Note des 4 fédérations sur la question des indicateurs, 20 avril Plan de réduction des pesticides : la question des indicateurs
|
|
- Alfred Lecours
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BOND BETER LEEFMILIEU Tweekerkenstraat Brussel tel. 02/ fax. 02/ BRUSSELSE RAAD VOOR HET LEEFMILIEU Zaterdagplein Brussel tel. 02/ fax. 02/ INTER- ENVIRONNEMENT BRUXELLES rue du Midi Bruxelles tél. 02/ fax. 02/ INTER- ENVIRONNEMENT WALLONIE boulevard du Nord Namur tél. 081/ fax. 081/ Note des 4 fédérations sur la question des indicateurs, 20 avril 2004 Plan de réduction des pesticides : la question des indicateurs Les quatre fédérations ont pris connaissance du projet de Programme de réduction des pesticides (version du 19 février 2004). D après ce document, les autorités ont opté pour un indicateur de risque et rejeté tout indicateur d utilisation. Nous pensons que ce choix est lourd de conséquence en terme de santé publique notamment. Nous regrettons que les autorités publiques optent pour une «réduction des risques» plutôt que pour une «réduction de l utilisation» des pesticides, choix, qui s inscrit dans la ligne défendue par l industrie. Selon nous, il ne s agit pas tant de gérer les risques résultant de l exposition à tel ou tel pesticide, mais bien de diminuer le risque général dû à la contamination générale de l environnement, de la chaîne alimentaire, des eaux, des organismes vivants, des agriculteurs, et de la population en général. Pour ce faire, il faut diminuer l utilisation de pesticides quels qu ils soient et favoriser les méthodes non-chimiques de maîtrise des organismes nuisibles. Or nous constatons dans les documents élaborés dans le cadre du projet de Programme de réduction des pesticides que les arguments présentés en faveur des indicateurs de risques ET en défaveur des indicateurs d utilisation, sur lesquels s appuie le choix, sont fallacieux à plus d un égard. Pour rappel, nous avions proposé de considérer à la fois un indicateur d utilisation (l index de fréquence de traitement) ET un indicateur de risque (par exemple POCER). En effet, les objectifs poursuivis par l un et l autre sont complémentaires (réduction de la dépendance aux pesticides, d une part, réduction de risques déterminés, d autre part). Nous vous faisons part, en annexe, de notre analyse sur ces deux indicateurs. Celle-ci complète les éléments d information qui nous ont été communiqués à ce propos. Cette analyse relativise la pertinence des indicateurs de risque en tant qu outil d évaluation du risque pour l environnement et la santé publique. Ils sont tout au plus une approximation, utile dans l estimation de risques déterminés et dans le cadre d objectifs de réduction de ces risques déterminés. Dans ce sens, ils sont complémentaires à l indice de fréquence de traitement, seul à même de rendre compte de l évolution de l utilisation des pesticides, donc de l exposition globale de la population et de l environnement suite à la contamination générale par les pesticides /6
2 Dans le cadre du Programme de réduction des pesticides, nous demandons aux autorités de prendre en compte un indicateur d utilisation, en l occurrence l index de fréquence de traitement. Cet indicateur relève d une approche pragmatique qui permettrait de suivre l évolution de notre dépendance à l égard des pesticides. La réduction de cette dépendance se justifie amplement, les autorités devant faire face à la contamination générale de l environnement et à ses conséquences, notamment en termes de santé publique. Annexe Analyse des avantages et inconvénients des deux indicateurs 1) Nous avons examiné les documents suivants, qui nous ont été communiqués dans le cadre des réunions relatives à l élaboration d un Programme de réduction des pesticides: Verslag van de werkgroep (W. Steurbaut) (noté ci-dessous doc I), Réduction programme pesticides & biocides proposal (Working group indicator-selection, Waletr Steurbaut et al.) (noté doc II), Instruments de mesure de l utilisation durable des produits phytosanitaires (Walter Steurbaut & Luc Pussemier)(noté doc III). Les arguments développés ci-dessous répondent aux énoncés orientés que véhiculent ces documents. Nous vous renvoyons également aux documents que nous vous avons communiqués (notamment par le de Catherine Wattiez; Dr Sc, du 27 janvier 2004), dont il n est