Thésaurus EUROVOC. Volume 2 Présentation thématique. Édition 4.1

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1 Thésaurus EUROVOC Volume 2 Présentation thématique Édition 4.1

2 Internet: Une fiche bibliographique figure à la fin de l'ouvrage. Luxembourg: Office des publications officielles des Communautés européennes, 2004 ISBN Communautés européennes, 2004 Reproduction autorisée moyennant mention de la source. Printed in Luxembourg IMPRIMÉ SUR PAPIER BLANCHI SANS CHLORE

3 INTRODUCTION Raison d être du thésaurus Eurovoc Chaque année, la documentation produite par l activité de l Union européenne s accroît de plusieurs milliers, voire de plusieurs dizaines de milliers d unités documentaires. Face à cette masse croissante d information, les services documentaires des institutions de l Union ont cherché à se doter d un outil d indexation. Ce besoin s est fait particulièrement sentir à l Office des publications pour le catalogue des publications des institutions et pour les tables du Journal officiel, ainsi qu au Parlement européen pour la documentation parlementaire et pour la bibliothèque. Après étude des outils disponibles, l Office des publications et le Parlement européen ont décidé d élaborer un thésaurus multilingue couvrant tous les domaines d activité de l Union européenne: le thésaurus Eurovoc. Le travail de sélection des descripteurs et de structuration du thésaurus fut entrepris dès 1982 par une équipe de documentalistes et de bibliothécaires des services du Parlement européen, de la Commission des Communautés européennes et de l Office des publications. Ce travail a reçu l appui de la direction générale «Marché de l information et de l innovation» de la Commission, dans le cadre de sa politique de soutien à la construction de thésaurus multilingues. La première édition du thésaurus Eurovoc fut publiée en 1984 en sept langues. Eurovoc a dû s adapter aux évolutions de l Union européenne, aux changements géopolitiques et linguistiques. En plus des mises à jour habituelles, Eurovoc a connu plusieurs révisions linguistiques et a intégré successivement les nouvelles langues: neuf langues en 1987 et onze en La dernière mise à jour de grande ampleur fut la quatrième version diffusée en novembre Le projet de mise en chantier de la nouvelle version a formellement commencé le 12 octobre 1999 quand le comité de direction de l Office des publications a décidé de lancer une révision complète du thésaurus Eurovoc après quatre années d application. La responsabilité de ce projet a été confiée à deux comités interinstitutionnels le comité de pilotage et le comité de maintenance. Les deux comités sont composés de représentants des institutions concernées par ce projet: le Parlement européen, le Conseil de l Union européenne, la Commission européenne, la Cour des comptes et la Cour de justice. Eurovoc est devenu le fruit d un véritable effort coopératif rassemblant non seulement les institutions européennes mais également les parlements nationaux qui sont de plus en plus actifs dans l évolution de la maintenance de Eurovoc. L essentiel des propositions de mises à jour effectuées pour l élaboration de la quatrième version provenait des parlements nationaux (espagnol, russe, belge, portugais, tchèque, polonais et roumain), du Parlement européen et de l Office des publications. Une équipe de traducteur terminologues de la Commission s est chargée de la mise au point de chaque version linguistique. Eurovoc a joué un rôle important en facilitant le processus d élargissement par son utilisation dans l indexation de la législation européenne et des textes associés (jurisprudence, etc.); il a permis un accès aisé et incomparable à l acquis communautaire et, grâce à la normalisation de la terminologie, il a également évité des problèmes dans la préparation et/ou la traduction d actes législatifs. Au moment où nous écrivons, nous attendons l élargissement de l Union européenne en mai de cette année. Cela permettra d ajouter neuf langues officielles aux onze langues déjà existantes. De nouveaux outils pour gérer et diffuser le thésaurus Eurovoc Le 22 décembre 2000, les utilisateurs d Eurovoc ont pu accéder pour la première fois au site Internet Eurovoc ( Cet accès à Eurovoc via le web lui a apporté une augmentation notable de son audience. Le site permet à l utilisateur de consulter le thésaurus de manière simple et proche de la version papier. En plus d une consultation thématique et alphabétique (recherche par terme), le site offre diverses possibilités: lexique de termes appartenant à un microthésaurus; traduction d un descripteur ou de l environnement sémantique complet d un descripteur, liste multilingue, téléchargement au format PDF. En même temps que l ouverture du site Internet, les membres du comité de maintenance ont pu accéder au système de maintenance Eurovoc utilisant la technologie web. Ce système entièrement développé pour les besoins du dispositif de maintenance Eurovoc permet de gérer tout type de modification, d effectuer des propositions, de visualiser et d acquérir les propositions des autres utilisateurs, enfin de voter sur ces propositions. Le système de maintenance est aujourd hui accessible au comité de maintenance et aux parlements nationaux pour proposer des changements, ainsi qu aux terminologues-traducteurs pour les mises à jour dans toutes les versions linguistiques. 3

4 Information des utilisateurs De façon régulière, le Parlement européen organise une conférence consacrée au thésaurus Eurovoc. Cette rencontre permet aux utilisateurs de partager leurs expériences; d échanger leurs points de vue; de présenter les évolutions de la maintenance du thésaurus Eurovoc ainsi que les perspectives futures. Le Centre européen de recherche et documentation parlementaires (CERDP) établit un contact entre les services de documentation de tous les parlements membres du Conseil de l Europe. Un de ses objectifs est de faciliter l échange d informations entre les parlements. Ce réseau de coopération multilingue a été un autre facteur de développement de l utilisation d Eurovoc. La contribution à l évolution d Eurovoc se développe également au sein même des institutions et organes de l Union européenne: les bibliothèques de ceux-ci ont mis sur pied une structure de coopération, Eurolib. Ceci permet l échange régulier d expériences au sein des institutions de l Union européenne et l extension de la coopération dans le catalogage et l analyse des documents. Dernière édition et avenir d Eurovoc Nous vous présentons aujourd hui la version 4.1 du thésaurus. Le thésaurus Eurovoc évolue sous l impulsion de tous ses utilisateurs car cette nouvelle version a été conçue principalement à partir des propositions des parlements nationaux. Ces derniers confirment ainsi leur volonté de participer à l évolution d Eurovoc. Un thésaurus est une matière vivante qui se développe en fonction des besoins ressentis par les indexeurs et les utilisateurs de fonds documentaires et de bases de données. Ceci est particulièrement vrai pour Eurovoc qui doit traduire les concepts, en permanente évolution, de l Union européenne. Le comité de pilotage Eurovoc et son comité de maintenance recueilleront avec intérêt toutes les suggestions que vous pourrez leur adresser pour le développement et l amélioration de la qualité du thésaurus. Dick TOORNSTRA Président du comité de pilotage Eurovoc Directeur de la documentation parlementaire Parlement européen DToornstra@europarl.eu.int 4

