BASSINS DE VIE : POUR UNE MEILLEURE ARTICULATION ENTRE L EMPLOI, LA FORMATION ET L ENSEIGNEMENT

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1 BASSINS DE VIE : POUR UNE MEILLEURE ARTICULATION ENTRE L EMPLOI, LA FORMATION ET L ENSEIGNEMENT Xavier BODSON Septembre 2009 Editrice responsable : A. Poutrain 13, Boulevard de l Empereur 1000 Bruxelles

2 Introduction... 2 A. L affirmation d un ancrage territorial... 2 B. Des incitants aux collaborations... 3 C. Objectiver les besoins... 3 D. Des actions concrètes pour favoriser l orientation vers le qualifiant... 4 E. Intérêts et limites des bassins... 5 F. Et l avenir?

3 Introduction Les récentes Déclarations de politique régionale wallonne (DPR) et Déclaration de politique communautaire (DPC) évoquent toutes deux la mise en place de «bassins de vie» et de «pôles de formation» en vue de mieux organiser le triangle Emploi, formation et enseignement. Quel est l intérêt (et les limites) de l organisation en bassins de vie pour améliorer cette articulation? Ces bassins de vie s appuient sur l'expérience de bassin scolaire à Charleroi, lancée en Quelles leçons en tirer? Le point avec deux acteurs de cette expérience, Alain Diseur, Directeur général de l'enseignement de la Province du Hainaut et Eric Van Sevenant, président du Comité subrégional de l emploi et de la formation (CSEF) de Charleroi. Tous les acteurs s accordent sur l importance d améliorer les articulations entre les mondes de la formation, de l emploi et l enseignement. Dans la pratique, les clivages restent nombreux, que ce soit au niveau local, entre réseaux, entre secteurs de formation ou entre le monde économique et celui de la formation. La suppression de ces concurrences apparaît incontournable, en particulier dans le contexte budgétaire que connaissent les Régions et la Communauté française. A. L affirmation d un ancrage territorial Dans la Déclaration de politique communautaire de 2009, le Gouvernement veut soutenir «l extension de l expérience pilote de Charleroi de structuration de l offre d enseignement qualifiant à d autres zones ou lieux». Au-delà d une meilleure organisation de l offre, le Gouvernement ambitionne également de faire des bassins des lieux de co-responsabilisation des acteurs à l échelle d un territoire. Le bassin de vie pourrait se définir comme un territoire «sur lequel les habitants ont accès à la fois aux équipements et à l emploi» pour reprendre la définition de l Institut nationale de statistiques et des études économiques (INSEE). L enjeu est d établir un partenariat local entre les établissements scolaires, les opérateurs de formation, les fonds sectoriels des entreprises et les partenaires sociaux interprofessionnels. Sur base d évaluations scientifiques, le Gouvernement de la Communauté française envisage d adapter ce système à d autres niveaux et types d enseignement. Alain Diseur, retrace les principales étapes qui ont conduit à la mise en œuvre d une organisation en bassin dans le cadre de l expérience pilote de Charleroi : la déclaration de politique communautaire de 2004, le Contrat stratégique pour l école et le processus de négociation qui a conduit à la mise sur pied de l expérience-pilote au sein de l enseignement secondaire technique et professionnel à Charleroi. Si au départ, le projet avait pour objectif «une coordination optimalisée de l offre d enseignement, une meilleure gestion des flux de population scolaire et une coopération accrue entre écoles pour certaines tâches de gestion et d administration», la maturation du dossier s est traduite par des réorientations conséquentes. Le projet pilote s est concentré sur une première tâche, celle de 2