fait mention nulle part dans les compte-rendus de réunions ou autres, en particulier: - Pesticide use reduction is working: an assessment of national reduction strategies in Denmark, Sweden, Netherlands and Norway, PAN Europe, december 2003; - The treatment frquency index an indicator for pesticide use and dependency as wel as overall looad on the environment, Lene Gravesen, Danish Environmental Protection Agency; - Development and use of the pesticide treatment frequancy concept Technical Note Final version ; Danish Environmental Protection Agency, January 2000; - Concernant les facteurs d incertitude justifiant des mesures de réduction de la dépendance vis-à-vis des pesticides: le chapitre 11 de Children s health and environment: a review of evidence, WHO et EEA, 2002 ( les annexes 1 et 3 du baseline report du Technical Working group Cancer and children dans le cadre de l initiative SCALE (Environment and Health Strategy) Ces documents ne sont pas moins scientifiques que ceux produits par M. Steurbaut et associés. 2) Une recension objective et indépendante des avantages et inconvénients des deux types d indicateurs n a pas été réalisée. Celle qui apparaît dans les documents communiqués à ce propos est tendancieuse à plus d un égard. Les documents font état de facto d une approche privilégiant la gestion des risques plutôt que la réduction de l utilisation (qui est pourtant une façon de prévenir le risque): - the final goal is the realization of an instrument which is suitable for the risk management of the use of pesticides and biocides (doc. II.); - the system must be based on methodologies of risk assessment (doc. II.); - etc /6
3 3) L index de fréquence de traitement a l avantage d être simple, compréhensible et transparent. Il ne nécessite la collecte que de peu de données. Il rend compte de l évolution de l utilisation des pesticides et n a pas d autres prétentions. C est un indicateur lisible de l action politique pour limiter le recours à l utilisation des pesticides. Il permet de définir un objectif de réduction de l utilisation des pesticides, ce que ne permettent pas les indicateurs de risques, même au prix de l une ou l autre étude fort coûteuse. C est un indicateur quantitatif par excellence, tout en étant, sur le plan qualitatif, le reflet de l impact direct et indirect sur l écosystème et la santé publique. Un indicateur simple ne veut pas dire qu il n est pas scientifique. Inversement, scientifique n est pas synonyme de compliqué. Rejeter l index de fréquence de traitement sous prétexte qu il a été développé au Danemark est un argument qui ne tient pas la route, étant donné que la problématique et les données requises sont les mêmes, quel que soient le pays considéré. Les valeurs obtenues par type de cultures tout comme les mesures à mettre en œuvre seront sensiblement différentes en fonction du contexte (agricole) spécifique du pays considéré mais cela n enlève rien de la pertinence de cet indicateur pour n importe quel pays. Cet indicateur, contrairement aux indicateurs de risques, permettrait d ailleurs des comparaisons entre les différents pays européens quant à l évolution de leur dépendance à l égard des pesticides. Nous rappelons que l approche risk assessment, avec des indicateurs de risques et d impacts des pesticides, est celle privilégiée par l industrie. Selon nous, une diminution du Risque, telle que le préconise la communication Thematic strategy on the sustainable use of pesticides, requiert une diminution de l utilisation des pesticides avec une réduction de la dépendance aux pesticides pour contrôler les organismes nuisibles. Ceci se mesure par définition davantage par un indicateur d utilisation tel que la fréquence de traitement que par un indicateur de risque. 4) Un à priori en défaveur de l indicateur de fréquence de traitement Que lit-on dans les différents documents à propos de l indicateur de fréquence de traitement? Cet indicateur is not a good measure of the impact on environment and public health ; il ne donne pas d information sur l impact ou sur les effets secondaires et leur impact nuisible : ceci est présenté comme un des défauts de l index de fréquence de traitement (doc. II et III. notamment). On compare dans ces documents des indicateurs dont la philosophie sont fondamentalement différente, en voulant en quelque sorte qu un indicateur d utilisation soit aussi simultanément un indicateur d impact. Cela n a pas beaucoup de sens et relève d une analyse scientifique biaisée /6