5 PRESENTATION ET GUIDE D UTILISATION Table des matières 1. Présentation Objectifs Objectifs d un thésaurus Objectifs du thésaurus Eurovoc Avantages et limites Domaines couverts Historique Éditions successives Les débuts de Eurovoc L édition L édition L édition L édition L édition Principales utilisations Versions linguistiques Normes utilisées Structure Domaines et microthésaurus Relations sémantiques Notes d application ou de définition Relations d appartenance au microthésaurus Relation d équivalence Relation hiérarchique Relation d association Caractéristiques quantitatives Présentations sur papier Présentation alphabétique permutée Présentation thématique Fichiers éléctroniques Gestion et maintenance Conseils pour l utilisation Conseils pour l indexation des documents Conseils pour la formulation des questions 20 Liste des domaines et des microthésaurus 22 Annexe: Fiche de maintenance 5

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7 1. Présentation 1.1. Objectifs Objectifs d un thésaurus Un thésaurus est une liste structurée d expressions destinées à représenter de manière univoque, dans un système documentaire, les concepts contenus dans les documents et dans les questions posées à ce système. Le langage utilisé librement par les auteurs de documents et par les utilisateurs qui recherchent ces documents est en effet souvent ambigu. Un concept peut être exprimé par plusieurs synonymes (par exemple, agro-industrie, industrie agricole, industrie agroalimentaire); un document qui serait représenté par l un de ces synonymes ne pourrait pas être retrouvé, à partir d une question portant sur un autre synonyme; l un des rôles du thésaurus est d éliminer les inconvénients de la synonymie: l un des synonymes est choisi, de façon plus ou moins arbitraire, comme descripteur; les autres synonymes du même concept reçoivent le statut de non-descripteurs. Seuls les descripteurs peuvent être utilisés pour indexer les documents et les questions, c est-à-dire pour représenter leur contenu conceptuel; les nondescripteurs, également présents dans le thésaurus, permettent aux utilisateurs de savoir quel est le descripteur à utiliser. L établissement d une correspondance entre concepts identiques, mais exprimés dans des langues différentes, permet de plus, à l utilisateur d un thésaurus multilingue, d interroger le système documentaire dans sa propre langue, et de retrouver les documents indépendamment de la langue d indexation. Un terme peut avoir différentes significations (par exemple, presse peut signifier journalisme ou machine à presser); la réponse à une question portant sur un terme homonyme contiendrait des documents n ayant aucun rapport avec le sujet recherché; l un des rôles du thésaurus est d éliminer les inconvénients de l homonymie: chaque descripteur est placé dans un contexte tel que sa signification est univoque. Un thésaurus comporte donc: des descripteurs, c est-à-dire des mots ou des expressions qui désignent de manière non ambigüe les concepts constitutifs du domaine couvert par le thésaurus (par exemple, application de la loi), des non-descripteurs, c est-à-dire des mots ou des expressions qui désignent, dans le langage naturel: les mêmes concepts (par exemple, exécution de la loi, mise en oeuvre de la loi), des concepts équivalents (par exemple, validité de la loi), des concepts spécifiques, auxquels on donne le statut de non-descripteurs, parce que leur utilisation est peu fréquente (par exemple, banane, fruit tropical). des relations sémantiques, c est-à-dire des relations liées au sens des termes, entre descripteurs et non-descripteurs d une part, entre descripteurs d autre part Objectifs du thésaurus Eurovoc Eurovoc est un thésaurus multilingue spécialement construit, à l origine, pour le traitement de l information documentaire des institutions de l Union européenne. Eurovoc est néanmoins un thésaurus multidisciplinaire suffisamment large pour englober les points de vue non seulement communautaires, mais également nationaux, avec un accent sur l activité parlementaire. Il se présente ainsi comme un outil utilisable en dehors des institutions de l Union européenne, en particulier par les parlements. L objectif du thésaurus est d une part de fournir aux services de diffusion de l information un outil d indexation cohérent afin de gérer efficacement la masse croissante de documents et de publications, et d autre part de permettre aux utilisateurs d élaborer des recherches documentaires fructueuses Avantages et limites Avantages Normalisation terminologique des vocabulaires d'indexation des documents à introduire dans une base de données documentaires et de formulation des questions lors de l interrogation de cette même base de données, permettant une grande efficacité de la recherche documentaire, multilinguisme, permettant d'indexer les documents dans la langue du documentaliste et de rechercher ces documents dans la langue de l'utilisateur, possibilité d établir des réseaux de coopération entre services documentaires utilisant Eurovoc, évitant ainsi des doubles emplois. 7

8 Limites Eurovoc a été construit pour répondre aux besoins de systèmes documentaires généraux sur les activités de l Union européenne; il ne convient pas pour des documentations spécialisées, d'autre part, même si un effort est fait pour prendre en compte les besoins des utilisateurs en dehors des institutions de l Union européenne, Eurovoc ne peut pas prétendre couvrir les différentes réalités nationales à un niveau suffisamment spécifique Domaines couverts Le thésaurus Eurovoc couvre tous les domaines intéressant les activités des institutions européennes: vie politique, relations internationales, communautés européennes, droit, vie économique, échanges économiques et commerciaux, finances, questions sociales, éducation et communication, sciences, entreprise et concurrence, emploi et travail, transports, environnement, agriculture, sylviculture et pêche, agroalimentaire, production, technologie et recherche, énergie, industrie, géographie, organisations internationales. Certains domaines sont plus développés que d autres, parce qu ils touchent davantage aux centres d intérêt de l Union européenne. Ainsi, par exemple, Eurovoc contient les noms des régions de chacun des pays membres del Union européenne, mais pas des pays tiers. Il convient par ailleurs d insister sur l une des caractéristiques des thésaurus en général, et d Eurovoc en particulier: le regroupement des descripteurs par domaine est dans une certaine mesure arbitraire. Certains descripteurs peuvent en effet relever de deux ou de plusieurs domaines. Or, pour faciliter la gestion du thésaurus et en limiter le volume, il est généralement admis qu il faut limiter la poly-hiérarchie, c est-à-dire l inclusion systématique de chaque descripteur dans tous les domaines auquel il pourrait appartenir. Les descripteurs qui pourraient s insérer dans deux ou plusieurs domaines ne sont généralement affectés qu au domaine qui semble le plus naturel aux utilisateurs. Ainsi les différentes politiques de l Union européenne qui pourraient relever du domaine «Communautés européennes» se trouvent en réalité dans les domaines qui les concernent directement: par exemple, le descripteur «politique agricole commune», dans le domaine «agriculture, sylviculture et pêche», et le descripteur «politique communautaire de la recherche», dans le domaine «production, technologie et recherche». Ceci n est un inconvénient, ni pour l indexeur, ni pour l utilisateur qui, en général, combinent des descripteurs provenant de différents domaines; par exemple, «financement communautaire», du domaine «Communautés européennes» et «réseau routier» du domaine «transports». Néanmoins, à l intérieur des domaines «géographie» et «organisations internationales» la poly-hiérarchie est acceptée dans le thésaurus. Par exemple, le Nigeria est à la fois un pays d Afrique occidentale, un pays ACP et un pays de l OPEP: on le retrouvera donc trois fois dans le thésaurus, sous Afrique occidentale, sous pays ACP et sous pays de l OPEP Historique éditions successives Les débuts de Eurovoc En 1982, à la suite d une étude comparative des langages documentaires existant à la Commission européenne et au Parlement européen, il fut décidé de construire un thésaurus multilingue couvrant les domaines intéressant les institutions européennes et conforme aux normes internationales en la matière. Le travail s est effectué sur la base: d'un premier projet de thésaurus monolingue préparé par le Parlement européen, à partir notamment du contenu du macrothésaurus de l OCDE, d'une première version, de 1978, du thésaurus ECLAS, de la Bibliothèque centrale de la Commission, accompagné de la fréquence d indexation de ses descripteurs. Aujourd hui encore, Eurovoc s inspire du thésaurus ECLAS, notamment pour les scope notes (notes de portée ou d application), d'une liste de candidats descripteurs apportée par le SCAD (service central automatisé de documentation), de la liste des descripteurs libres utilisée pour indexer les documents de la base EC-01 de la Commission, avec leur fréquence d indexation, 8

