Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises"

Transcription

1 Faire appel à la créativité de tous pour récolter de bonnes idées et les exploiter! Éditorial InfoPME est publié par le Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises (LaRePE) Institut de recherche sur les PME Université du Québec à Trois-Rivières Alors que l innovation est devenue l enjeu de la compétitivité et même de la survie des entreprises, beaucoup se demande encore comment peut-on la stimuler afin de devenir une entreprise innovante. Doit-on investir dans des technologies sophistiquées de production? Doit-on consacrer une grande part de nos ressources financières à la R-D? Doit-on implanter de nouveaux processus de gestion ou de production? Il est possible qu il faille répondre par l affirmative à ces interrogations, mais cela n est peut-être pas essentiel ou même prioritaire si l entreprise ne fait pas appel d abord, à la créativité et aux connaissances de ses propres ressources humaines qui constituent l actif immatériel le plus précieux des entreprises innovantes. Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises Bulletin InfoPME Le bulletin InfoPME a pour objectif de présenter des statistiques fidèles et «à jour» sur l état des PME au Québec, des chroniques sur des thèmes d actualité importants et des notes sur divers phénomènes touchant les PME afin de fournir des informations pertinentes aux entrepreneurs, aux conseillers économiques, aux consultants, aux banquiers et aux chercheurs intéressés au développement de ces entreprises. Il est publié trimestriellement et disponible sur le site

2 Faire appel à la créativité de tous pour récolter de bonnes idées et les exploiter! CAMILLE CARRIER, D. SC. de Gestion Professeure Département des Sciences de la gestion, UQTR Pour se familiariser avec la créativité, le lecteur peut consulter le livre suivant : Carrier, C. (1997), De la créativité à l intrapreneuriat, Collection PME titulaire, et Entrepreneuriat, Québec : Presses de l Université du Québec, 154 pages. Créer, innover et entreprendre, tels sont maintenant les impératifs de toutes les organisations. Dès lors, la grande richesse des entreprises réside dans l intelligence et la créativité de leurs employés. L auteure nous invite à redécouvrir la créativité et nous montre comment elle peut donner lieu à des réalisations concrètes, fertiles et fructueuses. À l heure où le changement est devenu une constante et où les bonnes idées des concurrents sont devenues plus menaçantes que leurs ressources matérielles et financières, la créativité devient un impératif incontournable pour l entreprise qui veut se démarquer et conserver une bonne position concurrentielle. L entreprise doit miser sur le principe de «l intelligence ajoutée» en utilisant au maximum les connaissances, l expertise, l intelligence et l imagination de ses ressources humaines. Après tout, ce sont les employés qui, encore plus et mieux que les gestionnaires, exécutent quotidiennement le travail. Ainsi, ils sont à même de voir ce qui pourrait être amélioré dans les modes de production ou de service, ce qui entraîne du gaspillage, ce qui frustre les clients, ce qui pourrait permettre de réduire les coûts ou les délais; bref, ils sont susceptibles de voir mieux encore que tout consultant, si avisé soit-il, toutes les améliorations possibles. Malgré ces constats, il semble malheureusement que plusieurs entreprises aient encore de la difficulté à favoriser, reconnaître et exploiter la créativité de leurs employés. Dans un ouvrage récent, Robinson et Schroeder lancent un message percutant à cet égard : «Que penseront les générations futures de notre pratique de la gestion? Que considéreront-elles comme notre plus remarquable échec? Nous sommes convaincus qu elles nous accuseront d avoir gaspillé l une des ressources les plus importantes disponibles : les idées des employés» 1. Effectivement, dans encore trop d entreprises, on confine les employés dans un rôle d exécutants; ils doivent alors parfois regarder avec impuissance et en silence leur entreprise qui rate des opportunités, perd des clients ou gaspille ses ressources. Il est loisible de croire pourtant que le problème n est plus de convaincre les entreprises de la valeur des idées de leurs employés mais plutôt de les aider à identifier des moyens pour les stimuler et les faire émerger, de façon à en exploiter tout le potentiel. La mise en œuvre d un programme de suggestions constitue l un de ces moyens. Au cours du présent article nous examinerons différents aspects relatifs à la mise sur pied et au succès de ce type d approche pour solliciter les suggestions des employés. Le programme de suggestions : quoi, pour qui, pourquoi?! Un programme de suggestions formalisé invite les employés, ou des groupes d employés, à soumettre toute idée susceptible d améliorer quelque aspect que ce soit des activités de l entreprise, d engendrer des économies ou des bénéfices supplémentaires ou mieux encore d amener l entreprise à innover au plan de son produit ou de son service. Les idées soumises sont par la suite évaluées par un comité formé à cette fin et les idées jugées les meilleures sont récompensées et mises en œuvre. Un des grands avantages du programme de suggestions est qu il lance un appel à tous. En effet, dans une telle approche, tous les employés, quelle que soit leur fonction dans l organisation, sont invités à faire connaître une ou des idées de toute nature pouvant amener l entreprise à améliorer divers éléments sur l ensemble de sa chaîne de valeur. Ce faisant, on ne se limite plus à croire qu il y a ça et là dans l entreprise, quelques champions ou héros, souvent difficiles à repérer, et qui un bon matin vont offrir une idée géniale! Cela est important, car ce qui est le plus susceptible d aider une entreprise à se démarquer résulte plus souvent d une combinaison réussie d une foule de petites améliorations en synergie les unes avec les autres, favorisant ainsi non pas la GRANDE innovation mais plutôt ce que Pierre-André Julien appelle l innovation globale 2. L entreprise qui apporte simultanément une foule de petites améliorations menées sur de multiples fronts à la fois devient conséquemment plus difficile à imiter par ses concurrents. Car il ne suffit pas d être créatif aux seuls plans du produit ou des processus de fabrication. Il faut réussir à se démarquer aussi au plan stratégique, dans la conception de modèles d affaires porteurs, dans le choix des partenaires, dans les façons de commercialiser le produit, etc. 2

