Thrombopénie Pascal Sève Interne, Croix Rousse, Lyon
|
|
- Léon Timothée Dufour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Thrombopénie Module Médecine M Interne Pascal Sève S Service de Médecine M Interne, Croix Rousse, Lyon
2 Item III-Q335 Thrombopénie (avec le traitement) - Orientation diagnostique Devant une thrombopénie, argumentez les principales hypothèses diagnostiques et justifiez les examens complémentaires
3 DEFINITION Plaquettes < 150 (100) G/L Deux mécanismes Thrombopénie périphérique Mégacaryocytes normaux ou élevés Destruction, consommation, séquestration Thrombopénie centrale Mégacaryocytes absents ou en nombre diminués Congénitale vs. acquise Myélogramme non obligatoire Thrombopénie isolée, sujet jeune, traitement efficace
4
5 Thrombopénies centrales Exceptionnellement isolée Myélodysplasie : sujet âgé, macrocytose Myélogramme avec cytogénétique Acquises ou congénitales Acquises : 4 mécanismes Aplasie : idiopathique, toxiques, infections, immunologique Envahissement : myélome, leucémies, cancers Myélodysplasie : carentielle, anémies réfractaires Myélofibrose
6 Thrombopénies constitutionnelles <18 mois Thrombopénie modérée et souvent de découverte fortuite Contexte familial Syndrome dysmorphique Résistance aux traitements de 1ère ligne Analyse cytologique du frottis sanguin Taille et morphologie des plaquettes
7 Thrombopénies par consommation Coagulation intravasculaire disséminée Cause la plus fréquente TP, TCA, PDF et Complexes solubles++ Etiologies : Choc, sepsis (purpura fulminans, BGN, dengue, paludisme) Pathologies obstétricales (rétention placentaire), Leucémies aiguës (promyélocytaire), tumeurs solides avec métastases osseuses Accidents transfusionnels
8 Thrombopénies par consommation Microangiopathie thrombotique Présentation clinique : 5 signes cardinaux Thrombopénie, anémie hémolytique, fièvre, insuffisance rénale (vasculaire), AVC ischémique Schizocytes+++ Etiologies Purpura thrombotique thrombocytopénique Congénital (déficit en ADAMS13) Acquis (auto-immun) : primitif, lupus, médicaments, grossesse Cancers HELLP : toxémie gravidique Syndrome hémolytique et urémique
9 PTT : déficit sévère (< 5%) en ADAMTS13 = spécifique Accumulation de MM-FVW Moake JI et al. N Engl J Med 1982, 2002
10 Thrombopénies immunologiques secondaires VIH, VHC, VHB ACAN TSHus NFP
11 Thrombopénies immunologiques médicamenteuses
12 Purpura thrombopénique immunologique Ancien : purpura thrombopénique idiopathique Diagnostic d élimination Thrombopénie centrale : myélodysplasie Myélogramme Consommation : CIVD ou MAT Bilan de coagulation, schizocytes Séquestration splénique : qqs cause Examen clinique, biologie hépatique Thrombopénie>50 G/L Séquestration : causes immunologiques Infection virale : VIH, VHC, VHB Maladies auto-immunes : ACAN, bilan thyroïdien Allo-immunisation, médicaments : interrogatoire Chez l enfant : éliminer causes constitutionnelles
13 Purpura thrombopénique immunologique(2) Incidence : 1,6/10 6 Prédominance féminine : sex-ratio = 1,3 Pronostic : décès = 1 à 3% Cause inconnue : Destruction des plaquettes par les phagocytes mononucléés (principalement de la rate) et défaut de production médullaire Anticorps anti-plaquettes (IgG) Trois périodes : PTI nouvellement diagnostiqué : <3 mois PTI persistant : 3-12 mois Pronostic indéterminé PTI chronique : >12 mois Probabilité de guérison faible : <5%
14 Purpura thrombopénique Formes de l enfant immunologique(3) Forme aiguë : 60-80% après infection virale Guérison spontanée ou avec CS et IgIV en quelques jours à 3 mois Formes de l adulte 70% forme chronique Indications autres thérapeutiques : Splénectomie Anti-CD20 ou agonistes récepteur de la thrombopoïétine Immunosuppresseurs
15 Purpura thrombopénique immunologique(4) Principes thérapeutiques : plaquettes>30g/l Indication thérapeutique pour plaquettes >30 G/L >60 ans, AINS ou AVK, lésions pouvant saigner, signes cliniques Corticothérapie Prednisone : 1 mg/kg Réponse initiale : 70% (1 semaine) Réponse prolongée : 20-30% (adulte); 60-70% (enfant) Signes de gravité : solumédrol (J1-3) ou dectancyl Mesures associées IgIV polyvalentes (signes de gravité) J1 1g/kg répétées à J3 (si pas de réponse significative) Réponse : 70 à 80% (rechute : 2 à 4 sem)