9 de la liste des descripteurs libres utilisée par l Office des publications pour préparer les tables du Journal officiel. Après un premier test par le Parlement européen et par l OPOCE, la première édition du thésaurus Eurovoc fut publiée en 1984, en deux tomes: le thésaurus alphabétique et le thésaurus thématique, et en sept langues: l allemand, l anglais, le danois, le français, le grec, l italien et le néerlandais. Ce thésaurus fut immédiatement utilisé par le Parlement européen et par l OPOCE L édition 2 L édition 2 du thésaurus, publiée en 1987, résulte d une révision en profondeur de la première édition, fondée sur l expérience de l indexation faite au Parlement européen et à l OPOCE. Aux sept langues d origine se sont ajoutés l espagnol et le portugais; aux deux présentations d origine (le thésaurus alphabétique et le thésaurus thématique) se sont ajoutés, en 1987, le thésaurus multilingue, en 1989, le thésaurus permuté et, en 1990, les terminogrammes. La deuxième édition d Eurovoc a rencontré un intérêt croissant en dehors des institutions de l Union européenne: parlements nationaux, administrations nationales et régionales, voire, dans certains cas, le secteur privé. Dans ces conditions, le Parlement européen et l OPOCE, propriétaires et gestionnaires du thésaurus, ont pris en 1989 l initiative d organiser un premier séminaire à l intention des utilisateurs d Eurovoc. Ce séminaire a permis d orienter les décisions en matière de gestion et de maintenance du thésaurus. Une de ces décisions a été de mettre en place une structure de maintenance qui tient compte des propositions de tous les utilisateurs du thésaurus, qu elles proviennent ou non des institutions de l Union européenne. Une mise à jour de la deuxième édition a été publiée en 1990 sous la forme d un fascicule L édition 3 La troisième édition de Eurovoc a été publiée en Des remarques concernant la justesse de certains équivalents linguistiques et la constatation que la version française est la plus utilisée, même par des non-francophones, ont poussé l unité de maintenance à demander une révision en profondeur des différentes versions linguistiques. Une équipe multilingue de traducteurs et terminologues de la Commission européenne s est chargée de ce travail ainsi que de la création des équivalents des nouveaux descripteurs. La troisième édition se présentait en trois volumes par langue, au lieu des cinq de l édition précédente. L utilité de l ancienne liste permutée était limitée par la présentation des descripteurs hors de leur contexte sémantique et par l absence de renvoi pour les nondescripteurs; elle ne pouvait être utilisée que comme auxiliaire de la consultation de la liste alphabétique, dans la mesure où elle multipliait le nombre d entrées. Après consultation des utilisateurs, il a été décidé de fusionner les deux listes, ce qui a donné la nouvelle présentation alphabétique permutée. D autre part, la difficulté de réalisation des terminogrammes de l édition 2 a retardé d au moins deux ans leur publication et ensuite leur intérêt était réduit: en effet, ils reproduisaient la présentation thématique en y ajoutant une représentation graphique des relations associatives, mais le résultat était difficilement lisible. La nouvelle présentation thématique contient les relations associatives pour compenser la suppression des terminogrammes, décidée elle aussi après consultation des utilisateurs. Par rapport à la précédente édition, 566 descripteurs ont été ajoutés et 26 supprimés, la suppression étant limitée aux cas où il y avait ambiguïté ou double emploi. Pendant cette période Eurovoc a été introduit dans les bases de données documentaires de l Office dont la mission principale était de produire les catalogues et les tables du Journal officiel L édition 3.1 En octobre 1999, le comité de direction de l Office des publications a décidé la mise en chantier d une nouvelle édition du thésaurus Eurovoc. Il a confié la responsabilité de ce projet à deux comités interinstitutionnels le comité de pilotage et le comité de maintenance. Les deux comités sont composés de représentants des institutions concernées par ce projet: le Parlement européen, le Conseil de l Union européenne, la Commission européenne, la Cour des comptes et la Cour de justice. Le comité de pilotage est responsable des lignes directrices du projet Eurovoc. En particulier, il établit des objectifs et des priorités, fixe le calendrier global, décide de l utilisation des ressources et met au point le budget prévisionnel. Il est l autorité qui adopte officiellement chaque nouvelle version. Ce comité se réunit deux fois par an sous la présidence du Parlement européen, l Office des publications prend en charge l organisation technique de ces réunions ainsi que le secrétariat du comité. Le comité de maintenance, constitué de représentants permanents des institutions (principalement de documentalistes spécialisés), est un élément-clé du 9

10 système. Il est chargé d étudier les propositions de mise à jour du thésaurus Eurovoc. Ce comité se réunit deux fois par an, l Office des publications prend en charge l organisation technique de ces réunions ainsi que la coordination des travaux. Le noyau permanent est composé de l équipe de maintenance qui est organisée par l Office des publications. Une version 3.1 a été élaborée dans le souci de répondre aux besoins d indexations les plus nécessaires et urgentes. Elle constituait une première étape vers la version 4. En plus des mises à jour terminologiques (dont 142 nouveaux descripteurs), la version 3.1 s est enrichie de deux nouvelles versions linguistiques: le finnois et le suédois. Le 22 décembre 2000, deux sites Internet ont été mis à disposition sur le serveur Europa: le site de diffusion présentant la version europa.eu.int/celex/eurovoc, le système de maintenance permettant la gestion automatisée et partagée du thésaurus (accès limité) L édition 4 La quatrième édition de Eurovoc a été diffusée sur Internet le 26 novembre Le thésaurus a fait l objet d une révision en profondeur. Des corrections orthographiques ont été apportées principalement dans les versions anglaise, allemande et néerlandaise. Suite au souhait émis par les utilisateurs, la structure globale n a pas été bouleversée. 364 descripteurs ont été ajoutés à la version 3.1 et 9 ont été supprimés. Depuis février 2003, le site Internet propose de télécharger les versions thématiques et alphabétiques permutées de Eurovoc sous forme de fichiers PDF. Un mois plus tard s est ajoutée la possibilité de consulter une liste multilingue. Cette liste remplace l ancienne présentation multilingue L édition 4.1 L édition 4.1 de Eurovoc a été diffusée sur Internet le 13 février Elle est principalement basée sur des propositions des parlements nationaux. Eurovoc contient désormais descripteurs: 63 descripteurs ont été ajoutés à l édition 4 et 1 supprimé. La liste des différences entre la version 4 et la version 4.1 est présentée sur le site Internet Eurovoc Principales utilisations Actuellement, le thésaurus Eurovoc est utilisé dans la documentation européenne, principalement: par l'office des publications, pour indexer les textes publiés au Journal officiel, les documents et les publications. Eurovoc est utilisé pour la recherche des documents juridiques dans la base de données Celex et sera utilisé pour la recherche des publications dans l EU-Bookshop (ouverture prévue deuxième semestre 2004, url: par le Centre européen de recherche et de documentation parlementaires, pour l indexation des études parlementaires (base STUDIES), par le Parlement européen pour l indexation du fonds documentaire de la bibliothèque ainsi que pour le fonds des archives, plusieurs bibliothèques d institutions et organes de l Union européenne font usage d Eurovoc pour l indexation de leur fonds documentaire, aux niveaux national et régional, les parlements et administrations de plusieurs pays européens comptent parmi les utilisateurs d Eurovoc Versions linguistiques Depuis l édition 3.1, le thésaurus Eurovoc est publié dans les onze langues officielles de l Union européenne: allemand, anglais, danois, espagnol, français, grec, italien, néerlandais, portugais, finnois, suédois. Toutes ces langues ont le même statut: à chaque descripteur dans une langue correspond obligatoirement un descripteur dans chacune des autres langues. Toutefois, il n existe pas d équivalence entre les nondescripteurs des différentes langues: chaque langue se caractérise en effet par une richesse lexicologique qui varie d un domaine à l autre. Eurovoc se prépare actuellement à l élargissement de l Union européenne du 1 er mai Le thésaurus intégrera neuf nouvelles versions linguistiques: le tchèque, l estonien, le letton, le lituanien, le hongrois, le maltais, le polonais, le slovaque et le slovène. 10

11 1.6. Normes utilisées Le thésaurus Eurovoc a été construit en conformité avec les normes de l Organisation internationale de normalisation: ISO : Principes directeurs pour l établissement et le développement des thésaurus monolingues. ISO : Principes directeurs pour l établissement et le développement des thésaurus multilingues. Dans toutes les versions linguistiques, les descripteurs et non-descripteurs sont généralement au singulier; le pluriel est employé lorsque le singulier n est pas d un usage courant. Les abréviations ont été évitées dans la mesure du possible, pour faciliter la compréhension et l utilisation du thésaurus. Les sigles des organisations internationales ont été retenus comme descripteurs pour des raisons de facilité (éviter de taper au clavier les dénominations complètes, souvent très longues); les dénominations complètes accompagnent ces descripteurs sous la forme de non-descripteurs ou de notes de définition. Le classement alphabétique des termes est organisé de la manière suivante: l'espace et le trait d'union précèdent les caractères alphabétiques et numériques, l'apostrophe et la virgule ne sont pas prises en compte Structure Domaines et microthésaurus Le thésaurus Eurovoc est structuré, au niveau générique, par une classification hiérarchique à deux niveaux: les domaines, identifiés par un numéro à deux chiffres et par un énoncé, par exemple, 10 COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES les microthésaurus, identifiés par un numéro à quatre chiffres, dont les deux premiers sont ceux du domaine dont relève le microthésaurus, et par un énoncé, par exemple, 1011 DROIT COMMUNAUTAIRE La numérotation des domaines et des microthésaurus est la même dans toutes les versions linguistiques Relations sémantiques Le thésaurus Eurovoc est structuré, au niveau spécifique des descripteurs et non-descripteurs, par des relations sémantiques: note d'application ou de définition, relation d'appartenance au microthésaurus, relation d'équivalence, relation hiérarchique, relation associative Notes d application ou de définition La note qui accompagne certains descripteurs, introduite par le symbole «SN» (scope note), peut être: de définition, si elle précise le sens du descripteur, Exemple: métayage SN: Contrat par lequel le propriétaire loue sa terre moyennant une rétribution représentant une part des produits de l exploitation. d'application, si elle fixe les modalités d utilisation du descripteur lors de l indexation des documents et des questions. Exemple: prix de détail SN: Utiliser en opposition à prix de gros, sinon utiliser prix à la consommation Relations d appartenance au microthésaurus La relation d appartenance au microthésaurus, introduite par le symbole «MT» (microthésaurus), accompagne tous les descripteurs pour indiquer de quel(s) microthésaurus ils relèvent. Exemple de descripteur relevant d un microthésaurus: nationalité MT 1231 droit international Exemple de descripteur relevant de plusieurs microthésaurus: Panama MT 7216 Amérique MT 7231 géographie économique MT 7236 géographie politique Relation d équivalence La relation d équivalence entre descripteurs et nondescripteurs est marquée par les symboles: 11

12 «UF» (used for = employé pour), placé entre le descripteur et le ou les non-descripteurs qu il représente. Exemple: parc technologique UF parc scientifique UF pôle technologique UF technopole «USE» (Employer), placé entre un non-descripteur et le descripteur qui le représente. Exemple: parc scientifique USE parc technologique (6806) La relation d équivalence permet à l indexeur ou à l utilisateur, lorsqu il envisage d employer un terme qui n est pas un descripteur, de savoir quel est le descripteur à utiliser. Les exemples montrent que le descripteur «parc technologique» (qui peut être trouvé dans le microthésaurus 6806) est le descripteur à utiliser pour exprimer les concepts de «parc scientifique», «pôle technologique» et «technopole». La relation d équivalence englobe en réalité plusieurs types de relations, et notamment: la synonymie vraie, ou identité de sens, Exemple: Agence internationale de l énergie USE AIE (7621) la quasi-synonymie, ou voisinage de sens, Exemple: abattage de bétail. USE abattage d animaux (6036) l'antonymie, ou opposition de sens, Exemple: dépendance technologique USE indépendance technologique (0806) l'inclusion, lorsqu'un descripteur englobe un ou plusieurs concepts spécifiques, auxquels on donne le statut de non-descripteurs, parce que leur utilisation est peu fréquente. Exemple: pomme USE fruit à pépins (6006) Relation hiérarchique La relation de hiérarchie entre descripteurs est marquée par les symboles: «BT» (broader term = terme générique), placé entre un descripteur spécifique et un descripteur générique, et accompagné d un chiffre marquant le nombre de niveaux hiérarchiques entre le descripteur spécifique et chacun de ses génériques. Exemple: norme BT1 normalisation BT2 réglementation technique Remarques: 1) Les descripteurs qui n ont pas de termes génériques sont des descripteurs «têtes de hiérarchie» (top terms). 2) Certains descripteurs dans les domaines 72 GEO- GRAPHIE et 76 ORGANISATIONS INTERNA- TIONALES sont poly-hiérarchiques, c est-à-dire qu ils ont plusieurs génériques de premier niveau. «NT» (narrower term = terme spécifique), placé entre un descripteur générique et un descripteur spécifique, et accompagné d un chiffre marquant le nombre de niveaux hiérarchiques entre le descripteur générique et chacun de ses spécifiques. Exemple: normalisation harmonisation des normes homologation NT2 certification communautaire marquage CE de conformité norme NT2 norme de production NT2 norme de qualité NT2 norme de sécurité NT2 norme technique norme internationale NT2 norme européenne La relation hiérarchique suggère à l utilisateur, lorsqu il interroge le système documentaire sur un descripteur donné (par exemple, «norme»), d étendre sa question à d autres descripteurs qui auraient servi à indexer des documents également pertinents (par exemple, «normalisation», ou «norme technique»). La relation hiérarchique sert aussi à préciser le sens du descripteur; par exemple l acception du descripteur «presse» est précisée par sa subordination au descripteur «moyen de communication de masse». La relation hiérarchique englobe notamment deux types de relations: la relation tout-partie, Exemple: 12

13 Colombie BT1 Amérique du Sud la relation d appartenance ou relation «espèce/ genre». Exemple: collectivisme BT1 régime économique Relation d association La relation d association entre descripteurs, est marquée par le symbole RT (Related Term = Terme associé) placé entre deux descripteurs associés. Exemple: normalisation RT coopération industrielle RT entrave technique RT étiquetage RT principe de reconnaissance mutuelle La relation d association suggère à l indexeur ou à l utilisateur, lorsqu il envisage d employer un descripteur donné (par exemple, «normalisation»), d autres descripteurs tout aussi pertinents (par exemple, «coopération industrielle» ou «entrave technique») ou, dans certains cas, plus pertinents (par exemple, «établissement du budget» RT «établissement du budget communautaire»). La relation d association englobe plusieurs types de relations et notamment: causalité, Exemple: entrave tarifaire RT tarif douanier instrumentation, Exemple: modernisation de l exploitation agricole RT bonification d intérêt hiérarchie (particulièrement dans le cas où, pour la raison expliquée au point 1.2, la poly-hiérarchie n a pas été retenue et où, pour aider néanmoins l utilisateur, les relations hiérarchiques marquantes ont été remplacées par des relations associatives), Exemple: marché agricole MT 5606 politique agricole BT1 politique agricole RT marché («marché» se trouvant dans le microthésaurus 2006 politique commerciale) concomitance, Exemple: bas salaire RT faible revenu succession dans le temps ou dans l'espace, Exemple: invention RT brevet matériaux constitutifs, Exemple: viande bovine RT bovin propriété, Exemple: gouvernement en exil RT légitimité objet d'une action, d'un processus, d'une discipline, Exemple: bruit RT isolation phonique localisation, Exemple: gestion comptable RT entreprise fiduciaire similarité (dans le cas où deux expressions quasisynonymes ont été retenues comme descripteurs), Exemple: financement des partis RT financement électoral antinomie, Exemple: censure RT liberté de l information Il convient par ailleurs de noter les caractéristiques importantes de la relation associative: elle est symétrique, Exemples: garantie de crédit RT solvabilité financière solvabilité financière RT garantie de crédit 13

14 les descripteurs sous un même top term ne peuvent pas avoir de relation associative entre eux, Exemple: Dans le microthésaurus «2826 vie sociale», on trouve les descripteurs «jeux et «sport», qui sont sous le top term «loisir», ces deux descripteurs ne peuvent donc pas avoir de relation associative entre eux Caractéristiques quantitatives Toutes les versions linguistiques du thésaurus Eurovoc comportent: 21 domaines, 127 microthesaurus, descripteurs (dont 512 top terms), relations hiérarchiques réciproques (soit BT et NT), relations associatives réciproques. Les domaines, les microthésaurus, les descripteurs, les relations hiérarchiques et les relations associatives sont rigoureusement équivalents d une langue à l autre. Par contre, chaque version linguistique contient un nombre variable de non-descripteurs et de notes: Versions linguistiques Notes Nombre de Nondescripteurs Allemand Anglais Danois Espagnol Finnois Français Grec Italien Néerlandais Portugais Suédois Présentations sur papier Le thésaurus Eurovoc est présenté, pour chacune de ses versions linguistiques, en deux volumes. Volume 1: Présentation alphabétique permutée. Volume 2: Présentation thématique. Remarque La présentation multilingue n existe plus en «version papier». Depuis mars 2002, il est possible de consulter une liste multilingue sur le site Internet Eurovoc. Celle-ci présente les descripteurs (mais pas les nondescripteurs) dans les langues sélectionnées par l utilisateur (entre deux et quatre). L utilisateur choisit la langue qui sert pour le classement alphabétique des descripteurs. Les descripteurs de la version linguistique considérée sont imprimés en caractères gras. Les descripteurs équivalents, dans les autres langues, sont placés sur la même ligne dans leurs colonnes respectives, et sont imprimés en caractères ordinaires. Le site Internet offre également la possibilité de télécharger un fichier Excel contenant toutes les versions linguistiques Présentation alphabétique permutée La présentation alphabétique permutée est présentée en deux parties: la partie A contient les termes commençant par les lettres A à I, la partie B contient les termes commençant par les lettres J à Z. La présentation alphabétique permutée, sur trois colonnes par page, comporte quatre types d «entrées»: descripteur, entrée alphabétique sur le premier mot, descripteur, entrée alphabétique sur un autre mot significatif, non-descripteur, entrée alphabétique sur le premier mot, non-descripteur, entrée alphabétique sur un autre mot significatif, classées alphabétiquement sur la désignation du premier mot ou de chacun des autres mots significatifs des descripteurs et non-descripteurs. Entrée alphabétique «descripteur» sur le premier mot: énoncé du descripteur, en caractères gras, note d'application, introduite par le sigle «SN» (scope note), lorsque le descripteur est accompagné d un texte en précisant la signification ou l utilisation, numéro(s) et énoncé(s) du ou des microthésaurus dont relève le descripteur, introduit(s) par le sigle «MT» (Microthésaurus), en italiques, non-descripteur(s) rattaché(s) au descripteur en entrée, introduit(s) par le sigle «UF» (used for); les non-descripteurs sont présentés par ordre alphabétique, 14

