RAPPORT DE CERTIFICATION DU CENTRE HOSPITALIER D ÉTAMPES. 26, avenue Charles-de-Gaulle ÉTAMPES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RAPPORT DE CERTIFICATION DU CENTRE HOSPITALIER D ÉTAMPES. 26, avenue Charles-de-Gaulle 91152 ÉTAMPES"

Transcription

1 RPPORT DE CERTIFICTION DU CENTRE HOSPITLIER D ÉTMPES 26, avenue Charles-de-Gaulle ÉTMPES Mars 2007

2

3 S O M M I R E PRÉSENTTION DE L ÉTBLISSEMENT p. 5 Chapitre IV Évaluations et dynamiques d amélioration p. 76 PRTIE 1 Pratiques professionnelles p. 77 DÉMRCHE QULITÉ ET CCRÉDITTION p. 8 B Ressources humaines p. 87 C Fonctions hôtelières et logistiques p. 88 I Historique et organisation de la démarche qualité p. 9 D Système d information p. 89 II Suivi des décisions de la première procédure E Qualité et gestion des risques p. 90 p. 10 d accréditation F Orientations stratégiques p. 93 III ssociation des usagers à la procédure d accréditation p. 17 IV Interface avec les tutelles en matière de sécurité p. 17 PRTIE 3 COMMENTIRES SYNTHÉTIQUES p. 94 PRTIE 2 CONSTTTIONS PR CHPITRE p. 18 I Commentaires synthétiques par type de prise en charge p. 95 II ppréciation globale sur la dynamique qualité p. 98 Chapitre I Politique et qualité du management p. 19 III Liste des actions exemplaires p. 99 Chapitre II Ressources transversales p. 27 PRTIE 4 DÉCISIONS DE L HUTE UTORITÉ DE SNTÉ p. 101 Ressources humaines p. 28 B Fonctions hôtelières et logistiques p. 31 C Organisation de la qualité et de la gestion des risques p. 35 INDEX p. 102 D Qualité et sécurité de l environnement p. 38 E Système d information p. 44 Chapitre III Prise en charge du patient p. 48 Orientations stratégiques et management des secteurs d activité p. 49 B Parcours du patient p. 51

4

5 PRÉSENTTION DE L ÉTBLISSEMENT Date de la visite de certification : du 15 janvier 2007 au 19 janvier 2007 Nom de l établissement Situation géographique Statut (privé-public) Type de l établissement (CHU, CH, CHS, HL, PSPH, Ets privé à but lucratif) Nombre de lits et places (préciser la répartition des lits par activité, non par service (MCO, SSR, USLD)) Nombre de sites (de l ES et leur éloignement s il y a lieu) ctivités principales (par exemple : existence d une seule activité ou d une activité dominante) ctivités spécifiques (urgences, soins ambulatoires, consultations externes spécialisées, hospitalisation sous contrainte, etc.) Secteurs faisant l objet d une reconnaissance externe de la qualité Centre hospitalier d Étampes Ville : Étampes Département : Essonne Privé Centre hospitalier Région : Île-de-France MCO 140 lits et 9 places, SSR 20 lits, SLD et cure médicale 205 lits, autres activités de soins (pédiatrie et UHCD) 11 lits et 3 places. Un Hospitalisation complète Réanimation, accueil et traitement des urgences, SMUR, soins ambulatoires et de semaine consultations externes spécialisées Centre hospitalier d Étampes/Code FINESS /Mars /106 -

6 Coopération avec d autres établissements (GCS, SIH, conventions ) Origine géographique des patients (attractivité) EPS Barthélémy-Durand Participation de l EPSBD à la prise en charge à compter du 22/02/2005 psychiatrique des patients du CH d Étampes Résidence «Saint-Jacques» Partenariat pour la prise en charge de patients à compter du 22/ Boutigny sur Orge en fonction de leur pathologie Maison de retraite «Les Partenariat pour la prise en charge de patients à compter du 22/10/2005 Tourelles de Maisse» en fonction de leur pathologie ssociation «HIPPOCMPES» Prise en charge optimale des patients atteints de à compter du 18/05/2005 Corbeil la maladie d lzheimer ssociation IRPB à Chartres Prise en charge et hospitalisation des patients en à compter du 27/04/2005 E.S. NephroCare IDF à Créteil insuffisance rénale chronique traités pour dialyse ssociation lzheimer Essonne ccueil et soins de proximité des personnes âgées à compter du 01/01/2005 GE 91 à Champcueil atteintes de démence de type lzheimer et troubles apparentés EPS Barthélémy-Durand Consultations hebdomadaires à l EPS Barthélemy- à compter du 01/01/2004 Durand de soins dentaires et prestations d orthodontie pour des patients et des pensionnaires de la Maison de retraite du CH Étampes Clinique de Rééducation Transfert de patients après intervention chirurgicale à compter du 23/11/2004 Fonctionnelle de Villiers-sur-Orge au CH Étampes, pour réadaptation fonctionnelle avant «REPOTEL» de regagner le domicile ssociation SPES à Corbeil Prise en charge optimale des patients atteints d une à compter du 23/11/2004 Maladie chronique grave évolutive ou terminale à leur Domicile Clinique de SCLS Coopération en vue de l organisation d un réseau de à compter du 7/01/2003 Soins Réseau Pédiatrique du Sud Convention en vue de l organisation d un réseau pour Signature janvier 2006 et Ouest Francilien améliorer la qualité du suivi des grands prématurés et et des autres nouveau-nés à risque Centre Hospitalier de Convention de coopération pour le partage de temps Pithiviers médical dans les disciplines suivantes : - nesthésie depuis janvier Urgences SMUR depuis janvier Chirurgie depuis janvier Gynécologie depuis mars 2004 Le département de l Essonne est le premier département pour les hospitalisations (entre 65 % et 83 % pour le MCO, 90 % pour le SLD et 82 % pour le SSR). Le Loiret est le deuxième département dont sont issus les patients du CH d Étampes. - 6/106 -

7 Transformations récentes (réalisées ou projetées, ou projets de restructuration) Le syndicat interhospitalier mis en place avec le CH de Pithiviers a été dissous le 31 décembre Les travaux de restructuration du service des urgences sont en cours. Le SROSS prévoit le regroupement des services de réanimation de Dourdan, rpajon sur le site d Étampes mi-2008, ce qui conduira à une augmentation des lits de réanimation sur l établissement. L élaboration d un plan directeur est confiée à un cabinet d architectes. - 7/106 -