16 Purpura thrombopénique immunologique(5) Résistance au traitement : splénectomie (coelioscopie) Guérison : 70% Mesures associées Alternatives ou échecs à la splénectomie (PTI réfractaire) Anti-CD20 : rituximab Agoniste récepteur de la thrombopoïétine Autres Résistance initiale (phase aiguë) : Vincristine Corticodépendance (PTI persistant) : Danazol, hydroxychloquine, disulone Corticodépendance (PTI chronique) : Immusuppresseurs
17 Cas particuliers(1) : la grossesse Thrombopénie gestationnelle Modérée : 70G/L Fin de grossesse Peu de risque hémorragique Autres : PTI Grossesse programmée Accouchement : plaquettes = G/L CS et IgIV Surveillance plaquettes du nouveau né à J5 Plaquettes <50 G/L (10%) Risque hémorragique exceptionnel HELLP : hemolysis, elevated liver enzymes, low platelets MAT
18 Cas particuliers(2) Thrombopénies médicamenteuses Deux mécanismes Mécanisme central : toxicité médullaire directe Apparition progressive Guérison lente Thrombopénie immunologique (10%) 50% après 60 ans (prédominance féminine : X5) Apparition brutale Guérison en moins de 15 jours après arrêt Traitement mal codifiée TIH (QS)
19 Cas particuliers(3) Thrombopénies dues à des allo-anticorps : Purpura post-transfusionnel Anticorps anti-hpa1 Exceptionnel depuis transfusion déleucocytés Purpura cutanéo-muqueux, 8 jours après une transfusion Normalisation des plaquettes en 10 jours (IgIV) Thrombopénies fœtales ou néonatales Passage placentaire d allo ou auto-anticorps anti-plaquettes 1/2000 ou 3000 Parfois hémorragies cérébro-méningées in utero Trt IgIV chez la mère
20 Présentation clinique Signes hémorragiques Purpura (plaquettes < 50 G/L) Hémorragies graves (plaquettes < 20 G/L) Hémorragies extériorisées : hématémèse, méléna, rectorragie, hémoptysie, métrorragie Hémorragie cérébro-méningée Connaître signe d alerte (Cf score de gravité) Purpura ecchymotique et extensif Bulles hémorragiques intra-buccales Gingivorragies spontanées
21 Conduite à tenir 1ère étape : éliminer une fausse thrombopénie Numération plaquettaire sur tube citraté (vs. EDTA) Analyse du frottis Peu probable si syndrome hémorragique 2ème étape : y a-t-il urgence à corriger la thrombopénie? 3ème étape : déterminer la cause
22 Y a-t-il urgence à traiter la thrombopénie? Syndrome hémorragique grave Digestif, méningé et cérébral Lésions viscérales susceptibles de saigner : Ulcère gastro-duodénal, anévrysme Nécessité d un geste traumatique Pose de cathéter, intervention chirurgicale Plaquettes>20 G/L : pas de risque hémorragique, sauf : Troubles de l hemostase ou coagulation Prise AINS, AVK Ages extrêmes Signes d alerte (QS) : score hémorragique+++ (PTI) Pas de fond d œil systématique
23
24
25
26
27 Risque hémorragique grave : modéré et non immédiat Thrombopénie centrale : Tranfusions plaquettaires (attendre Ac anti-hla) Si anticorps anti-hla : transfusion CP HLA compatible Traitement maladie causale Thrombopénie périphérique : Consommation : CIVD : Traitement étiologique MAT : Echanges plasmatiques Destruction : Corticoïdes et traitement étiologique
28 Risque hémorragique grave : majeur et immédiat Thrombopénie centrale : Tranfusions plaquettaires (sans attendre Ac anti-hla) Thrombopénie périphérique : Consommation : CIVD : PFC, héparine à faible dose, plaquettes MAT : Echanges plasmatiques Traitement étiologique Destruction : Méthylprednisolone et IgIV
29 Hémorragie grave Traitement étiologique Transfusions de concentrés plaquettaires maintenir le chiffres de plaquettes>50 G/L Objectif difficile à atteindre : Anticorps anti-hla ou anti-plaquettes
30 Déterminer la cause Interrogatoire : Hémogramme antérieur ou à défaut intervention à risque Syndrome infectieux Médicaments Antécédents personnels : Alcool, néoplasie, connectivites, habitudes sexuelles, voyages
31 Déterminer la cause Examen clinique Fièvre Adénopathie(s), splénomégalie Signes d hépatopathie Signes neurologiques Signes de connectivites (QS)
32 Déterminer la cause Examen biologiques requis Hémogramme Frottis sanguin (hématologiste): Cellules anormales : schizocytes, blastes, lymphocytes anormaux Morphologie des plaquettes : corps de Döhle Coagulation : TP, TCA, fibrinogène CIVD Maladie de Willebrand IIb ACAN Sérologie VIH, VHC Electrophorèse des protéines sanguines
33
34 Autres examens complémentaires Examen biologiques requis Bilan hépatique, créatinine (Orientation diagnostic) TSHus, anticorps thyroidiens (maladie associée) Groupage ABO, rhesus (prétransfusionnel)
35 Déterminer la cause Examen biologiques «2ème intention» Myélogramme : indications (enfants) Age>60 ans Organomégalie (douleurs osseuses, AEG) Anomalie des autres lignées ou sur le frottis Echec traitement 1ère ligne (trt usuels : CS et IgIV) Avant splénectomie (et corticothérapie) Objectifs : exclure myélodysplasie (aplasie, leucémies) Résultats attendus : mégacaryocytes en nombre normal ou augmenté (non dystrophiques)
36 Examens non requis Anticorps antiplaquettes Technique sérologique (Dixon) : sensible mais peu spécifique Autres tests (MAIPI): meilleure spécificité Si difficulté diagnostique, valeur si spécificité anti-glycoprotéine plaquettaire reconnue Etude de la durée de vie des plaquettes Difficulté diagnostique Avant splénectomie : pour certains) Examens non indiqués Temps de saignement Sérologies virales en dehors VIH, VHB, VHC Complément Thrombopoïétine
37 Pour en savoir, plus : Bierling P. Thrombopénie. Rev Prat. 2009;59:1-7. Purpura thrombénique immunologique de l enfant et de l adulte. Protocole nationale de diagnostic et de soins; HAS. Octobre 2009
38 Annexes PTI
39
40
41 Déterminer la cause
42 Déterminer la cause (selon contexte)
43
44 Mesures associées+++ Eviter la pratique de sports violents ou autres activités avec risque important de traumatisme Pas de prise d aspirine ou AINS Paracétamol : si douleur Soins dentaires prudents et encadrés Contre-indication des intramusculaires Eviter la consommation excessive d alcool Informations professionnels de santé Grossesse programmée ALD Connaître signes annonciateurs d hgie grave Purpura important et extensif Hématomes importants après traumatisme minime Epistaxis bilatéral, gingivorragie spontanée Sang dans les selles, les urines, métrorragies avec caillots Céphalées inhabituelles (durée, intensité)
45
46 Mesures associées à la splénectomie Port d une carte : splénectomie (date, motifs), maladie(s) associée(s), statut vaccinal, nécessité de revaccination périodique et antibioprophylaxie appliquée Vaccinations : pneumocoque, hémophilus, méningoccoque 15 jours avant splénectomie ou le + tôt possible en postopératoire Antibioprophylaxie : Pénicilline V pendant 2 à 3 ans 1MU x 2 (adulte) ; UI/kg (enfant) Education : CS si fièvre Amoxicilline à défaut
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailSources bibliographiques :
AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailTHROMBOPENIE OBSTETRICALE : DIAGNOSTIC ET CONDUITE A TENIR
Obstétrique 153 THROMBOPENIE OBSTETRICALE : DIAGNOSTIC ET CONDUITE A TENIR A-S. Ducloy-Bouthors*, A-S. Valat*, B. Wibaut*, A. Tournoys**, M-T. Caulier**, A. Gaucher*. * Maternité Jeanne de Flandre, **Services
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailQU ENTEND-ON PAR DÉFICITS EN FACTEUR DE COAGULATION RARES?
QU ENTEND-ON PAR DÉFICITS EN FACTEUR DE COAGULATION RARES? Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2009 La FMH encourage la redistribution de ses publications
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailVOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto
VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto Carnet-conseils appartenant à :.... Adresse :......................... Tel :............................ Médecin Généraliste : Adresse
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailTRANSFUSION DE PLASMA THÉRAPEUTIQUE : PRODUITS, INDICATIONS ACTUALISATION 2012 ARGUMENTAIRE
TRANSFUSION DE PLASMA THÉRAPEUTIQUE : PRODUITS, INDICATIONS ACTUALISATION 2012 ARGUMENTAIRE Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, juin 2012 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr BENHAMOU
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailAntiagrégants plaquettaires Anticoagulants
Antiagrégants plaquettaires Anticoagulants Céline Moch Docteur en pharmacie Cours infirmier 30 octobre 2012 Epidémiologie En 2011, environ 4% de la population française affiliée au régime général de la
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailAnémies hémolytiques auto-immunes
² GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DUREE Anémies hémolytiques auto-immunes Protocole national de diagnostic et de soins Octobre 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailInformation transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé
Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détail