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1 ECONOMIC RESEARCH ING FOCUS July N novembre ING Focus External trade Parts de marchés à l exportation: attention danger! BE: Exportations (% YoY) Source: Belgostat, ING BE: Degré d ouverture (%) Source: Belgostat, ING Le commerce extérieur de la Belgique tend à se réorienter vers les marchés de croissance, même s il reste largement dominé par les exportations vers la zone euro. La crise de la zone euro s est soldée par une dramatique diminution des exportations belges vers les pays de la périphérie. Les performances à l exportation de la Belgique semblent en retrait par rapport à l évolution du commerce mondial. Une partie de cette sous-performance est imputable à un poids décroissant de la zone euro dans celui-ci. Mais ce moindre poids n explique pas tout, dans la mesure où les performances d exportations de la Belgique sont majoritairement inférieures à celles des trois grands pays voisins. Synthèse de l économie belge et prévisions 10, 8, 6, 4, 2, 0, -2, -4, -6, -8, Croissance Tx. chômage Tx. inflation Déf. budgétaire Source: Belgostat, prévisions : ING L économie belge en quelques chiffres (et prévisions) PIB Consommation des ménages Investissement des entreprises Investissement des ménages (logement) Consommation publique Contrib. nette du commerce extérieur Inflation Economic Research Philippe Ledent Senior Economist Brussels Philippe.ledent@ing.be Taux de chômage Surplus/deficit budgétaire (% PIB) Taux d endettement public (% PIB) Source: Belgostat, previsions: ING Economic Research DISCLAIMER EN DERNIERE PAGE 1

2 On le sait, le commerce extérieur est un enjeu crucial pour la Belgique, compte tenu du degré d ouverture de l économie. On se rappellera en effet que le total des importations et des exportations belges représente plus de 17 de la demande intérieure, ce qui est un des ratios les plus élevés au monde. Notre modèle de croissance est dès lors fondé sur le commerce extérieur, en complément de la demande intérieure. Ce modèle s est par ailleurs traduit par l accumulation de surplus courants importants, avoisinant 5% du PIB. Pourtant, le compte courant de la Belgique s est dégradé au cours des années 2000, pour devenir très faible depuis, et même négatif en. Le renchérissement des importations de pétrole explique en partie cette dégradation. Néanmoins, le manque de compétitivité de l économie belge et la perte de parts de marchés à l exportation qui s en suit sont également souvent considérés comme responsables de la dégradation du compte courant. Récemment, la Commission européenne a d ailleurs encore pointé la perte de parts de marchés à l exportation comme un déséquilibre macroéconomique persistant de l économie belge. Ce numéro de ING Focus External trade s intéresse plus particulièrement à cet aspect du commerce extérieur belge. Pour ce faire, il est organisé comme suit : la première section reprend de manière descriptive l évolution du commerce extérieur de marchandises de la Belgique au cours des 5 dernières années, marquées par la crise financière et économique. La deuxième section creuse davantage la question des parts de marché, en comparant pour un panel de pays clés pour la Belgique, les importations en provenance de notre pays et leurs importations totales. Pour se faire une meilleure idée de la situation relative de la Belgique, la même analyse est traitée dans la troisième section, en comparant cette fois les performances de la Belgique à celle de ses trois principaux voisins. La quatrième section conclut enfin. 1. Etat des lieux des exportations à travers la crise ( ) Les exportations ont lourdement souffert durant la crise mais se sont nettement reprises vers les pays BRIC et l Amérique du Nord alors qu elles ont plus de mal à progresser vers la zone euro. Une réorientation du commerce extérieur belge s est donc amorcée. Les exportations vers les pays de la périphérie de la zone euro se sont effondrées Comment les exportations belges ont-elles évolué au cours des cinq dernières années? Pour répondre à cette question, les statistiques officielles du commerce extérieur en valeur (concept national) ont été utilisées. Après la diminution quasi simultanée de plus de des exportations belges vers ses différents marchés, la