Miroirs sphériques Dioptres sphériques. 1 Miroirs sphériques. 1.1 Introduction : focaliser la lumière. 1.2 Miroir concaves faisceau parallèle

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Miroirs sphériques Dioptres sphériques. 1 Miroirs sphériques. 1.1 Introduction : focaliser la lumière. 1.2 Miroir concaves faisceau parallèle"

Transcription

1 Mrors spérques Doptres spérques Nous allons mantenant aborder des systèmes optques un peu plus complexes, couramment utlsés pour produre des mages. Nous allons commencer par étuder un mror spérque de façon rgoureuse, sans fare d approxmaton, mas assez rapdement nous serons amenés à restrendre les rayons ncdents à ceux possédant certanes caractérstques. Nous défnrons alors les condtons de Gauss et nous nous placerons dans le cadre de l optque paraxale (nous défnrons ces termes plus lon). Mrors spérques. Introducton : focalser la lumère Nous avons mentonné plus aut que dans les dspostfs focalsants, un ensemble de mrors plans peut être remplacé par un mror courbe. La forme optmale pour focalser des rayons parallèles en un pont est la parabole (c est la forme des antennes qu permettent de capter les sgnaux TV éms par les satelltes). Toutefos, l est beaucoup plus smple en pratque, et mons onéreux, de fabrquer des mrors spérques, qu permettent fnalement d arrver au même résultat, comme nous allons le vor dans ce captre. Un mror spérque est une surface réflécssante consttuée d une porton de spère. On en rencontre deux types, les mrors concaves pour lesquels la réflexon a leu sur l ntéreur de la spère, et les mrors convexes pour lesquels la réflexon a leu sur l extéreur de la spère. es mrors présentent un ntérêt partculer, car la spère est une surface relatvement facle à usner avec précson.. Mror concaves fasceau parallèle On consdère un mror spérque de centre et de rayon R, et on consdère pour commencer un ensemble de rayons ncdents parallèles. La fgure suvante ndque la marce d un de ces rayons. Par symétre, tous les rayons ncdents correspondant à la même dstance (ls sont réparts sur un cylndre) sont réflécs vers le même pont sur l axe. alculons la poston de ce pont. La normale au mror est confondue avec le rayon, c est une proprété des spères. D après la lo de la réflexon, les angles M et M sont égaux, s ben que On veut c parler du rayon de la spère. Pour évter toute confuson entre la noton de rayon lumneux et celle de rayon de la spère, nous utlserons plutôt le terme «normale» dans le second cas. 3

2 4 aptre. Mrors spérques Doptres spérques Fg..: Un exemple de réflexon sur un mror spérque. N M Fg..: Marce d un rayon ncdent, avant et après réflexon sur un mror spérque convexe. le trangle M est socèle en. Dans le trangle B, on vot mmédatement que = R cos La poston du pont dépend donc des rayons consdérés, de l angle, ou de façon équvalente de la auteur. Le système ne fat pas converger l ensemble de rayons parallèles vers un pont ben défn. Il n est pas stgmatque. ependant, lorsque l on consdère des rayons lumneux proces de l axe optque, l angle est fable et on a cos sot R De manère plus précse, on peut utlser les développements lmtés et écrre, lorsque est pett, On obtent alors, à l ordre en, cos x x! + x4 4!... R ( /) = R / R + R 4 Lorsque l on consdère des rayons lumneux proces de l axe optque, l angle est fable et les rayons parallèles convergent tous vers un unque pont F, qu consttue par défnton le foyer mage F = R

3 . Mrors spérques 5 F Fg..3: marce des rayons réflécs et leurs prolongements (à drote, zoom sur les rayons d nclnason relatvement fable). Mettre une poto de caustque vue dans une tasse de café ou une allance dorée + même fgure pour le mror convexe. On peut donc utlser un mror spérque pour concentrer la lumère d un fasceau parallèle en un pont, pourvu qu on ne l utlse qu au vosnage de l axe optque. On peut pour cela utlser des dapragmes, qu permettent de bloquer les rayons ndésrables. De la même façon, en utlsant la lo du retour nverse, on trouve que les rayons ssus du pont F sont réflécs en un fasceau parallèle par le mror. ette proprété défnt le foyer objet, qu on note généralement F. Dans le cas du mror spérque convexe, le foyer objet et le foyer mage sont confondus, F = F..3 Mror concave fasceau parallèle nclné onsdérons mantenant un fasceau consttué de rayons venant de deux drectons dfférentes (on étendra faclement les résultats à un cas encore plus général). On rajoute pour cela aux rayons précédents d autres rayons, nclnés d un angle α. En traçant un nouvel axe, nclné d un angle α par rapport au premer et passant par, on se retrouve exactement dans la stuaton précédente, et l on sat que ces rayons nclnés vont converger en un pont F stué au mleu du rayon correspondant, pourvu qu ls soent assez proces de l axe. F F! Les coordonnées de ce pont F s écrvent, dans un repère d orgne, x = R cos α et y = R sn α Lorsque les rayons sont peu nclnés par rapport à l axe optque, l angle α est pett et on peut remplacer les fonctons trgonométrques par leur développement lmté au premer ordre en α, c est-à-dre x R et y R α

4 6 aptre. Mrors spérques Doptres spérques Les rayons vont donc converger sur le plan d équaton x = R/. e plan, perpendculare à l axe optque et passant par le foyer mage, est appelé plan focal mage. On défnt de même le plan focal objet. es deux plans sont confondus dans le cas du mror spérque. La talle de l mage dans le plan focal est donnée par : B = f α = Rα Par exemple, la planète Jupter (α rad) vue à travers le mror du télescope Hubble (R 60 m) donne dans le plan focal une mage de 9 mm de aut. (.).4 Mror convexes M H Fg..4: Notatons utlsées dans le cas du mror convexe. On peut reprendre l ensemble de ce qu précède, dans le cas d un mror convexe. En se basant sur la fgure précédente, on trouve de nouveau que = R cos La dstance est la même, mas le pont se trouve mantenant à gauce de, alors qu l état à drote de dans le cas du mror concave. Grâce aux dstances algébrques, on peut dfférencer entre les deux types de mror d après le sgne de. Un mror est concave s > 0 et convexe s < 0. On peut syntétser les deux résultats précédents sous une forme unque = cos On a donc dans les deux cas, pour la poston du foyer mage, F = Dans le cas du mror convexe, l mage formée par des rayons ncdents parallèle est vrtuelle, et stuée derrère le mror..5 Les condtons de Gauss et l optque paraxale Les deux condtons que nous avons nvoquées, rayons proces d un même axe et peu nclnés par rapport à cet axe sont appelées condtons de Gauss, et cet axe est appelé axe optque. Les rayons vérfant les condtons de Gauss sont appelés rayons paraxaux.

5 . Mrors spérques 7 Une grande parte snon la totalté de l optque géométrque que vous étuderez cette année se place dans le cadre de ces condtons. On peut trouver agaçant de commencer un cours en se fasant des smplfcatons drastques, et douter que l on obtendra ans quo que ce sot d utle. tel est le cas, c est une grosse erreur! L optque paraxale est adaptée à un grand nombre de stuatons pratques, et permet de comprendre le fonctonnement et les proprétés de la plupart des nstruments d optque. De plus, nous connassons exactement les termes que nous avons néglgés, ls sont d ordre en et en α. Il est toujours possble de les prendre en compte pour calculer les dévatons qu ls donnent par rapport au cas paraxal. Dans le cadre de cette approxmaton, on peut auss consdérer que l ensemble du mror est contenu dans un plan contenant le sommet. On représente alors les mrors comme des plans aux bords arronds, ndquant s le mror est convexe ou concave. e n est qu une notaton, et l ne faut pas applquer les los de la réflexon sur un mror plan, mas les règles de constructon géométrques énoncées plus aut. Dans ce qu sut, on va s appuyer sur une proprété très mportante des systèmes optques : Dans les condtons de Gauss, les systèmes optques possédant la symétre de révoluton sont approxmatvement stgmatques. est le cas notamment des mrors spérques consdérés dans ce captre..6 Objet à dstance fne constructon géométrque des rayons En utlsant la proprété de stgmatsme approcé, on peut construre les rayons de façon purement géométrque. On peut se contenter pour cela d utlser deux des tros proprétés suvantes : Les rayons passant par le centre du mror ne sont pas dévés ; Les rayons arrvant parallèles à l axe optque convergent vers le foyer mage ; les rayons ssus du foyer objet repartent parallèles à l axe optque. Pour tout pont objet, on construt deux de ces rayons et on en dédut la poston de l mage. On en dédut B () (3) () F B B B F Fg..5: onstructon géométrque des rayons dans le cas d un mror concave et d un mror convexe. la plupart des proprétés qu suvent. Dans les cas représentés c, l mage est réelle et nversée pour le mror concave, mas vrtuelle et drote pour le mror convexe. e n est pas toujours le cas. Pour le mror concave, on peut dstnguer deux cas. Quand l objet est stué avant le foyer, son mage est réelle, l objet et l mage étant stués de part et d autre du centre. Quand l objet est stué après le foyer, son mage est vrtuelle et stuée derrère le mror. Pour le mror convexe, on dstngue auss deux cas. Quand l objet est stué avant le foyer, son mage est réelle, l objet et l mage étant stués de part et d autre du centre. Quand l objet est stué après le foyer, son

6 8 aptre. Mrors spérques Doptres spérques F F Fg..6: l objet est avant le foyer (fgure de gauce), l mage est réelle et nversée. l objet est entre le foyer et le sommet, l mage est vrtuelle, drote, et stuée derrère l mage. mage est vrtuelle et stuée derrère le mror. F F Fg..7: l objet est avant le sommet (fgure de gauce), l mage est vrtuelle et stuée entre le sommet et le foyer. l objet est vrtuel et stué entre le sommet et le foyer, (toujours fgure de gauce, où cette fos c est qu joue le rôle d objet), l mage est réelle, et stuée avant le sommet. l objet est vrtuel et derrère le foyer (fgure de drote) sommet, l mage est auss vrtuelle, nversée, et stuée derrère le foyer. ce stade, l est fortement recommandé de se munr d une cullère..7 Expérence smple Rep. 6 e regarder dans une cullère à soupe, du côté concave et du côté convexe, et commenter..8 Relaton de conjugason avec orgne au sommet onsdérons un ensemble de rayons lumneux ssus d un pont stué sur l axe optque, à une dstance fne. On se place drectement dans les condtons de Gauss. On a alors = tan(θ ) = tan(θ + ) = tan θ (.) Dans les condtons de Gauss, on peut assmler les tangentes à leurs arguments, et = (θ ) = (θ + ) = θ (.3)

7 . Mrors spérques 9 Fg..8: gauce, une cullère permet de former une mage d un objet lontan. drote, une grosse cullère, le mror du télescope spatal Hubble.!-!+ Fg..9: notatons utlsées dans le calcul de la relaton de conjugason En élmnant des deux premères équatons, on arrve à θ = θ + (.4) ce qu s écrt fnalement, en utlsant la dernère équaton de.3 sous la forme θ = /, + = On s aperçot, et l s agt là d une étape crucale dans le calcul, que l on peut smplfer par. ette remarque d ordre matématque exprme en fat la condton de stgmatsme : la varable qu décrt le rayon que l on a consdéré dsparaît du calcul, s ben que tous les rayons ssus de vont converger vers le même pont (dans les condtons de Gauss). On a donc + = (.6) Dans le cas que nous avons consdéré, les ponts, et sont tous les tros stués à gauce de, s ben que =, = et =. On obtent la relaton de conjugason avec orgne au sommet (.5) + = = f (.7) l on avat consdéré une stuaton géométrquement dfférente, dans laquelle le pont est à drote de, un calcul smlare montre que l on obtent la même relaton de conjugason. elle-c est donc valable de façon générale.

8 30 aptre. Mrors spérques Doptres spérques Remarques : pour =, on a =, le centre du mror est sa propre mage (l y a d alleurs stgmatsme rgoureux dans ce cas) ; cette relaton est nvarante par écange de et. est l mage de, alors est l mage de. l objet est renvoyé à l nfn, / 0 et = /=F s ben que l mage est stuée au foyer. On retrouve donc ben les résultats précédents (le contrare aurat été nquétant). La formule de conjugason permet de calculer la poston de l mage en foncton de celle de l objet. pplcaton bête : consdérons un objet stué à 30 cm avant le sommet d un mror de 0 cm de rayon de courbure. On a donc = 30 cm. alculons la poston de l mage pour caque type de mror. Pour un mror concave, on a = 0 cm et donc, en applquant la formule de conjugason, = = 0 cm + 30 cm = 6 cm (.8) on a donc = 6 cm, l mage se trouve à 6 cm devant le sommet. Pour un mror convexe, on a = +0 cm et un calcul smlare donne = (30/7) cm 4, 9 cm, l mage est stuée à envron 4,9 cm en arrère du sommet. La fgure?? représente la poston de l mage en foncton de celle de l objet. O ' F 3 F ' 3 3 F ' Fg..0: Relatons de conjugason d un mror concave avec orgne au sommet.

9 . Mrors spérques 3 ' F O 3 ' F 3 ' F 3 Fg..: Relatons de conjugason d un mror convexe avec orgne au sommet..9 Relaton de conjugason avec orgne au centre Il exste une relaton analogue, dans laquelle la poston des ponts est repérée par rapport au centre au leu du sommet. On pourrat la démontrer en remplaçant dans la précédente par +. On peut auss démontrer la relaton précédente en retardant le plus possble le moment de se placer dans les condtons de Gauss, en se basant sur des proprétés géométrques. On utlse pour cela la relaton fondamentale des trangles sn B = sn B = sn B (.9) où les quanttés Â, ˆB et Ĉ représentent les angles ayant pour sommet le pont correspondant. Nous allons utlser cette relaton pour retrouver la formule de conjugason. La prncpale dffculté vent du fat que la relaton.9 fat ntervenr des dstances, alors que la formule fnale fat ntervenr des dstances algébrques. Le passage de l un à l autre n est pas complqué, mas l fat ntervenr pluseurs cas, selon que le mror est convexe ou concave, et selon que le pont est à drote ou à gauce du centre. Nous allons nous concentrer sur un seul cas, celu d un mror convexe ( > 0) et du pont stué avant ( < 0).

10 3 aptre. Mrors spérques Doptres spérques B ^B ^ Â Fg..: Défnton des notatons Â, ˆB et Ĉ ntervenant dans la relaton fondamentale des trangles. Dans la fgure.9, les relatons.9 applquées au trangle M ndquent que sn(θ ) R = sn() Or, nous consdérons la stuaton où = et R =, s ben que De même, dans le trangle M, on a sn(θ ) = sn() (.0) sn(θ + ) R = sn() sot sn(θ + ) = sn() (.) pusque cette fos le pont se trouve nécessarement à drote de, s ben que =. En développant les snus selon sn(θ + ) =snθ cos + cos θ sn (.) les équatons.0 et. se réécrvent, après smplfcaton par sn, sn θ cotan En soustrayant ces deux équatons, on arrve fnalement à cos θ = et sn θ cotan + cos θ = + = cos θ Dans les condtons de Gauss, on peut consdérer que cos θ, ce qu donne la relaton de conjugason avec orgne au centre + = On peut reprendre la même démarce dans le cas où le pont est stué à drote de, et dans le cas du mror convexe. On retrouve alors la même relaton de conjugason. Retour sur l applcaton bête : On reprend le même cas que dans le paragrape précédent, l objet est stué à 30 cm devant le sommet d un mror de 0 cm de rayon de courbure. Pour un mror concave, = 0 cm et l objet est à = + = 0 cm. En applquant la formule de conjugason, = = 0 cm + 0 cm = 4 cm (.3)

11 . Mrors spérques 33 M!-!!+ on a donc = 4 cm, l mage se trouve à 4 cm derrère le centre. Pour un mror convexe, un calcul smlare donne pour = 0 cm et = + = 40 cm la valeur = (40/7) cm 5, 7 cm, l mage est stuée à envron 5,7 cm en avant du centre. es deux résultats correspondent ben à ceux que l on avat obtenus avec la formule de conjugason avec orgne au sommet..0 Relatons de conjugason avec orgne au foyer Des manpulatons géométrques dans les trangles dessnés dans la fgure.5 condusent à d autres relatons utles. On a B F B H B F B H Fg..3: Relaton de conjugason avec orgne au foyer. B H = = F F e qu donne la relaton de conjugason avec orgne au foyer et B H = = F F (.4) F F = f (.5) On l appelle auss formule de Newton. On remarque que F et F sont nécessarement de même sgne, ce qu sgnfe que l objet et l mage sont toujours du même côté de F (tous les deux à drote ou tous les deux à gauce). Retour sur l applcaton bête : On reprend le même cas que dans le paragrape précédent, l objet est stué à 30 cm devant le sommet d un mror de 0 cm de rayon de courbure. On a donc f = 5 cm. Pour le mror

12 34 aptre. Mrors spérques Doptres spérques F' f F -4 Fg..4: Relaton entre F et F. concave, on a F = F + = 5 cm. En applquant la formule de conjugason, F = f F (5 cm) = = cm (.6) 5 cm l mage se trouve à cm devant le foyer. Pour un mror convexe, un calcul smlare donne pour F = F+ = 35 cm la valeur F = (5/7) cm 0, 7 cm, l mage est stuée à envron 0,7 cm en avant du foyer. es deux résultats correspondent ben à ceux que l on avat obtenus avec la formule de conjugason avec orgne au sommet pus celle avec orgne au centre.. Grandssement transversal Le grandssement transversal est défn comme le rapport entre la talle de l mage et celle de l objet. D après les fgures, on a ce qu, en utlsant les formules de conjugason, donne γ t B B = (.7) γ t = / = / + (.8) Le grandssement est représenté en foncton de sur les fgures.0 et. pour les deux types de mrors spérques.. utres relatons D autre part, on a α H/ et α H/, s ben que α = α. En utlsant la relaton de conjugason, Invarant de Lagrange-Helmoltz α B = α B (.9)

13 . Doptres spérques 35 B H!! B Fg..5: Invarant de Lagrange-Helmoltz. Doptres spérques Nous allons reprendre rapdement l étude précédente dans le cas de la réfracton par un doptre spérque, séparant deux mleux d ndces dfférents. Nous n allons pas y passer trop de temps, en nous concentrant sur les aspects qu seront les plus utles dans la sute, quand nous étuderons les lentlles consttuées de l assocaton de deux doptres réfractants. Fg..6: gauce, mage d une composton florale vue à travers une boule de verre (ttp :// drote, mage de syntèse (POV- Ray).. tgmatsme approcé. Formule de conjugason avec orgne au sommet Dans la fgure précédente, on a HM = Htan(θ ) =H tan(θ )=H tan θ (.0)

14 36 aptre. Mrors spérques Doptres spérques F Fg..7: marce des rayons réfractés et leurs prolongements, dans les dfférents cas de concavté et pour n >n et n >n. M!-!-! H Dans les condtons de Gauss, le pont H est confondu avec le pont et les angles sont petts. On a donc, en notant M comme dans le cas des mrors, ou encore = θ = et = θ = La lo de nell-descartes n = n se réécrt donc n = n = (θ ) = (θ )=θ (.) (.) (.3) On peut smplfer cette équaton par, ce qu tradut la proprété de stgmatsme approcé : le résultat ne dépend pas du rayon lumneux partculer que l on consdère, tant que l on est dans les condtons de Gauss. On arrve donc à n n = n n (.4) Dans la stuaton représentée sur la fgure précédente, on peut remplacer les dstances par des dstances algébrques, =, = et =, ce qu donne n n = n n (.5) Il se trouve que cette expresson est encore valable dans toutes les confguratons, quels que soent les sgnes de, et.

15 . Doptres spérques 37.3 Dscusson On en dédut pluseurs coses : Quand ou quand +, les rayons ncdents sont parallèles, et l mage se forme au foyer, F, F = n n (.6) n Quand +, ou quand, les rayons réflécs sont parallèles, ce qu sgnfe qu ls ont été éms par le foyer objet, sot F. F = n (.7) n n Les deux foyers ne sont plus confondus, contrarement au cas des mrors spérques. Quand, on retrouve la relaton du doptre plan, =(n /n)..4 Formule de conjugason avec orgne au centre On peut reprendre la démarce suve dans le cas des mrors, en se basant sur la fgure suvante. On trouve,!-!-! M en se basant sur le trangle M, que sn(θ ) R = sn( ) On trouve une relaton smlare dans le trangle M, sot sn(θ ) = sn( ) sn(θ ) = sn() Nous allons nous placer dès mantenant dans les condtons de Gauss, car les calculs exacts peuvent vte devenr lourds. On a alors θ = et θ = sot + = θ et + = θ

16 38 aptre. Mrors spérques Doptres spérques ce qu s écrt auss + = + Or les angles et sont relés par la lo de nell-descartes, et donc dans les condtons de Gauss, on peut remplacer par n/n, ce qu condut à n + = n + On peut smplfer par. omme dans le cas du mror, cette étape est crucale, elle tradut la proprété de stgmatsme, car la relaton obtenue ne dépend plus du rayon lumneux consdéré. On obtent alors, après réarrangement, la relaton de conjugason avec orgne au centre n n = n n Nous avons montré cette relaton dans un cas partculer, dans lequel les ponts et sont stués à gauce de et le doptre est concave. Une étude des autres stuatons montre qu elle est tout à fat générale..5 pplcatons Les doptres spérques jouent un rôle mportant en optque, car ls sont utlsés dans les lentlles, comme nous allons le vor dans le procan captre. On les rencontre auss dans d autres stuatons. Par exemple dans l œl, l nterface entre la cornée et l ar consttue un doptre spérque qu contrbue de façon mportante à la formaton des mages sur la rétne. La vergence de ce doptre est plus mportante que celle du crstalln, ce qu sgnfe que la dévaton des rayons lumneux dans l œl est prncpalement due à ce doptre spérque. Les tecnques crurgcales modernes de tratement de la myope altèrent la forme de ce doptre.

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS ONSEVAOIE NAIONAL DES AS E MEIES ELEONIQUE ANALOGIQUE PH / ELE 4 / DU GEII ere année ------------------------- ------------------------- Dder LE UYE / Perre POVEN Janer ABLE DES MAIEES APPELS D ELEOINEIQUE...5.

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE

TRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE UNIVERSITE MONTPELLIER 2 Département de Physque TRAVAUX PRATIQUES DE SPECTRO- COLORIMETRIE F. GENIET 2 INTRODUCTION Cet ensegnement de travaux pratques de seconde année se propose de revor rapdement l'aspect

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0. Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

Coefficient de partage

Coefficient de partage Coeffcet de partage E chme aque, la sythèse d'u composé se fat e pluseurs étapes : la réacto propremet dte (utlsat par exemple u motage à reflux quad la réacto dot être actvée thermquemet), les extractos

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Les méthodes numériques de la dynamique moléculaire

Les méthodes numériques de la dynamique moléculaire Les méthodes numérques de la dynamque moléculare Chrstophe Chpot Equpe de chme et & bochme théorques, Unté Mxte de Recherche CNRS/UHP 7565, Insttut Nancéen de Chme Moléculare, Unversté Henr Poncaré, B.P.

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Semestre : 4 Module : Méthodes Quantitatives III Elément : Mathématiques Financières Enseignant : Mme BENOMAR

Semestre : 4 Module : Méthodes Quantitatives III Elément : Mathématiques Financières Enseignant : Mme BENOMAR Semestre : 4 Module : Méthodes Quattatves III Elémet : Mathématques Facères Esegat : Mme BENOMAR Elémets du cours Itérêts smples, précompte, escompte et compte courat Itérêts composés Autés Amortssemets

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des

Plus en détail

MODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS.

MODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS. Chapter MODÈLE DISIG À UE ET DEUX DIMESIOS.. ITRODUCTIO. ous commençons, dans ce chaptre, létude dun problème de mécanque statstque de la matère condensée où leffet des nteractons est mportant. Le modèle

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.

Plus en détail

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé 4th Internatonal Conference on Coputer Integrated Manufacturng CIP 2007 03-04 Noveber 2007 Perforances de la classfcaton par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): applcaton au dagnostc vbratore autoatsé

Plus en détail

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne. Applcaton à l assstance à la condute automoble Mguel Gonzalez-Mendoza To cte ths verson: Mguel Gonzalez-Mendoza. Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne.

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire F É D É R A T I O N D E S M É D E C I N S O M N I P R A T I C I E N S D U Q U É B E C L ABC du tratement cogntvo-comportemental de l nsomne prmare par Anne Vallères, Bernard Guay et Charles Morn M me Tousgnant

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen

Plus en détail

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS TRBUNAL DE GRANDE NSTANCE DE PARS 18 chambre 2ème secton N RG : 09/11087 N MNUTE : 1 contradctore Assgnaton du : 02 Jullet 2009 JUGEMENT rendu le 13 Janver 2011 Expédtons exécutores délvrées le : 13 JAN.

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme

Plus en détail

Evaluation de performances d'ethernet commuté pour des applications temps réel

Evaluation de performances d'ethernet commuté pour des applications temps réel Evaluaton de performances d'ethernet commuté pour des applcatons temps réel Ans Koubâa, Ye-Qong Song LORIA-INRIA-INPL, Avenue de la Forêt de Haye - 5456 Vandoeuvre - France Emal : akoubaa@lorafr, song@lorafr

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction Comparatve performance for solate ponts etecton operators: applcaton on surface efects extracton R. Seuln, G. Delcrox, F. Merenne Laboratore Le2-12, Rue e la Fonere - 71200 Le Creusot - FRANCE e-mal: ralph.seuln@utlecreusot.u-bourgogne.fr

Plus en détail