LA LETTRE LEMAN. édito. Pour que vivent le Léman et ses rivières. plan d action n 22 - janvier 2001
|
|
- Thérèse Drapeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 n 22 - janvier 2001 ISSN LA LETTRE LEMAN DU BULLETIN D INFORMATION DE LA COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES EAUX DU LEMAN cipel@cipel.org - Rédaction : CIPEL - Case postale 80 - CH-1000 Lausanne 12 - Tél. CH F édito Vive le Léman, le Rhône et leurs affluents! Quel Léman et quels cours d eau voulons-nous en 2010? Il est certain que nous souhaitons une amélioration de ces milieux aquatiques. Dans l esprit de Rio et du Sommet de la Terre de 1992, nous devons privilégier le développement durable. La CIPEL l a bien compris puisqu elle lance son nouveau plan d action " Pour que vivent le Léman et ses rivières ". Après avoir fait la chasse au phosphore avec succès, même si l objectif fixé n est que partiellement atteint, la CIPEL se lance dans un vaste programme de revitalisation des rivières et des rives du lac. Elle n abandonnera pas pour autant ses efforts en vue d améliorer la qualité chimique et biologique des eaux du Léman et de ses tributaires. Simplement, une orientation complémentaire lui permettra de mieux répondre à l attente de tous les usagers. Pour remplir sa mission, la CIPEL ne sera pas seule. Dans sa tâche de coordination, elle pourra et devra compter sur l appui des acteurs locaux compétents en Suisse et en France. Finalement, c est bien d eux que dépendra la réussite de l opération puisque ce sont eux qui devront, le plus souvent, mettre la main à la pâte afin de respecter les engagements pris. Willy Geiger Président de la CIPEL Un plan d action pour le Léman, le Rhône et leurs affluents. Les plans d'action "Le Léman demain" et "Le Rhône et les rivières en aval du lac" s achèvent en Leurs objectifs ne sont que partiellement atteints : le lac contient encore trop de phosphore et la qualité écologique des milieux aquatiques laisse à désirer en de nombreux endroits. Le nouveau plan d action de la CIPEL pour les dix prochaines années vise à rétablir le lac, le Rhône et leurs affluents comme des milieux de vie favorisant la biodiversité et à préserver la qualité du cadre de vie que constitue cette région. plan d action Pour que vivent le Léman et ses rivières Intitulé Pour que vivent le Léman et ses rivières, le plan d action veille en particulier à ce que les objectifs fondamentaux de la CIPEL soient garantis à long terme. Ce sont bien sûr l utilisation de l eau du lac comme eau de boisson après un traitement simple, la prédominance des poissons nobles parmi les poissons du lac et des rivières et le rôle social du lac qui permet la baignade et les loisirs dans de bonnes conditions. Les membres et partenaires de la CIPEL s engagent à prendre toutes les mesures pour mettre en oeuvre ou poursuivre les actions inscrites dans le nouveau plan, notamment au regard de la diminution des apports en phosphore et, plus généralement, de la restauration des milieux aquatiques, ceci en cohérence avec les nouvelles dispositions de la Directive cadre européenne pour une politique communautaire dans le domaine de l eau. Le public a été consulté Pour mettre au point son nouveau plan d action, la CIPEL a mobilisé les forces de sa Sous-commission technique et des membres de ses groupes de travail. Techniciens et scientifiques ont planché sur les objectifs en matière de protection des eaux du lac et des rivières et sur les moyens d atteindre ces objectifs. Cette première étape a été complétée par une consultation du public, par l intermédiaire d élus, d associations professionnelles, d organisations de défense de la nature, etc. Cinq rencontres-débats ont été organisées à cet effet. La CIPEL a tenu compte dans toute la mesure du possible des remarques entendues lorsqu elle a rédigé le texte définitif qui a été adopté par la Commission internationale.
