Communiqué final de la XXIX e Conférence annuelle de l Organisation internationale des commissions de valeurs

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Communiqué final de la XXIX e Conférence annuelle de l Organisation internationale des commissions de valeurs"

Transcription

1 Communiqué final de la XXIX e Conférence annuelle de l Organisation internationale des commissions de valeurs Les autorités de régulation des marchés de valeurs mobilières et des marchés à terme ainsi que d autres membres de la communauté financière internationale se sont réunis à Amman, en Jordanie, du 17 au 20 mai 2004, à l occasion de la XXIX e Conférence annuelle de l Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV). L hôte de cette Conférence, la Commission des valeurs mobilières de Jordanie, a accueilli chaleureusement plus de 500 participants venus de toutes les régions du monde. La Conférence a été officiellement inaugurée par Sa Majesté le Roi Abdallah II, qui a voulu, par sa présence, exprimer son appui aux régulateurs des marchés financiers et à leur indépendance. M. Bassam Saket, Président exécutif de la Commission des valeurs mobilières de Jordanie, a déclaré dans son allocution : Les régulateurs ont récemment fait face à d énormes défis qui les forcent à penser au-delà des objectifs à court terme de leur pays. Les régulateurs doivent être vigilants parce qu ils sont chargés d établir les règles visant à protéger la suprématie du droit sur des marchés transparents et efficients. M. Fernando Teixeira Dos Santos, Président du Comité exécutif de l OICV, a également adressé la parole aux participants. Il a notamment fait observer : Dans le contexte de la mondialisation, l OICV a plus que jamais un rôle à jouer et travaille à des projets essentiels visant à améliorer le degré de mise en œuvre de ses normes de haut niveau dans tous les pays dont proviennent ses membres. Cet effort mondial contribuera fortement à réduire le risque systémique et à améliorer la protection des investisseurs. Dans son allocution, M. Andrew Sheng, Président du Comité technique de l OICV, a déclaré : L OICV est maintenant reconnue comme l autorité et l organisme normalisateur incontesté à l égard de la régulation des marchés de valeurs mobilières. Pour que ces normes et les mesures visant à les faire respecter soient efficaces, il faut des ressources suffisantes et la détermination de mettre en œuvre les normes. Nous devons consacrer plus d énergie encore à travailler ensemble, rapidement et efficacement, pour détecter, réprimer et sanctionner les fautes sur les marchés transfrontière. M. Dogan Cansizlar, Président du Comité des marchés émergents de l OICV, a noté dans son allocution : Dans notre ère de mondialisation, les défis les plus difficiles que nous affrontons présentent surtout des dimensions internationales. Étant donné que les marchés émergents n ont pas suffisamment d épargne et de capitaux intérieurs, ils ont un

2 grand besoin d attirer le capital étranger. Ce besoin d attirer le capital étranger a fait ressortir l importance de normes internationales dans des domaines comme la gouvernance d entreprise, la comptabilité et l audit, ainsi que la coopération et l échange d information entre les membres. Un nombre important d initiatives et de réalisations ont été annoncées lors de la Conférence : Le point sur le Groupe de travail des présidents sur le renforcement des marchés de valeurs contre la fraude financière Le Comité technique a publié un communiqué le 18 mai 2004, à l issue de sa réunion pendant la Conférence, au sujet des travaux du Groupe de travail des présidents sur le renforcement des marchés de valeurs contre la fraude financière. Le communiqué est maintenant affiché sur le site Web de l OICV à l adresse Le point sur le Code de conduite pour les agences de notation Dans son communiqué du 18 mai 2004, le Comité technique a également fait le point sur les travaux de son Groupe de travail des présidents chargé de l élaboration d un Code de conduite pour les agences de notation. L OICV adopte des Principes sur l identification des clients et les bénéficiaires effectifs sur les marchés financiers Le Comité des présidents de l OICV, formé de tous les membres de l Organisation, a entériné les Principles on Client Identification and Beneficial Ownership for the Securities Industry (Principes sur l identification des clients et les bénéficiaires effectifs), adoptés plus tôt au cours de la Conférence par le Comité technique et le Comité exécutif. L entérinement de ces Principes par le Comité des présidents représente un engagement des régulateurs des marchés financiers du monde en faveur de normes énergiques d identification des clients sur les marchés de valeurs mobilières. On trouvera de plus amples renseignements dans le communiqué du 18 mai Le renforcement de la coopération dans le cadre de l Accord multilatéral de l OICV L Accord multilatéral concernant la consultation, la coopération et l échange d information de l OICV 1, adopté en mai 2002, représente l aboutissement d années de travail à l OICV dans le domaine de la coopération et de l échange d information entre régulateurs. À l heure actuelle, 26 membres de l OICV ont signé l Accord multilatéral de l OICV et deux membres se sont joints à la liste de l Annexe B de l Accord multilatéral, s engageant ainsi à réaliser les réformes nécessaires pour adhérer à l Accord multilatéral. Les candidats qui souhaitent adhérer à l Accord multilatéral sont soumis à un processus rigoureux de sélection mis en œuvre par un groupe d experts choisis parmi les membres de l OICV. L OICV a annoncé aujourd hui que l Autorité du marché financier de la République slovaque a signé l Accord multilatéral. 1 Document public n 126 de l OICV, que l on peut consulter sur le site Web de l OICV à l adresse 2

3 L OICV tiendra une conférence de haut niveau à New York Le Comité technique travaille à organiser une conférence de haut niveau, qui se tiendra à New York les 28 et 29 octobre Les invités à la conférence comprendront des dirigeants d entreprises et des professionnels du marché provenant de tous les secteurs des marchés financiers, les présidents et d autres représentants de haut niveau du Comité technique et d autres membres de l OICV, des dirigeants d entreprises des autres secteurs des services financiers et des représentants de leurs autorités de contrôle, des représentants d autres organisations internationales, ainsi que des universitaires. Cette conférence visera à établir un dialogue approfondi concernant les questions critiques pour les marchés financiers. La conférence sera organisée autour de huit tables rondes dans lesquelles des communications seront présentées et les principales positions sur le plan de la politique seront définies. A la suite de la conférence, les actes de la conférence seront publiés. L OICV adopte une version électronique de sa méthode d évaluation L OICV a annoncé aujourd hui le lancement d une nouvelle version électronique, interactive de la Méthode d évaluation de l OICV pour la mise en œuvre des Objectifs et principes de la régulation financière 2, adoptée l an dernier. Cette version électronique vise à faciliter l autoévaluation des membres de l OICV et l évaluation par des tiers de régimes de régulation financière. Le programme d autoévaluation assistée de l OICV L OICV axe de plus en plus ses efforts sur la promotion de la mise en œuvre de ses principes par ses membres. La diversité de la structure des marchés de valeurs dans le monde, le degré variable de développement de ces marchés et les divers cadres institutionnels de régulation de ces marchés présentent de grands défis à l OICV et à ses membres en ce qui concerne la mise en œuvre intégrale des principes de l Organisation. Pour aider ses membres à y parvenir, le Comité exécutif de l OICV a approuvé en février 2003 un programme pilote visant à aider les membres de l Organisation à réaliser une autoévaluation de leur degré de mise en œuvre des Objectifs et principes de la régulation financière. Dans le cadre de ce programme pilote, des experts choisis par l OICV dans le personnel de ses membres aideront les membres participant au programme à évaluer le degré de mise en œuvre des Principes de l OICV dans leur pays au moyen d une méthode d évaluation innovatrice et à élaborer un plan d action en vue de corriger les lacunes relevées. Même si le programme en est à ses débuts, l OICV prévoit arriver, au moyen d efforts soutenus, à aider ses membres à atteindre la mise en œuvre intégrale des Principes de l OICV tels qu ils existent aujourd hui et tels qu ils pourront être élaborés dans l avenir. Dans le contexte de la mondialisation des marchés de valeurs, qui suppose un degré élevé d activité économique et d investissement transfrontière, tous les pays doivent élaborer et adopter un dispositif de régulation efficace pour les marchés financiers, de manière à protéger les investisseurs, à assurer des marchés équitables, efficaces et transparents, et à réduire le risque systémique. De plus, pour faciliter les enquêtes et les poursuites en matière de fraudes internationales sur les marchés, il faut poursuivre et renforcer le développement d un réseau 2 Cette méthode d évaluation a été adoptée en octobre Document public n 155 de l OICV;. on peut le consulter sur le site Web de l Organisation à l adresse 3

