Journée du Confort et de l Eau RT 2012 Que faire et ne pas faire! Solène DUPRAT (CARDONNEL Ingénierie)

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2 Journée du Confort et de l Eau RT 2012 Que faire et ne pas faire! Solène DUPRAT (CARDONNEL Ingénierie)

3 LA RT 2012 La Philosophie de la RT 2012 Les labels Le BBIO Saisie des données dans les logiciels PAUSE Le comptage Le coût de la RT2012 en logement L éclairage Retour d expérience conception chantier La maintenance

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5 Journée du Confort et de l Eau Philosophie de la RT 2012 Solène DUPRAT (CARDONNEL Ingénierie)

6 LA RT 2012 en vigueur aujourd hui 2 arrêtés fixant les objectifs: Arrêté 26/10/ Rectificatif : Habitation Bureaux Enseignement primaire et secondaire Petite enfance Arrêté 28/12/12 + Rectificatif : Hébergement pers. âgées dépendantes hôtels restauration commerces gymnase santé industriel artisanal aérogare tribunal 1 arrêté validant la méthode : Arrêté 20/07/2011 : Approbation de la Méthode Th-B-C-E (annexe : détails de la méthode) 1 arrêté pour les attestations : Arrêté 11/10/2011 : Attestations de prise en compte de la RT L annulation de l arrêté méthode par le Conseil d État ne modifie pas les exigences de la RT 2012 qui continue de s appliquer

7 LA RT 2012 : Les grandes nouveautés Exigences de résultats - 3 indicateurs : Bbio (points) : Bilan Bioclimatique TiC ( C) Approche du confort d été Cep (kwhep.m².an) Consommations d énergie Exigences de moyens (suivant type de bâtiment): Surface de baies vitrées minimales (habitation) Perméabilité maximum et vérifiée in situ (habitation) Installation EnR (maison individuelle) Comptage énergie Gestion de l éclairage Isolation et traitement des ponts thermiques

8 LA RT 2012 : Les grandes nouveautés Nouvelle surface : SHON RT SU RT Valorisation des réseaux de chaleur moins polluants (<150g CO2) Valorisation des espaces tampons et solarisés Contrôles de conformité Larges panels de systèmes modélisables

9 Une réglementation plus ancrée dans le process de construction Dépôt de permis : ATTESTATION n 1 Surfaces de baies vitrées Bbio Recours ENR Résultats étude faisa. APD PRO : Validation des solutions de conception et vérifications des exigences de moyens et de résultats DOSSIER DE CONSULTATION: Pièces marché intégrant les exigences de la RT 2012 EXE : Respect des pièces marchés ou vérification des variantes Justificatifs des performances (matériaux, équipements techniques..) Qualité de mise en œuvre

10 Une réglementation plus ancrée dans le process de construction RECEPTION : ATTESTATION n 2 Vérifications in situ synthèse de l étude thermique JUSQU À 3 ANS APRES RECEPTION

11 LA RT 2012 : Ce qui reste inchangé Des outils à disposition : Commissions Titre IV et Titre V Commission de Suivi des réglementations RT : Fiches d application Foire aux questions Un site internet : rt-bâtiment.fr

12 LA RT 2012 : Nouvelles responsabilités des acteurs Les maitres d ouvrage Adapter la démarche de conception Chef d orchestre des attestations Les maitres d œuvre Concevoir et Valider Responsabilité des pièces écrites Mise à jour régulière de l évolution des logiciels / informations Les entreprises du bâtiments Adaptation des méthodes de construction Prise en compte dans les marchés des nouvelles exigences

13 LA RT 2012 : Nouvelles responsabilités des acteurs Les certificateurs / contrôleur techniques Suivis réguliers et vérifications précises Tests in situ Les fabricants

14 La Philosophie RT 2012 Un outil de vérification pas à pas des exigences Des acteurs de plus en plus concernés et plus tôt dans le projet : synergie Des bâtiments performants et de qualité

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16 Journée du Confort et de l Eau Labels et certifications

17 Futurs labels RT 2012 Label d état HPE RT 2012 En préparation par la DHUP; application premier semestre 2013 Résidentiel collectif : Bbio max 10% et Cep < 50 puis 45 kwh/m².an après 1/01/2015 Tertiaire bureaux : Bbio max 20 % et Cep max 20% Tertiaire enseignement, crèches : Bbio max 10 % et Cep max 10% Perméabilité < 1 si mesure totale ou 0,8 si échantillonnage en résidentiel Mesures d étanchéité en tertiaire pour bât.< 3000 m² Réseau de ventilation de classe A (en résidentiel et en tertiaire pour bât. < 3000 m²) Obligation d informer les occupants en résidentiel (guide des usagers) Calculs réalisés par un BET reconnu

18 Futurs labels RT 2012 Label d état THPE RT 2012 En préparation par la DHUP; application premier semestre 2013 Résidentiel collectif : Bbio max 20% et Cep < 45 puis 40 kwh/m².an après 1/01/2015 Tertiaire bureaux : Bbio max 20 % et Cep max 40% Tertiaire enseignement, crèche : Bbio max 10 % et Cep max 20% Perméabilité < 1 si mesure totale ou 0,8 si échantillonnage en résidentiel Mesures d étanchéité en tertiaire pour bât. < 3000 m² Réseau de ventilation de classe A (en résidentiel et en tertiaire pour bât. < 3000 m²) Obligation d informer les occupants en résidentiel (guide des usagers) Calculs réalisés par un BET reconnu

19 Futurs labels RT 2012 Label Effinergie + Label avec un niveau d exigence comparable authpe RT2012 En cours d élaboration par Effinergie A priori : Bbio 20% Coefficient d étanchéité à l air 20% (0,8 en collectif et 0,4 en maison individuelle) Tests d étanchéité sur les réseaux aéraulique

20 Labels liés à la RT 2012 en résidentiel Exigence B Bio en MI et IC : HPE 10% / THPE 20% Cep max en immeuble 60 Effinergie 20% RT 2012 HPE THPE Exigence Cep en maison : HPE 10% / THPE 20% / Effinergie 20%

21 Pré-requis Label BEPOS-Effinergie 2013 Respecter les critères du label Effinergie+ Le bâtiment doit faire l objet d une évaluation de l énergie grise et du potentiel d écomobilité Exigence principale : BILAN epnr < ECART autorisé Faire un bilan en 3 étapes : Collecte des consommations d énergie finale entrant et sortant Passage en énergie primaire non renouvelable Bilan d énergie primaire non renouvelable Comparer avec un écart autorisé à l énergie positive pour permettre aux bâtiments exemplaires d obtenir le label dans toutes les régions et tous les contextes urbains 21 / 20

