PRESENTATION DES RESULTATS D ENQUETE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PRESENTATION DES RESULTATS D ENQUETE"

Transcription

1 Avec la contribution du Fonds Social Européen Région Franche-Comté Chef de Projet : Céline Huot - Marchand PROGRAMME AGES ET TRAVAIL CONNAISSANCE ET UTILISATION DES DISPOSITIFS DE FORMATION PAR LES ACTIFS DE PLUS DE 45 ANS DU SECTEUR SANITAIRE, SOCIAL ET MEDICO SOCIAL PRESENTATION DES RESULTATS D ENQUETE En partenariat avec Unifaf Franche-Comté

2 SOMMAIRE Contexte p 3 Méthodologie p 4 Eléments issus des questionnaires salariés p 6 Le point de vue des employeurs p 9 Conclusion p 12 ANNEXES P 13 Questionnaire salarié p 14 Questionnaire employeur p 16 2

3 CONTEXTE En collaboration avec UNIFAF Franche-Comté, la production 2005, dans le cadre de l étude «Ages et travail», a visé la constitution d un guide d informations sur le secteur associatif sanitaire, social et médico social ; guide destiné aux Psychologues du Travail de l AFPA. Ce document, comportant des éléments de connaissance sur les métiers (voies d accès, parcours de formation, perspectives d évolution, caractéristiques des corps professionnels) a aussi fourni des éléments d analyse concernant la transformation identitaire des professionnels face à l intergénérationnel. Parallèlement, la branche professionnelle sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif a constaté, par différentes études menées au niveau national, que des départs en retraite massifs sont prévus dans les années à venir. Les actifs sont en effet particulièrement vieillissants dans le secteur, surtout sur certains métiers tels qu Educateur Spécialisé. En outre, la quantité de jeunes diplômés par la voie de la formation initiale ne permet pas à l heure actuelle, sur certaines qualifications, de faire face au volume de départs. En complément de ce diagnostic nous avons convenu avec UNIFAF d orienter la suite du Programme «Ages et Travail» de l AFPA sur la nécessaire prise en compte des salariés en 2 ème partie de carrière dans le secteur sanitaire, social et médico-social : Il est important au moment où les partenaires envisagent d accroître les possibilités de formation et recrutement de jeunes salariés de disposer d outils d analyse et d accompagnement pour favoriser l allongement de la durée du travail des «activieillissants», la cohabitation des générations, le «mieux vieillir au travail». La demande première d UNIFAF Franche-Comté s est alors portée sur la conception d une brochure à l usage de salariés en 2 ème partie de carrière relative aux dispositions et outils prévus pour accompagner leur évolution de carrière. Une contractualisation a été rédigée entre Le CROP Franche Comté et UNIFAF Franche Comté. 3

4 METHODOLOGIE PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES DE TRAVAIL PROBLEMATIQUE : Les actifs vieillissants du secteur sanitaire, social et médico-social utilisent peu les nouveaux dispositifs de formation qui relèvent de leur initiative, notamment le DIF et la Période de Professionnalisation. A quoi pouvons nous connecter cette insuffisante utilisation des dispositifs de formation? HYPOTHESE DE TRAVAIL 1 : La faible utilisation des dispositifs de formation est due à la méconnaissance des dispositifs et de leur procédure d accès. HYPOTHESE DE TRAVAIL 2 : Les dispositifs de formation proposés ne sont pas adaptés aux besoins des actifs de plus de 45 ans. HYPOTHESE DE TRAVAIL 3 : L usure professionnelle empêche les actifs de plus de 45 ans d investir ces dispositifs de formation. Nous touchons ici à la question du sens pour le salarié (sens pour lui d être au travail, d aller vers le changement, etc...) LE QUESTIONNAIRE COMME OUTIL D INVESTIGATION Pour pouvoir vérifier ces pistes de réflexion, deux questionnaires ont été établis (chaque étape de construction a été validée par UNIFAF) : Un questionnaire salarié visant leur connaissance et l utilisation des dispositifs de formation par des questions fermées, leur représentation du «être un actif vieillissant au travail» par des questions ouvertes, Un questionnaire employeur concernant les observations qu il peut faire sur la problématique traitée. NOS ETAPES DE TRAVAIL CONCERNANT L ENQUETE PRE-ENQUETE: Tester cet outil dans le cadre d une pré enquête, les membres de l équipe sont alors entrés en contact avec quelques structures pré-sélectionnées par UNIFAF. Des rencontres ont été organisées afin d être au côté de l employeur puis des salariés lors de l utilisation du questionnaire. Il s agissait alors de repérer les incompréhensions, les réactions face à certaines questions. Suite à cette pré-enquête, nous avons supprimé la question portant sur l épuisement ou l usure professionnelle. En effet, les salariés restaient perplexes devant cette sollicitation, probablement trop directe et intime. Par conséquent notre troisième hypothèse de travail ne peut être éprouvée. 4

