Enquête sur les jardins communautaires de Vénissieux 1/35

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1 Enquête sur les jardins communautaires de Vénissieux 1/35 Source: Naturama Martel Lucile octobre 2012

2 Dans le cadre de son agenda 21, la ville de Vénissieux a mandaté l association Naturama pour : Réaliser un recensement des jardins Identifier les modes de gestion de ces jardins Identifier les pratiques de jardinage Faire des propositions de pistes d actions Avec l aide financière du Grand Lyon 2/35

3 L équipe Quatre collaboratrices de Naturama travaillent sur cette enquête : Alexandra Jory Lisa Corbarieu Anne Laure Grillet Lucile Martel 3/35

4 Définitions Jardins communautaires : Jardins collectifs de proximité inspirés des «community gardens» (Nés à Harlem dans les années soixante dix sur des espaces urbains délaissés, ces jardins collectifs se caractérisent en principe par un mode de culture collectif.) Jardins collectifs : terrains cultivés et gérés par un groupe d habitants, quelque soit la taille, le type et le mode de culture ( potagère/d agrément ; communautaire/individuelle). Jardins partagés : Jardins collectifs àgéométrie variable (découpage des parcelles rarement prédéfini). La ville de Paris est à l origine de la diffusion de cette appellation qui définit les jardins partagés comme un «jardin de proximité, animé par une association proposant des activités collectives de jardinage développant l éducation, l insertion et la création de lien social.». Jardins ouvriers : Ancien nom donné aux jardins familiaux, qui, lors de leur création au XIXe siècle, étaient avant tout destinés aux ouvriers afin de compléter leurs ressources alimentaires. Jardins familiaux : «Parcelles de terre mises à la disposition de pères de famille, par une initiative désintéressée, afin qu ils les cultivent et en jouissent pour les seuls besoins de leur foyer.» (Article I des statuts de la Fédération Nationale des jardins Familiaux). Jardins d insertion : Jardins collectifs s adressant à un public en difficulté sociale et/ou économique et/ou physique en demande d insertion. Ils sont toujours encadrés par un animateur spécialisé, présent en permanence sur le site. Source: Mémoire MASTER «URBANISME ET TERRITOIRES» Mention «URBANISME» : La mise en place de jardins collectifs dans les quartiers de la politique de la ville, Chioua Juliette, Institut d Urbanisme de Paris. 4/35

5 population (en 2012) densité 3 860,8 hab./km² Située dans la banlieue sud de Lyon (région Rhône Alpes). Les jardins de Vénissieux 9 jardins 8,5 ha Environ 400 jardiniers individuels 5/35

6 Références bibliographiques : Agenda 21 de Vénissieux Annuaire des jardins collectifs du Grand Lyon, 2007 Mémoire MASTER «URBANISME ET TERRITOIRES» Mention «URBANISME» : La mise en place de jardins collectifs dans les quartiers de la politique de la ville, Chioua Juliette, Institut d Urbanisme de Paris. 6/35

7 1] Inventaire des jardins Démarche : Recherche sur image satellite des jardins répertoriés dans l annuaire du Grand Lyon Recherche visuelle d autres jardins non répertoriés Confirmation de l existence des jardins sur le terrain Elaboration d une carte puis d un tableau récapitulatif des jardins et de leurs localités 7/35

8 2] Enquête dans les jardins Démarche : Recherche et prise de contact avec les gestionnaires des jardins Entretiens avec les gestionnaires ( 1h) Retranscription des entretiens avec les gestionnaires Questionnaires avec les jardiniers (échantillon d au moins 20% des jardiniers par jardin) Analyse des résultats des questionnaires 8/35 Présentation des résultats pour chaque jardin étudié.