reprise du commerce mondial est loin d avoir été uniforme (graphique 1). En effet, alors que la zone euro s enfonçait dans la crise de la dette, d autres zones économiques ont connu une reprise plus forte. Il n est dès lors pas étonnant d observer que si en la valeur des exportations belges de marchandises vers les pays de la zone euro a à peine retrouvé son niveau d avant-crise, les exportations vers les pays BRIC et l Amérique du Nord ont quant à elle progressé de respectivement 6 et 5. Certes, l immense majorité des exportations belges reste dirigée vers les pays de la zone euro (58% du total de la valeur en ), mais cette proportion est dès lors en baisse constante. La progression de la part des exportations vers les pays à plus forte croissance avait déjà été observée sur la précédente décennie. Ces nouveaux chiffres confirment le phénomène durant les années de crise, ce qui est en soi une bonne nouvelle, dans la mesure où cela à permis de profiter de la forte reprise ailleurs dans le monde, alors que la croissance économique était en panne en zone euro. Cela dit, le graphique 1 montre également que la valeur des exportations vers les pays BRIC stagne depuis. Ceci traduit probablement la décélération de la croissance dans ces économies au cours des deux dernières années, mais peut aussi provenir d une inadéquation entre les besoins de ces économies et nos productions. Seule une analyse sectorielle permettrait d y voir plus clair. La stagnation de la valeur des exportations vers la zone euro n est pas très étonnante compte tenu de sa situation conjoncturelle. Néanmoins, il faudrait encore y distinguer les exportations vers les pays de la périphérie, qui ont grosso modo reculé de quelques 25% depuis le début de la crise, et les exportations vers les pays du cœur de la zone, qui ont effectivement retrouvé leur niveau d avant crise. Sur plus longue période, l impact de la crise de la zone euro et de la fragmentation économique et financière qui s en est suivie 2

3 alors que la mise en place de l euro a permis un forte progression des exportations vers les autres pays du cœur de la zone apparaît encore plus durement (graphique 2). En effet, l intégration commerciale liée à l avènement de l euro a permis une progression de 5 de la valeur des exportations vers les partenaires du cœur de la zone. Néanmoins, après avoir suivi le même profil jusqu en, les exportations vers les pays de la périphérie n ont, in fine, progressé que de 5% sur la même période. Tout est donc à refaire! Gr 1 Les exportateurs belges se tournent vers les marchés de croissance Gr 2 La crise de la zone euro a annulé l intégration commerciale avec les pays de la périphérie Zone euro Non Euro EU Amérique du Nord Autres Source: BNB ; calculs : ING BRIC Total Périphérie Cœur Source: BNB, calculs : ING 2. Performances relatives et parts de marché Les performances à l exportation de la Belgique ont été étudiées La première section, entièrement descriptive, permet de se faire une idée de l évolution des exportations belges de marchandises durant la crise. Néanmoins, cela ne dit en rien si la Belgique aurait pu mieux faire, ou si au contraire, les progressions enregistrées sont exceptionnellement élevées. Un précédent numéro de ING Focus External trade avait tenté de répondre à cette question en comparant la croissance des exportations belges au cours des années 2000 à la croissance économique des marchés cibles. Nous reprenons ici cette méthodologie de manière plus précise, en comparant les importations en provenance de la Belgique d un panel de pays cibles aux importations totales de chaque pays, et ce durant la période -. Pour ce faire, les données de commerce mondial du FMI sont utilisées. Si la croissance cumulée des importations en provenance de la Belgique (axe vertical des graphiques 3 et 4) est plus forte que la croissance cumulée des importations en provenance du reste du monde (axe horizontal des graphiques 3 et 4), la Belgique a gagné des parts de marché et surperforme les autres exportateurs. mais les chiffres montrent une perte de parts de marché à l exportation sur les marchés de la zone euro comme sur les marchés hors zone euro. S agissant des pays de la zone euro (graphique 3), et plus précisément des trois plus gros