8 PRTIE 1 DÉMRCHE QULITÉ ET CCRÉDITTION - 8/106 -

9 I Historique et organisation de la démarche qualité près la première visite des experts-visiteurs la démarche qualité de l établissement s est essoufflée du fait du départ du directeur et d une succession de quatre intérims ou remplacements temporaires. L arrivée début 2005 de la direction actuellement en place, le recrutement d un directeur adjoint, qui a pris ses fonctions en juillet 2005, et d un ingénieur (juin 2005) chargés de la qualité et de la gestion des risques sont à l origine d une restructuration de l organisation qualité et d une relance de cette dynamique. Le comité pilotage a été relancé et la cellule qualité gestion des risques a été réactivée avec élargissement de ses missions (septembre 2005). C est le seul élément qui a continué à fonctionner depuis la visite en V1. Elle a continué à gérer les signalements des événements indésirables compte tenu de l implication des professionnels dans l utilisation de ce système. Cette cellule se réunit tous les 15 jours. En février 2006 un comité de coordination des vigilances a été créé. Il se réunit environ trois fois par an. Des axes prioritaires de la politique qualité sont définis. Le listing des actions à conduire basée sur la V1 et l auto-évaluation de la V2 évolue. Le dernier PQ a été présenté aux instances en décembre À ce jour 7 groupes de travail ont en charge des actions concernant : le dossier patient archives, l informatisation du circuit du médicament, la lutte contre le bruit en chirurgie, la gestion documentaire, les risques professionnels, le tutorat, la sécurité du système d information. Par ailleurs un groupe assure plus particulièrement le suivi des recommandations de la V1. Un réseau de correspondants qualité est en train de se mettre en place. Des médecins en font partie. La communication sur la qualité est assurée par La Gazette de la qualité mensuelle. - 9/106 -

10 II. Suivi des décisions de la première procédure d accréditation Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Recommandation Recommandation Libellé de la décision Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Généraliser le recueil du consentement pour le dépistage des En cours maladies infectieuses, notamment du VIH Généraliser les prescriptions médicales écrites, identifiées, datées et signées Oui Commentaires Mesure en cours Mettre en place la traçabilité des demandes par la mise en place d un bon de laboratoire adapté Échéance prévue : novembre 2006 Mesures réalisées - Rappel des règles de prescriptions aux médecins de garde - Dans le cadre du dossier patient : procéder à une évaluation du pourcentage des dossiers conformes en ce qui concerne les prescriptions médicales (juin à août 2006) Mesure en cours : Informatisation de la prescription. Mise en place d un logiciel de prescription. Échéance prévue : achat Début de l installation septembre Fin : 4 e trimestre 2008 ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Oui En cours Commentaires Les bons d examen ont été modifiés. Ils sont pourvus d une case information du patient. Celle-ci est cochée par le médecin. L infirmière avant d effectuer le prélèvement s assure que la case est remplie. En médecine, les prescriptions sont informatisées. En chirurgie, en SSR, en SLD les prescriptions sont datées, écrites et signées par le médecin. Cependant l identification est à parfaire dans l attente de la généralisation de l informatisation. - 10/106 -

11 Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Recommandation Recommandation Libellé de la décision ssurer la sécurité de dispensation des médicaments Formaliser développer politique communication et la de Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Oui En cours Commentaires Mesure en cours : Mise en place d un logiciel de prescription Échéance prévue : achat Début de l installation septembre Fin : 4 e trimestre 2008 Mesure réalisée : Sécuriser la distribution du médicament et des dispositifs médicaux (réactivation de la COMEDIMS sept 2006, programme de bon usage des antibiotiques, établissement d une procédure d organisation de la prescription junior, sept 2006) Mesure réalisée : Finaliser le livret d accueil Échéance prévue : septembre 2006 Mesure réalisée : Élaborer un plan de ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) En cours Oui Commentaires La traçabilité de la dispensation des médicaments est assurée par les IDE, soit par voie informatique ou par écrit. Cependant la dispensation des médicaments n est pas nominative dans la plupart des services ce qui ne permet pas à la pharmacie d assurer le contrôle des traitements. L établissement modifie les supports en place concernant les prescriptions médicales pour éradiquer la pratique de la retranscription par les IDE dans les secteurs non informatisés. Les préparations relatives aux chimiothérapies sont décentralisées. Néanmoins l installation permet le respect des bonnes pratiques vis-àvis du patient. L échéance de fin 2008 est prévue pour finaliser l installation du logiciel et mettre à plat secteur par secteur le circuit du médicament comme en secteur médecine. Une politique de communication interne et externe a été définie. Elle a été formalisée lors de l élaboration du Plan de communication de Les objectifs y figurent ainsi que les moyens à mettre en œuvre. - 11/106 -

12 Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Libellé de la décision Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Commentaires communication sur 5 ans Échéance prévue : septembre 2006 Mesure réalisée : Formaliser la procédure d accueil du personnel Échéance prévue : juin 2006 Mesure réalisée : mettre en place un comité de communication Échéance prévue : septembre 2006 Mesure en cours : mettre en place un intranet Échéance prévue : septembre 2006 Mesure programmée : Mettre en place un site internet Échéance prévue : juillet 2007 Mesure réalisée : Mettre en place une Gazette de la qualité Réalisé en septembre 2005 Mesure réalisée : améliorer l identité visuelle du centre hospitalier (organisation d un concours pour un nouveau logo et un nouveau nom) Réalisé en septembre 2006 ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Commentaires Des actions sont déjà réalisées et une dynamique est en place. - 12/106 -

13 Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Recommandation Recommandation Libellé de la décision Définir et mettre en œuvre le projet social Formaliser le plan annuel d amélioration des conditions de travail Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) En cours En cours Commentaires Mesure en cours : Élaborer le projet social (Un «projet social expérimental » a été présenté aux instances en juin 2006 et servira de socle à la définition du projet social) Échéance prévue : mars 2007 Mesure en cours : Élaborer le projet médical Échéance prévue : décembre 2006 Mesure en cours : Rédiger et valider le plan d amélioration des conditions de travail Échéance prévue : décembre 2006 ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) En cours Non Commentaires Des axes qui s étaient développés de façon autonome ont été regroupés au sein d un document de 12 pages qui représentent «l ébauche du projet social». Ce document a été présenté aux instances. Ces axes concernent «le maintien des savoirs faire et des valeurs, la clarification des règles de gestion, les évolutions professionnelles des agents, l amélioration des conditions de travail et la prévention du risque professionnel». Une enquête de satisfaction a été conduite auprès des professionnels tous secteurs confondus en 2006 et doit être exploitée dans l élaboration du projet social. Cependant à ce jour celui-ci n est pas formalisé. Le document unique sur les risques professionnels a été finalisé en octobre Un projet de demande de financement pour la mise en place d actions de prévention n a pas abouti. Ce document unique est en cours de réactualisation depuis la fin de Le projet social n est pas - 13/106 -