9 Les outils: Grilles d entretiens et Questionnaires 9/35

10 Populations interrogées dans le cadre de cette enquête : Tableau de répartition selon le sexe Sexe % n Hommes 77,4 48 Femmes 22,6 14 Total Tableau de répartition selon le statut d'activité Statut d'activité % n actif 30,6 19 sans emploi 8,1 5 retraité 61,3 38 Tableau de répartition selon le groupe d'âge Groupes d'âge % n Moins de 40 ans 1,6 1 De 40 à50 ans 12,9 8 De 51 à60 ans 25,8 16 De 61 à70 ans 25,8 16 De 71 à75 ans 16,1 10 Plus de 75 ans 17,7 11 S il y a une inégalité des sexes (77 % d hommes et 22 % de femmes), on observe également une nette surreprésentation de personnes de plus de 50 ans. En conséquence, les réponses tendent à refléter majoritairement le point de vue de personnes appartenant àla catégorie dite «des séniors»dont près de 60 % sont retraités 10/35

11 Présentation des résultats par jardins 11/35

12 Hypothèse de travail: Le type de jardin influe sur le respect de l agenda 21 de la ville. 12/35 Quel est le but des jardiniers? Détente, loisirs, besoin et désir de nature, plaisir de manger ses propres légumes Production nourricière en vue d économie ou complément alimentaire Quelle est la fréquence de passage des jardiniers? Quotidienne Occasionnelle Ont ils des pratiques qui soient en lien avec l agenda 21? Oui Non Un peu des deux Quelles sont les pratiques respectueuses ou non de l environnement : L entretien du sol Le rapport aux maladies et ravageurs Le rapport aux herbes folles La gestion des déchets La gestion de l eau Quel est le niveau d implication du jardinier pour : Rapport àla biodiversité Relations sociales au sein du jardin Implication dans l association gestionnaire du jardin Participation aux ateliers ou formations proposées

13 13/35 Les jardins familiaux

14 Jardin Renault Trucks Créé en 1981 Atouts : Réalisation de travaux de réhabilitation du jardin (forage d un puit, clôtures, sanitaires, compteurs d eau individuels, parking intégré dans l enceinte du jardin) Diversité culturelle bien présente au sein du jardin Contraintes : Indépendance des jardiniers assez présente Pratiques de jardinage très ancrées dans les habitudes des jardiniers Gestion difficile car le nombre de jardiniers est élevé Perspectives d évolution : Favoriser le dialogue et dynamiser les échanges entre jardiniers Faire évoluer les pratiques de jardinage vers les objectifs du développement durable 14/35

15 Pratiques en accord avec l agenda 21 (points positifs): 80 % de l échantillon interrogé possède des récupérateurs d eau de pluie pour gérer l arrosage de leur jardin. Les herbes folles sont tolérées et arrachées de temps en temps à la main par 75 % des jardiniers interrogés. Près de 60 % des jardiniers apportent un amendement organique àleur parcelle. Pratiques ne correspondant pas aux objectifs de l agenda 21 (points négatifs): 75 % de l échantillon utilise des produits chimiques pour venir à bout des maladies et autres ravageurs. Malgré l interdiction, pour 55 % des jardiniers, la gestion des déchets verts se fait par incinération directement sur la parcelle. 40 % des jardiniers apportent tout de même des amendements synthétiques au sol. 15/35

16 Jardins de l Esperanto Créé en 2007 Atouts : Infrastructures récentes Volonté des gestionnaires d inscrire le jardin dans les objectifs du développement durable tels qu élaborés par la ville Diversité culturelle présente qui se retrouve dans les cultures des parcelles Contraintes : Des jardiniers encore réticents pour la mise en œuvre de pratiques plus naturelles Indépendance marquée des jardiniers 16/35 Perspectives d évolution : Dynamiser les échanges entre jardiniers et faire évoluer la tendance actuelle vers des pratiques plus écologiques (animations, formations) Ouvrir le jardin sur l extérieur ( projet de création d une parcelle accessible aux personnes handicapées, volonté d échanges avec les autres jardins de Vénissieux ).

