ÉTUDE GÉOTECHNIQUE ET ROCS. Par: Mohammad Hosseini, ing., Ph.D., Dr.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ÉTUDE GÉOTECHNIQUE ET ROCS. Par: Mohammad Hosseini, ing., Ph.D., Dr."

Transcription

1 ÉTUDE GÉOTECHNIQUE ET RECONNAISSANCE DES SOLS ET DES ROCS Par: Mohammad Hosseini, ing., Ph.D., Dr. 1

2 Points divers Horaires du cours: 8h30 16 h 30 Deux poses, vers 10h00 et 15h00 Dîner entre 12h00 et 13h00 à l EPM Notes de cours Certificat de participation Formulaire d évaluation à la fin du cours 2

3 Table des matières 0. Introduction et importance d étude de sol 1. Les sols du Québec et leur importance 2. Description et classification des sols et du roc 3. Préparation des travaux de sondage 4. Spécification pour les travaux de forage 5. Techniques courantes de forages et sondages 6. Étude et reconnaissance des sols pour la construction des routes 7. Échantillonnage des sols et du roc 8. Manutention, transport et entreposage des échantillons 9. Piézomètres et son installation 10. Quelques essais de laboratoire et in-situ 11. Reconnaissance des rocs 12. Techniques d amélioration at o des sols s de fondation o 13. Piézocône 14. Évaluation de potentiel de liquéfaction d un site 3

4 Les fondations de tout bâtiment, même le plus modeste, doivent satisfaire les trois conditions suivantes : 1) La capacité portante du sol de fondation doit être calculée avec un facteur de sécurité acceptable pour assurer la sécurité des fondations ; 2) Les tassements totaux et différentiels doivent être acceptables afin d assurer que le bâtiment ne sera pas endommagé par des mouvements des sols de fondation ; 3) Les effets de la construction projetés sur les structures existantes doivent être évalués et les mesures appropriées doivent être proposées en conséquence. 4) Les fondations doivent être conçues en tennant compte du niveau de la nappe phréatique. Afin d atteindre ces objectifs, les services d un ingénieur géotechnicien sont requis à trois niveaux pour réaliser les études suivantes : A) Étude de faisabilité pour un projet de construction projeté sur un site donné ; B) Déterminer les propriétés physiques et mécaniques et la stratigraphie des sols afin d évaluer le comportement des sols de fondation sous les charges projetées en interprétant les données géotechniques disponibles ; C) Déterminer le niveau de la nappe phréatique ; D) Suivi des travaux de construction pour s assurer que les travaux de construction des fondations respectent les exigences de l étude géotechnique et du devis de projet ; pour que les travaux en cours n affectent pas les constructions existantes et dapporter d apporter des modifications et de correction en fonction des conditions du site. 4

5 Les conditions de sol d un site pour un projet de construction doivent être étudiées avant que la construction ne commence et avant l obtention du permis de construction. Les objectifs d une étude géotechnique sont : 1) Fournir des informations géotechniques sur les conditions des sols au propriétaire ou acheteur afin d assurer la sécurité structurale de la construction projetée ainsi que la sécurité financière du projet ; 2) Fournir des données géotechniques pour la conception des fondations et des excavations; 3) Fournir des informations afin d assurer les autorités publiques de la sécurité du publique et des constructions avoisinantes au site ; 4) Fournir des informations aux autorités financières pour la faisabilité économique et la gestion de risque du projet ; 5)Fournir des informations aux entrepreneurs pour la soumission et la construction. 5

6 Les facteurs géotechniques et géologiques ont souvent étés la cause principale i de perte de temps et perte économique pour certains projets de construction donnant lieux à des litiges devant les tribunaux. L approche traditionnelle de gestion de risque géotechnique a été de réaliser une étude géotechnique exhaustive avec un personnel compétent pour adapter le projet aux conditions prévisibles du site. Cependant, on plaint souvent, à cause de la forte compétition, que le coût des études géotechniques n est pas assez élevé é pour permettre une étude suffisante des conditions géotechniques d un site donné. Par ailleurs, avec le progrès technique et l application des normes de construction et d essai, on est obligé à réaliser des études géotechniques de plus en plus exigent. De plus, avec l augmentation de plus en plus accrue des développements urbains, on est à amener à construire sur des sols de qualité médiocre, ce qui augmente le risque géotechnique. Compte tenu de ces circonstance, des nouvelles approches d étude de risque géotechnique sont proposées. 6