marchés d exportations, ce n est malheureusement pas le cas. On voit par ailleurs que les exportations belges vers les pays de la périphérie se sont davantage contractées que celles du reste du monde vers ces mêmes pays. A l intérieur du commerce de la zone euro, la Belgique perd donc des parts de marché. Il en va de même de la plupart des grands marchés d exportations de la Belgique en dehors de la zone euro (graphique 4). La situation apparaît même très problématique envers des marchés tels que le Canada, Israël ou la Thaïlande. Il n y a qu en Roumanie, en Pologne, à Hong Kong, en Inde et en Chine où la Belgique surperforme ses concurrents. Ceci peut néanmoins être parfois lié à des phénomènes particuliers, comme l exportation de pierres précieuses vers l Inde. 3

4 Gr 3 La Belgique perd des parts de marchés sur ses principaux marchés d exportations de la zone euro Gr 4 de même que dans la plupart des marchés mondiaux 3 AT NL LU 1 IT FI FR DE -1 SK IE ES PT -3 GR JP HK TR BR ZA NO KRAU PL GB US AE SA RO RU SE CH TH IL HU CZ CA DK CN IN Axe horizontal : croissance cumulée des importations en provenance du reste du monde (hors BE ), - belge : = 5% des exportations belges Axe horizontal : croissance cumulée des importations en provenance du reste du monde (hors BE ), - belge : = 5% des exportations belges En comparaison aux trois grands pays voisins la Belgique semble néanmoins faire mieux sur les marchés de la zone euro mais moins bien sur les marchés hors zone euro. 3. La Belgique face à ses voisins Les données utilisées étant sujettes à des effets de change et de prix de matières premières, les résultats de la section précédente pourraient être partiellement biaisés. Pour rendre la performance de la Belgique plus objective, on peut dès lors pratiquer la même méthodologie, mais cette fois en comparant les performances d exportations de la Belgique vers un panel de pays aux performances de nos trois principaux voisins (DE, FR et NL) vis-à-vis de ces mêmes pays. La structure des graphiques 5 et 6 est dès lors similaire aux précédents : les axes horizontaux représentent la croissance cumulée sur la période des importations d un pays en provenance de nos trois voisins et les axes verticaux représentent la croissance cumulée des importations de ces mêmes pays en provenance de la Belgique. Dans le cas des pays de la zone euro, l image donnée du commerce extérieur belge change (graphique 5) : la Belgique fait aussi bien ou mieux que ces voisins, à deux exceptions près. S agissant des marchés d exportations en dehors de la zone euro, on notera d abord que les trois pays voisins de la Belgique sous-performent dans de nombreux cas le reste du monde : les pertes de parts de marché de la Belgique sur les marchés mondiaux peuvent donc en partie s expliquer par une perte plus générale des pays de la zone euro. Le commerce croissant entre les pays émergents explique en partie cet état de fait, de même que des effets de change ou de prix de matière première. Ceci relativise donc, un peu, les résultats de la section précédente. Par contre, les performances relatives de la Belgique demeurent dans la plupart des cas inférieures aux performances des pays voisins (graphique 6) : la Belgique perd des parts de marchés par rapport à ses trois grands voisins sur des marchés aussi importants que les Etats-Unis, le Canada, la Corée ou l Australie. Les pertes de parts de marché ne peuvent donc pas uniquement s expliquer par des effets liés à la zone euro elle-même : la composition sectorielle et la compétitivité de la Belgique sont aussi la cause d une perte de parts de marché. 4

5 Gr 5 Les exportateurs belges font mieux que leurs homologues voisins dans les pays de la zone euro Gr 6 mais à quelques exceptions près, ce n est pas le cas dans la plupart des marchés mondiaux. 