Dr CESARINI J-P, C.R. I.N.S.E.R.M. SFRP AFSSET

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dr CESARINI J-P, C.R. I.N.S.E.R.M. SFRP AFSSET"

Transcription

1 Dr CESARINI J-P, C.R. I.N.S.E.R.M. SFRP AFSSET GUIDES, NORMES CEN/CIE/ISO, DIRECTIVE SUR LES ACTIONS DES RAYONNEMENTS ULTRAVIOLET ET INFRAROUGE SUR LES PERSONNES AU TRAVAIL Colloque ECLAIRAGE ET SANTE, CIE-France./AFE, Paris, jeudi 7 juin 2007 Participation du Dr JP Césarini aux organisations internationales depuis 1990, rayonnement UV CIE Division 6 : Directeur associé - Effets des radiations UV sur la peau), Membre ou directeur de C.T. : UVA, UVB Sunscreens Testing ( ) Phototoxicity and Photoallergy in Domestic and Industrial Environments Définition des limites UVB, UVA1 / UVA2 ( ) Risks of Halogen Reference UV Action Spectrum on Human Skin Reference UV Action Spectrum for Photocarcinogenesis TC 24 : UVA testing (rapport en cours) 1

2 Participation du Dr JP Césarini aux organisations internationales depuis 1990, rayonnement UV ICNIRP Expertise pour UNEP (UV-Index), WHO, ILO ( ) Membre du Comité ( ) Standing Committee IV (2003 ) IEC TC61 : membre Maintenance Team N 16 CEN TC169 : membre groupe de travail N 8 Principales normes et guides concernant le rayonnement optique : œil et peau Photobiological safety of lamps and lamp systems CIE standard S 009.2/E, 2002 norme ISO Mesure et présentation des données photométriques des lampes et des luminaires Partie 1 : Mesurage et format de données. Norme NF EN , 2004 Mesurage et évaluation de l exposition des personnes aux rayonnements optiques incohérents Partie 1 : R.UV sur les lieux de travail (2005) Partie 2 : R. visibles et infrarouges sur les lieux de travail (2006) Partie 3 : R. solaire (sous presse) Partie 4 : terminologie et grandeur pour mesurage de l exposition au R.UV, Vis, IR (2006) Norme NF EN , 2, 3, 4 2

3 Principales normes et guides concernant les rayonnement optiques : œil et peau Directive européenne 2006/25/CE relative aux prescriptions minimales de sécurité et de santé relatives à l exposition des travailleurs aux risques dus aux agents physiques (rayonnements optiques artificiels) Guide «protecting workers from ultraviolet protection : ICNIRP, ILO, WHO, 2007 UV radiation and health, WHO 2003 Photobiological safety of lamps and lamp systems CIE standard S 009.2/E : 2002 Standard ISO Assurer la sécurité photobiologique des lampes et des systèmes de lampes y compris les luminaires Elle spécifie : les limites d exposition, les techniques de mesures de référence et un classement des sources pour l évaluation et le contrôle des risques photobiologiques de toute source alimentée électriquement, à émissions incohérentes, y compris les LED à l exclusion des lasers Les longueurs d onde de 200 nm jusqu à 3000 nm sont dans le champ de cette norme 3

4 CIE S 009.2/E : 2002 Limites d exposition(s) aux risques Exposition au risque UV actinique pour la peau et l œil Limites d exposition au rayonnement UV proche, pour l œil Limites d exposition au risque de la lumière bleue (rétine) Limites d exposition au risque de la lumière bleue (rétine) source ponctuelle CIE S 009.2/E : 2002 Limites d exposition(s) aux risques : thermiques rétiniens thermiques rétiniens en situation de stimulus visuel faible présentés par les radiations infrarouges pour l œil thermiques pour la peau 4

5 CIE S 009.2/E : 2002 Classification des lampes (coopération avec TC 34A de la CEI) Groupe d exemption - toute lampe qui ne présente pas les risques suivants : Risque UV actinique (E s ) pendant une exposition de 8 heures Risque proche UV (E UVA ) pendant secondes Risque rétinien lumière bleue (L B ) pendant secondes Risque rétinien thermique (L R ) pendant 10 secondes Risque infrarouge pour l œil (E IR ) pendant secondes CIE S 009.2/E : 2002 Classification des lampes (coopération avec TC 34A de la CEI) Groupe de risque 1 (risque faible) : toute lampe qui excède les limites du groupe d exemption et qui ne pose pas de problème de : Risque UV actinique (E s ) pendant une exposition de secondes Risque proche UV (E UVA ) pendant 300 secondes Risque rétinien lumière bleue (L B ) pendant 100 secondes Risque rétinien thermique (L R ) pendant 10 secondes Risque infrarouge pour l œil (E IR ) pendant 100 secondes 5

6 CIE S 009.2/E : 2002 Classification des lampes (coopération avec TC 34A de la CEI) Groupe de risque 2 (risque modéré) : toute lampe qui excède les limites du groupe d exemption et qui ne pose pas de problème de : Risque UV actinique (E s ) pendant une exposition de secondes Risque proche UV (E UVA ) pendant 100 secondes Risque rétinien lumière bleue (L B ) pendant 0,25 secondes Risque rétinien thermique (L R ) pendant 0,25 secondes Risque infrarouge pour l œil (E IR ) pendant 10 secondes Groupe de risque 3 (risque élevé) : toute lampe qui excède les limites du groupe 2 se trouve de facto dans le groupe de risque 3 CIE S 009.2/E : 2002 Annexes (informatives) Annexe A : résumé des effets biologiques Cataractes aux rayonnements infrarouges Photo-kératites Photo-rétinites Blessures rétiniennes thermiques Cataractes aux rayonnements ultraviolets Érythème cutané aux rayonnements ultraviolets Annexe B : méthodes de mesure Annexe C : analyse de l incertitude Annexe D : références générales 6

7 Mesure et présentation des données photométriques des lampes et des luminaires Part. 1 : Mesurage et format de données. Norme NF EN , 2004 Cette norme établit les principes généraux pour la mesure des données photométriques de base utilisées en éclairagisme. Elle établit les critères de mesure nécessaire à la normalisation des documents concernant les données photométriques de base et les détails du format CEN pour les transferts électroniques des données Mesure et présentation des données photométriques des lampes et des luminaires. Part. 1 : Mesurage et format de données. Norme NF EN , 2004 Partie 1 : les mesures photométriques de base et le format des fichiers des données Partie 2 : les données photométriques de l éclairage des lieux de travail intérieurs et extérieurs Partie 3 : les données photométriques de l éclairage de secours Partie 4 : les données photométriques de l éclairage sportif Partie 6 : les données photométriques de l éclairage des tunnels 7

8 Directive européenne 2006/25/CE relative aux risques dus aux agents physiques (rayonnements optiques artificiels) Prescriptions minimales de sécurité et de santé relatives à l exposition des travailleurs aux risques dus aux rayonnements optiques artificiels A l évidence, dette directive ne concerne pas les travailleurs exposés au rayonnement solaire (outdoor workers) Introduction de mesures protégeant les travailleurs des risques liés aux rayonnements optiques Directive européenne 2006/25/CE relative aux risques dus aux agents physiques (rayonnements optiques artificiels) Prescriptions minimales en faveur de la protection des travailleurs en fixant des valeurs limites d exposition Le niveau d exposition sera efficacement réduit par : L introduction de mesures préventives lors de la conception des postes de travail La priorité donnée aux procédés et méthodes lors du choix des équipements Les privilèges donnés aux mesures de protection collectives 8

9 Directive européenne 2006/25/CE relative aux risques dus aux agents physiques (rayonnements optiques artificiels) Obligation des employeurs et dispositions diverses Article 4 : détermination de l exposition et évaluation des risques Article 5 : disposition visant à éviter ou réduire les risques Article 6 : information et formation des travailleurs Article 7 : consultation et participation des travailleurs Article 8 : surveillance de la santé Directive 2006/25/CE : obligation des employeurs et dispositions diverses Annexe 1 : rayonnement optique incohérent : calcul des valeurs d exposition Annexe 2 : tableaux des valeurs limites d exposition pour les rayonnements optiques incohérents Fonctions S(λ) de 180 à 400 nm B(λ), R (λ) de 380 à 1400 nm Rayonnements optique laser, les risques associés et tableaux des valeurs limites d exposition de l œil aux lasers de courte durée (< 10 secondes), de longue durée (>10 secondes), de la peau au lasers. 9

10 Guide protecting workers from ultraviolet protection: ICNIRP, ILO, WHO, 2007 Très complet Il intéresse non seulement la protection des travailleurs postés en intérieur mais également les travailleurs en extérieur Il met l accent non seulement sur les risques d irradiations répétées sur l œil mais également les risques répétés des expositions de la peau Pour la peau, il prend en compte les sensibilités individuelles et les capacités d adaptation Guide protecting workers from ultraviolet protection: ICNIRP, ILO, WHO, 2007 Dans les mesures de protection, il privilégie les protections physiques en tenant compte des spécificités des travaux en extérieur et de la faisabilité. Il s appuie sur les documents issus de l ICNIRP, de l OMS, et des Communautés européennes et fait largement référence aux différents documents qui ont valeur de normalisation dans les pays à forte insolation. 10

11 Guide protecting workers Principaux chapitres (1) Sources UV artificielles et solaires Effets biologiques et effets sur la santé, aigus et chroniques Exposition au rayonnement UV solaire au travail : éléments d analyse en fonction de la nature, de la position et de la durée du travail : influence de la protection physique Exposition au rayonnement UV artificiel au travail : description des taches susceptibles d exposer aux UV (14 conditions majeures) Guide protecting workers Principaux chapitres (1) Évaluation du risque pour la santé Limites d exposition au travail et normes de sécurité Application des limites ICNIRP pour la peau Application des limites ICNIRP pour l œil Aspects géométriques des expositions pour les lampes Groupes de risque définis par la CIE 11

12 Evaluation des expositions Guide protecting workers Principaux chapitres (2) But des mesures (en particulier après un accident ou une pathologie) Les appareils de mesure Procédures pour évaluer en détail les expositions en intérieur Evaluation des expositions oculaires aux sources en intérieur Evaluation des expositions pour les travailleurs en extérieur Guide pratique pour les expositions en extérieur (analyse spécifique des réflexions du rayonnement solaire sur l environnement) Mesures de protection pour les travailleurs en extérieur Guide protecting workers Mesures de protection pour les travailleurs en extérieur (3) Contrôles administratifs : programme d éducation, reconnaissance des sensibilités individuelles; stratégies pour réduire les expositions(heures de travail) Mesures de protection individuelle pour les travailleurs d extérieur : vêtements et couvre-chef, écran solaire, lunettes. Acceptabilité des mesures de protection par les travailleurs Surveillance sanitaire Management du risque UV chez les travailleurs en extérieur 12

13 Guide protecting workers Mesures de protection pour les sources artificielles de rayonnement UV (4) Contrôle de la fabrication des sources Elimination des réflexions Ventilation et risques mécaniques Mesures de contrôle administratif : exercice limitation des accès signalisation des risques Protection personnelle de la peau et des yeux Guide protecting workers Appendices et références Appendice A: termes de radiométrie et unités : en photobiologie et photochimie, recommandations de la CIE (Photochem Photobiol 2007, 83 : Appendice B : facteurs d exposition aux rayonnements UV (anatomie, activité, réflexions sur les surfaces, conditions atmosphériques) Appendice C : informations complémentaires sur les effets biologiques du rayonnement UV 13

14 Guide protecting workers Appendices et références Appendice D : facteurs de protection des tissus contre le rayonnement UV Appendice E : exemple de document d information pour les travailleurs en extérieur Appendice F : guides ICNIRP sur le rayonnement UV RÉFÉRENCES : plus de 100 références citées dans le texte et les appendices et références complémentaires, pour en savoir plus Comment se procurer les documents? Lux Editions (vente des publications CIE) : Afnor - Norme NF EN : 14

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels

Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l

Plus en détail

Guide d utilisation des LASER

Guide d utilisation des LASER Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.

Plus en détail

Mémento à l usage du personnel des laboratoires

Mémento à l usage du personnel des laboratoires Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l

Plus en détail

[ F ] Fig.1 enregistreur indicateur HD30.1 MicroSD Card. Entrée sonde HD30.S1- HD30.S2. MiniUSB Ethernet Alimentation chargeur batterie

[ F ] Fig.1 enregistreur indicateur HD30.1 MicroSD Card. Entrée sonde HD30.S1- HD30.S2. MiniUSB Ethernet Alimentation chargeur batterie [ F ] [ F ] Description Le HD30.1 est un instrument fabriqué par Delta Ohm pour l analyse spectrale de la lumière dans le champ visible et ultraviolette. L instrument a été conçu en conjuguant fl exibilité

Plus en détail

Recommandations de bon usage. des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs. Recommandations de bon usage. www.afssaps.

Recommandations de bon usage. des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs. Recommandations de bon usage. www.afssaps. Recommandations de bon usage Recommandations de bon usage des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs Juillet 2011 Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé 143-147

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Ergonomie et Prévention des risques professionnels

Ergonomie et Prévention des risques professionnels Ergonomie et Prévention des risques professionnels Catalogue des formations AVISErgonomique Laurent AVISSE Laurent AVISSE Ergonome Consultant 29, Rue de Montbazon 37 300 JOUE-LES-TOURS Tél : 06 09 44 30

Plus en détail

Rayonnements optiques artificiels

Rayonnements optiques artificiels Rayonnements optiques artificiels SPF Emploi, Travail et Concertation sociale La rédaction de cette brochure a été achevée le 1 avril 2011. Deze brochure is ook verkrijgbaar in het Nederlands. Rédaction:

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Prévenir... les accidents des yeux

Prévenir... les accidents des yeux Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident

Plus en détail

LUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL

LUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL LUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL 1 Lumière naturelle SOMMAIRE Introduction La lumière naturelle est essentielle Les effets sur la santé et le bien-être Les effets sur la sécurité et performance

Plus en détail

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

Le solaire: état des lieux de la réglementation internationale & évolution des projets des normes ISO en cours

Le solaire: état des lieux de la réglementation internationale & évolution des projets des normes ISO en cours Le solaire: état des lieux de la réglementation internationale & évolution des projets des normes ISO en cours La réglementation r en Europe Directive 76/768/CEE, les produits de protection solaire Cosmétiques

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels

Plus en détail

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR

RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Rayonnements non ionisants et protection de la santé en Suisse

Rayonnements non ionisants et protection de la santé en Suisse Rayonnements non ionisants et protection de la santé en Suisse Vue d ensemble, besoins et recommandations Rapport d un groupe de travail interdépartemental de la Confédération en exécution du postulat

Plus en détail

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER Date d entrée en vigueur: 30 aout 2011 Remplace/amende: VRS-51/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-51 Les utilisateurs de lasers devront suivre les directives, la politique

Plus en détail

Iris. Cornée. Pupille. Cristallin

Iris. Cornée. Pupille. Cristallin FORMATION EN SÉCURITÉ DES LASERS Macula Rétine Iris Cornée Nerf optique Corps vitré Cristallin Pupille Formation Sécurité laser Section 1: Concepts de base 1 Système international (SI) d unitd unités Unité

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

ELEGANT ET COMPACT. Pièces frontales décoratives ETAP

ELEGANT ET COMPACT. Pièces frontales décoratives ETAP K1 ELEGANT ET COMPACT 2 K1 ETAP K1 possède une forme élégante et compacte qui s intègre aux environnements les plus variés. La gamme très complète utilise différentes sources lumineuses et des possibilités

Plus en détail

La recherche d'indices par fluorescence

La recherche d'indices par fluorescence La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes

Plus en détail

Faites l expérience d une meilleure vision

Faites l expérience d une meilleure vision Faites l expérience d une meilleure vision IRIS est le plus grand réseau d optométristes, d opticiens et d ophtalmologistes au Canada répartis dans 160 boutiques et cliniques. Chaque professionnel IRIS

Plus en détail

LA SOLAIRE ATTITUDE EN FRANCHE COMTE ASFODER PLAN CANCER 2002-2008. Dépistage - Prévention - Information solaire en Franche Comté

LA SOLAIRE ATTITUDE EN FRANCHE COMTE ASFODER PLAN CANCER 2002-2008. Dépistage - Prévention - Information solaire en Franche Comté 1 LA SOLAIRE ATTITUDE EN FRANCHE COMTE ASFODER PLAN CANCER 2002-2008 Dépistage - Prévention - Information solaire en Franche Comté GENERALITES En 2008, les cancers de la peau sont les cancers les plus

Plus en détail

PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire

PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ Les bons réflexes de prévention solaire LE SOLEIL et notre vitalité Rien ne vaut un rayon de soleil pour retrouver le sourire. C est un fait établi, le soleil joue

Plus en détail

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01 Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)

Plus en détail

GUIDE D EVALUATION DE L AMBIANCE THERMIQUE (AR 4 juin 2012)

GUIDE D EVALUATION DE L AMBIANCE THERMIQUE (AR 4 juin 2012) IDENTIFICATION Entreprise: Service/local/fonction : GUIDE D EVALUATION DE L AMBIANCE THERMIQUE (AR 4 juin 2012) FROID EXCESSIF AMBIANCE THERMIQUE MODEREE CHALEUR EXCESSIVE CONTRAINTE CONFORT CONTRAINTE

Plus en détail

QUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ

QUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ QUIZ? 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ Testez vos enfants 10 questions pour jouer avec vos enfants 2. Nous sommes tous sensibles au soleil. VRAI! Le soleil est dangereux pour

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus

Plus en détail

LUMIERE & ESPACE LIGHT & SPACE

LUMIERE & ESPACE LIGHT & SPACE LUMIERE & ESPACE LIGHT & SPACE Prof. Marilyne ANDERSEN, Dr. Bernard PAULE, Dr. Jan WIENOLD Unité d Enseignement M Master Architecture - 2014/2015 UE M - 2015 La lumière au service de l architecture Acquérir

Plus en détail

Kardó. Une combinaison infinie de lumiere

Kardó. Une combinaison infinie de lumiere Kardó Une combinaison infinie de lumiere CONCEPT Design: eer architectural design, Belgique 2 - Kardó Kardó est un système d éclairage spécial qui permet de s adapter à l architecture à travers tout le

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

LEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005

LEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005 LEXIQUE DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr NF EN ISO 9000 octobre 2005 DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) - GENERAL ISO

Plus en détail

Un éclairage de sécurité sûr grâce aux LED

Un éclairage de sécurité sûr grâce aux LED K9 Un éclairage de sécurité sûr grâce aux LED La LED : une source lumineuse idéale pour l éclairage de sécurité. Compact La conception extrêmement compacte a été rendue possible grâce à l utilisation de

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Rayonnements non-ionisants. Lasers. Lasers Page 1 sur 9

Rayonnements non-ionisants. Lasers. Lasers Page 1 sur 9 Lasers Lasers Page 1 sur 9 Introduction La particularité des lasers (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation) est d'émettre un faisceau de lumière cohérente et dirigée. Lorsqu'un rayon

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil

Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS

Plus en détail

Communications mobiles et santé

Communications mobiles et santé Communications mobiles et santé Les téléphones mobiles et d autres technologies sans fil font maintenant partie intégrante de notre vie quotidienne. Mais l utilisation régulière d un téléphone mobile ou

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Les LEDs et les plantes

Les LEDs et les plantes Les LEDs et les plantes Ing. Samuël Colasse 1, Ir. Julien Louvieaux 2,Dr. Thierry Marique 3 et Dr. Cécile Nanbru 4 L emploi des diodes luminescentes (ou LED pour «light emitting diode») devient de plus

Plus en détail

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: 1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d

Plus en détail

Enceinte de vieillissement accéléré QUV

Enceinte de vieillissement accéléré QUV Enceinte de vieillissement accéléré QUV La référence incontournable dans le domaine des essais de vieillissement Vos produits résistent-ils à l extérieur? Vérifiez rapidement par vous-même avec l enceinte

Plus en détail

Réglementation nuisances physiques Une approche commune

Réglementation nuisances physiques Une approche commune Réglementation nuisances physiques Une approche commune L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS est un organisme scientifique

Plus en détail

Les lasers Risques et prévention

Les lasers Risques et prévention Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR

Plus en détail

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement

Plus en détail

ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES. Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR

ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES. Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES SUR LA SANTE Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR Capacité de Médecine et Santé au Travail

Plus en détail

ollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection.

ollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection. ollection Films professionnels pour vitrages auto. Collection. 1.1 1.2 1.3 1.4 Caractéristiques techniques EspritSeries a b ATC 05 CH SR HPR ATC 15 CH SR HPR ATC 35 CH SR HPR ATC 50 CH SR HPR EspritCharcoal05

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Programme de formation 2014-2015

Programme de formation 2014-2015 Programme de formation 2014-2015 INTER INTRA SUR MESURE SOMMAIRE Conditions et Modalités d inscriptions 2 Calendrier 2014-2015 3 Description des formations 4-10 o Bases de la photométrie et de l éclairagisme

Plus en détail

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse

Plus en détail

ConneCtez-vous au soleil. au soleil

ConneCtez-vous au soleil. au soleil ConneCtez-vous au soleil ConneCtez-vous au soleil «L éclairage intérieur est un trait de caractère majeur de l ambiance d un bâtiment. Une lumière naturelle engendre une sensation de bien-être et de confort

Plus en détail

L été est arrivé et les vacances aussi.

L été est arrivé et les vacances aussi. L été est arrivé et les vacances aussi. Toute la famille se prépare pour aller à la plage, es-tu prêt à en profiter avec eux? Hélios et Hélia ont hâte de retrouver leurs amis et surtout de profiter de

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

RDP : Voir ou conduire

RDP : Voir ou conduire 1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle

Plus en détail

RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS

RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS L A S É C UR I T É RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS L A S É C UR I T É RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS LA SÉCURITÉ RELIÉE AUX LASERS Conception et rédaction Marie-Josée Ross, ing. Conception graphique,

Plus en détail

En mars 2001, à l occasion d une journée

En mars 2001, à l occasion d une journée Solutions Cetiat MESURES ACOUSTIQUES TROIS NORMES POUR MESURER LE BRUIT DES MACHINES La chasse au bruit oblige les fournisseurs à tenir compte des caractéristiques acoustiques de leurs matériels de plus

Plus en détail

AF 2014-2015. Secteur. Titre. Comité. multimédia et récepteurs. Luminaires. nucléaires. Aspects systèmes Réseaux industriels

AF 2014-2015. Secteur. Titre. Comité. multimédia et récepteurs. Luminaires. nucléaires. Aspects systèmes Réseaux industriels Demandes approuvées au regard du CAN-P-2018 AF 2014-2015 Comité CEI/CISPR/A CEI/CISPR/I CEI/SC17A CEI/SC31G CEI/SC31J CEI/SC34D CEI/SC45A CEI/SC45B CEI/SC62A Titre Mesures des perturbations radioélectriques

Plus en détail

une centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse)

une centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse) L ANTI-INTRUSION Comment assurer la sécurité des biens et des personnes? Définitions La détection intrusion a pour finalité principale la détection de personnes qui forcent ou tentent de forcer les protections

Plus en détail

INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES

INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES index ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATIONS DL 2101ALA DL 2101ALF MODULES INTERRUPTEURS ET COMMUTATEURS DL 2101T02RM INTERRUPTEUR INTERMEDIAIRE DL 2101T04 COMMUTATEUR INTERMEDIAIRE

Plus en détail

HELIOS UNITÉ SUSPENDUE

HELIOS UNITÉ SUSPENDUE HELIOS UNITÉ SUSPENDUE INDIVIDUELLE AVEC 1 BRAS À HAUTEUR FIXE code: PS1BLF rev. 5 du 10.02.2006 (dans les illustrations exemples de configuration HELIOS et modules de gaz et eletriques) INFORMATIONS GÉNÉRALES

Plus en détail

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Le code du travail précise que pour réaliser des opérations sur ou à proximité d une installation électrique, le travailleur doit être habilité.

Le code du travail précise que pour réaliser des opérations sur ou à proximité d une installation électrique, le travailleur doit être habilité. Généralités Le code du travail précise que pour réaliser des opérations sur ou à proximité d une installation électrique, le travailleur doit être habilité. L habilitation est la reconnaissance, par l

Plus en détail

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Apprivoisons le soleil!

Apprivoisons le soleil! Apprivoisons le soleil! une initiative de la Communauté française 1. Sommaire soleil et plaisir, bien-être soleil et risques pour la santé soleil et prévention baignades et bains de soleil activités sportives

Plus en détail

Formation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009

Formation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009 Formation des formateurs relais 3RB Paris, 2 et 3 avril 2009 Cadre juridique Formation 3RB -2 et 3 avril 2009 2 Sommaire 1. Introduction: prévention et textes juridiques 2. Hiérarchie des textes 3. Sélection

Plus en détail

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION? QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition

Plus en détail

La santé par la lumière Health by light

La santé par la lumière Health by light Health by light ventes Health by light Un mot du président Cher Client, Laboratoire LEDMA est une entreprise innovatrice, consciencieuse et soucieuse d offrir des produits de haute qualité. Nos produits

Plus en détail

Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules

Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant

Plus en détail

Intelligence économique Interaction avec la normalisation

Intelligence économique Interaction avec la normalisation Plan de la présentation Le mastère IE de l EISTI Spécificité: la chaire Normalisation Rappel des fondamentaux de l IE La chaire et son contenu : Comment et pourquoi la normalisation est un outil fondamental

Plus en détail

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

Cancer et environnement

Cancer et environnement PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains

Plus en détail

CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation?

CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? Sommaire page 2 > A { Qu est ce qu une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE)?

Plus en détail

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs

touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

PRESENTATION. I. Une obligation réglementaire. A. Décret de la fonction publique

PRESENTATION. I. Une obligation réglementaire. A. Décret de la fonction publique Hygiène et sécurité PRESENTATION I. Une obligation réglementaire A. Décret de la fonction publique Décret no 82-453 du 28 mai 1982 modifié par le décret n 95-680 du 9 mai 1995, relatif à l hygiène et

Plus en détail

Habilitation électrique

Habilitation électrique Habilitation électrique Structure et organisation Notre Partenaire adopte un concept de transfert adapté s appuyant sur le principe de construction dans la culture d entreprise. Ces programmes pédagogiques

Plus en détail

Illustration Publication

Illustration Publication Illustration Publication Publication C C 18 18 510 510 Illustration HABILITATION CFA GUSTAVE EIFFEL BORDEAUX Domaines de de tension tension Domaines 2 L habilitation L habilitation C'est la reconnaissance,

Plus en détail

La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique

La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique Ahmed Meghzifene Chef de la Section Dosimétrie et Physique Médicale, Division de la Santé Humaine, Dept

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES L ECLAIRAGE DES. Travail dirigé par : Thierry ATHUYT. Professeur associé

MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES L ECLAIRAGE DES. Travail dirigé par : Thierry ATHUYT. Professeur associé MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES P.R.N.T. L ECLAIRAGE DES LOCAUX DE TRAVAIL Travail dirigé par : Thierry ATHUYT Professeur associé Faculté de pharmacie Marseille Unité d enseignement

Plus en détail