7 Une étude géotechnique peut se faire en quatre étapes comme suit : 1)Étude géotechnique préliminaire incluant les données existantes et publiées sur le site et les données de sondages et essais de laboratoire ou in-situ réalisés ; 2) Étude géotechnique complémentaire afin d obtenir des informations géotechniques additionnelles en fonction des exigences de concepteur ou pour la préparation des documents de soumission ; 3) Vérification géotechnique durant la construction pour s ajuster aux nouvelles données du site ou du projet; 4) Suivi géotechnique à long terme du comportement des fondations et de la construction. 7

8 8

9 9

10 Risques géotechniques Définition de risque : Petit Robert : Danger éventuel plus ou moins prévisible : danger, hasard, péril, inconvénient. S exposer à un danger. Le risque résulte de la combinaison de danger et des conditions vulnérables : a) )D Danger : Ce qui menace ou compromet tl la sûreté, l existence de qqn ou de qqc, b) Vulnérabilité : Qui peut être blessé, frappé par un mal, fragile, sensible. Risques dans la construction (la construction est un domaine risqué, aucun projet n est sans risque) : 1. Risque à la santé et à la sécurité (glissement de terrain, maison humide, liquéfaction, perte de capacité portante, etc.); 2. Risque d infiltration d eau au sous-sol sol et du colmatage des drains; 3. Risque à l environnement (nappe et sol contaminés); 4. Risque à la qualité; 5. Risque d incompétence; 6. Risque de programme (délai de construction); 7. Risque financier (imprévus, augmentation de coût). Les risques peut être gérés, minimisés, partagés, transférés ou acceptés. Cependant, ils ne peuvent pas être ignorés, sinon, on les transfert à quelqu un d autre. Les sols présentent toujours un risque pour tout projet de construction, d où une étude géotechnique avec interprétation des sondages. 10

11 Exemples de risque Possibilité que les fondations d un ouvrage subisseent des déformations suite à la présence d un sol mou; Sol hétérogène; Possibilité de dommage à la propriété suite à un glissement de terrain; Construction construite dans la nappe phréatique; Attaque de béton des murs de fondation et de la dalle sur sol par les sufpates présentes dans le sol ou la nappe phréatique; Défectuosité du système de drainage d un bâtiment avec un ou plusieurs sous-sol à cause de colmatage par silt; Possibilité que le temps de construction soit allongé, causant un délai de livraison, à cause d un imprévu de sol Instabilité de site (glissement de terrain); Potentiel de liquéfaction de site 11

12 Nouvelle stratégie de gestion de risque géotechnique Accepter la variabilité, l hétérogénéité et l incertitude des sols; Introduire des paramètres géotechniques dans l analyse de risque (carte de zone de risque pour les assureurs,...); Identifier d avance les risques géotechniques; Choix d une étude géotechnique sommaire ou détaillée selon les informations disponibles; Conception des ouvrages en fonction des données géotechniques disponibles; Établir un plan de gestion de risque par un groupe d experts; Établir une banque de données sur les conditions du site. 12

13 Approche nouvelle de gestion de risque géotechnique : a) Accepter que les conditions de sol sont toujours variables et incertaines ; b) Introduire les facteurs de risque géotechniques dans le système de gestion de risque c) Identifier les risques géotechniques dans l étape initiale de projet ; d) Décider de la pertinence d une étude géotechnique sophistiquée ; e) Mettre en place un système de conception approprié en fonction des données géotechnique ; f) Accepter des programmes d études géotechniques en plusieurs phases. Objectifs d une étude géotechnique : Déterminer les propriétés physiques, mécaniques et hydrauliques (compressibilité, résistance et perméabilité) des sols et du roc en place ainsi que le niveau de la nappe phréatique pour les constructions projetées. 13

14 Obstruction Contamination 11% 10% 9% Nappe d eau 13% 20% Nappe Propriétés de sol Limite de propriété Autre Étude de sol déficient i Propriété de sol Détail de design Services Services (6%) 6% 22% Détail de design (5% Limite de propriété Autres (4%) Étude de sol déficient Obstruction Contamination Statistiques sur la cause des dommages géotechnqiues en Angleterre 14

15 Influence du coût de l étude géotechnique sur l augmentation du coût de projet Augmen tation total du coût de projet (%) Line Coût de l étude géotechnique/ coût de soumission pour le projet (%) 15

16 Actions pour diminuer le risque Éviter le site ou modifier le concept de projet; Prévention. Mettre en place des dispositifs pour diminuer le risque (drainage, fondations plus larges, etc...); Mitigation. Réduire l impact des risques en choisissant i une structure t plus souple ou plus armée par exemple; Transférer les risques à une autre partie qui peut gérer plus efficacement les risques. 16