4 efficace de coopération entre les régulateurs des marchés dans la répression des infractions, comme le prévoit l Accord multilatéral. Le Groupe tripartite L OICV se félicite d avoir poursuivi sa collaboration avec le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire et l Association internationale des contrôleurs d assurance dans le cadre du Groupe tripartite. Dans son rapport intitulé Financial Disclosure in the Banking, Insurance and Securities Sectors: Issues and Analysis 3 (La communication financière dans les secteurs bancaire, de l assurance et des valeurs mobilières : questions et analyse), le Groupe tripartite examine l avancement des entreprises financières dans l adoption des recommandations formulées dans le rapport du Groupe multidisciplinaire sur l amélioration de la communication financière 4, publié en avril 2001, et les efforts des régulateurs et des autres organismes de normalisation dans le domaine de la communication financière. Le rapport d étude du Groupe de travail sur les marchés financiers islamiques Le secteur des services financiers islamiques a acquis de l importance dans le cadre du marché financier mondial. Le Comité exécutif a établi un Groupe de travail sur les marchés islamiques, chargé d effectuer une étude visant à apprécier le degré de développement des marchés financiers islamiques et les questions de régulation potentielles s y rattachant, et de procéder à la collecte de l information sur les produits financiers et activités financières islamiques. Ce groupe de travail a publié à l occasion de la Conférence une étude intitulée Islamic Capital Market Fact Finding Report 5 (Rapport sur les marchés financiers islamiques). Il s agit d un document d information qui expose la situation du secteur des services financiers islamiques en général et qui esquisse les questions clés au sujet des marchés financiers islamiques. Comptabilité, audit et information Normalisation comptable Le Comité technique poursuit sa coopération étroite avec l International Accounting Standards Board (IASB). Le Comité technique suit et appuie les travaux de l IASB, notamment les projets de norme inscrits dans son plan de travail actif, ainsi que les projets de recherche et les questions qui pourraient appeler des travaux futurs. Le Comité technique appuie les efforts du Conseil de surveillance de l IASC Foundation dans sa refonte de la constitution de l IASC par la participation à un sous-comité spécial du Comité consultatif de normalisation de l IASC, à des tables rondes publiques et à d autres réunions avec le Comité sur la constitution de l IASC Foundation. Le Comité technique a lancé un projet portant sur les interprétations par les régulateurs des normes d information financière internationales (IFRS) : il s agit de favoriser les Ce rapport sera publié sur le site Web de l OICV le 24 mai Document public n 116 de l OICV; on peut le consulter sur le site Web de l Organisation à l adresse Le texte sera publié sous peu sur le site Web de l OICV. 4

5 communications entre les membres de l OICV pour promouvoir l application uniforme des IFRS. Les principaux résultats de ce projet seront une base de données centrale des décisions des régulateurs et un mécanisme visant à faciliter les communications et la coopération entre les régulateurs et les autres organismes chargés de l application des normes en ce qui touche les IFRS. Le Comité technique s efforcera également de coordonner ses travaux dans le cadre de ce projet avec un projet similaire lancé par CESR-FIN. Le Comité technique a également lancé une autre initiative portant sur la vérification de la correcte application des IFRS, axée sur l éventail d activités et de pouvoirs se rapportant aux examens des états financiers des sociétés ouvertes par les régulateurs et par d autres autorités. Ce projet étudiera les pouvoirs et les activités intervenant dans le processus d examen, ainsi que les critères et les mesures à prendre, sans égard aux normes comptables appliquées. Le principal produit de ce projet sera une déclaration de principes de l OICV, des pratiques exemplaires et/ou des descriptions de modèles efficaces employés pour ces fonctions d examen. Ce projet devrait être achevé en Élaboration des normes d audit Le Comité technique et le Comité des marchés émergents continuent de participer aux discussions entre l International Federation of Accountants (IFAC) et les régulateurs internationaux concernant la procédure d élaboration des normes d audit internationales, notamment en ce qui concerne la formation du Public Interest Oversight Board (PIOB) (Conseil de surveillance de l intérêt public). L OICV appuie fermement les efforts de l IFAC à cet égard et attend avec impatience les résultats de ses délibérations sur la mise en place d une procédure améliorée d élaboration des normes internationales d audit et de mécanismes améliorés de surveillance, dans l intérêt public, de la profession d auditeur à l échelon international. Le Comité technique et le Comité des marchés émergents entreprendront sous peu une étude de la surveillance des auditeurs pour faire suite à la publication des principes généraux de l OICV sur la surveillance du vérificateur et sur son indépendance. L étude sera exhaustive, englobant non seulement la conformité aux principes établis par l OICV, mais aussi d autres aspects de la surveillance, notamment le cadre juridique. Le questionnaire visera également les pratiques existantes qui peuvent ne pas être conformes aux principes de l OICV, des renseignements de base sur ce qui constitue la pratique actuelle, ainsi que l avancement dans la mise en œuvre des principes. Les résultats de l étude seront communiqués aux autres normalisateurs internationaux et au Forum sur la stabilité financière. La régulation des marchés secondaires Au cours des dernières années, l utilisation d une contrepartie centrale, qu on trouvait sur les marchés dérivés, s est étendue à de nombreux marchés de valeurs, notamment les marchés au comptant et les marchés de gré à gré. Bien qu une contrepartie centrale permette de réduire l exposition potentielle aux risques des participants au marché, elle concentre aussi les risques et les responsabilités liés à la gestion de ces risques. C est pourquoi il est essentiel, pour l infrastructure des marchés qu elle dessert, que son contrôle des risques soit efficace et qu elle dispose de ressources financières adéquates. En raison de l intérêt croissant pour le développement des contreparties centrales et de l élargissement de la gamme de leurs services, le Comité sur les systèmes de paiement et de règlement des gouverneurs des banques centrales du G-10 et le Comité technique de l OICV ont conclu que des normes 5

