Physiopathologie. Symptôme Elévation de la température centrale
|
|
- Léonie Langevin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fièvre de l enfant
2 Physiopathologie Symptôme Elévation de la température centrale «Modification du Thermostat» Vasoconstriction, métabolisme Réponse immunitaire primaire Rarement: d origine centrale Différent de l hyperthermie : Elévation de la température au dessus de la valeur normale en raison d une accumulation de chaleur exogène (chaleur, effort)
3 Fièvre: symptôme fréquemment rencontré aux Urgences pédiatriques Rhinopharyngite GEA Douleur Otite Bronchiolite Asthme Fièvre Constipation Angine Bronchite Vomissements Pneumopathie bact. Laryngite Inquiétude RGO Convulsions SAU pédiatrique Robert Debré 66,565 passages en consultations médicales 14 méningites à entérovirus, 4 méningites bactériennes Grippe 3
4 Que faire devant une fièvre Apprécier sa tolérance Evaluer le terrain de l enfant Préciser la cause de la fièvre Assurer sa prise en charge Toute fièvre peut être le témoin d une infection sévère Impression générale+++ Enfant joue? Apathique, parents inquiets?
5 En dehors du traitement de la cause Le traitement de la fièvre est un traitement de confort >38 5C Découvrir l'enfant Ne pas surchauffer la pièce. Augmenter les apports hydriques Monothérapie en première intention En continu dans les 24 premières heures Médicaments: Doliprane : 60 mg/kg/j en 4 à 6 prises per os ou rectales. Aspégic : 60 à 80 mg/kg/j en 4 à 6 prises per os. Advil : 20 à 30 mg/kg/j (dose poids/6 heures per os de la suspension buvable).
6 Attention, ne pas utiliser les AINS si < 6 mois Atteinte cutanée (varicelle +++) ou des tissus mous car risque de fasciite nécrosante Risque hémorragique (geste invasif ou intervention chirurgicale potentiels) Insuffisance hépatique ou rénale ou deshydratation Antécédent d asthme
7 Convulsions fébriles La convulsion fébrile : une affection du nourrisson ou de l enfant qui survient entre 3 mois et 5 ans, associée à de la fièvre sans infection intra-cérébrale apparente ou cause définie Crise convulsive hyperthermique simple: 2 à 5 % des enfants de 1 à 5 ans ( +++2 ans) Pas d antécédent neurologique d'emblée généralisée, de durée inférieure à 15 minutes examen neurologique normal après la crise, notamment pas de signe de méningite sans récidive dans les 24 heures.
8 Convulsions fébriles Crises compliquées (risque récidive, risque de développer une épilepsie) âge inférieur à 1 an convulsion prolongée supérieure à 15 min ou répétée lors du même épisode fébrile convulsion focalisée et/ou suivie d un déficit postcritique antécédents personnels neurologiques antécédents familiaux d épilepsie Indication à hospitalisation Discussion +++ pour traitement de fond par dépakine
9 Bilan CCH (Académie américaine Pédiatrie 2011) 1ere CCH (non sytématique) Bilan métabolique : iono sanguin (natrémie), glycémie, calcémie Bilan infectieux : NFS, CRP, hémocultures, ECBU, Rx thorax PL si: Âge>6 mois; <1an : si statut vaccinal non connu signes méningés Antibiothérapie suspicion d encéphalite (crise focale ou déficit post-critique) interféron, PCR et sérologie herpès et prescrire Zovirax 20 mg/kg 3 / j EEG si : CCH compliquée enfant hospitalisé 2ème crise hyperthermique (prendre RdV sans urgence) âge > 5 ans (prendre RdV sans urgence) Imagerie cérébrale : CCH compliquée