17 Particularité de sol comme matériau de construction Tout ouvrage construit par l homme est fondé sur le sol ou le roc ou construit à partir de sol ou de roc (figure); Le sol est un matériau naturel, tri-phasique, ses propriétés varient d un point à l autre, contrairement aux matériaux fabriqués par l homme, et dans le temps. L homme ne contrôle pas les propriétés des sols, il faut donc adapter la construction aux sols et non pas l inverse; Les propriétés des sols sont prédéterminées par la géologie du site et elles sont hors de contrôle de l homme; Les propriétés des sols et de la nappe peuvent être très différentes d un point à l autre; La construction des fondations est la première étape. En cas de problèmes, retard de tout le projet; Le coût des travaux imprévus dus aux sols est très important. Les imprévus peuvent mettre en péril un projet. 17

18 18

19 Étude de sol par différentes disciplines Le sol peut être étudié sous différents angles par différentes disciplines: 1. Mécanique des sols et géotechnique : étudier les propriétés physico-mécaniques des sols et de roc pour des projets de construction. Approche quantitative de génie civil, on ne s intéresse qu aux minéraux des sols, on oublie l aspect biologique; 2. Pédologie est l étude des sols, leurs caractéristiques chimiques, physiques et biologiques et leur évolution; 3. Géologie qui étudie de façon descriptive les sols. Il a pour objectif de reconstituer l histoire de la croûte terrestre et d expliquer les transformations subies par la terre; 4. Hydrogéologie: Étude des eaux souterraines. 19

20 Différentes approches d étude de sol Approche 1: Aucune reconnaissance de sol, mais étude par des cartes de sol (risque très élevé); Approche 2: Trous de sondages sans forages et essais géotechniques (coefficient de sécurité très élevé); Approche 3: Réalisation de forages et essais de laboratoire en se basant sur des données moyennes (coefficient de sécurité moyen); Approche 4: Étude géotechnique détaillée (coefficient de sécurité minimum); Le coefficient de sécurité choisi dans une étude de sol; représente le degré d ignorance et d incertitude sur les propriétés des sols Une étude géotechnique adéquate est toujours économique pour un projet. Elle permet de réduire les imprévus et d éviter le surdimensionnement des fondations. 20

21 D.E. Daniel (1993) Site d enfouissement riche en Benzène m 60 m m Eau souterraine contaminée Couche de faible perméabilité Aquifère 1) Construction du bassin de décanatation en 1960; 2) Réalisation de vingt (20) forages de 15 m de profondeur avant construction; 3) Essais de laboratoire, k = m/s; 4) Nouvelle réglementation en 1980, des essais in-situ. K = 10-6 m/s; 21 5) Travaux de décontamination du site, coût élevé, erreur d interprétation de K.

22 Holtz (1973) Dommages causés par le mouvement des sols aux U.S.A Type de structure Dommage annuel millions de U.S.$ Maison unifamiliale 300 Bâtiment commercial 360 Bâtiment de plusieurs étages 80 Trottoirs, stationnement 110 Autoroutes et routes Services utilitaires souterrains 100 Installation d aéroport 40 Glissement de terrain en zone urbaine 25 Autres 100 Total du coût annuel des dommages ,00 U.S. $ Environ 55 % des dommages sont attribuables aux routes. 22

23 23

24 Basé sur des données publiées, Schuster (1978) a estimé que les pertes totales directes ou indirectes dues aux glissements de terrain dépassent 1 milliard par année aux U.S.A. En 1986, Schuster et Fleming ont estimé à $1,5 milliards (soit $1,8 milliards pour 1990) les pertes aux U.S.A. Ce qui permet d affirmer une perte d environ $2 milliards par années aux U.S.A. dans les années Les dommages reliés aux problèmes de sol ont tendance à augmenter pour les raisons suivantes, surtout pour les glissements de terrain : 1. Ub Urbanisation dans des secteurs problématiques et zones de contrainte; 2. Déforestation des zones propices aux glissements de terrains; 3. Changement climatique et augmentation de précipitation régionale; 4. Rareté de bons terrains et recours aux terrains de qualité médiocre; 5. Urbanisation des secteurs remblayés, sols de faible C.P, nappe élevée, 24

25 Coût relatif d une étude de sol La compétition et d autres facteurs ont fait en sorte que l étude de sol se résume en la réalisation de quelques trous à meilleur prix possible. La qualité d une étude de sol est fonction du coût alloué à l étude et de la compétence du responsable d étude de sol. Ce qui différencie une bonne étude géotechnique d une étude déficiente i est l interprétation ti des données géotechniques obtenues. Aucune étude géotechnique ne peut être considérée comme complète; En 1965, 80 % des dépassements de devis étaient t reliés aux imprévues en fondation; En 1979 en Angleterre, le coût d étude de sol représentait 0,75% du coût de construction; ction Le nombre de sinistres en fondation augmente et ce, malgré le progrès technique; Plus ça change, plus c est pareil. 25