4 On lit également en ce qui concerne cet indicateur qu il souffrirait des travers suivants, entre autres: - een gebrek aan extra-relevante informatie t.o.v het gebruik voor België ; (doc. I.) - problemen met mogelijks verkeerde interpreteerbare nuttige aspecten ; - onduidelijkheid voor interpretatie op national niveau ; - Reference Dose is a very arbitrary value and pure indicative for a general siuation ; (doc.ii) - persistent PPPs are rewarded because they have not be applied several times in comparison with non persistent alternatives ; - fractionnated applications are penalized for the effort to reduced the total application ; - etc. Tous ces arguments ne tiennent objectivement pas la route comme nous l avons rappelé dans nos Propositions pour un programme de réduction de l utilisation des pesticides (version du 4 mars 2004, p. 4 à 6 et p. 7 à 11). En particulier, l index de fréquence de traitement tient compte de la nouvelle génération de pesticides actifs à plus faible dose. Les données requises pour le calcul de l indice fréquence de traitement sont toutes des données de base, indispensables à une gestion publique correcte des pesticides (les surfaces agricoles par cultures, les quantités de substances mises sur le marché par an, les doses standard par substance active et culture). Ces données sont donc objectives et loin d être arbitraires. Elles doivent, du reste, être disponibles et à disposition des autorités. A défaut, un programme de réduction perdra toute crédibilité. L absence de données précises sur l utilisation réelle des pesticides pour les différents usages, présentée comme un argument contre l index de fréquence d application (doc. II.), est évidemment également aussi un des travers, essentiel dans ce cas, des indicateurs de risques. Nous préconisons quant à nous une approche pragmatique basée sur la dose légale. Par ailleurs, nous proposons également, un système d agréation de tous les utilisateurs et de déclaration annuelle (producteurs et utilisateurs), afin de disposer de données plus précises quant aux utilisations réelles pour les différents usages. Le but ici, avec l indicateur de fréquence de traitement, n est pas de modéliser un système complexe mais de disposer d un instrument illustrant au niveau national ou régional l évolution de l utilisation des pesticides. Ceci est à mettre en balance avec les arguments pour l indicateur Pocer: beschikbare expertise, methodiek beschikbaar, Belgische omstandigheden, expert judgment voor de impactindicator (doc. I.), use the available data and know-how of studies which are already performed in Belgium (doc.ii) tout argument qui démontre bien une sorte de monopole scientifique pour cet indicateur. Effectivement, l université de Gand et autres ont été financé depuis plusieurs années pour développer POCER. Cet indicateur de risque peut répondre certainement à certains objectifs déterminés, mais souffre de beaucoup de faiblesses pour rendre compte de l évolution de l utilisation des pesticides /6
5 5) Quels sont les faiblesses des indicateurs de risques? Ces faiblesses ne sont pas reprises dans les documents cités ci-dessus (doc. I à doc III). Cependant, les indicateurs de risques: - sont non-transparents; - sont complexes (composants et formules) et illisibles; - peuvent être manipulés ; - tentent de rendre compte de certains paramètres de systèmes infiniment complexe: pour ce faire ils reposent sur des estimations et des hypothèses; - font appel à un jugement d expert pour évaluer le poids relatifs des différentes composantes d un indicateur dit complexe ou composé; Contrairement à l indice de fréquence de traitement, ils ont donc un caractère arbitraire. En outre, les indicateurs de risques tentent de quantifier les voies d exposition et les risques qui en résultent. Or: - Les substances sont étudiées individuellement 1. En réalité, nous sommes exposés à un cocktail de différentes substances, susceptibles d interagir entre elles et avec d autres polluants et de présenter des synergies 2. Les substances sont aussi étudiées dans des conditions déterminées. Dans la réalité, ces conditions sont fort variables (caractéristiques du