22 Label BEPOS-Effinergie 2013 Bilan INPUT OUTPUT Périmètre : Bâtiment Projet visé par le même permis de construire ou le permis d aménager Prise en compte de tous les usages énergétiques 22 / 20

23 Label BEPOS-Effinergie 2013 Bilan epnr < Ecart accepté Bilan epnr = consommation en énergie primaire production en énergie primaire Ecart accepté = Cep ref + Aue ref Prod ref avec : Cep ref : Consommation de référence du label Effinergie+ pour les usages réglementés Cep ref = 40 * M ctype * ( M cgéo + M calt + M csurf + M cges ) Aue ref : Prod ref : Consommation de référence pour les usages non pris en compte par la RT Production de référence Prod ref = 110 * Mp géo * Mp niv Mp géo facteur de modulation potentiel solaire local Mp niv facteur de modulation nombre de niveaux maximal autorisé Le coefficient M cges n est pas utilisé, le bois et les réseaux de chaleur étant pris en compte par ailleurs. Les valeurs de référence pour les usages non pris en compte par la RT ne sont pas encore définies. Une valeur de 70 kwh EP/(m².an) est proposée pour les logements. Nombre de niveaux Mp niv 1 à 2 1,0 3 0,8 4 0,6 5 et plus 0,5 23 / 20

24 Label BEPOS-Effinergie 2013 Voies de progrès identifiées : Prise en compte des questions de stockage, d autoconsommation et des temporalités différentes des consommations et des productions Définition de la notion d écart accepté pour chaque typologie de bâtiments tertiaires selon les consommations pour les autres usages Introduction d autres notions d urbanisme ou d autres critères (masques) pour définir le potentiel de production EnR Obligation du calcul de la consommation de l énergie grise et de la consommation d énergie liée à la mobilité 24 / 20

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26 RT 2012 : Le Bbio Samia BEZNIA (VINCI Construction France)

27 Rappels Extrait de l arrêté portant approbation de la METHODE DE CALCUL Th- BCE 2012 (30 avril 2013) Le coefficient Bbio exprimé en points caractérise l'efficacité énergétique du bâti. Il permet d'apprécier celui-ci par rapport aux besoins de chauffage, de refroidissement et de consommations futures d'éclairage artificiel. Il s'appuie sur la valorisation des éléments suivants : la conception architecturale du bâti (implantation, forme, aires et orientation des baies, accès à l'éclairage naturel des locaux ) ; les caractéristiques de l'enveloppe en termes d'isolation, de transmission solaire, de transmission lumineuse, d'ouverture des baies et d'étanchéité à l'air ; et les caractéristiques d'inertie du bâti. LE BIOCLIMATISME c est : l idée d adapter la construction au climat et à l'environnement pour que l'habitat s'autorégule aussi bien en hiver qu'en été. Le Bbio n est pas le Ubât!

28 Rappels Le Bbio valorise la conception bioclimatique du bâti indépendamment des systèmes installés Le Bbio ne donne pas accès aux besoins au sens des déperditions et des apports PARAMETRES INFLUENTS Bch Bfr Becl Compacité du bâtiment Caractéristiques des parois Ponts thermiques Caractéristiques des baies Orientation des baies Surface de baies Accès à l éclairage naturel des locaux Caractéristiques des protections solaires Perméabilité à l air du bâtiment Débits de ventilation

29 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES Perméabilité à l air du bâtiment Niveau de traitement des ponts thermiques Surface de baies Niveau d isolation des parois Système d isolation (ITE/ITI) Inertie Caractéristiques des baies Orientation des baies Accès à l éclairage naturel

30 Etudes de cas RESIDENTIEL COLLECTIF 41 logements Zone H1a SHAB = m² Exposition BR1 SHON RT = m² Classe CE1 Q 4Pa = 1,0 m 3 /h.m² Béton + I T I TERTIAIRE DE BUREAUX SU RT = m² SHON RT = m² Q 4Pa = 1,7 m 3 /h.m² Béton + I T E Zone H2b Exposition BR3 Classe CE1/CE2 AUTRE TERTIAIRE (EHPAD) Perméabilité à l air du bâtiment Surface de baies 130 lits Zone H3 SU RT = m² Exposition BR1 SHON RT = m² Classe CE1/CE2 Q 4Pa = 1,7 m 3 /h.m² Béton + I T E

31 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES RESIDENTIEL COLLECTIF Variation de la perméabilité à l air

32 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES TERTIAIRE DE BUREAUX Variation de la perméabilité à l air

33 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES AUTRE TERTIAIRE (EHPAD) Variation de la perméabilité à l air

34 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES RESIDENTIEL COLLECTIF Variation de la surface de baies (% façades)

35 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES TERTIAIRE DE BUREAUX Variation de la surface de baies (% façades)

36 Etudes de cas ETUDES PARAMÉTRIQUES AUTRE TERTIAIRE (EHPAD) Variation de la surface de baies (% façades)

37 Identification des facteurs dimensionnants Compacité Inertie Niveau d isolation des parois RÉSIDENTIEL Etanchéité à l air Traitement des ponts thermiques Surface de baies Exigences de moyens TERTIAIRE DE BUREAUX Etanchéité à l air Surface de baies Accès à l éclairage naturel AUTRE TERTIAIRE (EHPAD) Accès à l éclairage naturel Distribution intérieure

38 Etudes de cas BBC 2005 vs RT 2012?

39 Etudes de cas BBC 2005 vs RT 2012 RESIDENTIEL COLLECTIF Bbio non conforme Cep non conforme Garde-fous non conformes BBC 2005 RT 2012 CONTRÔLE DES GARDE-FOUS projet seuil RT Ratio de surface vitrages / SHAB 19% 17% Ratio moyen PT 0,36 0,28 L9 moyen 0,99 0,60

40 Etudes de cas BBC 2005 vs RT 2012 TERTIAIRE DE BUREAUX Bbio conforme Cep conforme Garde-fous conformes BBC 2005 RT 2012 CONTRÔLE DES GARDE-FOUS projet seuil RT Ratio moyen PT 0,16 0,28 L9 moyen 0,07 0,60

41 Etudes de cas BBC 2005 vs RT 2012 AUTRE TERTIAIRE (EHPAD) Bbio conforme Cep conforme Garde-fous conformes RT 2012 BBC 2005 CONTRÔLE DES GARDE-FOUS projet seuil RT Ratio moyen PT 0,28 0,28 L9 moyen 0,21 0,60

42 En conclusion CE QU IL FAUT EN RETENIR : Il n y a pas réellement d équivalence entre BBC 2005 et RT La RT 2012 nous impose de penser d abord conception bioclimatique avant de penser aux systèmes. En RT 2012, il est plus difficile de rattraper les «erreurs» de conception grâce aux systèmes. On identifie quelques leviers Mais IL N Y A PAS DE FORMULE MAGIQUE!