3 On parle beaucoup de l importance et des avantages supposés de ces programmes de suggestions dans nos volumes de gestion des ressources humaines. Pourtant, il est fascinant de constater qu on retrouve encore très peu d études empiriques permettant de connaître les objectifs réels de ces programmes, les exigences reliées à leur implantation et à leur développement, les types de résultats qu ils permettent aux entreprises d obtenir et leur degré de satisfaction à l égard de cette approche. Pour combler cette lacune et mieux comprendre ce qui se passe dans nos entreprises québécoises à cet égard, une étude 3 a été menée auprès de 22 entreprises manufacturières québécoises ayant mis sur pied de tels programmes. Il est intéressant de noter que la recherche a été menée tant auprès de PME que de plus grandes entreprises et a donc permis d établir certaines comparaisons entre les résultats et pratiques des unes et des autres. Et comme en témoigneront les sections suivantes, la PME semble avoir plus avantage encore que la grande entreprise à favoriser de tels programmes. Des résultats jugés intéressants pour les entreprises de toutes tailles Pour être mieux en mesure de constater les résultats obtenus avec de tels programmes de suggestions, nous avons étudié seulement des entreprises l ayant instauré et activement utilisé depuis et durant au moins deux années complètes. Tant les PME que les grandes entreprises ayant participé à l étude se sont montrées très satisfaites des résultats obtenus par le biais de ces programmes. En effet, dans près de 70 % des cas, on estime le degré de participation des employés au programme comme excellent et allant même bien audelà des attentes initiales. Par exemple, le nombre d idées valables présentées par les employés a varié entre 10 et 40 par année pour les entreprises entre 25 et 150 employés et se situait entre 50 et 300 par année dans les entreprises comptant plus de 200 employés pour la même période. On constate que la plupart des idées soumises concernent les opérations de production ou les processus de travail. La très grande majorité des améliorations proposées et qui ont été primées ont eu pour résultat de diminuer certains coûts d opération, de réduire les temps de production, de raffiner et améliorer les procédés et de résorber les taux d accidents ou les risques de bris. Parmi tous les types d idées émises par les employés, ce sont des suggestions concernant l amélioration de la santé et sécurité au travail qui ont fourni les résultats positifs jugés comme les plus importants par les participants à l étude. Ainsi, par exemple, une des entreprises ayant participé à l étude a réussi, à l aide d idées de ce type, à réduire le nombre d accidents de travail de 50% au cours d une même année. Une autre, une PME manufacturière, a réussi à économiser plus de $ en diminuant le nombre d accidents, auparavant très élevé. Quant au pourcentage d idées qui ont été primées, on a observé que plus de 30 % le sont dans la grande entreprise, alors que dans les cas des PME, c est près de 50 % des idées soumises qui ont reçu une reconnaissance. Ce pourcentage d idées retenues peut sembler élevé à première vue. Mais il s avère que les bonnes idées émises sont souvent relativement faciles à implanter et leur mise en œuvre ne requiert pas d investissement majeur dans l entreprise, ce qui en facilite d autant l acceptation. Par surcroît, dans plusieurs cas, l employé qui fait la suggestion possède aussi les compétences pour participer activement à son développement, et est alors invité à y travailler, ce qui semble généralement très apprécié par celui-ci. Dans le cas des PME, les dirigeants interrogés expliquent également ce haut taux d acceptation par les coûts assez faibles qu ils doivent assumer relativement aux récompenses reliées aux idées retenues (comme on le verra plus loin, les primes varient beaucoup dans les PME et la grande entreprise). Des différences entre les pratiques des PME et des plus grandes entreprises Soulignons tout d abord que les grandes entreprises et les PME ayant participé à l étude ont instauré ces programmes avec des objectifs fort différents. En effet, dans la grande entreprise, on vise d abord la réduction des coûts. Plus précisément, on recherche l amélioration des méthodes, des équipements et de leur utilisation, de même que les processus, y compris la procédure administrative. Dans le cas des PME étudiées, les objectifs se voulaient très différents. La plus grande motivation évoquée réside dans le désir des dirigeants concernés de favoriser la responsabilisation et l engagement organisationnel chez leurs employés. On veut que les employés sentent qu on en appelle à leur expérience de leur travail, à leur imagination et à leurs talents. La plupart des dirigeants des PME concernées avaient aussi le souci de soutenir ainsi une politique d innovation affirmée et dynamisante. Les grandes entreprises et les PME se rejoignent cependant dans le sens où dans les deux cas, on ne recherche pas la grande idée qui va mener à une innovation majeure mais plutôt une innovation de type utilitaire basée sur de multiples améliorations en synergie les unes avec les autres. Et comme on l a vu précédemment, on semble obtenir justement ce que l on cherche. 3