milieu récepteur, conditions climatiques etc.): il en résulte des différences par rapport aux résultats observés pour les conditions d étude, par exemple en ce qui concerne la persistance des substances et résidus. - Bon nombre de risques pour la santé et l environnement ne peuvent être estimés et l existence de bon nombre de ces risques n est même pas soupçonnée ou établie (effets sur les groupes de population les plus faibles, effets indirects sur les biocénoses etc.). Ces risques ne sont pas couverts par les indicateurs de risques. - Ainsi par exemple, ils ne peuvent prendre en compte les effets dommageables méconnus ou insuffisamment connus tels que par exemple les pesticides ayant la propriété d être des perturbateurs endocriniens. - Le risk assessment ne tient pas compte des effets de combinaisons de plusieurs substances (effets cocktails) et intègre mal les effets à long terme ainsi que ceux des produits utilisés à faibles doses. - Les effets indirects des pesticides sur la biodiversité ne sont pas pris en compte dans les indicateurs de risque. Dans ces évaluations, seuls sont pris en compte les effets directs sur la faune et la flore, alors que, vu la complexité des chaînes trophiques, les effets indirects peuvent avoir des conséquences fort importantes. - En ce qui concerne plus particulièrement les enfants, plusieurs rapports officiels et diverses études font état de la plus grande vulnérabilité qualitative et quantitative des fœtus, nouveaux-nés et jeunes enfants. Selon le rapport de l OMs et EEA que nous citons ci-dessus, current core tests and risk assessment methodologies do not fully ensure pesticide safety for foetuses, infants and children. Une réduction de l utilisation des pesticides afin de réduire la pollution ambiante (eaux, aliments etc.) y est prônée. On met notamment l accent sur les risques non reconnus de survenue 1 2 Ce sont surtout les substances actives qui sont étudiées alors que les résidus, les métabolites et les matières dites «inertes» des formulations peuvent également avoir des propriétés toxicologiques et écotoxicologiques. Voir notamment Harold I. Zeliger, «Toxic effects of chemical mixtures», Archives of environmental health, Jan (Requests for reprints : Dr. Harold I. Zeliger, Environmental & Toxicological Services, 1270 Sacandaga Road, West Charlton, NY ) /6
6 postérieure de cancers liés à des agents variés dont les pesticides, durant les périodes de développement de systèmes d organes ou d organes. Dans ce contexte, l exposition à une combinaison d agents chimiques pouvant agir de façon synergique ou additive prend tout son sens. Etant donné la complexité des processus, les indicateurs de risques ne peuvent rendre compte de ces risques particuliers. (Il ne faut pas perdre de vue que ces risques sont traduits par des pathologies conséquentes en termes humains et de santé publique.) Une politique de réduction de la dépendance et donc de l exposition aux pesticides en général se justifie donc amplement au regard de ces incertitudes. Ces arguments relativisent donc la pertinence des indicateurs de risque en tant qu outil d évaluation du risque pour l environnement et la santé publique, ce qui est leur objet. Ils sont tout au plus une approximation, utile dans l estimation de risques déterminés et dans le cadre d objectifs de réduction de ces risques déterminés. Dans ce sens, ils sont complémentaires à l indice de fréquence de traitement, seul à même de rendre compte de l évolution de l utilisation des pesticides, donc de l exposition globale de la population et de l environnement suite à la contamination générale par les pesticides /6
ANALYSE QUANTITATIVE DE RISQUE MICROBIOLOGIQUE EN ALIMENTATION
ANALYSE QUANTITATIVE DE RISQUE MICROBIOLOGIQUE EN ALIMENTATION QUAND LE GESTIONNAIRE DE LA SECURITE ALIMENTAIRE A-T-IL BESOIN D UTILISER UNE APPROCHE ANALYSE DE RISQUE? En concertation avec le groupe de
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailAgence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire
Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Circulaire relative aux conditions d exportation en vue d être conforme aux exigences spécifiques des pays tiers au niveau des limites maximales
Plus en détailD039942/02 P A R L E G O U V E R N E M E N T, À L A S S E M B L É E N A T I O N A L E E T A U S É N A T.