6 internationales de gestion des risques des contreparties centrales constituent un élément essentiel en vue de promouvoir la sécurité des marchés financiers. En mars 2004, ils ont publié un rapport consultatif commun intitulé Recommendations for Central Counterparties 6 (Recommandations pour les contreparties centrales). Les personnes intéressées peuvent formuler des observations sur les recommandations proposées jusqu au 9 juin Les observations doivent être envoyées au Secrétariat du Groupe de travail à la Banque des règlements internationaux. Les programmes de rachat d actions sont en voie de devenir une pratique commune dans le monde entier. Ils soulèvent un certain nombre de questions pour les régulateurs, en particulier ce qui a trait au traitement approprié des actionnaires de la société et au besoin de veiller à ce que ces programmes soient menés d une manière compatible avec des marchés ordonnés et l intégrité du marché. Aussi, ces programmes sont-ils largement réglementés. Étant donné les questions soulevées, l augmentation du volume des opérations de rachat au cours des dernières années, l intérêt accru pour l utilisation des dérivés et la possibilité d effectuer le rachat des actions par des voies multiples, le Comité technique a entrepris d examiner le fonctionnement et la réglementation des programmes de rachat d actions et a publié un rapport intitulé Stock Repurchase Programs 7 (Les programmes de rachat d actions) (février 2004). Ce rapport définit et apprécie les questions ayant trait aux programmes de rachat d actions et donne une description détaillée des diverses approches adoptées pour leur régulation dans les pays représentés dans le Comité permanent du Comité technique sur la régulation des marchés secondaires. Le Comité technique a abordé les questions relatives à l évolution des marchés d obligations privées dans un rapport intitulé Transparency of Corporate Bond Markets 8 (La transparence des marchés d obligations privées). Le rapport passe en revue les méthodes de négociation, les mécanismes de transparence et le cadre de régulation des obligations privées, notamment les obligations de déclaration, sur les marchés d obligations privées dans les pays représentés au sein du Comité permanent du Comité technique sur la régulation des marchés secondaires. Il compare également les mécanismes de transparence entre ces pays et définit les principales questions qui se posent à l égard de la transparence des marchés d obligations privées. Le rapport propose un certain nombre de mesures fondamentales axées sur la mise en œuvre du Principe 27 des Objectifs et Principes de la régulation financière 9, qui dispose : «Les règles doivent favoriser la transparence des transactions.» Ces mesures fondamentales prévoient un accès plus grand à l information sur les opérations effectuées sur le marché obligataire et une surveillance du marché accrue pour améliorer les mécanismes de formation des cours et prévenir la manipulation de marché. Traditionnellement, les bourses ont été chargées d un certain nombre de fonctions de régulation, quasi publiques. La démutualisation et d autres structures nouvelles de propriété et d organisation ont cependant soulevé un certain nombre de problèmes de régulation; en particulier, on se préoccupe des conflits d intérêts potentiels entre l activité commerciale des Document public n 165 de l OICV; on peut le consulter sur le site Web de l Organisation à l adresse Document public n 161 de l OICV; on peut le consulter sur le site Web de l Organisation à l adresse Le rapport sera publié sous peu sur le site Web de l Organisation. Document public n 154 de l OICV; on peut le consulter sur le site Web de l Organisation à l adresse 6

7 bourses et leurs obligations de régulation. Aussi, le Comité technique et le Comité des marchés émergents ont-ils entrepris de nouveaux projets relatifs aux nouvelles structures de propriété et d organisation des bourses en vue de définir les réponses que doit donner la régulation aux questions soulevées. Le Comité technique a également approuvé un nouveau projet relatif aux politiques des bourses concernant les transactions erronées. Régulation des intermédiaires de marché Le Comité technique coopérera avec le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire (CBCB) et l Association internationale des contrôleurs d assurance sous les auspices du Groupe tripartite dans le cadre d un projet relatif à l «impartition». Les maisons de courtage font de plus en plus appel à des mécanismes confiant à d autres entreprises des aspects importants de leurs fonctions soumises ou non à la régulation. Par exemple, certaines maisons peuvent impartir les fonctions de tenue de dossiers, comme la production de relevés de compte, tandis que d autres ont engagé des tiers pour fournir des services d acheminement d ordre pour leur compte. Dans la mesure où ces activités sont imparties à des entités tierces, les régulateurs doivent veiller à ce que les fonctions soient exercées conformément aux politiques et procédures applicables et à ce que les autorités de contrôle en matière de valeurs mobilières soient en mesure de faire respecter ces politiques. Le Comité technique et le CBCB ont établi un groupe de travail mixte chargé d étudier les questions relatives au traitement des positions détenues dans leur portefeuille de négociation par les banques et les entreprises d investissement dans le cadre du nouvel accord de Bâle sur les fonds propres (Bâle II) 10. Le groupe mixte compte cerner et comprendre tout l éventail des questions liées au portefeuille de négociation et analyser les solutions proposées aux questions cernées. Coopération et échange d information L une des priorités de l OICV depuis sa formation a été de trouver des moyens de renforcer la capacité des membres à coopérer dans les enquêtes transfrontière sur les infractions liées aux valeurs mobilières. L Accord multilatéral de l OICV, annoncé en 2002, constitue un jalon important à cet égard. Le Comité technique reconnaît qu il n est guère utile de découvrir les faits dans les affaires transfrontalières si les auteurs des infractions peuvent conserver leurs profits illicites. Le Comité technique a donc recommandé une étude des pouvoirs dont disposent les régulateurs et les autres autorités dans un pays pour bloquer des actifs et les rapatrier dans le pays où les infractions ont été commises. Il s agit de définir un éventail de moyens pour faire face aux défis liés au blocage d actifs transfrontalier et au rapatriement de ces actifs. 10 Voir les paragraphes 642 à 647 du Nouvel accord, sur le site Web de la Banque des règlements internationaux à l adresse 7

8 OPCVM et gestion collective Les frais de gestion perçus par les fonds d investissement constituent depuis longtemps une préoccupation des régulateurs et de nombreux pays sont à revoir leur réglementation à ce sujet. Le Comité technique a achevé une étude des pratiques actuelles dans le domaine et a publié un rapport consultatif intitulé Elements Of International Regulatory Standards on Fees and Expenses of Investment Funds (Éléments de normes internationales sur les frais de gestion des fonds d investissement) (février 2004) 11. Les personnes intéressées peuvent formuler des observations sur ce rapport jusqu au 30 mai Les observations doivent être transmises au Secrétariat général de l OICV et seront prises en compte dans l élaboration des pratiques exemplaires de régulation dans le domaine. La croissance des OPCVM qui tracent un indice donné a incité le Comité technique à entreprendre une étude de la façon dont la gestion collective utilise les indices. Les résultats de cette étude sont présentés dans un rapport intitulé Index Funds and the Use of Indices by the Asset Management Industry (Les fonds indiciels et l utilisation des indices par la gestion collective) (février 2004) 12. Ce rapport résume l expérience des membres du Comité technique en matière de fonds indiciels et expose leurs vues sur les questions de régulation liées à l utilisation des indices par la gestion collective. Le document explore les thèmes clés qui se dégagent de l étude et souligne l importance et la croissance des fonds indiciels et de l indexation dans la gestion collective. Les principales questions et répercussions concernant la régulation des fonds indiciels et de l indexation sont également abordées en termes généraux. En février 2003, le Comité technique a publié un rapport consultatif intitulé Performance Presentation Standards for Collective Investment Schemes: Best Practice Standards (Norme de présentation de la performance des OPCVM : Normes sur les pratiques exemplaires) 13. Après un examen des observations reçues au cours de la consultation, le Comité technique a maintenant adopté la version définitive de ce rapport 14. Ce document propose des normes sur les pratiques exemplaires pour la présentation de la performance des OPCVM dans les publicités. Le «market timing» (l arbitrage de la valeur liquidative contre le marché), pratique consistant pour des arbitragistes à acheter ou à vendre rapidement des titres d OPCVM pour tirer profit de prix périmés dans la valeur liquidative d un OPCVM, augmente les coûts pour l OPCVM, nuit aux autres investisseurs et peut présenter, du fait de la diminution des rendements globaux de l OPCVM, un conflit d intérêts entre investisseurs. Cette pratique a amené les régulateurs à intervenir dans plusieurs pays dont les régulateurs sont membres de l OICV et le Comité technique a estimé qu il serait intéressant d examiner les différentes mesures prises dans le monde. Il a donc approuvé un nouveau mandat visant l élaboration de normes internationales sur les pratiques exemplaires dans ce domaine Document public n 164 de l OICV; on peut le consulter sur les site Web de l OICV à l adresse Document public n 163 de l OICV; on peut le consulter sur les site Web de l OICV à l adresse Document public n 144 de l OICV; on peut le consulter sur les site Web de l OICV à l adresse Ce document sera publié sous peu sur le site Web de l OICV. 8