4 Au plan des récompenses offertes aux auteurs des meilleures idées, les contributions sont reconnues symboliquement tant dans la grande entreprise que dans la PME. Comme le tableau 1 permet de le constater, ces reconnaissances symboliques peuvent prendre différentes formes, l essentiel demeurant que les «idéateurs» soient reconnus ou félicités publiquement ou plus officiellement. Les gestionnaires de ces programmes jugent généralement important que l ensemble des employés soient informés du succès obtenu par l un de leurs collègues; selon eux, cela peut ainsi créer une certaine émulation et amener d autres employés à vouloir imiter leurs collègues et à contribuer à leur tour au programme éventuellement. Tableau 1 Récompenses offertes Récompenses matérielles Dans la grande entreprise Primes entre 500 $ et $ Dans la PME Primes enter 50 $ et 500 $ Points et cadeaux Récompenses symboliques Tableau d honneur Article dans le journal interne (GE) Cérémonies, célébrations diverses Félicitations formelles de la direction Participation à l implantation de l idée On note cependant une grande différence dans les récompenses offertes aux participants dont les idées sont retenues dans les grandes entreprises et les PME. Un examen du tableau 1 montre bien que lorsque les récompenses sont matérielles ou monétaires, leur valeur est beaucoup plus élevée dans la grande entreprise que dans la PME. Quelques précisions pour interpréter ce tableau : dans le cas des grandes entreprises, la prime est le plus souvent fixée à 15% des économies ou bénéfices supplémentaires nets, calculés sur un an, que la suggestion permet de réaliser. Bien que le tableau indique une valeur maximale de $, dans un cas, elle a été de $. En ce qui concerne la PME, la valeur des primes paraît évaluée de façon beaucoup plus intuitive, à partir du jugement porté sur l importance de l idée, de son impact perçu sur la productivité ou encore des avantages de tous ordres qu elle procure. Il est cependant fascinant de constater qu il n y a aucune relation entre l importance de la prime offerte et la valeur des idées générées par le biais du programme de suggestions. En d autres mots, les idées qui ont permis aux entreprises de générer le plus de bénéfices ou d économies sont fréquemment apparues dans des contextes où les récompenses restaient modestes au plan financier ou même dans certains cas, purement symboliques. Ces résultats nous étonnent moins lorsque l on prend en compte de nombreuses études sur la créativité organisationnelle ayant mis en évidence que la motivation des individus créatifs était essentiellement intrinsèque. Quelques aspects importants mis en évidence par l étude de ces programmes La fréquence avec laquelle on procède à l évaluation des idées vient en tout premier lieu. Certaines entreprises étudiées ne procédaient à l évaluation des idées qu à 3 ou 4 reprises au cours de l année. Fait étonnant : ces délais les plus longs ont surtout été constatés dans les grandes entreprises. Pourtant, elles ont en principe plus de ressources humaines que les PME pour gérer ces programmes. Cette pratique de retarder indûment l évaluation des idées peut nuire à la fois à l entreprise et à l employé. L entreprise a tout avantage à découvrir le plus rapidement possible les bonnes idées dans un contexte où les changements sont aussi rapides. Quant à l employé, il peut lui paraître étrange et même dévalorisant qu on ne se s occupe pas de ses idées avec plus de diligence et d enthousiasme. On sait que le geste est plus important que la parole lorsqu il s agit d apprécier l importance que l on nous accorde dans une organisation. Les entreprises ayant obtenu les meilleurs résultats avec ces programmes évaluaient les idées de façon régulière et, dans la plupart des cas, dans un délai de 3 à 4 semaines suivant celle de leur émission. Il semble également approprié d accorder une attention particulière à la composition du comité qui procède à l évaluation des idées. Dans la plupart des cas, il est préférable que le supérieur immédiat de l employé ayant soumis une idée ne soit pas associé à l évaluation de celle-ci. En effet, on peut s interroger sur l objectivité du supérieur immédiat dans des situations où il vit certains conflits avec l employé qui soumet l idée. Dans le même ordre d idées, il peut se présenter des cas où le supérieur immédiat se sente menacé par l importance, la qualité ou l originalité d une idée émise par une personne oeuvrant quotidiennement sous son autorité. Et le risque devient encore plus grand lorsque l employé émet une idée qu on aurait plus normalement attendue de la part de son supérieur. 4

