Ethnicité et nationalisme. Deuxième partie : le nationalisme. Pierre PETIT SOCA-D-408, 5 ECTS
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1 Ethnicité et nationalisme Deuxième partie : le nationalisme Pierre PETIT SOCA-D-408, 5 ECTS
2 Chapitre 1 : Nations et nationalismes (Gellner 1983) 1.1. Introduction Ethnicité et nationalisme Un objet récent pour l anthropologie Omniprésence de l Etatnation Ernest Gellner : une approche macro-sociale 2
3 1.2. Définitions «Le nationalisme est essentiellement un principe politique qui affirme que l unité politique et l unité nationale doivent être congruentes» (p. 1). «Le nationalisme est une théorie de la légitimité politique qui exige que les limites ethniques coïncident avec les unités politiques et, en particulier, que les limites ethniques au sein d un Etat donné [ ] ne séparent pas les détenteurs du pouvoir du reste du peuple» (p. 2). 3
4 Nationalisme «pour soi» ou «universel»? L Etat : institutions spécialises, «séparées du reste de la vie sociale», «qui visent à garantir l ordre» ; «monopole de la violence légitime» (p.15) Nation: culture partagée, individus qui se considèrent, qui «se reconnaissent comme appartenant à la même nation» (p. 19). 4
5 1.3. La période agraire L écriture et l Etat Une société segmentée (élites, communautés rurales) L absence de toute velléité d homogénéisation culturelle «Les anciens mondes étaient, pour chacun d entre eux, un cosmos, déterminé, hiérarchisé, plein de sens, mais cependant, pas tout à fait unifié car composé de sous-mondes, chacun ayant son propre langage et sa propre logique, qui ne pouvait se subsumer en ordre global unique» (p. 40). 5
6 Elites verticalement stratifiées (militaires, clercs, prêtres, etc.) Communautés de producteurs agricoles, latéralement isolées 6
7 Gellner 1983 Nations et nationalismes 1.4. L ère industrielle Industrie, rationalité, progrès Exigence de mobilité professionnelle vs les barrières «d ordre, de rang et de caste» (p. 42) «comparée à la société agraire, cette société [industrielle] est mobile et égalitaire» (p. 43). Le point crucial : division du travail et éducation 7
8 1.4. L ère industrielle «il est curieux que, dans la société industrielle, en dépit d un plus grand nombre de spécialités, l écart entre les spécialistes soit bien moindre. Leurs secrets leur sont presque mutuellement intelligibles. Leurs manuels font usage de langages qui se recouvrent dans une large mesure et même si le recyclage est parfois difficile, il ne s agit généralement pas d une tâche terrifiante» (p. 45) 8
9 «Dans la société industrielle, la majeure partie de la formation est de type générique, et sans qu il y ait pourtant de lien spécifique avec l activité professionnelle hautement spécialisée de la personne concernée, cette formation la précède. Au vu de la plupart des critères retenus, la société industrielle est probablement la société la plus hautement spécialisée de tous les temps ; mais son système éducatif est incontestablement le moins spécialisé, le plus universellement standardisé qui ait jamais existé. La plupart ou la totalité des enfants et des adolescents reçoivent la même formation ou la même éducation jusqu à un âge étonnement avancé» (p. 45). 9
10 1.4. L ère industrielle L éducation pour tous La centralisation de l enseignement : l Etat comme détenteur du «monopole de l éducation légitime» (p. 56). Le lien avec le nationalisme : les Etats comme «toit culturel» 10
11 1.4. L ère industrielle Les nations comme «belles endormies»? «Le nationalisme n est pas le réveil ni l affirmation de ces unités mythiques, réputées naturelles et données comme telles. C est, au contraire, la cristallisation de nouvelles unités, conformes aux conditions qui sont devenues dominantes, bien que l on reconnaisse qu elles utilisent comme matière première les héritages culturels, historiques et autres, issus du monde prénationaliste» (pp ). 11
12 «Les lambeaux ou tissus de culture que le nationalisme utilise ne sont souvent que des inventions historiques arbitraires. Les moindres vieux morceaux de tissu auraient pu, tout aussi bien, servir. Mais le principe du nationalisme en soi, par opposition à ses avatars, n a rien de contingent et ne doit rien à la chance» (p. 87). Les contradictions du nationalisme : culture rurale et culture lettrée. 12