14 Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Recommandation Libellé de la décision Définir un plan d amélioration de la qualité du système d information Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) En cours Commentaires Mesure en cours : Mettre à jour le schéma directeur des systèmes d information Échéance prévue : décembre 2006 Mesure en cours : Mise en place d un intranet Échéance prévue : septembre 2006 Mesure en cours : Mettre à jour la politique de sécurité charte, mots de passe et politique d accès aux informations (réactiver le collège du DIM) Échéance prévue : juin 2007 Mesure réalisée : Généraliser le dossier patient informatique Échéance prévue : juin 2006 Mesure en cours : Organiser le système documentaire papier Échéance prévue : mars 2007 Mesure en cours : Mettre en place le dossier patient ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Non Commentaires formalisé. Il n y a pas de plan d améliorations des conditions de travail. Le projet de schéma directeur du système d information, prévu pour la période n ayant pas abouti, un autre projet a été écrit. Il ne constitue cependant qu une proposition devant être validée pour devenir le schéma directeur. Des propositions d actions d amélioration ont été rédigées, mais aucun plan d amélioration de la qualité du système d information n est en place ou défini à ce jour. - 14/106 -

15 Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Libellé de la décision Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Commentaires unique Échéance prévue : 1 er semestre 2007 Mesure en cours : Mettre en place un site internet Échéance prévue : juin 2007 Mesure en cours : Organiser la gestion documentaire informatisée Échéance prévue : fin 2007 ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Commentaires Recommandation Formaliser la politique qualité En cours Mesure réalisée - Version 1 PQ Suivi V1-V2 (validé aux instances de Juin) Échéance prévue : mai 2006 Mesure réalisée - Évaluation des risques a priori pour le patient (juin-juillet 2006) Échéance prévue : juillet 2006 Mesure réalisée Évaluation des risques a posteriori Échéance prévue : mai 2006 Mesure en cours : Bilan et recommandations du CCV Échéance prévue : Oui La politique qualité a été déterminée au sein d un projet qualité à partir des recommandations de la première version de l accréditation et donne lieu a un d un plan d amélioration qualité. Ce plan est synthétisé et formalisé en 3 axes et 7 principes validés par les instances. Le prochain projet d établissement intégrera un volet qualité risques. Une organisation qualité et risques est en place. La cellule qualité et gestion des risques a pour mission principale de mettre en œuvre la politique qualité et de gestion de risques. - 15/106 -

16 Niveau de décision (Recommandation/ Réserve) Libellé de la décision Réponses de l établissement Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Commentaires décembre 2006 ppréciation des experts-visiteurs Suivi de la décision (Oui/non/en cours) Commentaires Mesure en cours : Élaboration du Plan de gestion des risques Échéance prévue : mars 2007 Mesure en cours : Version 2 PQ Échéance prévue : décembre 2006 Mesure en cours : Élaboration du projet qualité Échéance prévue : mars 2007 Mesure en cours : Organiser la gestion documentaire informatisée Échéance prévue : fin /106 -

17 III. ssociation des usagers à la procédure d accréditation Trois représentants des usagers ont été associés à la préparation de l auto-évaluation. Un participe au comité de pilotage. Les trois ont été associés à l ensemble des groupes de travail spécifiques à la préparation de l auto-évaluation, soit ponctuellement soit en continu. Ils ont notamment été sollicités pour les références 2, 26, 31, 5. Ils ont bénéficié d une action de formation sur la certification. IV. Interface avec les tutelles en matière de sécurité Retour de la fiche navette sans observation de la MRIICE. - 17/106 -

18 PRTIE 2 CONSTTTIONS PR CHPITRE - 18/106 -

19 CHPITRE I POLITIQUE ET QULITÉ DU MNGEMENT - 19/106 -

20 Réf. 1 L établissement définit et met en œuvre des orientations stratégiques Cotations 1 a 1 b 1 c 1 d Les orientations stratégiques prennent en compte les besoins de population, en termes de soins et de prévention. Les orientations stratégiques organisent la complémentarité avec les autres établissements du territoire de santé et la participation aux réseaux de santé. La direction, les instances délibératives et consultatives, et les responsables s impliquent dans la définition des orientations stratégiques. La direction et les responsables mettent en œuvre leur politique en conformité avec les orientations stratégiques. Les orientations stratégiques ont été élaborées en prenant en compte le SROS et les données relatives à l état de santé de la population. Néanmoins, leur finalisation reste soumise aux conditions d un retour à l équilibre financier contractualisé par l RH. Le projet d établissement est en cours de réécriture. Les orientations stratégiques de l établissement prévoient la poursuite et/ou la mise en œuvre de partenariats formalisés avec d autres établissements ainsi que la participation aux réseaux de santé. Le processus d élaboration des orientations stratégiques (projet d établissement) favorise la participation des instances et des responsables. Leurs rôles respectifs sont définis et la transmission d informations organisée. Leur implication est effective. Dans les différents domaines d activité, la direction et les responsables précisent les choix stratégiques retenus et identifient les objectifs et les moyens nécessaires à leur réalisation. Ils en assurent l information et le suivi. B - 20/106 -

21 Réf. 2 L établissement accorde une place primordiale au patient et à son entourage Cotations 2 a Le respect des droits et l information du patient sont inscrits dans les priorités de l établissement. L établissement intègre le respect des droits et de l information du patient dans la mise en œuvre de ses orientations stratégiques et dans son organisation. Cependant ces notions ne sont pas formalisées faute de projet d établissement. La sensibilisation des professionnels est assurée. B 2 b L expression du patient et de son entourage est favorisée. Les entretiens et les échanges entre les professionnels, les patients et leur entourage sont réalisés dans des conditions propices à l expression. Des locaux adaptés sont disponibles à cet effet. Le recueil des suggestions et des plaintes est organisé. 2 c Une réflexion éthique autour de la prise en charge du patient est conduite. L établissement traite les sujets nécessitant une réflexion éthique en fonction des situations dans l attente de la mise en place d un projet comité d éthique en cours de réflexion. B 2 d La politique hôtelière prend en compte les attentes des patients. Les attentes des patients sur le plan hôtelier sont recueillies et prises en compte. Elles permettent de mettre en œuvre des actions d amélioration, sans toutefois que n ait pu être définie et formalisée une politique hôtelière. B 2 e Les représentants des patients participent à l évaluation et à l amélioration des services rendus par l établissement. Les représentants d usagers sont désignés. Ils siègent aux instances et participent à la vie de l établissement et aux démarches qualité et de certification. Leur avis est pris en compte pour améliorer le service rendu au patient. - 21/106 -