5 En troisième lieu, on constate que de plus en plus d entreprises commencent à privilégier des idées soumises par des groupes par rapport à celles émanant d un individu. Il semble que les idées présentées en groupe seraient souvent meilleures, mieux structurées et même plus largement documentées, ce qui en facilite aussi l implantation éventuellement. Comme l ont souligné certains gestionnaires de ces programmes ayant participé à l étude, favoriser un programme individuel en même temps que l on souhaite promouvoir le travail d équipe et la collaboration multidisciplinaire risque d amener les employés à garder secrètes leurs bonnes idées pour les soumettre individuellement et à moins s investir dans les processus d amélioration qui gagnent pourtant plus souvent à profiter des expertises variées et complémentaires d une équipe. De plus, comme on l a vu, il est avantageux d impliquer la personne qui émet l idée dans sa concrétisation chaque fois que cela est possible, ce qui peut déjà être un pas vers l intrapreneuriat. Une équipe peut donc profiter d une telle occasion pour expérimenter de nouvelles tâches en même temps que le changement requiert généralement un travail collectif. Contrairement à ce que l on pourrait penser à première vue, il semble que la PME peut s avérer un terrain particulièrement intéressant pour implanter un programme de suggestions. En effet, comme nous l avons vu précédemment, malgré le fait que les récompenses monétaires soient en général dix fois plus élevées dans la grande entreprise, les innovations ou améliorations obtenues ne sont pas meilleures que dans les plus petites entreprises. Bien au contraire, selon les résultats de notre étude, ce que les PME investissent dans de tels programmes et ce qu ils reçoivent en retour semble même à la limite beaucoup plus intéressant sur le plan économique. De plus, selon les dirigeants interrogés dans notre étude, la meilleure promotion pour ce programme dans l entreprise reste celle qui se transmet par le biais des personnes qui ont elles-mêmes participé au programme et qui ont vu leur idée primée ou récompensée de quelque façon. Le bouche à oreille semble constituer le mode le plus efficace pour faire connaître les possibilités offertes. Un tel constat met bien en évidence certains des avantages de la convivialité des relations interpersonnelles prévalant généralement dans la PME. Cette dernière facilite des mécanismes d imitation sociale lorsque des individus sont à même de constater que leurs pairs se voient reconnus pour les nouvelles idées qu ils apportent à l entreprise. Un programme de suggestions doit cependant se construire et évoluer dans un environnement propice à la créativité et à l innovation. Il reste un outil qui doit être supporté par une culture, des pratiques et un environnement qui permettent aux personnes de déployer leurs capacités et d exploiter au maximum leur potentiel. Enfin, plusieurs autres outils et techniques sont disponibles pour l entreprise soucieuse de créativité 4 et d innovation et peuvent gagner à être utilisés de pair avec un programme de suggestions. Notes : 1 Robinson, A.G. et D.M. Schroeder (2006), Les bonnes idées ne coûtent rien, Montréal : Les Éditions de l Homme, p Julien, P. A. et Carrier, C. (2005), «Innovation et PME», dans P. A. Julien (dir.), Les PME : Bilan et perspectives, ouvrage co-édité par Presses Inter Universitaires (Québec) et Economica (Paris). 3 Carrier, C. (2006), «L implantation et la gestion des programmes de suggestions : le cas d entreprises du Québec», dans M. Tremblay (dir.), La mobilisation des personnes au travail, Montréal : Gestion HEC, Voir Carrier, C. (1997), De la créativité à l intrapreneuriat, Collection PME et Entrepreneuriat, Québec : Presses de l Université du Québec. 5

Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises

Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises LES PME manufacturières sont-elles prêtes pour l ERP? Éditorial InfoPME est publié par le Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises (LaRePE) Institut de recherche sur les PME Université

Plus en détail

Urgence Leadership. Un programme de développement du leadership dans les entreprises québécoises

Urgence Leadership. Un programme de développement du leadership dans les entreprises québécoises Urgence Leadership Un programme de développement du leadership dans les entreprises québécoises Forum de réflexion sur le leadership d avenir - CIRANO 26 janvier 2009 1 Urgence Leadership Un programme

Plus en détail

CAPITAL DE RISQUE: Motivations, irritants et rôles perçus par les dirigeants de PME. Éditorial

CAPITAL DE RISQUE: Motivations, irritants et rôles perçus par les dirigeants de PME. Éditorial V O L U M E 10 N U M É R O S e p t e m b r e 2010 3 2 0 CAPITAL DE RISQUE: Motivations, irritants et rôles perçus par les dirigeants de PME Bulletin InfoPME Le bulletin InfoPME a pour objectif de présenter

Plus en détail

Doctorate of Business Administration Programme francophone

Doctorate of Business Administration Programme francophone Mis à jour le 11-10-13 Doctorate of Business Administration Programme francophone 1. Présentation du programme DBA(F) Le programme Doctorate of Business Administration (DBA) assuré à distance par l American

Plus en détail

Le CRSNG: Un partenaire financier incontournable en matière de R&D et d innovation. Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec

Le CRSNG: Un partenaire financier incontournable en matière de R&D et d innovation. Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec Le CRSNG: Un partenaire financier incontournable en matière de R&D et d innovation Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec ORGANISME SUBVENTIONNAIRE FÉDÉRAL EN SCIENCES NATURELLES

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,

Plus en détail

Frank Janssen, La croissance de l entreprise. Une obligation pour les PME?, Bruxelles, De Boeck, 2011, 152 p.