5 ENVOI DES QUESTIONNAIRES : Après ajustement des questionnaires, ceux ci ont été diffusés par voie postale à l ensemble des associations adhérentes à UNIFAF Franche-Comté, représentant au total plus de salariés. Nous avons ciblé, avec UNIFAF, 50 % des salariés comme pouvant être potentiellement des actifs de plus de 45 ans questionnaires salariés ont donc été diffusés et environ 400 questionnaires employeurs. Chaque questionnaire était accompagné d une lettre d accompagnement destinée aux Représentants du Personnel en tant que relais des salariés et à l employeur. Plus de 56 structures ont répondu en retournant leur questionnaire employeur et questionnaires salariés. 54 structures sont clairement identifiées, les autres n ont pas mis de bordereau dans leur enveloppe de retour. 562 questionnaires salariés ont été saisis soit les réponses de 562 salariés de plus de 45 ans. Pour les structures importantes, les Représentants du Personnel ont été sollicités afin de diffuser et recueillir l ensemble des questionnaires dans des urnes. TRAITEMENT DES DONNEES : Recueil, saisie et analyse des données statistiques. 5

6 ELEMENTS ISSUS DES QUESTIONNAIRES SALARIES CONNAISSANCE DES DISPOSITIFS DE FORMATION ET DES PROCEDURES D ACCES En tête de liste des dispositifs connus par les salariés de plus de 45 ans du secteur : La VAE (environ 71 % des répondants disant connaître «bien» ou «un peu» le dispositif), 70 % concernant le DIF, 67 % pour le CIF, 64 % pour le Plan de Formation (pourtant bien connu et très utilisé par les structures adhérentes à UNIFAF), 63 % pour le Bilan de Compétences et 55 % pour l Entretien Professionnel. 100% 80% 60% 40% 20% 0% Plan de Formation vae CIF Bilan de Comp. Entretien Pro. DIF Contrat de Pro. Période de Pro. Passeport Formation non oui de nom oui un peu oui bien Premier constat : Le Plan de Formation bien qu étant un dispositif ancien et qui concentre la très grande majorité des bénéficiaires de la Formation Professionnelle tout au long de la vie, n arrive pas en tête des dispositifs connus. Pourtant un tiers d entre eux bénéficient chaque année d une formation dans le cadre du Plan. Deuxième constat : La VAE est particulièrement bien connue alors qu elle est relativement peu utilisée. Beaucoup de communication a été faite sur ce dispositif par UNIFAF et différentes institutions (Etat, Direction du Travail, Conseil Régional, CEDRE ), ce qui explique sans doute cette bonne connaissance de la part des salariés. Troisième constat : Le DIF est également bien connu des répondants. Cela s explique certainement par l information obligatoire que doivent fournir les employeurs, une fois par an, aux salariés sur leurs droits acquis au titre du DIF. Cela signifie que les efforts de communication ont porté leurs fruits. Quatrième constat : Une telle communication n a pas été faite sur la Période de Professionnalisation ; aussi seulement 22 % des répondants la connaissent alors que la Période de Professionnalisation vise particulièrement les actifs vieillissants. Elle désigne notamment comme bénéficiaires les salariés ayant au moins 20 ans d activité ou les salariés de plus de 45 ans ayant 1 an d ancienneté dans l entreprise. Ce dispositif favorise le maintien dans l emploi de personnes 6

7 fragilisées. Dans le cas présent nous constatons que la majorité des niveaux VI se situe dans la tranche des plus de 55 ans. Cinquième constat : Concernant le Contrat de Professionnalisation (25 %), cette méconnaissance est compréhensible car le dispositif ne s adresse pas aux salariés en poste. Dans le cadre de la Réforme (Loi de Réforme de la Formation Professionnelle du 4 Mai 2004), le Passeport Formation (réalisable en dehors du cadre UNIFAF) est connu par 15 % des répondants. Certains employeurs ou Représentants du Personnel ont communiqué sur cet outil directement auprès de leurs salariés. Le Passeport Formation est particulièrement intéressant pour les actifs de plus de 45 ans car il permet l identification et la certification de compétences acquises au travail. Et par là même, il favorise la mobilité des salariés tant interne, qu externe. Le salarié peut construire par lui-même et à sa seule initiative son Passeport Formation. Sur les procédures d accès, 60 % des répondants disent savoir à qui s adresser pour bénéficier de ces dispositifs. Mais nous n avons pas demandé de préciser s il s agit d interlocuteurs identifiés au sein de l établissement ou d acteurs externes. LES BENEFICIAIRES DES DISPOSITIFS DE FORMATION 58 % des répondants expriment avoir bénéficié d au moins un dispositif de formation. Or pour les plus anciens, avoir bénéficié d actions dans le cadre du Plan de Formation (PAUF) paraît incontournable. Le chiffre devrait donc théoriquement être plus élevé. Parallèlement UNIFAF Franche Comté comptabilise 5456 départs en formation (sur environ salariés) pour l année 2005, dont 5379 rien que pour le Plan de Formation. Ce qui confirme que la valeur recueillie par les enquêtes reste en dessous des chiffres réels. Les actions suivies dans le cadre du Plan de Formation ne sont sans doute pas toujours identifiées comme telles. 16 % des répondants disent avoir bénéficié du DIF, ce qui paraît être un chiffre encore élevé à fin 2006 (peu de demandes identifiées par UNIFAF). Le DIF n a pas de financement spécifique, aussi il est en général financé par le Plan de Formation et UNIFAF ne l identifie pas forcément comme une demande de DIF. 7