22 Réf. 3 La politique des ressources humaines est en conformité avec les missions et les orientations stratégiques de l établissement Cotations 3 a Les responsabilités dans la gestion des ressources humaines sont identifiées. Les différents intervenants sur la gestion des ressources humaines sont identifiés tant au niveau de l établissement que des secteurs d activité ; leurs rôles respectifs et leurs interfaces sont définis et connus de l ensemble du personnel de l établissement. 3 b 3 c 3 d Une gestion prévisionnelle permet l adaptation des ressources humaines aux évolutions de l établissement. L amélioration des conditions de travail et la prévention des risques professionnels font partie des objectifs de la politique des ressources humaines. La motivation des personnels est recherchée en favorisant leur adhésion et leur implication. Le recueil des données quantitatives permet d anticiper sur les besoins en personnel à court terme, essentiellement liés à l absentéisme et à la pyramide des âges. L établissement prévoit de se doter d une véritable GPEC pour le moyen et long terme. Cependant, à ce jour, il n existe pas de planification des besoins en ressources humaines. Le référentiel des métiers reste à finaliser et la réflexion sur les organisations n est pas conduite faute de projet structurant. L établissement devra mettre en œuvre une gestion prévisionnelle des ressources humaines adaptée aux évolutions de l établissement. Les risques professionnels ont été évalués. Le document unique, rédigé en 2004, n a pas été mis à jour. Des actions ont néanmoins été conduites, dont la création d un comité de prévention des risques professionnels. Le plan d amélioration des conditions de travail n a pas été élaboré. Des actions sont définies et conduites au sein de l établissement de santé pour favoriser l adhésion, la participation et la motivation des personnels. C C - 22/106 -

23 Réf. 4 La politique du système d information et du dossier du patient est définie en cohérence avec les orientations stratégiques de l établissement Cotations 4 a 4 b 4 c 4 d Le schéma directeur du système d information s appuie sur les orientations stratégiques de l établissement. Les projets du système d information sont définis et hiérarchisés en fonction des processus à optimiser, en recherchant l adhésion des professionnels concernés et, en cas d informatisation, de la maturité du marché. Des méthodes de conduite de projet prenant en compte l expression des besoins des utilisateurs permettent de réaliser les projets du système d information. Les professionnels concernés reçoivent un accompagnement et une formation pour traiter et utiliser les données. Le schéma directeur du système d information n est pas formalisé. Seul un projet est en cours d élaboration. Il s appuie sur l identification des besoins de l établissement en informatique, il prend également en compte les besoins de téléphonie, appel malade et les besoins en hôtellerie à destination du patient. Le système d information n a pas été abordé dans toutes ses dimensions. L établissement devra finaliser un schéma directeur du système d information. Les projets du SI pour les aspects informatisation sont définis à partir d une identification de domaines et processus à optimiser, en tenant compte de la maturité du marché. Les différents utilisateurs y sont associés. Mais il n y a pas de démarche structurée pour les autres aspects touchant à l information et n utilisant pas le support informatique, politique d affichage par exemple. Des méthodes de conduite de projet prenant en compte l expression des besoins des utilisateurs sont utilisées. Leur efficacité n est pas régulièrement évaluée. Les personnels utilisateurs bénéficient d une formation et d un accompagnement permettant un traitement et une utilisation efficace des données. Mais cet accompagnement n est pas à organiser. C B B B 4 e Une politique du dossier du patient est définie afin d assurer la qualité et la continuité des soins. Des actions et projets sont conduits afin de favoriser la confidentialité, la fiabilité, l accessibilité et le codage des informations. Cependant, la formalisation d une politique du dossier du patient n est retrouvée ni dans le projet médical, ni dans les orientations stratégiques, ni dans le schéma directeur. C - 23/106 -

24 Réf. 5 L établissement définit et met en œuvre une politique de communication Cotations 5 a La direction et les responsables développent une politique de communication interne. La direction et les responsables identifient les objectifs devant faire l objet d une communication interne, définissent les moyens et les personnes chargées de mettre en œuvre la politique de communication. 5 b 5 c Les orientations stratégiques, leur mise en œuvre et leurs résultats sont connus de l ensemble des professionnels de l établissement. La direction et les responsables développent une politique de communication à destination du public et des correspondants externes. L organisation de la communication est en place dans l établissement. Elle permet de s assurer que l ensemble des professionnels connaît les orientations stratégiques, leur mise en œuvre et leurs résultats. Un dispositif est défini et mis en place afin que le public et les correspondants externes aient accès aux orientations stratégiques et à la vie de l établissement. - 24/106 -

25 Réf. 6 6 a 6 b 6 c L établissement définit une politique d amélioration de la qualité et de gestion des risques intégrée aux orientations stratégiques La direction et les instances définissent les priorités et les objectifs de l établissement en matière d amélioration de la qualité et de gestion des risques. La politique d amélioration de la qualité et de gestion des risques intègre l évaluation des pratiques professionnelles. Les responsabilités concernant la gestion de la qualité et des risques sont identifiées. Les objectifs de l établissement en matière d amélioration de la qualité et de gestion des risques sont définis et hiérarchisés de manière concertée entre la direction et les instances. Ils sont communiqués aux professionnels. L EPP fait partie intégrante de la démarche d amélioration de la qualité et de la gestion des risques de l établissement. Dans ce cadre, une stratégie de développement, notamment des actions de communication et de formation, et le suivi d actions d évaluation des pratiques professionnelles sont mis en œuvre. Les responsabilités des professionnels concernant la qualité et la gestion des risques sont définies quel que soit leur niveau d intervention (responsable hiérarchique, responsable de fonction transversale, professionnel). Cotations - 25/106 -

26 Réf. 7 7 a 7 b L établissement met en œuvre une politique d optimisation de ses ressources et de ses moyens en adéquation avec les orientations stratégiques Les coûts des activités sont connus et leur maîtrise est assurée. La réalisation et le financement des investissements sont planifiés de façon pluriannuelle. Les coûts des activités ne sont pas clarifiés et ne peuvent être transmis aux responsables. Pour répondre notamment aux exigences du contrat de retour à l équilibre financier, l établissement met en place une comptabilité analytique et un contrôle de gestion et a fait l acquisition d un logiciel spécifique à l activité médicale. La mise en place des pôles est définie par l établissement comme une opportunité de définir les responsabilités dans ce domaine, de définir des objectifs aux responsables d activité et de conduire une démarche de contractualisation. L établissement en est au stade d initialisation dans ces domaines. L établissement devra poursuivre la mise en place de l organisation permettant la maîtrise des coûts. L établissement n a pas défini de plans de financement pluriannuel de la plupart de ses investissements en lien avec le projet d établissement. La prévision et l organisation des investissements sont faites annuellement. L établissement devra élaborer une planification pluriannuelle concernant le financement de ses investissements. Cotations C C 7 c Une politique d optimisation des équipements est mise en œuvre. Les modalités d utilisation des équipements permettent leur optimisation. La mutualisation des équipements en interne et en externe est organisée. Cependant il n y a pas d indicateurs spécifiques de suivi. B - 26/106 -