17 Pratiques en accord avec l agenda 21 (Points positifs) : Les herbes folles sont tolérées et arrachées àla main de temps en temps et des récupérateurs d eau de pluie sont utilisés régulièrement par l ensemble de notre échantillon de jardiniers. Près de 89% des jardiniers interrogés déclarent ne pas apporter d amendements à leur terre soit en apporter mais sous forme d amendements organiques (compostage des déchets verts, fumier). Plus de 55 % des personnes interrogées déclarent ne pas utiliser de produits phytosanitaires sur leur parcelle. 17/35 Pratiques ne correspondant pas aux objectifs de l agenda 21 (points négatifs): Plus de 44 % des jardiniers interrogés déclarent avoir recours aux produits chimiques pour lutter contre les ravageurs (ex : doryphores sur les pommes de terre ou aubergines). Près 11% des jardiniers interrogés déclarent apporter des amendements synthétiques à leur terre

18 Jardin Abbé Billot Atouts : Diversité culturelle bien présente au sein du jardin Présence régulière des jardiniers (plus de 50% de retraités) L association affiche la volonté de cultiver dans le respect de l environnement (pesticides interdits, utilisation d engrais naturels et biologiques) Contraintes : Gestion indépendante des parcelles limite le lien social Beaucoup de personnes âgées qui ont leurs habitudes bien ancrées et ne souhaitent pas les modifier. Perspectives d évolutions : Favoriser le dialogue et dynamiser les échanges entre jardiniers Favoriser la venue de jardiniers plus jeunes pourrait apporter un nouveau souffle au jardin 18/35 Créé en 1942

19 Pratiques en accord avec l agenda 21 (points positifs): Les jardiniers utilisent des apports majoritairement organiques pour nourrir le sol de leur parcelle et tolèrent les herbes folles qui sont arrachées à la main de temps en temps (par 92 % des personnes interrogées). Près de 69 % des personnes interrogées déclarent avoir une gestion de l eau s inscrivant dans le respect de l environnement (récupérateur d eau) Plus de 61 % des jardiniers interrogés affirment utiliser le compost pour les déchets verts et s en servir comme amendement dans leur parcelle par la suite, ou bien évacuer les déchets verts àla déchèterie. Plus de 53 % des jardiniers interrogés déclarent utiliser des méthodes de préventions et traitements naturels contre les maladies et ravageurs. Pratiques ne correspondant pas aux objectifs de l agenda 21 (points négatifs): Plus de 46 % des jardiniers déclarent utiliser des produits chimiques pour lutter contre les maladies ou invasions des ravageurs dans leur jardin de temps en temps. Près de 39 % des personnes interrogées déclarent ne pas utiliser de compost pour les déchets verts et préfèrent les brûler (malgré l interdiction). Près de 31 % des jardiniers interrogés n ont pas de récupérateurs d eau et utilisent des méthodes gourmandes en eau. 19/35

20 20/35 Les jardins collectifs

21 Jardin de la Passion Atouts : Appropriation de cet espace par les habitants du quartier Productions dans le respect de l environnement Mise en œuvre d animations et de formations Mode d organisation collectif qui permet de favoriser le lien social Contraintes : Jardiniers débutants manquent de confiance en eux Réticence des habitants du quartier à s investir durablement dans le jardin (peu d adhésions) Perspectives d évolution : Favoriser la création d une association de jardiniers autonome Favoriser l intégration des femmes dans le jardin Améliorer le cadre de vie au sein du jardin ( projet d aménagement paysagiste ) 21/35 Créé en novembre 2010

22 Points positifs, en accord avec l agenda 21 : Le jardin de la passion respecte l agenda 21 sur tous les plans: Utilisation d un récupérateur d eau de pluie. Utilisation de paillis permettant une économie d arrosage et la lutte contre les adventices. Associations de cultures permettant de lutter et/ou de prévenir contre des maladies éventuelles. Implantations et favorisation de la biodiversité au sein du jardin avec la mise en place d habitats accueillant pour les auxiliaires du jardin. Compostage des déchets verts pour enrichir le terrain de la manière la plus naturelle qui soit. 22/35

23

24 Jardin Partagé Joannès Vallet Créé en 2006 Atouts : Appropriation de cet espace par les habitants du quartier Productions dans le respect de l environnement Mode d organisation collectif permet de favoriser le lien social Ouverture du jardin sur l extérieur ( fête des voisins, centres de loisirs, ludothèque et maison de l enfance ) Contraintes : Difficultés pour renouveler les jardiniers (réticence au mode collectif ) Perspectives d évolution : Favoriser l intégration des habitants du quartier au jardin 23/35