26 Coût relatif d une étude géotechnique (Rowe, 1972) Selon Harding (1949), le coût d une étude géotechnique moyenne était d environ 1 à 2 % du coût du projet. Le tableau suivant montre qu il y a une tendance à la diminution du coût avec le temps. Type de projet Barrages en terre Remblai Quai Ponts Bâtiments Routes Chemins de fer Moyen global % de coût global % du coût des fondations 0,89-3,3 0,12-0,190, , ,5 0,12-0,50,5 0,05-0,220, , ,55 0,6-2,0 0,7 1,14-5,20 0,16-0,200, , ,67 0,26-1,30 0,50-2, , ,67 3,5 1,5 26

27 Contribution des différentes disciplines à l étude d un site Urbaniste, Géographe Architecte Géotechnique Pédologie Archéologie Étude de sol Biologiste Photointerprétation Hydrologie Chimiste Corrosion Géophysique Géologie 27

28 Utilité d une étude de sol Litige en construction Bâtimentst Routes et Chemin de fer Liquéfaction Durabilité des matériaux Barrages et lignes électriques Travaux municipaux et drainage Achat de terrain Étude de sol Glissement de terrain Géo- environnement Site d enfouissement Excavation et tunnels 28

29 Influence de certains facteurs sur le type de sol Milieu de formation (lac, mer,...) Structure Type de roc Végétation Véhicule de transport (glacier, eau, vent) Granulométrie Type de sol Temps et histoire géologique Activité bactérienne Climat (altération) Eau Influence humaine Topographie 29

30 Sols du Québec (Robitaille et Allard) La plus grande partie du territoire a été recouverte de glaciers; Dépôts jeunes, post-glaciaires; Dépôts sableux (vallées de plusieurs rivières, Région de Sorel- Tracy, Joliette, Terrebonne, etc...); Dépôts graveleux (Laurentides et le Nord); Dépôts d argile (Mer Champlain 70 % de la partie habitée, Mer Laflamme, Lac Barlow-Ojibway, Mers de Tyrell et d Iberville); Dépôts glaciaires sans morphologie particuliaire (till de fond et till d ablation); Dépôts glaciaires caractérisés par leur morphologie (moraine désigne donc une forme de terrain et non un type de matériau; Dépôts fluvioglaciaires déposés par l eau de fonte glaciaire. On distingue les dépôts juxtaglaciaires (mis en place par l eau de fonte en marge de glacier en retrait) et les dépôts proglaciaires (mis en place par les eaux de fonte de glacier le long des cours d eau fluvioglaciaire). 30

31 Problèmes engendrés par les sols ou le roc Capacité portante (propriétés mécaniques); Glissements de terrain (Québec sur une peau de Banane, Bellefeuille, 1977); Tassements à court et à long terme (propriétés mécaniques); Niveau de la nappe phréatique et sa variation saisonnière (propriété hydrogéologique); Remontée capillaire (humidité dans les sous-sols); sols); Agressivité des sols (propriétés chimiques) Corrosion des structures enfouies dans les sols et perte économique (conduites d eau, etc...); Corrosion bactériologique téi i des matériaux; téi Gel de sol et perte économique; Gonflement et retrait de sol (assèchement des sols argileux); Gonflement de roc (shale); Construction près des rivières et la politique de protection; Granulat et la durabilité de béton; Pyrite; Sulfatation de béton; Ressources en matériaux naturels non-renouvelables et problèmes Env.; Problèmes de chaussées. 31

32 Problèmes engendrés par les sols ou le roc (suite) Compressibilité et tassement (analyse granulométrie et consolidation); Drainage des sols (analyse granulométrique); Érosion des sols (analyse granulométrique); Compactage (analyse granulométrique); Injection des sols (analyse granulométrique); Perméabilité des sols (analyse granulométrique); Niveau de la nappe phréatique; Chimie i de la nappe phréatique; Profil et stratigraphie des sols (pas de carte de sol); Couleur de sol; Structure de sol; Environnement de site (marécage, ruisseau, boisé, végétation,...); Agressivité (corrosivité) électrochimique ou bactériologique des sols. 32

33 Problèmes engendrés par les sols ou le roc (construction en milieu urbain) Interaction des nouvelles construction avec les constructions existantes (battage, compactage dynamique, excavation, etc..); Présence de remblai; Niveau de la nappe phréatique; Interaction des excavations avec conduites souterraines existantes; Présence de construction anciennes et leur visite pré- construction; Influence d une nouvelle construction profonde sur les bâtiments existants; Influence de drainage à court et à long terme sur les bâtiments existants; Construction sur du shale; 33

