PARIS - 2 OCTOBRE AUDITORIUM LE MONDE
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- Angélique Perrot
- il y a 8 ans
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2 Efficacité énergétique des bâtiments : enjeux et perspectives Yann DERVYN, Directeur du collectif effinergie
3 Enjeux Source : Planete Nature
4 Un enjeu environnemental et Enjeux économique dans le secteur du bâtiment Une absence de définition de la basse consommation en France à l instar de certains pays européens Des initiatives régionales qui se développent pour aller au-delà de la RT2005 Des acteurs issus de mondes différents mais complémentaires et qui convergent sur la nécessité de développer l efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment
5 Une création en mars 2006 Un fort réseau de 70 adhérents Enjeux Une assise territoriale La quasi totalité des Régions de France (20), un département, une agglomération et une ville La force d'effinergie Avoir su réunir un large panel d'adhérents et d experts de la construction neuve et de rénovation : Centres techniques et de recherche Associations Banques Industriels Syndicats, fédérations professionnelles Organismes de formation Architectes et des bureaux d études
6 Stratégie
7 Stratégie Réseau d échanges et de partage
8 Labels Labels cohérents avec les Réglementations Thermiques - Mêmes méthodes de calcul (Th-CE, Th-BCE et Th-CE ex) L énergie est comptabilisée en kwh énergie primaire par m² de SHON-RT par an. Les usages pris en compte sont : Chauffage, Eau chaude sanitaire, Auxiliaires de chauffage et de ventilation, Climatisation, Éclairage. Tous les autres usages sont aussi pris en compte dans le label BEPOS- Effinergie.
9 Labels... dans le Neuf BBC-effinergie
10 Labels... En Rénovation BBC-effinergie rénovation effinergie rénovation
11 Dynamique de la BBC Réseau d échanges et de partage
12 Trois orientations prises Progrès N 2 Mobiliser les occupants sur la totalité des consommations d énergie Calcul prévisionnel, et affichage de ces consommations Labels Progrès n 3 Développer la production locale d énergie renouvelable Progrès n 1 Concevoir des bâtiments consommant encore moins d énergie Le 50 du BBC devient 40 kwhep/m².an Chauffage, ventilation, eau chaude, Eclairage, climatisation
13 Labels Progrès n 1 Avec Améliorer l enveloppe du bâtiment en agissant sur le Bbio Bbio * max 0,8* Bbiomax moyen Bbiomaxmoyen : valeur moyenne du Bbiomax définie par type d occupation du bâtiment ou de la partie de bâtiment et par catégorie CE1/CE2 ; Mbgéo : coefficient de modulation selon la localisation géographique ; Mbalt : coefficient de modulation selon l altitude ; Mbsurf : pour les maisons individuelles ou accolées, coefficient de modulation selon la surface moyenne des logements du bâtiment ou de la partie de bâtiment. M bgéo M balt M bsurf
14 Progrès n 1 Labels Améliorer la performance énergétique du bâtiment sur les 5 usages réglementaires Logements : Cep 40* M * ctype M cgéo M calt M csurf M cges Jusqu au 1 er janvier 2015 : Cep 45* M * ctype M cgéo M calt M csurf M cges Bâtiments tertiaires de type enseignement primaire et secondaire, accueil de la petite enfance, universitaire d enseignement et de recherche et les établissements de santé : Cep 40* M * M M M M Bâtiments tertiaires de type bureaux, hôtels, restaurants, commerces, gymnases, salles de sports, aérogares, tribunaux, palais de justice et à usage industriel et artisanal : Cep 30* M * M M M M ctype ctype cgéo cgéo calt calt csurf csurf cges cges
15 Progrès n 1 Labels Améliorer l étanchéité à l air du bâtiment : 0,8 m3/h.m² en immeuble collectif d habitation en cas de mesure par échantillonnage. 1,2 m3/h.m² en tertiaire de moins de m². Obligation de formation des entreprises intervenant sur les chantiers de maisons individuelles. Améliorer l efficacité des systèmes de ventilation et la qualité de l air en rendant obligatoire la mesure des débits de ventilation et la perméabilité des réseaux. L étanchéité des réseaux doit être au minimum de classe A (la meilleure classe est la classe C et les bâtiments actuels sont trois fois moins bons que la classe A)
16 Progrès n 2 Labels Rendre obligatoire une évaluation des consommations mobilières, les autres usages de l énergie (médias, électroménager ) Mise en place d un suivi des consommations et une information délivrée aux usager à partir de consommations mesurées.