8 Les données concernant les autres prestations sont cohérentes par rapport aux chiffres relevés par UNIFAF Franche Comté. Sur la satisfaction, 71 % des personnes expriment que les dispositifs ont, d une façon générale, bien répondu à leurs besoins. Ceux pour lesquels les dispositifs n ont pas répondu à leurs besoins ou partiellement, n en ont pas exprimé les raisons. LES ACTIFS DE PLUS DE 45 ANS NON BENEFICIAIRES DE FORMATION Ils représentent donc 42 % des répondants au questionnaire. A la question «Pour quelles raisons n y avez vous pas eu recours jusqu à présent?», les réponses les plus prégnantes sont : 39 % disent ne pas en avoir eu besoin, 24 % par manque d information, 18 % parce que cela ne leur a pas été proposé. Ce qui est intéressant c est que seulement 5 % identifient leur âge comme étant une barrière à la formation. Cela signifie, pour le reste des répondants, que l on n est pas trop âgé pour se former mais que ce sont a priori d autres éléments qui freinent l accès à la formation. CHANGER DE METIER, EVOLUER, SE QUALIFIER AVANT LE DEPART EN RETRAITE Seulement 16 % des répondants souhaitent changer de métier avant leur départ en retraite. Pour les plus âgés, il est aisé de comprendre qu un tel projet est difficilement envisageable. Néanmoins 64 % désirent évoluer professionnellement, cela traduit un souhait de se tenir informé, de progresser. Beaucoup de dispositifs de formation peuvent alors répondre à ce besoin : DIF, Plan de Formation, VAE, Période de Professionnalisation Par ailleurs 45 % expriment le souhait de suivre une formation qualifiante. Ce chiffre reste surprenant compte tenu de l âge des répondants, une formation qualifiante étant souvent longue et contraignante. Il conviendrait de vérifier si le terme de formation qualifiante est bien compris. Ce sont significativement les personnes détentrices d un niveau VI qui, à 94 %, ne souhaitent pas changer de métier avant leur départ en retraite, 74 % qui ne souhaitent pas évoluer professionnellement. Sans doute n entrevoient ils pas d opportunités et doutent de leur capacité à le faire. Compte tenu du niveau de qualification, nous pouvons donc supposer que le salarié veut favoriser la sécurité de l emploi. Peut être faut il enseigner que l évolution professionnelle, le changement professionnel ne menace pas l emploi des personnes les moins qualifiées, que la formation prévoit des dispositifs spécifiques pour ces publics sans que cela soit pénalisant, bien au contraire. Les salariés de niveau IV (77 %) et de niveau III (74 %) sont ceux qui souhaitent le plus évoluer dans leur milieu professionnel. Le niveau de qualification, l image de soi, le potentiel de progression sont autant de facteurs qui permettent d envisager l évolution professionnelle comme une reconnaissance et un épanouissement personnel. Par exemple, pour la population masculine, les hommes qui souhaitent le plus une évolution professionnelle occupent des postes de Moniteur d Atelier, d Educateur ou d encadrement, là où les perspectives d évolution sont a priori les plus fortes. De manière globale, plus les salariés avancent dans leur carrière, plus un désir d évolution ou de changement professionnel s affaiblit, ce qui semble tout à fait logique. 8

9 LE POINT DE VUE DES EMPLOYEURS 64 % des employeurs appartiennent au secteur médico social, 32 % au secteur social et 4 % au secteur sanitaire. Ce sont majoritairement des Directeurs d Etablissement. EVALUATION DE LEUR EFFECTIF DE PLUS DE 45 ANS Les employeurs évaluent en moyenne que les actifs de plus de 45 ans représentent environ 49 % de l effectif total de leur Etablissement. UNE EVALUATION PROCHE DE CE QUI A ETE EXPRIME PAR LES SALARIES De manière générale et sur chaque dispositif les employeurs ont fourni une représentation de l utilisation des dispositifs de formation assez proche de ce qui a été exprimé par les salariés. L INFORMATION DES ACTIFS DE PLUS DE 45 ANS Les employeurs ont fourni, par une question ouverte, les moyens par lesquels les salariés de leur Etablissement sont informés des formations et de leur procédure d accès : 50 % par réunion d information, 40 % par les Délégués du Personnel, Syndicat, 21 % par la communication externe, 19 % lors des entretiens annuels, 15 % par la documentation, 15 % par l appui UNIFAF, 13 % par la Direction, 11 % par affichage, etc. 9

10 Cet élément de réponse est à mettre en lien avec les 60 % de salariés connaissant les procédures d accès et pour lesquels nous ignorions les sources d informations. L ADEQUATION ENTRE DISPOSITIFS DE FORMATION ET ACTIFS DE PLUS DE 45 ANS On peut relever, parmi l ensemble des dispositifs, 4 prestations principalement désignées par les employeurs comme apportant une réponse particulièrement adaptée aux actifs de plus de 45 ans : VAE : 83 % Plan de Formation : 83 % Bilan de Compétences : 54 % CIF : 50 % % VAE Plan Formation Bilan de Comp. CIF Entretien Pro. DIF Période de Pro. Passeport Formation Contrat de Pro. Parmi celles qu ils désignent majoritairement comme n étant pas ou peu adaptées aux besoins des salariés et en corrélation avec les précédents résultats : Le Contrat de Professionnalisation : 59.5 % le jugent pas ou peu adapté, ce qui est logique puisque le Contrat de Professionnalisation ne s adresse pas aux salariés en poste mais aux jeunes de moins de 26 ans et aux demandeurs d emploi de plus de 26 ans. La Période de Professionnalisation : 40.5 % alors que paradoxalement les actifs de plus de 45 ans sont un public cible concernant cette prestation. On constate que ce dispositif reste très mal connu par les employeurs comme par les salariés. Le Passeport Formation n a pas été mentionné. 10