34 Défis géotechniques à cause des sols du Québec Construction des routes et voies de communications sur les sols argileux, gel-dégel et drainage des routes (drainage, drainage, drainage); Développement urbain, rareté de bons sols et recours aux mauvais sols pour constructions résidentielles (remblai, sable et silt lâche, argile molle, terrain en pente, etc...); Changement climatique et ses effets (glissements de terrain, sol gelé, précipitation, etc...); Construction en bordure des rivières (politique) et code d excavation et construction; Construction sur des terrains en pente (code de construction et d excavation); Travaux d excavation de faible et moyenne profondeur (2-3 décés/an). 34

35 Particularités du Québec Les glissements de terrain s expliquent par la géologie du Québec (Bellefeuille, 1997); Les coulées d argile au Québec; Argile sensible au Québec et en Scandinavie seulement; 70 % de la partie habitée du Québec est recouverte d argile (habiter sur l argile); largile); Sol post glaciaire; Sols fins; Silt; Conditions climatiques (gel, niveau d eau, ); Expérience des Américains en Norvège pour la recherche de bon sol (Bjerrum Bjerrum). Les Américains ont dû faire ce que nous avons été forcés de faire: nous devons vivre avec de l argile molle, construire nos industries et à apprendre à résoudre les problèmes qu elle pose. S il y a un endroit dans le monde où MDS a produits des miracles, cela doit être en Norvège; Expérience des étrangers avec les argiles du Québec. 35

36 Sols problématiques Sols organiques (tourbes, silts et argiles organiques lacustres); Argiles normalement consolidées de consistance molle ou varvées, non-recommandées pour supporter des fondations (CNBC); Argiles sensibles de la mer Champlain (W >W L ); Argiles très molles (ne doit pas supporter des fondations, CNBC), ex.; Sols lâches et uniformes (sable, silt) tassement suite aux vibrations; Sols très lâches et uniformes, silts; sols sujets à la liquéfaction, ne doit jamais supporter des fondations (Supplément de CNBC), exemple; Remblai; Shale altéré. 36

37 Règles de constructions Romaines 1. Pour les pierres de construction, il faut les tirer de la carrière en été et non pas en hiver et les exposer à l air en un lieu découvert pendant deux (2) ans avant de les mettre en œuvre, ce qui permet de diminuer l humidité des roches et d éliminer les pierres qui ne résistent pas aux intempéries; 2. Matériau régional, si non importé; 3. Recherche de bon sol était le premier souci de constructeur. Il fallait creuser jusqu au solide, si l on peut l atteindre, et dans le solide autant qu il est nécessaire selon l importance de l ouvrage, parfois jusqu à 5 m; 4. Largeur de fondation supérieure à la largeur du mur; 5. Enrobage de goujons métalliques dans du plomb; 6. Pose de pierres dures à la base des murs pour couper la remontée capillaire; 7. Béton Romain; 8. Voies Romaines. 37

38 Étude de cas Exemple d un glissement survenu avec un rapport géotechnique réalisé avant les travaux de construction Réaction de MTQ suite à la conférence Géorisque (2008) concernant le calcul de stabilité de pente des rapports géotechniques 38

39 39

40 40

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire

Plus en détail

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

Avant d aller à la recherche d un terrain

Avant d aller à la recherche d un terrain Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

Votre installation septique l essentiel à savoir!

Votre installation septique l essentiel à savoir! Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi

Plus en détail

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer) FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à

Plus en détail

Inutilisable pour. transaction. Compte tenu de l importance que revêtent les déclarations qui suivent, le vendeur doit transmettre les informations

Inutilisable pour. transaction. Compte tenu de l importance que revêtent les déclarations qui suivent, le vendeur doit transmettre les informations FORMULAIRE OBLIGATOIRE DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE (TERRAIN ET BÂTIMENTS, CIRCONSTANCES ET DÉPENDANCES) Inutilisable pour Formulaire élaboré en collaboration avec l Association des inspecteurs

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

QUESTIONS ET RÉPONSES

QUESTIONS ET RÉPONSES QUESTIONS ET RÉPONSES Habiter dans les zones exposées aux GLISSEMENTS DE TERRAIN Précautions à prendre en matière d utilisations du sol QUESTIONS GÉNÉRALES 1. Pourquoi le gouvernement du Québec est-il

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour vos chantiers 30.34.001/00 08/14 L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour votre chantier La construction d un bâtiment,

Plus en détail

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne Un colloque inédit sur les techniques de prévention et la gestion de crise 3 avril 2014 - centre culturel «La Marlagne» - Wépion Effondrements & affaissements du sol et assurance Bernard Desmet Assuralia

Plus en détail

Ministère des Transports. Lignes directrices pour l aménagement routier lié à l aménagement foncier

Ministère des Transports. Lignes directrices pour l aménagement routier lié à l aménagement foncier Ministère des Transports Lignes directrices pour l aménagement routier lié à l aménagement foncier AVANT-PROPOS Aménagement routier Les travaux d aménagement des voies publiques («aménagements routiers»)

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

CHAPITRE 2 : DESCRIPTION ET CLASSIFICATION DES SOLS ET DU ROC

CHAPITRE 2 : DESCRIPTION ET CLASSIFICATION DES SOLS ET DU ROC CHAPITRE 2 : DESCRIPTION ET CLASSIFICATION DES SOLS ET DU ROC 21 2.1 Description des sols (Extrait de Manuel de SEBJ) 2.2 Système de classification des sols Comme il existe un grand nombre de types de

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart

Plus en détail

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique

Plus en détail

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

Bachelors Technologiques

Bachelors Technologiques Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie

Plus en détail

Révision de la numérotation des règlements

Révision de la numérotation des règlements Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,

Plus en détail

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8

Plus en détail

A unique sol ution for yo ur i

A unique sol ution for yo ur i TM > Catalogue de produits L unique solution pour vos besoins en isolation A unique sol ution for yo ur i Des produits isolants pour l ensemble de la construction SECTION 07 01 > STYRO RAIL TM LA COMPAGNIE

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret

Plus en détail

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ

Plus en détail

Estimation, 2 e édition

Estimation, 2 e édition Estimation, 2 e édition Solutionnaire Chapitre 10 Exercice 10.1 LES BONNES CONSTRUCTIONS Inc. Montréal, le 30 mars 2006 Clinique Docteur Macabée À l attention du Dr Macabée Objet : Construction de la Clinique

Plus en détail

ConSolidation de talus en béton

ConSolidation de talus en béton données techniques ConSolidation de talus en béton SolutionS par passion 4 Consolidation de talus en béton 4 Introduction 5 Sols meubles et sols rocheux 5 Types de sols 5 Talus naturels / Glissements

Plus en détail

LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES

LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien

Plus en détail

Assurances de construction Ne démolissez pas vos finances!

Assurances de construction Ne démolissez pas vos finances! Assurances de construction Ne démolissez pas vos finances! Assurances de construction Qui a besoin d une assurance? Maître de l ouvrage Architecte Ingénieur Entrepreneur Artisan Assurances pendant la construction:

Plus en détail

CHAPITRE 5 Dispositions applicables aux usages habitations

CHAPITRE 5 Dispositions applicables aux usages habitations VILLE DE SAGUENAY CHAPITRE 5 Ville de Saguenay Table des matières Dispositions applicalbles aux usages habitations TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 5 DISPOSITIONS APPLICABLES AUX USAGES HABITATIONS... 5-1 SECTION

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail

LES ASSURANCES DE LA CONSTRUCTION

LES ASSURANCES DE LA CONSTRUCTION LES ASSURANCES DE LA CONSTRUCTION 1 / 24 SOMMAIRE 1) INTRODUCTION AUX ASSURANCES DE LA CONSTRUCTION 1.1) A chaque étape, des risques liés à la construction 1.2) Les cinq assurances couvrant l ensemble

Plus en détail

Eîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR

Eîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

murs de soutènement et dalles patio

murs de soutènement et dalles patio murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante

Plus en détail

Immeuble collectif AQC

Immeuble collectif AQC AQC Immeuble collectif Comment bien utiliser votre assurance construction «Dommages-Ouvrage»? Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité

Plus en détail

La réglementation et les obligations qui en découlent

La réglementation et les obligations qui en découlent Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles

Plus en détail

L Association des consommateurs pour la qualité dans la construction (ACQC)... 5. Introduction... 7

L Association des consommateurs pour la qualité dans la construction (ACQC)... 5. Introduction... 7 Table des matières L Association des consommateurs pour la qualité dans la construction (ACQC)... 5 Présentation de l organisme... 5 AVERTISSEMENT... 6 Introduction... 7 Quelques notions de base au sujet

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

SÉANCE ORDINAIRE DU CONSEIL DU 20 MAI 2014 À 19 H 30

SÉANCE ORDINAIRE DU CONSEIL DU 20 MAI 2014 À 19 H 30 O R D R E D U J O U R Aucun ajout ne sera autorisé sur aucun ordre du jour d aucune séance ou commission, sauf avec l accord explicite de madame la mairesse; Je soussigné, responsable du présent ordre

Plus en détail

Maçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation

Maçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation Maçonneries Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français Territoire de calcaire, c est tout naturellement que le choix des matériaux pour ériger les constructions dans le Vexin français s est porté