D039942/02 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIEME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2014-2015 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 23 juillet 2015 Enregistré à la Présidence du Sénat le
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailCONCLUSION. 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg
CONCLUSION 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg REACH ET CLP Informations complémentaires (1/5) European chemicals agency : http://echa.europa.eu/ Guide d application : http://guidance.echa.europa.eu/
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailLa conservation préventive: une méthodologie d approche basée sur le monitoring
La conservation préventive: une méthodologie d approche basée sur le monitoring Koenraad VAN BALEN Directeur RLICC et titulaire de la chair Unesco PRECOMOS Contenu La conservation préventive à l interface
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailArchived Content. Contenu archivé
ARCHIVED - Archiving Content ARCHIVÉE - Contenu archivé Archived Content Contenu archivé Information identified as archived is provided for reference, research or recordkeeping purposes. It is not subject
Plus en détailRISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' RESUME
RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' ERTUGRULALP BOVAR-CONCORD Etwiromnental, 2 Tippet Rd. Downsviel+) ON M3H 2V2 ABSTRACT We are faced with various types
Plus en détailPOSITION DE DETIC CONCERNANT LA PROPOSITION DE LA COMMISSION ET LES AMENDEMENTS ADOPTES PAR LE CONSEIL ET LE PARLEMENT EUROPEEN EN PREMIERE LECTURE
REACH POSITION DE DETIC CONCERNANT LA PROPOSITION DE LA COMMISSION ET LES AMENDEMENTS ADOPTES PAR LE CONSEIL ET LE PARLEMENT EUROPEEN EN PREMIERE LECTURE Nous avons pris connaissance avec intérêt des améliorations
Plus en détailavis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire
avis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire CCE 2013-1270 DEF Avis concernant un projet d arrêté royal relatif à la mise sur le marché des substances
Plus en détailProjet MERINOVA : Les risques météorologiques comme moteurs d innovation environnementale dans la gestion des agro-écosystèmes
Projet MERINOVA : Les risques météorologiques comme moteurs d innovation environnementale dans la gestion des agro-écosystèmes Y. Curnel 1, F. Vanwindekens 1, A. Gobin 2, S. Zamani 3, H. Van de Vijver
Plus en détailScénarios économiques en assurance
Motivation et plan du cours Galea & Associés ISFA - Université Lyon 1 ptherond@galea-associes.eu pierre@therond.fr 18 octobre 2013 Motivation Les nouveaux référentiels prudentiel et d'information nancière
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailLes risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier?
Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Alger, le 23-24 Novembre 2009 Présentée par: Mlle Amina NADJI Doctorante en 3ème année sciences économiques (CRIISEA, Centre
Plus en détailForthcoming Database
DISS.ETH NO. 15802 Forthcoming Database A Framework Approach for Data Visualization Applications A dissertation submitted to the SWISS FEDERAL INSTITUTE OF TECHNOLOGY ZURICH for the degree of Doctor of
Plus en détailICOS Integrated Carbon Observing System http://www.icos-infrastructure.eu/
ICOS Integrated Carbon Observing System http://www.icos-infrastructure.eu/ infrastructure.eu/ 1 Quantifier les flux régionaux Un réseau de 100 stations Pérenne, haute précision, homogène, opérationnelle
Plus en détailGestion intégrée des risques technologiques émergents
Gestion intégrée des risques technologiques émergents Bruno Debray Délégué scientifique Direction des risques accidentels GIS 3SGS 2011 DCO 17/10/2011 1 / 1 Contexte Les risques émergents : une préoccupation
Plus en détailInstitut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement
Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Session 3 Big Data and IT in Transport: Applications, Implications, Limitations Jacques Ehrlich/IFSTTAR h/ifsttar
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailCALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009