27 CHPITRE II RESSOURCES TRNSVERSLES - 27/106 -

28 RESSOURCES HUMINES Réf. 8 Le dialogue social est organisé au sein de l établissement Cotations 8 a 8 b Les instances représentatives des personnels sont consultées à périodicité définie et traitent des questions relevant de leur compétence. D autres modalités sont également prévues pour faciliter le dialogue social et l expression des personnels. Les instances sont réunies périodiquement conformément à la réglementation. Un suivi est assuré sur les thèmes ayant fait l objet de leurs avis et suggestions. u-delà des instances représentatives, d autres modalités sont définies et mises en œuvre pour faciliter le dialogue social et l expression des personnels. Le suivi de ces actions est assuré. - 28/106 -

29 Réf. 9 Les processus de gestion des ressources humaines sont maîtrisés Cotations 9 a Le recrutement de l ensemble des personnels est organisé. La politique de recrutement s appuie sur le développement d activité envisagé à travers le SROSS et le projet médical qui vient d être présenté aux instances. Les différents acteurs sont identifiés dans l organigramme de la direction. Les modalités de recrutement ne sont pas formalisées. Les modalités de recrutement sont représentées sur une ébauche de logigramme non datée, non validée, sans titre et dont le rédacteur n est pas identifié. Ce schéma ne prend pas en compte l utilisation des fiches de poste au cours de la procédure de recrutement. Des listings de pièces à fournir sont diffusés pour toutes embauches. L établissement devra formaliser la procédure de recrutement. C 9 b L accueil et l intégration des personnels sont assurés. Une politique d accueil et d intégration est organisée à l échelle institutionnelle. Son impact n est pas évalué de façon formelle mais les professionnels qui en ont bénéficié expriment leur satisfaction. B 9 c La formation continue, y compris médicale, contribue à l actualisation et à l amélioration des compétences des personnels. Il existe un plan de formation qui permet de répondre aux activités envisagées ou en place dans l établissement, aux besoins individuels, notamment en termes de promotion, et qui associe dans son élaboration les différents acteurs institutionnels. Sa mise en œuvre est maîtrisée (recueil de besoins, critères de priorisation, politique de choix et d achat de formations, etc.). L évaluation des impacts des formations sur les pratiques est en développement. Il n y a pas de plan de formation médicale mais un listing des formations suivies. B 9 d L évaluation des personnels est mise en œuvre. L évaluation des personnels est mise en place. Ses résultats sont utilisés pour construire le plan de formation continue et sont en lien avec la notation et la prime de service. Un support de traçabilité de l entretien d évaluation a été adopté en 2005, après validation par le CTE et son utilisation a été programmée dés l origine pour débuter progressivement à compter de l évaluation de Le principe de progrès par objectif n est pas généralisé. L utilisation des profils de poste est en cours de développement dans le cadre de l évaluation. L établissement n a pas envisagé de modalités d évaluation pour le corps C - 29/106 -

30 Réf. 9 Les processus de gestion des ressources humaines sont maîtrisés Cotations médical. L établissement devra poursuivre la mise en place des modalités d évaluation des personnels. 9 e La gestion administrative des personnels assure la qualité et la confidentialité des informations individuelles. Des modalités de gestion sont définies mais ne sont pas formalisées Sont essentiellement formalisées des fiches de postes mais pas de procédures de recrutement.. Les principes de disponibilité, d intégrité, de confidentialité et de sécurité des dossiers du personnel sont intégrés dans la pratique. B - 30/106 -

31 B FONCTIONS HÔTELIÈRES ET LOGISTIQUES Réf a 10 b 10 c 10 d Les fonctions hôtelières, assurées par l établissement ou externalisées, sont adaptées aux besoins et aux attentes du patient et de son entourage Les conditions d hébergement permettent le respect de la dignité et de l intimité du patient. Les conditions d hébergement des personnes handicapées ou dépendantes sont adaptées. La prestation restauration répond aux besoins nutritionnels spécifiques, et prend en compte les préférences et les convictions du patient. Des solutions d hébergement et de restauration sont proposées aux accompagnants. L organisation des soins permet le respect de l intimité et de la dignité du patient tout au long de sa prise en charge et dans tous les secteurs de l établissement avec des contraintes liées à la configuration des locaux. Les professionnels sont formés et sensibilisés sur ce thème. L organisation des soins est adaptée aux besoins des patients handicapés ou dépendants. Les professionnels sont formés et sensibilisés à la spécificité de cette prise en charge. Les contraintes liées aux locaux ne sont pas favorables à l hébergement des personnes à mobilité réduite notamment pour ce qui concerne l accès aux sanitaires. Les besoins nutritionnels spécifiques sont identifiés et pris en compte. Les professionnels des différents secteurs y contribuent de façon coordonnée. Le recueil des convictions du patient ne fait pas toujours l objet d une traçabilité et le recueil des non-goûts est fait à l initiative des professionnels. Des possibilités d hébergement et de restauration sont offertes aux accompagnants. Celles-ci sont connues des professionnels, des patients et de leur entourage. Cotations B B B - 31/106 -

32 Réf a 11 b Les fonctions logistiques, assurées par l établissement ou externalisées, sont organisées pour assurer la maîtrise de la qualité et de la sécurité des prestations La qualité et l hygiène de la restauration sont assurées. La qualité et l hygiène en blanchisserie, et dans le circuit de traitement du linge, sont assurées. Les éléments d une démarche HCCP sont en place en cuisine. Des audits ont été conduits en secteur de production, dans les offices relais en 2006, et sur les procédures du prestataire appliquées sur le site. Un professionnel de ce prestataire est positionné de façon permanente sur le site du CH. Il participe à l organisation de la réception des produits. Le champ de ses interventions n est pas formalisé. Les observations relatives aux inspections vétérinaires donnent lieu à des actions correctives. Une commission des menus est en place ainsi qu un groupe «qualité repas». Les chariots sont renouvelés dans un secteur et permettent une remise en température. Pour les autres secteurs les chariots sont isothermes. Il n y a pas de contrôle de température des plats dans les services. Les procédures concernant les précautions à prendre et les conduites à tenir pour le service des plateaux, pour la conservation des plateaux des patients en examen, pour la gestion des réfrigérateurs, pour les informations à donner aux patients sur la conservation des aliments ne sont pas formalisées. Il n y a pas de traçabilité du suivi des températures des réfrigérateurs. Une formation HCCP a débuté dans le secteur des personnes âgées. Une mission vient d être confiée aux contremaîtres des cuisines pour faire le lien avec les services de soins. Cette mission n est pas formalisée. Les dysfonctionnements ne font pas toujours l objet d une traçabilité et sont traités au coup par coup dans certains cas. Une marge d amélioration est identifiée par les responsables de la cuisine centrale dans le champ de la coordination et a trait au mouvement des patients, notamment sortant, en temps réel, ce qui permettrait d annuler les repas commandés. L établissement fait appel à un prestataire non certifié pour le traitement de l ensemble du linge. La fonction linge ne bénéficie pas de procédures formalisées prenant en compte le risque de contamination liée à l utilisation du linge. Il n y a pas eu de formation au regard de ce risque. Les chariots grillagés utilisés par le prestataire pour la livraison sont recouverts d un film plastique transparent. u cours du circuit du linge il a été constaté que cette protection est régulièrement Cotations C C - 32/106 -

