L abeille, une ouvrière irremplaçable. Livret pédagogique
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- Antoinette Poitras
- il y a 8 ans
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1 L abeille, une ouvrière irremplaçable Livret pédagogique 1
2 La guêpe et l abeille La guêpe et l'abeille proviennent toutes les deux de la famille des hyménoptères. La guêpe est svelte, de forme allongée, de couleur jaune tigrée de noir. Quant à l abeille, elle est plutôt trapue, plus grosse que la guêpe, poilue, de couleur brune. L abeille n est pas un insecte agressif, à condition toutefois qu on ne s approche pas trop près de sa ruche La guêpe, elle, est plus dangereuse, plus agressive Plus féroce que l'abeille, la guêpe ne meurt pas après avoir piqué sa victime. Elle repart avec son dard qui est lisse et rétractable et ne s'accroche pas à la peau en piquant. L abeille ne peut piquer qu une seule fois et y laisse une partie de son abdomen, qui va se déchirer ainsi que sa vie. Elle a un dard en forme d aiguillon barbelé qui ressemble à un harpon. L abeille fabrique du miel à partir du pollen et du nectar dont elle se nourrit. La guêpe se nourrit de sucre, de fruits en décomposition et parfois de miel provenant des ruches. Cela fait d elle l ennemi des abeilles. Par contre, pour nourrir les larves, elles doivent chasser d'autres insectes qu'elles coupent en petits morceaux. Une fois mastiqué ces morceaux de viande, elles les servent à leurs larves. On distingue également l'abeille de la guêpe en l'examinant en plein vol. L'abeille vole les pattes pendantes tandis que la guêpe vole les pattes collées contre son corps. Vous ne risquez rien en présence d'une abeille à moins de vous trouver très près de sa ruche. Elle ne s'intéresse qu'au sucre et à l'eau. Contrairement à la guêpe qui se laisse tenter par n'importe quoi! L'abeille se sert de son dard que pour butiner et pour se défendre tandis que la guêpe en abuse et l utilise comme arme. 2
3 La colonie Tout commence au printemps, les abeilles, se déplaçant en nuée dans le ciel guidées par les éclaireuses. Elles se posent les unes aux autres, c est l essaim. Les éclaireuses ont pour fonction de trouver un lieu pour que la colonie puisse s établir (tronc d arbre ). Un essaim peut regrouper près de abeilles. Il est composé de trois catégories distinctes. La reine : il y en a une seule par essaim, la naissance de reine se fera lorsque la colonie aura attient une taille trop importante et qu il faudra la séparer en deux (c est l essaimage). Elle n est pas tellement plus grande. Ce qui la fait se distinguer des ouvrières c est son abdomen allongé. Ce phénomène permet à l espèce de se perpétuer et de se propager. La reine a la fonction de pondeuse dans la colonie. Lors de sa première et seule sortie, elle sera poursuivit par les faux bourdons et fécondée en plein vol. Cela se fait très en hauteur et les mâles épuisés en meurent. De là elle gardera en elle des millions de spermatozoïdes. Elle passera le reste de son existence dans la ruche sans en sortir. Elle pond toute la journée et toute la nuit sans jamais s arrêter au printemps et se repose en hiver. Elle donnera naissance à des millions d ouvrières et à des centaines de faux-bourdons. La distinction ne se fera qu à la naissance suivant la nourriture que les larves recevront. Les œufs seront déposés dans les cellules de cire. Il y a deux sortes de cellules : les plus grandes environ 9 mm de diamètre seront réservées aux mâles et les autres (environ 5 mm) seront pour les ouvrières. Si la reine ne pond qu un œuf cela donnera un faux bourdon et si elle y adjoint un des spermatozoïdes qu elle a en réserve, cela donnera naissance à une ouvrière. Toute la journée elle est entourée d ouvrières qui la nourrissent. Les larves d ouvrières seront nourries avec de la bouillie de pollen et de miel à partir du troisième jour (les trois premiers jours, toutes reçoivent de la gelée royale) ; les futurs reines recevront elles de la gelée royale durant toute leur croissance. Les males ou faux-bourdons : ils sont au nombre de quelques centaines dans la colonie et apparaissent au printemps. Leur tâche première est de féconder les jeunes reines (cela une fois seulement dans la vie de la reine). Le reste du temps ils se font entretenir. Les faux bourdons ne butinent jamais. Ils sont plus lourds et plus corpulents que l ouvrière. Ils ont deux yeux très volumineux. Nourris par les ouvrières, elles les massacrent à la fin de l été lorsque les ressources s amenuisent et qu ils seront devenus inutiles car il n y a plus de jeunes reines à féconder. Les ouvrières : elles sont les plus nombreuses dans la colonie (leur nombre peut s élever jusqu à plus de 40000). Elles ne s arrêtent jamais. Chaque ouvrière deviendra successivement au cours de sa brève vie, quelques semaines en été, quelques mois en hiver, en charge du ménage dans la ruche, nourrice, maçonne, gardienne et en fin de vie butineuse. Elles construisent les rayons avec de la cire, nourrissent les larves, emmagasinent le pollen et élaborent le miel, repoussent les prédateurs. Dès le lever du jour, les butineuses partent en quête de pollen (qui servira à la fécondation des fleurs), de nectar et d eau pour la ruche. Elles vont parcourir des milliers de kilomètres (sur un rayon d environ trois kilomètres 3
4 autour du rucher) pour ramener de quoi alimenter la colonie et faire des réserves. La pollinisation Les fleurs (ou celles présentes sur les arbres fruitiers) ont besoin des abeilles ou de l action d un agent pollinisateur pour se reproduire. Les fleurs arrivent à maturité, les étamines sont couvertes de pollen et le pollen attend pour tomber dans le pistil et féconder les ovaires qui pourront donner naissance à un fruit ; l abeille vient et prend la majeure partie du pollen, lui évitant ainsi de tomber par terre, sur les pétales, ou partir au vent. Si elle prend du pollen sur elle (sur ses poils ou sur sa fourrure, elle risque fort d en faire tomber sur le pistil d une autre fleur qu elle viendra butiner et ainsi permettre la pollinisation. L abeille rentre à la ruche avec ses paniers à pollen remplis et la fleur se voit fécondée. Donc les deux profitent de cette interaction naturelle. Les fleurs qui ont le plus de chances d êtres butinées sont celles qui attirent le regard des abeilles et donc ce sont les fleurs colorées qui vont être le choix des butineuses. Sauf les fleurs rouges, car l abeille ne voit pas le rouge qu elle confond avec le noir. En plus d une bonne vue, les abeilles possèdent des antennes qui leurs permettent de percevoir le parfum des fleurs. Ces dernières leurs permettent de se reconnaître et de travailler la nuit dans la ruche. L abeille va collecter du pollen sur ses paniers et elle va prélever sur la plante, le nectar. Le nectar est un liquide sucré produit par les glandes «nectaires» des fleurs. Cette glande se trouve le plus souvent au plus profond de la fleur et donc cela oblige l abeille à entrer dans la corolle et lors de cette entrée, il n est pas rare que quelques grains de pollen provenant de la fleur précédente soient déversés. L abeille va pomper le nectar avec sa trompe et avec sa langue située à l extrémité de celle-ci. Le parcours du nectar sera le suivant : langue-trompe puis œsophage pour terminer dans le jabot qui est une sorte de réservoir dont la contenance avoisine le poids de cette dernière. Dans le jabot, le nectar sera transformé sous l action des sucs digestifs et une fois rentré à la ruche, l abeille régurgitera le contenu du jabot avant de retourner butiner. Le nectar déposé dans les cellules est ensuite travaillé par les ouvrières qui sont à l intérieur de la ruche. Elles se mettent à battre des ailes pour faire évaporer l eau du nectar qui rendrait sa conservation impossible, puis elles font «ruminer» entre l œsophage et le jabot plusieurs fois le liquide pâteux qui deviendra une fois expulsé du miel. 4