3 LX AT 1 IT FN -1 SK PT ES IE -3 GR JP IN TK BR AE ZA KO NO PO UK US AU SA RO SD MX IL CA HU TJ DK CH RU HK TH CN Axe horizontal : croissance cumulée des importations en provenance de trois pays voisins (DE, FR, NL), - belge : = 3% des exportations belges (hors DE, FR, NL) Axe horizontal : croissance cumulée des importations en provenance de trois pays voisins (DE, FR, NL), - belge : = 1 des exportations belges (hors DE, FR, NL) 4. Conclusions Quels enseignements peut-on tirer de ces graphiques et tendances? Tout d abord, que l évolution du commerce mondial, elle-même accélérée par la crise économique et financière des dernières années, provoque un glissement de la structure géographique des exportations belges, marquées jusqu ici par une très forte concentration vers les pays de la zone euro. Ensuite, le constat posé récemment par la Commission européenne d une perte de parts de marchés par la Belgique est confirmé par l analyse présentée ici. C est vrai vis- à-vis des pays de la zone euro comme vis-à-vis des marchés extérieurs à la zone euro. Cette sous-performance peut en partie s expliquer par une perte plus générale de part de marché des pays de la zone euro (BE, DE, FR et NL analysés ici). Ceci est du notamment à l augmentation des échanges entre pays émergeants, mais aussi probablement à une perte plus générale de compétitivité des pays de la zone euro. Enfin, nonobstant cette observation, la Belgique tend à sous-performer ses voisins sur la plupart des marchés hors zone euro, à quelques exceptions notables près. Mais les outliers que représentent l Inde et la Chine (forte sur-performance de la Belgique) sont en partie liés à des phénomènes sectoriels particuliers). Dès lors, si les avis peuvent diverger quant aux solutions à apporter au problème, le problème lui-même de perte de parts de marchés ne peut être nié. Les exportateurs belges semblent faire d importants efforts pour réorienter leurs exportations vers les marchés en croissance, mais il est capital pour le maintien du modèle de croissance belge, fondé sur la demande intérieure et le commerce extérieur, de mettre en place les conditions socio-économiques permettant aux exportateurs d améliorer leurs performances sur les marchés mondiaux. 5

6 Encadré : L Espagne meilleure que la Belgique? Nous avons voulu savoir quelle était la performance relative de la Belgique, ayant un long passé d exportateur, par rapport à l Espagne. Ce pays était caractérisé par un lourd déficit du compte courant, mais aux prix de sacrifices importants en matière de coût du travail, et nonobstant d importants problèmes structurels persistants, l Espagne semble retrouver de meilleures performances sur les marchés d exportations. Les graphiques 7 et 8 illustrent cet état de fait. En reprenant la méthodologie appliquée à la section 3, il apparaît que l Espagne fait aussi bien voir mieux que la Belgique dans 30 des 37 marchés d exportations étudiés. Bien entendu, en proportion de l activité totale du pays, le commerce extérieur reste très faible en Espagne par rapport à la Belgique. Par ailleurs, partant d une situation très dégradée, il est normal d observer des taux de croissance importants dans le cas de l Espagne. Il en demeure pas moins que ces chiffres illustrent un certains regain d activité dans ce pays de la périphérie. Gr 7 Performances similaires entre la Belgique et l Espagne sur les grands marchés de la zone euro Gr 8 mais avantage à l Espagne sur les marchés mondiaux 4 3 NL AT 1 LX FR IT FN DE -1 SK IE PT -3 GR IN 14 CN HK JP 6 BR TK RU 4 PO SD ZA NO AE KO UK US CH AU SA MX ROCA TH HU TJ IL DK Axe horizontal : croissance cumulée des importations en provenance d Espagne, - belge : = 5% des exportations belges (hors ES) Axe horizontal : croissance cumulée des importations en provenance d Espagne, - belge : = 5% des exportations belges (hors ES) Légende des codes ISO AE Emirats Arabes Unis GB Royaume-Uni NO Norvège AT Autriche GR Grèce PL Pologne AU Australie HK Hong Kong PT Portugal BR Brésil HU Hongrie RO Roumanie CA Canada IE Irelande RU Russie CH Suisse IL Israël SA Arabie Saoudite CN Chine IN Inde SE Suède CZ Rép. Tchèque IT Italie SK Slovaquie DE Allemagne JP Japon TH Thaïlande DK Danemark KR Corée du Sud TR Turquie ES Espagne LU Luxembourg US Etats-Unis FR France NL Pays-Bas ZA Afrique du Sud 6