10 Prise en charge: Arrive aux urgences et ne convulse plus: position latérale de sécurité. Ne rien donner per os. Surveillance jusqu au réveil complet Convulse: PLS liberation VAS : aspiration buccopharyngée, vidange gastrique) Contrôle hémodynamique: scope O2 DIAZEPAM : 0,5 mg/kg (= 0,1ml/kg) sans dépasser 10 mg (1 amp) IV ou IR à l aide d une canule Antipyrétiques Convulsions fébriles
11 Tolérance de la fièvre
12 Spécificité des signes cliniques? Signes peu spécifiques dans la fièvre de l enfant -Irritabilité -léthargie Lancet 2010
13 Situations particulières Terrain Nourrisson < 3 mois (risque de bactériémie plus important que chez l enfant plus âgé) Enfant immunodéprimé Signes cliniques Purpura Collapsus Mauvaise tolérance de la fièvre Convulsion fébrile Déshydratation aiguë
14 Avant 3 mois: éliminer une infection bactérienne sévère
15 La CRP est à 6mg/l, procalcitonine 0,17 CAS nouveau né de 8 jours Rhinite sans fièvre Détresse respiratoire pendant kiné Réa pédiatrique, CPAP puis VS Deux ECBU + avec leucocyturie et 3 germes retrouvés dont un E. coli K1 IF nasale + à VRS, pas d ATB PUIS: Pauses respiratoires, bradycardies, hypotonie, sans fièvre, Mauvaise circulation périphérique Remplissage au sérum physiologique 20ml/kg Ponction lombaire: Antigènes solubles + pour E.Coli K1 Traitement par claforan + ciflox
16 La CRP est à 6mg/l, procalcitonine 0,17 CAS nouveau né de 8 jours Rhinite sans fièvre Détresse respiratoire pendant kiné Réa pédiatrique, CPAP puis VS Deux ECBU + avec leucocyturie et 3 germes retrouvés dont un E. coli K1 IF nasale + à VRS, pas d ATB PUIS: Pauses respiratoires, bradycardies, hypotonie, sans fièvre, Mauvaise circulation périphérique Remplissage au sérum physiologique 20ml/kg Ponction lombaire: Antigènes solubles + pour E.Coli K1 Traitement par claforan + ciflox
17 Infections maternofoetales Infections néonatales précoces (<7 jours de vie) Infections néonatales tardives (2-12 semaines) Facteurs de risque: Portage maternel uro-génital de Streptocoque B ou E. coli Rupture prématurée ou prolongée des membranes Fièvre maternelle Liquide gastrique néonatal positif Infections tardives: Attention Allaitement maternel Germes fréquents: Strepto B, E. coli K1, Listeria Gravité: Choc, méningite (+++ dissémination hématogène)
18 Enquête prospective GPIP / ACTIV Méningites
19 Enquête prospective GPIP / ACTIV
20 Diagnostic méningite Signes aspécifiques: Hypotonie, irritation, geignement, fontanelle bombée Ponction lombaire : Contre indiquée si instabilité respiratoire, hémodynamique + thrombopénie sévère Nécessaire / indispensable si <1 mois +++ signe neurologique (70 %) Hémoculture (+) Hémoculture (-) mais «état infectieux» si LCR stérile sous antibiothérapie: glucose, cellules, PCR 16S si sous antibiotique ( SGB, E coli K1)
21 Diagnostic méningite LCR Nouveau né >1 mois GB >9 (0-29) >5 PNN (%) >50% présents Protéines (g/l) >1 >0,4 Glycorachie/glycémie <0,5 <0,6 Si ponction lombaire traumatique: GB attendus = GR LCR x (GB sang / GR sang )
22 Complications méningite du nouveau né Mortalité 10 à 15% Complications précoces Abcès cérébraux (16%) infarctus, ventriculite Séquelles: 20-50% Motrices Intellectuelles Neurosensorielles ( surdité ++) Convulsions,hydrocéphalie Troubles du langage,...