Frank Janssen, La croissance de l entreprise. Une obligation pour les PME?, Bruxelles, De Boeck, 2011, 152 p. Compte rendu Ouvrage recensé : Frank Janssen, La croissance de l entreprise. Une obligation pour les PME?, Bruxelles, De Boeck, 2011, 152 p. par Pierre-André Julien Revue internationale P.M.E. : économie

Plus en détail

Plan stratégique 2012-2017

Plan stratégique 2012-2017 Plan stratégique 2012-2017 Présentation Le Plan stratégique 2012-2017 présente ce que Polytechnique Montréal s'engage à accomplir durant les cinq prochaines années dans le but de poursuivre sa mission,

Plus en détail

Qu'est-ce que l'innovation?

Qu'est-ce que l'innovation? Qu'est-ce que l'innovation? Résumé : L innovation est avant tout un état d esprit. C est un processus vivant qui amène la direction à chercher à tous les niveaux la manière d être la plus performante pour

Plus en détail

UN CHANGEMENT INTÉGRÉ DANS UNE ORGANISATION APPRENANTE

UN CHANGEMENT INTÉGRÉ DANS UNE ORGANISATION APPRENANTE UN CHANGEMENT INTÉGRÉ DANS UNE ORGANISATION APPRENANTE Hélène Maurais, Romain Godbout et Hélène Pilon Bureau de la traduction, Gouvernement du Canada Il y a trois ans, le Bureau de la traduction du gouvernement

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Comptabilité Services-Conseils Ressources humaines

Comptabilité Services-Conseils Ressources humaines www.germico.com info@germico.com 418 977-2555 Finance Tableau de bord financier Maximisez la rentabilité de votre entreprise avec l aide de notre tableau de bord financier. UN OUTIL PERFORMANT La simplicité

Plus en détail

EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE

EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT

Plus en détail

BRANCHEZ-VOUS! QU ON VOUS TROUVE

BRANCHEZ-VOUS! QU ON VOUS TROUVE BRANCHEZ-VOUS! QU ON VOUS TROUVE Quelques statistiques Table des matières Quelques statistiques...2 Brancher 300 commerces en 3 ans...3 La campagne Branchez-vous à votre porte!...4 Marc-Henri Faure : se

Plus en détail

B U L L E T I N S U R L E S F O U R N I S S E U R S D I D C. L é vo l u t i o n d u pays a g e d e s I a as publiques et p r i vé e s a u C a n a d a

B U L L E T I N S U R L E S F O U R N I S S E U R S D I D C. L é vo l u t i o n d u pays a g e d e s I a as publiques et p r i vé e s a u C a n a d a B U L L E T I N S U R L E S F O U R N I S S E U R S D I D C L é vo l u t i o n d u pays a g e d e s I a as publiques et p r i vé e s a u C a n a d a Avril 2014 Mark Schrutt, directeur des services et applications

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité 1 Organisation d un club Organigramme du club Description des fonctions des officiers et autres responsables désignés Activités des comités du club Méthode de travail des comités Rapports des comités Une

Plus en détail

Demi-journée : 9h/12h30 ou 14h/17h30 150 HT par personne (groupe de 10 personnes minimum)

Demi-journée : 9h/12h30 ou 14h/17h30 150 HT par personne (groupe de 10 personnes minimum) 1) Les différentes sources de financement du projet associatif Revue de tous les modes de financement et de leurs spécificités : o Les ressources propres non commerciales o Les ressources propres commerciales

Plus en détail

UN MBA POUR QUI, POURQUOI?

UN MBA POUR QUI, POURQUOI? PARTIE 1 UN MBA POUR QUI, POURQUOI? L e MBA est une formation connue et reconnue dans le monde entier. Cependant, l appellation MBA n est pas un label déposé. Conséquence : l univers des MBA est un monde

Plus en détail

Bulletin Focus. Démarrage d entreprise. Novembre 2013. Votre plan d affaires est-il le reflet de votre vision et de vos attentes?

Bulletin Focus. Démarrage d entreprise. Novembre 2013. Votre plan d affaires est-il le reflet de votre vision et de vos attentes? Démarrage d entreprise Novembre 2013 Bulletin Focus Votre plan d affaires est-il le reflet de votre vision et de vos attentes? Bien souvent considéré à tort comme une suite de chiffres plus ou moins fictifs

Plus en détail

Guide de commercialisation de l assurance par méthode autre qu`en personne

Guide de commercialisation de l assurance par méthode autre qu`en personne Guide de commercialisation de l assurance par méthode autre qu`en personne Guide pour les agences et conseillers indépendants qui vendent de l assurance vie par téléphone ou par Internet sans rencontrer

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Pour une meilleure qualité de vie au travail

Pour une meilleure qualité de vie au travail Pour une meilleure qualité de vie au travail Attirer les nouveaux et retenir les anciens Conférence de clôture préparée par Estelle M. Morin, professeur HEC Montréal Colloque 30 e anniversaire de l APER

Plus en détail

EconomicS and management (B Sc)

EconomicS and management (B Sc) L université chez soi! Bachelor of Science in EconomicS and management (B Sc) Branches d études : Economie politique et Gestion d entreprise Formation universitaire compatible avec un emploi, une famille,

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

Internationalisation précoce : Les bases d une entrée efficace sur les marchés étrangers dès la création de l entreprise.