Société en commandite Gaz Métro CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009 Taux de la contribution au Fonds vert au 1 er janvier 2009 Description Volume Coûts Taux 10³m³ 000 $ /m³ (1) (2)
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCOPYRIGHT Danish Standards. NOT FOR COMMERCIAL USE OR REPRODUCTION. DS/EN 61303:1997
COPYRIGHT Danish Standards. NOT FOR COMMERCIAL USE OR REPRODUCTION. DS/EN 61303:1997 COPYRIGHT Danish Standards. NOT FOR COMMERCIAL USE OR REPRODUCTION. DS/EN 61303:1997 COPYRIGHT Danish Standards. NOT
Plus en détailRevision of hen1317-5: Technical improvements
Revision of hen1317-5: Technical improvements Luca Felappi Franz M. Müller Project Leader Road Safety Consultant AC&CS-CRM Group GDTech S.A., Liège Science Park, rue des Chasseurs-Ardennais, 7, B-4031
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailAPPENDIX 6 BONUS RING FORMAT
#4 EN FRANÇAIS CI-DESSOUS Preamble and Justification This motion is being presented to the membership as an alternative format for clubs to use to encourage increased entries, both in areas where the exhibitor
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailEmpowering small farmers and their organizations through economic intelligence
Empowering small farmers and their organizations through economic intelligence Soutenir les petits agriculteurs et leurs organisations grâce à l intelligence économique XOF / kg RONGEAD has been supporting
Plus en détailData issues in species monitoring: where are the traps?
Data issues in species monitoring: where are the traps? French breeding bird monitoring : Animations locales : - dealing with heterogenous data - working with multi-species multi-sites monitoring schemes
Plus en détailOBJECTIFS DU MILLÉNAIRE POUR LE DÉVELOPPEMENT
ÉVALUER LE COÛT D ATTEINTE DE LA CIBLE 10 SUR L EAU ET L ASSAINISSEMENT Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et la Cible 10 sur l eau et l assainissement A l occasion du Sommet du Millénaire
Plus en détailJanvier 2011 Januari 2011
A découvrir Om te ontdekken Janvier 2011 Januari 2011 Brochures Le travail, c est l affaire de toutes les générations! : poursuivre ou reprendre une activité professionnelle SPF Emploi, Travail et Concertation
Plus en détailFUTURES COMPRENDRE VOTRE RELEVE DE COMPTE. WH SELFINVEST Est. 1998 Luxemburg, France, Belgium, Poland, Germany, Netherlands
FUTURES COMPRENDRE VOTRE RELEVE DE COMPTE WH SELFINVEST Est. 1998 Luxemburg, France, Belgium, Poland, Germany, Netherlands Copyrigh 2007-2011: all rights attached to this guide are the sole property of
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailFlood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain
Flood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain Évaluation du Risque d Inondation dans la Démarcation Hydrographique de Congrès SHF, Evénements extrêmes fluviaux et maritimes, Paris, 1-2 février
Plus en détailProposition de labellisation d un projet de thèse pour une Allocation de Recherche 2013. (5 pages maximum)
(Effacer ci-dessous les financements qui ne vous concernent pas) ABIES Proposition de labellisation d un projet de thèse pour une Allocation de Recherche 2013 (5 pages maximum) 1. Titre de la thèse Evaluation
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailProcédure d autorisation : premières expériences et recommandations pour les entreprises 4 décembre 2012 Luxembourg. Dr.
Procédure d autorisation : premières expériences et recommandations pour les entreprises 4 décembre 2012 Luxembourg Dr. Erwin Annys Les demandes d autorisation Qui peut soumettre une demande? Fabricant
Plus en détailPRESENTATION. CRM Paris - 19/21 rue Hélène Boucher - ZA Chartres Est - Jardins d'entreprises - 28 630 GELLAINVILLE
PRESENTATION Spécialités Chimiques Distribution entreprise créée en 1997, a répondu à cette époque à la demande du grand chimiquier HOECHTS (CLARIANT) pour distribuer différents ingrédients en petites
Plus en détail«Rénovation des curricula de l enseignement supérieur - Kazakhstan»
ESHA «Création de 4 Ecoles Supérieures Hôtelières d'application» R323_esha_FT_FF_sup_kaza_fr R323 : Fiche technique «formation des enseignants du supérieur» «Rénovation des curricula de l enseignement
Plus en détailBILAN STAGES INGENIEUR MRIE 2008.