Plus en détail

RISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur

RISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve

Plus en détail

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé

Plus en détail

Présentation à l Association des Cadres Scolaires du Québec Par Daniel Rondeau 6 novembre 2014. Assurance pour les projets de construction

Présentation à l Association des Cadres Scolaires du Québec Par Daniel Rondeau 6 novembre 2014. Assurance pour les projets de construction Présentation à l Association des Cadres Scolaires du Québec Par Daniel Rondeau 6 novembre 2014 Assurance pour les projets de construction Agenda Assurance chantier Assurance wrap-up Autres assurances Cautionnement

Plus en détail

Guide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP

Guide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier

Plus en détail

MUNICIPALITÉ DE ST-ETIENNE-DE-BEAUHARNOIS

MUNICIPALITÉ DE ST-ETIENNE-DE-BEAUHARNOIS MUNICIPALITÉ DE ST-ETIENNE-DE-BEAUHARNOIS CONTRAT D ENTRETIEN DES CHEMINS D HIVER DE LA MUNICIPALITÉ DE ST-ETIENNE-DE-BEAUHARNOIS POUR LES SAISONS : 2013-2014; 2014-2015; 2015-2016 ONT COMPARU EN CE JOUR

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

Risques de la constructions

Risques de la constructions Risques de la constructions Cochez l assurance Dommage ouvrage Tous risques chantiers Construction non réalisateur (SELON LA LOI N 78-12 DU 4 JANVIER 1978) RC Maitre d ouvrage SOUSCRIPTEUR (sera le Preneur

Plus en détail

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE

Plus en détail

Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1

Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES DISPOSITIONS DÉCLARATOIRES, INTERPRÉTATIVES ET ADMINISTRATIVES...1-1 SECTION 1 DISPOSITIONS DÉCLARATOIRES...1-1

TABLE DES MATIÈRES DISPOSITIONS DÉCLARATOIRES, INTERPRÉTATIVES ET ADMINISTRATIVES...1-1 SECTION 1 DISPOSITIONS DÉCLARATOIRES...1-1 RÈGLEMENT SUR LES PERMIS ET CERTIFICATS PROJET DE RÈGLEMENT NUMÉRO 4303 AVRIL 2012 Ville de Drummondville Règlement sur les permis et certificats No. Table des matières TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 DISPOSITIONS

Plus en détail

Eau Sol. Air Eau Sol. Mes sources. Comment se fait la compaction? L impact de la compaction. http://www.profi.com/

Eau Sol. Air Eau Sol. Mes sources. Comment se fait la compaction? L impact de la compaction. http://www.profi.com/ Mes sources Magazine : profi en Angleterre 1 Par Bruno Garon, ing. Attention à la pression au champ, comment réduire la compaction http://www.profi.com/ 10 et 11 février 2014 Comment se fait la compaction?

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

Accessibilité des personnes handicapées dans les ERP

Accessibilité des personnes handicapées dans les ERP Accessibilité des personnes handicapées dans les ERP 09-2011 http://www.ville-libourne.fr La loi du 11 février 2005 dite "Loi Handicap" vise à susciter un nouvel élan dans la prise en compte de l'insertion

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

CONVENTION DE SERVICE D INSPECTION internachi pour un Immeuble Principalement Résidentiel

CONVENTION DE SERVICE D INSPECTION internachi pour un Immeuble Principalement Résidentiel 1. PARTIES CONVENTION DE SERVICE D INSPECTION internachi 1 Numéro de Dossier Entre, sis au Compagnie d Inspection Adresse à, QC,, représentée par, Ville Code Postale Inspecteur ci-après désigné l INSPECTEUR

Plus en détail

Guide d installation Agrément n 2010-018

Guide d installation Agrément n 2010-018 Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

2 Pour les puits de lumière :

2 Pour les puits de lumière : CHAPITRE V LES USAGES ET BÂTIMENTS PRINCIPAUX SECTION I RÈGLE GÉNÉRALE Domaine d'application 59. Les normes contenues dans le présent chapitre s'appliquent à toutes les zones. Dispositions générales aux

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE SAINT-HYACINTHE

PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE SAINT-HYACINTHE PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE SAINT-HYACINTHE RÈGLEMENT NUMÉRO 438 CONCERNANT L ADOPTION DU PROGRAMME RÉNOVATION QUÉBEC DANS LE VOLET VI «AIDE AUX PROPRIÉTAIRES DE MAISONS LÉZARDÉES» CONSIDÉRANT que la Société

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

Pour mieux protéger votre métier nous avons décidé de réinventer le nôtre.

Pour mieux protéger votre métier nous avons décidé de réinventer le nôtre. Construction Pour mieux protéger votre métier nous avons décidé de réinventer le nôtre. BTPlus Concept Métiers de la maîtrise d œuvre les solutions Entreprises Faits réels Octobre 2006 : étude d implantation

Plus en détail

POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY.

POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY. POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY. Par Stéphanie Allard, Aménagiste et biologiste associée, ÉCOgestion-solutions

Plus en détail

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne

Plus en détail

de sous-sols Protégez votre maison contre les inondations Pour des habitations plus sûresmd

de sous-sols Protégez votre maison contre les inondations Pour des habitations plus sûresmd ICLR-SL BaseFlood-D5 Jun18-12 F-FINAL_x 12-06-18 3:33 PM Page A Pour des habitations plus sûresmd Protégez votre maison contre les inondations de sous-sols Pour des habitations plus sûresmd est un programme

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Réforme relative au permis de construire et aux autorisations d urbanisme

Réforme relative au permis de construire et aux autorisations d urbanisme Avril 2006 Note d information juridique Agence d Urbanisme du Territoire de Belfort Centre d Affaires des 4 As BP 107-90002 Belfort Cedex Tél : 03 84 46 51 51 - Fax : 03 84 46 51 50 Courriel : autb@autb.asso.fr

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

La Réserve de Remplacement

La Réserve de Remplacement La Réserve de Remplacement Guide d utilisation mai 2006 Services familiaux et communautaires Habitation et soutien du revenu Province du Nouveau Brunswick La réserve de remplacement GUIDE D UTILISATION

Plus en détail

Normes de pratique professionnelle pour l inspection de bâtiments résidentiels

Normes de pratique professionnelle pour l inspection de bâtiments résidentiels Normes de pratique professionnelle pour l inspection de bâtiments résidentiels UNE PUBLICATION DE L ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC L ORDRE DES ÉVALUATEURS AGRÉÉS DU QUÉBEC L ORDRE DES TECHNOLOGUES PROFESSIONNELS

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

tâches nature durée en jours prédécesseurs C commande des matériaux 1 A D creusage des fondations 4 B E commande des portes et fenêtres 2 A

tâches nature durée en jours prédécesseurs C commande des matériaux 1 A D creusage des fondations 4 B E commande des portes et fenêtres 2 A Exercice 1 La construction d'un entrepôt est découpée en dix tâches dont les caractéristiques sont données dans le tableau suivant : tâches nature durée en jours prédécesseurs A acceptation des plans par

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.

Plus en détail

FACTS ABOUT. Informations sur l amélioration des sols. Une mise à jour des informations de l IADC - Numéro 5-2008

FACTS ABOUT. Informations sur l amélioration des sols. Une mise à jour des informations de l IADC - Numéro 5-2008 FACTS ABOUT Informations sur l amélioration des sols Une mise à jour des informations de l IADC - Numéro 5-2008 QU EST-CE QUE L AMÉLIORATION DES SOLS? Dans le secteur du dragage l amélioration des sols

Plus en détail

Présentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com

Présentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com 1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.

Plus en détail

TROUSSE D INFORMATION SUR LE TIRAGE AU SORT PUBLIC

TROUSSE D INFORMATION SUR LE TIRAGE AU SORT PUBLIC BAILS FONCIERS POUR LES TERRAINS DE CHALETS SITUÉS LE LONG DE LA ROUTE INGRAHAM TRAIL TROUSSE D INFORMATION SUR LE TIRAGE AU SORT PUBLIC 1 er MAI 2015 Gouvernement des Territoires du Nord-Ouest Ministère

Plus en détail

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent

Plus en détail

Avant de réparer ou remplacer le revêtement du toit

Avant de réparer ou remplacer le revêtement du toit 17/09/07 11:44 1 of 7 Les feuillets d information suivants sont de la série générale Votre maison. Avant de réparer ou remplacer le revêtement du toit Tout revêtement de toit doit à un moment ou à un autre

Plus en détail

PROPOSANT (sera le Preneur d Assurance si le contrat est souscrit)

PROPOSANT (sera le Preneur d Assurance si le contrat est souscrit) FORMULAIRE DE DÉCLARATION DE RISQUE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNEL DE L IMMOBILIER COURTIER Nom du Cabinet Nom et prénom du représentant Email Téléphone Adresse N Type de voie Nom de la voie Code

Plus en détail

URBASOFT-AUTORISATION Gestion des processus des permis et autorisations

URBASOFT-AUTORISATION Gestion des processus des permis et autorisations URBASOFT-AUTORISATION Gestion des processus des permis et autorisations Pour qui? URBASOFT-AUTORISATION assiste le gestionnaire municipal dans le cadre des démarches administratives des activités d urbanisme

Plus en détail