5 Liste des plantes mellifères en France qui donnent des produits alimentaires à l homme : Plantes Floraison Observation Abricotier (Prunus armeniaca) Février Avril Cultures Carotte (Daucus carota) Mai - Juillet Cultures Cerisier (Prunus avium, cerasus) Mars Mai Bois - Vergers Châtaignier (Castanea sativa) Juin Juillet Cultures Clémentinier (Citrus clementina) Mars Mai Cultures Colza (Brassica napus) Avril Mai Cultures Framboisier (Rubus idaeus) Mai Juillet Bois - Cultures Groseillier (Ribes rubrum) Avril - Mai Bois - Cultures Maïs (Zea mays) Juin Août Cultures Moutarde (Sinapis alba) Mai Septembre Cultures - Friches Noisetier (Corylus avellana) Janvier - Mars Bois Oignon (Allium cepa) Juillet Septembre Cultures Origan (Origanum vulgare) Juin Septembre Talus Pêcher (Prunus persica) Mars Avril Cultures Poirier (Pyrus pyraster) Mars - Mai Bois - Cultures Pommier (Malus) Mars - Mai Bois - Cultures Thym (Thymus vulgaris) Avril Septembre Jardins Tilleul (Tilia cordata, platyphyllos) Juin Juillet Bois - Jardins Tournesol (Helianthus annuus) Juillet Août Cultures 5
6 Textes ressource Reconquérir une vraie biodiversité Dans de trop nombreuses régions, les apiculteurs se désolent de constater l inéluctable dégradation de la biodiversité végétale qui environne les ruchers. En plaine, les prairies ont cédé la place à de vastes étendues de céréales devenues de véritables déserts verts En montagne, de sombres plantations de résineux ont remplacés les landes et les pâturages Le long des voies ferrées et des routes, l emploi de désherbants chimiques stérilisent les friches pourtant si attractives pour les abeilles. Conscients de cet appauvrissement préjudiciable aux insectes comme aux oiseaux ou aux petits mammifères, les pouvoirs publics semblent faire quelques gestes, bien timides encore La reconstitution des haies est, certes, subventionnée. D étroites bandes herbacées sont devenues obligatoires le long des cours d eaux. En forêt, des plantations d essences plus diversifiées sont expérimentées. Des jachères dites «apicoles» sont censées venir en aide aux abeilles. Mais trop souvent réalisées sur quelques hectares, parfois financées par des firmes agrochimiques qui souhaitent avant tout restaurer leur image et dédouaner les pesticides, leur impact demeure symbolique. Seule une véritable politique courageuse, réalisée à vaste échelle, devrait permettre de retrouver la richesse de ces écosystèmes abîmés. Page 75 «l Abeille sentinelle de l environnement», Henri Clément. Les abeilles et les produits chimiques En France, l agriculture devient intensive au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, pour permettre de nourrir la population rapidement et à grande échelle. Parallèlement, l emploi de nombreux produits phytosanitaires herbicides, fongicides et autres insecticides se généralise en sus des engrais, rendement oblige. En 1974, les pouvoirs publics interdisent les traitements en période de floraison, protégeant ainsi les abeilles des intoxications les plus massives. Véritable âge d or de l apiculture française, la France devient alors leader européen dans ce domaine. En 1955, se développent de nouveaux traitements, présentés alors comme écologiques : les insecticides systémiques neurotoxiques en enrobage de semences. Hyperpuissantes, ces molécules enrobent les semences et pénètrent dans la graine, protégeant le système racinaire de la plante puis tout son système aérien grâce à la sève, y compris la fleur. Dotées d une forte rémanence, ces molécules peuvent demeurer présentent dans le sol durant plus d un an, et dans certains cas jusqu à trois. Quelques dizaines de grammes permettent de traiter un hectare de culture. Dès les premières utilisations, les apiculteurs constatent dans leurs colonies des phéno- 6
7 mènes étranges, insidieux : les abeilles meurent au moment des semis, les colonies se dépeuplent rapidement lors des miellées de tournesol, les récoltes baissent, la mortalité globale des abeilles s accroît Des organismes indépendants, comme l INRA ou le CNRS, confirmeront la présence de ces molécules dans les fleurs et le pollen à des doses certes infinitésimales mais qui se révéleront suffisantes pour désorienter les abeilles et altérer leur comportement. Un comité scientifique d experts, le CST, conclura à un risque «préoccupant» pour les abeilles, tant pour l imidaclopride (substance active du «Gaucho») en 2003 que pour le Fipronil (substance active du «Régent») en A la suite de plusieurs arrêts du Conseil d état, l autorisation de ces produits sera suspendue par els pouvoirs publics, mais de nouvelles molécules similaires tentent de prendre le relais. Tous les pays qui