33 Réf c Les fonctions logistiques, assurées par l établissement ou externalisées, sont organisées pour assurer la maîtrise de la qualité et de la sécurité des prestations Le transport du patient entre les secteurs d activité internes et/ou externe de l établissement permet la continuité des soins, le respect concernant la dignité, la confidentialité et la sécurité, notamment l hygiène. déchirée avant que le linge ne soit stocké dans la lingerie relais. Il est à noter par ailleurs que les piles de linge livrées par le prestataire n étant pas filmées à l intérieur du chariot grillagé le linge ne bénéficie d aucune protection dès lors que le film plastique est déchiré. Hors ces chariots sont déposés soit dans des couloirs soit à l extérieur pour certains. L argument avancé par le prestataire pour ne pas filmer les piles de linge est le risque d humidité et de moisissure. La lingerie relais de l établissement filme uniquement les tenues des professionnels après livraison. Le linge est livré dans les services à partir de la lingerie relais dans un chariot recouvert d une housse. Il est déposé dans la lingerie des services. La traçabilité de l entretien de ce local n est pas assurée. La garantie que le linge déposé sur les étagères est renouvelé régulièrement n est pas assuré car seul un complément de dotation est déposé au quotidien. Deux services viennent d être dotés d armoires mobiles. Un tableau concernant le tri du linge est à disposition des professionnels dans les unités. Des contrôles bactériologiques sur le linge sont effectués en interne en lingerie relais. Le dernier contrôle a conduit le prestataire à changer de produits. Les dysfonctionnements sont traités de façon informelle ou par notes de service. Le responsable prestataire se déplace occasionnellement. Récemment une partie de la gestion du linge non tissé a été confiée à la lingerie. Pour l instant les cartons sont entreposés à même le sol dans la pièce principale de la lingerie. Les procédures concernant la gestion de ces produits ne sont pas formalisées. La fonction transport (interne et externe) est organisée et le personnel est formé dans le but d assurer l hygiène, la continuité des soins et le respect des droits du patient. Cotations - 33/106 -

34 Réf. 12 Les approvisionnements sont assurés Cotations 12 a Les besoins des secteurs d activité sont évalués sur le plan quantitatif et sur le plan qualitatif. Les besoins des secteurs d activité sont pris en compte sur la base des consommations antérieures ou suite à des demandes ponctuelles. Les professionnels sont satisfaits de la réponse donnée à leurs besoins. B 12 b Les personnels utilisateurs sont associés aux procédures d achat. Bien qu il n y ait pas de formalisation de la procédure d achats l association des utilisateurs est effective. B 12 c Les secteurs d activité utilisateurs sont approvisionnés à périodicité définie, et des dispositions d approvisionnement en urgence sont établies. Les procédures d approvisionnements réguliers et en urgence sont opérationnelles. - 34/106 -

35 C ORGNISTION DE L QULITÉ ET DE L GESTION DES RISQUES Réf. 13 Un système de management de la qualité est en place 13 a L écoute des patients est organisée. 13 b 13 c 13 d 13 e Le programme d amélioration continue de la qualité comporte des objectifs précis, mesurables dans le temps. Le programme d amélioration continue de la qualité prend en compte les résultats issus de différentes formes d évaluation internes et externes. La formation des professionnels à la qualité est assurée. Le déploiement de la démarche et des actions qualité dans les secteurs d activité est organisé. 13 f La gestion documentaire est organisée. L établissement dispose d une organisation permettant le recueil et l analyse des besoins, des attentes, de la satisfaction et des plaintes des patients. Ce système permet la mise en place d actions d amélioration. L établissement dispose d un programme d amélioration de la qualité comportant des objectifs précis. Les échéances et les modalités de suivi sont définies. La communication sur le programme est assurée. Cependant à ce jour compte tenu de la mise en place récente des systèmes les indicateurs de suivi ne sont pas développés. L établissement dispose d une visibilité sur les différentes évaluations internes et externes réalisées et utilise leurs résultats pour élaborer le programme d amélioration de la qualité. L établissement analyse les besoins de formation à la qualité et met en œuvre une formation adaptée aux besoins du programme qualité. La formation à la qualité n est pas encore évaluée. L établissement met en œuvre les actions permettant le déploiement de la démarche qualité dans les secteurs d activité. Des référents par secteurs sont identifiés et leurs responsabilités clarifiées. Des actions sont conduites dans les différents secteurs. L établissement a organisé son système de gestion documentaire. Ce système permet un accès facile à l information. Néanmoins la formation des professionnels à l utilisation du système n est pas exhaustive pour ce qui est de l aspect informatique en développement. Cotations B B B 13 g Le suivi du programme d amélioration de la qualité est assuré. L établissement a mis en place des dispositions permettant d assurer le suivi du programme d amélioration de la qualité. Ces dispositions sont appliquées. - 35/106 -

36 Réf. 14 La gestion des risques est organisée et coordonnée Cotations 14 a Les informations relatives aux risques sont rassemblées et organisées. L établissement dispose d une visibilité sur une partie de ses risques grâce à un regroupement des informations et une veille réglementaire en matière de sécurité. Il partage ces informations avec les différents professionnels. B 14 b 14 c 14 d Des dispositions sont en place pour identifier et analyser a priori les risques. Des dispositions sont en place pour identifier et analyser a posteriori les risques. Les résultats issus des analyses de risque permettent de hiérarchiser les risques et de les traiter. L établissement met en œuvre une démarche structurée d identification et d analyse des risques a priori pour laquelle des responsabilités sont définies par domaine de risques. Le document unique de 2004 sur les risques professionnels est à réactualiser ainsi que son plan de prévention. L établissement met en œuvre une démarche structurée d identification et d analyse des incidents et accidents survenus. Les responsabilités sont définies pour l identification, le signalement et l analyse. Cependant tous les services n en sont pas au même niveau pour l identification d indicateurs sentinelles, l analyse des accidents et la mise en place d RMM. Les responsabilités sur les domaines des risques sont définies. Une cartographie des risques dans les secteurs de soins est débutante. Il n existe pas de plan de prévention des risques, ni issu de la cartographie, ni de l analyse des événements indésirables. Les événements indésirables sont traités au cas par cas. L établissement est en cours de réalisation d un plan de prévention à échéance de mars L établissement devra finaliser son plan prévention des risques. B B C 14 e La gestion d une éventuelle crise est organisée. Une organisation est en place pour faire face à une situation de crise : cellule de crise, circuits d alerte, formation des professionnels, scénarios de crise, exercices de crises, modalités de communication. Elle est connue des professionnels. 14 f L organisation des plans d urgence pour faire face aux risques exceptionnels est en place. L établissement est organisé pour faire face aux risques exceptionnels. Les plans d urgence sont formalisés et actualisés ; les professionnels connaissent les modalités de mise en œuvre et leur rôle dans le dispositif par la formation et la participation à des simulations. Des actions de communication complètent cette organisation. - 36/106 -