43 MERCI DE VOTRE ATTENTION Questions / Réponses

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45 RT 2012 SAISIE DES DONNEES DANS LES LOGICIELS Pascale LAIRE

46 CONSTATS des logiciels RT 2012 PLUS DE DONNÉES D ENTRÉES POUR PLUS DE PRECISIONS DANS LES CALCULS Niveaux de détails demandés renforcés INTEGRATION DES SOLUTIONS INNOVANTES Limiter le recours aux titres V

47 CONSTATS des logiciels RT 2012 RENSEIGNEMENT DE L EQUIPEMENT DANS SON ENVIRONNEMENT Les caractéristiques techniques des produits ne sont pas les seules variables à optimiser LES RESULTATS DE CONSOMMATION RESTENT THEORIQUES Les logiciels RT considèrent que les équipements et les systèmes fonctionnent dans des conditions optimales

48 MISE EN AVANT DES PRODUITS CERTIFIES EXTRAIT METHODE DE CALCUL Th-BCE 2012 Valeurs certifiées : «saisie directe de la valeur certifiée par un organisme indépendant accrédité selon la norme NF EN 45011** par le COFRAC ou tout autre organisme de certification ( )» ** la norme est liée aux produits concernés, ici les chaudières

49 EXTRAIT METHODE DE CALCUL Th-BCE 2012 Valeurs justifiée : «saisie de la valeur justifiée diminuée de 10% par un essai réalisé par un organisme indépendant et accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17025** par le COFRAC ou tout autre organisme de certification ( )» ** la norme est liée aux produits concernés, ici les chaudières VALEUR JUSTIFIEE PAR LE PV D ESSAIS -10%

50 EXTRAIT METHODE DE CALCUL Th-BCE 2012 Valeurs déclarée : Exemple : rendement des chaudières Rpn = Min (0,8xRpn déclaré, Rpn utile max = 90%) Rpint = Min (0,8xRpint déclaré, Rpint utile max = 93%) VALEUR DECLAREE PAR LE FABRICANT -20%

51 EXTRAIT METHODE DE CALCUL Th-BCE 2012 Valeurs par défaut VALEUR SEUIL calculée en fonction de la puissance du générateur, et directement intégrée dans le moteur de calcul Exemple : rendement des chaudières condensation Rpn = A + B. Log Pn (kw) de 91 à 93,6% (de 1 à 400 kw et >) Rpint = C + D. Log Pn (kw) de 97 à 99,6% (de 1 à 400 kw et >) Résultats supérieurs aux valeurs déclarées voire justifiées!!!

52 Réunion prescription nationale - 5 et 6 juin 2013 IMPACT CERTIFICATION CHAUDIERES VALEUR DE RENDEMENT CERTIFIEE Cep ref = 58 kwhep/m².an Nota : Cep max = 71,8 kwhep/m².an Bbio max - 21,4%

53 Réunion prescription nationale - 5 et 6 juin 2013 IMPACT CERTIFICATION CHAUDIERES VALEUR DE RENDEMENT JUSTIFIEE + 5,3 points / Cep ref Cep = 63,3 kwhep/m².an Nota : Cep max = 71,8 kwhep/m².an Bbio max - 21,4%

54 Réunion prescription nationale - 5 et 6 juin 2013 IMPACT CERTIFICATION CHAUDIERES SANS PV D ESSAIS VALEUR DE RENDEMENT DECLAREE + 11,8 points / Cep ref Cep = 69,8 kwhep/m².an Nota : Cep max = 71,8 kwhep/m².an Bbio max - 21,4%

55 Réunion prescription nationale - 5 et 6 juin 2013 IMPACT CERTIFICATION CHAUDIERES VALEUR DE RENDEMENT PAR DEFAUT + 3 points / Cep ref Cep = 61 kwhep/m².an Nota : Cep max = 71,8 kwhep/m².an Bbio max - 21,4%

56 IMPACTS DE LA CERTIFICATION DES PRODUITS DES CONSEQUENCES FORTES SUR LE RESULTAT DES CALCULS DES EXIGENCES DE VERIFICATION DE LA PART DES ORGANISMES CERTIFICATEURS (PROMOTELEC, CERQUAL) PV D ESSAIS CERTIFIES DEMANDES

57 IMPACTS DE LA CERTIFICATION DES PRODUITS LES PRINCIPAUX PRODUITS CONCERNES : Chaudières (rendements) Ballons ECS (constante de refroidissement) Pompes à chaleur (COP) Ventilation Double Flux (rendement échangeur)

58 PRISE EN COMPTE DE L ENVIRONNEMENT DU PRODUIT RÉSEAUX PRIMAIRES CHAUFFAGE COLLECTIF

59 PRISE EN COMPTE DE L ENVIRONNEMENT DU PRODUIT RÉSEAUX PRIMAIRES ECS COLLECTIVE

60 PRISE EN COMPTE DE L ENVIRONNEMENT DU PRODUIT SAISIE DE LA GÉNÉRATION Optimiser l environnement du produit à la saisie, peut faire gagner quelques précieux points de Cep

61 QUELQUES NOUVELLES VALEURS A RENSEIGNER EN VENTILATION : Prise en compte de la place des réseaux dans le volume chauffé Perméabilité à confirmer par des essais sur sites

62 EN VENTILATION La classe d étanchéité est à préciser mais sera à vérifier par un essai sur site La situation des réseaux est à préciser

63 EN POMPE A CHALEUR QUELQUES NOUVELLES VALEURS A RENSEIGNER Caractéristiques à saisir pour différents régimes de température

64 QUELQUES NOUVELLES VALEURS A RENSEIGNER EN CHAUDIERE : Rendement Certifié / Justifié / Déclaré / par Défaut Puissance électrique des auxiliaires à charge nulle Température Mini de fonctionnement

65 EN CHAUDIERE

66 QUELQUES NOUVELLES VALEURS A RENSEIGNER EN EAU CHAUDE SANITAIRE : Constante de refroidissement Certifiée/Justifiée/par Défaut Position et hauteur des échangeurs/résistances du ballon

