BASSINS DE VIE : POUR UNE MEILLEURE ARTICULATION ENTRE L EMPLOI, LA FORMATION ET L ENSEIGNEMENT
|
|
- Dominique Aubin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BASSINS DE VIE : POUR UNE MEILLEURE ARTICULATION ENTRE L EMPLOI, LA FORMATION ET L ENSEIGNEMENT Xavier BODSON Septembre 2009 Editrice responsable : A. Poutrain 13, Boulevard de l Empereur 1000 Bruxelles
2 Introduction... 2 A. L affirmation d un ancrage territorial... 2 B. Des incitants aux collaborations... 3 C. Objectiver les besoins... 3 D. Des actions concrètes pour favoriser l orientation vers le qualifiant... 4 E. Intérêts et limites des bassins... 5 F. Et l avenir?
3 Introduction Les récentes Déclarations de politique régionale wallonne (DPR) et Déclaration de politique communautaire (DPC) évoquent toutes deux la mise en place de «bassins de vie» et de «pôles de formation» en vue de mieux organiser le triangle Emploi, formation et enseignement. Quel est l intérêt (et les limites) de l organisation en bassins de vie pour améliorer cette articulation? Ces bassins de vie s appuient sur l'expérience de bassin scolaire à Charleroi, lancée en Quelles leçons en tirer? Le point avec deux acteurs de cette expérience, Alain Diseur, Directeur général de l'enseignement de la Province du Hainaut et Eric Van Sevenant, président du Comité subrégional de l emploi et de la formation (CSEF) de Charleroi. Tous les acteurs s accordent sur l importance d améliorer les articulations entre les mondes de la formation, de l emploi et l enseignement. Dans la pratique, les clivages restent nombreux, que ce soit au niveau local, entre réseaux, entre secteurs de formation ou entre le monde économique et celui de la formation. La suppression de ces concurrences apparaît incontournable, en particulier dans le contexte budgétaire que connaissent les Régions et la Communauté française. A. L affirmation d un ancrage territorial Dans la Déclaration de politique communautaire de 2009, le Gouvernement veut soutenir «l extension de l expérience pilote de Charleroi de structuration de l offre d enseignement qualifiant à d autres zones ou lieux». Au-delà d une meilleure organisation de l offre, le Gouvernement ambitionne également de faire des bassins des lieux de co-responsabilisation des acteurs à l échelle d un territoire. Le bassin de vie pourrait se définir comme un territoire «sur lequel les habitants ont accès à la fois aux équipements et à l emploi» pour reprendre la définition de l Institut nationale de statistiques et des études économiques (INSEE). L enjeu est d établir un partenariat local entre les établissements scolaires, les opérateurs de formation, les fonds sectoriels des entreprises et les partenaires sociaux interprofessionnels. Sur base d évaluations scientifiques, le Gouvernement de la Communauté française envisage d adapter ce système à d autres niveaux et types d enseignement. Alain Diseur, retrace les principales étapes qui ont conduit à la mise en œuvre d une organisation en bassin dans le cadre de l expérience pilote de Charleroi : la déclaration de politique communautaire de 2004, le Contrat stratégique pour l école et le processus de négociation qui a conduit à la mise sur pied de l expérience-pilote au sein de l enseignement secondaire technique et professionnel à Charleroi. Si au départ, le projet avait pour objectif «une coordination optimalisée de l offre d enseignement, une meilleure gestion des flux de population scolaire et une coopération accrue entre écoles pour certaines tâches de gestion et d administration», la maturation du dossier s est traduite par des réorientations conséquentes. Le projet pilote s est concentré sur une première tâche, celle de 2
