LISTE VERTE : standards techniques

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1 LISTE VERTE : standards techniques STANDARDS INTERNATIONAUX PARTIE 1 : VALEUR, OBJECTIFS FIXES ET ATTEINTS ENJEU 1-1 : Valeur et importance Définition : les valeurs du site ont clairement été identifiées STANDARD : valeurs naturelles : la biodiversité caractéristique du site est suffisamment référencée STANDARD : définition du site : sont recensés des habitats remarquables et le site est suffisamment grand et bien connecté à d autres habitats propices à la conservation des valeurs identifiées STANDARD : valeurs culturelles : valeurs culturelles, historiques, sociales, récréatives et économiques COMMENTAIRES/CONTEXTE FRANCE Ce premier jeu d indicateurs devrait correspondre plutôt à un premier filtre utilisé pour apprécier l éligibilité du site au processus Liste Verte Pour déterminer la représentativité écologique du site, il faut privilégier les outils de connaissance existants à l échelle internationale, notamment ceux développés par l UICN (key biodiversity areas) et le secrétariat de la convention sur la diversité biologique (EBSA) Il faut définir la biodiversité patrimoniale et ordinaire. Indicateurs proposés pour mesurer ce standard: oiseaux, Liste des directives Oiseaux et Habitats Indicateurs proposés pour mesurer ce standard: liste des directives Oiseaux et Habitats, réseau Trame verte et bleue Selon les catégories d aires protégées UICN éligibles, ce standard est plus ou moins opérant. Pour les aires protégées COMMENTAIRES/CONTEXTE KENYA Indicateurs proposés : - le plan de gestion (identifie les valeurs) - contrôle des données (si liées aux valeurs) - autres documents décrivant les valeurs du site - bases de données, cartographies, liste d espèces, recensement si documentation sauvegardée L indicateur doit-être basé sur une cartographie et un document écrit expliquant les forces et faiblesses de l aire protégée et les solutions mises en place pour assurer la durabilité des valeurs Ces valeurs devraient être divisées en sous-ensemble : - culturelles et historiques COMMENTAIRES/CONTEXTE CHINE - des valeurs cibles sont nécessaires - critères de sélection à adapter si le choix des sites pilotes est réalisé sur cette base Valeur récréative devrait apparaitre dans une autre section 1

2 sont suffisamment référencées pour appuyer la planification et la gestion ENJEU 1-2 : Planification de la gestion Définition : la planification et les objectifs sont clairs afin d orienter les mesures de gestion à mettre en œuvre STANDARD : le site doit avoir un plan de gestion mis à jour STANDARD : le plan de gestion doit identifier clairement les valeurs et les objectifs de gestion du site. Il fournit également un cadre de prise de décision et une politique environnementale appropriés au site (ex : spécifier clairement les résultats de gestion voulus). Le plan de gestion doit aborder les questions relatives aux menaces impactant les valeurs du site et la réalisation des objectifs. STANDARD : Il existe un processus de suivi, d examen et d ajustement durant la période prises en charge par une structure de gestion, l enjeu est difficile à comprendre Les critères relatifs à la gestion doivent être adaptés en fonction de la catégorie de gestion correspondante à l aire protégée Cycle (au moins) quinquennaux suffisant. Indicateur proposé : plan de gestion en cours Un des éléments importants est l équilibre entre un plan de gestion appuyé sur une expertise, en même temps que sur l implication directe des gestionnaires qui auront à le mettre en œuvre - économiques et de services - récréatives et touristiques - géologiques, paysagères Si nécessaire, le niveau et la fréquence de transmission d information aux parties prenantes est pris en charge par le gestionnaire Le plan de gestion ou autres documents de gestion et orientations devraient être soumis pour avis à un groupe de référence, qui examinerait le plan de gestion selon les standards listés Le plan de gestion est examiné par un groupe de référence Le plan de gestion est examiné par un groupe de référence qui vérifie les examens effectués, l ajustement du plan - planification de gestion compliquée en Chine - avoir un plan de gestion est une condition pour être membre de la commission aires protégées nationale donc tous les sites concernés seraient retenus pour ce critère - système de gestion et d évaluation sont plus généraux en Chine et il n y a pas de rapportage réalisé sous forme de plan de gestion (basé sur les orientations/législation sur le long terme) 2