7 Disclaimer Les opinions exprimées dans ce rapport sont le reflet exact des opinions personnelles des analystes à propos des titres et des émetteurs cités dans ce document. Aucune tranche de la rémunération des analystes n'a été, n'est ou ne sera directement ou indirectement liée à l'inclusion de recommandations ou opinions spécifiques dans ce rapport. Les analystes qui ont participé à la préparation de cette publication respectent tous les exigences nationales liées à leur profession. Cette publication a été préparée au nom de ING (dans le cas présent ING Groep NV, sis aux Pays-Bas, et certaines de ses filiales et succursales) pour ses clients, uniquement à titre informatif. ING fait partie du Groupe ING (dans le cas présent ING Groep NV et ses sociétés filiales et apparentées). Cette publication ne constitue pas une recommandation de placement ni une offre ou une incitation à acheter ou vendre des instruments financiers. Même si toutes les précautions ont été prises pour assurer que les informations contenues dans ce document ne soient ni erronées, ni trompeuses au moment de la publication, ING ne peut en garantir ni l'exactitude ni l'exhaustivité. Les informations contenues dans ce document peuvent être revues sans avis préalable. ING Groep et ses cadres dirigeants, employés et mandats liés et discrétionnaires peuvent, dans les limites autorisées par la loi, avoir des positions longues ou courtes ou peuvent par ailleurs avoir des intérêts dans des transactions ou des investissements (en ce compris des produits dérivés) auxquels fait référence cette publication. En outre, ING Groep peut fournir ses services bancaires, d'assurances ou de gestion de patrimoine aux, ou solliciter de telles services auprès des, sociétés citées dans cette publication. Ni ING ni aucun de ses cadres dirigeants ou employés ne peuvent être tenus pour responsables d'éventuelles pertes directes ou indirectes suite à l'utilisation de cette publication ou de son contenu. Cette publication est soumise à la protection du copyright et des droits des bases de données et ne peut être reproduite, distribuée ou publiée par quiconque, quel que soit l'objectif, sans l'accord préalable de ING. Tous droits réservés. Tous les investissements mentionnés dans ce document peuvent comporter des risques considérables, ne sont pas nécessairement disponibles dans toutes les juridictions, peuvent être illiquides et peuvent ne pas convenir à tous les investisseurs. La valeur ou les revenus des investissements cités dans cette publication peuvent fluctuer et/ou être influencés par l'évolution des taux de change. Les performances passées ne constituent en rien une indication des résultats futurs. Les investisseurs doivent prendre leurs propres décisions de placement sans se baser sur cette publication. Seuls les investisseurs disposant d'une connaissance et d'une expérience suffisantes dans le domaine financier pour pouvoir en évaluer les mérites et les risques peuvent envisager d'investir dans les émetteurs et les marchés auxquels fait référence cette publication. Toute autre personne ne devrait pas prendre de décision sur la base de cette publication. Cette publication est émise:1) au Royaume-Uni seulement à l'attention des personnes prévues dans les articles 19, 47 et 49 du Financial Services and Markets Act 2000 (Financial Promotion) Order 2005 et ne doit pas être distribuée, directement ou indirectement, aux autres catégories de personnes (en ce compris les investisseurs privés); 2) en Italie, seulement à l'attention des personnes décrites dans l'article No. 31 de la réglementation Consob No /98 ; 3) aux Etats-Unis, seulement à l attention des investisseurs institutionnels qualifiés (QIB) et des grandes entreprises. Les clients doivent prendre contact avec des analystes auprès de, et exécuter des transactions via, une entité ING de leur juridiction nationale sauf si la loi en vigueur le permet d'agir autrement. ING Bank N.V. ses succursales et/ou ses filiales sont toutes enregistrées et contrôlées par les autorités de contrôle nationales concernées. ING Bank N.V. est agréée par la banque centrale néerlandaise et est supervisée par la Authority for the Financial Markets. Elle est sise aux Pays- Bas et est enregistrée aux Pays-Bas (numéro ) à Amstelveenseweg 500, 1081 KL, Amsterdam. ING Financial Markets LLC, qui est membre du NYSE, du NASD et du SPIC et qui fait partie de ING, a accepté la responsabilité de la distribution de ce rapport aux Etats-Unis conformément aux dispositions en vigueur. En Belgique, l'éditeur responsable est Peter Vanden Houte, avenue Marnix 24, 1000 Bruxelles. 7

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