4 proposer des lieux d optimisation de l offre de formation qualifiante et d initier des collaborations ponctuelles ou structurelles entre établissements et entre réseaux. Ainsi, dans le cadre de l expérience pilote, une instance de pilotage réunissant des représentants de l enseignement qualifiant issus des différents réseaux et des représentants du monde socio-économique a été créée. Elle est notamment chargée d accorder des incitants aux établissements qui s engagent, sur base volontaire, dans des actions d optimalisation de l offre en lien avec l instance de pilotage du bassin. B. Des incitants aux collaborations Alain Diseur insiste notamment sur l importance de ces incitants pour immuniser les écoles contre les effets liés aux modifications de l offre d option sur l emploi, ou pour encourager les écoles à créer des options jugées nécessaires. Les incitants doivent également permettre de maintenir, même lorsque les effectifs d élèves sont sous les normes, des options jugées indispensables. Ces incitants sont de plusieurs ordres : octrois d équivalents temps plein supplémentaires, suspension des normes minimale pour les sections maintenues, priorité pour l accès au fond d équipement, allégement des conditions de création d une nouvelle section et dotations ou subventions de fonctionnement complémentaires pour les nouvelles programmations. Les incitants sont octroyés lorsque l établissement lance une formation pour des métiers en pénurie qui ne vient pas concurrencer une offre existante dans la zone et qu elle s appuie sur l exploitation des ressources en équipements disponibles dans la zone. Pour le Directeur de l'enseignement de la Province du Hainaut, l organisation en bassin avec cette instance de concertation favorise les compromis entre acteurs locaux. «Nous y fonctionnons par consensus avec une majorité au sein des deux parties que sont le monde économique et le monde enseignant». L ouverture de nouvelles options se fonde par exemple sur une objectivation des besoins. «Parmi les critères retenus, figurent la cohérence et la pertinence par rapport à l offre actuelle» indique encore Alain Diseur. C. Objectiver les besoins Eric Van Sevenant expose l action concrète générée par la dynamique du bassin. Il explique la manière dont l instance de pilotage analyse les besoins du bassin d emploi et organise l offre de formation permettant d y répondre. Primo, un travail d identification des secteurs d activité porteurs d emplois spécifiques au territoire du bassin a été réalisé, de même pour l identification des métiers en pénurie. Ensuite, ces données sont croisées avec l offre scolaire actuelle. C est ainsi qu un bilan des populations scolaires par secteur et un zoom des populations scolaires par métier-cible et par établissement ont été 3
5 développés. «Ce qui a permis d identifier les filières porteuses d emploi qui étaient insuffisamment fréquentées de même que les filières sur-fréquentées mais qui ne sont pas porteuses d emploi» précise Eric Van Sevenant. Ainsi, le métier de couvreur est reconnu en pénurie. Pourtant d après le travail d identification, seuls 5 élèves sont inscrits dans la filière sur toute la zone. En revanche, les sections coiffure situées sur le bassin forment, chaque année, plus de 250 futurs coiffeurs, ce qui est largement supérieur aux besoins du marché. Ce travail a également permis d identifier les secteurs porteurs dans le registre environnemental : nouvelles compétences en matière de développement durable, de qualité environnementale, d isolation, de chauffage alternatif et métiers verts p. ex. D. Des actions concrètes pour favoriser l orientation vers le qualifiant Mais au-delà de l objectivation des besoins et de l offre de formation, l instance de pilotage a décidé de développer plusieurs actions concrètes. L objectif est d informer les élèves du général des possibilités et opportunités professionnelles du qualifiant et de lutter contre la pénurie d élèves dans certaines filières. La première initiative vise à sensibiliser les élèves du 1 er degré du secondaire à l intérêt des métiers du qualifiant. L objectif est de faire découvrir, par la pratique, un panel le plus large possible, de métiers technologiques et en pénurie aux élèves du 1 er degré. Ainsi, des projets pédagogiques communs ont été établis, sur base de conventions, entre des écoles organisant un 1 er degré et les écoles proposant des filières qualifiantes pour des métiers en pénurie. Concrètement, des modules de 18 périodes composés de minimum deux «ateliers» permettent aux élèves du 1 er degré de découvrir un métier d un secteur en pénurie. Les secteurs retenus dans le bassin de Charleroi sont l alimentation, la construction, l agronomie et l industrie. L école qualifiante qui accueille les élèves reçoit des moyens humains pour encadrer les élèves et assurer la coordination ainsi que les frais de fonctionnement. L école qui