67 EN EAU CHAUDE SANITAIRE :

68 EN EAU CHAUDE SANITAIRE :

69 LES LIMITES DE L OUTIL APPLICATION RESIDENTIELLE INIDIVIDUELLE BIEN MAITRISEE MAIS DES LIMITES POUR LES APPLICATIONS RESIDENTIELLES COLLECTIVES ET TERTIAIRES Echangeurs à plaques Accumulateur Gaz + Stockage supplémentaire Solaire avec plusieurs ballons

70 DES OUTILS D AIDE A LA SAISIE DES OUTILS DEVELOPPES PAR LES FABRICANTS PERMETTENT DE TROUVER FACILEMENT LES DONNEES, Y COMPRIS LES DONNEES CERTIFIEES DE GAGNER EN Cep PAR LE BON RENSEIGNEMENT DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT ET DE SON ENVIRONNEMENT

71 DES OUTILS D AIDE A LA SAISIE

72 DES OUTILS D AIDE A LA SAISIE

73 DES OUTILS D AIDE A LA SAISIE

74 DES OUTILS D AIDE A LA SAISIE

75 DES OUTILS D AIDE A LA SAISIE

76 CONCLUSION L OUTIL EST PLUS OPTIMISE POUR LES SOLUTIONS RESIDENTIELLES INDIVIDUELLES L OUTIL EST UN PEU PLUS LIMITÉ, LORSQU IL S AGIT DE SOLUTIONS RÉSIDENTIELLES COLLECTIVES ET TERTIAIRES IL FAUT RAISONNER EN SOLUTION GLOBALE EN INTEGRANT LE PRODUIT ET SON ENVIRONNEMENT LES RESULTATS DE CONSOMMATION D ÉNERGIE OBTENUS SONT CONVENTIONNELS

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78 Une réglementation qui bouge! +5% +15% +30% Le coût de la RT2012 en logement Christian SCHWARZBERG 78

79 Une estimation difficile Chaque projet est différent Nouvelles techniques Coûts de référence? Prix moyens? 79

80 Le coût de la RT2012 Méthode 80

81 Club de l innovation 81

82 Le coût de la RT2012 Méthode Base de données 82

83 Base de données projets devis logements prix m² 83

84 Base de données Social Privé 1490 /m² 1730 /m² 1270 /m² 1330 /m² 870 /m² 1120 /m² 84

85 Base de données 1210 /m² 1110 /m² 990 /m² 1730 /m² 2 typologies retenues 1300 /m² 850 /m² 1540 /m² 1320 /m² 1120 /m² 85

86 Coût de l'isolant [ /m² surface installée ] Base de données Isolation thermique des parois verticales Coefficient de régression R² = 0, pour R=3,3 R= ± 1 ± 3 2,4 2,6 2,8 3 3,2 3,4 3,6 3,8 4 4,2 Résistance thermique [m 2.K.W -1 ] 86

87 Base de données 87

88 Le coût de la RT2012 Méthode Base de données Etudes de cas 88

89 Etudes de cas Estimation surcoût Estimation surcoût 10 projets 16 bâtiments collectifs 58 maisons 89

90 15 logements collectifs R+2 Cep : 44,6 / 45,0 Surface vitrée Pont thermique plancher intermédiaire Bbio : 43,2 / 54,0 Cep : 50,9 / 57,5 90

91 Surface vitrée 1/6 SHAB + 8 m² de vitrage Fenêtres + Volet roulant 370 /u Linteau Brique Isolation Surcoût /ml 47 /m² 24 /m² Enduit façade Enduit intérieur 20 /m² 12 /m² 91

92 Linéique plancher intermédiaire 0,62 < 0,60 Rupteur de pont thermique Surcoût

93 Surcoût RT2012 Comptage et affichage 500 /logement Surface vitrée 23% Comptage 72% Pont thermique 5% Surcoût soit 1% 93

94 Le coût de la RT2012 Méthode Base de données Etudes de cas Le coût de la RT

95 Surcoût Surcoût en collectif RT2012 3,0 [%] 2 % 1000 par logement 2,0 [%] 1,0 [%] 0,0 [%] Avant le 1 er janvier 2015 Après le 1 er janvier

96 Surcoût Surcoût en collectif Effinergie + 6,0 [%] 4,0 [%] 4,3 [%] 3,5 [%] 4 % 2000 par logement 5,0 [%] 3,0 [%] 2,0 [%] 1,6 [%] 1,0 [%] 1,0 [%] 0,9 [%] 0,0 [%] Avant le 1 er janvier

97 Surcoût Surcoût en individuel 8,0 [%] Sans EnR Avec EnR 6,0 [%] 5,0 [%] 5,8 [%] 5 % 5000 par logement 4,0 [%] 2,0 [%] 6 % 6000 par logement 0,5 [%] 0,5 [%] 0,0 [%] RT2012 Effinergie+ 97

98 Le coût de la RT2012 Méthode Base de données Etudes de cas Le surcoût de la RT2012 A retenir 98

99 Surcoût RT2012 collectif Synthèse RT2012 Effinergie+ 6% 4% 2% 0% Maison Collectif 99

100 Surcoût RT2012 collectif 100 % 80 % 30 % 100

101 Le coût de la RT2012 Méthode Base de données Etudes de cas Le surcoût de la RT2012 A retenir Enveloppe/équipements type RT

102 Isolation Enveloppe/équipement type RT Murs : Isolation intérieure PSE 10 cm Toiture terrasse : PU 10 cm Plancher : Sous chape PU 10 cm Menuiseries Fenêtres : PVC, Ug=1,1, VR bloc-baie Porte d entrée : Uw=1,6 Ventilation hygro B Extracteur basse consommation Chauffage Chaudière gaz à condensation standard 102

103 Enveloppe/équipement type RT 100% 75% 50% 25% Chaudière Condensation + performante Murs 12 cm Terrasse inaccessible 24 cm 0% 103

104 Merci de votre attention 104

105

106 RT 2012 et Comptages Dominique BRIANE BETSO

107 REGLEMENTATION La RT 2012 et les obligations de comptage 3 Cas: - Logements - Logements sociaux Article 23 - Bâtiments tertiaires Article 31