11 Parmi les raisons pour lesquelles ces dispositifs sont peu ou pas adaptés aux actifs de plus de 45 ans, en première position, 29 % évoquent des raisons autres sans en préciser la nature. En deuxième position, 25 % des employeurs pensent qu il y a un problème de niveau (trop faible ou trop élevé). En troisième position, 17 % estiment que c est en relation avec l âge. MISE EN PLACE DE NOUVELLES ACTIONS 65 % des employeurs pensent qu il n est pas nécessaire de mettre d autres dispositions en place. 30 % suggèrent d améliorer l information, 20 % de miser sur des actions régionales d UNIFAF, 10% d améliorer l orientation et 10 % évoquent des dispositions récentes. 40 % mentionnent d autres possibilités sans en préciser la nature. L EVOLUTION PROFESSIONNELLE DE SES SALARIES ET LA FORMATION QUALIFIANTE 79 % des employeurs affirment qu ils veillent à l évolution professionnelle de leurs salariés de plus de 45 ans avant leur départ en retraite. Dans une démarche de terrain, il serait intéressant de sonder les moyens qui sont alors utilisés : Supports documentaires, sensibilisation dans l institution, etc. 90 % se disent prêts à faire suivre à ces mêmes salariés une formation qualifiante. 11

12 CONCLUSION Les actifs vieillissants qui se sont exprimés, au sujet des dispositifs de formation, lèvent plusieurs zones d ombres et parallèlement accentuent le besoin des professionnels de l orientation et de la formation d approfondir ces résultats par des échanges directs. Car les dispositifs ciblant principalement les actifs de plus de 45 ans restent émergeants, méconnus par les salariés et jugés parfois comme inadaptés par les employeurs. Aussi s agit il de mieux communiquer autour de ces produits de formation spécifiques, d accompagner un changement de représentations et/ou de mieux comprendre les motivations et les besoins qui prédominent en seconde partie de carrière. La question qui nous apparaît comme fondamentale : sommes-nous sur des problématiques relatives à l âge à proprement parler ou plutôt relatives aux étapes de vie? Nous avons constaté que plus le salarié avance, évolue dans sa carrière (et non pas vieillit), plus le souhait de changer de métier, d évoluer professionnellement, de suivre une formation qualifiante s affaiblissait, quelque soit son niveau de formation ; alors qu il ne manifeste pas son âge comme un empêchement majeur à l accès à la formation. Aussi l âge est il l élément fondamental du phénomène des actifs vieillissants? La connaissance et l utilisation des dispositifs de formation reposent elles sur la notion d âge ou de parcours de vie généré par l âge? Si les priorités de vie d un individu changent (à plus de 55 ans, un individu peut privilégier par exemple sa vie de grand-parent ou favoriser ses aspirations personnelles ), est il judicieux de produire un support d information dont il serait spécialement destinataire? Ne serait il pas plus pertinent de proposer un accompagnement individuel permettant au salarié de parcourir, réfléchir sa vie professionnelle menée jusque là et celle qui s annonce? Toutes ces interrogations constituent des pistes de travail futures. La réalisation d un fascicule à destination des salariés de plus de 45 ans (piste de travail initialement évoquée préalablement à la réalisation de cette étude) s avère à notre avis peu judicieux. En effet, les enseignements de cette enquête indiquent notamment que la communication porte ses fruits (cf. VAE, DIF ). Il conviendrait plutôt de l améliorer encore, en envisageant par exemple des faces à faces avec les salariés sous forme d informations collectives à thème. Les professionnels de l orientation et de la formation que nous sommes devons pouvoir également proposer à ces salariés un accompagnement individuel approprié aux besoins d un individu qui prévalent en seconde partie de carrière. 12

13 ANNEXES 13

14 QUESTIONNAIRE VERSION salarié Questionnaire confidentiel destiné à l AFPA. La loi n du relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, garantit aux individus un droit d accès et de rectification pour les informations les concernant. Ce droit peut être exercé auprès de l AFPA : Direction Régionale 4 rue Gabriel Plançon Besançon Cedex. La réponse à ce questionnaire n a pas de caractère obligatoire. Dans le cadre du Programme "Âges et Travail", l AFPA et UNIFAF Franche-Comté mènent une enquête auprès des salariés de plus de 45 ans du secteur sanitaire, social et médico-social. Nous vous adressons ce questionnaire anonyme et confidentiel dans l objectif de mieux connaître vos besoins et vos attentes professionnelles. Cette étude pourra conduire à la réalisation d une plaquette d information sur les droits et dispositifs de formation et d orientation à l attention des salariés en deuxième partie de carrière de votre secteur. Nous comptons sur votre participation car nous ne pourrons exploiter les données recueillies et tirer des enseignements vraiment utiles que dans la mesure où un maximum de réponses nous parviendra. Secteur d'activité de votre établissement : Sanitaire 1 Social 2 Médico-social 3 Age : ans Sexe : M 1 F 2 Emploi occupé : cadre 1 non cadre 2 Niveau de formation : Scolarité obligatoire sans diplôme 1 niveau CAP/BEP 2 niveau bac 3 niveau bac +2 4 niveau bac+3 et + 5 Ancienneté dans l'emploi : ans Ancienneté dans le secteur : ans L'accord national interprofessionnel (ANI) et la Loi du 4 Mai 2004 relative à la formation professionnelle tout au long de la vie créent et renforcent un certain nombre de dispositifs. 1. Connaissez-vous les dispositifs suivants : Oui bien Oui un peu Oui de nom Non pas du tout La Validation des Acquis de l Expérience Le Bilan de Compétences Le Droit Individuel à la Formation (DIF) La Période de Professionnalisation Le Contrat de Professionnalisation Le Congé Individuel de Formation (CIF CDD/CDI) Le Plan de Formation L Entretien Professionnel Le Passeport Formation