23 Principes de l antibiothérapie Posologie β-lactamine x 2 Cefotaxime 200mg/kg/jour Amoxicilline 200mg/kg/jour Durée prolongée Gentamycine 5mg/kg/jour SGB 15 à 21jours Autres, au moins 21 jours Suspicion Listeria si Gram avec BG+ ou Gram non parlant ou syndrome grippal maternel : trithérapie ( + Amoxicilline) E. coli: + Ciprofloxacine pendant les 4 à 5 premiers (?) jours : 20(<J8) à 30mg/kg/jour Si abcès ventriculite: Durée C3G prolongée et poursuivre ciflox++++
24 Fièvre chez l enfant >3mois Fièvre mal tolérée - Hospitalisation systématique - Bilan infectieux : NFS, CRP, Hémoc, ECBU, +/- Thorax, PL, goutte épaisse - Antibiothérapie: Claforan +/- genta si probabiliste, adaptée si foyer identifié - Tenir compte du portage BMR si connu++ Fièvre bien tolérée - Si foyer clinique (+/- ECBU, Thorax): antibiothérapie adaptée - Sinon: origine virale probable, pas d antibiothérapie; revoir à H48 ou H72 pour faire un bilan si la fièvre persiste
25 Spécificité de la pédiatrie: Infections urinaires Recommandations American College of Physicians Ann Emerg Med 2003;42: On doit penser à l infection urinaire chez les enfants de moins d un an sans foyer infectieux clinique (A) Idem chez les filles fébriles de 1 à 2 ans (B) Le recueil d urines est au mieux réalisé par sondage urétral ou ponction sus pubienne (B)
26 Spécificité de la pédiatrie: Infections urinaires Diagnostic : bandelette urinaire (si >3mois) Si nitrite et/ou leucos+ : ECBU Poche urinaire Cathétérisme urétral Jet Traitement probabiliste: Ceftriaxone ou cefotaxime +/- amikacine Amikacine seul possible Cefixime per os (>3mois, pas ATCD, pas de sepsis) Relai en fonction ATBgramme (durée totale 10 jours sauf si ciflox: 7j) Si BLSE: ciprofloxacine, TMT SMX, amikacine, carbapénème en dernier recours Penser à échographie rénale: lithiase, malformation
27 Spécificité de la pédiatrie Pneumonie possible sans signes auscultatoires (Rx thorax au moindre doute) Penser à regarder les tympans+++ Douleur abdominale: signe non spécifique pouvant être en faveur de: Choc Pneumonie Adénite mésentérique sur syndrome viral ou infection bactérienne ORL! (mime l appendicite) Importance des signes cliniques associés Place des marqueurs biologiques d infection bactérienne?
28 Pneumonies Etiologies des pneumonies communautaires en France Age < 18 mois, n =75 Age > 18 mois, n = 104 Virus 35 dont VRS 24, surinfectés 10 Virus 30 dont VRS 10 Pneumo 7 H. influenzae 2 Coqueluche 1 Tuberculose 1 Staph aureus 1 Inconnu 27 Pneumo 12 Pneumo + Mycopl 2 Mycoplasme 41 Chlamydia pneum 1 Staph aureus 1 Inconnu 17 Hôpital Saint Vincent de Paul, Arch Ped 1999 & EJCMID 1997
29 8 ans, retour d Abidjan, 39 depuis 48 heures, toux Reste fébrile sous amoxicilline Disparition de la fièvre sous macrolides IgM Mycoplasme +
30 Pneumonies = la radiographie n est pas un examen microbiologique Pneumocoques (hémoculture +) 40 à 50 % PFLA 10% bilatérales Mycoplasmes 10 à 20 % PFLA 20 à 30% bilatérales Virus 10 à 20 % PFLA 20 à 30% bilatérales
31 Stratégie thérapeutique AVANT 2 ANS : penser Pneumocoque, Haemophilus, virus a) Bonne tolérance : en ambulatoire Amoxicilline 80 à 100 mg/kg/j b) Mauvaise tolérance : hospitaliser Amoxicilline IV ou C3G IV ± aminoside c) Si épanchement pleural important Craindre staphylocoque (oxacilline, parfois glycopeptide) d) Si pas d'antibiotique car virus probable Rediscuter traitement à 24 heures
32 Stratégie thérapeutique APRES 2 ANS : penser Pneumocoque, Mycoplasme, virus a) Si fièvre élevée et/ou mauvaise tolérance clinique Amoxicilline (100 mg/kg) per os ou IV Si l'amélioration est rapide : pneumocoque probable continuer idem Si la fièvre persiste : Mycoplasme probable passer à un macrolide + contrôle Rx: pleurésie? b) Si bonne tolérance clinique et pneumonie atypique Mycoplasme probable : macrolide c) Si infection virale probable Signes ORL, CRP/PCT basse Pas d'antibiotique : rediscuter traitement à 24 heures
33 Marqueurs biologiques dans les infections sévères Objectif : Obtenir des marqueurs pour différencier en urgence les infections virales et bactériennes et réduire l antibiothérapie probabiliste Spécificité et sensibilité Valeurs prédictives positives et négatives Facilité de dosage en urgence Stabilité à la conservation UN MARQUEUR BIOLOGIQUE EST UNE AIDE A LA CLINIQUE
34 J Pediatrics 1996 CRP (mg/ml) 1000 C-Reactive Protein Materno-fetal infections Groups 1 2 SEPSIS 3 3b 4 5 Controls Distress Viral Bacterial infection colonization
35 J Pediatrics 1996 PROCALCITONIN (ng/ml) 100 Materno-fetal infections 10 1,1,01 Groups 1 2 SEPSIS 3 3b 4 5 Controls Distress Viral Bacterial infection colonization
36 Sensibilité ROC areas PCT 0.98* CRP 0.89 Protéinorachie 0.88 PNN-LCR Spécificité Procalcitonin to Distinguish between Bacterial and Aseptic Meningitis: a European Multicenter Validation Study F Dubos et al, ESPID, Basel 2006 ng/m 1000 l Sp = 83% (95% CI = 74-90) Viral 0, 5 Se = 99% (95% CI = ) Bactérie n Garçon 21 mois N meningitidis
37 Merci
Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois
Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme
Plus en détailFaq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile
Fièvre aiguë de l enfant (et de l adulte : non traité) Critères de gravité d un syndrome infectieux Auteurs : J. Gaudelus, M.Voisin Objectifs : Objectifs terminaux Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détail4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie
4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailExiste t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?
Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailMise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine
Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailINFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT
INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailCas clinique infection ORL
Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE. Infections ORL et respiratoires basses
ANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE Infections ORL et respiratoires basses RECOMMANDATIONS 1 Les recommandations ont été établies par un groupe de travail multidisciplinaire, sous l égide de l Agence du
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailQuestionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans
_0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailinfections néonatales, marqueurs biologiques, CRP, PCT, IL-6 KEYWORDS Neonatal infections, biological marker, CRP, PCT, IL-6
Marie ARSAC 1 Le nouveau-né infecté : quelle place pour quel marqueur biologique? Pratique RÉSUMÉ Les infections néonatales restent des pathologies fréquentes, difficiles à diagnostiquer avec certitude,
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailDiagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte
SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François
Plus en détailLes pathologies infectieuses en pédiatrie
Les pathologies infectieuses en pédiatrie Université Catholique de Louvain VAN der LINDEN Dimitri (avec la collaboration de SANZOT Gauthier) - 2013-1 PATHOLOGIES INFECTIEUSES EN PÉDIATRIE - Table des matières
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détail«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?
«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailPrévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS
SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSarah est malade. Brochure d informations sur les maladies infantiles
Sarah est malade Brochure d informations sur les maladies infantiles SOMMAIRE ÉDITORIAL Table des matières Fièvre, éruptions cutanées 4 Rougeole 6 Rubéole 8 Varicelle 10 Fièvre des trois jours Maux de
Plus en détail«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie»
Symposium Pharma «Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Modérateur : Joseph Hajjar Quelle antisepsie pour quel acte? Dr Olivia KEITA-PERSE Centre Hospitalier Princesse Grace Monaco Antisepsie
Plus en détailSyndromes méningés de l'adulte
Syndromes méningés de l'adulte Conférence d actualisation de la SFAR 1996 Ce document, établi d après la conférence d actualisation de la Sfar en 1996 a été élaboré à partir de la présentation de : AM
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailMinistère du travail, de l emploi et de la santé
Secrétariat d Etat à la santé Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction générale de la Santé Sous -direction Prévention des risques infectieux Bureau Risques infectieux et politique vaccinale
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailMon enfant est malade Que faire?
Mon enfant est malade Préface Les maux fréquents chez l enfant 2 3 Chers parents, Les maladies chez les enfants génèrent bien souvent des soucis et soulèvent naturellement des questions. C est pourquoi
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailDiagnostic des infections bactériennes : quelle place pour la biologie moléculaire?
Diagnostic des infections bactériennes : quelle place pour la biologie moléculaire? Dr Ghislaine Descours Laboratoire de Bactériologie, Centre de Biologie Est DUCIV, 15 octobre 2014 Objectifs! Connaître
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L ENFANT QUI TOUSSE OU QUI A DES DIFFICULTÉS RESPIRATOIRES
PRISE EN CHARGE DE L ENFANT QUI TOUSSE OU QUI A DES DIFFICULTÉS RESPIRATOIRES Guide pour les pays à faibles revenus Deuxième Édition 2005 Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires
Plus en détail