108 REGLEMENTATION LOGEMENTS Art. 23. Les maisons individuelles ou accolées ainsi que les bâtiments ou parties de bâtiments collectifs d habitation sont équipés de systèmes permettant de mesurer ou d estimer la consommation d énergie de chaque logement, excepté pour les consommations des systèmes individuels au bois en maison individuelle ou accolée. En cas de production collective d énergie, on entend par énergie consommée par le logement la part de la consommation totale d énergie dédiée à ce logement selon une clé de répartition à définir par le maître d ouvrage lors de la réalisation du bâtiment. Ces systèmes permettent d informer les occupants, a minima mensuellement, de leur consommation d énergie. Cette information est délivrée dans le volume habitable, par type d énergie, a minima selon la répartition suivante : chauffage ; refroidissement ; production d eau chaude sanitaire ; réseau prises électriques ; autres. (éclairage, cuisson, VMC )

109 REGLEMENTATION LOGEMENTS SOCIAUX Art. 23. Les maisons individuelles ou accolées ainsi que les bâtiments ou parties de bâtiments collectifs d habitation sont équipés de systèmes permettant de mesurer ou d estimer la consommation d énergie de chaque logement, excepté pour les consommations des systèmes individuels au bois en maison individuelle ou accolée. En cas de production collective d énergie, on entend par énergie consommée par le logement la part de la consommation totale d énergie dédiée à ce logement selon une clé de répartition à définir par le maître d ouvrage lors de la réalisation du bâtiment. Ces systèmes permettent d informer les occupants, a minima mensuellement, de leur consommation d énergie. Cette information est délivrée dans le volume habitable, par type d énergie, a minima selon la répartition suivante : chauffage ; refroidissement ; production d eau chaude sanitaire ; réseau prises électriques ; autres. (éclairage, cuisson, VMC ) Toutefois, dans le cas d un maître d ouvrage qui est également le futur propriétaire bailleur du bâtiment construit, notamment les maîtres d ouvrage de logements locatifs sociaux, cette information peut être délivrée aux occupants, a minima mensuellement, par voie électronique ou postale et non pas directement dans le volume habitable. Cette répartition peut être basée soit sur des données mesurées, soit sur des données estimées à partir d un paramétrage préalablement défini.

110 REGLEMENTATION BATIMENTS TERTIAIRES Art. 31. Les bâtiments ou parties de bâtiment à usage autre que d habitation sont équipés de systèmes permettant de mesurer ou de calculer la consommation d énergie : pour le chauffage : par tranche de 500 m2 de SUrt concernée ou par tableau électrique, ou par étage, ou par départ direct ; pour le refroidissement : par tranche de 500 m2 de SUut concernée ou par tableau électrique, ou par étage, ou par départ direct ; pour la production d eau chaude sanitaire ; pour l éclairage : par tranche de 500 m2 de SUrt concernée ou par tableau électrique, ou par étage pour le réseau des prises de courant : par tranche de 500 m2 SUrt concernée ou par tableau électrique, ou par étage ; pour les centrales de ventilation : par centrale ; par départ direct de plus de 80 ampères.

111 COMPTER L ENERGIE CONSOMMEE, POURQUOI? - Mesurer pour savoir - Mesurer pour agir de façon ciblée - Agir - Mesurer pour vérifier Mesure

112 PROBLEMATIQUE CIC + ECS COLLECTIVE

113 PROBLEMATIQUE PAC DOUBLE SERVICE

114 PROBLEMATIQUE CHAUDIERE MURALE GAZ

115 PROBLEMATIQUE EFFET JOULE + ECS THERMO

116 PROBLEMATIQUE EFFET JOULE + ECS COLLECTIVE

117 PROBLEMATIQUE

118 TYPES DE COMMUNICATIONS IMPULSIONNEL AVANTAGES Coût du compteur et de la cible INCONVENIENTS - Architecture rigide (1 paire par compteur, nombre de câble important) - Perte d index en cas de rupture du bus - Pas de surveillance de communication MODBUS ou MBUS - Fiabilisation des données (index conservé en cas de rupture de bus) - Surveillance de la communication - Transmission numérique avec adressage (matricule du compteur) - Peu de contrainte d installation (longueurs importantes, architecture souple, possibilité de rajouts de compteurs sur le bus) - Diversité des informations relevées (température, débit, puissance ) - Rapidité de communication - Prix plus élevé que l impulsionnel mais en baisse - Demande un traitement informatique des données in situ ou à l extérieur du site

119 EXEMPLE DE PRISE EN COMPTE

120 FICHE D APPLICATION DHUP DU 30 MAI 2013 PARUE LE 04 JUIN Systèmes de mesure ou d estimation des consommations en logement

121 FICHE D APPLICATION 30 MAI ) Mesure ou estimation à minima mensuelle 2) Traitement des données: a) Ordinateur personnel b) Ordinateur distant c) Site internet Modalité de mise en œuvre: d) Installé dans le bâtiment Nota : les constructeurs ou bailleurs n ont pas obligation de fournir les équipements terminaux et abonnement internet ni de s en assurer. 3) Option facultative à la charge du client interdite 4) Si Abonnement : prise en charge de l abonnement pendant 3 ans par le promoteur 5) Utilisation des informations équipements (compteur embarqué sur équipements) 6) Obligation de présenter la méthode utilisée à l occupant. 7) Répartition des consommations consultable sur un ou plusieurs écrans (afficheur équipement + afficheur tableau électrique). En logement social répartition à fournir par voie électronique ou postale. 8) En collectif : Estimation possible des consommations mensuelles de chauffage et/ou ECS suivant clé de répartition (surfaces habitables, tantièmes, étude thermique )

122 FICHE D APPLICATION 30 MAI 2013 Modalité de mise en œuvre: 9) Répartition des postes: a) Chauffage : Energie consommée et facturée permettant le chauffage. b) Refroidissement : Energie consommée et facturée permettant le refroidissement. c) Eau chaude sanitaire : Energie consommée et facturée permettant la production ECS. Nota: En générateur individuel les auxiliaires des postes a, b et c peuvent être comptés soit dans le postes correspondant soit dans le poste autres (e). d) Réseau Prises électriques : consommations de tous les appareils reliés aux prises électriques à l exception des circuits spécialisés (au sens de la NFC ) destinés au pôle cuisson, non reliés à une prise (ex : four avec une ligne électrique dédiée) e) Autres : consommations qui ne sont pas prises en compte dans les postes précédents : éclairage immobilier, circuits spécialisés pour plaques de cuisson et four électriques, cuisson autre qu électrique, VMC, automatismes, etc

123 FICHE D APPLICATION 30 MAI 2013 Exemple 1 : Exemple de systèmes Répartition des consommations par postes via une relève automatique des compteurs et éventuellement des informations de consommation issues des équipements consommant de l énergie.

124 FICHE D APPLICATION 30 MAI 2013 Exemple 2 : «Un pas en arrière» Exemple de systèmes Répartition des consommations par postes via une relève manuelle des compteurs et éventuellement des informations de consommation issues des équipements consommant de l énergie.

125 FICHE D APPLICATION 30 MAI 2013 Exemple de systèmes Exemple 3 : Ce que nous pensions être obligatoire avant la parution de la fiche (+ notion de report sur écran portable) Répartition des consommations par postes via une relève automatique des compteurs et sous compteurs

126 FICHE D APPLICATION 30 MAI 2013 Exemples de systèmes non réglementaires o Une répartition figée sans prendre en compte les consommations du logement pendant son occupation. o Une répartition mensuelle sur la base des valeurs annuelles des consommations.

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128 RT 2012 et Eclairage Dominique BRIANE BETSO

129 RT2012 ECLAIRAGE : CHAMPS D APPLICATION Puissances prises en compte o Puissance d éclairage o Puissance des systèmes de gestion de l éclairage Eclairage exclus o Extérieurs o o o o De parkings De sécurité Destinés à mettre en valeur des objets ou des marchandises Destinées à la réalisation de process particuliers

130 RT2012 ECLAIRAGE : NOUVEAUTES TERTIAIRE La RT2012 introduit dans le calcul de l éclairage les consommations des auxiliaires de gestion/régulation Elle introduit la notion d éclairage d appoint immobilier pour les usages commerce et bureau. Elle introduit la notion d accès à la lumière naturelle. Elle précise le type de commande et la régulation de l éclairage. L éclairage est caractérisé par: une puissance d éclairage une puissance d auxiliaire un type de commande (coefficient C1) Un type de régulation coefficient C2) la surface des locaux ayant un accès à la lumière naturelle Rat_ecl_nat CECL = Pecl x A x C1 x (Rat_ecl_nat x C2ae + (1- Rat_ecl_nat) x C2pae) + Paux x A

131 RT2012 ECLAIRAGE : Coefficients C1 et C2 o Coefficient C1, caractérise le mode de commande de l éclairage Aucun (éclairage permanent en occupation) C1 = 1 Interrupteur manuel (Exemple bureau : 0.9) Interrupteur manuel + système de programmation horaire (Exemple bureau : 0.85) Marche et arrêt automatiques par détection de présence/absence (Exemple bureau : 0.8) Marche manuelle/arrêt automatique par détection d absence (Exemple bureau : 0.7) o Coefficient C2, caractérise le mode de gestion de l éclairage artificiel en fonction de l éclairement naturel Impossible Manuelle (interrupteur marche/arrêt) Gradation automatique Allumage et extinction automatiques par franchissement d un seuil d éclairement Extinction automatique par franchissement d un seuil d éclairement o Ratioécl_nat, caractérise la part de chaque local ayant accès à la lumière naturelle

132 RT2012 ECLAIRAGE : Coefficients C1 et C2 o Coefficient C2, caractérise le mode de gestion de l éclairage artificiel en fonction de l éclairement naturel

133 RT2012 ECLAIRAGE : Ratio éclairage naturel o Ratioécl_nat, caractérise la part de chaque local ayant accès à la lumière naturelle hli étant la hauteur du linteau par rapport au sol [m] hta la hauteur du plan de travail (plan de référence) par rapport au sol [m].

134 RT2012 ECLAIRAGE : Cas particulier du bureau Si la puissance d éclairage est inférieure à 10W/m², le moteur de calcul vérifie que la puissance, et la densité de flux installées permettent d atteindre l éclairement souhaité. Dans le cas contraire un éclairage mobilier assure le complément sur la base de 1W/m²/100lux

135 RT2012 ECLAIRAGE : EXEMPLE Puissance éclairage et part d'accès à la lumière naturelle Projet bâtiment de bureau la MANTILLA Bbio max = Pts - Cep max = kwhep/m² Puissance éclairage 7 W/m² 9 W/m² 12 W/m² % d'accés à la lumière naturelle BBIO % Eclairage Cep (kwhep/m²) % Eclairage Cep (kwhep/m²) % Eclairage Cep (kwhep/m²) % Eclairage % 70.00% 50.00% 25.00% 0.00% % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % Simulation du mode de gestion de l éclairage pour le projet Cep % Eclairage Pas de gestion Interrupteur manuel Interrupteur manuel et programmation horaire Marche et arrêt automatique Marche manuelle / arrêt automatique % % % % %

136 RT2012 ECLAIRAGE : Logements Saisie limité au TLw (transmission lumineuse menuiserie) et à la taille de la menuiserie quelque soit les hauteurs du linteau.

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138 JCE 2013 Atelier RT 2012 JCE 2013 Atelier RT 2012 Retour d expérience La conception et la mise en oeuvre NATHALIE TCHANG BET TRIBU ENERGIE

139 LA CONCEPTION

140 Le bâtiment : des objectifs contradictoires à surmonter projet techniquement et environnementalement performant viser la meilleure qualité d ambiance pour le minimum de consommation énergétique projet efficace financièrement à court terme minimiser l investissement en visant néanmoins le plus «beau» et le plus grand

141 Les étapes de conception d un bâtiment performant 1 - Réduire les besoins par les choix architecturaux et les prestations du bâti 2 - Maîtriser les effets «collatéraux» de cette réduction des besoins 3 - Choisir des équipements performants (limitant les consommations d électricité et d énergies fossiles, utilisant des énergies renouvelables) 4 - Produire de l électricité par énergies renouvelables

142 Construire avec le climat En logements approche bioclimatique largement connue Forte isolation thermique + organisation des espaces pour façades d est à sud-sud ouest largement vitrées avec masques adaptés + grande inertie + possibilités de ventilation traversante (été) + éventuellement espaces vitrés de transition (véranda, bow-window, ) + puits canadien + En bâtiments non résidentiels démarche mal cernée Compacter ou non? Comment orienter le bâtiment? Vitrer beaucoup ou non? Comment vitrer? Grande inertie thermique ou non?

143 Paroi vitrée : trouver le meilleur équilibre

144 Vents et bâtiment

145 Capter l énergie solaire orientations - inclinaisons Solaire thermique ECS Solaire passif fenêtres Solaire photovoltaïque

146 Attention aux solutions universelles! Pas de solution universelle mais des solutions adaptées à chaque projet. Se poser les bonnes questions : -Double flux : maintenance ; 2x consos auxiliaires ; bruits intérieurs ; encrassement des filtres débits RA faibles - Isolants bio : FDES ; lambda 0,04 / 0,03 (industriels) ; durabilité? - Ossature bois : FDES? Provenance bois? Inertie? Etanchéité à l air? Incompatible avec DF et stockage apports solaires! -Triple vitrage : Facteurs solaires hiver? Pb menuiserie par vitrage - Chaudière bois : besoins chaud importants? - Puits canadien : dimensionnement - Toiture végétalisée : confort d été?