15 2. Savez vous à qui s adresser pour bénéficier de ces dispositifs? Oui 1 Non 2 3. Avez vous bénéficié de l un de ces dispositifs? Oui 1 Non 2 Si oui, lequel(s)? 1 La Validation des Acquis de l Expérience 2 Le Bilan de Compétences 3 Le Droit Individuel à la Formation (DIF) 4 La Période de Professionnalisation 5 Le Contrat de Professionnalisation 6 Le Congé Individuel de Formation (CIF CDD/CDI) 7 Le Plan de Formation 8 L Entretien Professionnel 9 Le Passeport Formation 10 autre, précisez : Si oui, ont-ils répondu à vos besoins? Oui bien 1 Oui partiellement 2 Non pas du tout 3 si non ou que partiellement, pourquoi? 4. Si vous avez répondu non à la question 3, pour quelles raisons n y avez vous pas eu recours jusqu à présent? 5. Souhaitez vous changer de métier avant votre départ en retraite? Oui 1 Non 2 6. Souhaitez vous évoluer professionnellement avant votre départ en retraite? Oui 1 Non 2 7. Souhaitez vous suivre une formation qualifiante (préparant à un diplôme ou un titre)? Oui 1 Non 2 Nous vous remercions d'avoir répondu à ce questionnaire confidentiel. Ce questionnaire est à mettre dans une enveloppe et à déposer rapidement dans l'urne prévue à cet effet. 15

16 QUESTIONNAIRE VERSION employeur Questionnaire confidentiel destiné à l AFPA. La loi n du relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, garantit aux individus un droit d accès et de rectification pour les informations les concernant. Ce droit peut être exercé auprès de l AFPA : Direction Régionale 4 rue Gabriel Plançon Besançon Cedex. La réponse à ce questionnaire n a pas de caractère obligatoire. Dans le cadre du Programme «Ages et Travail», l AFPA et UNIFAF Franche-Comté mènent une enquête auprès des salariés de plus de 45 ans du secteur sanitaire, social et médico-social. Un questionnaire est destiné aux salariés afin de mieux connaître leurs besoins et leurs attentes professionnelles. Le questionnaire suivant est proposé aux Responsables d Etablissements dans l objectif de collecter des informations complémentaires à propos de ces actifs en seconde partie de carrière. Dénomination de l association : Secteur : Sanitaire 1 Social 2 Médico-social 3 Votre Fonction : 1. Quel pourcentage de l effectif total de votre établissement représente les plus de 45 ans? 2. Répartition des salariés de plus de 45 ans dans votre établissement? NOMBRE POURCENTAGE (par rapport à l effectif total) Métiers du secteur sanitaire Métiers du secteur social Métiers du secteur médico-social Services Administratifs Services Généraux Autres (à préciser) TOTAL (100 %) 3. Les dispositifs suivants sont ils utilisés au bénéfice des actifs de plus de 45 ans? DISPOSITIFS (jamais de manière, occasionnelle, fréquemment) La Validation des Acquis de l Expérience Le Bilan de Compétences Le Droit Individuel à la Formation (DIF) La Période de Professionnalisation Le Contrat de Professionnalisation Le Congé Individuel de Formation (CIF CDD/CDI) Le Plan de Formation

17 L Entretien Professionnel Le Passeport Formation Fonds Social Européen 4. Par quels moyens les salariés de votre structure sont-ils informés de ces dispositifs et des procédures d accès? 5. Selon vous quels dispositifs existants apportent ils des réponses aux actifs de plus de 45 ans? 1 La Validation des Acquis de l Expérience 2 Le Bilan de Compétences 3 Le Droit Individuel à la Formation (DIF) 4 La Période de Professionnalisation 5 Le Contrat de Professionnalisation 6 Le Congé Individuel de Formation (CIF CDD/CDI) 7 Le Plan de Formation 8 L Entretien Professionnel 9 Le Passeport Formation 6. Selon vous quel(s) dispositif(s) existants ne sont pas ou peu adaptés à ces actifs? 1 La Validation des Acquis de l Expérience 2 Le Bilan de Compétences 3 Le Droit Individuel à la Formation (DIF) 4 La Période de Professionnalisation 5 Le Contrat de Professionnalisation 6 Le Congé Individuel de Formation (CIF CDD/CDI) 7 Le Plan de Formation 8 L Entretien Professionnel 9 Le Passeport Formation Pour quelles raisons? 7. Pensez vous que d autres actions pourraient être mises en place? Oui 1 Non 2 Si oui, lesquelles : 8. Veillez vous à ce que les actifs de plus de 45 ans, de votre association, évoluent professionnellement jusqu à la retraite? Oui 1 Non 2 Ne se prononce pas 3 9. Êtes vous prêt à faire suivre des formations qualifiantes aux actifs de plus de 45 ans? Oui 1 Non 2 Ne se prononce pas 3 Nous vous remercions d'avoir répondu à ce questionnaire confidentiel. Ce questionnaire est à renvoyer avec les questionnaires salariés et le bordereau joint. 17