17 Progrès n 3 Affichage obligatoire de énergie renouvelable totale dont la part de production locale d électricité d origine renouvelable, la consommation conventionnelle d énergie primaire pour chaque usage et chaque énergie, le besoin bioclimatique Bbio, Labels l évaluation des consommations mobilières annuelles réparties par usage, la part de la consommation couverte par de la production locale d énergie d origine renouvelable en %, les émissions de gaz à effet de serre en kg eqco2.
18 Autres exigences Informations aux utilisateurs Labels Obligation de mise à disposition d un guide d usage détaillant l utilisation, l entretien et la maintenance des équipements et du bâti permettant de préserver la pérennité énergétique. Qualités associés à la performance énergétique Une attention particulière doit être portée au confort visuel, au confort acoustique, au confort d été et à la qualité de l air.
19 Objectifs Proposer un label pilote Cadre fixé Labels Un label applicable à court terme (2013) Un label s appuyant sur la RT2012 et le label Effinergie + Un label qui marque un changement de paradigme Une exigence sur le bilan énergétique non renouvelable Un label qui n est qu une étape sur la voie de la généralisation des BEPOS On accepte de labelliser des bâtiments qui ne sont pas à énergie positive On ne prend pas en compte à ce stade les questions de stockage, d autoconsommation, de temporalité différentes des consommations et des productions.
20 Détail de la définition Pré-requis du projet Labels Le bâtiment doit respecter les critères du label Effinergie+. Le bâtiment doit faire l objet d une évaluation de l énergie grise et du potentiel d écomobilité.
21 Labels Un bilan en énergie primaire non renouvelable Un écart accepté à l énergie positive
22 Labels Calcul du bilan d énergie en 3 étapes Collecte des consommations d énergie finale entrant et sortant Passage en énergie primaire non renouvelable Bilan d énergie primaire non renouvelable Le bilan peut se faire au niveau du bâtiment ou au niveau du projet visé par le permis de construire ou le permis d aménager. Ceci est applicable aussi bien en conception qu en exploitation
23 Expression de l exigence de la définition Bilan epnr < Ecart autorisé Avec Bilan epnr : Bilan d énergie primaire non renouvelable. Ecart autorisé est l écart à l énergie positive accepté. Ecart accepté à l énergie positive L écart accepté est la somme de Labels la consommation de référence du label effinergie+ pour les usages réglementés (Cep ref ), la consommation de référence pour les usages non pris en compte par la RT (Aue ref ), et à laquelle on soustrait une production de référence (Prod ref ) Ecart accepté = Cep ref + Aue ref - Prod ref
24 Ecart accepté à l énergie positive Ecart accepté = Cep ref + Aue ref Prod ref Labels Prod ref, la production de référence. Ce coefficient est le paramètre définissant l exigence que l on vise dans le label : Prod ref = 110 * Mp géo + Mp niv
25 Source : La Maison écologique
26 Etude de cas Rodrigue LECLECH, Responsable du Pôle Conseil Construction
27 Rappel des exigences RT2012 Besoins : Bbio < Bbiomax (chauffage, climatisation, éclairage) Consommations max à respecter : Cep < Cepmax (5 usages) Confort d été : Tic< Tif réf (en cours d évolution) Accès à l éclairage naturel : résidentiel S baies 1/6 de Sh Article 20 Perméabilité à l air : valeurs seuils en résidentiel Isolation bâti : exigences sur les ponts thermiques Energie renouvelable : recours obligatoire en maison individuelle! Mesure et affichage des consommations Article 17 Article 19 Article 16 Article 23 28
28 Ponts thermiques : liaisons dangereuses Pont thermique = discontinuité de l isolation «Thermographie» Coefficient Ψ en /m.k, cf. règles Th Bât fascicule 5 29
29 Evolution des consommations Positif? Évolution des consommations réglementaires 5 usages en kwhep/(m².an) pour bâtiments résidentiels avec combustibles en zone H2 30
30 Evolution des consommations Positif? Évolution des consommations réglementaires 5 usages en kwhep/(m².an) pour bâtiments résidentiels avec combustibles en zone H2 31
31 Evolution des consommations Positif? Évolution des consommations réglementaires 5 usages en kwhep/(m².an) pour bâtiments résidentiels avec combustibles en zone H2 32
32 Evolution des consommations Vers le positif? Évolution des consommations réglementaires 5 usages en kwhep/(m².an) pour bâtiments résidentiels avec combustibles en zone H2 33
33 Exigence RT2012 sur les ponts thermiques Ratio transmission thermique linéique moyen global ponts thermiques R Ψ du bâtiment; R Ψ 0,28 W/(m². K) nouveau Liaison «plancher intermédiaire/ façade» traitée! Ψ W/(ml.K) nouveau 34
34 Exigence RT2012 sur les ponts thermiques Mur béton Plancher béton sans traitement Ψ = 0,99 W/mK
35 Exigence RT2012 sur les ponts thermiques Ratio transmission thermique linéique moyen global ponts thermiques R Ψ du bâtiment; R Ψ 0,28 W/(m². K) nouveau Liaison «plancher intermédiaire/ façade» traitée! Ψ W/(ml.K) nouveau soit obligatoirement les solutions suivantes : - ITI avec rupteurs ou planelles & maçonneries performantes - ITR mono murs terre cuite ou béton cellulaire - ITE isolation par l extérieur, (balcons traités!) - Façades à ossatures (bois ou métal), passage au nez de dalle 36
36 Description de l étude FFTB Positionner les solutions «briques et isolation par l intérieur» vis-à-vis des solutions «béton et isolation par l extérieur» Etude réaliste : - Epaisseur de mur identique (porteur + isolation) - Solutions couramment rencontrées sur les projets réels - Performances des autres parois identiques Bâtiment de 2 ème famille incendie R+2+attique 20 logements / SHON RT =1579m² Bâtiment de 3 ème famille incendie R+3+attique 34 logements / SHON RT =2324m²
37 Descriptions des solutions étudiées Complexes isolants Mur brique et isolation intérieure Mur béton et isolation extérieure 2ème famille Epaisseur Résistance Porteur 20cm 1,0m²K/W Isolation 8+1cm (th30) 2,6m²K/W 30cm* 3ème famille 3,6m²K/W Epaisseur Résistance Porteur 20cm 1,0m²K/W Isolation 10+1cm (ldr) 2,6m²K/W 32cm* 3,6m²K/W 2ème famille Epaisseur Résistance Porteur 16cm 0m²K/W Isolation 14cm (LDR) 3,7m²K/W 30cm* 3ème famille 3,7m²K/W Epaisseur Résistance Porteur 16cm 0m²K/W Isolation 14cm (LDR) 3,7m²K/W 30cm* 3,6m²K/W *hors finition (enduit ou bardage)
38 Calcul du U mur : les structurels Structure = discontinuité de l isolation = ponts thermiques structurels
39 Calcul du U mur : les structurels, quelques valeurs Isolant extérieur de 14cm Sous enduit, sans structure Up = 0,25W/m²K Isolant extérieur de 14cm Sous bardage, avec structure métallique Up = 0,38 W/m²K
40 Descriptions des solutions étudiées Complexes isolants Mur brique et isolation intérieure Mur béton et isolation extérieure 2ème famille Epaisseur Résistance Porteur 20cm 1,0m²K/W Isolation 8+1cm (th30) 2,6m²K/W 30cm* 3,6m²K/W 0,26W/m²K 3ème famille Epaisseur Résistance Porteur 20cm 1,0m²K/W Isolation 10+1cm (ldr) 2,6m²K/W Up Up 32cm* 3,6m²K/W 0,25W/m²K 2ème famille Epaisseur Résistance Porteur 16cm 0m²K/W Isolation 14cm (LDR) 3,7m²K/W 30cm* 3,7m²K/W 0,31W/m²K 3ème famille Epaisseur Résistance Porteur 16cm 0m²K/W Isolation 14cm (LDR) 3,7m²K/W Up Up 30cm* 3,6m²K/W 0,31W/m²K *hors finition (enduit ou bardage)
41 Descriptions des solutions étudiées Ponts thermiques combles Mur brique de type a (R=1m²K/W) + planelle R = 0,50 m²k/w + Plancher béton Mur béton 16cm + isolation extérieure (R>3m²K/W) + Plancher béton Ψ = 0,38 W/mK Ψ = 0,06 W/mK
42 Descriptions des solutions étudiées Ponts thermiques mise en œuvre des menuiseries Mur brique et isolation intérieure Mur béton et isolation extérieure Ψ appui = 0,42 W/mK Ψ linteau & tableau = 0,11 W/mK Ψ appui = 0,11 W/mK Ψ linteau & tableau = 0,00 W/mK Ψ appui = 0,17 W/mK Ψ linteau & tableau = 0,04 W/mK
43 Descriptions des solutions étudiées Coffres Mur brique et isolation intérieure Mur béton et isolation extérieure Uc=0,60 W/mK Uc=2,00 W/mK
44 Descriptions des solutions étudiées Autres prestations Pour les deux solutions : - Pas de rupteur sur les balcons ni au niveau des acrotères - Plancher isolé en sous face par 15cm de fibrastyrène - Toiture isolée par 16cm de polyuréthane - Menuiseries PVC 4/16/4, argon, PE : Uw=1,4W/m²K - Perméabilité à 1,0m 3 /h/m² (valeur réglementaire) - Chauffage et ECS gaz condensation (individuel en 2 ème famille, collectif en 3 ème famille), radiateurs moyenne température avec régulation performante certifiée - VMC simple flux hygro B basse conso
45 Résultats 2 ème famille Gain Bbio (ITE - Brique) Gain Cep (ITE - Brique) 0,9 1, ,4-0,3-1 -1,3 1,4 2 1,4 0,7 0,4 0,5 0,1-0,7
46 Résultats 3 ème famille Gain Bbio (ITE - Brique) Gain Cep (ITE - Brique) 3,0 3,7 2,9 1,6 1,0 1,3-0,2-0,7 1,8 2,5 1,8 0,9 0,8 0,9 0,0-1,1
47 Conclusions Brique et isolation par l intérieure : Gain sur le Bbio de 0,8points Brique et isolation par l intérieure : Gain sur le Cep de 0,8kWhEP/m²SHON RT Brique et isolation par l intérieure : Gain économique entre 24 et 28%
48 Efficacité énergétique des bâtiments : les réponses de la brique Hervé Pétard Délégué Général Briques de France
49 RT 2012 et autres exigences : les réponses de la brique résistance thermique et traitement des ponts thermiques étanchéité à l air parasite impacts environnementaux et éco-construction sécurité contre l incendie
50 Résistance thermique et traitement des ponts thermiques Une gamme étendue de briques, mais des briques toujours isolantes (règles Th-Bât) o Briques isolantes de type b 0,5 R < 1 m 2.K/W o Briques isolantes de type a R 1 m 2.K/W o Briques isolantes de type a dernière génération R 1,30 m 2.K/W Association des briques avec des planelles terre cuite (pas de rupteur de pont thermique garde-fou règlementaire ψ L9 < 0,6 W/m.K) o planelle R = 0,30 + brique R 1 ψ L9 = 0,44 W/m.K o planelle R = 0,50 + brique R 1 ψ L9 = 0,38 W/m.K
51 RT 2012 et étanchéité à l air Rappel des dispositions règlementaires o perméabilité < 1 m 3 /(h.m 2 ) Essais sur maquettes réalisés au CEBTP avec partenariat avec la FFB Type de montage Perméabilité mesurée à 4 Pa en m 3 /(h.m²) Brique TC - Joint H. minces - Joint V. non rempli 5 mm 0,0027 Brique TC - Joint H. minces - Joint V. rempli 2 mm 0,0029 Brique TC - Joint H. minces - Joint V. non rempli 2 mm 0,0066 Brique TC - Joint H. minces - Joint V. non rempli 2 mm enduit fissuré 0,011 Inutile de remplir les joints verticaux ou d enduire la face intérieure des briques
52 Impacts environnementaux et éco-construction Vous avez dit éco-produits, éco-construction? Quelle(s) définition(s)? Grilles de lecture aujourd hui disponibles o FDES nécessaires, mais pas suffisantes o ne recensent que les qualités intrinsèques, mais ne tiennent pas compte des services rendus (économies d énergie induites) Mais aussi analyses QEB (Qualité Environnementale des Bâtiments) o intégrent les qualités intrinsèques et les qualités induites (somme des FDES + performances thermiques du bâti)
53 Sécurité contre l incendie brique + ITI = simplicité et sécurité Rappel des principales dispositions règlementaires pour le bâti (arrêté modifié du 31 janvier 1986) Réaliser des éléments porteurs verticaux stables au feu o Bâtiments de 2 ème famille SF (R) 30 minutes o Bâtiments de 3 ème famille SF (R) 60 minutes Limiter la propagation du feu par les façades o Règles du C + D défini selon la masse combustible mobilisable (cf. Instruction Technique 249)
54 Témoignage d un promoteur privé Hervé Ballon, Directeur Technique Groupe Edouard Denis
55 LE GROUPE EDOUARD DENIS C EST
56 Un groupe en pleine croissance 41 collaborateurs au niveau National. Implantation du groupe : Lille, Paris, Nantes et Lyon Prochaine implantation du groupe : Bordeaux Représentant plus de logements par an : 1200 actes notariés en 2012 avec la volonté de conserver les mêmes volumes en 2013
57 + de 60 programmes réalisés en 30 ans Le Groupe Edouard Denis connait une forte croissance sur les 3 dernières années permettant de diversifier ses produits et marchés : programmes de résidences principales, programmes destinés à une clientèle investisseurs, programmes réalisés pour les bailleurs sociaux, programmes de résidence étudiante, programmes de résidence loisirs, restauration d un Monument Historique.
58 Organigramme du Groupe. Directeur Commercial Direction Région Bordeaux Directrice Administration des ventes Directeur Technique Edouard DENIS Président Directeur Général Directeur Région Rhône Alpes Directeurs Développements IDF Directeur Région Nord Picardie Directeur Région Ouest
59 Localisation de nos programmes
60 RT2012
61 Quelques résidences
62 Résidence Kennedy - BEAUVAIS (60) 33 logements collectifs
63 Résidence Les Comtes de Champagne MEAUX (77) 44 logements collectifs
64 Résidence Les Comtes de Champagne MEAUX (77) 44 logements collectifs
65 Résidence Villa Monstesquieu PERSAN (95) 109 logements collectifs
66 Résidence Le Clos des Tournelles CHAUMONT EN VEXIN (60) 62 villas
67 Résidence Les Cottages de Claye CLAYE SOUILLY (77) 42 villas
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