9 L actualité récente en ce qui concerne les OPCVM a remis en question l efficacité du régime de gouvernance de certains exploitants d OPCVM. En réponse, le Comité technique a approuvé un nouveau mandat relatif à la gouvernance des OPCVM. Ces travaux viseront à définir de grands principes généraux, en partie sur le fondement des travaux antérieurs du Comité technique relatifs aux OPCVM (p. ex., les travaux portant sur les infrastructures de prise de décisions et sur les conflits d intérêts). D autres principes généraux pourront s ajouter, comme les obligations fiduciaires, les droits de l investisseur et la transparence de l information. Dans le cadre de ces travaux, le Comité technique procédera également à une enquête au sujet des divers modèles de gouvernance pour les différents types d OPCVM ainsi que du cadre et des procédures de contrôle interne, dans le but d apprécier l efficacité des cadres actuels pour la surveillance des obligations de régulation ou fiduciaires et les mécanismes actuels pour assurer la conservation des actifs des OPCVM. Autres activités du Comité des marchés émergents Le Comité des marchés émergents a également réalisé une étude sur les mécanismes d examen et d application des normes comptables sur les marchés émergents, dont les résultats ont été analysés par le Comité à Amman. Le Comité des marchés émergents a également entrepris une étude sur l application de la réglementation des offres publiques sur les marchés émergents. Le Comité a examiné, à Amman, un projet provisoire de rapport, fondé sur les résultats de l étude. Le rapport définitif est prévu pour le deuxième semestre de Le Comité consultatif des organismes d autorégulation Le Comité consultatif des organismes d autorégulation de l OICV a annoncé aujourd hui le lancement d un site Web à l adresse Le site a été organisé en vue de fournir des renseignements utiles au sujet des règles des organismes membres du Comité ainsi que d aider les courtiers à mieux comprendre leurs responsabilités lorsqu ils exercent leur activité dans des pays étrangers et de les sensibiliser à ces responsabilités. Le Comité consultatif des organismes d autorégulation a publié un rapport intitulé The Function of Compliance Officer - Study on What the Regulations of the Member s Jurisdictions Provide for the Function of Compliance Officer (La fonction de responsable de la conformité Étude de dispositions sur la fonction de responsable de la conformité dans les pays membres) (décembre 2003) 15. De façon générale, le responsable de la conformité est chargé de la surveillance du respect par la société membre de la réglementation applicable. A cette fin, il doit concevoir et maintenir des systèmes et contrôles appropriés pour l ensemble de la société et conseiller la direction et les personnes inscrites sur les questions de conformité. Selon les pays et les sociétés, le responsable de la conformité peut également jouer un rôle consultatif, comme un rôle de conseil et d appui pour des opérations ou pour d autres activités de la société. 15 Document public n 160 de l OICV; on peut le consulter sur le site Web de l OICV à l adresse 9

10 Formation L OICV et ses membres organisent divers séminaires et stages de formation tout au long de l année. Ces activités se déroulent dans toutes les régions du monde et bénéficient de la participation des membres de l OICV et de l expertise de leur personnel. Le Securities and Exchange Board de l Inde, avec l assistance du Secrétariat général de l OICV et du Comité de mise en œuvre de l OICV, a organisé un séminaire régional de formation à Mumbay, du 2 au 4 avril Le séminaire a proposé une formation sur l utilisation de la Méthode d évaluation de l OICV pour la mise en œuvre des Objectifs et principes de la régulation financière. Le Conseil des marchés financiers de Turquie, avec l assistance du Secrétariat général de l OICV, a organisé un séminaire de formation régional à Istanbul, du 26 au 29 avril Le séminaire portait sur la Directive de l UE sur les abus de marché et effectuait des comparaisons avec la réglementation sur l abus de marché dans les lois fédérales sur les valeurs mobilières des États-Unis. La Superintendencia de Compañías de l Équateur, avec l assistance du Secrétariat général de l OICV, tiendra un séminaire de formation régional à Quayaquil, en Équateur, du 7 au 11 juin Le séminaire portera sur la Méthode d évaluation de l OICV pour la mise en œuvre des Objectifs et principes de la régulation financière et sur l Accord multilatéral de l OICV. Le Comité des marchés émergents, avec l assistance du Secrétariat général de l OICV, accueillera un séminaire de formation régional à Taipei, les 24 et 25 février 2005, parrainé par la Commission des valeurs et des marchés à terme de Taipei chinois. Le séminaire portera sur la gouvernance d entreprise sur les marchés émergents, la façon d attirer les investisseurs sur les marchés émergents, la politique de protection des investisseurs ainsi que la mise en œuvre et l amélioration de la réglementation des OPCVM sur les marchés émergents. En 2004, le séminaire annuel de l OICV, organisé par le Secrétariat général, aura lieu à Madrid, en Espagne, en novembre. Il sera consacré aux aspects pratiques de l utilisation de la nouvelle version interactive de la Méthode d évaluation de l OICV pour la mise en œuvre des Objectifs et principes de la régulation financière qui est maintenant à la disposition des membres de l OICV sur le site Web de l Organisation et à l élaboration de plans d action pour mettre en œuvre les modifications de la réglementation nécessaires pour satisfaire aux normes exposées dans les Principes de l OICV. Panels de la Conférence Des panels ont eu lieu pendant la Conférence sur des questions clés de régulation : Nouveaux défis dans la régulation des OPCVM Les OPCVM constituent des instruments essentiels à la participation des investisseurs individuels et institutionnels aux marchés de valeurs. Les questions de délégation et de contrôle qui se posent dans la gestion pour compte de tiers et la facilité avec laquelle la personne chargée de la gestion peut abuser de la confiance des personnes qui ont placé leurs fonds auprès d elle justifient depuis longtemps la régulation des OPCVM et des exploitants d OPCVM. Récemment, des exemples de nouveaux types 10

11 d abus ont été mis au jour, par exemple les ordres passés hors délai, l arbitrage de la valeur liquidative contre le marché, des abus dans la fixation de la valeur liquidative et d autres pratiques de vente abusives. Les panélistes discuteront des différents types d abus qui ont été découverts récemment et des initiatives envisagées par les régulateurs pour les réprimer. La convergence internationale et la surveillance publique des normes comptables et de vérification La possibilité pour les investisseurs de déterminer la situation financière d un émetteur de titres et d apprécier ses perspectives de bénéfices constitue l un des fondements des marchés financiers internationaux. Les pratiques comptables et les règles applicables aux émetteurs se sont développées, historiquement, dans un cadre national. Toutefois, les placements de titres trans-frontières sont rendus plus difficiles en raison des variations entre les normes comptables nationales, l émetteur devant généralement établir des états financiers multiples, conformes aux normes comptables des divers pays où il effectue le placement des titres. Les organismes de normalisation comptable nationaux et internationaux s efforcent depuis un certain nombre d années d atteindre une plus grande convergence des normes comptables afin de favoriser les placements de titres internationaux. L intégrité des audits des sociétés exerçant leur activité à l échelle internationale est également essentielle au bon fonctionnement des marchés financiers. Pour assurer l intégrité des audits internationaux, il faut qu ils soient effectués conformément à des normes acceptées à l échelle internationale. L International Federation of Accountants (IFAC), organisme de normalisation international de la profession comptable, en coordination étroite avec l OICV, a entrepris une série de réformes visant à assurer la transparence du processus de normalisation, à établir un dialogue continu entre les régulateurs et la profession comptable et à instaurer une surveillance de la profession comptable en fonction de l intérêt public. Les panélistes ont discuté de l état d avancement des travaux en vue de la convergence des normes comptables, des propositions de réforme de l IFAC concernant les normes comptables et de leur importance pour les marchés financiers internationaux. Évolution récente des mécanismes de formation des cours sur les marchés de valeurs Le développement de la technologie de l information a suscité des innovations extraordinaires dans le fonctionnement des marchés financiers. La technologie de l information a notamment permis le développement des systèmes de négociation parallèles, des réseaux de communications électroniques et d autres mécanismes permettant d internaliser les ordres, ce qui peut entraîner une fragmentation de la liquidité du marché et rendre opaques les cours auxquels les titres se négocient dans les divers segments du marché. En outre, sur certaines places, les gestionnaires d actif traditionnels sont passés de stratégies de gestion active à des stratégies de gestion passive dont l objectif est d obtenir un rendement qui reproduit le mouvement d un indice du marché. En même temps, de nouveaux instruments de placement attirent de plus en plus de fonds, mettant en œuvre des stratégies plus actives et audacieuses. Les configurations des échanges et la dynamique du marché qui découlent de ces stratégies de négociation (souvent informatisées) ont des répercussions sur les mécanismes de formation des cours sur ces marchés. Les panélistes ont débattu de ces 11