25 Nous avons effectué un entretien et fait passé des questionnaires mais nous n avons malheureusement pas pu les récupérer àtant pour l étude. Toutefois, le caractère collectif de ce jardin nous permet de supposer que l ensemble des jardiniers ont les mêmes pratiques sur la parcelle unique. Ainsi, d après l entretien réalisé avec la gestionnaire qui est elle même membre du groupe de jardiniers, nous pouvons en déduire les pratiques de jardinage au sein de ce jardin. 24/35 Pratiques en accord avec l agenda 21 (points positifs): Utilisation de récupérateur d eau de pluie Utilisation de produits naturels pour la lutte contre les maladies et les ravageurs (savon noir et lin, bouillie bordelaise ) Utilisation des associations de cultures, de plantes pour lutter contre les ravageurs Mise en place d un espace type «compost», pour les déchets verts.

26 Jardin de l Envol Atouts : Jardin nourricier cultivé dans le respect de l environnement Mode d organisation collectif permettant de favoriser le lien social Passerelle d intégration sociale Ouverture du jardin sur l extérieur (accueil de scolaires, animations ) Contraintes : Morphologie du terrain àcultiver (pente = perte d espace) Renouvellement des jardiniers parfois difficile Perspectives d évolution : Pérenniser le fonctionnement du jardin dans le temps Ouverture du jardin vers une dimension culturelle (lieu de répétition théâtrale, lecture de conte) 25/35 Créé en juin 2004

27 Pratiques de jardinage en accord avec l agenda 21 (points positifs): Dans ce jardin, les techniques de jardinage vont au delà de ce que préconise l agenda 21. En effet, le fonctionnement du jardin repose sur une culture écologique avec des pratiques éco responsables : Paillage pour économiser l eau car cela permet de réduire l arrosage et de lutter contre les adventices. Nichoirs, mangeoires et gites à insectes pour favoriser la biodiversité dans le jardin et lutter contre les ravageurs. Associations de cultures afin de prévenir et lutter contre des maladies éventuelles (donc pas d utilisation de produits phytosanitaires). 26/35 Les déchets verts sont compostés (pour un apport d amendements) ou laissés directement sur place (paillis + apport naturel).

28 27/35 Les jardins privés

29 Jardins familiaux TCL Atouts : Diversité culturelle bien présente au sein du jardin Volonté du gestionnaire d évoluer vers des pratiques plus respectueuses de l environnement Contraintes : Gestion difficile : présence de 130 jardiniers Indépendance des jardiniers Des pratiques de jardinage bien ancrées dans les habitudes des jardiniers (ex : brûlis des déchets verts, labour, arrosage excessif) Perspectives d évolutions : Favoriser le dialogue et dynamiser les échanges entre jardiniers Faire évoluer les pratiques de jardinage vers les objectifs du développement durable Développer l ouverture du jardin vers l extérieur (projet d une parcelle pédagogique à destination des écoles de Vénissieux) 28/35 Créé en 1946

30 Pratiques en accord avec l agenda 21 (points positifs): 96% des jardiniers interrogés déclarent amender leur sol avec des apports organiques (principalement avec du fumier). Les herbes sont peu tolérées mais arrachées àla main pour près de 92% d entre eux. Tous les jardiniers interrogés possèdent un récupérateur d eau de pluie pour l arrosage du jardin. 73 % des jardiniers interrogés utilisent des méthodes de traitements naturels contre les ravageurs et les maladies. Pratiques ne correspondant pas aux objectifs de l agenda 21: Le traitement des déchets verts est la faiblesse de ce jardin. En effet, plus 58 % des jardiniers interrogés déclarent ne pas utiliser de composteur et préfèrent brûler les déchets sur place. Près de 27 % des personnes interrogées déclarent utiliser des produits phytosanitaires pour éliminer maladies et ravageurs. Certains jardiniers ont une tendance au gaspillage de l eau en arrosant tous les jours. 29/35

31 Jardin Parilly Créé en 1990 Atouts : Cadre d implantation du jardin ( Parc de Parilly) : sol, biodiversité Accès aux services qu offre le parc (compost fumier, prise en charge des déchets verts ) Contraintes : Jardin privé = peu de moyen d influer sur les pratiques Perspectives d évolutions : Volonté des gestionnaires de tendre vers des pratiques de jardinage respectueuses de l environnement. 30/35