Internationalisation précoce : Les bases d une entrée efficace sur les marchés étrangers dès la création de l entreprise. V O L U M E 1 2 N U M É R O S e p t e m b r e 2012 3 2 0 Internationalisation précoce : Les bases d une entrée efficace sur les marchés étrangers dès la création de l entreprise Bulletin InfoPME Le bulletin

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

L INTELLIGENCE COLLECTIVE ORIENTÉE PROJET

L INTELLIGENCE COLLECTIVE ORIENTÉE PROJET L INTELLIGENCE COLLECTIVE ORIENTÉE PROJET Il existe un certain type d intelligence collective qui est à la fois vertueuse pour le collaborateur et riche de promesse pour l organisation, c est l intelligence

Plus en détail

ECONOMICS AND MANAGEMENT

ECONOMICS AND MANAGEMENT L université chez soi! Bachelor of Science (B Sc) in ECONOMICS AND MANAGEMENT BRANCHES D ÉTUDES : ECONOMIE POLITIQUE ET GESTION D ENTREPRISE Formation universitaire compatible avec un emploi, une famille,

Plus en détail

Colloque Bio pour Tous. Hélène Fortier Bureau du Québec CRSNG 6 mars 2015

Colloque Bio pour Tous. Hélène Fortier Bureau du Québec CRSNG 6 mars 2015 Colloque Bio pour Tous Hélène Fortier Bureau du Québec CRSNG 6 mars 2015 ORGANISME SUBVENTIONNAIRE FÉDÉRAL EN SCIENCES NATURELLES ET EN GÉNIE AU CANADA Budget annuel : 1,1 MM $ 248 M $ au Québec : 764

Plus en détail

Programme d assurance de la qualité

Programme d assurance de la qualité Programme d assurance de la qualité Section B Section B Programme d assurance de la qualité Aperçu du Programme d assurance de la qualité... -B-1- Introduction... Programme d assurance de la qualité...

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

L art de la reconnaissance en gestion

L art de la reconnaissance en gestion L art de la reconnaissance en gestion Sophie Tremblay Coach & Stratège Dans votre parcours professionnel, quelle est la personne qui vous a offert la reconnaissance qui vous a le plus marqué? Quelles sont

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

Introduction générale...15 Chapitre 1 Problématique de la gestion de la communication interne entre les fonctions-clé de l entreprise...

Introduction générale...15 Chapitre 1 Problématique de la gestion de la communication interne entre les fonctions-clé de l entreprise... Sommaire Introduction générale...15 Chapitre 1 Problématique de la gestion de la communication interne entre les fonctions-clé de l entreprise...21 Objectifs du chapitre 1...23 Les enjeux des acteurs du

Plus en détail

Mémoire sur le financement participatif. déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers

Mémoire sur le financement participatif. déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers Mémoire sur le financement participatif déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers Le 1 er mai 2013 Table des matières Introduction... 3 Mise en contexte... 3 Orientation

Plus en détail

de manager du commerce de détail

de manager du commerce de détail Diplôme fédéral de manager du commerce de détail Le diplôme dans le commerce de détail le plus hautement reconnu en Suisse. La formation du commerce de détail pour le commerce de détail: Préparation à

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

«Le Leadership en Suisse»

«Le Leadership en Suisse» «Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

L INITIATIVE «FRENCH TECH»

L INITIATIVE «FRENCH TECH» L INITIATIVE «FRENCH TECH» POUR LA CROISSANCE ET LE RAYONNEMENT DE L ÉCOSYSTÈME NUMÉRIQUE FRANÇAIS La French Tech en actions Mobilisation des écosystèmes sur les territoires : labellisation de quelques

Plus en détail

Notions et définitions utiles

Notions et définitions utiles Notions et définitions utiles 1 Notions et définitions utiles I. Notions d usage 1. La notion de compétitivité. La notion de «compétitivité» est la symbolique de l enjeu de développement des entreprises.

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité Direction générale opérationnelle Économie, Emploi et Recherche Département du Développement technologique Direction de l Accompagnement de la Recherche Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat :

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Comprendre les différentes formes de communication

Comprendre les différentes formes de communication Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre

Plus en détail

UN SERVICE À VOTRE IMAGE

UN SERVICE À VOTRE IMAGE UN SERVICE À VOTRE IMAGE Un service Un service de de Mutuelles qui qui inspire inspire la fierté! la fierté! Depuis 2012, Depuis l AQEI 2012, offre l AQEI un offre outil un sur outil mesure à mesure ses

Plus en détail

Une fonction ressources humaines performante?*

Une fonction ressources humaines performante?* Une fonction ressources humaines performante?* Depuis quelques années, les services du personnel ont pour la plupart été rebaptisés en départements Ressources humaines, sous l influence des tendances observées

Plus en détail

Programmes d aide financière pour les projets de R&D et d innovation en partenariat. 7 Mai 2015

Programmes d aide financière pour les projets de R&D et d innovation en partenariat. 7 Mai 2015 Programmes d aide financière pour les projets de R&D et d innovation en partenariat. 7 Mai 2015 Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec ORGANISME SUBVENTIONNAIRE FÉDÉRAL EN SCIENCES