2 Six objectifs pour améliorer l état du lac et des cours d eau : Abaisser la concentration de phosphore dans les eaux du lac La concentration en phosphore doit encore diminuer de moitié par rapport à 1999, pour atteindre une valeur inférieure à 20 microgrammes (20 millionièmes de gramme) par litre. Seule cette concentration peut limiter la prolifération des algues et assurer des teneurs en oxygène suffisantes dans les zones profondes (toujours supérieures à 4 mg d oxygène par litre). Limiter la présence des micropolluants dans les eaux Ces substances, qu elles soient d origine naturelle ou non, sont susceptibles de conduire à la disparition des espèces les plus sensibles, même à de très faibles concentrations. On les trouve en traces dans les eaux du lac et des rivières. Dans certains cas, elles constituent une menace pour l intégrité biologique des cours d eau. Rares sont les rives du lac encore naturelles autour du Léman, comme ce rivage des Grangettes. Améliorer les qualités écologiques des rives du lac et des rivières Les cours d eau et les rives du lac constituent l habitat de nombreuses espèces animales et végétales. Aujourd hui, 40% seulement des tronçons de rivières étudiés présentent une bonne qualité biologique. Des opérations de renaturation sont nécessaires pour rendre aux cours d eau une bonne qualité physico-chimique de l eau d amont en aval, rétablir un régime hydrologique et une dynamique alluviale proches du naturel tout au long de l année et conserver ou recréer la diversité du lit et des rives. Pour les zones littorales et les rives du lac, l objectif est de protéger les rares zones encore naturelles (3% actuellement) et de rétablir ou maintenir la diversité du milieu physique des rives d une manière générale. Les macrophytes flottants, comme les nénuphars, ne se développent que dans des zones calmes, très rares autour du Léman. la renaturation, pourquoi faire? La renaturation est la grande nouveauté du plan d action Renaturer signifie restaurer les milieux aquatiques (lac et cours d eau) pour qu ils constituent des habitats de qualité pour la faune et la flore aquatiques et riveraines. Un habitat de qualité est caractérisé par la bonne qualité physico-chimique de l eau, des lits et rives naturels et diversifiés. Pour les rivières, cela signifie de plus un débit suffisant tout au long de l année. Toutes ces conditions permettent aux espèces de s installer ou de se réinstaller, puis de se développer. Elles favorisent ainsi la biodiversité. La troisième correction du Rhône par exemple, dont les principes généraux et la planification ont été acceptés par le Parlement valaisan en septembre 2000, prévoit des améliorations de l état naturel du fleuve, parallèlement à un objectif de sécurité et d'amélioration de son potentiel socio-économique. Une opération de renaturation peut d ailleurs contribuer à améliorer la sécurité : en laissant plus de place au débordement du fleuve dans certaines zones, on évite des dégâts aux cultures ou aux constructions humaines. La 3e correction du Rhône en valais prévoit de laisser plus de liberté au fleuve dans certaines zones.un plus pour la sécurité et le paysage, mais aussi pour la biodiversité. Source : Etat du Valais - Service des routes et des cours d eau
3 Photo : Michel Roggo rivière - et ombre, sont les plus sensibles à la dégradation de la qualité des eaux. Les corégones représenteront naturellement les populations de poissons dominantes dans le Léman, lorsque ce dernier aura retrouvé les conditions d habitat antérieures à l eutrophisation. Il faut veiller à la qualité et l accessibilité des frayères, en permettant le libre passage des poissons dans les cours d eau. Cette demande a été formulée expressément par les pêcheurs lors des rencontresdébats de mai De bonnes conditions pour la baignade et les loisirs Le lac est un lieu de loisirs privilégié, pour autant que son eau soit claire et transparente et que des