12 tendances et de leur incidence sur les mécanismes de formation des cours sur les marchés de valeurs. Fusions, démutualisation et gouvernance des bourses de valeurs Le mode de propriété et les structures organisationnelles des bourses de valeurs sont en évolution sur de nombreuses places depuis un certain nombre d années. De plus en plus, les bourses abandonnent le mode de propriété traditionnel, selon lequel la bourse appartient aux agents de change qui exécutent des opérations sur la bourse, et adoptent la forme de la société, dans laquelle des tiers autres que les agents de change peuvent participer au capital de la bourse. En outre, nombre de bourses et de systèmes de règlement connexes fusionnent, en se consolidant au sein d un groupe unique, ou nouent des alliances avec d autres bourses et systèmes de règlement. Ces changements du mode de propriété et de la structure organisationnelle ont soulevé des questions au sujet de la capacité d une bourse à but lucratif d exercer correctement des fonctions de régulation à l égard des agents de change qui exécutent des opérations sur la bourse et d assurer une bonne surveillance du marché. Ces changements soulèvent également des questions au sujet de la suffisance des procédés et mécanismes de gouvernance des bourses, notamment en ce qui concerne la capacité de bourses à but lucratif de prendre en compte les intérêts contradictoires des actionnaires, des agents de change, des utilisateurs finaux et du public dans leurs décisions au sujet du fonctionnement et de la gestion de la bourse. Les panélistes ont discuté de ces tendances et de leurs répercussions sur la régulation et la gouvernance des bourses. Élections M. Andrew Sheng, Président de la Hong Kong Securities and Futures Commission, a été élu Président du Comité technique et M. Michel Prada, Président de l Autorité des marchés financiers de France, a été élu Vice-président. M. Dogan Cansizlar, Président du Conseil des marchés financiers de Turquie, a été réélu Président du Comité des marchés émergents et M. Bassam K. Saket, Président de la Commission des valeurs de Jordanie, a été réélu Vice-président. À la suite des élections tenues pendant la Conférence, le Comité exécutif se compose des membres suivants : les présidents du Comité technique et du Comité des marchés émergents : M. Andrew Sheng, Président de la Hong Kong Securities and Futures Commission, et M. Dogan Cansizlar, Président du Conseil des marchés financiers de Turquie; les Présidents des quatre Comités régionaux : M. Suleyman A. Ndanusa, Président du Comité régional Afrique/Moyen-Orient et Directeur général de la Securities and Exchange Commission du Nigeria; M. Koh Yong Guan, Président du Comité régional Asie-Pacifique et Directeur général de la Monetary Authority of Singapore; M. Fernando Teixeira dos Santos, Président du Comité régional européen et Président de la Comissão do Mercado de Valores Mobiliários du Portugal; 12

13 M. Marcelo Trindade, Président du Comité régional interaméricain et Président de la Comissão de Valores Mobiliários du Brésil; neuf membres élus par le Comité des présidents : le Financial Services Board d Afrique du Sud; la Securities and Investments Commission d Australie; la Commission de réglementation des valeurs de Chine; la Securities and Exchange Commission des États-Unis; l Autorité des marchés financiers de France; la Commissione Nazionale per le Società e la Borsa d Italie; la Commission des services financiers du Japon; la Commission des valeurs mobilières de l Ontario; la Financial Services Authority du Royaume-Uni; quatre membres élus par les Comités régionaux : la Commission des valeurs de Jordanie; la New Zealand Securities Commission; la Commission des valeurs et de la bourse de Pologne; la Comisión Nacional de Valores d Argentine. Tous les mandats sont pour une période de deux ans. Renouvellement du mandat du Secrétaire général Le Comité exécutif de l OICV a renouvelé le mandat du Secrétaire général, Philippe Richard, pour une période trois ans. Le nouveau mandat de M. Richard prendra fin en octobre Admission de nouveaux membres À l occasion de la Conférence, l OICV a admis trois nouveaux membres affiliés : la Bourse de Jakarta d Indonésie; le Karachi Stock Exchange du Pakistan; le Marché à terme de Taiwan (TAIFEX) de Taipei chinois. Par suite de ces nouvelles admissions, le nombre de membres de l OICV s élève à 174. Tenue des prochaines conférences L Organisation tiendra sa prochaine Conférence annuelle à Colombo, au Sri Lanka, à l invitation de la Securities and Exchange Commission du Sri Lanka, celle de 2006 à Hong Kong, à l invitation de la Securities and Futures Commission de Hong Kong, et celle de 2007 à Mumbay, en Inde, à l invitation du Securities and Exchange Board de l Inde. Pour obtenir des renseignements plus détaillés sur les activités de l'oicv, veuillez contacter le Secrétaire général de l OICV, M. Philippe Richard, au 34 (91) ou par courrier électronique à l adresse mail@oicv.iosco.org. 13

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme

Plus en détail

Récapitulatif: Du 04 au 15 Mai 2015. Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement.

Récapitulatif: Du 04 au 15 Mai 2015. Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement. Du 04 au 15 Mai 2015 Récapitulatif: Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement. Report du lancement de la plateforme T2S. Agrément de 10 CCP

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank

DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank Le Groupe Deutsche Bank Culture d excellence depuis 1870 Banque d investissement internationale de premier plan, dotée d un solide réseau de clientèle

Plus en détail

NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE OU AU JAPON

NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE OU AU JAPON Modalités principales de l émission des obligations à option de conversion et/ou d échange en actions Nexans nouvelles ou existantes (OCEANE) sans droit préférentiel de souscription ni délai de priorité

Plus en détail

p r o v i d i n g c o n f i d e n c e t h r o u g h p e r f o r m a n c e

p r o v i d i n g c o n f i d e n c e t h r o u g h p e r f o r m a n c e p r o v i d i n g c o n f i d e n c e t h r o u g h p e r f o r m a n c e Nos Services Trident Fund Services la division du groupe Trident Trust dédiée à l administration des fonds propose aux gestionnaires

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION Incidences du passage aux IFRS sur la comptabilité du secteur public PAR JIM KEATES, DIRECTEUR DE PROJETS, CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC, L INSTITUT CANADIEN DES COMPTABLES AGRÉÉS

Plus en détail

Société d investissement à capital variable Siège social : 49, avenue J.F. Kennedy, L-1855 Luxembourg R.C.S. Luxembourg B-119.

Société d investissement à capital variable Siège social : 49, avenue J.F. Kennedy, L-1855 Luxembourg R.C.S. Luxembourg B-119. Société d investissement à capital variable Siège social : 49, avenue J.F. Kennedy, L-1855 Luxembourg R.C.S. Luxembourg B-119.899 (la «Société») AVIS IMPORTANT AUX ACTIONNAIRES DE Luxembourg, le 8 mai

Plus en détail

COMITÉ DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA : ÉTUDE SUR LE CENTRE CANADIEN D ÉCHANGE DU RENMINBI

COMITÉ DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA : ÉTUDE SUR LE CENTRE CANADIEN D ÉCHANGE DU RENMINBI COMITÉ DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA : ÉTUDE SUR LE CENTRE CANADIEN D ÉCHANGE DU RENMINBI Introduction Mémoire de la City of London Corporation Présenté par le bureau du développement

Plus en détail

DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François

DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES Christophe Mianné, Luc François Sommaire Notre activité Nos atouts La gestion du risque Conclusion 2 Notre activité 3 Les métiers Distribution de produits dérivés actions

Plus en détail

CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION

CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION Club AM No17, Novembre 2007 David Angel, ITG (c) 2007 All rights reserved. Not to be reproduced without permission. Sommaire ITG experts en Best Execution Notion

Plus en détail

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda

Plus en détail

BLACKROCK GLOBAL FUNDS

BLACKROCK GLOBAL FUNDS CE DOCUMENT EST IMPORTANT ET REQUIERT VOTRE ATTENTION IMMEDIATE. En cas de doute quant aux mesures à prendre, consultez immédiatement votre courtier, votre conseiller bancaire, votre conseiller juridique,

Plus en détail

Fonds de placement en Suisse. Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT

Fonds de placement en Suisse. Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT Fonds de placement en Suisse Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT Table des matières Page Avant-propos 3 Définitions 4 Fonctionnement d un fonds de placement 6 Caractéristiques des fonds

Plus en détail

Passer à un modèle services de conseils tarifés. Parlons vrai avec les clients : les frais

Passer à un modèle services de conseils tarifés. Parlons vrai avec les clients : les frais Passer à un modèle services de conseils tarifés Parlons vrai avec les clients : les frais De plus en plus d investisseurs dans le monde exigent une meilleure transparence des frais de placement. Le Royaume-Uni

Plus en détail

Synopsis Fortis de l année 1998

Synopsis Fortis de l année 1998 Synopsis Fortis de l année 1998 1 Synopsis de l année 1998 Dans le courant de 1999, les activités de la Générale de Banque et de la CGER en Belgique et de MeesPierson, de la Generale Bank Nederland et

Plus en détail

Reporting AIFM : quelles obligations pour quels gestionnaires? Guide pratique pour répondre aux exigences de la directive AIFM

Reporting AIFM : quelles obligations pour quels gestionnaires? Guide pratique pour répondre aux exigences de la directive AIFM Reporting AIFM : quelles obligations pour quels gestionnaires? Guide pratique pour répondre aux exigences de la directive AIFM La directive AIFM vise à permettre aux régulateurs de surveiller le risque

Plus en détail

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ PRÉSENTATION 1 2 NOTRE MISSION Générer de la valeur pour nos clients, collaborateurs, partenaires et actionnaires, en offrant des services professionnels de qualité Suisse alliés à l efficacité asiatique.

Plus en détail

Charte de contrôle interne

Charte de contrôle interne Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien

Plus en détail

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE C 352/4 FR Journal officiel de l'union européenne 7.10.2014 III (Actes préparatoires) BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE AVIS DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 25 juillet 2014 sur une proposition de directive

Plus en détail

London Stock Exchange. Bourse de Casablanca le 12 mars 2011

London Stock Exchange. Bourse de Casablanca le 12 mars 2011 Le développement du marché d ETFs sur London Stock Exchange Bourse de Casablanca le 12 mars 2011 Programme Présentation du marché Croissance des produits ETFs & ETPs Renseignements opérationnels Admission

Plus en détail

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London

Plus en détail

Circulaire de la Commission fédérale des banques: Obligation de déclarer les transactions boursières (Obligation de déclarer) du xxx 2004

Circulaire de la Commission fédérale des banques: Obligation de déclarer les transactions boursières (Obligation de déclarer) du xxx 2004 Circ.-CFB 0X/.. Obligation de déclarer Projet Décembre 2003 Page 1 Circulaire de la Commission fédérale des banques: Obligation de déclarer les transactions boursières (Obligation de déclarer) du xxx 2004

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Rapport intérimaire sur la mise en œuvre du cadre réglementaire de Bâle Octobre 2013 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté,

Plus en détail

Politique d exécution des ordres

Politique d exécution des ordres Politique d exécution des ordres 01/07/2015 Document public La Banque Postale Asset Management 02/07/2015 Sommaire 1. Informations générales définitions obligations 3 1.1. Contexte 3 1.2. Rappel des textes

Plus en détail

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable PARVEST World Agriculture a été lancé le 2 avril 2008. Le compartiment a été lancé par activation de sa part N, au prix initial

Plus en détail

J.P. Morgan Asset Management

J.P. Morgan Asset Management J.P. Morgan Asset Management Insight + Process = Results Héritage du groupe JPMorgan Chase & Co. De la Bank of the Manhattan Company - première institution de l héritage du groupe agréée en 1799 à l acquisition

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

NIGERIA: FONDS DE PENSION, COMPAGNIES D ASSURANCE ET MARCHÉS DE CAPITAUX CHANGEANTS

NIGERIA: FONDS DE PENSION, COMPAGNIES D ASSURANCE ET MARCHÉS DE CAPITAUX CHANGEANTS NIGERIA: FONDS DE PENSION, COMPAGNIES D ASSURANCE ET MARCHÉS DE CAPITAUX CHANGEANTS Obi Ugochuku Directeur Général, GCA Capital Partners Co-Fondateur, BroadStreetLagos.Com Agenda 2 Introduction Les compagnies

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Fonds Jantzi RBC. Investissement. Des choix socialement responsables pour votre portefeuille de placements

Fonds Jantzi RBC. Investissement. Des choix socialement responsables pour votre portefeuille de placements Investissement Pour plus de renseignements sur les fonds Jantzi RBC, veuillez vous adresser à votre conseiller ou visiter www.rbc.com/jantzifonds Fonds Jantzi RBC Des choix socialement responsables pour

Plus en détail

Fonds Banque Nationale

Fonds Banque Nationale Fonds Titres de la Série Investisseurs (à moins d indication contraire) et titres de Série Conseillers, Série F, Série Institutionnelle, Série M, Série O, Série R, Série F5, Série T5, Série T, Série E

Plus en détail

CE COMMUNIQUÉ NE DOIT PAS ÊTRE PUBLIÉ, DISTRIBUÉ OU DIFFUSÉ, DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT, AUX ÉTATS-UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE, OU AU JAPON.

CE COMMUNIQUÉ NE DOIT PAS ÊTRE PUBLIÉ, DISTRIBUÉ OU DIFFUSÉ, DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT, AUX ÉTATS-UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE, OU AU JAPON. COMMUNIQUE DE PRESSE Émission par Ingenico d Obligations à Option de Conversion et/ou d Échange en Actions Nouvelles ou Existantes (OCEANE) Obtention du visa de l Autorité des marchés financiers Neuilly-sur-Seine,

Plus en détail

Examiner les risques. Guinness Asset Management

Examiner les risques. Guinness Asset Management Examiner les risques Guinness Asset Management offre des produits d investissement à des investisseurs professionnels et privés. Ces produits comprennent : des compartiments de type ouvert et investissant

Plus en détail

USD Call Spread 6 ans sur le Taux Swap USD 5 ans

USD Call Spread 6 ans sur le Taux Swap USD 5 ans Ce document de nature non contractuelle est une traduction préparée à votre demande. Ce document vous est fourni uniquement à titre d information. En cas de contradiction, seule la version anglaise de

Plus en détail

Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse

Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

FCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT. Notice d Information

FCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT. Notice d Information FCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097549 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun

Plus en détail

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil des normes internationales

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Introduction CHAPITRE CHAPITRE

TABLE DES MATIÈRES. Introduction CHAPITRE CHAPITRE TABLE DES MATIÈRES Introduction 1 Le diagnostic financier des sociétés et des groupes... 1 I. L analyse du risque de faillite... 2 A. L analyse fonctionnelle... 2 B. L analyse dynamique du risque de faillite

Plus en détail

Avis aux actionnaires de la Sicav "Pictet"

Avis aux actionnaires de la Sicav Pictet Avis aux actionnaires de la Sicav "Pictet" Pictet, Société d investissement à capital variable 15, av. J.F. Kennedy, L 1855 Luxembourg, R.C. Luxembourg n B 38 034 Il est porté à la connaissance des actionnaires

Plus en détail

Paris Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE»

Paris Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE» Paris Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE» Table ronde 3 : Revue de la stabilité financière de la Banque de France «Financement de l économie

Plus en détail

L OFFRE PEUT ÊTRE ACCEPTÉE JUSQU À 16 H (HEURE DE TORONTO) LE 25 OCTOBRE 2013 (L «HEURE D EXPIRATION»), À MOINS QU ELLE NE SOIT PROLONGÉE OU RETIRÉE.

L OFFRE PEUT ÊTRE ACCEPTÉE JUSQU À 16 H (HEURE DE TORONTO) LE 25 OCTOBRE 2013 (L «HEURE D EXPIRATION»), À MOINS QU ELLE NE SOIT PROLONGÉE OU RETIRÉE. LE PRÉSENT DOCUMENT N EST PAS UNE LETTRE D ENVOI. LE PRÉSENT AVIS DE LIVRAISON GARANTIE DOIT ÊTRE UTILISÉ POUR L ACCEPTATION DE L OFFRE DE DENISON MINES CORP. VISANT L ACQUISITION DES ACTIONS ORDINAIRES

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

DOSSIER DE 2014/2015

DOSSIER DE 2014/2015 DOSSIER DE Candidature 2014/2015 CADRE RESERVE A L ADMINISTRATION Lettre de motivation CV Photo Enveloppes Baccalauréat Bac +... Fiche de pointage Date de réception 1 Nom, prénom :...............................................................

Plus en détail

HSBC ETFs PLC PROSPECTUS. 6 octobre 2014

HSBC ETFs PLC PROSPECTUS. 6 octobre 2014 Il est recommandé aux investisseurs potentiels de lire attentivement ce Prospectus dans son intégralité et de consulter un courtier, un conseiller bancaire, un juriste, un comptable ou tout autre conseiller

Plus en détail

FAIRFAX INDIA HOLDINGS CORPORATION

FAIRFAX INDIA HOLDINGS CORPORATION États financiers consolidés Pour la période close le 31 décembre 2014 1 Le 25 mars 2015 Rapport de l auditeur indépendant Au conseil d administration de Fairfax India Holdings Corporation Nous avons effectué

Plus en détail

Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013

Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013 Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement Novembre 2013 Introduction L AFIC, qui souhaite promouvoir activement le rôle des femmes dans les métiers du capital investissement,

Plus en détail

Message des associés. En bref

Message des associés. En bref En bref En bref Février 2015 Agir dans l'intérêt de nos clients que nous rencontrons fréquemment afin de rester attentifs à leurs besoins fait partie intégrante des responsabilités que nous assumons en

Plus en détail

FIRST ASSET REIT INCOME FUND. Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013

FIRST ASSET REIT INCOME FUND. Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013 FIRST ASSET REIT INCOME FUND Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013 Fonds : First Asset REIT Income Fund Titres :, Période

Plus en détail

FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE. Notice d Information

FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE. Notice d Information FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097559 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente. Insight + Process = Results

Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente. Insight + Process = Results Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente Insight + Process = Results Des fondamentaux solides Un potentiel de diversification Dans un environnement

Plus en détail

CENTRE DE FORMATION. Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers

CENTRE DE FORMATION. Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers CENTRE DE FORMATION Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers Nos formations à Genève Diplôme Compliance Officer Spécialiste Marchés Financiers Objectifs La volonté du Centre de Formation

Plus en détail

Produits complexes. Produits non complexes. Risques généraux liés aux opérations de trading

Produits complexes. Produits non complexes. Risques généraux liés aux opérations de trading Nous proposons un large éventail de produits d investissement présentant chacun des risques et des avantages spécifiques. Les informations ci-dessous offrent une description d ensemble de la nature et

Plus en détail

Mon Master à l ESTIM

Mon Master à l ESTIM Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique L Ecole Supérieure des Technologies d Informatique et de Management Mon Master à l ESTIM Livret des études «A l ESTIM Business School

Plus en détail

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance Le présent document a été élaboré et approuvé par le

Plus en détail

Composition du Comité consultatif indépendant d experts de la Surveillance

Composition du Comité consultatif indépendant d experts de la Surveillance CONSEIL EXÉCUTIF EB132/31 Cent trente-deuxième session 9 novembre 2012 Point 13.3 de l ordre du jour provisoire Composition du Comité consultatif indépendant d experts de la Surveillance Rapport du Secrétariat

Plus en détail

Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy. CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA

Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy. CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA Novembre 2014 Le présent document est rendu accessible aux clients

Plus en détail

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

France. Ressources humaines : un savoir-faire d experts

France. Ressources humaines : un savoir-faire d experts France Ressources humaines : un savoir-faire d experts France Ressources humaines : un savoir-faire d experts MERCER HUMAN RESOURCE CONSULTING Un pont entre les ressources humaines et la finance..........

Plus en détail

Règlement de Gestion. Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg)

Règlement de Gestion. Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg) Règlement de Gestion Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg) Fonds commun de placement à compartiments («Compartiments») multiples de droit luxembourgeois Juillet 2011 Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg),

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL. N 73 Mars 2004

UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL. N 73 Mars 2004 Lab.RII UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL N 73 Mars 24 La Bourse en Chine : éléments clés Peng YANG 1 La Bourse en Chine : éléments

Plus en détail

Communiqué de presse Ne pas distribuer, directement ou indirectement, aux Etats-Unis, au Canada, en Australie ou au Japon

Communiqué de presse Ne pas distribuer, directement ou indirectement, aux Etats-Unis, au Canada, en Australie ou au Japon Ce communiqué ne constitue pas une offre de valeurs mobilières aux Etats-Unis ni dans tout autre pays. Les Obligations (et les actions sous-jacentes) ne peuvent être ni offertes ni cédées aux Etats-Unis

Plus en détail

LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA

LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA Plan INTRODUCTION 1 / LA SOCIÉTÉ DE BOURSE DE CASABLANCA 2 / L AUTORITE DE SURVEILLANCE (CDVM) 3 / LES SOCIETES DE BOURSE 4 / LES ORGANISMES DE PLACEMENT

Plus en détail

Une information plus détaillée sur ce document est disponible sur demande écrite.

Une information plus détaillée sur ce document est disponible sur demande écrite. RESUME DE LA POLITIQUE DE PREVENTION ET DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS DU GROUPE CREDIT AGRICOLE APPLIQUEE A LA CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE CHARENTE- PERIGORD 1) PRESENTATION Le Groupe Crédit

Plus en détail

OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM)

OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM) OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM) CODE DE CONDUITE À L INTENTION DES SOCIÉTÉS RÉGLEMENTÉES PAR L OCRCVM QUI NÉGOCIENT SUR LES MARCHÉS

Plus en détail

Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit

Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Annexe Circulaire _2009_19-1 du 8 mai 2009 Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Champ d'application: Commissaires agréés. Réglementation de base Table

Plus en détail

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue anglaise régira à tous égards vos droits et obligations. L

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON COMMUNIQUE PUBLIE EN APPLICATION DU REGLEMENT GENERAL DE L AUTORITE DES MARCHES FINANCIERS

NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON COMMUNIQUE PUBLIE EN APPLICATION DU REGLEMENT GENERAL DE L AUTORITE DES MARCHES FINANCIERS Informations NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON Air France place avec succès 402,5 millions d euros d OCEANE en actions Air France-KLM sur les marchés de capitaux Visa de l Autorité

Plus en détail

1. FAIR Canada est favorable aux obligations d information sur les coûts et le rendement

1. FAIR Canada est favorable aux obligations d information sur les coûts et le rendement 10 avril 2014 Richard J. Corner Vice-président à la politique de réglementation des membres Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 121, rue King Ouest, bureau 2000 Toronto

Plus en détail

Conditions d utilisation de la plateforme de trading bilatérale

Conditions d utilisation de la plateforme de trading bilatérale Conditions d utilisation de la plateforme de trading bilatérale 1. But et structure 1 Les présentes Conditions régissent l utilisation de la plateforme de trading bilatérale. 2 L exploitant de la plateforme

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE

POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE 1. OBJET La présente politique vise à garantir la conformité D EXANE SA, EXANE DERIVATIVES, EXANE OPTIONS, EXANE LIMITED et leurs succursales concernées

Plus en détail

Fonds communs de placement de la HSBC Notice annuelle

Fonds communs de placement de la HSBC Notice annuelle Le 25 juin 2015 Fonds communs de placement de la Notice annuelle Offre de parts de série investisseurs, de série conseillers, de série privilèges, de série gestionnaires et de série institutions des Fonds

Plus en détail

Historique des normes et des règlements encadrant les contrôles internes

Historique des normes et des règlements encadrant les contrôles internes Nouvelles normes techniques pour les audits financiers : Comment les auditeurs informatiques réunissent des éléments probants afin d évaluer les contrôles internes Tommie Singleton, Ph. D., CISA, CMA,

Plus en détail

Vu les faits et les arguments soumis par IFE au soutien de la demande, notamment :

Vu les faits et les arguments soumis par IFE au soutien de la demande, notamment : DÉCISION N 2014-PDG-0177 Dispense de reconnaissance d ICE Futures Europe à titre de bourse et de marché organisé en vertu de l article 12 de la Loi sur les instruments dérivés, RLRQ, c. I-14.01 Dispense

Plus en détail

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ PRÉSENTATION NOTRE MISSION Générer de la valeur pour nos clients, collaborateurs, partenaires et actionnaires, en offrant des services professionnels de qualité Suisse alliés à l efficacité asiatique.

Plus en détail

GROUPE DE DIRECTION DE L OCDE SUR LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE LE RÔLE DES BOURSES DANS LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE

GROUPE DE DIRECTION DE L OCDE SUR LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE LE RÔLE DES BOURSES DANS LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE GROUPE DE DIRECTION DE L OCDE SUR LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE Rapport: LE RÔLE DES BOURSES DANS LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE Le présent document met en lumière les principales questions qui se posent

Plus en détail

À quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié?

À quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié? Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 5 avril 2011 Français Original: anglais ECE/CES/2011/9 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Cinquante-neuvième

Plus en détail

Les compartiments Wealth de BNP PariBas Portfolio foff

Les compartiments Wealth de BNP PariBas Portfolio foff Les compartiments Wealth de BNP PariBas Portfolio foff Document promotionnel Juin 2015 Wealth Stability et Wealth Balanced: compartiments de la sicav de droit luxembourgeois BNP PariBas Portfolio fof Votre

Plus en détail

SYNERGIE Société Anonyme au capital de 121.810.000 euros 11 Avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS 329 925 010 RCS PARIS

SYNERGIE Société Anonyme au capital de 121.810.000 euros 11 Avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS 329 925 010 RCS PARIS SYNERGIE Société Anonyme au capital de 121.810.000 euros 11 Avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS 329 925 010 RCS PARIS REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA SOCIETE SYNERGIE Approuvé par

Plus en détail

Pleins feux sur les IFRS Règles sur la juste valeur Nouvelles exigences pour les entités d investissement

Pleins feux sur les IFRS Règles sur la juste valeur Nouvelles exigences pour les entités d investissement Bureau mondial des IFRS Novembre 2012 Pleins feux sur les IFRS Règles sur la juste valeur Nouvelles exigences pour les entités d investissement Table des matières Contexte Le modèle général Participations

Plus en détail

Le présent communiqué est publié en application de l article 6 du règlement 2002-04 de la Commission des opérations de bourse.

Le présent communiqué est publié en application de l article 6 du règlement 2002-04 de la Commission des opérations de bourse. 12 mars 2004 Le présent communiqué est publié en application de l article 6 du règlement 2002-04 de la Commission des opérations de bourse. L Offre et la diffusion au public de la note d information restent

Plus en détail

Fonds d investissement Tangerine

Fonds d investissement Tangerine Fonds d investissement Tangerine Prospectus simplifié Portefeuille Tangerine revenu équilibré Portefeuille Tangerine équilibré Portefeuille Tangerine croissance équilibrée Portefeuille Tangerine croissance

Plus en détail

INFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON

INFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON 2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE

Plus en détail

Internationalisation du secteur bancaire Perspective de l autorité de surveillance

Internationalisation du secteur bancaire Perspective de l autorité de surveillance Internationalisation du secteur bancaire Perspective de l autorité de surveillance Dr Nina Arquint, Membre de la Direction de la FINMA Structure internationale en matière de réglementation et de surveillance

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

Résultats du Sondage sur la meilleure exécution. Avis sur les règles Avis technique RUIM et Règles des courtiers membres

Résultats du Sondage sur la meilleure exécution. Avis sur les règles Avis technique RUIM et Règles des courtiers membres Avis sur les règles Avis technique RUIM et Règles des courtiers membres Personnes-ressources : Naomi Solomon Avocate principale aux politiques, Politique de réglementation des marchés Téléphone : 416 646-7280

Plus en détail

Politiques et lignes directrices

Politiques et lignes directrices Politiques et lignes directrices En vigueur le 13 janvier 2014 Le mandat du diplômes de droit (le «CNE») est d évaluer les titres de compétences et l expérience professionnelle des candidats ayant fait

Plus en détail

Catégorie Fidelity Services financiers mondiaux de la Société de Structure de Capitaux Fidelity

Catégorie Fidelity Services financiers mondiaux de la Société de Structure de Capitaux Fidelity Catégorie Fidelity Services financiers mondiaux de la Société de Structure de Capitaux Fidelity Rapport semestriel de la direction sur le rendement du Fonds 31 mai 2015 Mise en garde à l égard des énoncés

Plus en détail

Gestion des risques de fraude

Gestion des risques de fraude SERVICES-CONSEILS GESTION DES RISQUES Gestion des risques de fraude Une approche proactive visant à lutter contre le risque de fraude et de malversation kpmg.ca/juricomptabilite 2014 KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l.,

Plus en détail

la séparation totale des activités des postes et télécommunications;

la séparation totale des activités des postes et télécommunications; LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,

Plus en détail