Professeur Pierre DUBOS Université Rockefeller New York Découvreur du premier antibiotique en 1939

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Sandrine Bois
il y a 8 ans
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1 «J ai toujours pensé que le seul problème de la Médecine scientifique c est qu elle n est pas suffisamment scientifique. La Médecine moderne ne deviendra vraiment scientifique que lorsque les médecins et leurs patients auront appris à tirer parti des forces du corps et de l esprit qui agissent par l intermédiaire du pouvoir de guérison de la Nature» Professeur Pierre DUBOS Université Rockefeller New York Découvreur du premier antibiotique en 1939 Initiateur du premier sommet de la Terre en 1972 à l ONU 1

des forces du corps et de l esprit qui agissent par l intermédiaire du pouvoir de guérison de la Nature» Professeur Pierre

2 Médecines complémentaires Quels apports pour la pratique du médecin de premier recours? Dr Zirbs Savigny, méd.int.gén.fmh Homéopathe AFC, Biorésonance Membre comité MFE 2

3 Pourquoi en parler aux médecins de famille Nouvelle LaMal depuis le , , , Demande des patients Réalités du marché : auto médication. Pharmaciens 3

4 Pourquoi en parler? La demande Le patient et l automédication La LaMal 4

5 5

6 De quoi parle-t-on? Est-ce des EBM? 6

7 7

8 8

9 Méthodes divers Phytothérapie et techniques dérivées Des médecines énergétiques 9

10 Phytothérapie Définition Thérapies 10

11 Définition Médecine qui utilise des plantes pour soigner: existe depuis plus de ans médecine traditionnelle et populaire proche de la médecine classique on peut doser la concentration de substances actives posologie adaptée au poids et à l âge base pour homéopathie et allopathie 11

médecine classique on peut doser la concentration de substances actives

12 Quelles parties de plantes sont utilisées en phytothérapie Fleurs, feuilles, graines, arbres, champignons, sève, racines Sèches ou fraîches Complètes ou parties de plantes Natives ou ayant subi une procédure (déshydratation, macération ) 12

racines Sèches ou fraîches Complètes ou parties de plantes

13 Différentes méthodes de traitement Phytothérapie classique Ayurveda Aromathérapie Anthroposophie Médecine traditionnelle chinoise 13

14 + Pour le MPR Logique qui s approche beaucoup de la médecine classique Prescription facile Efficacité relativement bien documentée Moins d effets secondaires Effet un peu plus global que juste la maladie ou l organe Formes d admistration diversifiées (inhalation, per-cutané, suppositoire, comprimé, capsule) 14

secondaires Effet un peu plus global que juste la maladie ou l organe Formes

15 Limites Toxicité Allergies Forme galénique Interactions Goût Manque d informations (enfants, grossesse, interactions) 15

16 Quelques exemples Millepertuis Ginko biloba Cimicifuga Arnica 16

17 Millepertuis Jarsin, Rebalance, (phytothérapie classique) Effet anti dépresseur documenté et confirmé (dépression bénigne à moyenne) Sevrage des anti-dépresseurs classiques Interactions nombreuses : coumarol, contraceptifs oraux Effets secondaires : photosensibilisation, allergie (rare) Pas de problème de sevrage Nombreuses formes galéniques : teintures mères pures, extraits secs, Huile de Millepertuis : usage local 17

coumarol, contraceptifs oraux Effets secondaires : photosensibilisation, allergie (rare) Pas de problème

18 18

19 Gingko biloba Tebokan, Symfona (phytothérapie classique) Vasodilatateur Vasodilatateur micro-vasculaire Prévention de la maladie d Alzheimer Hyperactivité avec déficit de l attention Anti radicaux libres (anti-oxydant) Veinotonique 19

de la maladie d Alzheimer Hyperactivité avec déficit de l

20 20

21 Cimicifuga Cimifemine (phytothérapie classique) Effet phyto-œstrogène Ménopause Risque d hépatite 21

22 22

23 Arnica Atromed gel, Arnica crème Weleda (phytothérapie classique) Substance antihémorragique veineuse Anti-inflammatoire Réduit es douleurs des courbatures Plante entière, teinture mère, homéopathie diluée Très exceptionnelles allergies Usage: crème, gel à 3%, compresses de TM diluée 23

24 Fleur d arnica montana 24

25 Padmed Circosan Ayurveda médecine tibétaine Mélange de 19 plantes sèches Anti-oxydant Vasodilatateur, améliore la micro-circulation Immuno- modulateur Veinotrope Effets secondaires : allergies, intolérances digestives 25

26 Les médecines énergétiques 26

27 1. Acupuncture 2. Hypnose, sophrologie 3. Homéopathie 4. Biorésonance Shiatsu Ostépathie Mangnétisme 27