algues ou des plantes lacustres indésirables n envahissent pas ses plages. L objectif de la CIPEL vise à garantir de bonnes conditions pour la baignade et la pratique des loisirs nautiques, notamment en assurant en tout temps et en tous lieux une excellente qualité microbiologique de l eau. Comme son cousin le saumon, la truite du Léman remonte dès l automne dans les cours d eau pour se reproduire. La ponte se fait dans des sortes de nids que les truites creusent avec leur corps et leurs nageoires dans des fonds graveleux de rivières. Utiliser l'eau du lac comme eau de boisson après traitement simple Le Léman est l une des plus grandes réserves d eau douce d Europe occidentale. Il permet d alimenter plus d un demi-million de personnes en eau potable. Son eau doit être de bonne qualité afin qu un traitement simple suffise à produire une eau potable qui respecte les normes en vigueur. Les proliférations d algues, parfois trop importantes, peuvent poser des problèmes pour garantir une eau de qualité. Assurer la prédominance des poissons nobles du lac et des rivières Toutes les espèces indigènes devraient pouvoir se reproduire naturellement dans le lac, le Rhône et leurs affluents. Les poissons dits nobles, corégone/ féra, salmonidés - omble chevalier, truite lacustre et de Photos : Jean-Marc Fivat Le Léman offre la possibilité de pratiquer les loisirs nautiques les plus variés, de la plongée à la voile, en passant par la baignade. Il s agit de l un des attraits majeurs de la région lémanique, pour autant que l eau soit de bonne qualité, notamment au niveau microbiologique. Il n est rien de plus nécessaire à la vie que l eau. Le Léman, pour sa part, alimente plus de personnes en eau potable. Il est donc primordial de le protéger contre tout ce qui peut détériorer la qualité de son eau.
4 Pour atteindre ces objectifs, la CIPEL veut : Agir à la source Le moyen le plus direct, quoique parfois difficilement applicable, de limiter les rejets polluants est d agir à la source. Les rejets parviennent dans les eaux soit directement, soit via les canalisations et les stations d épuration, qui ne peuvent pas tout épurer. Il faut inciter les fabricants et distributeurs à assurer une bonne information et les utilisateurs à choisir des produits peu ou pas polluants, par exemple les lessives ou produits pour lave-vaisselle sans phosphates. Il faut également inciter les utilisateurs à se servir des produits polluants de manière appropriée, par exemple en respectant les doses et en ramenant les restes de peinture, de dissolvants, de produits de traitement des plantes au lieu d achat ou dans un centre de reprise agréé. La STEP de Passy (SISE), dans la vallée de l Arve, en Haute-Savoie. Photo : Grégoire Fiaux Source : CIPEL La STEP de Dizy, dans le canton de Vaud. Agir dans le domaine de l'assainissement Plusieurs actions sont nécessaires dans le domaine de l assainissement. Une planification rigoureuse des actions d assainissement s impose et il faut raccorder les populations qui doivent l'être au réseau collectif. Il s agit ensuite de détecter et de corriger les problèmes de réseaux afin d améliorer les performances de l épuration des eaux. Parce que les réseaux transportent parfois beaucoup trop d eaux claires ou de pluie, des quantités importantes de polluants peuvent se déverser directement dans le lac et les cours d eau. Il faut encore contrôler et optimiser le fonctionnement des stations d'épuration. Pour le phosphore, cela signifie viser le taux d élimination le plus élevé possible et tendre vers un objectif de 95% d élimination en moyenne annuelle. Source : CIPEL Enfin, il faut contrôler et entretenir l'assainissement non collectif. Ces installations fonctionnent de manière très satisfaisante à condition de les entretenir régulièrement. Le bassin versant CIPEL (bassin versant du Léman + bassin du Rhône aval jusqu à Chancy) compte 221 stations d épuration (STEP) de taille très variable.
5 Agir dans le domaine de l'agriculture Dans ce domaine, il s agit d éviter si possible - ou tout au moins de limiter - les apports de phytosanitaires (pesticides). Ces substances sont utiles dans les champs, jardins et espaces verts mais néfastes pour la faune et la flore des cours d eau. Il faut aussi lutter contre l'érosion des sols agricoles, qui entraîne une diminution de la fertilité des sols, colmate les fonds des cours d eau et amène des substances indésirables dans les eaux, par exemple du phosphore ou des micropolluants. Photo : INRA, Thonon-les-Bains Agir au niveau des rivières Là, il s agit de renaturer les cours d eau, c est-à-dire d intégrer des objectifs écologiques dans tout projet lié à un cours d'eau ou à ses milieux annexes. Agir pour sensibiliser La communication n est pas en reste dans le catalogue des actions de la CIPEL. L idée est de faire prendre conscience au plus grand nombre des enjeux de la protection des eaux et de changer les comportements. Première étape : préparer un tableau de bord L utilisation d indicateurs de mise en oeuvre des actions et d évaluation de l état des milieux facilitera la gestion du plan. Ces indicateurs On peut lutter efficacement contre l érosion des terrains agricoles en créant au bord des cours d eau des bandes herbeuses qui retiennent la terre. seront réunis dans un tableau de bord qui constituera l outil de mise en oeuvre et de suivi du plan d action. Le tableau de bord sera mis au point pour la prochaine séance de la Commission internationale, en octobre Le succès du plan d action dépendra de la mobilisation de tous les acteurs, de l Etat au citoyen. On trouve de beaux paysages le long du cours de l Allondon, qui prend sa source au pied du Jura, dans le département de l Ain et se jette dans le Rhône en aval du Léman. La CIPEL c'est......un organisme franco-suisse chargé officiellement depuis 1963 de veiller sur la santé du Léman et des eaux du bassin versant. La CIPEL contribue à la coordination de la politique de l'eau à l'échelle du bassin versant lémanique, soit entre la France et la Suisse et plus particulièrement entre les départements de l Ain et de la Haute-Savoie et les cantons de Vaud, Valais et Genève. Elle préconise ou fait effectuer les recherches nécessaires pour déterminer la nature, l importance et l origine des pollutions et émet des résolutions à l intention des gouvernements français et suisse. Dans le cadre du plan d'action, la CIPEL et tous ses partenaires s'investissent pour promouvoir et réaliser les actions prévues afin d'atteindre les objectifs fixés. Photo : ECOTOX, Genève Les textes complets du nouveau plan d action peuvent être consultés sur notre site internet :
6 état du lac Bilan de santé du Léman Oxygène (mg/l) P tot (µgp/l) Taux de phosphore : la baisse marque un palier On ne constate pas de baisse significative des teneurs en phosphore dans les eaux depuis trois ans. En 1999, la concentration moyenne annuelle est de 39 µg P/l. Il n y a pas eu de brassage des eaux du lac durant l hiver Cependant, grâce au brassage total de l hiver , les concentrations en oxygène restent acceptables au fond du lac. Elles sont proches de 4 mg/l, ce qui représente le minimum Démarrage de la mise en place de la déphosphatation dans la STEP Phosphore Concentration moyenne pondérée et stock Responsable de la publication : François Rapin Conception graphique : Samedi Midi - Lyon - France Imprimerie : Imprimerie CALADOISE Imprimé sur papier 100% recyclé Tirage : exemplaires Interdiction des phosphates dans les lessives en Suisse et baisse des teneurs en France Objectif à atteindre pour pouvoir limiter la croissance des algues Oxygène au fond du lac défini par la législation suisse (Ordonnance sur la protection des eaux, annexe 2, article 13). Ralentissement du processus de réhabilitation du Léman Le palier atteint dans la baisse du phosphore et l observation de l évolution biologique du lac (phytoplancton, zooplancton), qui tend, elle aussi, à se stabiliser, conduisent à penser à un certain arrêt du processus de réhabilitation du Léman. Seule une diminu P tot (tonnes) Source : CIPEL Source : CIPEL Depuis quelques années, la concentration en phosphore stagne à environ 40 µg P/l. L objectif du nouveau plan d action est d arriver en dessous de 20 µg P/l. Il n y a pas eu de brassage des eaux du lac cet hiver ( ). Malgré cela, les concentrations en oxygène au fond du lac sont acceptables. tion du phosphore, nutriment responsable de la production algale, permettra de reprendre ce processus. Nitrate stable Le taux de nitrate est stable depuis une dizaine d années. Micropolluants : les herbicides triaziniques toujours présents! Les teneurs en métaux (mercure, plomb, cadmium, chrome, cuivre, manganèse et fer) des eaux du Léman restent faibles et satisfont aux exigences requises pour les eaux de boisson et la vie piscicole. La présence d herbicides triaziniques est toujours décelée dans les eaux. Bien que les teneurs soient faibles, la présence de ces composants reflète l impact des activités humaines et n est pas souhaitable. Amélioration du rendement moyen d élimination du phosphore dans les STEP en 1999 Le rendement moyen d élimination du phosphore sur les eaux traitées s est amélioré, atteignant 88% en 1999 contre 86,5% en Cependant, un problème flash important subsiste : plus de la moitié des eaux qui arrivent dans les STEP sont des eaux propres qui ne devraient pas s y trouver et perturbent leur fonctionnement. C est le cas notamment lorsque les canalisations sont en mauvais état ou que, pour des raisons historiques, les réseaux ne présentent pas d évacuation séparée pour les eaux usées et les eaux claires. En période d orage, les réseaux sont alors saturés et se déchargent sur les déversoirs d orage, provoquant le déversement de quantités d eaux non traitées directement dans le lac et les rivières. Lente amélioration de l état biologique des sédiments du Petit Lac La diversité des populations de vers dans les sédiments du Petit Lac s est améliorée en profondeur entre 1994 et 1999, comme dans le Grand Lac entre 1990 et Cette région du Léman se rapproche de l état existant à la fin des années cinquante. Cela constitue l objectif d une restauration biologique réussie. Vérifiez vos adresses! Nous avons mis à jour notre fichier d envoi de La Lettre du Léman. Si vous deviez constater une erreur dans votre adresse ou que vous receviez notre publication à double, merci de nous le signaler. De plus, notre périodique existe également en allemand. Si vous préférez recevoir votre exemplaire dans cette langue, n hésitez-pas à nous le dire. tél : (de la France : ) fax : (de la France : ) cipel@cipel.org.
LE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailCONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)
Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailSchéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet
Commission Locale de l Eau SAGE de l Odet Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet III- Enjeux, objectifs et actions 2. Plan d Aménagement et de Gestion des Eaux Novembre 2005 Le Schéma d
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailconcession obligatoire pour installer l eau ou le gaz
concession obligatoire pour installer l eau ou le gaz Installer l eau ou le gaz dans la région lausannoise nécessite de passer par une entreprise au bénéfice d une concession. A Lausanne et dans les communes
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailDernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives
Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les... 1 sur 2 2008-09-18 13:54 Sujet : Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives De : Guy Guilbert
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailLe Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56
Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2014 PARTIE B. ETAT D AVANCEMENT DES MESURES au 31.12.2014
COMITE GENEVOIS POUR L UTILISATION DU FONDS ECO-ELECTRICITE RAPPORT ANNUEL 2014 PARTIE B ETAT D AVANCEMENT DES MESURES au 31.12.2014 Bassin versant Rhône Délai réalisation accordé 31.03.2014 Terminé 2014
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailDécouvrir et agir : l eau, c est la vie! La malle Cantal Eau
Découvrir et agir : l eau, c est la vie! La malle Cantal Eau Syndicat des Cramades La malle Cantal'Eau - Découvrir et agir l'eau c'est la vie! - Grand public Agence de l eau Adour Garonne 1 Le Syndicat
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailEvaluation du Contrat de rivières en Arve et Rhône
Evaluation du Contrat de rivières en Arve et Rhône Synthèse finale Synthèse des phases 1, 2, 3, 4 et 5 de l étude Avril 2012 Sommaire Déroulement de l étude Rappel du cadre de l évaluation Rendu des phases
Plus en détailPortrait et enjeux. OBV du fleuve Saint-Jean. 31 juillet 2013. Simon Faucher, MRC de Kamouraska
Portrait et enjeux OBV du fleuve Saint-Jean. 31 juillet 2013 Simon Faucher, MRC de Kamouraska Source :ROBVQ Un bassin versant est un territoire à l intérieur duquel toutes les eaux se dirigent vers un
Plus en détailMaîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise
Artisans, Professionnels, PME, TPE, Collectivités vous êtes concernés! Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Fédération française des sociétés dʼassurances Dans le cadre de la gestion
Plus en détaildocument de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité
document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes
Plus en détailPrésentation Programme éducatif au niveau primaire : Les mousquetaires de l eau claire
Présentation Programme éducatif au niveau primaire : Les mousquetaires de l eau claire 1- Bonjour à tous, Je suis la capitaine des mousquetaires de l eau claire de la Compagnie de Champlain, Chantal d
Plus en détailQuantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY.
Quantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY. Présentation M. BEAU Pierre-Alexis, 20 ans, En 2 ème année de BTSA GEMEAU, Gestion Et Maitrise de l Eau à l ENIL
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailAu Québec, les superficies en culture
QUALITÉ DE L EAU EN MILIEU AGRICOLE L utilisation des pesticides dans le maïs et le soya Au Québec, les superficies en culture de maïs ont augmenté d environ 29% entre 1996 et 2001. En 2001, elles atteignaient
Plus en détailStratégie de gestion du bassin hydrographique du Bas-Rideau Résumé
Stratégie de gestion du bassin hydrographique du Bas-Rideau Préparé pour: Préparé par: Robinson Consultants Inc. Consulting Engineers Aquafor Beech Limited Projet No.02048 Septembre 2005 Introduction Depuis
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailRESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE
MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE
Plus en détailDIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL GLOBAL
DIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL GLOBAL DU BASSIN VERSANT IMMÉDIAT DE LA CHAÎNE DES LACS (MUNICIPALITÉ DU CANTON D ORFORD) RÉALISÉ PAR : LE RAPPEL Et l Association des riverains de la Chaîne des Lacs FÉVRIER
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras
DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras SOMMAIRE UN PREMIER TEST 4 L UN DES TEMPS FORTS DES RENCONTRES CLIMAT 6 UN PROJET DE VILLE
Plus en détailRapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»
GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailCOMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»
COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le
Plus en détailBureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014
Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailEnjeux. Maîtrise quantitative de la ressource en eau. Maîtrise de la qualité des ressources. Maintenir ou restaurer la fonctionnalité des cours d eau
Enjeux Maîtrise quantitative de la ressource en eau Maîtrise de la qualité des ressources Maintenir ou restaurer la fonctionnalité des cours d eau Les priorités «1» Réduction des pollutions domestiques
Plus en détail«Et puis, lorsque tu vois des gens pêcher, tu es certain d être au bon endroit.» Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève
Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève - 2011 «Et il vient d où, ce ruisseau? j ai demandé. Du Colorado, m a-t-il dit. Nous l avons déménagé avec beaucoup de soin. Nous n avons encore jamais endommagé
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailRapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit pour l assainissement de la station de pompage des eaux usées du Port
TRAVAUX PUBLICS 01-021 Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit pour l assainissement de la station de pompage des eaux usées du Port (Du 20 août 2001) Monsieur le
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailSite d étude. Résultats
Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude
Plus en détailAtelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8
Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a
Plus en détailLes eaux usées : une pollution encore et toujours à la une
Les eaux usées : une pollution encore et toujours à la une Par Andréanne Demers, PhD et Édith Lacroix, biol. M. Sc. Comité de la recherche et de la sensibilisation Coalition québécoise pour une gestion
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détailFiche d évaluation des actions conduites par les partenaires
Fiche d évaluation des actions conduites par les partenaires Chaque partenaire relais d une agence de l eau est invité à compléter cette fiche d évaluation à l issue des manifestations (réunions, expositions,
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailLes Français et la nature
Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLA FONDATION: MISSION ET VISION
Premier symposium régional sur la pêche artisanale en Méditerranée et en mer Noire Gestion durable de la pêche artisanale: Actions menées par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'environnement
Plus en détailConseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017
Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailPOLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY
POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler
Plus en détailPROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE
Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailLES CARACTÉRISTIQUES DU LAC DE GRAND- LIEU
Panneau réalisé par Chloé, Antoine et Mounir. 1 LES CARACTÉRISTIQUES DU LAC DE GRAND- LIEU Situé au Sud- Ouest de Nantes, à une dizaine de kilomètres au Sud de la Loire. Entouré de plusieurs petites communes
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailNote sur les enjeux dans le domaine de l eau
Soutenabilité du Grand Paris juin 2012 Note sur les enjeux dans le domaine de l eau - 3 - Introduction Le projet Grand Paris vise à faire du cœur de l Île de France une métropole de taille mondiale durablement
Plus en détailPOURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY.
POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY. Par Stéphanie Allard, Aménagiste et biologiste associée, ÉCOgestion-solutions
Plus en détailNOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX?
NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? Mars 2011 Crédit photos : F. Abraham, F. Barratier, A. Cabot, L. Cadilhac, C. Lasnier, R. Lengereau, T. Marguet, M. Martini, B.
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailLIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON
Prix 2013 «Infrastructures pour la Mobilité et Biodiversité» LIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON Aménagement et renaturation d un site naturel remarquable Psammodrome d Edwards Une dégradation
Plus en détailLe cri d alarme de France Nature Environnement
Le cri d alarme de France Nature Environnement 1 Contexte En novembre 2010, FNE lance une compétition auprès de plusieurs agences pour «élaborer et mener en direction des citoyens, une campagne de communication
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailSchéma général d assainissement du Grand Lyon
Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants
Plus en détailL éditorial. Les brèves de l association :
Imprimé sur papier 100% recyclé Hiver 2003 N 7 information sur le développement environnemental en Aquitaine UNION EUROPENNE Fonds européen de développement régional L éditorial Plus d un quart de siècle
Plus en détailMorcellement du paysage
Morcellement du paysage L indicateur «Morcellement du paysage» montre comment le paysage en dessous de 100 mètres est morcelé par des barrières artificielles telles que des routes ou des zones d habitation.
Plus en détailL assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE
L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et
Plus en détail10 ème PROGRAMME (2013 2018)
10 ème PROGRAMME (2013 2018) Version adoptée par le comité de bassin du 18 octobre 2012 (délibération n CB 12-15) et par le conseil d administration des 18 octobre 2012 (délibération n CA 12-12) 14 novembre
Plus en détailLac du Tolerme suivi de la qualité de l eau Sénaillac-Latronquière - été 2006. Conseil général du Lot. Rapport final. Agence de l'eau Adour Garonne
Conseil général du Lot Lac du Tolerme suivi de la qualité de l eau Sénaillac-Latronquière - été 2006 Rapport final Agence de l'eau Adour Garonne Avril 2007 SOMMAIRE 1. RAPPEL DU CONTEXTE ET OBJECTIFS DU
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailLe risque inondation : comment s en protéger?
Franck Boston PRÉVENTION ET SÉCURITÉ Le risque inondation : comment s en protéger? RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Liberté Égalité Fraternité Le principal risque naturel susceptible d affecter l Île-de-France est
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailSTI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE
STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE Caractéristiques des terrains étudiés Complétez le schéma ci- dessus et le tableau ci- dessous Unité fonctionnelle A partir
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailL OAN aussi diversifié que le canton de Berne
L OAN aussi diversifié que le canton de Berne Direction de l économie publique du canton de Berne OAN Office de l agriculture et de la nature Vision Mission La conception et la mise en réseau de l agriculture,
Plus en détail