147 Maitriser les effets collatéraux Acoustique Choix des isolants Installations chauffage/ventilation Santé Légionnelles SHAB/Su ITI Incendie C+D Choix des isolants (dont/parking) VMC Qualité d air intérieur Ventilation Confort Été ; visuel Structurel Compatibilité isolant / support Energie renouvelables Economie Investissement, maintenance Performance énergétique Accessibilité Isolation / circulations Gestion éclairage Consos ascenseurs Architecture ITE Baies Loggia Energies renouvelables Sécurité EVAPDC Accès VMC

148 RT2012 Choix techniques Des enjeux différents en logements et en tertiaires : Logements : - Excellente isolation - Solutions performantes ECS Tertiaire : -Quasi-impossibilité de climatiser les bâtiments CE1 car impossible de respecter Bbiomax -Poste majoritaire souvent lié à éclairage Attention : première fois qu une RT s exprime en valeur absolue donc période de rodage sur les niveaux indiqués

149 Choix architecturaux. De nombreux choix architecturaux ont des répercussions immédiates sur la performance énergétique. Or les acteurs pas souvent conscients de ces répercussions. Exemples: - Implantation des points de puisages ECS en logement collectif nombre de colonnes d eau pouvant doubler, et pertes associées également (# 5 kwh/m².an en plus ou en moins) - Choix du bardage sur ITE plus ou moins lourd dégradation de la performance thermique de la paroi (ponts thermiques structurels) - Utilisation du double flux: attention au positionnement du caisson perte de rendement si extérieur - Vitrages au nu extérieur beaucoup plus d apports solaires, donc attention au confort d été

150 LA MISE EN OEUVRE

151 Pathologies dans les bâtiments BBC Pointer du doigt les malfaçons des constructions BBC afin : D effectuer une prise de conscience D avoir un label au niveau des attentes lors de la visite in-situ D améliorer le dialogue entre les différents corps d état Objectif: Améliorer les futures réalisations

152 Nouvelles pathologies? Maxi 3 ans de retours effets à long terme non décelables aujourd hui Retours chantiers: Pas (ou très peu) de sinistres liés à la performance énergétique Il s agit plutôt de difficultés ou dysfonctionnements connus mais aggravés par l exigence de performance énergétique Tout commence à la programmation et chaque acteur de la chaine a sa part de responsabilité : MOA ; MOE ; ENT ; MTN

153 1 -Pathologies rencontrées : étancheité

154 1 -Pathologies rencontrées : étancheité Etanchéité: problématique nouvelles ou accrues Utilisation abusive de mousse de polyuréthane: à refuser car -Tenue dans le temps très mauvaise - Emission de composés toxiques Utilisation ponctuelle tolérée

155 1 -Pathologies rencontrées : étancheité Etanchéité: problématique nouvelles ou accrues La mauvaise perméabilité participe à la ventilation du chantier! - Séchage des peintures - Séchage des chapes (20 semaines au lieu de 6 sur une MI) - Séchages des enduits (délais supplémentaires pour l intervention du peintre) - Menuiseries bois tâchées et/ou en cours de moisissure Solution transitoire: installer une VMC provisoire sur chantier? La fragilité de l étanchéité (membranes, pare-vapeur, ) est mise à mal par les essais d étanchéité (jusqu à 70 Pa de dépression pour le test selon NF13829 dégradations après les mesures! Si doublage intérieur : l espace entre le mur et le doublage est froid! Cela induit aussi des problématiques de condensation si on y fait passer des réseaux aérauliques, ou de gel pour des réseaux hydrauliques

156 2 - Pathologies rencontrées: isolation

157 3- Pathologies rencontrées: enveloppe Isolation extérieure Treillis de l ITE mal mis, non jointif ou ne recouvrant pas la partie basse de la façade: Raccordement isolation façade et isolation enterrée - Ponts thermique, mais aussi infiltration d eau - drainage à prévoir (DTU)

158 3- Pathologies rencontrées: enveloppe Isolation extérieure Stockage isolants sur chantiers: - Laines minérales: à l abri de l eau absolument - Polystyrène: à l abri de l eau mais surtout du soleil (bâches) L absence de bon conditionnement entraîne : - pertes propriétés thermiques - pertes propriétés mécaniques - dilatation possible après la pose, entrainant des tensions sur les enduits et apparition de fissures, et donc d infiltrations

159 3- Pathologies rencontrées: enveloppe Menuiseries extérieures Problématiques principales: - Étanchéité à l air - Mais aussi étanchéité à l eau! - Retours d isolants (notamment en ITE) - Dimensionnement des entrées d air! - Si vitrages différents selon orientations attentions à la pose au bon endroit - Couche d émissivité inversée

160 4. Pathologies rencontrées: systèmes ENR Photovoltaïque - Infiltrations d eau dans les modules, en particulier ceux qui ont des cadres et placés en milieu ambiant difficile - Perforation sur membrane photovoltaïque; sans doute provoquée par gravillon sous chaussure d un intervenant - Ombrage - La durée de vie des modules dépend fortement du lieu (humidité, température, etc ), mais ils restent les composants les + fiables de l installation PV

161 4. Pathologies rencontrées: systèmes ENR Solaire thermique Isolation absente Supports insuffisamment bien fixés

162 4. Pathologies rencontrées: systèmes ENR PAC et chauffe eau thermodynamiques - Mises en sécurité intempestives:. Soit à cause de l emplacement (vent),. soit à cause de l emplacement sur le réseau électrique (en bout de réseau) T fraîche le matin - Problèmes acoustiques (principaux mauvais retours sur la PAC = acoustique) - Performances réelles: attention aux chauffe eau thermo! - Dégivrage écoulement d eau (potentiellement glace)

163 4. Pathologies rencontrées: systèmes ENR Energie bois - Étanchéité des poêles à bois très problématique (problème récurrent) Dysfonctionnement de la ventilation et perméabilité - Homogénéité de la température dans le logement mal assurée (impossibilité de conserver un régime bas de température) Poêles bûches peu adaptés au BBC - Problématique sur gros besoins: taille silos, accès camions

164 5. Pathologies rencontrées : chauffage Plancher chauffant : peu réactif -> difficultés de réglages en fonction des diverses zones du bâtiment: il faut fragmenter les émetteurs aussi finement que possible -> 1 à 2 saisons de chauffe nécessaires Mauvais emplacement des sondes: - sondes extérieures au Sud - sondes intérieures proches de l émetteur (cas des robinets thermostatiques): il existe des sondes déportées

165 6. Pathologies rencontrées: ventilation Double flux Plutôt récent dans les constructions: source de beaucoup d erreurs. Les problématiques sont de plusieurs types: - Réglementaires (débits non tenus) - Acoustiques - Performantielles - Accès pour maintenance non prise en compte

166 6. Pathologies rencontrées: ventilation Double flux - Encrassement rapide des filtres (dès la fin du chantier) - De manière générale, qu après 4 mois l encrassement d un filtre est tel que le débit soufflé correspond à 90% du débit nominal - Au bout de 10 mois il ne reste plus que 30 % du débit nominal qui est soufflé - Un déséquilibre se fait entre soufflage et extraction compensé par des infiltrations, ce qui est catastrophique en DF - Un nettoyage important ou changement des filtres réguliers est impératif Si absence d isolation sur gaines extérieures: il n y a plus de calories à récupérer

167 7. Pathologies rencontrées: confort d été Enjeu nouveau et fort sur le bâtiment très isolé et étanche Absence protection solaire pour cause de coûts Conduites eau chaude sanitaire en dalle (ECS en été): c est presque un radiateur dans la dalle!

168 Pathologies rencontrées: suivi des installations - Bâtiment bureaux conçu BEPOS, mais une partie du PV non reliée pendant 1 an: de recettes en moins - Visite installations double flux en tertiaire: machine à l arrêt, sans savoir depuis quand - Problématiques rencontrée fréquemment: Non-compatibilité de langage entre les différents matériels (passerelle de communication) => Les nombreux déplacements pour affiner les réglages sont coûteux en temps

169 Phase chantier Un suivi de chantier rigoureux pour limiter les erreurs Présence accrue de l équipe de MOE Généralisation de l OPC et le Maître d Œuvre d Exécution

170 Consommations prévisionnelles /conventionnelles Les calculs de consommations réglementaires ne sont pas des calculs prévisionnels mais des calculs conventionnels : Scénarii d occupation et température de consigne fixes Calcul sur 8 zones climatiques et non par site météo Besoins ECS, La chasse aux points BBC/RT2012 peut s avérer catastrophique: - surdimensionnement installations solaires : crèches, EHPAD, gymnases, maisons individuelles - prescriptions de produits miracles non certifiés: isolants, ventilation, pompes à chaleur - prescriptions sur bugs de calcul: exemple boucle ECS non prise en compte en Rtex et mal prise en RT

171 Instrumentation Objectifs : Comparaison des consommations conventionnelles et réelles des logements BBC Analyse croisée énergétique/sociologique Impact sur les factures

172 Immeuble collectif H1a Consommation annuelle de chauffage en kwhep/m²shon.an Conventionnelle corrigée Logement Conventionnelle corrigée Conventionnelle(CC) du climat + usage du climat (CCCC) (CCCCU) Réelle A B C Limites de la correction DJU (inertie, rendement générateur, apports ) Mauvais fonctionnement des équipements

173 Température d'air ( C) 27-janv. 29-janv. 31-janv. 2-févr. 4-févr. 6-févr. 8-févr. 10-févr. 12-févr. 14-févr. 16-févr. 18-févr. Températures ( C) Immeuble collectif H1a Evolution des températures dans le logement A sur la période la plus froide du 27/01/12 au 18/02/ Evolution des températures d'air sur la semaine la plus froide dans l'appartement B T Extérieure T Séjour T Chambre Extérieur Séjour Chambre enfants

174 Température d'air ( C) Immeuble collectif H1a Evolution des températures d'air sur la semaine la plus froide dans l'appartement C Extérieur Séjour Chambre Parents Chambre enfants Logement à forte occupation avec un séjour qui sert de chambre la nuit Logement non chauffé (vol thermique facilité avec l ITE et chauffage individuel) Mauvaise pose de la sonde d ambiance-> logement chauffé par le vol thermique

175 Bilan

176 Température d'air ( C) Immeuble collectif H1a Confort été Evolution des températures d'air sur la semaine la plus chaude dans l'appartement B Extérieur Séjour Chambre Parents Chambre enfants Ouverture des fenêtres en été : facteur d amélioration ou de dégradation du confort d été

177 Bilan des consommations Bâtiments confortables Vol thermique «encouragé» car peu de déperditions en façade Problèmes d utilisation des équipements Confort d été lié au mode d ouverture des fenêtres

178

179 RT 2012 : l impact sur la mise au point et la maintenance Thierry CHAMPOLION ( SAVELYS )

180 Impact de la RT 2012 sur la maintenance : le constat Un bâtiment conforme à la RT 2012 c est : une enveloppe très bien isolée une faible perméabilité des équipements énergétiques sophistiqués et souvent interdépendants La RT 2012 ne traite pas des conditions de mise en service et de maintenance des installations.

181 Equipements énergétiques d une réalisation pas très ancienne

182 Equipements énergétiques d un projet RT 2012 Récup. VMC Thermostat ambiance + qualité de l air Module gestion thermique Gestion domotique Chaudière gaz conden. Recupération EU PAC Abso Gaz

183 Passage d un projet RT 2012 à une bonne performance énergétique Chaque composant du système de production d énergie doit être mis au point Le système n est efficient qu après le paramétrage des interconnexions entre chaque composant. Le paramétrage n est possible qu après compréhension de la logique du système. Après la mise au point, la maintenance doit intégrer la mesure de la performance, son analyse et éventuellement la rectification des réglages.

184 RT 2012 : Les points sensibles à prendre en compte en terme de maintenance et de mise en service Prévoir (en terme de planning et de coût) la mise en service des équipements et des régulations dès le début du chantier. Rédiger un mode de fonctionnement du système. La durée du contrat de maintenance doit être compatible avec la complexité du système. Les plans de formation des entreprises de maintenance doivent être construits pour répondre aux nouveaux besoins. Les coûts investis en formation par une entreprise peuvent être pris en compte dans l analyse des offres.

185 Un bâtiment RT 2012 performant c est Une réglementation abouti. Un projet bien pensé. Des équipements performants et fiables. Une réalisation de qualité. Une mise en service bien réalisée. Des utilisateurs informés pour une bonne utilisation. Une maintenance appropriée intégrant une boucle de progrès.

186

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