envoie ses élèves du 1 er degré reçoit également des moyens supplémentaires pour la coordination et les frais de déplacement des élèves vers les ateliers des écoles qualifiantes. En , cette action s est déroulée dans 25 écoles secondaires, permettant à plus de élèves du général de participer à des cours dans le qualifiant. Un autre projet a été lancé par l instance de pilotage, toujours pour sensibiliser les élèves à l intérêt des métiers en pénurie. Ce dernier s adresse aux élèves du 3 e degré général en vue de leur orientation vers des études supérieures technologiques. Ici, l objectif est de répondre à la pénurie de cadres dans les entreprises. A terme, le but est d offrir à ces élèves du 3 e degré général l opportunité de s'orienter vers une option de Technique de transition tout en restants inscrit dans le général, mais en suivant leur formation dans une école «Technique». 4
6 E. Intérêts et limites des bassins Pour le président du Comité subrégional, l intérêt des bassins réside dans l organisation de nouvelles synergies entre acteurs. Et de citer l exemple de la mise sur pied, par deux écoles professionnelles de deux réseaux différents, d un projet de construction d une maison passive. «Grâce aux réunions régulières des acteurs du bassin, une concertation inter-réseaux a pu être initiée. Cette coordination à permis d éviter une concurrence néfaste et des complémentarités entre les deux projets. Les deux écoles utilisent des techniques de construction différentes. Les élèves de chaque école vont se former aux techniques développées par l autre établissement». Eric Van Sevenant souligne encore l importance de l orientation dans le processus d articulation entre l enseignement, la formation et la mise à l emploi. Il regrette toutefois l absence d une information intégrée : «il existe beaucoup d opérateurs mais les liens entre l enseignement et l exercice concret d un métier sont rarement exposés aux élèves». Il prône donc «l amélioration des articulations entre métiers et enseignement». Le Président du Comité subrégional de Charleroi, pointe plusieurs éléments à la base de la réussite du projet actuel. «Primo, que l investissement de chaque acteur se fasse sur base volontaire, ce qui induit notamment que les membres partenaires développent un esprit d ouverture, de dialogue et confiance réciproque». Il évoque aussi l importance du dialogue et de la concertation avec les secteurs économiques ainsi que le fait qu un acteur socio-économique, le Comité sub de Charleroi, endosse le rôle d animateur du dispositif. «Il a pu se placer au-delà des marchandages et des concurrences qui pouvaient exister entre les acteurs scolaires sur le bassin carolo». Autre élément positif, l adoption d une logique de développement territorial fondé sur les besoins au niveau local. F. Et l avenir? Mais pour Eric Van Sevenant, les défis restent, notamment celui de faire adhérer l ensemble des acteurs scolaires à la démarche, d intégrer et de fédérer davantage les initiatives en matière d orientation scolaire (Technifutur, fonds sectoriels, FOREM, ). Quant à Alain Diseur, il craint que les difficultés budgétaires de la Communauté française ne remettent en question l extension de la dynamique, voire sa poursuite à Charleroi. «Les budgets seront-ils maintenus? Qu en sera-t-il de l extension à d autres territoires?» De même, il s interroge sur «l articulation des bassins scolaires, un concept qui doit encore être concrétisé et généralisé au reste de la Communauté française avec les pôles de formation dont on ne sait pas grand-chose». Il conseille donc de «réduire d urgence le clivage entre le projet politique et la réalité de terrain ; question de crédibilité». Si les bassins constituent une réponse potentielle à la meilleure articulation entre les besoins du marché de l emploi et l offre de formation et d enseignement, ils 5
7 appellent, parallèlement des réponses pragmatiques qui portent autant sur l information et l orientation des apprenants, le travail sur les représentations des acteurs quant à la pénibilité des métiers ou aux possibles débouchés professionnels, l identification des besoins, la mise en œuvre de procédures permettant de répondre rapidement aux nouveaux besoins de formation. A ce titre, pour répondre à l insuffisance de l'information des enseignants et des familles sur le monde économique, il apparaît primordial de disposer d organes qui assurent une information complète de l offre de formation en lien avec les opportunités d emploi du bassin de vie. Institut Emile Vandervelde Bd de l Empereur, 13 B-1000 Bruxelles Téléphone : +32 (0) Fax : + 32 (02) iev@iev.be 6
Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)
Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre
Plus en détailProjet de Cité des Métiers CHARLEROI. 23 avril 2013 - Liège Olivier Marchal Coordinateur du projet
Projet de Cité des Métiers CHARLEROI 23 avril 2013 - Liège Olivier Marchal Coordinateur du projet Contexte socio-éco Charleroi! Où ça? Pôle des Sciences du Vivant Pôle du développement durable Aéroport
Plus en détailGRILLE DE PRESENTATION D ACTIONS 1 COMITE OPERATIONNEL N 34
GRILLE DE PRESENTATION D ACTIONS 1 COMITE OPERATIONNEL N 34 Organisme / entreprise : CFEEDD I/ RAPPEL DE LA MISSION Comité opérationnel n 34 «Sensibilisation, information et formation du public aux questions
Plus en détail«Panorama transfrontalier de l économie sociale et solidaire»
Une implantation forte de l Economie Sociale et Solidaire de part et d autre de la frontière. Forte de plus de 13 000 établissements et de plus de 200 000 emplois sur le territoire transfrontalier, l économie
Plus en détailSources Authentiques. Denis VAN NUFFELEN - Chef de Projet S.A. - ewbs-bced. BCED 3 décembre 2013 Moulins de Beez
Sources Authentiques Denis VAN NUFFELEN - Chef de Projet S.A. - ewbs-bced BCED 3 décembre 2013 Moulins de Beez Sommaire De quoi s agit-il au juste? A quoi ça sert? Comment devenir Source Authentique Exemples
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailProgramme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)
Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Projet de coopération déléguée présenté dans le cadre du PIC entre le Royaume de Belgique et la RD du Congo Durée 3 ans
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailEVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE
OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailConseil supérieur du logement
Conseil supérieur du logement Avis n 29 du Conseil supérieur du logement du 31 août 2011 sur l avantprojet d arrêté du Gouvernement wallon modifiant l arrêté du Gouvernement wallon du 6 septembre 2007
Plus en détailRENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE
RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18
Plus en détailPRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.
cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailOutils pour développer les entreprises en Wallonie Le Centre pour Entreprises en difficulté
Outils pour développer les entreprises en Wallonie Le Centre pour Entreprises en difficulté Alain DEMAREZ Responsable Coordination CEd-W à l ASE 1. Pourquoi un CEd en Wallonie? La situation des faillites
Plus en détailMobilité des demandeurs d emploi en région du Centre. Projet : «Promotion de la mobilité en région du Centre»
Mobilité des demandeurs d emploi en région du Centre Projet : «Promotion de la mobilité en région du Centre» 1 Constats - diagnostic Etude du CSEF sur la mobilité des demandeurs d emploi (2011) et données
Plus en détailL environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements
L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements Mission IGAS CPF - Réunion GC quadripartite du 24 octobre 2013 1 Sommaire de la présentation 1. Le CEP : un accompagnement
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailGestion Participative Territoriale :
!!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailDe nouveaux enjeux de nouvelles opportunités!
INTRODUCTION De nouveaux enjeux de nouvelles opportunités! Les Gouvernements ont adopté en première lecture le 11 juillet dernier le Plan Marshall 2022! Le Plan Marshall 2022 c est: Un plan de développement
Plus en détailCadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010
1 Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010 Objectif global : Le Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé contribue effectivement à la mise en place
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailI. Accord obtenu sur un certain nombre de principes de base = note de synthèse.
I. Accord obtenu sur un certain nombre de principes de base = note de synthèse. 1) Le citoyen a droit à l aide adéquate la plus rapide (tant en ce qui conceme le service d incendie qu en ce qui conceme
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailCOUR DES COMPTES. Juin 2013
COUR DES COMPTES Synthèse du Rapport public thématique Juin 2013 Le financement public de la recherche, un enjeu national Avertissement Cette synthèse est destinée à faciliter la lecture et l utilisation
Plus en détailRÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES
CÉGEP DE SEPT-ÎLES POLITIQUE INSTITUTIONNELLE DE VALORISATION DE LA LANGUE FRANÇAISE Service émetteur : Direction des études Instance décisionnelle : Conseil d administration Date d approbation : Le 20
Plus en détailPARLEMENT WALLON SESSION 2014-2015 21 AVRIL 2015 PROJET DE DÉCRET
158 (2014-2015) N 2 158 (2014-2015) N 2 PARLEMENT WALLON SESSION 2014-2015 21 AVRIL 2015 PROJET DE DÉCRET portant assentiment à l accord de coopération conclu le 26 février 2015 entre la Communauté française,
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailRéduire le risque routier Une stratégie pour un utilitaire plus sûr
DOSSIER DE PRESSE 28 avril 2011 * Réduire le risque routier Une stratégie pour un utilitaire plus sûr Contact presse : L Assurance Maladie Risques Professionnels Marie-Eva PLANCHARD 01 72 60 22 88 marie-eva.planchard@cnamts.fr
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailUNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE
UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les
Plus en détailVERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional
VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : PRMX1427006D Intitulé du texte : Décret relatif aux modalités d organisation des délibérations à distance des instances administratives à caractère collégial
Plus en détailCompte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH
Compte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH En introduction : référence au site rps.hypotheses.org Un questionnaire anonyme sera mis en ligne d ici peu. Un petit film
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailEnquête internationale 2013 sur le Travail Flexible
Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible En octobre 2013, BakkerElkhuizen a mené une enquête en ligne parmi les professionnels RH en Allemagne, en Angleterre, en Belgique et aux Pays-Bas portant
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailCompte-rendu Atelier 4 du 21 mars 2013
Des formes d emploi atypiques, mutualisation et relations sociales Compte-rendu Atelier 4 du 21 mars 2013 Bilan quantitatif 61 participants (dont 15 entreprises 18 institutionnels 21 consultants et universitaires
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détailOUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS
Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.
Plus en détailRéunion correspondants Europe 26 juin 2012
Réunion correspondants Europe 26 juin 2012 1 Groupe de travail fonds structurels 2 Les fonds structurels Les ressources humaines financées par les fonds structurels : une contribution au développement
Plus en détailDossier de presse 28 janvier 2013
Dossier de presse 28 janvier 2013 1. Pourquoi un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie? Certes, le nombre de faillites augmente. Mais, c est surtout, le fait de voir qu un conseil rapide et
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailPortfolio des services du ROHSCO Mot de la direction C est avec un immense plaisir que nous vous remettons ce portfolio; fidèle portrait des services du ROHSCO. Au fil des années le Regroupement s est
Plus en détailContrat économique sectoriel Economie Sociale et Solidaire 2014-2016
Contrat économique sectoriel Economie Sociale et Solidaire 2014-2016 La Région Rhône-Alpes, l Etat, la CRESS Rhône-Alpes et la Caisse des Dépôts et Consignations ont souhaité s engager dans un troisième
Plus en détailPréparation des programmes européens 2007-2013
Préparation des programmes européens 2007-2013 Présentation AGILE 9h30-10h30 8 Préparation des programmes européens 2007-2013 Le contexte La méthode de travail État d avancement des travaux : bilan, diagnostic
Plus en détailAppel pour une politique stratégique et coordonnée de l'aide aux sans-abri 2014-2019
Cet appel sollicite les responsables des gouvernements afin qu'ils s'engagent à relever ces enjeux dès l entrée en fonction de la nouvelle législature. Appel pour une politique stratégique et coordonnée
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailPOUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017
LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du
Plus en détailLa modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015
La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte
Plus en détailLA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailANALYSE. La transition énergétique allemande à la recherche de son modèle
La transition énergétique allemande à la recherche de son modèle Florence Chapuis et Nicolas Goldberg Souvent présenté comme un modèle, le programme allemand de développement des énergies renouvelables
Plus en détail17DEPARTEMENT DES VOSGES