4 proposer des lieux d optimisation de l offre de formation qualifiante et d initier des collaborations ponctuelles ou structurelles entre établissements et entre réseaux. Ainsi, dans le cadre de l expérience pilote, une instance de pilotage réunissant des représentants de l enseignement qualifiant issus des différents réseaux et des représentants du monde socio-économique a été créée. Elle est notamment chargée d accorder des incitants aux établissements qui s engagent, sur base volontaire, dans des actions d optimalisation de l offre en lien avec l instance de pilotage du bassin. B. Des incitants aux collaborations Alain Diseur insiste notamment sur l importance de ces incitants pour immuniser les écoles contre les effets liés aux modifications de l offre d option sur l emploi, ou pour encourager les écoles à créer des options jugées nécessaires. Les incitants doivent également permettre de maintenir, même lorsque les effectifs d élèves sont sous les normes, des options jugées indispensables. Ces incitants sont de plusieurs ordres : octrois d équivalents temps plein supplémentaires, suspension des normes minimale pour les sections maintenues, priorité pour l accès au fond d équipement, allégement des conditions de création d une nouvelle section et dotations ou subventions de fonctionnement complémentaires pour les nouvelles programmations. Les incitants sont octroyés lorsque l établissement lance une formation pour des métiers en pénurie qui ne vient pas concurrencer une offre existante dans la zone et qu elle s appuie sur l exploitation des ressources en équipements disponibles dans la zone. Pour le Directeur de l'enseignement de la Province du Hainaut, l organisation en bassin avec cette instance de concertation favorise les compromis entre acteurs locaux. «Nous y fonctionnons par consensus avec une majorité au sein des deux parties que sont le monde économique et le monde enseignant». L ouverture de nouvelles options se fonde par exemple sur une objectivation des besoins. «Parmi les critères retenus, figurent la cohérence et la pertinence par rapport à l offre actuelle» indique encore Alain Diseur. C. Objectiver les besoins Eric Van Sevenant expose l action concrète générée par la dynamique du bassin. Il explique la manière dont l instance de pilotage analyse les besoins du bassin d emploi et organise l offre de formation permettant d y répondre. Primo, un travail d identification des secteurs d activité porteurs d emplois spécifiques au territoire du bassin a été réalisé, de même pour l identification des métiers en pénurie. Ensuite, ces données sont croisées avec l offre scolaire actuelle. C est ainsi qu un bilan des populations scolaires par secteur et un zoom des populations scolaires par métier-cible et par établissement ont été 3

5 développés. «Ce qui a permis d identifier les filières porteuses d emploi qui étaient insuffisamment fréquentées de même que les filières sur-fréquentées mais qui ne sont pas porteuses d emploi» précise Eric Van Sevenant. Ainsi, le métier de couvreur est reconnu en pénurie. Pourtant d après le travail d identification, seuls 5 élèves sont inscrits dans la filière sur toute la zone. En revanche, les sections coiffure situées sur le bassin forment, chaque année, plus de 250 futurs coiffeurs, ce qui est largement supérieur aux besoins du marché. Ce travail a également permis d identifier les secteurs porteurs dans le registre environnemental : nouvelles compétences en matière de développement durable, de qualité environnementale, d isolation, de chauffage alternatif et métiers verts p. ex. D. Des actions concrètes pour favoriser l orientation vers le qualifiant Mais au-delà de l objectivation des besoins et de l offre de formation, l instance de pilotage a décidé de développer plusieurs actions concrètes. L objectif est d informer les élèves du général des possibilités et opportunités professionnelles du qualifiant et de lutter contre la pénurie d élèves dans certaines filières. La première initiative vise à sensibiliser les élèves du 1 er degré du secondaire à l intérêt des métiers du qualifiant. L objectif est de faire découvrir, par la pratique, un panel le plus large possible, de métiers technologiques et en pénurie aux élèves du 1 er degré. Ainsi, des projets pédagogiques communs ont été établis, sur base de conventions, entre des écoles organisant un 1 er degré et les écoles proposant des filières qualifiantes pour des métiers en pénurie. Concrètement, des modules de 18 périodes composés de minimum deux «ateliers» permettent aux élèves du 1 er degré de découvrir un métier d un secteur en pénurie. Les secteurs retenus dans le bassin de Charleroi sont l alimentation, la construction, l agronomie et l industrie. L école qualifiante qui accueille les élèves reçoit des moyens humains pour encadrer les élèves et assurer la coordination ainsi que les frais de fonctionnement. L école qui envoie ses élèves du 1 er degré reçoit également des moyens supplémentaires pour la coordination et les frais de déplacement des élèves vers les ateliers des écoles qualifiantes. En , cette action s est déroulée dans 25 écoles secondaires, permettant à plus de élèves du général de participer à des cours dans le qualifiant. Un autre projet a été lancé par l instance de pilotage, toujours pour sensibiliser les élèves à l intérêt des métiers en pénurie. Ce dernier s adresse aux élèves du 3 e degré général en vue de leur orientation vers des études supérieures technologiques. Ici, l objectif est de répondre à la pénurie de cadres dans les entreprises. A terme, le but est d offrir à ces élèves du 3 e degré général l opportunité de s'orienter vers une option de Technique de transition tout en restants inscrit dans le général, mais en suivant leur formation dans une école «Technique». 4