15 descripteur(s) générique(s) du descripteur en entrée, introduit(s) par le sigle «BT» (broader term) et par un chiffre exprimant le nombre de niveaux hiérarchiques séparant le descripteur générique du descripteur en entrée; les descripteurs génériques sont classés: tout d abord par ordre croissant de niveaux hiérarchiques, et avec un retrait vers la droite pour chaque niveau hiérarchique à partir du deuxième, ensuite, à l intérieur de chaque niveau hiérarchique, par ordre alphabétique, descripteur(s) spécifique(s) du descripteur en entrée, introduit(s) par le sigle «NT» (narrower term) et par un chiffre exprimant le nombre de niveaux hiérarchiques séparant le descripteur spécifique du descripteur en entrée; les descripteurs spécifiques sont classés: tout d abord par ordre décroissant de niveaux hiérarchiques, avec un retrait vers la droite pour chaque niveau hiérarchique à partir du deuxième, ensuite, à l intérieur de chaque niveau hiérarchique, par ordre alphabétique, descripteur(s) associé(s) au descripteur en entrée, introduit(s) par le sigle «RT» (related term); les descripteurs associés sont présentés par ordre alphabétique. Exemple: produit originaire SN Marchandise produite dans un pays donné. Pour un produit manufacturé, dans la fabrication duquel plusieurs pays sont intervenus, l origine est celle du pays où a eu lieu la dernière transformation. MT 2021 commerce international UF origine des marchandises UF origine du produit UF règle de l origine BT1 GATT BT2 commerce international certificat d origine RT accord sur le produits de base RT libre pratique RT pays tiers RT préférences généralisées RT restriction à l importation RT tarif préférentiel Entrée alphabétique «descripteur» sur un autre mot significatif: énoncé du mot significatif du descripteur suivi, si ce mot n est pas le dernier du descripteur, de la suite des mots, significatifs ou non, qui le suivent dans l énoncé complet du descripteur, le tout suivi d une virgule, en caractères gras, sur la même ligne, et, si nécessaire, sur la ligne suivante, après la virgule, énoncé du ou des mots, significatifs ou non, qui précèdent le terme en entrée dans l énoncé complet du descripteur, le tout suivi d une barre horizontale, en caractères gras, sur la même ligne, numéro(s) du ou des microthésaurus dont relève le descripteur, entre parenthèses, en caractères gras. Exemple simple (deux mots significatifs): originaire, produit - (2021) Exemple complexe (trois mots significatifs): communication de masse, moyen de - (3226) masse, moyen de communication de -(3226) Comme on peut le voir, l énoncé complet du descripteur, tel qu on va le retrouver dans l entrée alphabétique du descripteur sur le premier mot, et sous laquelle on va trouver toutes les relations sémantiques de ce descripteur, s obtient en lisant d abord ce qui se trouve à droite de la virgule, et ensuite ce qui se trouve à gauche. Entrée alphabétique «non-descripteur» sur le premier mot: énoncé du non-descripteur, en caractères ordinaires, sur la ligne suivante, descripteur correspondant, en caractères gras, introduit par le mot «USE», et suivi du numéro, entre parenthèses, du microthésaurus auquel appartient ce descripteur. Exemples: Coopérative d utilisation de matériel agricole USE entraide agricole (5616) règle de l origine USE produit originaire (2021) Entrée alphabétique «non-descripteur» sur un autre mot significatif: énoncé du mot significatif du non-descripteur suivi, si ce mot n est pas le dernier du non-descripteur, de la suite des mots, significatifs ou non, qui le suivent dans l énoncé complet du non-des- 15

16 cripteur, le tout suivi d une virgule, en caractères ordinaires, sur la même ligne, et, si nécessaire, sur la ligne suivante, après la virgule, énoncé du ou des mots, significatifs ou non, qui précèdent le terme en entrée dans l énoncé complet du non-descripteur, le tout suivi d une barre horizontale, en caractères ordinaires, sur la ligne suivante, le descripteur correspondant, écrit dans sa séquence normale, en caractères gras, introduit par le mot «USE», et suivi du numéro, entre parenthèses, du microthésaurus auquel appartient ce descripteur. Exemple simple (deux mots significatifs): origine, règle de l - USE produit originaire (2021) Exemple complexe (quatre mots significatifs): agricole, Coopérative d utilisation de matériel - USE entraide agricole (5616) matériel agricole, Coopérative d utilisation de - USE entraide agricole (5616) utilisation de matériel agricole, Coopérative d - USE entraide agricole (5616) Présentation thématique La présentation thématique comporte une ou plusieurs page par microthésaurus; chaque page est identifiée par un titre, sur la première ligne, constitué: du numéro du microthésaurus, de l'énoncé du microthésaurus. Le titre est suivi par une flèche vers la droite si le microthésaurus continue sur la page suivante; il est précédé d une flèche vers la gauche s il ne s agit pas de la première page du microthésaurus. Exemples: 0421 Parlement => (première page du microthésaurus) <= 0421 Parlement (seconde page du microthésaurus) Les microthésaurus sont classés par numéro, et apparaissent donc dans la même séquence dans chaque version linguistique du thésaurus. Sur le reste de la page, et sur deux colonnes, apparaissent: les descripteurs têtes de hiérarchie (c est-à-dire ne comportant pas de descripteur générique), en caractères gras, et classés alphabétiquement, sous chaque descripteur tête de hiérarchie, la chaîne hiérarchique descendante des descripteurs spécifiques, introduits par le sigle «NT» (narrower term) suivi du chiffre exprimant le nombre de niveaux hiérarchiques séparant le descripteur spécifique du descripteur tête de hiérarchie, en caractères gras; les descripteurs spécifiques sont classés: d abord par ordre décroissant de niveaux hiérarchiques, ensuite, à l intérieur de chaque niveau hiérarchique, par ordre alphabétique. De plus, chaque niveau hiérarchique descendant est marqué par un retrait vers la droite par rapport au niveau immédiatement supérieur. Enfin, chaque descripteur de la chaîne hiérarchique est accompagné de son ou de ses descripteurs associés, en caractères ordinaires, et précédés du sigle RT; ces descripteurs associés sont suivis du numéro, entre parenthèses, du microthésaurus dont ils relèvent, sauf s ils appartiennent au même microthésaurus Fichiers éléctroniques Le thésaurus Eurovoc est disponible sous forme de fichiers électroniques en format xml. Pour obtenir ces fichiers, il est nécessaire d acquérir une licence d utilisation. L utilisation peut être pure et simple ou porter sur l incorporation dans des ensembles plus vastes, ou encore sur l élaboration de produits dérivés ou à valeur ajoutée. Les conditions pratiquées peuvent aller de la gratuité à la vente. Celle-ci est d application lorsque la licence vise une rediffusion commerciale. Trois types de licences sont proposées: licence gratuite ou payante permettant l'utilisation pure et simple pour les besoins propres (gratuite), la rediffusion gratuite (par exemple, universités, administration) (gratuite) ou la rediffusion commerciale, licence gratuite qui permet une adaptation linguistique, mais qui a comme contrepartie la fourniture, gratuite aussi, de la nouvelle version linguistique à l Office et le droit accordé à l Office d adapter et d intégrer les données fournies dans le thésaurus Eurovoc, licence gratuite (sauf en cas de rediffusion commerciale) qui permet la transformation ou l'enrichissement du thésaurus notamment dans le cas d une adaptation régionale ou d un vocabulaire spécialisé qui a comme contrepartie les obligations de faire apparaître les différences, de fourniture gratuite du 16

17 complément à l Office et du droit accordé à l Office d intégrer ce complément. Les personnes souhaitant acquérir les fichiers électroniques sont invitées à soumettre une demande par écrit à l adresse suivante: Office des publications officielles des Communautés européennes Services auteurs Copyright 2, rue Mercier L-2985 Luxembourg Courriel: opoce-info-copyright@cec.eu.int Les personnes souhaitant des informations techniques sur les fichiers Eurovoc sont invitées à soumettre une demande par écrit à l adresse suivante: Office des publications officielles des Communautés européennes Journal officiel Équipe Eurovoc 2, rue Mercier L-2985 Luxembourg Courriel: opoce-eurovoc@cec.eu.int 2. Gestion et maintenance Le thésaurus Eurovoc doit, comme tout thésaurus, faire l objet d une adaptation continue, compte tenu d une part de l évolution des domaines d activités des institutions de l Union européenne et d autre part des changements de la langue. La spécificité d Eurovoc est de vouloir et de pouvoir répondre aux besoins exprimés par tous ses utilisateurs, en gardant à l esprit l objectif de couvrir de manière homogène les domaines d activité de l Union européenne. Dans ce but, Eurovoc est soumis à une maintenance basée sur les besoins aussi bien internes qu externes; en effet, tous les utilisateurs sont invités à contribuer par leurs propositions de modifications à l évolution d Eurovoc. Pour assurer ce service le dispositif actuel est en place: l'équipe du Parlement européen examine les propositions élaborées par les Parlements nationaux et expédie celles qu elle juge utiles ainsi que ses propres propositions à l équipe de maintenance de l Office des publications, l'équipe de maintenance de l Office des publications collecte et étudie les propositions de tous les utilisateurs, elle élabore également les siennes. Elle assure la coordination des travaux du comité de maintenance et assume la responsabilité des développements informatiques et du suivi des traductions, le comité de maintenance, composé des représentants des différentes institutions de l Union européenne, vote sur les diverses propositions et détermine ainsi les modifications apportées au thésaurus, le comité de pilotage surveille le projet et adopte officiellement chaque nouvelle version quand elle est achevée. Pour proposer l ajout, la suppression ou la modification d un descripteur, d un non-descripteur et/ou d une relation sémantique, les utilisateurs sont invités à remplir un formulaire, appelé «Eurovoc - Fiche de maintenance» dont vous trouverez un modèle en annexe. Ce formulaire est également disponible sur le site Internet Eurovoc. L information des utilisateurs d Eurovoc, ainsi que des personnes intéressées, se fait à l aide d une lettre d information («Eurovoc Newsletter») publiée par le Parlement européen également disponible sur le site Internet. Le comité de pilotage a décidé en septembre 2002, de procéder à une maintenance beaucoup plus fréquente d Eurovoc que dans le passé. En principe, une mise à jour est entreprise une à deux fois par année. 3. Conseils pour l utilisation 3.1. Conseils pour l indexation des documents L indexation est l opération consistant à recenser les concepts dont traite un document et à les représenter par des descripteurs du thésaurus. Sa finalité est de permettre d extraire de la collection des notices bibliographiques enregistrées dans une base de données documentaires, celles d entre elles qui répondront aux questions posées; cette extraction n est possible que si les concepts de la question sont formulés dans le même langage: celui des descripteurs du thésaurus. En pratique, l indexation se fait en suivant la démarche ci-après: prise de connaissance rapide du contenu du document à indexer, sélection des concepts à retenir pour l indexation du document, en respectant les deux règles ci-après: la sélectivité: il ne faut retenir que les concepts pour lesquels le document apporte une information susceptible d intéresser les utilisateurs, 17

18 l'exhaustivité: tous les concepts utiles apparaissant dans le texte doivent être retenus, qu ils y apparaissent de manière explicite ou implicite, représentation des concepts retenus par des descripteurs du thésaurus: si le document est en langue étrangère, traduction des concepts dans la version linguistique du thésaurus utilisée par l indexeur, recherche, dans la présentation alphabétique permutée, des «entrées» correspondant à l expression des concepts dans le document. Trois possibilités se présentent: l expression du concept correspond à un descripteur qui le signifie: celui-ci est choisi pour l indexation (par exemple, «politique de l éducation»), l expression du concept correspond à un nondescripteur qui le signifie: ce dernier renvoie au descripteur à utiliser, et on est ramené au cas précédent (par exemple, «allocation scolaire», qui renvoie à «allocation d étude»), il n y a pas d entrée correspondant à l expression du concept. Quatre méthodes peuvent alors être utilisées: soit consulter la présentation alphabétique permutée sur chacun des mots du concept composé recherché et y trouver le descripteur adéquat (par exemple, «compétence budgétaire» n est pas un descripteur du thésaurus; mais on trouvera le descripteur à utiliser: «pouvoir budgétaire» en explorant l entrée alphabétique «budgétaire» de la présentation alphabétique permutée), ou le non-descripteur adéquat, qui renvoie au descripteur à utiliser, soit imaginer une autre formulation du concept en langage naturel et voir si elle correspond à une entrée de la présentation alphabétique permutée (par exemple, «infamie» ne figure pas dans le thésaurus, mais évoque l idée de diffamation; «diffamation» est le descripteur d Eurovoc à utiliser), soit définir la ou les classes générales (microthésaurus) qui englobent le concept recherché, consulter la présentation thématique et chercher, parmi les descripteurs disponibles, ceux qui représentent le mieux le concept (par exemple, «conséquence écologique» ne figure pas dans le thésaurus, mais relève visiblement du microthésaurus «5206 -politique de l environnement»; en examinant ce microthésaurus, on trouve le descripteur «impact sur l environnement», que l on peut retenir), soit combiner deux ou plusieurs descripteurs de la présentation alphabétique permutée pour exprimer par une périphrase le concept à représenter (par exemple, «convention de Washington» n existe pas dans le thésaurus, mais peut être représenté par les descripteurs «convention internationale», «faune» et «flore»). L idée du descripteur, ou du non-descripteur, «qui signifie un concept», évoquée ci-dessus, doit bien souvent conduire à une analyse du contexte des concepts recensés dans le document, de façon à prendre en compte leur sens réel, et non leur sens littéral. Par exemple, le concept «gel des terres» peut signifier, soit l incitation à la nonexploitation de terres jusqu alors productives, auquel cas il faudra l indexer «gel des terres» (dont le sens est précisé dans le thésaurus par une note), soit la gelée (phénomène climatique) des terres, auquel cas il faudra l indexer «intempérie» (descripteur correspondant au non-descripteur «gel») et, sans doute, «terre agricole». La représentation des concepts par des descripteurs du thésaurus se fait en appliquant deux autres règles: la spécificité verticale: le descripteur doit se situer au même niveau de spécificité que le concept ou, à défaut, au niveau immédiatement supérieur existant dans le thésaurus, Exemples: Un document traitant du concept de province doit être indexé par le descripteur «province», et pas par le descripteur générique «collectivité territoriale». Par contre, un document qui traite de médecin anesthésiste, concept qui ne figure pas dans le thésaurus Eurovoc, doit être indexé sur le concept plus générique de «médecin», qui est un descripteur de ce thésaurus. Un document qui étudie une situation déterminée dans tous les pays du Benelux bien détaillée pour chacun des trois pays, doit être indexé «Belgique», «Luxembourg» et «Pays-Bas», et non «pays du Benelux». la spécificité horizontale: un concept composé de deux ou de plusieurs mots doit être exprimé par un descripteur composé, s il existe dans le thésaurus, plutôt que par l association de descripteurs simples. Exemple: Un document traitant de la politique de recherche de l Union doit être indexé par le descripteur «politique communautaire de la recherche», et pas par les descripteurs «politique communautaire» et «recherche». 18

19 L application correcte des règles de sélectivité, d exhaustivité et de spécificité est un facteur essentiel de la qualité d un système de stockage et de recherche d information documentaire. La sélectivité de l indexation: est indépendante de la qualité du thésaurus, dépend de la politique d indexation mise en oeuvre pour chaque système documentaire, et notamment de la profondeur d indexation, dépend de la connaissance qu a le documentaliste indexeur des utilisateurs du système documentaire et de leurs préoccupations. L exhaustivité est conditionnée: par la richesse du thésaurus: on ne peut évidemment indexer que les concepts présents dans le langage documentaire, par la politique d indexation, qui fixe la profondeur d indexation, par le comportement des documentalistes et par leur méticulosité. Une augmentation de l exhaustivité de l indexation conduit, au stade de la recherche documentaire: à améliorer le rappel, c est-à-dire la proportion des documents pertinents qui sont effectivement extraits du fonds en réponse à une question, mais à diminuer la précision, c est-à-dire la proportion de documents effectivement pertinents extraits en réponse à une question. En effet, si tous les concepts, même très accessoires, présents dans les documents sont indexés, on augmente les chances de sortir tous, ou presque tous les documents répondant aux questions posées, mais en revanche, les bibliographies obtenues contiendront un pourcentage important de documents peu ou non pertinents. Pour expliciter les notions de rappel et de précision, considérons une collection comprenant les documents A, B, C, D, E et F. En réponse à une question, on obtient les documents A, C, D et E. Un examen de ces documents montre que seuls les documents C et E sont pertinents, c est-à-dire répondent bien à la question. Une analyse approfondie de la collection montre que le document F, bien que pertinent, n a pas pu être retrouvé. Le rappel sera égal à 2 (les documents C et E) divisé par 3 (les documents C, E et F) soit 0,67: 67% des documents pertinents ont été retrouvés. La précision sera égale à 2 (les mêmes documents C et E) divisé par 4 (les documents A, C, D et E), soit 0,5 : 50 % des documents retrouvés sont pertinents. La spécificité de l indexation dépend également: du thésaurus qui peut, ou non, comporter un nombre important de descripteurs spécifiques, de la politique d indexation, des documentalistes. Contrairement à ce qui se passe pour l exhaustivité, une augmentation de la spécificité conduit: à diminuer le rappel, mais à améliorer la précision. En effet, si les documents sont indexés à l aide de descripteurs au même niveau de spécificité que les concepts qu ils comportent (par exemple, «parlement national»), lorsqu on posera des questions portant sur ces descripteurs, on obtiendra une bibliographie qui ne contiendra pas les documents indexés à un niveau plus générique (par exemple, «parlement»), dont pourtant certains contiennent des informations pertinentes; mais, en compensation, la liste comprendra peu de documents non pertinents. Il faut noter toutefois que les documents indexés au niveau plus générique peuvent être retrouvés, précisément par une recherche sur ces descripteurs. L inverse, malheureusement, n est pas vrai: si l indexation est peu spécifique, on aura: un meilleur rappel, mais une moindre précision. C est la raison pour laquelle il y a intérêt à être spécifique lors de l indexation des documents. Par exemple, dans un service pratiquant systématiquement l autopostage hiérarchique (c est-à-dire l ajout systématique, à chaque descripteur, de son descripteur générique), on se trouvera, par exemple, devant la situation suivante: les documents traitant de façon générale de l ensemble des pays de l Union européenne, sans considérer particulièrement chacun d eux, ni certains d entre eux, seront indexés «pays UE»: les documents traitant spécifiquement de la Belgique seront indexés «Belgique» et «pays UE», 19

20 les documents traitant spécifiquement de l Italie seront indexés «Italie» et «pays UE», une question portant sur les pays de l Union européenne, considérés dans leur ensemble, et donc formulée «pays UE», permettra de retrouver les trois types de documents cités ci-dessus, alors que seul le premier type est réellement pertinent. Dans certains systèmes documentaires, l indexation au niveau le plus spécifique permet, au choix de l utilisateur, de retrouver des documents, soit spécifiques (sur la Belgique ou l Italie, dans l exemple ci-dessus), soit à la fois spécifiques ou génériques, en faisant jouer automatiquement les relations hiérarchiques du thésaurus (sur la Belgique, l Italie et l ensemble des pays de l Union européenne, dans l exemple ci-dessus); si les documents étaient indexés à la fois de manière spécifique et générique, comme dans l autopostage, ce choix, et donc cette liberté laissée à l utilisateur, ne serait pas possible. A côté de l indexation par des descripteurs extraits du thésaurus Eurovoc, il peut être utile d employer des descripteurs «libres» pour représenter des concepts apparaissant dans les documents et non inclus dans Eurovoc: on créera alors une liste d autorité de ces descripteurs que l on pourra, le cas échéant, relier par des relations hiérarchiques et associatives à des descripteurs Eurovoc. Si certains de ces descripteurs semblent devoir être intégrés à Eurovoc, le service de documentation utilisateur aura intérêt à introduire une fiche de maintenance auprès de l équipe de maintenance Eurovoc. Il est en outre généralement intéressant de prévoir une indexation à deux niveaux: les descripteurs principaux, dans un champ «descripteurs principaux», les descripteurs secondaires, dans un champ «descripteurs secondaires». Dans le premier champ, on mettra les descripteurs représentant les concepts correspondant au(x) sujet(s) principal(aux) du document. Dans le second champ, on mettra les descripteurs représentant des concepts à propos desquels le document apporte des informations utiles, bien qu ils ne correspondent pas au sujet principal. Ceci ne signifie bien entendu pas que le thésaurus Eurovoc contient deux catégories de descripteurs: les principaux et les secondaires; le même descripteur peut être en effet, selon le document, principal ou secondaire. L intérêt de cette méthode est de permettre un meilleur ajustement de l interrogation: lorsqu'un utilisateur souhaite retrouver un nombre limité de documents très pertinents, la recherche se fera seulement sur les descripteurs principaux, lorsque, au contraire, l'utilisateur souhaite une bibliographie très complète, la recherche portera sur les descripteurs principaux et sur les descripteurs secondaires. Cette méthode permet également de limiter le nombre d entrées dans un bulletin d index (appelé aussi «table»), en n y retenant que les descripteurs principaux Conseils pour la formulation des questions La formulation d une question est l opération symétrique de l indexation d un document: cette dernière consistait à recenser les concepts traités par le document et à propos desquels des informations susceptibles d intéresser des utilisateurs étaient apportées; ces concepts étaient alors identifiés par des descripteurs. La formulation d une question, elle, consiste à recenser les concepts susceptibles d être intervenus dans les documents répondant à la question, à traduire ces concepts en descripteurs et ensuite, à rechercher dans la base de données documentaires les documents indexés à l aide de ces descripteurs. La formulation de la question commence par une explicitation, aussi approfondie que possible, du besoin d information de l utilisateur, exprimé en langage naturel; l utilisateur recense alors les concepts dont l assemblage constitue l énoncé de la question, ainsi élargie. L utilisateur doit ensuite représenter ces concepts par des descripteurs du thésaurus; trois cas sont à distinguer: la question est précise et les concepts qui la composent se trouvent dans le thésaurus: l utilisateur utilisera de préférence la présentation alphabétique permutée, dans laquelle il trouvera: les descripteurs ou les non-descripteurs (et, de là, les descripteurs) correspondant à l énoncé des concepts de la question, les descripteurs en relation hiérarchique et associative qui pourront l aider à mieux préciser la question, la question est précise, mais tous ou certains des concepts qui composent la question ne figurent pas dans le thésaurus: après les avoir cherchés, en vain, dans la présentation alphabétique permutée, l utilisateur explorera, dans la présentation thématique, les microthésaurus correspondant au(x) domaine(s) de la question posée, et y cherchera les descripteurs existants désignant les concepts les plus proches de ceux de la question posée; 20

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