Plus en détail

COMMUNIQUER ET ANIMER EFFICACEMENT UNE RÉUNION

COMMUNIQUER ET ANIMER EFFICACEMENT UNE RÉUNION AUTEURES Josée Latendresse Nathalie St-Pierre COORDINATION Ghislaine Poirier Centre 1,2,3 GO! Ce feuillet a été développé par le Toute reproduction partielle ou complète de ce document doit avoir reçu

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Les bonnes pratiques du recrutement en ligne

Les bonnes pratiques du recrutement en ligne POUR VOUS ÉCLAIRER DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL Les bonnes pratiques du recrutement en ligne Avant-propos Au Québec, le commerce de détail compte près de 24 000 établissements et 300 000 employés. Les jeunes

Plus en détail

L innovation dans l entreprise numérique

L innovation dans l entreprise numérique L innovation dans l entreprise numérique Toutes les entreprises ne sont pas à l aise avec les nouvelles configurations en matière d innovation, notamment avec le concept d innovation ouverte. L idée de

Plus en détail

Plan de cours. Comportement organisationnel

Plan de cours. Comportement organisationnel ÉCOLE NATIONALE D ADMINISTRATION PUBLIQUE Plan de cours ENP 7106 Comportement organisationnel Hanoi Avril 2011 Joanne Greene, M. Ps. joanne.greene@enap.ca Ce cours permet à l étudiant d approfondir sa

Plus en détail

RECUEIL DES POLITIQUES ADE08-DA ADMINISTRATION DES ÉCOLES Collectes de fonds

RECUEIL DES POLITIQUES ADE08-DA ADMINISTRATION DES ÉCOLES Collectes de fonds RÉSOLUTION 87-07 C.E. Date d adoption : 20 mars 2007 16 avril 2014 En vigueur : 21 mars 2007 16 avril 2014 À réviser avant : OBJECTIF 1. Préciser les modalités rattachées à la sollicitation et à la collecte

Plus en détail

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

INGENIERIE ET PORTAGE SALARIAL

INGENIERIE ET PORTAGE SALARIAL INGENIERIE ET PORTAGE SALARIAL 28, rue de la Croix Rouge 87000 LIMOGES Tél. : 05-55-05-95-06 Fax : 05-55-77-60-24 contact@portage-ascom.fr www.portage-ascom.fr AS'COM est une société de portage salarial.

Plus en détail

Retenir les meilleurs talents

Retenir les meilleurs talents Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)

Plus en détail

Analyse prédictive. L essor et la valeur de l analyse prédictive dans la prise de décisions

Analyse prédictive. L essor et la valeur de l analyse prédictive dans la prise de décisions ÉTUDE TECHNIQUE Analyse prédictive L essor et la valeur de l analyse prédictive dans la prise de décisions «Donnez-moi un point d appui et un levier et je soulèverai le monde.» Archimède, 250 av. J.-C.

Plus en détail

Soutien aux entreprises novatrices

Soutien aux entreprises novatrices Soutien aux entreprises novatrices Richard O Shaughnessey Directeur régional Le 23 mai 2013 1 Quel est le mandat du Programme d'aide à la recherche industrielle (PARI-CNRC)? Notre mandat Stimuler la création

Plus en détail

Plus de données, quels impacts sur la gestion des sinistres? 4 avril 2013 Gontran Peubez

Plus de données, quels impacts sur la gestion des sinistres? 4 avril 2013 Gontran Peubez Plus de données, quels impacts sur la gestion des sinistres? 4 avril 2013 Gontran Peubez Sans sinistres, pas d assurance Langage Logique Analyse Intuition Perception Créativité «La plupart des gens utilisent

Plus en détail

Formulaire de demande de plan de consolidation en diversité

Formulaire de demande de plan de consolidation en diversité Ministère de la Région de BruxellesCapitale Territoriaal Pact(e) territorial Diversité en Région de BruxellesCapitale La politique de diversité en entreprise ne s arrête pas après l élaboration d un plan

Plus en détail

www.groupecaissedesdepots.fr La Caisse des Dépôts acteur du développement économique et de l économie sociale et solidaire

www.groupecaissedesdepots.fr La Caisse des Dépôts acteur du développement économique et de l économie sociale et solidaire www.groupecaissedesdepots.fr La Caisse des Dépôts acteur du développement économique et de l économie sociale et solidaire développement économique et économie sociale et solidaire En soutenant la création

Plus en détail

Évaluation en vue de l accréditation

Évaluation en vue de l accréditation Évaluation en vue de l accréditation Programme Executive MBA in Tourism Management (EMTM) de l Institut Universitaire Kurt Bösch Rapport final du Comité de visite de l OAQ 30 août 2005 I - Description

Plus en détail

CHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION

CHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION ORGANISATION DE LA COMMUNICATION Pour toute communication, il est important de bien cibler l objectif à atteindre. Sans une démarche de planification et d organisation de celle-ci, les probabilités de

Plus en détail

Gestion de la sécurité de l information par la haute direction

Gestion de la sécurité de l information par la haute direction Étude technique Gestion de la sécurité de l information par la haute direction _la force de l engagement MC Groupe CGI inc. 2004, 2010. Tous droits réservés. Aucune partie de cette publication ne peut

Plus en détail

PÉRENNISER LA PERFORMANCE

PÉRENNISER LA PERFORMANCE PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,

Plus en détail

CEIM. Présentation des programmes de partenariats Le 7 Mai 2014. Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec

CEIM. Présentation des programmes de partenariats Le 7 Mai 2014. Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec CEIM Présentation des programmes de partenariats Le 7 Mai 2014 Robert Déziel, Ph. D. MBA Gestionnaire, bureau régional du Québec 4 BONNES RAISONS D ÉCOUTER MA PRÉSENTATION! LE CRSNG PEUT VOUS AIDER À:

Plus en détail

Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD

Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD Les dossiers de l Obser vatoire du Travail Temporaire Juillet 2009 Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD Sommaire 1 Introduction 3 1.1

Plus en détail

COTISATIONS ET POINTS DE

COTISATIONS ET POINTS DE GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO COTISATIONS ET POINTS DE LA RETRAITE COMPLÉMENTAIRE Guide salariés n o 3 Cotisations et points de la retraite complémentaire Sommaire La retraite, en bref...

Plus en détail

TEST PRATIQUE DU TEST DE LOGIQUE MATHEMATIQUE ET VERBAL

TEST PRATIQUE DU TEST DE LOGIQUE MATHEMATIQUE ET VERBAL TEST PRATIQUE DU TEST DE LOGIQUE MATHEMATIQUE ET VERBAL COPYRIGHT 2008 PROCTER & GAMBLE CINCINNATI, OH 45202 U.S.A. AVERTISSEMENT : Tous droits réservés. Aucune section du présent livret ne doit être reproduite

Plus en détail

L observatoire «Entreprise et Santé»

L observatoire «Entreprise et Santé» LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise

Plus en détail

LA GESTION DE LA PRODUCTION N EST PLUS UN AVANTAGE CONCURRENTIEL QUOIQUE!

LA GESTION DE LA PRODUCTION N EST PLUS UN AVANTAGE CONCURRENTIEL QUOIQUE! LA GESTION DE LA PRODUCTION N EST PLUS UN AVANTAGE CONCURRENTIEL QUOIQUE! Pour beaucoup de petites et moyennes entreprises, le suivi de la production est encore fait «à la main» avec Excel ou Accces et

Plus en détail

Formulaire de consultation publique du projet PARL OMPI Experts

Formulaire de consultation publique du projet PARL OMPI Experts CONSULTATION PUBLIQUE DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 11 mars 2013 1 Formulaire de consultation publique du projet PARL OMPI Experts Nom Prénom Organisme Adresse Profession Adresse email J accepte que mes

Plus en détail

TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS

TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental

Plus en détail

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables

Plus en détail

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité

Pacte de responsabilité et de solidarité Pacte de responsabilité et de solidarité Et mesures pour l accélération de l investissement Le premier ministre vient d annoncer des mesures pour soutenir l investissement public et privé qui complètent

Plus en détail

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE Les notes de l Juin 2007 OBSERVATOIRE PARTENARIAL LYONNAIS EN ECONOMIE RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE L entrepreneuriat est une priorité pour le développement économique de l

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale

Plus en détail

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3

Plus en détail

Proposition de correction pour l épreuve de STG Communication et gestion des ressources humaines

Proposition de correction pour l épreuve de STG Communication et gestion des ressources humaines Proposition de correction pour l épreuve de STG Communication et gestion des ressources humaines DOSSIER 1 1-1 Communication globale: L image que l organisation donne d elle-même doit être conforme à la

Plus en détail

RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL

RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL Pendant l été 2013, l EPFL Alumni a réalisé une enquête portant sur les parcours professionnels des diplômés de l EPFL (Diplôme, Master et/ou Doctorat),

Plus en détail

Cotisations et points de la retraite complémentaire. n o 3

Cotisations et points de la retraite complémentaire. n o 3 Guide retraite complémentaire Agirc et Arrco Cotisations et points de la retraite complémentaire Guide salariés n o 3 avril 2014 Cotisations et points de la retraite complémentaire Sommaire La retraite,

Plus en détail

CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS

CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS Projet de loi no 27 Loi sur l économie sociale Mémoire présenté au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire dans le cadre

Plus en détail

LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014

LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 Carol Campbell, Ann Lieberman et Anna Yashkina avec Nathalie Carrier, Sofya Malik et Jacqueline

Plus en détail

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de

Plus en détail

coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur

coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des

Plus en détail

10 Savoir investir en Bourse avec Internet

10 Savoir investir en Bourse avec Internet INTRODUCTION Avec près de 7 millions de Français actionnaires en 2007, l investissement boursier est devenu depuis quelques années un important moteur de l épargne nationale. Dans un pays relativement

Plus en détail

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012 Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de

Plus en détail

INVESTIR À propos de Banque Nationale Courtage direct. Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct

INVESTIR À propos de Banque Nationale Courtage direct. Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct 01 Au service des investisseurs canadiens depuis plus de 25 ans Filiale d une des plus grandes institutions financières au pays, offre aux investisseurs

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail