Cà gratte partout - cas 2. La dermatite atopique. Pré-test 1 CAS CLINIQUE 2 CAS CLINIQUE 2. Pré-test 2 (fin)
|
|
- Coraline Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CAS CLINIQUE 2 Pré-test 1 Cà gratte partout - cas 2 La dermatite atopique F. Leclercq X. Lefebvre EPU Amiens Sud -25 Avril 2014 Question 1. Le prurit est un critère diagnostique facultatif dans la dermatite atopique Question 2. La dermatite atopique nécessite dans la majoritédes cas un bilan allergologique Question 3. Un enfant de deux ans peut utiliser trois tubes par mois de LOCATOP sans problèmes CAS CLINIQUE 2 Pré-test 2 (fin) Question 4. Les bains corporels sont le plus souvent déconseillés Question 5. Les antihistaminiques sont peu utiles et ne font pas partie des recommandations Question 6. La dermatite atopique a rarement tendance àla guérison spontanée
2 Psoriasiforme = assez bien limité Eczématiforme = mal limité, émietté, aux limites imprécises floues mal dessinées Dermatite atopique : la clinique des lésions inflammatoires bilatérales et symétriques des grands plis coudes genoux poignets prurigineuses une xérose cutanée = sécheresse des petits signes : fissures sous les oreilles, chéilite, eczéma de la base de la verge, pulpite du pouce
3 DA : critères diagnostiques lésions inflammatoires bilatérales et symétriques des grands plis coudes genoux poignets prurigineuses xérose cutanée = sécheresse des petits signes : fissures sous les oreilles, chéilite, eczéma de la base de la verge, pulpite du pouce obligatoire : DERMATOSE PRURIGINEUSE associée àau moins 3 des critères suivants ATCD personnels d eczéma des plis de flexion(fosses antécubitales, creux poplités, face antérieure des chevilles, cou) et/ou des joues chez les enfants de moins de 10 ans ATCD personnels d asthme ou de rhume des foins (ou antécédents d asthme, de dermatite atopique, ou de rhinite allergique chez un parent au premier degré, ceci chez l enfant de moins de 4 ans) ATCD de peau sèche généralisée (xérose) au cours de la dernière année Eczéma des grands plis visible ou eczéma des joues, du front et des convexités des membres chez l enfant de moins de 4 ans. Eczéma évoluant par poussées Début des signes cutanés avant l âge de 2 ans(critère utilisable chez les plus de 4 ans seulement) United Kingdom Working Party (Williams et al., Br J Dermatol 1994 ; 131 : 4066) Dermatite atopique de 0 à 2 ans Début en général vers trois mois, manifestations plus précoces sont possibles dans 85 % des cas avant 5 ans zones convexes du visage avec respect des zones médianes, du nez en particulier, et sur le tronc épargnant généralement la zone des couches +/- plis dès cet âge, (plus rare àcet âge, se voit plus chez l'enfant plus grand. Fréquemment suintement et impétiginisation, croûtes jaunatres. prurit(parfois cependant difficile àmettre en évidence chez le nourrisson) insomnie, agitation, frottement des joues sur le drap, l'oreiller, des pieds l'un sur l'autre, l'enfant se tortillant à peine découvert Peu àpeu la peau devient plus sèche, et parfois même dès cette tranche d'age, les lésions chroniques prennent un aspect nummulaire = arrondi, bien limité, en particulier au niveau du tronc, surtout sur les mamelons. Parfois tableau beaucoup plus discret,aspect plus rugueux de la peau, en particulier sur les convexités Dermatite atopique de 2 à 16 ans Lésions svt + localisées, stt aux plis (cou, coudes, genoux) +/-en fonction des enfants sur des zones comme les mains, les poignets, les chevilles, fréquentes fissures sous auriculaires Ces lésions peuvent être chroniquesou se majorer en automne-hiver risque de surinfection ++++ : impétiginisation lésions très croûteuses, jaunâtres, voire des pustules La chronicité de poussées svt localisées dans les mêmes topographies lichénification Les signes mineursde DA comme les plis sous palpébraux, (signes de Dennie-Morgan), une pigmentation infra orbitaire, une xérose marquée de la peau sont souvent bien visibles dans cette tranche d'âge.. La xérosecutanée peut véritable ichtyose : aspect de peau sèche, petites écailles surtout aux jambes, +/- mains avec plis palmaires accentués dartres achromiantes ou pityriasis alba, au visage des petites lésions arrondies, sèches, blanchâtres svt visibles après l'étéoùelles sont plus visibles du fait du contraste avec le bronzage +/- aspect de pulpite sèche et fissuraire +/- peau épaissie et craquelée des pieds Chez l'enfant noir souvent accentuation folliculaire des lésions, avec des petites papulesfolliculaires notamment au tronc Dermatite atopique de 16 à 80 ans Svt recrudescence des poussées àl'adolescence, alors qu'il y avait eu une période de rémission depuis la petite enfance. Parfois la DA débute àl'âge adulte diagnostic différentiel avec nombreuses pathologies inflammatoires parfois chroniques, +++ histologie cutanée nécessaire DA? Lymphomes? Head and neck dermatitis : aspect particulier observé chez le grand enfant et l'adulte avec atteinte de la tête et cou prédominante. allergènes aéroportés? sensibilisation à la levure malassezia...? DA : localisations selon l âge
4 DA : bilan allergologique inutile Que dire aux parents? Sauf dans 4 circonstances assez rares 1)DA particulièrement sévère 2)DA avec cassure de la courbe de croissance 3)DA avec signes d allergie respiratoire ou digestive 4)DA résistant à un traitement local bien conduit Evolution par poussées et rémissions la plupart du temps guérison avant la puberté les dermatites atopiques persistant àl âge adulte sont rares complications rares : impétigo, Kaposi- Juliusberg, cataracte, retard de croissance, eczémas de contact (penser àl orientation professionnelle) Traitement en première intention CORTICOTHERAPIE LOCALE + EMOLLIENT -de classe II sur le visage TRIDESONIT LOCAPRED - de classe III sur le corps LOCATOP NERISONE FLIXOVATE LOCOID PAS D ANTIHISTAMINIQUES la plupart du temps : +/-sédatifs pour un cap difficile le temps que le traitement local soit efficace. SI INFECTION antiseptique moussant (type chlorhexidine), soigneusement rincé pour ne pas accroître la sécheresse cutanée chaque fois que la peau est très suintante et impétiginisée Antibiothérapie générale au coup par coup en cas d'impétiginisation franche, avec essentiellement des antibiotiques antistaphylococciques Pourquoi de la crème hydratante? 2006 : environ 30 % des DA ont une mutation de gènes codant pour des protéines de la couche cornée, notamment la filagrine, altération de la barrière cutanée : tel un buvard la peau laisse passer les molécules d allergènes Parallèlement nombreuses anomalies génétiques forte prédisposition aux phénomènes de sensibilisation IgE médiée... Enfin une récente étude estime que l augmentation de la prévalence de la DA dans les pays industrialisés serait la conséquence d une diminution de l exposition du système immunitaire des enfants aux antigènes microbiens entraînant des réactions d hypersensibilité. La restauration de la barrière cutanée le plus tôt possible sans attendre l installation d un eczéma est le 1 er objectif : limiter les sensibilisations aux allergènes et pourrait aussi éviter l évolution du processus atopique vers un asthme Importance des émollients La peau de la DA est une véritable passoire pour allergènes (mutation d une protéine qui rend la peau perméable aux aéroallergènes) Les recommandations sont de les utiliser AU MOINS UNE FOIS PAR JOUR Amélioration de la barrière cutanée: les soins émollients L intérêt des soins émollients au cours de la DA a étéclairement démontré utiliser ces émollients au long cours àpartir du moment oùil y a une xérose (sécheresse) cliniquement nette. une application quotidienne Ce rythme peut être de 2 chez le nourrisson si la faisabilité«familiale» le permet Crèmes >>> pommades..difficiles à faire pénétrer. expliquer aux patients qu'il s'agit d'un traitement à poursuivre au long cours en dehors des poussées
5 Autres soins d hygiène de la DA syndets surgras. Respect du ph Antiseptiques moussants uniquement si tableau dominé par l infection (impétigo ) Savons àéviter car irritation cutanée Stop au savon d Alep Ph 9-10 Stop au savon de Marseille ph 8-9 Traitement de deuxième ligne? DA localisée: tacrolimus PROTOPIC 0.03 % chez l enfant, médicament dit d exception, deux fois par jour trois semaines puis arrêt DA étendue : photothérapie UVB ou UVA type puvathérapie après l âge de huit ans action immunosuppressive et lymphocytotoxique Immunosuppresseurs : 3è intention DA sévères de l adulte Cures thermales? peu d'études prouvent une efficacité initiés souvent en hospitalisation Cyclosporine NEORAL Azathioprime IMUREL Mycophénolate mophétil Méthotrexate.. bienfait indiscutable est svt rapportépar les familles rupture avec un quotidien parfois lourd? Orientation professionnelle? MESSAGE métiers àrisque +++ d eczéma de contact des mains CALVAIRE dans la coiffure, esthéticienne, infirmiers, cuisiniers, métiers du nettoyage ou de la restauration ou du bâtiment corticothérapie locale chez l enfant un tube par mois àdeux ans deux tubes par mois àdix ans de la crème hydratante. encore et toujours, véritable traitement
6 CAS CLINIQUE 2 Pré-test CAS CLINIQUE 2 Pré-test 1 Réponse question 1. Le prurit est un critère diagnostique facultatif dans la dermatite atopique B faux. Le prurit est un critère diagnostique majeur indispensable, prurit, incessant, interminable qui ne laisse pas de répit Réponse question 2. La dermatite atopique nécessite dans la majoritédes cas un bilan allergologique B faux. Le bilan allergologique est rarement prescrit, il est discutédans le cadre - d'une dermatite atopique particulièrement sévère - d'une dermatite atopique résistant à un traitement local bien conduit - d'une dermatite atopique avec cassure de la courbe de croissance - d'une dermatite atopique accompagnés de signes d'allergie respiratoire ou digestive Réponse question 3. Un enfant de deux ans peut utiliser trois tubes par mois de LOCATOP sans problèmes B faux. Un enfant de deux ans a droit a un tube par mois de corticoïde de classe II, deux tubes par mois àdix ans maximum, Réponse question 4. Les bains corporels sont le plus souvent déconseillés B faux. Les bains sont au contraire recommandés en raison du portage accru de staphylocoques cutanés, bains d'une durée brève en évitant l'eau très chaude, certaines études recommandent l adjonction d une demi tasse d eau de Javel dans le bain Réponse question 5. Les antihistaminiques sont peu utiles et ne font pas partie des recommandations A vrai. Les antihistaminiques n'ont qu'un intérêt très modeste dans la dermatite atopique sauf en cas de dermatite atopique très sévère CAS CLINIQUE 2 Pré-test 2 (fin) Réponse question 6. La dermatite atopique a rarement tendance à la guérison spontanée B. faux. La dermatite atopique évolue dans la majoritédes cas vers la guérison dans l'enfance ou aux alentours de la puberté. Les dermatites atopiques persistants àl âge adulte sont rares. Dans la majoritédes cas la DA est spontanément résolutive dans l'enfance. Sur 100 DA ayant débutéavant l âge de 1 an, 50 seront quasi guéries sur le plan cutanéaprès l âge de 5 ans. Seulement 15% de ces enfants auront des manifestations de DA persistantes après la puberté. Les DA qui débutent plus tard sont plus persistantes dans le temps. Le risque de développer un asthme ou une rhinite pour un nourrisson atteint de DA avec un de ses parents au premier degréatteint égaiement de DA serait de 40%.
Les eczémas: l approche au cabinet
Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1
Plus en détailPSORIASIS. Dr Le Duff 2010 Service de Dermatologie Hôpital Archet 2 Nice -
PSORIASIS Dr Le Duff 2010 Service de Dermatologie Hôpital Archet 2 Nice - Qu est ce que le psoriasis? Maladie de la peau inflammatoire chronique Physiopathologie mal connue Non contagieux! Facteurs génétiques
Plus en détailModule transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires
Enseignement National Classant Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Psoriasis J.-J. GUILHOU (Montpellier), L. DUBERTRET (Paris, St Louis), B. CRICKX (Paris, Bichat),
Plus en détailAUTO QUESTIONNAIRE MOINS DE 15 ANS
Nous vous remercions d avance de bien vouloir répondre aux questions posées dans les questionnaires qui vous sont proposés en suivant les consignes indiquées. QUESTIONNAIRE N 1 Veuillez répondre à toutes
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailAvis 17 octobre 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)
Plus en détailLe psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003
Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Pré-requis : QCM (bonne réponse) Le psoriasis est : A - une dermatose érythémato-squameuse B - Fréquente C - Pouvant être traité par les bêta-bloquants
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailgale - Brochure d information -
gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailPour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire
Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs
Plus en détailPEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS
PEDICULOSES PARASITOSES Hélène DALMAS Les pédiculoses (poux), la gâle sont dues à une infestation de l homme par des parasites. Ile se transmettent par contact avec une personne atteinte. Ils sont surtout
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailTraitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.
SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailPrescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde
Examen National Classant Module transdisciplinaire 11 : Synthèse clinique et thérapeutique Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde Item n o 174 : Prescription et surveillance des anti-inflammatoires
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailDermatite de contact d'origine professionnelle : conduite à tenir. Gaël Kerbaol/INRS ÉPIDÉMIOLOGIE
ALLERGOLOGIE PROFESSIONNELLE Allergologie-dermatologie professionnelle Dermatite de contact d'origine professionnelle : conduite à tenir AUTEUR : M.N. Crépy, Dermatologie professionnelle, Hôpital Cochin,
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailDIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr
DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! Association de médecins, de scientifiques et de spécialistes des UV, l Institut Français Soleil & Santé (IFSS) a pour vocation de
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailRISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR
RISQUES SOLAIRES CE QU IL FAUT SAVOIR POUR QUE LE SOLEIL RESTE UN PLAISIR PROFITEZ DU SOLEIL EN TOUTE SÉCURITÉ Nous profitons tous du soleil et en connaissons ses bienfaits : il dope le moral et favorise
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailComprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu
Comprendre son Psoriasis du Cuir Chevelu Vous avez un psoriasis du cuir chevelu ou une personne de votre entourage en est atteinte. Cette brochure vous est destinée. Grâce aux informations transmises,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLE PSORIASIS EN 20 QUESTIONS
LE PSORIASIS EN 20 QUESTIONS UF Allergologie et Immunologie Clinique, CH Lyon-Sud Université Lyon1, UFR Médecine Lyon-Sud 1. Qu est-ce que le psoriasis? Est-ce une maladie «orpheline»? 2. Comment se présente
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailL été est arrivé et les vacances aussi.
L été est arrivé et les vacances aussi. Toute la famille se prépare pour aller à la plage, es-tu prêt à en profiter avec eux? Hélios et Hélia ont hâte de retrouver leurs amis et surtout de profiter de
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailQUIZ 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ
QUIZ? 260-81512-B SE PROTÉGER DU SOLEIL, C EST PROTÉGER SA SANTÉ Testez vos enfants 10 questions pour jouer avec vos enfants 2. Nous sommes tous sensibles au soleil. VRAI! Le soleil est dangereux pour
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailGUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération
GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les
Plus en détailLES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE
LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie
Plus en détailPharmacie galénique et dermatologie. En fonction de quels critères médicaux choisir les excipients en consultation?
Pharmacie galénique et dermatologie En fonction de quels critères médicaux choisir les excipients en consultation? Dr Ch. Defresne Mars 2005 Excipients disponibles Listes disponibles : Formulaire national
Plus en détailRessources pour l'école maternelle. Vocabulaire Grande section. Thème : le corps humain. Ressources pédagogiques. février 2014
éduscol Ressources pédagogiques Ressources pour l'école maternelle Vocabulaire Grande section février 2014 MEN/DGESCO http://eduscol.education.fr NOTIONS TRAVAILLEES : LE CHAMP LEXICAL LES EXPRESSIONS
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailBaccalauréat Professionnel «Accompagnement, soins et services à la personne» Lycée Guillaume Budé Limeil- Brevannes
Baccalauréat Professionnel «Accompagnement, soins et services à la personne» Lycée Guillaume Budé Limeil- Brevannes E Méchineau : enseignante BTSE S Grisolle : enseignante STMS Le bac Pro ASSP Option D
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc
NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailCentre Hospitalier d'avignon Onco-hématologie Secteur Protégé Livret de conseils esthétiques HSP INF 01 D Version n 1 - Juin 2013 p.
Livret de conseils esthétiques Serrviice ssectteurr prrottégé d Hémattollogiie du centtrre hosspiittalliierr d Aviignon HSP INF 01 D Version n 1 - Juin 2013 p. 1/17 - Rédigé par : IDE Secteur Protégé -
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailLes enfants non vaccinés sont en bonne santé!
Les enfants non vaccinés sont en bonne santé! Les médecins, même allopathes, commencent sérieusement à se poser des questions sur les vaccinations. Il est certain en tout cas qu ils vaccinent moins leurs
Plus en détailMinistère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis
Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis! " Ce produit pédagogique numérisé est la propriété exclusive de l'uvt. Il est strictement
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailDÉMANGEAISONS. Dermatites. Affections Causes, stratégie. allergiques. localisées: thérapeutique. Otites, Hot spot... Page 1. DAPP, atopie...
DÉMANGEAISONS c h e z l e c h i e n Le prurit Dermatoses Dermatites Complications Affections Causes, stratégie parasitaires allergiques infectieuses localisées: thérapeutique Puces, gales, aoûtats... DAPP,
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailDate de l événement d origine Date de récidive, rechute ou aggravation. Date d expiration. Date de la visite. Membre supérieur Membre inférieur
N o d assurance maladie ATTESTATION MÉDICALE Code RAMQ 09926 Prénom et nom à la naissance Date de naissance Année Mois Jour Sexe Année Mois Date d expiration Init. Nom du médecin N o de permis N o de groupe
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailLes Produits Hydro-Alcooliques et les professionnels de santé : faisons le point sur les risques!
Réseau des Hygiénistes du Centre Journée Régionale de Formation Mardi 14 octobre 2014 Les Produits Hydro-Alcooliques et les professionnels de santé : faisons le point sur les risques! Dr C. Lazor-Blanchet
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailMaintien. Maintien et Immobilisation
Maintien Maintien et Immobilisation Sangles de maintien pour fauteuil et lit Le système d attache rapide permet une fixation sûre et permanente des ceintures ARPEGIA. Dans tous les cas, une boucle unique
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailPIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.
Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,
Plus en détailGuide. Chirurgie d un jour. Enfant (moins de 14 ans) HÔPITAL DE MARIA RÉVISÉ NOVEMBRE 2006
Guide Chirurgie d un jour Enfant (moins de 14 ans) RÉVISÉ NOVEMBRE 2006 HÔPITAL DE MARIA Chirurgie d un jour Contenu Avant la chirurgie... 2 À l unité de soins... 4 Au départ pour la salle d opération...
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailObjectifs pédagogiques. Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
17 Item 123 Psoriasis Objectifs pédagogiques Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Points clés Le psoriasis est une dermatose érythémato-squameuse
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailDate: Avant de commencer, nous aimerions savoir à qui nous devons un immense MERCI! pour t avoir référé à nous
1 457 route 105, unité 2 Chelsea (QC) J9B 1L2 (819) 827-4499 Fax : (819) 827-4459 Drmartine4kids@hotmail.com www.chelseachiro.com Formulaire pour les nouveaux Petits Date: Avant de commencer, nous aimerions
Plus en détailCANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes.
CANCERS DE LA PEAU Définition Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. Les mélanomes Ces tumeurs se développent dans les mélanocytes,
Plus en détailENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS
ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS Le mortier de finition Ad Lucem est un revêtement poreux à base de ciment. Le vitrificateur professionnel Ad Lucem forme un film très résistant qui le protège des tâches, des
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailQUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS
CONFIDENTIEL QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS Veuillez SVP répondre à toutes les questions. Tout les renseignements que vous fournissez dans ce questionnaire resteront strictement confidentielles.
Plus en détailPsoriasis Définition :
Psoriasis Définition : Le psoriasis est une maladie chronique et non contagieuse de la peau qui, à ce jour est mal connue, en partie génétique. Le psoriasis se caractérise par des anomalies immunologiques
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailPetits conseils bien utiles pour bébé. Ce livret a été élaboré par les sages-femmes, les puéricultrices et les pédiatres de l établissement.
Petits conseils bien utiles pour bébé Ce livret a été élaboré par les sages-femmes, les puéricultrices et les pédiatres de l établissement. Dernière mise à jour = 2014 04 Petits conseils bien utiles pour
Plus en détail