pratiquent une agriculture intensive sont aujourd hui concernés par cette relation entre les abeilles et les pesticides. De la résolution de cette problématique dépendra en grande partie l avenir de l abeille et de l apiculture. page 91 «l Abeille sentinelle de l environnement», Henri Clément. L abeille face aux bouleversements climatiques Les bouleversements climatiques qui se sont amplifiés au cours de ces dernières décennies ont un impact considérable sur la vitalité des abeilles et sur la production du miel. Dans les pays du nord de l Europe, le réchauffement rend plus généreuse une nature jusque-là bien frileuse. Les floraisons perdurent plus longtemps et les belles journées, plus fréquentes, permettent aux butineuses de prélever le nectar en plus grande quantité. De ce fait, les rendements à la ruche progressent. En revanche, au sud de l Europe, les longues périodes de sécheresse, amplifiées parfois par des vents du Nord persistants, affaiblissent la végétation et mettent parfois en danger la survie même des colonies : la reine s arrête prématurément de pondre, ce qui empêche le renouvellement des générations Même éphémères, les canicules brûlent les fleurs les plus mellifères et les rendent insignifiantes. Dans certaines garrigues desséchées par le soleil, les abeilles ne parviennent plus à prélever l eau nécessaire à la colonie et des abreuvoirs doivent être installés. A l inverse, les hivers trop doux ne bloquent pas suffisamment la croissance de la végétation et les floraisons s étiolent Autant de situations fortement préjudiciables aux insectes en général et aux abeilles en particulier Inondations, incendies et tempêtes Un peu partout dans le monde, les bouleversements climatiques entraînent de vraies catastrophes. En France, les terribles tempêtes de 1999 puis de 2009 ont détruits de vastes espaces de forêts, hachant les bois d acacia et de sapin et rendant in utilisables certains emplacements de ruchers pourtant jadis très prolifiques. Lors des inondations du Gard en 2002, de nombreuses ruches ont également été emportées par les flots. La Grèce, victime d une sécheresse persistante et de la bêtise humaine, a vu en 2005 des ruches brulées par dizaines de milliers et de vastes espaces de garrigues 7
8 détruits pour de longues années. Page 97 «l Abeille sentinelle de l environnement», Henri Clément. La ronde des floraisons mellifères Suivants les saisons En fin d hiver : le noisetiers le buis le prunelliers le cerisiers Au cours du printemps et en été : le pissenlits la ronces l'aubépines Le colza le tournesol l acacia le châtaignier les nombreuses fleurs sauvages de montagne et de prairie En fin d été : le lierre la bruyère. Suivants les régions En plaine : l'aubépine le bouillon-blanc la bourdaine la centaurée le coquelicots l'érable le framboisier le groseilliers le lierre la luzerne la mauve le mélilot le millepertuis la moutarde lenoisetier l'origan le peuplier le poirier le pommiers le saule sauge scabieuse 8
9 Le poster Civisme et démocratie - CIDEM L abeille, une ouvrière irremplaçable Sans les apiculteurs, les abeilles auraient quasiment disparues Contrairement aux guêpes qui sont carnassières, les abeilles ne se nourrissent qu en visitant la nature. Un tiers de ce que tu manges, provient du travail des abeilles et des autres insectes. Sans les fleurs, les abeilles ne peuvent pas vivre. La colonie est formée d une reine et de dizaines de milliers d ouvrières et de quelques faux bourdons au printemps. Moins d abeilles, moins de fruits. L'abeille en gros plan. Sans abeilles, plus aucun fruit. Sans abeilles, plus aucun légume. En prélevant le pollen, les abeilles s alimentent et permettent aux plantes de se reproduire. Les abeilles favorisent le maintien de la biodiversité. Plus de plantes sont ainsi sauvegardées en Europe. La maison des abeilles, une ruche qui bouge. Trop souvent les pesticides tuent les abeilles et détruisent notre environnement Aujourd hui, les ruches sont menacées, les abeilles meurent par millions. En butinant le nectar, les abeilles produisent le miel. Et le miel, c est bon! Union Nationale de l Apiculture Française civisme et 9
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