmes principaux : Ophtalmopédiatrie : handicap visuel chez l enfant"

Transcription

1 Réunion de Printemps Association Francophone de Strabologie Et d Ophtalmologie Pédiatrique (AFSOP) Dimanche 12 mai, Lundi 13 mai 2013 Palais des congrès, Paris Thèmes principaux : Ophtalmopédiatrie : handicap visuel chez l enfant Strabologie : Chirurgie des strabismes

2 Comité directeur de l Association Francophone de Strabologie Et d Ophtalmologie Pédiatrique (AFSOP) Présidente : Pr. Danièle Denis (Marseille) Vice présidente : Dr. Françoise Oger-Lavenant (Nantes) Secrétaire générale : Dr. Corinne Bok-Beaube (Paris) Secrétaire trésorier : Dr. Emmanuel Bui Quoc (Paris) Secrétaire scientifique : Dr. Dominique Thouvenin (Toulouse) Secrétaire trésorier adjoint: Dr. Pierre Lebranchu (Nantes) Secrétaire générale adjointe : Dr. Sophie Arsène (Tours) Secrétaire scientifique adjoint : Dr. François Audren (Paris) Relation avec la SFO, les autres associations, les orthoptistes, le syndicat : Dr. Pascal Dureau (Paris) Comité de lecture : Dr. François Audren (Paris), Dr. Amandine Barjol (Paris), Dr. Corinne Benso (Marseille), Dr. Guylene Le Meur (Nantes), Dr. Dominique Thouvenin (Toulouse), Dr. Joseph Bursztyn (Paris), Dr. Pascal Dureau (Paris), Dr Arnaud Sauer (Strasbourg), Dr. Emilie Zanin (Marseille). Gestion et développement du site internet : Dr. Dominique Thouvenin (Toulouse) Collège des orthoptistes : D. Lassalle (Nantes), M. Santallier (Tours), E. Toesca (Marseille). 2

3 Association Francophone de Strabologie Et d Ophtalmologie Pédiatrique (AFSOP) La lettre du président Chers amis, Nous avons le plaisir d ouvrir aujourd hui à Paris au Palais des Congrès notre réunion de printemps ces Vendredi 12 et Samedi 13 Mai 2013 où nous sommes accueillis par la Société Française d Ophtalmologie. Cette année 2013 est majeure pour la strabologie française: «Les Strabismes» thème du rapport de la SFO, édité par le Pr Péchereau, n avait pas été traité depuis L ESA, European Strabological Association, sera accueillie à Marseille du 4 au 7 septembre prochain : un grand millésime pour la Strabologie française, francophone, européenne! Ce congrès de l AFSOP est l aboutissement du travail de la secrétaire générale, du secrétaire scientifique et du bureau de l AFSOP. Son but va être une mise au point scientifique sur deux sujets: un d Ophtalmo-pédiatrie avec le Handicap Visuel chez l enfant et un de Strabologie avec la Chirurgie des Strabismes. Cette année, le Docteur Rosario Gomez De Llano, présidente de l ESA, European Strabological Association, que l on ne présente plus tant elle a marqué ces dernières années la Strabologie, nous fait l honneur d une conférence intitulée «Toxine botulique et pathologies oculomotrices» et de cas cliniques complexes. Nous la remercions chaleureusement. Nous remercions également vivement les orateurs de ces deux journées, dont le travail permettra une actualisation et une mise à niveau sur ces thèmes. La variété des thématiques de ce programme est présentée sous forme de tables rondes, de conférences et de communications. Le conseil d administration a voulu que les sujets vous aident dans votre pratique quotidienne et espère que cet objectif sera atteint. J espère que cette réunion sera un moment de science pour nous tous, sans oublier que notre motivation première reste une meilleure prise en charge de nos patients. Très bonne réunion à tous. Professeur Danièle DENIS CHU Marseille, Hôpital Nord 3

4 Association Francophone de Strabologie et d'ophtalmologie Pédiatrique (AFSOP) Président : Pr Danièle DENIS Trésorier : Dr Emmanuel BUI QUOC Secrétaire Générale : Dr Corinne BOK-BEAUBE Secrétaire scientifique : Dr Dominique Thouvenin Programme Dimanche 14h 17h - Ophtalmopédiatrie 14h 15h30 : Symposium : Handicap visuel de l enfant Modérateur : Guylène Le Meur (Nantes) Epidémiologie du handicap chez l enfant : B. Le Bail (Evry) Evaluation de la fonction visuelle, C. Duncombe-Poulet (Caen) Prise en charge ophtalmologique H. Dalens (Clermont Ferrand) Prise en charge orthoptique, A. Berger Martinet (Paris) Prise en charge socioéducative, X. Zalonghi (Nantes) 15h30 15h45 : pause 15h45 17h : communications libres et discussion Modérateur : Danièle Denis (Marseille) 1. Le handicap visuel dans le cadre du handicap rare : complexité de la prise en charge, C. Lesage, Toulouse 2. Association déficience visuelle et troubles des apprentissages : un diagnostic et une prise en charge complexe, C. Lesage Beaudon, Toulouse 3. Utilisation du logiciel WINROP pour le dépistage de la rétinopathie du prématuré, L. Lequeux, Toulouse 4

5 4. Injection intravitréenne d anti-vegf dans les formes sévères de rétinopathie du prématuré : présentation et évolution de 3 cas. E.Martin, G.Le Meur, O.Lebreton, A.Barjol, P.Dureau, G.Caputo, M.Weber, Nantes, Paris 8h 8h 15 : Accueil Lundi : 8h - 17h30 : Strabologie 8h 15 8h 20 : Le mot du président 8h20-9h15 : communications libres Modérateur : Claude Speeg-Schatz (Strasbourg) 1. Signe de l'anesthésie générale et strabisme divergent, C. Turpin, A. Zamora, G. Le Meur, D. Lassalle, P. Lebranchu, F. Lavenant, A. Péchereau, Nantes 2. Signe de l'anesthésie générale et strabisme convergent, A. Zamora, C.Turpin, G. Le Meur, P. Lebranchu, F. Lavenant, A. Péchereau, Nantes 3. Corrélation radio-clinique dans les troubles oculomoteurs dysthyroïdiens, C.Bok-Beaube, F. Heran, ML Herdan, S. Morax, O. Galatoire, Paris. 4. L angle-cible en chirurgie des strabismes concomitants. A.Roth, Genève 9h15 10h : Table ronde «Avis d experts» : cas cliniques simples. Modérateur : Emmanuel Bui Quoc R. Gomez de Llano (Madrid), C. Speeg-Schatz (Strasbourg), P. Lebranchu (Nantes), F. Audren (Paris), E. Bui Quoc (Paris). 10h-10h30 : Assemblée Générale 10h30-11h30 : Conférence : R. Gomez de Llano (Madrid) : Toxine botulique et pathologies oculomotrices 5

6 11h30-14h : Pause déjeuner 14h-15h : communications libres Modérateur : Marie Andrée Espinasse-Berrod 1. Résultats de la chirurgie des strabismes horizontaux à 5 ans, C. Turpin, M. Bruneau, M. Laurent, A.-L. Bénistant, M. Kermones, D. Lassalle, G. Le Meur, P. Lebranchu, F. Oger-Lavenant, A. Péchereau, Nantes 2. La place de la chirurgie dans le traitement des ésophories décompensées N.Gambarelli, G.Pinto, C. Lagrange, Marseille 3. Hypertropie post opératoire après chirurgie de l ésotropie chez le myope fort, M. Goberville, M. Nguyen, V. Sebag, A. Kostas, Paris 4. Reculer un droit médial, un geste simple? A.Péchereau, P. Lebranchu, C.Turpin, A. Zamora, F. Oger-Lavenant, C.Rémy, Nantes 15h-15h30 : Pause 15h30-17h : Table ronde «Avis d experts» : cas cliniques complexes. Modérateur : Françoise Lavenant R. Gomez de Llano (Madrid), C. Bok-Beaube (Paris), N. Gambarelli (Marseille), A. Pechereau (Nantes), S. Arsene (Tours), M. Cordonnier (Bruxelles), D. Denis (Marseille), C. Costet (Nice), F. Lavenant (Nantes) 6

7 Notes : Symposium : Handicap visuel de l enfant 7

8 Symposium : Handicap visuel de l enfant (suite) 8

9 Le handicap visuel dans le cadre du handicap rare : complexité de la prise en charge C. Lesage, Toulouse Introduction En octobre 2009, le premier schéma d organisation médico-sociale pour les handicaps rares a été mis en place. Le handicap rare est la conséquence d une association rare (prévalence inférieure à 1/10000) et simultanée de déficits sensoriels, moteurs, cognitifs ou de troubles psychiques. Cela génère une situation complexe, qui n est pas la simple addition de déficiences. Ce schéma a pour vocation de développer la connaissance de ces populations, peu quantifiées à ce jour et de développer des projets d information, de recherche, et de formation. Matériel et méthode Nous présentons plusieurs cas d enfants suivis à l institut des jeunes aveugles de Toulouse, porteurs de handicap rare (surdi-cécité, association autisme et cécité, association dysphasie et malvoyance). Résultats Pour ces enfants, nous avons mis en place une prise en charge spécifique, avec l aide de centres ressources spécialisés dans des problématiques spécifiques (surdi-cécité par exemple). Discussion L association des deux handicaps multiplie par six la situation de handicap. L expertise requise doit pouvoir faire face à la difficulté et à la rareté. Par exemple, la prise en charge de la surdi-cécité n est pas l addition des réponses pour la surdité et pour la déficience visuelle. Cette situation nécessite d apporter une réponse individualisée et experte face à une situation particulière. Les centres ressources répondent à ces besoins. Conclusion Le concept de handicap rare est encore mal connu. Les particularités de prise en charge liées à cette situation nécessitent un repérage précis de ces enfants, afin de les aider au mieux. 9

10 Association déficience visuelle et troubles des apprentissages : un diagnostic et une prise en charge complexe C. Le Sage Beaudon, Toulouse Introduction Le diagnostic et la prise en charge des troubles des apprentissages (dyspraxie, troubles du langage oral et écrit, troubles de l attention et hyperactivité, troubles envahissants du développement) ont été facilités par la mise en place de centres de référence de diagnostic et d orientation thérapeutique. Matériel et méthode Nous rapportons plusieurs cas d enfants déficients visuels, pris en charge dans un institut spécialisé et en intégration scolaire, souffrant de troubles des apprentissages. Résultats Nous avons ainsi mis en évidence la difficulté diagnostique de ces troubles et la façon dont notre prise en charge a été adaptée. Discussion La situation des enfants présentant un trouble des apprentissages associé à une déficience visuelle est complexe. En effet, ces troubles peuvent être attribués à tort à la déficience visuelle et le diagnostic retardé, la prise en charge pouvant être incomplète et non adaptée. La prise en charge nécessitera des compétences particulières des rééducateurs, qui devront en plus de leur domaine professionnel propre, prendre en compte la dimension visuelle, qui va parfois interférer dans les techniques utilisées. En effet, le support visuel est souvent utilisé en ergothérapie, en psychomotricité, en orthophonie Conclusion Les troubles des apprentissages peuvent être présents chez les enfants déficients visuels. La malvoyance complique alors le diagnostic et la prise en charge de ces troubles. Une bonne coopération pluridisciplinaire prendra alors tout son sens, afin d aider au mieux ces enfants. 10

11 Utilisation du logiciel WINROP pour le dépistage de la rétinopathie du prématuré L. Lequeux, Toulouse But : Evaluer la prédictibilité du logiciel en ligne WINROP pour le dépistage de la rétinopathie du prématuré dans le service de néonatologie du CHU de Toulouse Matériel et méthodes : Le dépistage de la rétinopathie des prématurés est réalisé chez tous les nouveaux nés d âge gestationnel inférieur ou égal à 32 semaines d aménorrhées et/ou avec un poids de naissance inférieur ou égal à 1500g par un examen du fond d œil répété jusqu à 36 semaines d aménorrhées. L évolution du poids en fonction de l âge gestationnel a été analysée rétrospectivement par l algorithme WINROP entre novembre 2010 et novembre Une prise de poids anormale déclenche une alarme qui signale le risque de développer une rétinopathie. Résultats : 324 prématurés nés en moyenne à 29 semaines d aménorrhées ( ) et avec un poids de naissance moyen de 1325g ( ) ont été inclus dans l étude. 13 ont présenté une rétinopathie de stade 1 à stade 3 (4%). Une alarme WINROP a été déclenchée pour 81 enfants (25%). Tous les prématurés ayant présenté une rétinopathie avaient été identifié à risque par le logiciel WINROP. Conclusion : Dans notre cohorte, le logiciel WINROP permet de détecter avec fiabilité les prématurés à risque de développer une rétinopathie. La validation de son utilisation permettrait de réduire considérablement le nombre inutile d examens du fond d œil. 11

12 Injection intravitréenne d anti-vegf dans les formes sévères de rétinopathie du prématuré : présentation et évolution de 3 cas. E. Martin, G. Le Meur, O. Lebreton, A. Barjol, P. Dureau, G. Caputo, M. Weber Introduction : L injection intravitréenne d un anti-vegf chez les enfants présentant une rétinopathie du prématuré (ROP) sévère, est discutée comme une alternative thérapeutique au traitement laser de référence. Nous présenterons ici, les cas de 3 prématurés ayant bénéficié de ces injections, afin d évaluer leur évolution ophtalmologique et générale. Matériel et méthode : 3 enfants présentant des formes sévères de ROP, au-delà du stade 3+ compris, ont reçu des injections d anti-vegf dans notre centre entre mai 2011 et septembre La molécule utilisée était du bevacizumab à la dose de 0,625 mg soit 0,025ml par œil, injecté entre 2,5 et 3mm du limbe. L évolution de ces enfants a été analysée rétrospectivement à la fois sur les photos du fond d œil (RetCam) et sur les dossiers médicaux. Résultats : les 3 cas sont exposés. Discussion : Ce traitement, hors AMM, a déjà montré son efficacité mais n a évidemment pas fait la preuve de son innocuité. Ces 3 enfants reflètent la variabilité de la réponse aux injections intravitréennes d antivegf dans des cas de ROP sévères. Ce traitement a montré son efficacité dans les stades 3+ et ses avantages sur le plan ophtalmologique par rapport au traitement par laser. Cependant chez nos 2 patients présentant un stade plus évolué, ce traitement n a pas suffit pour stabiliser l évolution de leur rétinopathie. Conclusion : L injection d antivegf dans les formes sévères de rétinopathie du prématuré est un apport majeur dans la prise en charge de ces enfants. Il convient maintenant de déterminer plus précisément la place de ce geste thérapeutique, ses limites et ses risques. 12

13 Signe de l'anesthésie générale et strabisme divergent Chloé Turpin, Alice Zamora, Guylène Le Meur, David Lassalle, Pierre Lebranchu, Françoise Lavenant, Alain Péchereau (Nantes) Introduction Le signe de l'anesthésie générale est encore mal connu. Matériel et méthodes Dans cette étude monocentrique nous avons étudié la variation de la déviation sous anesthésie générale des strabismes divergents. 45 strabismes divergents naïfs de toute chirurgie et sans élément vertical associé ont été inclus. La déviation horizontale a été évaluée par la barre de prismes, méthode de référence et par la méthode photographique du ratio à l état de veille et sous anesthésie générale avant la chirurgie. La variation de la déviation entre l état de veille et sous anesthésie générale a été mesurée. Résultats A l état de veille, les angles mesurés par la méthode photographique du ratio étaient significativement moins grands que ceux mesurés à la barre de prismes (p<0,0001). Les angles mesurés sous anesthésie générale étaient significativement moins grands que ceux mesurés à la barre de prismes (p<0,0001) mais identiques à ceux mesurés par la méthode photographique à l état de veille (p=0,6447). Enfin, la déviation sous anesthésie générale était mieux déterminée par la déviation photographique à l état de veille (R2=0,44) que par la déviation mesurée à la barre de prismes (R2=0,11). Discussion La diminution de l angle des strabismes divergents sous anesthésie générale serait-elle liée à un mécanisme de divergence actif ou aurions-nous créé un «monstre statistique»en ne distinguant pas les exotrophories/tropies des exotropies pures? Conclusion Nous répondrons à cette question par une analyse plus détaillée de nos données. 13

14 Signe de l'anesthésie générale et strabisme convergent A. Zamora, C.Turpin, G. Le Meur, P. Lebranchu, F.Lavenant, A. Péchereau (Nantes) Introduction : Le plan opératoire dans la chirurgie du strabisme repose sur la mesure de l angle de la déviation strabique à l état de veille et sous anesthésie générale curarisée en per opératoire car elle permet de distinguer la part statique et dynamique de la déviation. Materiels et méthode : Nous avons analysé la variation d angle, entre état de veille et sous anesthésie générale, de strabismes convergents purs (sans verticalité, ni chirurgie préalable). Pour chaque patient, la déviation a été mesuré lors d une consultation préopératoire aux prismes et par la méthode photographique du ratio à l état de veille et sous anesthésie générale curarisée. Résultats : 75 patients ont été inclus. L angle mesuré à l état de veille aux prismes était de 17,6±6,4 degrés en vision de loin et de 17,1±6,4 degrés par la méthode photographique. Sous anesthésie générale, il était de 8,4±7,1 degrés, significativement inferieur aux angles mesurés à l état de veille quelque soit la méthode de mesure (p<0,0001). A l état de veille il n a pas été mis en évidence de différence significative entre les mesures aux prismes en vision de loin et par la méthode photographique. Discussion : On constate sous anesthésie générale une diminution de la déviation par rapport à l état de veille, en accord avec la littérature. Conclusion : La mesure photographique est une méthode fiable d évaluation de l angle à l état de veille, ses mesures sont plus fortement associées aux mesures sous anesthésie générale que les mesures aux prismes à l état de veille. 14

15 Corrélation radio-clinique dans les troubles oculomoteurs dysthyroïdiens C. Bok-Beaube, F. Heran, ML Herdan, S. Morax, O. Galatoire (Paris) Introduction: L objectif de ce travail est d étudier la correlation entre les troubles oculomoteurs cliniques et l aspect des muscles à l imagerie dans les orbitopathies dysthyroïdiennes, afin de déterminer si ces examens peuvent aider notre prise en charge. Méthodes : L orbitopathie dysthyroïdienne (OD) évolue en deux phases. La première phase est inflammatoire, le traitement est médical. La seconde phase est séquellaire, c est le temps de la prise en charge chirurgicale. Nous présentons deux études concernant chacune une de ces deux phases. Les patients ont bénéficié d IRM et de Scanner, techniques d imagerie usuelles dans l OD. Résultats : La première étude montre une forte corrélation entre la diplopie et les modifications musculaires observées en IRM. Nous observons également que dans 89% des OD ne présentant pas de signes inflammatoires cliniques, l IRM met en évidence des signes d une inflammation orbitaire. Dans la seconde étude, nous trouvons une constante corrélation entre le type de déviation et l atteinte musculaire concernant les muscles droits, pas de corrélation significative entre l atteinte des muscles obliques et la torsion. Nous ne retrouvons pas de corrélation entre l importance de la déviation et le degré d hypertrophie musculaire. Discussion et Conclusion : L imagerie est utile à notre prise en charge. En période inflammatoire l IRM est indispensable à la décision thérapeutique. En période séquellaire, l imagerie nous aide de façon qualitative à identifier les muscles atteints. Cependant, de façon quantitative, le geste chirurgical reste lié à l état préopératoire adapté au test d élongation musculaire per opératoire. 15

16 L angle-cible en chirurgie des strabismes concomitants. A. Roth, Genève Point de départ : La déviation d un strabisme concomitant est par essence variable. Quel est dès lors l angle ou quels sont les angles qu il convient de corriger pour réaliser la correction de toutes les composantes de la déviation et obtenir le meilleur résultat possible à long terme? Données et méthode : La déviation strabique est à décomposer en ses deux facteurs constitutifs : l angle de base et les facteurs de variabilité surajoutés; ceux-ci sont de deux ordres, les mouvements réducteurs dits compensatoires de Bielschowsky et les mouvements majorants de l excès de convergence. Patients et données selon le type de strabisme : L angle de base, binoculaire mais sans intervention des facteurs de variabilité, est l angle-cible («target angle» des auteurs de langue anglaise), celui que doit viser la correction chirurgicale. En cas d exotropie primitive, intermittente ou constante, il doit être mesuré en excluant les mouvements de compensation, c est-à-dire en fixation à 50 m : il correspond par conséquent à l angle maximum. En cas d ésotropie précoce, il doit être évalué en excluant l excès de convergence, c est-à-dire sans fixation : il correspond par conséquent à l angle minimum ; la différence entre l angle maximum et l angle minimum, c est-à-dire l excès de convergence, est en ce cas le deuxième angle «cible». Discussion et conclusion : Les résultats éloignés des opérations de strabisme concomitant dépendent du choix stratégique, du dosage opératoire et de la précision opératoire ; mais ils dépendent d abord de l angle ou des angles qui ont été ciblés. 16

17 Notes sur la table ronde: «Avis d experts» : cas cliniques simples. 17

18 Conférence : Toxine botulique et pathologies oculomotrices R. Gomez de Llano (Madrid) 18

19 Résultats de la chirurgie des strabismes horizontaux à 5 ans C. Turpin, M. Bruneau, M.Laurent, AL Bénistant, M. Kermones, D. Lassalle, G. Le Meur, P. Lebranchu, F.Oger-Lavenant, A. Péchereau, Nantes Introduction Cette étude monocentrique rétrospective a évalué l évolution des patients 5 ans après une chirurgie oculomotrice. Patients et méthodes Les dossiers de 433 patients opérés en 2004 ont été étudiés : caractéristiques du trouble oculomoteur, test d élongation musculaire et plan opératoire, évolution de la déviation horizontale, nécessité d un autre temps chirurgical. Résultats 76% des patients étaient strabiques, 2/3 convergents et 1/3 divergents, autant d exotropies consécutives que primitives. Les données opératoires moyennes des ésotropies primitives étaient les suivantes : TEM DM -0,92mm, recul de 2,09mm, TEM DL +3,59mm, plicature de 5,34mm. La chirurgie a permis de diminuer la déviation moyenne de 32D à 13D à 6 mois, 14D à 1 ans et 9D à 5 ans. Les données opératoires des exotropies primitives étaient les suivantes : TEM DL - 0,40mm, recul de 4,13mm, TEM DM +2,07mm, plicature de 5,68mm. Les résultats étaient: de -26D avant la chirurgie à -7D à 6 mois, -13D à 1 ans et -9D à 5 ans. Dans les 5 ans suivant la première chirurgie 16/52 ésotropies et 1/14 exotropies ont bénéficié d au moins une intervention additionnelle. Discussion Nous présentons les éléments de notre étude par rapport aux données de la littérature concernant les résultats de la chirurgie des strabismes horizontaux. Conclusion Les résultats de cette série sont encourageants puisque 5 ans après une première chirurgie oculomotrice, la majorité des ésotropies et exotropies primitives présentait un angle non chirurgical. 19

20 La place de la chirurgie dans le traitement des ésophories décompensées N.Gambarelli, G.Pinto, C.Lagrange, Marseille Introduction : le but de ce travail est de faire le point sur la prise en charge des ésophories, et en particulier des formes invalidantes, nécessitant un geste chirurgical. Sujets et méthodes : les auteurs rapportent une série de patients suivis et traités pour ésophorie. Si les formes les plus courantes réagissent bien au traitement classique (correction optique totale, équipement prismatique), certains cas ont tendance à s aggraver et à se compliquer d une diplopie de plus en plus gênante. Une prise en charge chirurgicale est alors évoquée. Nous insistons sur l importance de l évaluation préopératoire, avec essais soigneux de prismes, afin de ne pas sousestimer la déviation à corriger. La technique chirurgicale et son dosage sont précisés. Résultats Ils sont analysés, avec un recul minimum de deux ans. La discussion insiste sur quelques points précis : - Y a-t-il une place pour la rééducation orthoptique? - Y a-t il une place pour la toxine botulique? - La chirurgie doit-elle être prudente ou généreuse? - Quelles sont réellement les bonnes indications? Nous nous rapprochons des données de la littérature. Conclusion : dans les ésophories décompensées, la chirurgie a une place de choix, amenant aux patients un confort considérable. 20

21 Hypertropie post opératoire après chirurgie de l ésotropie chez le myope fort Mitra Goberville, Michele Nguyen, Vanessa Sebag, Aline Kostas Introduction: Au cours des quinze dernières années, la meilleure compréhension de la physiopathologie de l ésotropie chez le myope fort a permis l adaptation des techniques chirurgicales. Sujets et méthodes: Une étude rétrospective de 39 patients opérés entre 2003 et 2011 d ésotropie associée à une myopie forte a été menée. Les déviations pré et post opératoires ont été évaluées. Les personnes opérées ont été interrogées sur leur satisfaction. Les cas d hypertropie secondaire à la chirurgie ont été analysés. Résultats: 30 cas de chirurgie de rehaussement du droit latéral selon la technique de Kaufmann ont été pratiqués. Dans 9 cas la technique de rapprochement du droit supérieur et du droit latéral ou «looping» selon Yokoyama a été utilisée. La déviation préopératoire horizontale moyenne était de 50 Dioptries de loin et 55 dioptries de près. L hypotropie pré opératoire moyenne était de 19 dioptries. En post opératoire la déviation horizontale moyenne était de 16 dioptries de loin et 14 dioptries de près. L hypotropie post opératoire moyenne était de 8 dioptries avec dans 4 cas une hypertropie majeure secondaire. Discussion : Il faut être vigilant quant à la quantification du geste, qui n est pas encore bien établie. Lorsque la myopie forte est bilatérale le risque est une hypertropie importante post opératoire. Les reprises chirurgicales après ces interventions peuvent être très compliquées. Conclusion : Les nouvelles techniques chirurgicales utilisées pour traiter l ésotropie au cours des myopies fortes permettent d améliorer le pronostic. 21

22 Reculer un droit médial, un geste simple? A. Péchereau, P. Lebranchu, C. Turpin, A. Zamora, F. Oger-Lavenant, C. Rémy, Nantes Objet : analyser la technique de recul d un muscle droit médial pour augmenter son efficacité et sa prédictibilité. Matériel et méthode : réflexions à partir des données de la physiologie et des constats peropératoires. Résultats et discussion : reculer un muscle droit médial est un geste banal en chirurgie strabologique. Cependant pour être efficace et reproductible, ce geste doit suivre plusieurs règles : Respecter la physiologie : Le droit médial étant un pur adducteur, le geste ne doit pas créer d autres effets. Deux points nécessitent la vigilance: Respect de la largeur du muscle Recul suivant la ligne d action. Respect de la longueur musculaire : La chirurgie ne doit pas associer une résection au recul. Le recul doit être le même tout le long de la néoinsertion musculaire. Pour atteindre cet objectif, il faut éviter l absence d arc au niveau de la néoinsertion. La quantité réalisée de recul doit bien être la quantité prévue. Les constatations per-opératoires montrent des résultats déroutants qui ont des conséquences pratiques. Conclusion : reculer un droit médial n est pas un geste simple. Il doit être fait suivant des règles très précises pour permettre une évaluation intra-individuelle et interindividuelle. La réalité montre que ces règles ne sont pas respectées. 22