Pôle Développement du Territoire Service moyens techniques et gestion administrative du Territoire 17DEPARTEMENT DES VOSGES Extrait des délibérations du Conseil général Réunion du 19 janvier 2015 BUDGET
Plus en détailLa Région facilite l accès au crédit bancaire des entreprises de l économie sociale et solidaire
Mercredi 22 juin 2011 La Région facilite l accès au crédit bancaire des entreprises de l économie sociale et solidaire Muriel PIN 04 67 22 93 87 /// 06 07 76 82 05 pin.muriel@cr-languedocroussillon.fr
Plus en détailLe réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission
Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Un accompagnement historique! * Création ou reprise d entreprises agricoles Voyage de presse installation-transmission - 4 avril
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détailLa création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans
- 1 - Les statistiques en bref La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans Données de cadrage socio-démographique sur les jeunes en France 24 % des Français de 18 ans et plus sont âgés de
Plus en détailDépartement du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État,
Département du Val-de-Marne Charte départementale de partenariat sécurité routière entre l État, la Caisse Régionale d Assurance Maladie d Ile-de-France (CRAMIF) et la profession du transport routier de
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détailProgramme national «très haut débit»
Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME
Plus en détailPolitique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET
Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET ADOPTÉE LE 9 SEPTEMBRE 2009 MODIFIÉE EN MAI 2012 Le Forum jeunesse Estrie est soutenu financièrement par le gouvernement
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailRegard sur hybridation et infogérance de production
Regard sur hybridation et infogérance de production Février 2014 édito «comment transformer l hybridation des infrastructures en levier de performances?» Les solutions d infrastructure connaissent depuis
Plus en détailGuide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation
Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité
Plus en détailPOUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009
POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009 1 Une politique régionale concertée Le 20 Mai 2008, le CRIF organise une large concertation
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : JUSC1506186D Intitulé du texte : Décret relatif à l obligation d assurance de la responsabilité civile professionnelle des agents commerciaux immobiliers
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne
Plus en détailMISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA
MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes
Plus en détail3 Les premiers résultats des plans d'actions
3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailAgriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général
Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général 10 propositions du réseau FNAB pour une nouvelle politique de l eau (2013-2018) Cahier propositionnel du réseau FNAB dans le cadre
Plus en détailThe Promotion of Employee Ownership and Participation
The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French
Plus en détailUne loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire
Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Ensemble, Entreprendre Autrement 1 1. Principes, périmètre et bonnes pratiques : ce que dit la loi Ensemble, Entreprendre Autrement 2 Des principes
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailLa réforme : une opportunité pour la fonction formation
Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon
Plus en détailLa loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue
La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailProjets et défis du développement économique en Brabant wallon. Baudouin le Hardÿ de Beaulieu Directeur général 19/09/2012
Projets et défis du développement économique en Brabant wallon Baudouin le Hardÿ de Beaulieu Directeur général 19/09/2012 Missions de l IBW (en matière de développement économique) création, aménagement
Plus en détailLes fonctions critiques en RW en 2003 Les fonctions communes avec la Région de Bruxelles-Capitale
1 Les fonctions critiques en RW en 2003 Les fonctions communes avec la Région de Bruxelles-Capitale FOREM Conseil Présentation au CSEF - 14 décembre 2004 2 Méthodologie retenue Source : postes vacants
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailCOOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007
COOPERATION DECENTRALISEE CESR 5 octobre 2007 La coopération internationale et décentralisée S insère dans le cadre plus large de l action extérieure des collectivités Regroupe les actions de coopération
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailPlan Marshall 2.vert 1,6 milliard d euros pour 6 priorités
Plan Marshall 2.vert 1,6 milliard d euros pour 6 priorités En août 2005, le Gouvernement wallon adoptait les Actions prioritaires pour l Avenir wallon mieux connues sous le nom de Plan Marshall qui concentraient
Plus en détailBilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité
Plus en détail