Réforme de la formation professionnelle

Réforme de la formation professionnelle MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes

Plus en détail

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les

Plus en détail

Présentation UNIFAF / Réforme de la Formation Professionnelle Continue / Les dispositifs UNIFAF

Présentation UNIFAF / Réforme de la Formation Professionnelle Continue / Les dispositifs UNIFAF Réunion d information UDAF du Gard 23 mars 2015 Présentation UNIFAF / Réforme de la Formation Professionnelle Continue / Les dispositifs UNIFAF Créée : MAJ : 24/06/2014 19/03/15 Sommaire 1 : UNIFAF 2 :

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME

FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME ENTREPRISES DE 300 SALARIÉS ET PLUS, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA RÉFORME DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE. LES ENJEUX MAJEURS POUR LES ENTREPRISES

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Plan de professionnalisation des adultes-relais de la Martinique

Plan de professionnalisation des adultes-relais de la Martinique Plan de professionnalisation des adultes-relais de la Martinique Les acteurs du programme Un plan national de professionnalisation à destination des adultes-relais qui se décline au plan territorial sur

Plus en détail

Ucanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières

Ucanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Ucanss Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Potocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières

Plus en détail

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions?

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? Mireille HUGUET Chargée de Mission RH Seniors Présentation Mireille HUGUET Consultante RH et Bilan de compétences Chargée de Mission

Plus en détail

Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la

Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10

Plus en détail

CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011

CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011 RELATIF À LA

Plus en détail

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Résultats de l enquête Emploi & Réseau. Les réseaux sociaux sont-ils vraiment utiles pour les recruteurs et les candidats?

Résultats de l enquête Emploi & Réseau. Les réseaux sociaux sont-ils vraiment utiles pour les recruteurs et les candidats? Résultats de l enquête Emploi & Réseau ux sociaux Les réseaux sociaux sont-ils vraiment utiles pour les recruteurs et les candidats? Contexte et méthodologie Contexte Pourquoi cette enquête? Faire le point

Plus en détail

Client : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail

Client : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Drroiitt ett oblliigattiions de ll enttrreprriise au rregarrd du code du ttrravaiill Action Objectifs Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Appréhender les dernières évolutions

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative

Plus en détail

Votre contrat Prévoyance / Dépendance Entreprise

Votre contrat Prévoyance / Dépendance Entreprise Prévoyance / Dépendance - PME Votre contrat Prévoyance / Dépendance Entreprise Livret de l entreprise Votre contrat Vos cotisations Les mouvements de personnel Les prestations pour vos salariés Vos contacts

Plus en détail

L insertion des contrats de professionnalisation de la branche des services de l automobile en 2014

L insertion des contrats de professionnalisation de la branche des services de l automobile en 2014 L insertion des contrats de professionnalisation de la branche des services de l automobile en 2014 Résumé ) L ensemble des indicateurs (taux d emploi, taux de CDI, taux de maintien dans l entreprise formatrice

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 Préambule La Fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées (FSJ) regroupe depuis 1996, des lieux

Plus en détail

Pour diffusion immédiate. Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS

Pour diffusion immédiate. Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS Montréal, le 6 mars 2007 Un sondage réalisé du 28 février au 4 mars 2007 par la maison CROP

Plus en détail

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires

Plus en détail

L emploi des seniors

L emploi des seniors L emploi des seniors dans la branche des laboratoires de biologie médicale Observatoire des métiers des Professions Libérales 52 56 rue Kléber 92309 LEVALLOIS PERRET Cedex Tél. 01 46 39 38 64 Fax 01 46

Plus en détail

ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats

ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES Analyse et synthèse des résultats Etude organisée par le service Etudes du CIFODECOM 1. INTRODUCTION 2. OBJETIF DE L ETUDE

Plus en détail

Institut Régional du Travail Social Poitou-Charentes

Institut Régional du Travail Social Poitou-Charentes Maître/Maîtresse de Maison Modalités d inscription en situation d emploi ou demandeur d emploi Protocole d allègements ou de dispense Modalités de validation Recherche de stage pour les demandeurs d emploi

Plus en détail

Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes

Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Territoire de Thourotte (60) 2014 Depuis 2013, la Mutuelle Familiale en partenariat avec l IRBMS sensibilise ses adhérents à la consommation

Plus en détail

Nathalie OLIVIER, Psychologue du Travail, Conseillère Bilan, CBEN Montpellier (Centre Bilan GRETA) cben.olivier@ac-montpellier.fr

Nathalie OLIVIER, Psychologue du Travail, Conseillère Bilan, CBEN Montpellier (Centre Bilan GRETA) cben.olivier@ac-montpellier.fr 1. Parcours de l intervenant et son poste au CBEN 2. Réseau des 13 CBEN L-R 3. Métiers de l Orientation Professionnelle 4. Bilan de Compétences : loi, déontologie, phases 5. Méthodologie du bilan: concepts,

Plus en détail

Réduire les coûts de communication. Votre guide SMS

Réduire les coûts de communication. Votre guide SMS Réduire les coûts de communication Votre guide SMS Le SMS face à l e-mail Rentabiliser la communication est un enjeu important pour les entreprises, qu il s agisse de multinationales ou de PME. Le défi

Plus en détail

L intergénérationnel, un enjeu pour tous

L intergénérationnel, un enjeu pour tous www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» «Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des

Plus en détail

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

Etude RSA / IFOP : Nos ados sont-ils vigilants sur Internet?

Etude RSA / IFOP : Nos ados sont-ils vigilants sur Internet? Etude RSA / IFOP : Nos ados sont-ils vigilants sur Internet? Dans le cadre de sa campagne d éducation «Internet, les autres et moi», RSA a commandité une étude qui interroge et compare les perceptions

Plus en détail

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS

Plus en détail

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience GUIDE POUR AGIR Comment SE PRÉPARER à la validation des acquis de son expérience JE BÂTIS MON PROJET PROFESSIONNEL Avec le soutien du Fonds social européen Pourquoi se préparer à la validation des acquis

Plus en détail

Les entreprises françaises et le coworking

Les entreprises françaises et le coworking Les entreprises françaises et le coworking Perceptions, pratiques et attentes Novembre 2011 A la demande de Mobilitis, l institut Opinionway a mené une étude sur la perception, les pratiques et les perspectives

Plus en détail

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012 Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

Appel à proposition. Unité Territoriale 41. Cité Administrative Porte B 3ème étage - 34, avenue Maunoury 41011 BLOIS CEDEX Téléphone : 02.54.55.85.

Appel à proposition. Unité Territoriale 41. Cité Administrative Porte B 3ème étage - 34, avenue Maunoury 41011 BLOIS CEDEX Téléphone : 02.54.55.85. Appel à proposition «Convention THYSSEN - Suivi des actions et prolongation du portage de l action de Gestion Territoriale des Emplois et des Compétences sur le vendômois» Unité Territoriale 41 Cité Administrative

Plus en détail

Objectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins

Objectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins Articulation entre la vie professionnelle et l exercice de la responsabilité parentale (ces exemples visent à accompagner les partenaires sociaux dans leur négociation, ils ne sont pas exhaustifs des bonnes

Plus en détail

Responsable d agence

Responsable d agence Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3073 Convention collective nationale IDCC : 86. ENTREPRISES DE LA PUBLICITÉ ET

Plus en détail

Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne

Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Rapport d analyse des résultats Présenté à l'institut du Nouveau Monde 22 mai 2012

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

Dans cet esprit, les signataires du présent accord souhaitent apporter des réponses :

Dans cet esprit, les signataires du présent accord souhaitent apporter des réponses : ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL SUR LE DEVELOPPEMENT DE LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE PROFESSIONNELLE, LA PROFESSIONNALISATION ET LA SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS PREAMBULE La formation

Plus en détail

Fafiec au 1 er mars 2011

Fafiec au 1 er mars 2011 Financements Fafiec au 1 er mars 2011 Les partenaires sociaux, négocient chaque année les modalités de financement de la professionnelle. Pour 2011, ils ont souhaité que la qualité des services et de l

Plus en détail

Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation

Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation Résultats de l enquête menée sur les organisations partenaires de l Office fédéral

Plus en détail

Article 1 : LA GÉNÉRALISATION DE LA COUVERTURE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ

Article 1 : LA GÉNÉRALISATION DE LA COUVERTURE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ANI du 11 janvier 2013 pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l'emploi et des parcours professionnels des salariés Etude des

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

Rapport Final. Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification»

Rapport Final. Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification» Rapport Final Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification» Février 2001 Note méthodologique Rappel des objectifs Nous devons au terme de cette étude avoir : Cerné

Plus en détail

Décembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte

Décembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Décembre 2009 Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Sommaire Introduction La loi handicap Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Résultats de l enquête nationale Recrutement, sous-traitance,

Plus en détail

Les salariés du secteur privé face à la généralisation de la complémentaire santé collective

Les salariés du secteur privé face à la généralisation de la complémentaire santé collective Les salariés du secteur privé face à la généralisation de la santé collective Etude réalisée pour Swiss Life France Contact Ifop : Frédéric Dabi / François KRAUS Directeur d études d opinion 01 72 34 94

Plus en détail

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national

Plus en détail

La place des seniors dans le bénévolat

La place des seniors dans le bénévolat La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils

Plus en détail

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

BTS MUC Management des Unités Commerciales MODALITES & AVANTAGES BUSINESS PROGRAMME / ALTERNANCE

BTS MUC Management des Unités Commerciales MODALITES & AVANTAGES BUSINESS PROGRAMME / ALTERNANCE BTS MUC Management des Unités Commerciales MODALITES & AVANTAGES BTS MUC Management des Unités Commerciales OBJECTIFS Le titulaire du BTS Management des Unités Commerciales a pour perspective de prendre

Plus en détail

Dossier de presse Janvier 2013. Les ados au téléphone : l enquête de l ASEF

Dossier de presse Janvier 2013. Les ados au téléphone : l enquête de l ASEF Dossier de presse Janvier 2013 Les ados au téléphone : l enquête de l ASEF L Association Santé Environnement France, qui rassemble aujourd hui près de 2 500 médecins en France, est devenue incontournable

Plus en détail

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION - Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION PRÉAMBULE Le secteur des services à la personne a connu une croissance très rapide

Plus en détail

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr

Plus en détail

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013 2013 : 7 ème vague du baromètre 15 octobre 2013 Contexte, objectifs et méthodologie 2 Objectifs de l étude En 2006, le Groupe Europ Assistance et le Cercle Santé Société lançaient, avec l institut CSA,

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 Entre : La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements

L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements Mission IGAS CPF - Réunion GC quadripartite du 24 octobre 2013 1 Sommaire de la présentation 1. Le CEP : un accompagnement

Plus en détail

Appel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers

Appel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question

Plus en détail

L USAGE DES NEWSLETTERS BtoB. Enquête exclusive Niouzeo Septembre 2011

L USAGE DES NEWSLETTERS BtoB. Enquête exclusive Niouzeo Septembre 2011 L USAGE DES NEWSLETTERS BtoB Enquête exclusive Niouzeo Septembre 2011 L usage des newsletters dans les entreprises BtoB Introduction : Notre étude : Le terme «Newsletter» s est banalisé. Beaucoup d entreprises

Plus en détail

Le résumé ci-après condense un certain nombre de résultats sélectionnés. Le rapport intégral peut être obtenu auprès de Pro Senectute Suisse.

Le résumé ci-après condense un certain nombre de résultats sélectionnés. Le rapport intégral peut être obtenu auprès de Pro Senectute Suisse. Résumé de l étude Les seniors et Internet Pro Senectute Suisse L utilisation des technologies de la communication et de l information (TIC) par les personnes de 65 ans et plus en Suisse en 2015 Institut

Plus en détail

METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 2004

METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 2004 UNIVERSITE RENNES HAUTE BRETAGNE METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 004 ETUDE DE L''INSERTION PROFESSIONNELLE DIPLOMES 004 Observatoire des Parcours Etudiants et de l'insertion

Plus en détail

Les Groupements de coopération

Les Groupements de coopération Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Ce qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise

Ce qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de vie CENTRE TECHNIQUE DES INSTITUTIONS DE PRÉVOYANCE Jeudi 12 février 2009 Ce qu attendent les employeurs et les de la complémentaire

Plus en détail

SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES

SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES 2 SOMMAIRE Les services à la personne.... 6 Une palette de 18 métiers.... 7 Près de 60 diplômes ou titres... 8 Des parcours

Plus en détail

Les entreprises familiales vues par les actifs Français.

Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Janvier 2014 Chaire Entrepreneuriat Familial et Société entre pérennité et changement Contacts : Noémie Lagueste Chargée d études Chaire Entrepreneuriat

Plus en détail

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:

Plus en détail

Salarié. Sécurisez votre parcours professionnel

Salarié. Sécurisez votre parcours professionnel ! Salarié Senior (ou pas) Sécurisez votre parcours professionnel SOMMAIRE Introduction... p 3 Vous souhaitez faire le point sur votre carrière... p 4 Entretien de 2nde partie de carrière... p 5 Bilan de

Plus en détail

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS

Plus en détail

La GPEC au regard de la formation

La GPEC au regard de la formation La GPEC au regard de la formation note aux étudiants : ce support ne constitue qu un complément au cours assuré, pour aller plus loin cf. bibliographie Support construit sur base de l ouvrage «GPEC», éd.

Plus en détail

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire : 2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet

Plus en détail

Modalités de prise en charge

Modalités de prise en charge ATTENTION : Certaines des modalités de prise en charge de l année 2015 pourront faire l objet de modifications en cours d année. 2015 Modalités de prise en charge Fonds paritaire interprofessionnel de

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE 2014/2015

DOSSIER DE CANDIDATURE 2014/2015 Photo (à coller) DOSSIER DE CANDIDATURE 2014/2015 Diplôme d Université «Management du développement durable en santé» Cadre réservé à l administration N de dossier :... Reçu le :... Admis Liste attente

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI. Action collective au profit des demandeurs d'emploi

PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI. Action collective au profit des demandeurs d'emploi Cahier des charges à l'attention des Organismes de Formation PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI Action collective au profit des demandeurs d'emploi Formations organisées avec le concours financier du

Plus en détail

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3170 Convention collective nationale IDCC : 538. MANUTENTION FERROVIAIRE ET TRAVAUX CONNEXES (6 e édition.

Plus en détail

SOLIDARITÉS CIL-PASS ASSISTANCE. présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires. aides :

SOLIDARITÉS CIL-PASS ASSISTANCE. présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires. aides : FORMATION DROM 2014 CIL-PASS ASSISTANCE présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires Des difficultés de logement? Amallia est à vos côtés. aides : prêts action logement aides complémentaires

Plus en détail

Accord National Interprofessionnel du 11 Janvier 2013 Une complémentaire santé pour tous les salariés 01/06/2015

Accord National Interprofessionnel du 11 Janvier 2013 Une complémentaire santé pour tous les salariés 01/06/2015 d Accord National Interprofessionnel du 11 Janvier 2013 Une complémentaire santé pour tous les salariés CONTEXTE REGLEMENTAIRE D ici le 1 er Janvier 2016,toutes les entreprises du secteur privé et associations

Plus en détail

Mise de jeu 2 La certification des formations

Mise de jeu 2 La certification des formations Mise de jeu 2 La certification des formations Une formation certifiante délivre un diplôme reconnu par le RNCP Le plus souvent, les formations certifiantes ou qualifiantes sont celles qui mènent à «un

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

L Avenir des Retraites. Après la vie active? Rapport France

L Avenir des Retraites. Après la vie active? Rapport France L Avenir des Retraites Après la vie active? Rapport France Sommaire 4 5 6 7 9 11 14 16 Avant-propos Introduction Principaux résultats Partie 1 - Le départ à la retraite Partie 2 - Les aspirations à la

Plus en détail

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3257 Convention collective nationale IDCC : 1601. BOURSE (3 e édition. Juin 2004) ACCORD DU 8 JUILLET 2005

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel

Plus en détail