BILAN STAGES INGENIEUR MRIE 2008. Ce bilan succinct tient compte des évaluations faites par les maîtres de stage sur les étudiants et leurs formations. Ce bilan a été dressé sur 19 élèves ingénieurs. Secteur
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailCode de la publicité écologique
Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément
Plus en détailEnglish Q&A #1 Braille Services Requirement PPTC 144918. Q1. Would you like our proposal to be shipped or do you prefer an electronic submission?
English Q&A #1 Braille Services Requirement PPTC 144918 Q1. Would you like our proposal to be shipped or do you prefer an electronic submission? A1. Passport Canada requests that bidders provide their
Plus en détailDécouvrir et agir : l eau, c est la vie! La malle Cantal Eau
Découvrir et agir : l eau, c est la vie! La malle Cantal Eau Syndicat des Cramades La malle Cantal'Eau - Découvrir et agir l'eau c'est la vie! - Grand public Agence de l eau Adour Garonne 1 Le Syndicat
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détailObjet : Radiofréquences émises par les compteurs intelligents : position des directeurs régionaux de santé publique du Québec
Le 5 décembre 2013 Objet : Radiofréquences émises par les compteurs intelligents : position des directeurs régionaux de santé publique du Québec Vous retrouverez ci-dessous la position des directeurs régionaux
Plus en détail1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR
Fiche méthodologique INDICATEUR : L DEN LIÉ AU TRAFIC AÉRIEN THEME : BRUIT 1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR Question posée par l indicateur : Quelle est la répartition spatiale des
Plus en détailFrequently Asked Questions
GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailExemple d exercice de groupe
Information pour le participant REMARQUE IMPORTANTE : Cet exercice peut être considéré comme un exemple d exercice de groupe qui peut être utilisé dans un Centre d évaluation. Les problèmes n ont pas été
Plus en détailAméliorer l accès à des. médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG
Améliorer l accès à des médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG Contexte Le marché pharmaceutique mondial est caractérisé par la coexistence de standards multiples de qualité: là où les patients
Plus en détailDocument de travail des services de la Commission. Consultation sur les comptes bancaires
COMMISSION EUROPÉENNE Direction générale du marché intérieur et des services Direction générale de la santé et des consommateurs 20.3.2012 Document de travail des services de la Commission Consultation
Plus en détailD ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire
D ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire www.teamup-consulting.com Teamup Consulting - 1 Certificat nºinf/2007/29319 1 ère société de conseil française certifiée ISO 20000-1:2011 Sommaire Introduction
Plus en détailFondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance
Fondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance Célia Boyer Directrice exécutive de la Fondation Liège, le 2 décembre 2013 Quelques chiffres sur l usage d Internet en santé
Plus en détailEU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership:
EU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership: Supporting policy dialogue on national health policies, strategies and plans and universal coverage Year 2 Report Jan. 2013 - - Dec. 2013 [Version
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détailPaxton. ins-20605. Net2 desktop reader USB
Paxton ins-20605 Net2 desktop reader USB 1 3 2 4 1 2 Desktop Reader The desktop reader is designed to sit next to the PC. It is used for adding tokens to a Net2 system and also for identifying lost cards.