3 effective du plan de gestion STANDARD : Le plan de gestion est bien utilisé pour orienter la gestion du site STANDARD : le processus de planification fournit des éléments appropriés et suffisants pour les parties prenantes concernées ENJEU 1-3 : Conservation des valeurs définissant l aire protégée Définition : L état des valeurs définissant l aire protégée sont évaluées bonnes à très bonnes et avec une tendance stable ou en progression STANDARD : les conditions clés qui définissent la valeur du site sont à la fois bonnes à très bonnes et stable ou en progression Difficile de construire des indicateurs. Les indicateurs devraient être pensés en fonction du contenu du plan de gestion Idem Prendre en compte la résilience des écosystèmes lié aux fonctions écosystémiques, à la biodiversité ordinaire de gestion Un programme annuel de travail existe, rapports d avancement, entretien avec le gestionnaire. Il existe un besoin pour assurer le suivi de la mise en œuvre ou des progrès réalisés dans la mise en œuvre du plan de gestion Il faut la liste des parties prenantes - Une analyse par la WCPA des données issues de la gestion et de la recherche est nécessaire. Il faut utiliser «Conservation Outlook Assessment» ou EoH (Enhancing Our Heritage) si rien d autre. Cela nécessite probablement une visite de site. - Difficultés pour obtenir de l information sur les statuts et les tendances de valeurs. Analyse des menaces pas complète. L objectif principal des sites concerne la mise en place de la réglementation et de la politique (pas flexible pour traiter les différentes menaces) - pour répondre à ces standards : nécessité d un cadrage et de lignes directrices très clairs - de nombreux rapports annuels sont disponibles sur les résultats concernant l investissement et les statistiques des activités effectuées dans l aire protégée PARTIE 2 : AIRE PROTEGEE DESIGNEE LEGALEMENT, PERIMETRE CLAIREMENT DEFINI ET SECURISE Ce deuxième jeu d indicateurs (comme le premier) devrait correspondre plutôt à un premier filtre utilisé pour apprécier l éligibilité du site au processus Liste Standards à préciser (difficiles à traduire en l état pour la Chine) 3

4 ENJEU 2-1 : Désignation de l aire protégée Définition : une sécurité juridique de l aire protégée est mise en place et les problèmes d ordre foncier qui peuvent exister sont résolus STANDARD : la sécurité juridique à travers la réglementation, des accords contraignants ou d autres moyens semble être efficace sur le long terme dans le contexte local STANDARD : la résolution des problèmes fonciers et les limites juridiques ne sont pas un obstacle pour une bonne gestion du site STANDARD : il n y a pas d exploitation qui nuirait de manière significative aux valeurs du site ou qui seraient incompatibles avec le statut (et la catégorie) de l aire protégée STANDARD : le site a été assigné de la bonne catégorie de gestion. Il est référencé dans la base de données mondiale des aires protégées ENJEU 2-2 : Application de la réglementation et périmètre Définition : Le régime des autorisations est approprié. Toute transgression sur la délimitation du périmètre du site doit avoir un faible impact STANDARD : Le règlement est appliqué de manière appropriée. Il Verte Il est possible de mettre en place des indices en fonction du statut de l aire protégée : arrêté ministériel, régime plutôt contractuel Très pertinent - Il faut regrouper les aires protégées par catégorie de gestion dans un premier temps avant de les évaluer. - Ce standard est procédural, il ne garantit pas vraiment la qualité du site. On peut cependant comprendre l enjeu de l UICN à une harmonie dans ses listes. Il ne faut pas mettre dans la grille d analyse que les facteurs sur lesquels le gestionnaire peut agir Pertinent, mais les gestionnaires ont rarement ce type de moyens. Ceci est Si le site est exploité, il faut des preuves des impacts causés (surveillance, rapports, images satellite, visite du site) Ce n est pas un indicateur mais il devrait être inclus dans la description du site et si la catégorie de gestion n a pas été attribuée, le groupe de référence doit s en charger. Facteur externe controversé, difficile à contrôler. Cet enjeu devrait être intégré avec le précédent dans une partie générale «application de la loi» - S assurer qu un identifiant WDPA existe pour le site. Y remédier si ce n est La question de l exploitation du site devrait être traitée ailleurs (dans les menaces ou les valeurs) Les catégories de gestion ne sont pas encore appliquées en Chine. La Chine a son propre système de classification. La Liste Verte est une opportunité afin d harmoniser les catégories de gestion dans un premier temps Une problématique : des superpositions de périmètre de sites existent à différents niveaux de gouvernance mais sont souvent peu compris par les entreprises, autorités et services locaux 4

5 existe des moyens adaptés afin de détecter les infractions comme des patrouilles de surveillance ou autres dispositifs mis en place. STANDARD : des poursuites sont mises en place pour toute effraction au sein de l aire protégée STANDARD : des permis sont délivrés équitablement. Ils sont contrôlés et doivent-être mis en application STANDARD : le périmètre est clairement défini ou clôturé si nécessaire pour conserver les valeurs du site STANDARD : toute transgression sur la délimitation du site doit-être minimum. Il ne doit pas y en avoir de nouvelle ou d empiètement du site accéléré possible lorsque l aire protégée a la chance d être dans un secteur de l ONCFS par exemple idem. Les gestionnaires ont rarement ce type de moyens pas le cas. - description du système mis en place pour la surveillance, l application de la loi Pas pertinent ici car c est un facteur externe Quand les permis existent, les décrire, expliquer l application des règles et démontrer les preuves de prise de responsabilité (plan de gestion) Description par le gestionnaire en relation avec le plan de gestion et les cartographies. Dans certains cas, envisager la visite de terrain Google earth/images satellite pour montrer les transgressions majeures (WCPA examen) PARTIE 3 : CAPACITE DE GESTION, REGLEMENTATION ET ACTIONS MENEES POUR ATTEINDRE LES OBJECTIFS - Certains critères de la grille d analyse portent sur la planification de la gestion. Or, tous les statuts de protection français ne prévoient pas de plans de gestion : il faudrait considérer un gradient plus large de mesures, depuis les dispositions de police administrative jusqu à des activités de gestion active, et évaluer la réalité de leur mise en œuvre - Certains membres du groupe de référence estiment que la mesure des efforts n est pas nécessaire pour rendre compte de l efficacité d une gestion et Un standard à ajouter : le processus de budgétisation est en accord avec les priorités de gestion : vérifier la planification du budget et vérifier l utilisation. Est-ce utiliser de façon adéquate pour les besoins? - Les critères ne sont pas tous compris : ils ne correspondent pas toujours au contexte local - Une question qui devrait être posée concernant l organisme institutionnel du site : est-ce l Etat ou non? - Pour mesurer la capacité institutionnelle, les facteurs suivants devraient être considérés : Le grade du gestionnaire, système financier indépendant, équipe, règlementation, autorité légale 5

6 ENJEU 3-1 : Gestion des ressources et des opérations Définition : L équipement utilisé, les infrastructures mises à disposition et les pratiques de gestion appliquées sont appropriés et suffisants STANDARD : pour que la gestion du site soit effectuée dans des conditions idéales : - l équipement utilisé pour la gestion du site est adéquat - les infrastructures sont disponibles, accessibles au personnel et appropriées pour mener bien la gestion de l aire protégée STANDARD : l équipement et les infrastructures sont bien entretenus et régulièrement remplacés (autant que nécessaire). Ainsi, le fonctionnement et la sécurité liés aux moyens de gestion restent élevés STANDARD : les mesures de risque d accentuer les inégalités entre les pays. Quant aux résultats, le groupe de travail estime préférable de mesurer des tendances que des états de conservation (augmentation, stable, diminution). - Pour la prise en compte des spécificités nationales, la liste verte pourrait s inspirer de la norme Fsc qui définit des critères communs à l échelle mondiale et chaque pays apprécie selon les cas s ils sont applicables et détermine le niveau de référence (seuils). Vérifier la base de données de l aire protégée et comparer avec les standards nationaux/internationaux Idem Description par le gestionnaire et les 6

7 gestion et les activités sont planifiées afin de minimiser les impacts environnementaux et sociaux qui pourraient affecter les valeurs naturelles et culturelles de l aire protégée. Elles favorisent également la durabilité. ENJEU 3-2 : L équipe gestionnaire Définition : Le personnel composant l équipe gestionnaire est suffisant, en mesure de mener une gestion efficace du site STANDARD : personnel approprié / un nombre suffisant travaille pour gérer l aire protégée de manière efficace STANDARD : le personnel est apte et suit régulièrement des formations pour mener les activités de gestion essentielles incluant les relations à avoir vis-à-vis des locaux et concernant la conservation de la biodiversité STANDARD : le personnel est respecté, bien formé, en sécurité, en bonne santé et bien considéré par la hiérarchie ENJEU 3-3 : Disponibilité de l information Définition : Les informations disponibles pour la gestion du site sont pertinentes, accessibles et prennent en compte les facteurs de menace, les recherches en cours et le suivi Ce jeu d indicateurs pourrait être renommé «gestion efficiente» et non pas «gestion efficace» L évaluation des moyens n est pertinente que si elle est mise en relation avec les résultats (efficience) - Le groupe de référence a souligné le besoin de renforcer la cohérence en matière de gestion de l information. En effet, les gestionnaires d aires protégées développent des systèmes de suivi et élus sur place (à propos des énergies, véhicules, routes construites, utilisation des pesticides ) Profil du personnel, équipe suffisante pour mener à bien les programmes. Comparer le nombre par hectare aux standards africains et mesurer la correspondance Analyser le profil du personnel et évaluer leur formation Preuves, rapport sur les agressions subies par le personnel, programmes d intéressement - critères qui doivent-être adaptés au contexte chinois - l objectif de cette partie doit être focalisée sur le bon niveau du personnel et ne pas s attarder sur les faiblesses Evaluer la qualité du personnel est plus importante que le nombre Il faut prendre en compte les nouveaux systèmes numériques (GIS, GPS, ) 7

8 STANDARD : information pertinente, mise à jour et accessible pour les gestionnaires. Elle concerne : - les valeurs naturelles, culturelles - les menaces - les questions communautaires STANDARD : la recherche ciblée et les programmes de surveillance sont mis en œuvre et utilisés pour une gestion adaptée ENJEU 3-4 : Gestion des ressources naturelles et culturelles Définition : les valeurs et les menaces qui pèsent sur l aire protégée sont gérées activement STANDARD : Les activités de gestion des ressources naturelles sont menées en accord avec le plan du programme de travail afin de minimiser les menaces. Les actions qui sont par exemple menées : d évaluation complets et adaptés aux besoins de leurs territoires mais qui ne permettent pas d établir des comparaisons avec d autres sites. Il faudrait inscrire dans les standards de la liste verte l obligation de restitution dans un système de rapportage commun à l ensemble des aires protégées afin de faciliter les comparaisons. - Requiert un suivi scientifique du site. Cela ne dépend donc pas que de la structure de gestion du site Description par le gestionnaire et liste de contrôle sur ce qui est disponible et le moyen d y accéder Preuve et explication du lien avec le plan de gestion et le processus Documenter les plus grandes menaces. Lister les programmes en place pour protégée et restaurer. Les détails peuvent être listés dans le plan de gestion, propositions de projet, rapport, surveillance, Un critère devrait être ajouté : évaluer si oui ou non les mesures recommandées dans le plan de gestion de l'aire protégée ont en effet été mises en œuvre La liste des actions ne reflète pas celles menées en Chine. Ce point est à adapter au contexte local à savoir : construction/urbanisation, développement des infrastructures (routes, hydro-électricité) et tourisme 8

9 - Gestion des feux - Gestion de la pêche - Contrôle de la flore et faune invasives - Contrôle des maladies et de l hygiène - Restauration et re-végétalisation - Gestion des espèces, réintroduction ou réhabilitation - Réhabilitation des habitats - Surveillance pour une utilisation durable des ressources STANDARD : les activités de gestion des ressources culturelles sont menées selon un programme de travail établi STANDARD : protection des sites culturels et historiques, des bâtiments et des objets STANDARD : mise en avant de la culture, des mœurs, des traditions, du langage et des pratiques de vie STANDARD : les pratiques de gestion traditionnelles et la participation des communautés locales dans la gestion des ressources naturelles et culturelles sont encouragées quand elles sont nécessaires Ne pas négliger d évaluer les impacts, même lorsqu il s agit de gestion traditionnelle Non pertinent Non pertinent Non pertinent Rapport sur les projets, processus de transmission, plan de gestion PARTIE 4 : LA GOUVERNANCE, LA PARTICIPATION, L EQUITE ET LES BENEFICES - L équitabilité est difficile à mesurer - De manière générale, les indicateurs relatifs à la gouvernance équitable posent - Section qui ne s applique pas dans le contexte chinois. Les critères doivent être adaptés au contexte local 9

10 REPONDENT AUX STANDARDS ENJEU 4-1 : Gouvernance Définition : Les rôles et les responsabilités en matière de gouvernance sont clairement définis et efficaces STANDARD : Légitimité : - autorité mandatée légale - règles, rôles et responsabilité clairement définis - les parties prenantes acceptent l autorité de l organe décisionnel STANDARD : Transparence et responsabilité : la gouvernance et la prise de décision sont soumises à examen par les parties prenantes (informations présentées dans le format approprié et raisonnement pour les décisions évidentes). Des rapports ou évaluations régulières sur l efficacité de gestion sont disponibles (pour chaque site ou à l échelle du réseau) un problème de subjectivité dans la mesure où ils dépendent du point de vue des acteurs du territoire (par exemple, l évaluation des impacts d une activité sur la biodiversité peut être appréciée différemment par les agriculteurs, les chasseurs et les gestionnaires). - les critères de gouvernance équitable doivent être modulés en fonction de la structure foncière et des modalités de protection qui sont appliquées sur le territoire (réglementaire, contractuel, foncier). Cela ne peut couvrir tous les aspects d une bonne gouvernance, mais les aspects clés doivent être mesurés aussi bien que possible. Les preuves doivent être décrites par le gestionnaire - Preuves : publicité dans les médias, le nombre de réunions organisées - il faut des éléments de preuve d interactions régulières (tableau de bord de gestion, réunion avec un comité consultatif, changements majeurs de l aire protégée ) 10

11 STANDARD : les communautés locales et les droits de l homme sont respectés ENJEU 4-2 : Relation avec les parties prenantes et communication Définition : La communication implique les parties prenantes mais inclut aussi les communautés locales STANDARD : implication / participation : toutes les parties prenantes, mêmes les plus marginales et les plus désavantagées, ont l opportunité de participer à la planification de la gestion, au processus et aux actions STANDARD : Il existe un programme de sensibilisation, de communication et d échanges information avec les populations locales et les autres parties prenantes clés utilisant des mécanismes appropriés ENJEU 4-3 : Impact sur les communautés locales Définition : les impacts résultant de l aire protégée sur les communautés locales sont à la fois positifs ou au moins neutres et stables ou en progression STANDARD : le bien-être des populations locales et des autres parties prenantes clés sont pris en compte dans la planification de l aire protégée et de la gestion. Les impacts Non pertinent Difficile à définir Les critères doivent-être adaptés au contexte local - Nécessaire de prendre en compte spécifiquement les possibilités socioéconomiques des plus pauvres? - Cet enjeu peut être contradictoire avec une gestion efficace du site pour ses objectifs écologiques Notion de communauté locale n est pas adaptée au contexte français. Elle doitêtre étendue à l ensemble des acteurs socioéconomiques susceptibles d avoir un impact positif ou négatif sur la gestion du site Définir les possibilités socio-économiques des habitants Les documents publiés doivent lister les principales parties prenantes et le plan des engagements - ou dans le plan de gestion Portfolio des activités, publications ( ) des années précédentes - Pour répondre à la question : plan de gestion avec l analyse des parties prenantes - pour les impacts négatifs : rapports des conflits, programmes, compensations, (vérifier le plan de gestion avec les - Les impacts sont importants à mesurer mais en Chine le responsable n est pas le gestionnaire mais plutôt les nombreuses agences et services impliqués dans la gestion du site - La liste verte peut être un outil utile pour aider l aire protégée à résoudre certains problèmes issus de l impact des politiques sur les moyens de subsistance locaux. Cela pourrait être une motivation pour les parties prenantes 11

12 négatifs sont minimisés à travers des programmes de gestions efficaces ou des mesures compensatoires sont prévues pour les impacts inévitables STANDARD : quand cela est nécessaire, le recrutement local est favorisé et des programmes de bienêtre de la collectivité sont mis en œuvre PARTIE 5 : LA GESTION DU PUBLIC ET LA COMMUNICATION SONT CONFORMES AUX STANDARDS parties prenantes pour répondre à la question) Une évaluation économique ou similaire doit être mesurée de supporter l existence de l aire protégée et de participer à la gestion - la gestion des visiteurs est une question clé dans le contexte chinois - les critères doivent-être adaptés au contexte chinois (une gestion du public différente par rapport aux autres pays : population importante). Il faut plutôt mesurer la qualité de l expérience vécue par le visiteur - certains sites peuvent ne pas répondre à ce standard car ils accueillent un grand nombre de visiteurs qui leur génèrent du revenu. Le seul moyen dans ce cas de contrôler le nombre de visiteur serait d augmenter le droit d entrée mais cela provoquerait des plaintes. - la Chine a sa propre méthodologie pour calculer la capacité d accueil des sites - Seuls les sites qui permettent un très bon accueil du public devraient être retenus sur la Liste Verte? - Si ce standard est retenu, d autres questions doivent-être posées : existe-til un plan de gestion touristique durable? une stratégie de faibles 12

13 ENJEU 5-1 : Gestion du public et tourisme Définition : L accueil du public ainsi que les impacts qui en découlent sont contrôlés STANDARD : les services et les installations pour le public respectent les normes de conception, de développement durable et de sécurité et sont appropriés à la nature, aux valeurs et utilisations de l aire protégée STANDARD : des services de vulgarisation, d éducation et d information pour le public répondent à des besoins et soutiennent la gestion STANDARD : l industrie du tourisme dans la zone protégée est gérée pour soutenir les objectifs de l aire protégée STANDARD : les impacts du public sont gérés afin de minimiser les dommages sur les valeurs naturelles et culturelles de l aire protégée (par exemple à travers les permis délivrés, le contrôle des accès, les installations, l éducation et mise en vigueur) Indicateur proposé : matériel éducatif (panneaux, etc.) Indicateur proposé : capacité de charge du site Des standards existent : ISO, écotouristiques (spécifiques au Kenya). Cela doit-être conforme avec le plan de gestion pour les installations qui sont permises. Inspection visuelle Matériel, photos, rapports ou enquêtes disponibles. Une visite de site semble nécessaire Recettes, respect des normes de gestion du parc Régulation et mise en application Plan de gestion Inspection du site, photos de l année émissions de CO2 est-elle mise en place? Le tourisme vert est-il encouragé? les critères qui découleront de ce standard doivent mettre aussi l accent sur le rôle des aires protégées dans l éducation et l apprentissage 13

14 Avis général concernant la France : - En ce qui concerne les indicateurs de définition de cohérence (parties 1 et 2) : le groupe de référence propose de considérer ce jeu d indicateurs comme un premier filtre destiné à apprécier l éligibilité d un site au processus de la liste verte. Ces critères préalables permettront également de décliner les standards en fonction des objectifs de gestion, de la taille de l aire protégée et du contexte écologique dans lequel elle s inscrit (région biogéographique, proximité aux milieux urbains, ). Il s agira en particulier de vérifier si l aire protégée répond à la définition de l UICN, de préciser sa catégorie de gestion, de caractériser les valeurs écologiques (écosystème marin/forêt/paysage, ) et les menaces. - Les critères doivent-être limités en nombre et être les plus originaux et les plus discriminants possibles pour permettre d identifier les sites exemplaires - Toutes les aires protégées ne répondent pas aux critères listés - Il faut considérer différents niveaux de critères (ex. chaque pays n est pas exposé aux mêmes menaces) mais il est nécessaire d avoir des critères communs pour ne pas changer le fond - La notion de gestion rentable peut être mesurée objectivement par les critères d optimisation des coûts, d équilibre des comptes - La notion de rentabilité doit être maniée avec prudence dans le contexte français, où prévaut le principe de la gratuité d accès aux espaces naturels. Avis général concernant le Kenya : - Critères à décliner au niveau national - Les catégories de gestion ne devraient pas définir un standard - Les caractères culturels, historiques du site ne sont pas pertinents - Les critères pour mesurer le standard concernant les communautés locales et droits de l homme sont difficiles à définir Avis général concernant la Chine : - les critères doivent être déclinés au niveau national. Ils risquent autrement d être mal compris et peu appropriés au contexte local. - la Chine a déjà ses propres méthodes et systèmes de catégorisation et d assignation. Cela devra être intégré dans le processus Liste Verte chinois - une version chinoise des standards est nécessaire afin d être bien interprétés à l échelle locale (traduction en anglais viendra dans un second temps) 14

15 - la Chine a l habitude de travailler sur des évaluations avec des valeurs seuils. Il serait opportun que la Liste Verte intègre également des objectifs chiffrés à atteindre. - Les critères devraient être plus ambitieux pour répondre aux questions suivantes : tourisme durable et vert, développement à faibles émission de carbone, emplois verts. La mise en place de standards Liste Verte ambitieux pourrait être utilisée pour améliorer les performances de gestion dans les aires protégées concernées. 15

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