23 Notes sur la table ronde : «Avis d experts» : cas complexes 23

24 Association Francophone de Strabologie et d'ophtalmologie Pédiatrique (AFSOP) Président : Pr Danièle DENIS Trésorier : Dr Emmanuel BUI QUOC Secrétaire Générale : Dr Corinne BOK-BEAUBE Secrétaire scientifique : Dr Dominique THOUVENIN Prochains congrès de l AFSOP: Automne 2013 : Symposium AFSOP au cours de l ESA, Marseille 04 au 07 septembre 2013 Printemps 2014 : au cours de la SFO Consultez régulièrement le site : Association Francophone de Strabologie et d Ophtalmologie Pediatrique Président: Danièle Denis 24

25 Secrétaire générale: Corinne Bok-Beaube Secrétaire trésorier: Emmanuel Bui Quoc Secrétaire scientifique: Dominique Thouvenin Demande d admission / renouvellement de cotisation à l AFSOP 2013 Montant de cotisation 125 : Membres titulaires médecins 75 : Membres associés : orthoptistes, biologistes, physiologistes, biophysiciens, électroniciens, psychologues, psychotechniciens et toute personne morale 625 : Membre bienfaiteur Exemption de cotisation : Membre donateur ayant fait un don de matériel ou d au moins 625 Exemption de cotisation : Membre invité (étudiant en médecine se spécialisant en ophtalmologie, étudiants en orthoptie) sur présentation d une attestation de leur chef de service/d une carte d étudiant Titre :. Nom :.. Prénom : Adresse :... Code Postal :... Ville :.Pays... Téléphone :../.. /.. Adresse électronique :...@... Je, soussigné(e),..après avoir pris connaissance des statuts de l AFSOP, demande mon admission à l AFSOP et m engage à me conformer aux dispositions des statuts ainsi qu aux décisions du comité directeur. Date : Signature : Parrainage de deux membres actifs de l AFSOP (uniquement en cas de première adhésion ; les anciens membres de l AFSOP n en ont pas besoin) Nous soutenons la demande d admission à l AFSOP du candidat ci-dessus Nom : Prénom :. Signature : Le : Nom : Prénom :. Signature : Le : A adresser au trésorier de l AFSOP : Dr Emmanuel Bui Quoc, 347 rue Saint Martin, PARIS, avec le montant de la cotisation annuelle (chèque à l ordre de l AFSOP ; ou par virement ; coordonnées à demander au trésorier : Informations : -Les cotisations à l AFSOP permettent à l association de faire face à ses frais annuels (site, organisation du congrès de mai lors de la SFO dont l entrée est gratuite, impressions des programmes, prix de la meilleure communication ), sachant que les membres du comité directeur sont entièrement bénévoles. Les membres de l AFSOP à jour de cotisation ont accès à l espace membre du site où ils ont accès aux communications des congrès de printemps et d automne ; ils bénéficient d un tarif préférentiel au congrès d automne. -Il appartient à chacun s il le souhaite de s inscrire à la «lettre d information de l AFSOP» sur le site ww.afsop.fr afin de recevoir les informations en particulier relatives aux congrès de l AFSOP -Conformément à l article 34 de la loi "Informatique et libertés" du 6 janvier 1978, vous disposez d un droit d accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent. Secrétariat et correspondance : Dr C Bok-Beaube, 9 Avenue Secrétan, Paris. Site AFS : 25

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Dossier de presse 2013-2014. Contact presse Barbara Brelle-Lenoir 09.52.20.47.16 b.lenoir@passerelle-esc.com

Dossier de presse 2013-2014. Contact presse Barbara Brelle-Lenoir 09.52.20.47.16 b.lenoir@passerelle-esc.com Dossier de presse 2013-2014 Contact presse Barbara Brelle-Lenoir 09.52.20.47.16 b.lenoir@passerelle-esc.com 1 Sommaire L Association Passerelle p.3 Le Concours Passerelle p.5 2013 : un concours réussi

Plus en détail

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de

Plus en détail

Les troubles spécifiques des apprentissages

Les troubles spécifiques des apprentissages Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

FORMATEURS A L ENSEIGNEMENT DE LA MEDECINE SUR SIMULATEUR PROGRAMME 2014-2015

FORMATEURS A L ENSEIGNEMENT DE LA MEDECINE SUR SIMULATEUR PROGRAMME 2014-2015 DU FORMATEURS A L ENSEIGNEMENT DE LA MEDECINE SUR SIMULATEUR PROGRAMME 2014-2015 Jeudi 13 Novembre 2014 Module 1 J1 : Pédagogie/Erreur 9H30 10h30 Accueil Présentation 11H00 12h30 Intérêt de la Simulation

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE POLITIQUE POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE Responsabilité Direction générale adjointe aux affaires administratives Direction

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

Programme Scientifique

Programme Scientifique Programme Scientifique L AFTAD est un organisme de FMC Agrément n 100381 Le Congrès Les Journées de l AFTAD donne droit à 12 crédits de FMC au titre de la Formation Présentielle, pour les médecins libéraux

Plus en détail

Trousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue

Trousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue Trousse média 2015 Soyez vu... nous sommes lus! La revue Imprimé 10 raisons profitables d investir dans la revue l Optométriste 1. Bénéficiez d une excellente visibilité auprès de l ensemble des optométristes

Plus en détail

Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale

Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale

Plus en détail

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein. OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière

Plus en détail

Service évaluation des actes professionnels

Service évaluation des actes professionnels TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS

Plus en détail

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat

Plus en détail

DEMANDE DE BOURSE ET/OU PRÊT D ETUDES 2015-2016

DEMANDE DE BOURSE ET/OU PRÊT D ETUDES 2015-2016 Avenue de France 8, 1951 Sion Heures d ouverture Tél. 027 606 40 85 Fax 027 606 40 84 Le lundi et mardi : e-mail : bourses-formations@admin.vs.ch 08h30-11h30 et 14h00-17h00 Internet :www.vs.ch/bourses

Plus en détail

MODALITES DE SELECTION 2011

MODALITES DE SELECTION 2011 MODALITES DE SELECTION 2011 LICENCE PROFESSIONNELLE CREATIONS ET DEVELOPPEMENTS NUMERIQUES EN LIGNE GOBELINS, l'école de l'image Site Paris - 73 boulevard Saint Marcel - 75013 PARIS tél. 01 40 79 92 12

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP

MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un

Plus en détail

ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413

ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413 ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE page 1 Sécurité Sociale I - HONORAIRES MEDICAUX Consultations et visites de généralistes et spécialistes Actes de chirurgie en cabinet Actes techniques médicaux (endoscopie,

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

LE(s) HANDICAP(s) : MOTS & CONCEPTS

LE(s) HANDICAP(s) : MOTS & CONCEPTS LE(s) HANDICAP(s) : MOTS & CONCEPTS 1 Le Concept du handicap Une personne est handicapée quand : souffrant d'une déficience pérenne, et devant affronter un environnement inadapté, elle ne peut satisfaire

Plus en détail

Mieux connaître les publics en situation de handicap

Mieux connaître les publics en situation de handicap Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent

Plus en détail

PLAQUETTE D INFORMATION

PLAQUETTE D INFORMATION Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements

Plus en détail

Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes

Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes QUESTIONNAIRE D ENQUETE SUR LES BESOINS RELATIFS A L ACCUEIL DES ENFANTS DEFICIENTS INTELLECTUELS Ce

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

Formation d Auxiliaire ambulancier

Formation d Auxiliaire ambulancier Formation d Dossier d inscription Site de Lyon L Ambulancier assure les transports sanitaires et la surveillance de patients stables à bord des Véhicules Sanitaires Légers. Il est le second membre de l

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

DIPLÔME UNIVERSITAIRE

DIPLÔME UNIVERSITAIRE CANCER QUALITE DE VIE Université Montpellier 1 UFR STAPS Montpellier Centre d accueil et de bien-être pour les femmes atteintes de cancer ET DIPLÔME UNIVERSITAIRE Activité physique et nutrition Etincelle

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

SOMMAIRE. Editorial... p 03. La SFSCMFCO en quelques mots... p 05. A propos du 51e Congrès de la SFSCMFCO... p 06. Comités... p 08

SOMMAIRE. Editorial... p 03. La SFSCMFCO en quelques mots... p 05. A propos du 51e Congrès de la SFSCMFCO... p 06. Comités... p 08 SOMMAIRE Editorial... p 03 La SFSCMFCO en quelques mots... p 05 A propos du 51e Congrès de la SFSCMFCO... p 06 Comités... p 08 Informations pratiques... p 09 Sponsoring Formules Stands... p 10 Sponsoring

Plus en détail

THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL

THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La

Plus en détail

Définition de la dyspraxie

Définition de la dyspraxie E.BINTZ Définition de la dyspraxie Dys : manque en grec Praxie : action, mouvement, adaptation du mouvement au but recherché C est un trouble de la planification et de la coordination des mouvements qui

Plus en détail

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement : DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La

Plus en détail

Santé Travail Lille 2014

Santé Travail Lille 2014 Santé Travail Lille 2014 Premier carrefour d échanges entre les professionnels de santé au travail et le monde des entreprises Du 3 au 6 juin 2014 Lille Grand Palais Lille Grand Palais -1 Bd des Cités

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

FORMATIONS 2014. Bienvenue à l Invacademy!

FORMATIONS 2014. Bienvenue à l Invacademy! FORMATIONS 2014 Conscient que les besoins dans le domaine du handicap et les réponses à ces besoins sont en pleine évolution, le centre de formations Invacademy vous propose des formations commerciales

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Unité de formation professionnelle du Ceras

Unité de formation professionnelle du Ceras Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes

Plus en détail

ASSOCIATION RENCONTRES AFRICAINES ASSOCIATION LOI 1901 Sous-Préfecture de Grasse n 91/09753 STATUTS

ASSOCIATION RENCONTRES AFRICAINES ASSOCIATION LOI 1901 Sous-Préfecture de Grasse n 91/09753 STATUTS ASSOCIATION RENCONTRES AFRICAINES ASSOCIATION LOI 1901 Sous-Préfecture de Grasse n 91/09753 STATUTS ARTICLE 1 DÉNOMINATION Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par

Plus en détail

Attestation de Formation Universitaire 2012-2013. «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire»

Attestation de Formation Universitaire 2012-2013. «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire» Attestation de Formation Universitaire 2012-2013 «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire» Formation Théorique (2 jours) par Visioconférences Bordeaux, Paris, Nice, Tours, Rennes,

Plus en détail

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Cecile Meignant. Infographie - Illustration - photographie. 42 ans. cecile.meignant@wanadoo.fr 06 88 75 07 99

Cecile Meignant. Infographie - Illustration - photographie. 42 ans. cecile.meignant@wanadoo.fr 06 88 75 07 99 Formation a l ESAG (atelier Met de Penninghen), Paris en 5 ans Salariée en milieu associatif : responsable de communication et monteuse de projets culturels En Free lance depuis 7 ans Cecile Meignant 42

Plus en détail

Offre santé 2014 FGMM-CFDT

Offre santé 2014 FGMM-CFDT SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2014 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