13 1.5. Perspectives et conclusions Les formes du nationalisme ; le problème des traits contre-entropiques Le nationalisme comme phénomène récent et comme homogénéisation culturelle sous couvert de référence à d anciennes cultures Peu d intérêt pour les dimensions idéologiques 13
14 «l idéologie nationaliste est imprégnée de raisonnements erronés. Ses mythes inversent la réalité : elle prétend défendre la culture populaire alors qu en fait elle forge une haute culture ; elle prétend protéger une société populaire ancienne alors qu elle contribue à construire une société de masse anonyme. [ ] Le nationalisme tend à se considérer comme un principe manifeste, allant de soi [ ] alors qu il n est possible et ne doit son caractère inéluctable qu à un ensemble très spécifique de conditions, qui dominent aujourd hui mais qui ont été étrangères à la majorité de l humanité et à son histoire. Il prône la continuité et s en proclame le défenseur, mais il doit tout à une rupture décisive, considérable et profonde de l histoire de l humanité. Il prône la diversité culturelle et s en proclame le défenseur quand en fait, il impose l homogénéité». «Sa propre image est le reflet inversé de sa vraie nature, avec une netteté et une ironie rarement égalée par d autres idéologies couronnées de succès. Il me semble donc qu en général, nous n apprendrons pas grand chose sur le nationalisme par une étude de ses prophètes» (p. 177). 14
15 Chapitre 2. Imagined Communities Benedict Anderson (1983) 2.1. Introduction Dimension cognitive et émotionnelle. Puissance du nationalisme. Parallèles avec Gellner Le capitalisme de l imprimé Dès 15 e s., fixation des langues vernaculaires. Création de communautés imaginaires de lecteurs. 15
16 «Les locuteurs de français, d anglais, ou d espagnols fort divers, à qui il était difficile voire impossible de se comprendre dans la conversation, purent désormais se comprendre via l imprimé et le papier. Ce faisant, ils prirent progressivement conscience que des centaines de milliers, voire des millions de personnes appartenaient à leur champ linguistique particulier, mais que se champ se limitait à celles-là. Dans leur invisibilité visible, séculière et particulière, ces colecteurs, auxquels ils étaient associés par l imprimé, formaient un embryon de communauté nationale imaginée» (p. 55). 16
17 2.2. Le capitalisme de l imprimé (suite) Nation : «une communauté politique imaginaire, et imaginée comme intrinsèquement limitée et souveraine» (p. 19). L imprimé comme explication de la différence de destin des Etats-Unis d Amérique (unifiés) et des anciennes colonies de l Amérique espagnole (divisées). La littérature d affirmation nationaliste 17
18 2.3. Les itinéraires administratifs Lien avec Victor Turner la communitas des pèlerinages. Dichotomie des corps administratifs créoles et métropolitains (peninsulares) dans l Amérique espagnole. 4 Créoles sur 170 vice-rois avant les indépendances. Un parcours administratif dans le seul territoire natal. 18
19 2.4. Les itinéraires éducatifs Pourquoi une Indonésie unifiée et une Indochine éclatée? Indes néerlandaises : un système éducatif centralisé à Batavia. Indochine française : une système éducatif centré à Hanoï/Saigon ; divergences des parcours administratifs des Viet/Khmer/Lao. Création de réseaux éducatifs distincts 19
20 Indes néerlandaises ons/b/be/nederlandsindie.png 20
21 21
22 2.4. Les itinéraires éducatifs (2) Les derniers nationalismes sont le fait d une classe de jeunes intellectuels formés à l européenne, non d une bourgeoisie. Le principe (implicite) du nationalisme est transmis dans l éducation, sous forme de «nationalisme modulaire» La grammaire nationaliste étant acquise, restait à attendre les opportunités (monde bipolaire, Seconde Guerre Mondiale, etc.) 22
23 23
24 2.5. Trois technologies de pouvoir 1. Le recensement : dénombrement et classification 2. La carte géographique. La fin des espaces polaires par le traçage des frontières. La carte reproductible utilisable comme icône. Le maintien général des anciennes frontières coloniales. 24
25 Source: Evans 2002 : pl. 2 25
26 Patrimonialistion/muséification La création de l idée de patrimoine Alexander Curzon : «il est également de notre devoir de creuser et de découvrir, de classer, de reproduire et de décrire, de copier et de déchiffrer, mais aussi de chérir et de conserver» (p. 182). Déblocage d importants crédits et émulation. 26
27 Patrimonialistion/muséification Compromis entre tendances progressistes/ conservatrices Un discours historique de légitimation Great Zimbabwe 27
28 La mise en série des joyaux de l Etat colonial : sécularisation et tourisme ; édition ; logoïsation. Ex. : Angkor-Vat les technologies du pouvoir colonial mettent en place la grammaire nationaliste. 28
29 Chapitre 3. La nationalisme culturel Ivarsson, Søren, Creating Laos. The making of a Lao Space between Indochina and Siam, Copenhague: NIAS 3.1. Nationalisme culturel/nationalisme politique «Cultural nationalism is concerned with identity and the regeneration of the national community through the development and strengthening of a national essence a distinct civilisation which is the product of a distinct history and culture. The primary leaders of cultural nationalism are found among historians, lexicographers, artists and the like» (p. 8). 29
30 3.2. Contexte précolonial Lao/Laotien 1860: début de la colonisation française dans le S-E asiatique; Indochine française (1887 : Cochinchine, Annam, Tonkin, Cambodge) 1893: idem + Laos Royaume de Lan Xang (14 e -18 e siècle) 18 e siècle: royaumes de Luang Prabang, de Vientiane. Tutelle du Siam et de Hué (Vitetnam) Révolte de roi Anou et destruction de Vientiane ( ). Une zone frontière entre le Siam et Hué 30 Source : Duby 1995 : 235
31 3.3. L occupation française Le Siam, non colonisé, occupe le territoire de l actuel Laos. Premier discours français : le Laos comme dépendance de la cour de Hué. Cartographie. Second discours français : les Français sauveurs du Laos. Pavie et le roi de Luang Prabang (1887). L histoire du Laos comme grandeur et déclin du Lan Xang. Mission civilisatrice des Français. Réactions siamoises : cartographie, postes, portrait royaux. Politique de la canonnière ; signature du traité relatif aux frontières. 31
32 32 Source : Ivarsson 2008 : 39
33 3.4. Le nationalisme irrédentiste du Siam/de la Thaïlande Le point de vue siamois: les territoires perdus 1932 : coup d Etat. Montée de l ultranationalisme pan-thaï. 1939: la Thaïlande. Réunification de tous les Thaïs? Remise en cause de l appellation de «Laos» «From a Thai nationalist perspective Laos was a non-country» (p. 86). 33
34 Source : Ivarsson 2008 : 69 34
35 NY&NR=1 35
36 3.5. Le Laos indochinois 1) Le Laos comme extension du Vietnam? Un déséquilibre démographique Les Viet comme travailleurs intelligents; les Lao comme peuple sympathique mais paresseux, apathiques (bo pen nyang). Faut-il organiser l immigration? 1943 : les Vietnamiens = 4% de la pop. du Laos (villes, emplois) 36
37 3.5. Le Laos indochinois (2) 2) Un Laos lao-centré? Crainte de la dépendance par rapport à la Thaïlande rompre les liens Une identité religieuse bouddhique. Rénovation du Wat Sisaket, du That Luang, création en 1930 d un Institut bouddhique 37
38 3.5. Le Laos indochinois (3) La langue lao réhabilitée. Différenciation de l écriture lao (modèle phonétique) par rapport au thaï (modèle étymologique) Stabilisation de l histoire du Laos (Le Boulanger, 1931): création Lan Xang en 1353, etc., révolte du roi Anou, les Français comme sauveurs. 38
39 3.6. L Indochine sous Pétain Défaite de 1940, régime de Vichy. Famille, travail, patrie, racines rurales, sport. L Indochine suit. 39
40 3.6. L Indochine sous Pétain (2) Les Thaïlandais «récupèrent» deux provinces occidentales du Laos La politique de rénovation culturelle du Laos. Vs hégémonie thaï et communisme naissant au Vietnam. Modèle fédéral ; diversité des cultures indochinoises 1941: lancement du premier journal laotien Nouvelles locales, politique, concours littéraires, romansfeuilletons, hymne national 40
41 Sources : Ivarsson 2008 : 151,
42 Sources : Ivarsson 2008 : 165,
43 3.6. L Indochine sous Pétain (3) Histoire nationale: insistance sur la résurrection du Laos. La perte des provinces comme mal nécessaire. Théâtre, restauration du Wat Phra Keo 43
44 Sources : Ivarsson 2008 : 175, Evans 2002 : 29 44
45 3.7. La première indépendance ( ) Mars 1945: prise du contrôle de l Indochine par les Japonais Avril 1945 : déclaration d indépendance par le roi de Luang Prabang Premier gouvernement laotien Retour des Français Indépendance (1949, 1953) 45
46 Source : Evans 2002 : 89 46
47 3.8. Conclusion Actualité des phénomènes décrits par Ivarsson: lien avec le Lan Xang, déclin, chute, restauration par le Parti communiste. Une importante littérature met en avant les continuités avec le passé, occultant le rôle du colonialisme. 47
48 «The Lao people have [ ] an ancestral love for their homeland, [ ] territory and village, and a love for their birthplace. That is, they love their nation [ ] they cherish and venerate their nation in an unsurpassed manner. Therefore, when the French colonialist came in and placed the yoke of control on the neck of the Lao people, the Lao people felt the need for extreme revenge towards the enemies of the nation and together they rose up to fight the French [ ] The armed uprising of the Lao people to resist the yoke of the French colonialism were done in order to seize independence and national freedom» (p. 15). 48
49 Wat Sisaket Anachronisme de ce nationalisme rétrospectif 49
50 «Ideas about Laos and its culture did not come into being in a sphere independent of the workings of the colonial State. Indeed, French colonialism was instrumental in bringing about a Lao national culturalism. To use Anderson s terminology, we can say that the colonial state engendered the fundamental grammar that made the imagination of a national culture possible» (p.11). 50
51 Chapitre 4 : Le nationalisme au 4.1. Introduction quotidien Parallélismes entre la genèse des nationalismes et l ethnogenèse. Focalisation des études du nationalisme sur les moments «chauds» du processus national. Appel pour un décentrement sur les manifestations «froides», communes et quotidiennes du nationalisme. 51
52 4.2. Le «nationalisme banal» selon Michael Billig Billig, Michael, Banal Nationalism. Londres: Sage. La métaphore des drapeaux Le nationalisme banal est niché dans les replis de la vie quotidienne: monnaie, presse, tournois sportifs, etc. Ce caractère évident, implicite, permet sa reproduction continue et, partant, son affirmation sous des formes manifestes dans les temps «chauds» de l histoire. Discours politiques, presse, prévisions météos, statistiques, etc., se réfèrent implicitement à l Etatnation. 52
53 53
54 Science & Vie sept (couv. & p. 67) 54
55 55
56 Science & Vie, oct. 2014, pp
57 4.2. Le «nationalisme banal» selon Michael Billig Nature déictique (c-à-d ne prenant sens que dans un contexte) des mots employés en rapport avec la nation: «la météo», «l opinion», «nous», «notre», «on», etc. «I want my money Back» (M. Thatcher 1979) The Times : Home news/overseas news The Telegraph: News/foreign news La rubrique des sports marque ce lien à la nation sans ambiguïté ni complexe. Idem J.O. 57
58 58
59 59
60 4.2. Le «nationalisme banal» selon Michael Billig En somme, Billig montre les impensés du discours. La fin de l idée nationale n est pas pour demain. De nombreux phénomènes (transnationalisation, agences internationales, «multiculturalisme américain», etc.) sont compatibles avec ce principe, voire en dépendent. 60
61 4.3. L «intimité culturelle» selon Michael Herzfeld Herzfeld, Michael, L intimité culturelle. Poétique sociale dans l Etat nation. Québec : Presses de l Université Laval. Quelle est la place de l agency dans le modèle de M. Billig? Poiesis (poïétique) sociale: modalités par lesquelles les acteurs sociaux créent, construisent leur image et leurs actes au départ de fragments de l imaginaire national. L intimité culturelle: la gamme de représentations ambiguës que les personnes développent à propos de leur identité dans les contextes d entre-soi, et non dans les contextes publics de l affirmation. 61
62 4.3. L «intimité culturelle» selon Michael Herzfeld Dysémie: deux univers de sens pour un même référent. Exemple: la Grèce contemporaine. Identité nationale officielle tournée vers la Grèce de l Antiquité classique. Les Hellènes. Intimité culturelle: roublardise, insolence, insoumission. Les Romi (terme lié au passé ottoman). Tension entre ces représentations. La référence à l identité Romi est destinée au seul usage interne. 62
63 4.3. L «intimité culturelle» selon Michael Herzfeld L intimité culturelle: «la reconnaissance de ces aspects de l identité culturelle qui gênent ou embarrassent quelque peu vis-à-vis de l extérieur, mais qui n en confèrent pas moins, à ceux de l intérieur, l assurance d une socialité commune, et cette familiarité avec les bases du pouvoir qui peut, du même mouvement, assurer aux sans-voix un certain degré d irrévérence créative tout en renforçant l efficacité de l intimidation» (Herzfeld 2007 : 4). L usage politique des autostéréotypes: le cas du politicien liégeois Michel Dardenne. 63
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