28 Point commun Pas de prise de médicament, de remède ou de substance externe Stimulent les capacités endogènes d auto-guérison et de réparation (énergie) Effet placebo probablement appuyé Appliquées aux animaux avec succès 28

29 Principes de base de l action Allopathie, phytothérapie simple, médecines complémentaires Médecines complémentaires énergétiques Médecines complémentaires énergétiques 29

30 1. Acupuncture Très ancienne technique de soins chinoise, reprise par les japonais La stimulation «énergétique» repose sur des points spécifiques situés sur des méridiens La maladie est considérée dans sa globalité Stimulation par des aiguilles 30

31 2. Hypnose Technique de relaxation très profonde, qui stimule la sécrétion d endorphines réduit le taux d adrénaline Permet d augmenter le contrôle sur la douleur Baisse le taux des hormones de stress donc favorise la cicatrisation, améliore l immunité Très utile pour le soin des brûlés, la gestion de la douleur chronique, l arrêt du tabac, les examens invasifs, les soins dentaires 31

32 3. Homéopathie Méthode thérapeutique très ancienne préconisée déjà par Hippocrate Hahnemann au XVIII père de la méthode moderne 3 principes de base 32

33 33

34 Les 3 principes de base de l homéopathie La loi de similitude L individualisation du remède La dilution infinitésimale 34

35 La loi de similitude Toute substance capable de déclencher chez un individu en bonne santé des symptômes spécifiques, lorsqu elle est administrée à forte dose, est capable de guérir profondément et définitivement ces mêmes symptômes chez un individu malade 35

36 L individualisation du remède Le remède qui est choisi doit «couvrir» l ensemble des symptômes du patient. 36

37 La dilution infinitésimale Les substances actives sont diluées et dynamisées de manière codifiée. Au delà de la 30 CH il n y a plus de matière. 37

38 Substances à la base des dilutions Plantes: arnica, millepertuis, Minéraux : silice, sel de mer, Métaux : cuivre, fer, zinc, Substances composées: charbon de bois, phosphate de calcium de l huître Animaux entiers: abeille, cochenille, araignée Substances animales : musc, venins, poils, Substances pathologiques: candida, caséum, tuberculeux, E coli, cancer du sein, 38

39 Méthodes de dilution La substance de base : TM ou purée ou poudre de substance active, diluée dans 100 ml d alcool à 70 3 méthodes : Décimales Hahnemaniennes Centésimales Hahnemaniennes Korsakoviennes 39

40 La dilution CH 40

41 + pour le MPR Méthodes toutes holistiques (principe de l iceberg) Très efficace sur les affections psychosomatiques Pas d effets secondaires?! Compliance peu importante Pas de posologie à calculer : souris = éléphant Pas d interactions Très complémentaire aux autres techniques 41

42 Inconvénients «experience based» Études en double aveugle difficiles Apprentissage long Succès dépend beaucoup de la compétence et du savoir-faire du médecin Pas de «guide lines» possibles Méthode controversée par les facultés 42

43 Exemples en homéopathie Chute avec gros hématome : Arnica 200K au plus vite, répéter après 2 h et 2 jours. Piqûre d abeille : Apis mel 1000K au plus vite répéter si nécessaire 43

44 Exemple 1 de ma consultation de médecine interne Femme obèse, diabète type 2, éventration importante, OP 2 fois pour diverticulite. Poussées diverticulaires à répétition. Nouvelle OP est un risque +++ ttt : probiotiques, Pyrogénium XMK en automédication après teaching, dès que douleurfièvre-péritonisme. Recul 14 ans, sans OP ni antibiotique 44

45 Exemple 2 Jeune femme, infimière, 29 ans, antécédents de 8 pyélonéphrites en 6 ans, sous antibiotiques en permanence. Problème de cauchemars et hurlement dans son sommeil. ttt : Pulsatilla en dilutions croissantes (max K). Après 1 an, aucune infection urinaire, arrêt complet des antibiotiques. Recul : 18 ans: n a jamais rechuté 45

46 4. Biorésonance Instrument de diagnostic et de thérapeutique Mesure les champs magnétiques émis par les organes ( comme un IRM) Analyse et compare ces champs magnétiques aux champs d organes sains Effectue des «corrections énergétiques» des champs pathologiques 46

47 + pour le MPR Permet de guérir des affections pour lesquelles on n a que des traitements de crise : allergies, psoriasis, infections ORL à répétition Peu d effets secondaires 47

48 48

49 Inconvénients Appareil coûteux Apprentissage complexe (médecine chinoise et énergétique) Formations peu fréquentes en français 49

50 Conclusion Opportunité pour s élargir le mode de pensée Augmente les outils thérapeutiques Impliquer le patient dans un choix de ttt Entretien du plaisir à travailler par un renouveau constant 50

51 51

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