37 Réf. 15 Un dispositif de veille sanitaire est opérationnel Cotations 15 a 15 b 15 c 15 d Les procédures à mettre en œuvre en cas d événement indésirable sont en place et sont connues des professionnels. La traçabilité des produits de santé est assurée. Une organisation permettant de répondre à une alerte sanitaire concernant les produits de santé est en place. La coordination des vigilances entre elles et avec le programme global de gestion des risques est assurée. L établissement a défini les procédures à mettre en œuvre en cas d événement indésirable et d alertes ascendantes. Une organisation non formalisée est en place en cas d alerte descendante. Les responsabilités sont identifiées. L obligation de déclaration n est pas connue de tous les professionnels. La biovigilance n est pas organisée : le responsable de la biovigilance n est pas désigné et le comité de coordination des vigilances n intègre pas ce domaine. L établissement devra organiser la biovigilance. L établissement a défini les modalités de traçabilité des produits de santé et les met en œuvre. Les responsabilités sont définies. Ces modalités sont connues des professionnels concernés. L établissement s assure de la fiabilité et de l exhaustivité du système. Il n existe pas de procédure de gestion des alertes sanitaires. Elles sont réceptionnées au standard par fax puis diffusées aux secteurs concernés. La permanence n est pas sécurisée notamment les jours fériés et dimanche. Le personnel n est pas formé, notamment au standard et assure sur la base de son bon sens et de la connaissance qu il a du fonctionnement de la structure. Le prochain comité de coordination des vigilances définira le dispositif et le circuit d alerte. L établissement a mis en place une organisation permettant la coordination des vigilances entre elles et des vigilances avec la gestion des risques. C C 15 e Une coordination est assurée entre l établissement et les structures régionales et nationales de vigilances. L établissement a mis en place une organisation assurant la coordination des vigilances avec les structures régionales et nationales de vigilance. - 37/106 -

38 D QULITÉ ET SÉCURITÉ DE L ENVIRONNEMENT Réf a 16 b 16 c Un programme de surveillance et de prévention du risque infectieux, adapté au patient et aux activités à risque, est en place Les patients et les activités à risque infectieux sont identifiés et un programme de surveillance adapté est en place. Une formation de l ensemble des professionnels à l hygiène et à la prévention du risque infectieux spécifique à la prise en charge est assurée. Des protocoles ou procédures de maîtrise du risque infectieux, validés, sont utilisés. Une identification des patients et des activités à risque, dans ce type d établissement, a été réalisée et un programme de surveillance est mis en œuvre. Son suivi est assuré. Le secteur de la blanchisserie n est pas identifié comme une activité à risque. L établissement a organisé pour l ensemble du personnel une formation régulière adaptée aux besoins spécifiques de la prise en charge, actualisée sous la direction du CLIN et régulièrement évaluée. Il existe des protocoles et procédures de maîtrise du risque infectieux, validés par le CLIN, adaptés aux activités de l établissement. Leur utilisation est évaluée. Cotations B 16 d Le bon usage des antibiotiques, dont l antibioprophylaxie, est organisé. Des règles de bonnes pratiques sont en place et diffusées, concernant l usage des antibiotiques et l antibioprophylaxie. Elles font l objet d une actualisation régulière. 16 e 16 f 16 g Un programme de prévention et de prise en charge des infections touchant les professionnels, y compris les professionnels temporaires et les étudiants, est établi en concertation avec la médecine du travail. Le signalement des infections nosocomiales est organisé et opérationnel. Un dispositif permettant l alerte, l identification, la gestion d un phénomène épidémique est en place. Le risque infectieux des professionnels (y compris étudiants, stagiaires et intérimaires) est évalué à périodicité définie, et un programme concerté de prévention et de prise en charge des infections est élaboré et mis en œuvre. Le suivi vaccinal des médecins n est pas assuré. Le dispositif de signalement des infections nosocomiales est opérationnel. Les professionnels de l établissement le connaissent. Il repose sur la formation et l information de tous les professionnels de l établissement. Il n existe pas d identification des événements sentinelles pouvant entraîner une alerte. Les phénomènes épidémiques sont gérés au cas par cas avec des actions curatives et préventives. Les circuits d alertes ne sont pas définis et l organisation de la prise en charge n est pas structurée. Un projet de coordination entre le laboratoire B C - 38/106 -

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Version synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010)

Version synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010) Version synthétique des rapports de certification Méthodologie (Janvier 2010) RAPPEL DU CONTEXTE 2 RAPPEL DU CONTEXTE La HAS en quelques mots La Haute Autorité de santé (HAS) est une autorité publique

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

PROCEDURE ENREGISTREMENT

PROCEDURE ENREGISTREMENT Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08

Plus en détail

GUIDE METHODOLOGIQUE

GUIDE METHODOLOGIQUE GUIDE METHODOLOGIQUE AIDE A LA MISE EN PLACE D UNE POLITIQUE «QUALITE ET RISQUES» EN ETABLISSEMENT DE SANTE Février 2006 Direction des Activités Médicales et de la Qualité Cellule Qualité, Risques et Vigilances

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

PROJET QUALITE 2015-2019

PROJET QUALITE 2015-2019 PROJET QUALITE 2015-2019 [Texte] TABLE DES MATIERES I. INTRODUCTION 5 II. LES ORIENTATIONS 6 AXE 1 PERENISER UN SYSTÈME DE MANAGEMENT BIEN STRUCTURÉ DANS LEQUEL LES ACTEURS S IMPLIQUENT ACTIVEMENT 6 a.

Plus en détail

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 [POLITIQUE QUALITE, GESTION DES RISQUES, SECURITE DES SOINS, ENVIRONNEMENT] 1 ENGAGEMENTS QUALITÉ, SÉCURITÉ, GESTION DES RISQUES ET ENVIRONNEMENT Depuis sa

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY Lanuéjols 48000 MENDE SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p. 3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

CERTIFICATIONS EN SANTE

CERTIFICATIONS EN SANTE CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 Règlement Intérieur Date : 6 novembre 2014 Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 OBJECTIFS - FINALITES DE L ORU-MiP Article 1. : Conformément à sa convention constitutive, la mission principale du GIP

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements

Plus en détail

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT 2013-2017 - PROJET ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC)

PROJET D ETABLISSEMENT 2013-2017 - PROJET ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC) D ETABLISSEMENT 2013-2017 Rédaction : Page 1 sur 68 D ETABLISSEMENT 2013-2017 - ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC) EPS Ville-Evrard Direction Qualité Gestion des Risques

Plus en détail

«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament»

«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» «Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» Prestations proposées par M. (Réactualisation 2010) Á moduler selon vos besoins 1 Contexte/Enjeux/Objectifs : La sécurisation du circuit

Plus en détail

PRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque

PRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ. SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de

Plus en détail

RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CRF DE SAINT BLANCARD

RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CRF DE SAINT BLANCARD RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CRF DE SAINT BLANCARD - 32140 - Saint Blancard JUILLET 2012 SOMMAIRE PREAMBULE 4 1. Les objectifs de la certification des établissements de santé 5 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

Programme Hôpital numérique

Programme Hôpital numérique Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts

Plus en détail

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn

Plus en détail

Projet de communication

Projet de communication PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

Présentation générale du Programme

Présentation générale du Programme Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

Journée Santé ESRI France 28/01/2010 La valeur ajoutée des SIG Retours d expériences (PMSI et géomarketing)

Journée Santé ESRI France 28/01/2010 La valeur ajoutée des SIG Retours d expériences (PMSI et géomarketing) Jean-François Mary, Études géographiques Journée Santé - ESRI France - 28/01/10 La valeur ajoutée des SIG dans la santé : Retours d expériences de consultant et de formations (PMSI, Géomarketing) La valeur

Plus en détail

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1

HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Référentiel d évaluation des centres de santé HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Sommaire Introduction p. 3 et 4 Référentiel d évaluation p. 5 à 8 Référentiel d évaluation

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

HosmaT - ciculaire DHOS/O1 n 2005-256

HosmaT - ciculaire DHOS/O1 n 2005-256 Circulaire DHOS/E 4 n 2005-256 du 30 mai 2005 relative aux conditions techniques d alimentation électrique des établissements de santé publics et privés NOR : SANH0530245C Date d application : immédiate.

Plus en détail

Numéro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1

Numéro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1 hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,

Plus en détail

Manuel qualité du laboratoire

Manuel qualité du laboratoire Laboratoire de biologie médicale des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Pôle de biologie 1 place de l Hôpital BP 426 67091 Strasbourg Cedex Manuel qualité du laboratoire Version 04 Rédaction : Cellule

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L AGENCE REGIONALE DE SANTE D ALSACE RELATIF A LA CREATION DE PLACES DE SERVICES DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) ARS Alsace Cité

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

Référentiels d Interopérabilité

Référentiels d Interopérabilité INFORMATION HOSPITALIERE STANDARDISEE Formation Maîtrise d Ouvrage Hospitalière Informatisation du circuit du médicament & des dispositifs médicaux Référentiels d Interopérabilité 7 ème édition : 14 janvier

Plus en détail

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?

Plus en détail

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.

Plus en détail

Mise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM

Mise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM Mise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM Jean-Claude SCHREPFER Année 2011 2012 DU Qualité et Gestion des Risques

Plus en détail

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis 3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine

Plus en détail

SDRSIS Systèmes d information en santé

SDRSIS Systèmes d information en santé SDRSIS Systèmes d information en santé SCHÉMA DIRECTEUR RÉGIONAL DES SYSTÈMES D INFORMATION EN SANTÉ SDRSIS Systèmes d information en santé Introduction...4 La démarche...5 Le contexte des Systèmes d

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015

Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur

Plus en détail

Si votre métier est de prendre soin des autres, le nôtre est de prendre soin de vous.

Si votre métier est de prendre soin des autres, le nôtre est de prendre soin de vous. Si votre métier est de prendre soin des autres, le nôtre est de prendre soin de vous. Agence de communication globale dédiée exclusivement à la communication santé, hospitalière et médicale. www.c10i.com

Plus en détail

PROJET QUALITE / GESTION DES RISQUES 2007 2011

PROJET QUALITE / GESTION DES RISQUES 2007 2011 Mars 2007 PROJT QUALIT / GTION D RIQU 2007 2011 Tome II Chapitre 2 du projet d établissement 2007-2011 Page 1 sur 27 OMMAIR I INTRODUCTION P. 3 II L CADR D RFRNC P. 3 III L VALUR RAFFIRM DU PROJT QUALIT

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS

LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS T R A N S P O R T S LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS R O U T I E R S Votre interlocuteur : Nicolas SAINT-ETIENNE Conseiller Mutualiste Entreprises Tél : 03 84 45

Plus en détail

Certification des Etablissements de Santé en France

Certification des Etablissements de Santé en France Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

Référentiel Engagement de service

Référentiel Engagement de service Toute reproduction intégrale ou partielle faite en dehors d une demande expresse d AFNOR Certification ou de ses ayants droits ou ayants cause est illicite (code de la propriété intellectuelle artt. L122-4

Plus en détail

MANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement

MANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement MANUEL Q S E Mise à jour : Mai 2014 Qualité - Sécurité - Environnement Editorial BÂTIMENTS - Privé - Public - Industriel La société RIVASI BTP est implantée dans la Drôme et les Bouches-du-Rhône. Elle

Plus en détail

Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13

Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000 EVOLUTIONS INDICE DATE NATURE DE L'EVOLUTION 00 09/06/2000 Edition Originale 01 29/09/2000 Modification suite à audit interne

Plus en détail

Le nouveau tableau de bord de gestion

Le nouveau tableau de bord de gestion Formation Rencontre thématique CTC Conseil 2013 Le nouveau tableau de bord de gestion Contrôler Décider Communiquer CTC Conseil a été créé en 1992, à l initiative de Claude CHEZAUD, son Directeur Général,

Plus en détail

Edition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25

Edition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

Offre santé 2015 FGMM-CFDT

Offre santé 2015 FGMM-CFDT SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous

Plus en détail

PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES

PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES Mise à jour au 28 février 2013 Véronique Bibeau, Conseillère en gestion

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

Qualité et gestion des risques

Qualité et gestion des risques formation 2007 Qualité et gestion des risques Qualité et certification HAS Démarche qualité Qualité et certification ISO Qualité en imagerie Qualité au laboratoire Management des risques Risques spécifiques

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

SERVICES. aux Adhérents NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE

SERVICES. aux Adhérents NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE SERVICES aux Adhérents NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Services aux adhérents + En partenariat avec

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail