RAPPORT D ACTIVITE

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1 RAPPORT D ACTIVITE , rue d Assas Paris Tél jeunes élèves malades ont suivi cours donnés par 442 enseignants bénévoles

2 Sommaire 1- L association page 2 2- Les implantations page 3 3- Les faits marquants en page 5 4- Les chiffres clés en page 6 5- Les examens page 9 6- Les enseignants bénévoles page Les formations page La communication page Les évènements de collecte page Les perspectives & objectifs page Les partenaires page La répartition des interventions par secteur page 20 RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 1

3 1. L ASSOCIATION SA MISSION, SON OBJET L Ecole à l Hôpital : association, loi 1901, reconnue d Utilité Publique, a été créée en 1929 par Marie-Louise Imbert, professeur de philosophie. L Ecole à l Hôpital a pour objet l organisation d un enseignement auprès des jeunes malades de 5 à 25 ans en complémentarité avec l Education Nationale. Cet enseignement est gratuit, adapté à la demande, au niveau et aux besoins de chaque malade. Les cours individuels sont assurés par des enseignants bénévoles qualifiés. Elle est membre fondateur de la Fédération pour l Enseignement des Malades à Domicile et à l Hôpital (FEMDH). La Fédération et les associations affiliées ont reçu un agrément du Ministère de l Education Nationale (B.O du 14 novembre 1996), agrément qui a été renouvelé en février L Ecole à l Hôpital est membre de l ANAMS (Alliance Nationale des Associations en Milieu de Santé) et adhère au RIFHOP (Réseau Ile-de-France d'hématologie Oncologie Pédiatrique). L Ecole à l Hôpital est signataire de la Charte des Associations de bénévoles à l hôpital SON ORGANISATION Un Conseil d Administration composé de 17 membres, sous la Présidence de Laetitia de GUERRE Un siège, sis 89, rue d Assas Paris qui accueille l équipe de direction et d administration (3 personnes), Sur le terrain à Paris et en Ile-de-France, 23 coordinatrices dont 6 bénévoles. Elles sont garantes du projet de chaque jeune, en lien permanent avec l équipe soignante et les enseignants bénévoles. Une équipe d environ 450 enseignants bénévoles, disposant tous d une qualification reconnue par un diplôme universitaire et bénéficiant d une solide expérience pédagogique. Nos bénévoles ont entre 21 et 75 ans. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 2

4 2. LES IMPLANTATIONS A PARIS Hôpital Necker (15ème)* 2 Hôpital Robert Debré (19ème)* 3 Hôpital Pitié Salpêtrière (13ème)* 4 Hôpital Saint-Louis (10ème) 5 Hôpital Trousseau (12ème)* 6 Hôpital Cochin & Maison des Adolescents (14ème) 7 Hôpital Saint-Antoine (12ème) 8 Hôtel Dieu (4ème) 9 Institut Curie (5ème)* 10 Hôpital des Invalides 11 Hôpital Européen G. Pompidou (15ème) 12 Hôpital Rothschild (12ème) 13 Centre Tarnier (6ème) 14 Hôpital Tenon (20ème) * Hôpitaux dans lesquels l Education Nationale est présente dans certains services RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 3

5 EN ILE-DE-FRANCE Hôpital de Senlis (60) 15 Centre Chirurgical Marie Lannelongue (92) 2 Centre Hospitalier de Meaux (77) 16 Hôpital d'avicenne (93) 3 Hôpital de Fontainebleau (77) 17 Hôpital de Montfermeil (93) 4 Hôpital de Melun (77) 18 Hôpital de Montreuil (93)** 5 Centre Hospitalier de Marne-la-Vallée (77) 19 Hôpital de Bry s/marne (94) 6 Hôpital de Coubert (77) 20 Hôpital du Kremlin Bicêtre (94)* 7 Hôpital Mignot (78) 21 Institut Gustave Roussy (94)* 8 Centre Hospitalier de Poissy (78) 22 Hôpital de Valenton (94) 9 Hôpital Bullion (78) 23 Hôpital de Saint-Maurice (94) 10 Hôpital du Sud Francilien (91)** 24 Hôpital Henri Mondor (94) 11 Hôpital Ambroise Paré (92) 25 Hôpital de Pontoise (95)* 12 Hôpital Beaujon (92) 26 Hôpital de Beaumont s/oise (95) 13 Hôpital Antoine Béclère (92) 27 Hôpital d Argenteuil (95)** 14 Hôpital de Percy (92) * Hôpitaux dans lesquels l Education Nationale est présente dans certains services ** Nouveaux Hôpitaux en RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 4

6 3. LES FAITS MARQUANTS EN Le bilan de cette année scolaire met en perspective 4 éléments essentiels qui doivent être pris en considération par les instances de gouvernance et de direction de l association. 1 Une baisse depuis 3 ans du nombre d élèves rencontrés (-6,1%) et du nombre d élèves suivis (-6,9%) qui s explique par : L augmentation des effectifs de l Education Nationale dans certains hôpitaux (Necker, Trousseau, Robert Debré) Des durées de prise en charge des jeunes de plus en plus courtes dans les hôpitaux pédiatriques et services de pédiatrie Des fermetures de lits dans certains services. 2 Une augmentation du nombre de cours donnés (+ 2,4%) depuis 3 ans qui s explique par : Une attention plus grande portée aux élèves en longs séjours ou en séjours répétés Une augmentation des cours pour les élèves des filières professionnelles Une augmentation significative de nos interventions dans des structures nouvelles accueillant les jeunes pour des pathologies d ordre psychiatrique ou dans le cadre de la «Médecine de l Adolescence» (cf. page 22) 3 L émergence de demandes émanant de structures ou unités qui traitent de «la Médecine de l Adolescence». Si l association met tout en œuvre pour répondre favorablement et qualitativement à ces sollicitations, elle est néanmoins confrontée à un certain nombre de difficultés : La prise en charge, souvent longue de ces jeunes peut être entrecoupée de temps de «rupture» avec l enseignement à cause de la maladie ou à la demande des équipes médicales, ce qui complique le suivi des enseignants Les jeunes pris en charge présentent parfois un fort décalage entre la classe dans laquelle ils devraient être (au vu de leur âge) et leur niveau scolaire réel. Ceci suppose une grande capacité d adaptation de nos enseignants Certains de ces jeunes sont en études supérieures dans des domaines très variés (sciences, économie, droit, gestion, ingénierie, ) pour lesquels nous n avons pas toujours les enseignants ad hoc. 4 Une perte de plus de 15% de notre effectif d enseignants bénévoles qui doit conduire l association à : Mettre en œuvre une communication de recrutement plus efficace pour combler cette perte voire augmenter de façon significative son effectif permettant ainsi de répondre encore plus favorablement aux demandes S interroger sur le profil de ses enseignants pour faire venir des enseignants plus jeunes et des enseignants du supérieur Renforcer ses actions vis à vis des enseignants bénévoles pour favoriser chez eux le sentiment d appartenance à l Association, élément clé de leur fidélité (entretien annuel, mesure de l impact social, proposition de formation, d information ). RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 5

7 4. LES CHIFFRES CLES EN Préambule : pour affiner ce rapport et notre analyse, nous avons comparé notre activité des 3 dernières années. ACTIVITE GENERALE DEPUIS 3 ANS ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NB DE COURS 2011/ / / / / / / / / Le fait marquant de ces trois dernières années est la baisse continue du nombre d élèves rencontrés (- 6,1 % depuis ) et d élèves suivis (-6,9% depuis ). En revanche, le nombre de cours donnés est en augmentation constante depuis : + 2,4% au global. REPARTITION DE L ACTIVITE PAR SECTEUR SECTEURS ELEVES RENCONTRES % ELEVES SUIVIS % COURS % ENSEIGNANTS BENEVOLES Hôpitaux pédiatriques et Service de Pédiatrie ,45% ,64% ,07% 222 Médecine de l'adolescence ,71% ,15% ,20% 187 Hôpitaux d'adultes 21 0,42% 12 0,29% 57 0,28% 11 Domicile 172 3,42% 120 2,92% ,45% 156 TOTAL % % % 576 L enseignement de cette année : la part significative de l activité «Médecine de l Adolescence» : seulement 14 % des élèves suivis mais plus de 36 % des cours donnés cette année. 90,00% 80,00% 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% 10,00% 0,00% ELEVES SUIVIS ET COURS PAR SECTEUR 82,64% 54,07% 36,20% 14,15% 9,45% 0,29% 0,28% 2,92% Pédiatrie Médecine Ado. Hôpitaux d'adultes Domicile Elèves suivis Cours RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 6

8 REPARTITION DES COURS ET DES ELEVES PAR NIVEAU NIVEAU ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NB DE COURS 2011/ / / / / / / / /14 Maternelle Elémentaire Collège Lycée (général et technologique) CAP et Bac Professionnel Supérieur Enseignement spécialisé Français Langue Etrangère Jeunes professionnels Autres TOTAL Cette année encore, ce sont les jeunes collégiens et lycéens qui sont majoritairement suivis (71%) et à qui nos enseignants dispensent près de 80% des cours. A noter, l augmentation significative du nombre de lycéens rencontrés (+ 3,9%) et suivis (+ 8,9%) cette année. Autre fait marquant, la très forte augmentation du nombre de cours dispensés à des jeunes en CAP et Bac Professionnel + 29,5% cette année. Il convient également de noter une baisse significative du nombre d élèves suivis en primaire : - 12,87% (pour rappel, lorsque l Education Nationale est présente dans les hôpitaux, ses enseignants prennent en charge ces jeunes du primaire). REPARTITION DES ELEVES SUIVIS PAR NIVEAU 5,04% 2,79% 2,53% 21,30% 49,74% 18,60% Maternelle Elémentaire Collège Lycée CAP et Bac Pro Sup., Ens. Spé., FLE, Autres REPARTITION DES COURS PAR NIVEAU 35,03% 0,67% 5,66% 4,28% 9,60% 44,76% Maternelle Elémentaire Collège Lycée CAP et Bac Pro Sup., Ens. Spé., FLE, Autres RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 7

9 PART DE L'ACTIVITE AU SEIN DES HOPITAUX DE L'AP-HP ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NOMBRE DE COURS AP-HP HORS AP-HP Total *ces chiffres ne tiennent pas compte de l activité de l Ecole à l Hôpital au domicile des jeunes. Près de 40% des élèves suivis sont hospitalisés au sein d un établissement de l AP-HP. En revanches, ces jeunes reçoivent plus de 52% des cours. Certes, le nombre de jeunes suivis accuse une baisse de 13,4% mais, le nombre de cours donnés est en augmentation cette année : + 3,15%. Même si le nombre de cours donnés à un jeune est très variable en fonction de la durée de sa prise en charge, un jeune hospitalisé en dans un établissement de l AP-HP aura reçu, en moyenne, plus de 4,6 cours. ELEVES SUIVIS COURS DONNES 75,00% 60,00% 54,00% 52,00% 52,24% 45,00% 39,32% 50,00% 30,00% 60,68% 48,00% 15,00% 46,00% 47,76% 0,00% HOPITAUX AP-HP HORS AP-HP 44,00% HOPITAUX AP-HP HORS AP-HP RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 8

10 5 LES EXAMENS Comme chaque année, nos enseignants bénévoles accompagnent des jeunes à des épreuves type Brevet, Bac, BTS En nous avons préparé : 18 collégiens au brevet 26 lycéens aux épreuves anticipées du Baccalauréat en 1 ère 35 lycéens au Bac, principalement en filière générale mais également deux Bac professionnel 3 élèves au BTS 1 élève au CAP 2 élèves en licence (cinéma et optique) 1 étudiant à l ISTEC (Institut Supérieur des Sciences Techniques et Economie Commerciales) qui soutenait son mémoire, soit au total 86 jeunes. Ces jeunes peuvent être suivis et préparés pendant une année scolaire complète ou pendant quelques semaines avant les échéances. Dans les hôpitaux, comme à domicile, nous travaillons en étroite collaboration avec les représentants de l Education Nationale pour organiser un emploi du temps «sur mesure» pour chaque élève. En fonction de l état du jeune et de sa pathologie et en accord avec les équipes médicales, certains jeunes passent les épreuves en deux temps : une partie en juin et une partie en septembre. Chaque année nous sommes heureux de compter bon nombre de bacheliers, certains avec mention. A ce jour, nous n avons pas tous les résultats car beaucoup d élèves passent des épreuves en septembre. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 9

11 6 LES ENSEIGNANTS BENEVOLES Le principe de recrutement d un enseignant bénévole est le suivant : 1/ Une réunion d information générale au cours de laquelle 2 coordinatrices présentent : - la mission et l historique de l association, - son organisation, notamment le lien entre la coordinatrice et l enseignant bénévole, - les différents secteurs d intervention : hôpital, domicile - les valeurs du bénévolat et l engagement attendu du bénévole, - la déontologie de l association (respect du secret médical, pas de prosélytisme, ) A l issue de cette réunion, l intéressé dispose d un temps de réflexion. S il souhaite poursuivre sa démarche, il est reçu en entretien individuel par une coordinatrice formée à ce type d entretien. 2/ Cet entretien individuel vise à : - connaître ses motivations - découvrir son parcours professionnel - préciser son rapport à la maladie et à l univers médical - établir la/les matières qu il peut enseigner, ainsi que les niveaux scolaires qu il peut prendre en charge - préciser ses attentes (intervention à l hôpital ou au domicile). Si la personne confirme son intérêt et sa volonté de s engager bénévolement, son dossier est alors transmis aux coordinatrices qui ont un besoin d enseignant répondant à ses qualifications et spécificités Réunions d'information Nombre d'inscrits Nombre de présents Nombre d'entretiens individuels Nouveaux bénévoles En , 20 réunions d information ont permis d intégrer 68 nouveaux enseignants bénévoles. L association demande à ses enseignants bénévoles de s engager à être présents une demi-journée par semaine et ce, tout au long de l année scolaire en cours. A chaque fin d année scolaire, ils sont libres de renouveler ou non leur engagement pour l année suivante. C est parfois l occasion pour eux de demander à assurer leur mission dans un autre hôpital ou bien de suivre des jeunes à domicile. Il convient de préciser que nos enseignants bénévoles peuvent intervenir dans deux lieux différents et plus (Hôpital & domicile, par exemple). Ce fût le cas pour 30% de l effectif cette année. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 10

12 Le fait marquant de cette année : l association a perdu 15,6 % de son effectif d enseignants bénévoles. Ceci correspond à une évolution générale du monde associatif. Il est important de souligner que cette baisse de l effectif n a pas eu d effet significatif sur le nombre de cours donnés. Pour rappel, le nombre de cours a augmenté de 1,6% cette année. Il faut donc saluer ici, l implication et la disponibilité de nos enseignants. En , l équipe comptait 442 enseignants bénévoles contre 524 l an passé. La répartition Hommes-Femmes est la suivante : - 85,5% sont des femmes - 14,5% sont des hommes. L association peut se féliciter d avoir une équipe d enseignants bénévoles très fidèles, certains s étant engagés il y a plus de 10 ans. A noter que la durée moyenne de l engagement est de 4 à 5 ans. REPARTITION PAR TRANCHE D'AGE 2% 55% 15% 28% 21/27 ans 28/60 ans 61/70 ans 71 ans et plus A noter que 30% des enseignants ont moins de 60 ans, certains étant même en activité. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 11

13 LES ENTRETIENS INDIVIDUELS Cette année, pour la première fois, l association a proposé aux enseignants bénévoles un entretien annuel individuel. Cet entretien, mené par la coordinatrice référente, a été un moment privilégié d échanges, de partages et d écoute avec l enseignant, en dehors du cadre de fonctionnement habituel. L objectif était d évoquer avec lui son engagement bénévole à l Ecole à l Hôpital, de s assurer de l adéquation de son «affectation» avec ses souhaits, de mesurer son sentiment d appartenance et de recueillir ses éventuelles suggestions. L enseignant bénévole étant partie prenante de l association, son appréciation et le regard qu il porte sur l Ecole à l Hôpital sont riches d enseignements et doivent être pris en compte dans la mesure du possible. L approche strictement «qualitative» a été retenue lors de la conception du guide d entretien. Il n y a donc pas d indicateur chiffré cette année. Pour cette première année, 42 entretiens individuels ont été menés. De l avis général, ce temps d échange a été pleinement apprécié tant par les enseignants que par les coordinatrices. L analyse des 42 guides d entretien permet de mettre en avant les points suivants : La communication entre l association et les bénévoles est satisfaisante. En revanche, certains estiment que l association doit améliorer sa communication externe pour une meilleure visibilité. Dans l ensemble, le sentiment d appartenance est fort et les enseignants se sentent «partie prenante» (entendus, aidés, épaulés, respectés, ) Les enseignants sont unanimes sur le professionnalisme, l implication et l engagement de leur coordinatrice. Sans ce lien de proximité et d écoute, leur mission bénévole serait plus compliquée et difficile. Ils saluent également la qualité de l organisation mise en place par celles-ci. Ils ont vraiment le sentiment de faire partie d une «équipe» et apprécient les moments de rencontres proposés périodiquement dans l année par les coordinatrices (repas de fin d année, réunion d information) et par le siège (les Entretiens). En règle générale, ils se sentent à leur place et utiles dans leur mission auprès des jeunes malades. Ils sont nombreux à apprécier les réunions d informations «médicales» proposées par les hôpitaux et souhaiteraient même qu il y en ait davantage. Certains enseignants ont proposé des idées de thèmes pour les prochains Entretiens de l Ecole à l Hôpital : o Psychiatrie et Numérique o Au-delà du savoir, transmettre le Désir o Un autre regard sur le malade : La maladie est-elle anormale? o Pédagogie et numérique : comment enseigner avec le numérique? o La maladie et la mort o Jeux éducatifs et nouvelles technologies o Comment faire face à la détresse psychologique qui touche des élèves de plus en plus jeunes. Enfin, nombreux sont les enseignants qui souhaitent utiliser les nouveaux outils numériques. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 12

14 7 LES FORMATIONS Tout au long de l année, l Association propose des formations, journées d information à ses collaborateurs comme à l ensemble de ses enseignants bénévoles. POUR TOUS Le 6 février 2014 «Les Entretiens» de l Ecole à l Hôpital ont rassemblé plus de 200 personnes, salariées, bénévoles, partenaires, représentants de l Education Nationale comme des équipes médicales et membres du Conseil d Administration. Cette année, le thème «Le Refus» a fait l objet d interventions du philosophe Vincent Cespédès, du Pédopsychiatre et Psychanalyste Patrice Huerre et de Gilbert Longhi Doyen de la Faculté d Education et de l institut supérieur de pédagogie de Paris de l Université Catholique de la rue d Assas. Le 26 mars 2014, «La journée des enseignants du RIFHOP» proposait une session d information sur le thème «Innovations dans les traitements et les pratiques pédagogiques». Le 29 avril 2014, tenue de l Assemblée Générale. POUR LES COORDINATRICES DE L ASSOCIATION Le 2 octobre 2013, colloque à l UNESCO du collectif «Ecole changer de Cap» sur le thème «Education et humanisation, l école à l ère de la mondialisation». Les 5 et 6 décembre 2013, congrès Parole d Enfants : le sujet était «Pertes, ruptures et abandons». POUR LES ENSEIGNANTS BENEVOLES DU SECTEUR DOMICILE Cette année, deux temps de rencontres/échanges ont été proposés aux enseignants bénévoles : Au deuxième trimestre, en traitant le thème «Comment utiliser au mieux les nouveaux outils de communication». Ces réunions ont été animées par les coordinatrices. Au troisième trimestre, c est le thème «Chances et risques du cours individuel» qui a été abordé et animé par Laure Houllier, psychologue. POUR LES EQUIPES LOCALES A Meaux le 27 septembre, la 6 ème journée d étude du Nord Seine et Marne abordait le thème «Adolescence et violences sexuelles». Au Centre Scolaire Tarnier, 2 réunions sur le thème du «Refus» ont été organisées en novembre A la Pitié Salpêtrière, le Docteur Julie Brunelle a animé dans le courant du 2 ème trimestre, une réunion sur le thème «Quelles incidences ont les médicaments sur la scolarité». A Saint-Louis les 10 février et 5 mars 2014, le Professeur Nicolas Boissel, responsable de l unité fonctionnelle d Hématologie Adolescents et Jeunes Adultes (AJA) a présenté les pathologies traitées dans son service, leurs prises en charge et leurs incidences sur les jeunes. Au Kremlin Bicêtre le 8 avril 2014, les enseignants ont pu participer à une conférence animée par le Docteur Roseline d Oiron sur le thème «l Enfant et l adolescent atteint de maladie hémorragique constitutionnelle, incidence dans sa vie et dans sa scolarité». A l Hôpital de Pontoise le 4 avril 2014, le Docteur Hélène Sarda, chef du service de pédiatrie a proposé aux enseignants une formation sur le diabète. L équipe d enseignants intervenant à l hôpital de Beaumont s/oise était également conviée. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 13

15 8 LA COMMUNICATION Comme chaque année, l association participe à des forums des Associations. C est l occasion de faire connaître notre association, sa mission et de communiquer sur nos besoins en bénévoles. Cette année encore, 3 numéros de notre journal interne «Tu Reviens Demain» ont été édités et diffusés. Dès la rentrée de septembre 2013, l association s est dotée de clés USB marquées «Ecole à l Hôpital» contenant le rapport d activité générale 2012/2013, une présentation PowerPoint de l association et six petits films de témoignages, chacun d une durée de 3 à 5 minutes. Cette clé a été remise à chaque coordinatrice et par la suite, elle sera destinée aux partenaires potentiels. Le 5 octobre 2013, à la demande du Docteur Guillaume-Szitrom (centre de référence des Maladies Auto- Inflammatoires de l enfant), l association a organisé et animé avec une enseignante de l Education Nationale un atelier Education Thérapeutique du Patient «Bien à l école avec mon AJI Arthrite Juvénile Idiopathique». A la suite de cet atelier, un quadriptique a été élaboré à destination des établissements scolaires qui sera disponible à la rentrée Le 7 novembre 2013, l équipe médicale de l Unité Guy Mocquet de l Hôtel Dieu accompagnée de la coordinatrice de l Ecole à l Hôpital, est venue témoigner auprès de tous(tes) les infirmier(e)s scolaires de l Inspection Académique de Paris (140 présents) et les inciter à identifier les jeunes susceptibles d une prise en charge médicale. Le 19 mai 2014, l émission «Partage» sur Radio Protestante a consacré son émission à l Ecole à l Hôpital. La directrice de l association, la coordinatrice de l Hôpital Necker et une enseignante bénévole ont présenté l association et témoigné de leur engagement. Le 24 mai 2014, reportage diffusé sur France Bleue visant à informer sur l organisation, par le service de pédiatrie de l Hôpital de Beaumont s/oise, de stages d éducation thérapeutique destinés aux enfants en surpoids. Ces stages d une semaine prévoient quotidiennement un temps destiné à l enseignement assuré par les enseignants de l Ecole à l Hôpital. Le 4 juin 2014, parution d un reportage sur l Ecole à l Hôpital dans l Echo le Régional (Val d Oise). Le 4 juin 2014, parution d une annonce de recrutement de bénévoles dans Télérama. Le 14 juin 2014, l association a participé à la Journée Portes Ouvertes de l AP-HP organisée par son Directeur Général, Monsieur Martin Hirsch. Cette journée a été l occasion de faire connaître l association et sa mission au grand public à Necker, au Kremlin Bicêtre et à Saint-Louis. En juin 2014, le journal interne «Fréquence 16» de l hôpital de Bry s/marne a consacré un article à l Ecole à l Hôpital, son organisation et ses bénévoles. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 14

16 9 LES EVENEMENTS DE COLLECTE Cette année encore, la vie de l association a été rythmée par différents évènements de collecte. Ces évènements sont à chaque fois l occasion de présenter et faire connaître l association, de faire part de nos besoins en enseignants bénévoles, de partager avec le plus grand nombre des moments de convivialité et d échange et bien sûr de collecter des fonds qui permettent de poursuivre notre mission. 4 octobre 2014 Concession BMW de Meaux. Le directeur de la nouvelle concession automobile BMW à Meaux a organisé un grand évènement à l occasion de son ouverture. Une tombola organisée au profit de l Ecole à l Hôpital a permis de collecter mars 2014 Institut Notre Dame de la Providence. C est sur l impulsion de Madame Isabelle Jacquard, ancienne enseignante bénévole à l Ecole à l Hôpital, que Monsieur Cahour, chef d établissement de l Institut Notre Dame de la Providence à Vincennes, a souhaité que l évènement annuel de collecte de l établissement soit, en 2014, au profit de l Ecole à l Hôpital. Début mars, 9 coordinatrices accompagnées de la directrice ont été présenter l association et sa mission à l ensemble des collégiens et lycéens de l établissement (33 classes). A chaque classe, son lot de questions, de remarques et d intérêt de la part des élèves mais également des enseignants, qui pour certains viendront peut-être grossir les rangs de notre équipe de bénévoles. Le 27 mars dernier, c est tous ensemble, élèves, équipes pédagogiques, représentantes de l association que nous avons chaussé les baskets pour relever les défis sportifs. Les collégiens se sont surpassés pour cumuler les tours de stade, quant aux lycéens, ils se sont mesurés lors d un tournoi de foot arbitré par Monsieur Cahour qui arborait fièrement son tee-shirt l Ecole à l Hôpital. Le soleil et une température clémente ont encouragé au dépassement de soi Ce fût une très belle journée de convivialité, de chaleur, de générosité et de rires, le tout au profit de l association et des jeunes hospitalisés. Cet évènement a permis de collecter pour l association. 4 mai 2014 : Opération «Vide Grenier» à Saint-Germain en Laye A l initiative de Guillaume Jeanne, chef de la Troupe Scout de Saint-Germain en Laye et Marly-le-Roi, les 30 louveteaux âgés de 7 à 12 ans ont souhaité organiser une opération de collecte pour l Ecole à l Hôpital. Ce sont les enfants qui sont à l origine du projet et se sont chargés, de bout en bout, de l organisation. Le dimanche 4 mai s est donc tenu le videgrenier qui a permis de collecter plus de RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 15

17 5 et 6 juin 2014 : «Le Roi se Meurt» d Eugène Ionesco La troupe théâtrale «A la dernière minute» a souhaité jouer ce magnifique texte d Eugène Ionesco au profit de l Ecole à l Hôpital. Deux représentations de qualité portées par de jeunes comédiens talentueux au Théâtre Saint Léon (Paris 15) ont permis de collecter juin 2014 : Les 10 KM l Equipe de Paris Cette année, pour la première fois, l association s est engagée dans cette course avec 10 coureurs qui ont accepté de relever ce défi sportif et solidaire. Ils portaient hauts les couleurs de l Ecole à l Hôpital et ont donné le maximum pour tenir la distance. Au km 6, devant l Hôpital Trousseau, une équipe de supporters de l Ecole à l Hôpital a donné de la voix pour les encourager. Nos 10 coureurs ont collecté plus de pour l association. 17 juin 2014 : Projection en avant-première du film «Les vacances du Petit Nicolas» A l initiative de Laetitia de Guerre, Présidente de l Association, une projection en avant-première du film «Les Vacances du petit Nicolas» a rassemblé plus de 200 personnes au cinéma l Arlequin (Paris 6). Moment de détente et de légèreté qui sonnait presque la fin de l année scolaire. Cette manifestation a permis de collecter pour l association. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 16

18 22 juin 2014 : La Course des Héros Pour la 3 ème année consécutive, l Ecole à l Hôpital a participé à cet évènement solidaire qu est la Course des Héros. Pour la première fois, l association accueillait les participants et leur famille autour d un stand visible de loin Cette année, ce sont 40 coureurs qui se sont alignés sur la ligne de départ. Tous ont couru ou marché ces 6 km au travers du Parc de Saint-Cloud, dans une ambiance estivale et très festive. Toutes les parties prenantes de l association étaient représentées : membres du Conseil d Administration, enseignants bénévoles, coordinatrices, partenaires, A l issue de la course, chacun a pu pique-niquer et partager ses impressions. Une fois de plus, ce fût une formidable aventure humaine riche de partage et de convivialité. Cette année, le montant collecté par nos 40 Héros a été de plus de RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 17

19 10 LES PERSPECTIVES & OBJECTIFS MISSION DE L ASSOCIATION Au regard de l évolution du secteur médical hospitalier, des demandes qui nous sont formulées et des enjeux pédagogiques à venir, l association va prendre le temps de réfléchir à son «projet associatif» pour les 5 années à venir. Un grand nombre de sujets seront étudiés pour doter les instances de gouvernance et de direction d une vision claire. Ce temps de réflexion est un préalable nécessaire à toutes réflexions ou prises de décision à venir en matière de communication, de politique de recrutement (bénévoles et salariés), d orientations pédagogiques ou bien encore d organisation. MESURE DE L IMPACT SOCIAL DE NOTRE MISSION Depuis plus de 85 ans, fidèle à la «vision» de sa fondatrice, Marie-Louise Imbert, l association n a eu de cesse d anticiper, d innover et de s adapter. Convaincus que notre mission d enseignement contribue à l intérêt général, il nous paraît important aujourd hui de tenter de mesurer l impact de notre action, plus particulièrement auprès de nos principaux bénéficiaires et parties prenantes : - les élèves - les enseignants - les équipes médicales. Au travers de questionnaires, nous allons recueillir tout au long de l année, leurs avis et témoignages qui viendront enrichir, préciser et sans doute «ouvrir» notre réflexion pour demain. PROJET NUMERIQUE L Education Nationale ayant ouvert la voie du «Numérique», L Ecole à l Hôpital se doit aujourd hui de rester en phase avec les grandes orientations pédagogiques, notamment en envisageant le recours aux outils numérique mais tout en gardant le principe du cours particulier en face à face. Un comité de pilotage constitué en mai 2014 a entamé la réflexion avec pour ambition de proposer et mettre en œuvre un projet cohérent pour les enseignants et les élèves. Notre objectif est de déployer ce projet et ces outils à l ensemble de nos enseignants à la rentrée de septembre ENSEIGNANTS BENEVOLES Tout mettre en œuvre pour assurer leur recrutement et les encourager dans la découverte de nouveaux oints de programme (éducation à la consommation,..) LIENS AVEC LES PARTENAIRES DE L ASSOCIATION Renforcer et optimiser nos contacts avec les représentants de l Education Nationale (centres scolaires, SAPAD, Inspection d Académie) et de l Assistance Publique Hôpitaux de Paris. Poursuivre et renforcer notre stratégie de recherche de fonds pour assurer un financement pérenne de notre mission. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 18

20 11 LES PARTENAIRES FINANCIERS Le financement de l Ecole à l Hôpital repose à la fois sur des fonds publics et privés. AP-HP : 53 % COLLECTIVITES LOCALES ET TERRITORIALES : 7 % FONDATIONS, ENTREPRISES ET ORGANISMES PRIVES : 27% DONS ISSUS DE LA GENEROSITE : 13 % En , nous avons également bénéficié d un mécénat de compétences : RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 19

21 12. LA REPARTITION DES INTERVENTIONS PAR SECTEUR DANS LES HOPITAUX PEDIATRIQUES ET DANS LES SERVICES DE PEDIATRIE ACTIVITE GENERALE HOPITAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NOMBRE DE COURS BENEVOLES AP-HP Trousseau Paris (12) Hôpital Necker Paris (15) Hôpital Robert Debré Paris (19) Ambroise Paré Boulogne Billancourt (92) Bicêtre Le Kremlin Bicêtre (94) Total HORS AP-HP Hôpital de Senlis (60) Centre Hospitalier de Meaux (77) Hôpital de Fontainebleau (77) nc nc Hôpital de Melun (77) nc Centre Hospitalier de Marne la Vallée (77) nc Hôpital Mignot de Versailles (78) Hôpital Bullion (78) Hôpital de Poissy (78) Hôpital de Bry sur Marne (94) Hôpital de Pontoise (95) Hôpital de Beaumont s/oise (95) Total TOTAL GENERAL En , dans tous les hôpitaux où nous intervenons, la tendance est à la baisse tant du nombre de jeunes rencontrés et suivis que du nombre de cours donnés. Cette tendance s explique par : - l augmentation des effectifs et du quota d heures de l Education Nationale dans certains hôpitaux (Necker, Trousseau), - une baisse d activité liée à des travaux ayant entrainé la fermeture provisoire de lits (Hôpital de Bry s/marne) - une diminution du temps moyen d hospitalisation. A noter toutefois, l augmentation de 12% du nombre de cours donné à Robert Debré alors que le nombre d élèves suivis est en baisse 18%. Ceci s explique sans doute par l attention portée aux jeunes en longs séjours ainsi qu aux séjours itératifs. Deux hôpitaux, voient leur activité augmenter : Pontoise + 6,4% du nombre de jeunes suivis et 20% de cours en plus et Beaumont s/oise + 12,8% d élèves suivis et + 22% de cours. Pour Pontoise l association a été fortement sollicitée auprès des adolescents et dans l unité de psychopathologie de l adolescent. Quant à Beaumont s/oise, l augmentation du nombre de cours est liée au renforcement de l équipe des bénévoles et la mise en place d un nouvel emploi du temps en accord avec les équipes médicales. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 20

22 REPARTITION DES COURS ET DES ELEVES PAR NIVEAU NIVEAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NB DE COURS Maternelle Elémentaire Collège Lycée (général et technologique) CAP et Bac Professionnel Supérieur Enseignement spécialisé Français Langue Etrangère Jeunes professionnels Autres TOTAL A noter la légère baisse du nombre de cours donné aux collégiens - 4,7% et aux lycéens - 7 %. NOMBRE D ELEVES PAR DUREE DE SUIVI HOPITAUX < 1 MOIS > 1 MOIS AP-HP Trousseau Paris (12) Hôpital Necker Paris (15) Hôpital Robert Debré Paris (19) Ambroise Paré Boulogne Billancourt (92) Bicêtre Le Kremlin Bicêtre (94) Total HORS AP-HP Hôpital de Senlis (60) Centre Hospitalier de Meaux (77) Hôpital de Fontainebleau (77) Hôpital de Melun (77) Centre Hospitalier de Marne la Vallée (77) Hôpital Mignot de Versailles (78) Hôpital Bullion (78) Hôpital de Poissy (78) Hôpital de Bry sur Marne (94) Hôpital de Pontoise (95) Hôpital de Beaumont s/oise (95) Total TOTAL GENERAL En moyenne, la durée de suivi des jeunes est à 91% inférieure à 1 mois. La durée d hospitalisation étant de plus en plus courte, certains jeunes reviennent régulièrement pour de courts séjours (cures, ) RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 21

23 «MEDECINE DE L ADOLESCENCE» DANS LES SERVICES ADOLESCENTS JEUNES ADULTES (AJA) ET LES UNITES ADOLESCENTS Préambule L an passé, nous avions intégré à l activité «Hôpitaux dits d Adultes» nos interventions dans les services AJA, les unités adolescents ainsi que l activité du centre scolaire Tarnier. Cette année, forts de l augmentation de nos interventions dans ces services (Argenteuil, Montreuil, Sud Francilien), tant en termes de lieux que de nombre de jeunes suivis, nous souhaitons mettre en avant cette «activité» qui suit l évolution du milieu médical hospitalier, notamment avec l émergence de la «Médecine de l Adolescence». Cette Médecine de l Adolescence, peut se définir de la façon suivante : «La médecine de l adolescence est la surspécialité de la pédiatrie qui s intéresse à l évaluation, au diagnostic et à la prise en charge des problèmes de santé complexes dans le contexte des phénomènes biopsychosociaux et développementaux majeurs qui caractérisent l adolescence. Cette surspécialité contribue à l élaboration et à la diffusion de nouvelles connaissances et à l instauration de pratiques exemplaires dans le domaine des soins aux adolescents». (Source : Faculté de Médecine Université de Montréal Etudes médicales postdoctorale programme Médecine de l Adolescence). A l hôpital Robert Debré, elle est présentée comme suit : L adolescence est la période où l on n est plus un enfant et pas encore un adulte. Les enjeux de cette période de transformations physiques et psychiques intenses sont multiples : se trouver, apprendre à se connaître soi-même, en relation avec le groupe des autres de son âge, s autonomiser, notamment par rapport aux parents, et construire son insertion sociale (scolaire puis professionnelle), se sexualiser, et acquérir la capacité de reproduction La plupart des adolescents et leurs parents trouvent leur chemin sans trop de difficultés, tandis que d autres vont accumuler les échecs. L adolescence est en effet une période ouverte sur tous les possibles, mais les frontières entre découverte, apprentissages et prises de risques sont bien fragiles. La maladie chronique et le handicap sont des situations qui accroissent sensiblement cette fragilité : la prise des traitements au long cours, le regard des autres, la dépendance, comment l accepter à cet âge? L équipe de médecine de l adolescent est là pour aider les adolescents à prendre soin d eux-mêmes, et si besoin pour aider les parents à trouver la bonne distance. (Source : site internet Hôpital Robert Debré Paris 19) Dans ces services ou unités, les jeunes sont pris en charge souvent pour des pathologies d ordre psychiatrique, mais pas seulement. De plus, l approche thérapeutique est une «approche médicale élargie» qui intègre les aspects physiques, psychiques, familiaux, scolaires et sociaux des situations traitées. Et force est de constater que les chefs de service estiment de plus en plus que l enseignement est une des propositions bénéfiques dans le parcours de soins proposé à ces jeunes. Toutefois, les particularités liées à ces services nous amènent à nous interroger sur notre rôle dans ces services, l organisation qu il convient de mettre en place et le profil des enseignants bénévoles qui sont requis : certains de ces jeunes sont en études supérieures, parfois dans des domaines spécifiques pour lesquels nous n avons peu ou pas d enseignants bénévoles à l inverse, certains de ces jeunes ont très tôt et longtemps quitté l école et la reprise de l enseignement suppose une forte adaptation des enseignants par rapport aux acquis des jeunes. ces jeunes sont suivis longtemps mais avec parfois des temps de «rupture» (semaine hachée avec 2 jours à la maison et 3 jours à l hôpital, ou arrêt de l enseignement à la demande des médecins) ce qui complique le suivi de la prise en charge scolaire. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 22

24 ACTIVITE GENERALE HOPITAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NOMBRE DE COURS BENEVOLES AP-HP Hôtel Dieu Paris (4) MDA - Cochin Paris (6) Saint Louis Paris (10) Pitié-Salpêtrière (13) Total HORS AP-HP Institut Curie Paris (5) Centre Scolaire Tarnier (6) Hôpital Sud Francilien (91) Hôpital de Montreuil (93) Institut Gustave Roussy (94) Hôpital d'argenteuil (95) Total TOTAL GENERAL Fait marquant : l augmentation du nombre de jeunes suivis +27 % ainsi que l augmentation du nombre de cours donnés + 10,2% (qui s explique en partie par nos interventions dans 3 nouveaux lieux cette année). A noter également que les jeunes suivis dans ces services ont, en moyenne, 12 cours. REPARTITION DES COURS ET DES ELEVES PAR NIVEAU NIVEAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NB DE COURS 2012/ / / / / /14 Maternelle Elémentaire Collège Lycée (général et technologique) CAP et Bac Professionnel Supérieur Enseignement spécialisé Français Langue Etrangère Autres TOTAL Assez logiquement, nous intervenons principalement auprès de collégiens et lycéens. A noter toutefois la part du supérieur et de l enseignement spécialisé : 6,2 % des cours. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 23

25 NOMBRE D ELEVES PAR DUREE DE SUIVI HOPITAUX < 1 MOIS > 1 MOIS 2012/ / / /14 AP-HP Hôtel Dieu Paris (4) MDA - Cochin Paris (6) Saint Louis Paris (10) Pitié-Salpêtrière Paris (13) Total HORS AP-HP Institut Curie Paris (5) Centre Scolaire Tarnier (6) Hôpital Sud Francilien (91) NC 67 NC 5 Hôpital de Montreuil (93) NC 21 NC 8 Institut Gustave Roussy (94) Hôpital d'argenteuil (95) NC 15 NC 10 Total TOTAL Comme évoqué dans le préambule, 43 % des jeunes sont suivis plus d un mois. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 24

26 DANS LES HOPITAUX DITS «D ADULTES» ACTIVITE GENERALE HOPITAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NOMBRE DE COURS BENEVOLES AP-HP Hôpital Cochin Paris (5) Rothschild Paris (12) Saint Antoine Paris (12) HEGP Paris (15) Hôpital Robert Debré Paris (19) Hôpital Tenon Paris (20) Hôpital Beaujon (92) Hôpital Corentin Celton (92) Hôpital Henri Mondor (94) Total HORS AP-HP ADAPT Paris (9) Hôpital des Quinze Vingt Hôpital Percy de Clamart (92) Centre chirurgical Lannelongue (92) Hôpital de Montfermeil (93) Hôpital de Valenton (94) Hôpital de Saint Maurice (94) Total TOTAL GENERAL Cette année, l activité accuse une baisse sensible, en cause : - des demandes très ponctuelles et dispersées, - des temps d hospitalisation de plus en plus courts qui imposent une réactivité qu il nous est difficile d assurer n étant pas «sur place» - la pénurie d enseignants bénévoles enregistrée cette année. REPARTITION DES COURS ET DES ELEVES PAR NIVEAU NIVEAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NB DE COURS Maternelle Elémentaire Collège Lycée (général et technologique) CAP et Bac Professionnel Supérieur Enseignement spécialisé Français Langue Etrangère Jeunes professionnels Autres TOTAL RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 25

27 A DOMICILE ACTIVITE GENERALE DEPARTEMENTS ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NOMBRE DE COURS BENEVOLES Paris (75) Seine et Marne (77) Yvelines (78) Essonne (91) Hauts de Seine (92) Seine Saint Denis (93) Val de Marne (94) Val d'oise (95) Oise (60) TOTAL Après une baisse continue pendant 10 ans, l activité semble repartir sensiblement à la hausse avec + 8,8% d élèves rencontrés et 10,6% de cours donnés. Faute d enseignants en nombre suffisant, plus de 50 demandes n ont pu être honorées principalement en Seine et Marne, dans le Val d Oise et l Essonne. REPARTITION DES COURS ET DES ELEVES PAR NIVEAU NIVEAUX ELEVES RENCONTRES ELEVES SUIVIS NB DE COURS 2012/ / / / / /14 Maternelle Elémentaire Collège Lycée (général et technologique) CAP et Bac Professionnel Supérieur Enseignement spécialisé Français Langue Etrangère Jeunes professionnels Autres TOTAL % des élèves suivis sont des collégiens et des lycéens qui suivent près des 68% des cours. Notons que 5,5% des cours ont été donné à des élèves du supérieur. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 26

28 NOMBRE D ELEVES PAR DUREE DE SUIVI DEPARTEMENTS < 1 MOIS 1 TRIMESTRE 2 TRIMESTRES ANNEE 2012/ / / / / / / /14 Paris (75) Seine et Marne (77) Yvelines (78) Essonne (91) Hauts de Seine (92) Seine Saint Denis (93) Val de Marne (94) Val d'oise (95) Oise (60) TOTAL Comme chaque année, plus de 79% des jeunes sont suivis pendant 1 trimestre et plus. RAPPORT D ACTIVITE L ECOLE A L HOPITAL Page 27

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