5 ème. 14 décembre 2013. édition. fmc. www.aop-acr.fr. PALAIS des CONGRÈS de PARIS DPC. P R E P R O G R A M M E 5 e SESSION Orateurs pressentis

5 ème. 14 décembre 2013. édition. fmc. www.aop-acr.fr. PALAIS des CONGRÈS de PARIS DPC. P R E P R O G R A M M E 5 e SESSION Orateurs pressentis Dossier Partenaires 2013 5 & A t e l i e r s d R 2O1 14 décembre 2013 PALAIS des CONGRÈS de PARIS A t e l i e r s d P R E P R O G R A M M E 5 e SESSION Orateurs pressentis a g r é é FMC fmc agrément agrément

Plus en détail

Education Thérapeutique (ETP)

Education Thérapeutique (ETP) Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline

Plus en détail

Université d été de l AFORPEL 30 juillet 4 août 2012. La Gestalt et les «état limite» (Borderline)

Université d été de l AFORPEL 30 juillet 4 août 2012. La Gestalt et les «état limite» (Borderline) La Gestalt et les «état limite» (Borderline) Les patients qui souffrent du trouble borderline (plus de 2% de la population active, 10% des consultations externes des médecins psychiatres et 15 à 20% des

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap

Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap Ce questionnaire s inscrit dans le cadre d une démarche de travail collectif des services de la ville en charge de l accueil

Plus en détail

1 Définition d un ERP et ses obligations. 2 Règles générales applicables aux ERP. 3 Les possibilités de dérogation

1 Définition d un ERP et ses obligations. 2 Règles générales applicables aux ERP. 3 Les possibilités de dérogation SOMMAIRE SOMMAIRE 1 Définition d un ERP et ses obligations 2 Règles générales applicables aux ERP 3 Les possibilités de dérogation Accessibilité aux handicapés : quel handicap? Accessibilité aux handicapés

Plus en détail

ENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U

ENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U ENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U Pr. Philippe DUVERGER CHU ANGERS SEMINAIRE CLINIQUE - Psychanalyse avec les enfants 2 ème et 4 ème jeudi de chaque mois de septembre 2007 à juin 2008 Etudes

Plus en détail

L agénésie isolée du corps calleux

L agénésie isolée du corps calleux L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Cette publication constitue un instantané

Cette publication constitue un instantané Un «instantané» Un «instantané» Cette publication constitue un instantané des programmes de la Sécurité Sociale, d allocation supplémentaire de revenu de sécurité (Supplemental Security Income, ou SSI)

Plus en détail

prise en charge médicale dans une unité de soins

prise en charge médicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui

Plus en détail

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9 Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE 2014 RELAIS EXP A T L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition

Plus en détail

Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA

Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE

Plus en détail

B. Le rapprochement bancaire

B. Le rapprochement bancaire D autres signataires peuvent éventuellement être désignés mais il n est pas prudent de multiplier inconsidérément le nombre de personnes habilitées à effectuer des règlements sur le compte du comité d

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015

PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi Savoirs Des Orthophonistes Formation Ligériens PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi - 9 rue de la Calade - 42660 ST-GENEST-MALIFAUX RENSEIGNEMENTS PRATIQUES

Plus en détail

Troubles «dys» de l enfant. Guide ressources pour les parents

Troubles «dys» de l enfant. Guide ressources pour les parents Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Direction de la collection Thanh Le Luong Édition Jeanne Herr Institut national

Plus en détail

Masseur Kinésithérapeute

Masseur Kinésithérapeute CP Concours Prépa Santé Optimum : 896 h/an Access : 700 h/an de septembre à mai Masseur Kinésithérapeute Le Métier de Masseur Kinésithérapeute Le kinésithérapeute assure la rééducation des personnes atteintes

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

Collectivités Territoriales

Collectivités Territoriales Complémentaire Santé Collectivités Territoriales Pour votre mutuelle, choisissez un professionnel PRESENT SUR LE TERRAIN! CONTRAT LABellISÉ Une présence territoriale depuis 1837 Le 10 novembre 2011 est

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES

PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES Le permis de conduire G Le permis de conduire G Depuis le 15 septembre 2006, un permis de conduire spécifique est exigé pour la conduite des tracteurs agricoles

Plus en détail

L implantologie au quotidien

L implantologie au quotidien CYCLE DE FORMATION L IMPLANTOLOGIE DENTAIRE AVEC LE SYSTEME IMPLANTAIRE STRAUMANN 19 23 Mai 2014 Bâle - Suisse L implantologie au quotidien Conférenciers Dr Jacques Penaud Docteur en Chirurgie Dentaire,

Plus en détail

L EUROPE DE LA PAIX ET DE LA DEMOCRATIE

L EUROPE DE LA PAIX ET DE LA DEMOCRATIE L EUROPE DE LA PAIX ET DE LA DEMOCRATIE «Unie dans la diversité», cette devise signifie qu au travers de l Union européenne, les européens unissent leurs efforts en faveur de la paix et de la prospérité.

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire

Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles

Plus en détail

Séjour de Conduite Accompagnée 2015

Séjour de Conduite Accompagnée 2015 Séjour de Conduite Accompagnée 2015 La commission jeunesse vous propose cette année encore des séjours de conduite accompagnée. Ce séjour s adresse aux adolescents de 15 et 2 mois à 17 ans. Ce stage de

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE

DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d inscription en 2 ème ou 3 ème année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04

Plus en détail

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014 UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

le guide pratique santé

le guide pratique santé le guide pratique santé introduction En quelques points AG2R-MACIF Prévoyance est une institution de prévoyance issue du partenariat en assurances collectives santé et prévoyance entre le groupe MACIF

Plus en détail