32 Pratiques de jardinage en accord avec l agenda 21 (points positifs): L ensemble des jardiniers interrogés déclare amender leur sol avec des apports organiques (fumier mis a disposition par le parc) soit ne rien apporter au sol de leur parcelle (terre suffisamment riche). Les herbes qui sont tolérées mais régulièrement arrachées àla main (lorsque cellesci deviennent trop envahissantes). L ensemble des jardiniers déclarent soit faire évacuer les déchets verts par le parc qui les utilisent dans leur compost, soit les laisser sur place pour nourrir le sol. Pratiques ne correspondant pas aux objectifs de l agenda 21 (points négatifs): L utilisation de produits phytosanitaires «homologués» (maladies/ravageurs): la totalité de notre échantillon déclare utiliser des produits chimiques pour venir à bout de certaines maladies ou pour lutter contre les ravageurs. Beaucoup de ces jardiniers déclarent que ces produits sont indispensables àla bonne tenue du jardin (but productif). L utilisation d un récupérateur d eau n est pas majoritairement envisagée par les jardiniers interrogés car ils ont coutume de consommer l eau de la ville disponible. De plus, certains jardiniers arrosent quotidiennement leur jardin en utilisant des méthodes très gourmandes en eau (tuyau d arrosage). 31/35

33 Jardin SNCF Existe depuis plus de 30 ans Atouts : Diversité culturelle présente au sein du jardin Contraintes : Indépendance des jardiniers Des pratiques de jardinage bien ancrées dans les habitudes des jardiniers Perspectives d évolution : Faibles car la fermeture du jardin est envisagée dans les années àvenir. 32/35

34 Bilan Nombre de jardins possédant une liste d attente pour l attribution de parcelles Nombre de jardins respectant l'agenda 21 3 sur 9 Nombre de jardins possédant des ruches 1 sur 9 4 sur 9 (jardins familiaux) Trois leviers pour impulser des pratiques plus respectueuses de «l écosystème jardin» : Pérenniser les jardins existants (sentiment de sécurité, possibilité de se projeter dans l avenir, investissement plus important) Dynamiser les échanges entre jardiniers au sein d un même jardin et entre jardins (lien social, convivialité, apports de savoirs et d expériences) Favoriser l ouverture des jardins sur l extérieur et l accueil de publics variés (responsabilité, exemplarité) 33/35

35 Conclusion Les jardins collectifs ainsi que le jardin d insertion sont en total accord avec l agenda 21. La co construction, le petit nombre de jardiniers et la présence forte du gestionnaire facilite le respect de l environnement à travers les pratiques de jardinage. Les jardins familiaux quant à eux, présentent plus de difficultés pour respecter les objectifs de l agenda 21. Certains points sont respectés par la majorité d entre eux (récupération des eaux de pluie, utilisation du composteur) mais l utilisation de produits phytosanitaires restent encore très présente. Le caractère individuel des parcelles laisse une part plus importante au libre arbitre de chaque jardinier malgré le cadre fixé par l association gestionnaire. 34/35 Les jardins familiaux privés respectent peu les objectifs de l agenda 21. Les deux objectifs principaux de ces jardins étant la production de denrées alimentaires et l accès àun espace de loisirs et de détente en plein air; le respect des objectifs de l agenda 21 passe donc au troisième plan. Toutefois, les gestionnaires affirment une volonté de changement vers des pratiques plus respectueuses de l environnement.

36 Propositions d actions Ouvrir les jardins en interne à l occasion par exemple de journées de rencontre et d échanges entre jardiniers Proposer des ateliers de formation sur le Compost, l association de cultures, et d autres méthodes de jardinage qui fonctionnent mais qui sont méconnues (attention cependant aux difficultés de mise en œuvre car seulement une minorité de jardiniers serait intéressée par ce genre de propositions) Distribuer de la documentation simple mais efficace dans les jardins familiaux et privés, sur des alternatives de jardinage et également sur l agenda 21 Ouvrir les jardins partagés sur l extérieur (grand public, scolaire, jardiniers, etc.) afin qu ils puissent transmettre leurs pratiques et savoir faire, tout en montrant un résultat concret

37 35/35 Merci de votre attention

38 Recensement des jardins

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