6 E. Intérêts et limites des bassins Pour le président du Comité subrégional, l intérêt des bassins réside dans l organisation de nouvelles synergies entre acteurs. Et de citer l exemple de la mise sur pied, par deux écoles professionnelles de deux réseaux différents, d un projet de construction d une maison passive. «Grâce aux réunions régulières des acteurs du bassin, une concertation inter-réseaux a pu être initiée. Cette coordination à permis d éviter une concurrence néfaste et des complémentarités entre les deux projets. Les deux écoles utilisent des techniques de construction différentes. Les élèves de chaque école vont se former aux techniques développées par l autre établissement». Eric Van Sevenant souligne encore l importance de l orientation dans le processus d articulation entre l enseignement, la formation et la mise à l emploi. Il regrette toutefois l absence d une information intégrée : «il existe beaucoup d opérateurs mais les liens entre l enseignement et l exercice concret d un métier sont rarement exposés aux élèves». Il prône donc «l amélioration des articulations entre métiers et enseignement». Le Président du Comité subrégional de Charleroi, pointe plusieurs éléments à la base de la réussite du projet actuel. «Primo, que l investissement de chaque acteur se fasse sur base volontaire, ce qui induit notamment que les membres partenaires développent un esprit d ouverture, de dialogue et confiance réciproque». Il évoque aussi l importance du dialogue et de la concertation avec les secteurs économiques ainsi que le fait qu un acteur socio-économique, le Comité sub de Charleroi, endosse le rôle d animateur du dispositif. «Il a pu se placer au-delà des marchandages et des concurrences qui pouvaient exister entre les acteurs scolaires sur le bassin carolo». Autre élément positif, l adoption d une logique de développement territorial fondé sur les besoins au niveau local. F. Et l avenir? Mais pour Eric Van Sevenant, les défis restent, notamment celui de faire adhérer l ensemble des acteurs scolaires à la démarche, d intégrer et de fédérer davantage les initiatives en matière d orientation scolaire (Technifutur, fonds sectoriels, FOREM, ). Quant à Alain Diseur, il craint que les difficultés budgétaires de la Communauté française ne remettent en question l extension de la dynamique, voire sa poursuite à Charleroi. «Les budgets seront-ils maintenus? Qu en sera-t-il de l extension à d autres territoires?» De même, il s interroge sur «l articulation des bassins scolaires, un concept qui doit encore être concrétisé et généralisé au reste de la Communauté française avec les pôles de formation dont on ne sait pas grand-chose». Il conseille donc de «réduire d urgence le clivage entre le projet politique et la réalité de terrain ; question de crédibilité». Si les bassins constituent une réponse potentielle à la meilleure articulation entre les besoins du marché de l emploi et l offre de formation et d enseignement, ils 5

7 appellent, parallèlement des réponses pragmatiques qui portent autant sur l information et l orientation des apprenants, le travail sur les représentations des acteurs quant à la pénibilité des métiers ou aux possibles débouchés professionnels, l identification des besoins, la mise en œuvre de procédures permettant de répondre rapidement aux nouveaux besoins de formation. A ce titre, pour répondre à l insuffisance de l'information des enseignants et des familles sur le monde économique, il apparaît primordial de disposer d organes qui assurent une information complète de l offre de formation en lien avec les opportunités d emploi du bassin de vie. Institut Emile Vandervelde Bd de l Empereur, 13 B-1000 Bruxelles Téléphone : +32 (0) Fax : + 32 (02) iev@iev.be 6

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