Plus en détailLE FORMAT DES RAPPORTS DU PERSONNEL DES COMMISSIONS DE DISTRICT D AMENAGEMENT FORMAT OF DISTRICT PLANNING COMMISSION STAFF REPORTS
FORMAT OF DISTRICT PLANNING COMMISSION STAFF REPORTS LE FORMAT DES RAPPORTS DU PERSONNEL DES COMMISSIONS DE DISTRICT D AMENAGEMENT A Guideline on the Format of District Planning Commission Staff Reports
Plus en détailProgramme européen de recherche en matière de sécurité. Services offerts par le PCN Retour sur le brokerage event SMIIG
Programme européen de recherche en matière de sécurité Services offerts par le PCN Retour sur le brokerage event SMIIG Françoise Simonet PCN Sécurité Le Consortium Français Point de Contact National: CEA
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailstatique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017
Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique J. Bertrand To cite this version: J. Bertrand. Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique. J. Phys. Theor. Appl., 1874,
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailQuatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes
Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations
Plus en détailINSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM
INSTITUT MARITIME DE PREVENTION For improvement in health and security at work Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM Maritime fishing Shellfish-farming Sea transport 2005 Le pilier social
Plus en détailSmart Cities :! concept marketing, produit technologique ou enjeu citoyen?
:! concept marketing, produit technologique ou enjeu citoyen? Jacques Teller! Urbanisme et d aménagement du territoire! Université de Liège, LEMA!! Colloque SMART Village et territoire RURAL Quelques éléments
Plus en détailANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA
ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA
Plus en détail03/2013. Mod: WOKI-60IP/TR. Production code: DTWIC 6000
03/2013 Mod: WOKI-60IP/TR Production code: DTWIC 6000 ENCASTRABLE INDUCTION DROP IN INDUCTION 11/2011 TECHNICAL FEATURES DOCUMENTATION S.A.V. Notice d utilisation : FX00326-A Guide d intervention : ---
Plus en détailLes Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR)
Les mardis de la DGPR 17/09/2013 Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailLes méthodes alternatives de surveillance de la qualité des eaux. Présentation du projet SWIFT-WFD
Les méthodes alternatives de surveillance de la qualité des eaux Ce rapport présente le projet européen SWIFT-WFD. Il est préparé dans le cadre du programme de travail d AQUAREF 2008 et de la convention
Plus en détailGarantir aux enfants une protection maximale. Commission européenne DG Entreprises et industrie
SÉCURITÉ DES JOUETS Garantir aux enfants une protection maximale Commission européenne DG Entreprises et industrie Fotolia Orange Tuesday L Union européenne (UE) compte environ 80 millions d enfants de
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailSécurité logicielle. École de technologie supérieure (ÉTS) MGR850 Automne 2012 Automne 2012. Yosr Jarraya. Chamseddine Talhi.
MGR850 Automne 2012 Automne 2012 Sécurité logicielle Yosr Jarraya Chargé de cours Chamseddine Talhi Responsable du cours École de technologie supérieure (ÉTS) 1 Plan Motivations & contexte Développement
Plus en détailLADIES IN MOBILITY. LIVE TWEET Innovative City
LIVE TWEET Innovative City 1. LadiesinMobility @LadiesMobility19 Juin In Smart Cities, we should create a collaborative model #smartcity #icc2013 2. LadiesinMobility @LadiesMobility19 Juin Cities like
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT
LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT Avril 2009 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1. Risque
Plus en détailExercices sur SQL server 2000
Exercices sur SQL server 2000 La diagramme de classe : Exercices sur SQL server 2000 Le modèle relationnel correspondant : 1 Créer les tables Clic-droit on Tables et choisir «New Table» Créer la table
Plus en détailUnited Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision.
SOURCES SOURCE Data Sources Population : Labour Force: Production: Social Indicators: United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. International Labour Organisation (ILO). LaborStat
Plus en détailICOS BELGIUM CONSORTIUM STUDY DAY
ICOS BELGIUM CONSORTIUM STUDY DAY 22 avril 2015 Bergmans, Beaumont, Lenartz. ISSEP : CORE BUSINESS ENVIRONMENTAL MONITORING RISK EVALUATION RESEARCH & TECHNOLOGY 2 ISSEP : ENVIRONMENTAL MONITORING ENVIRONMENTAL
Plus en détailCEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT
CEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT I. BASIC DATA Organization Legal Name: Conservation International Madagascar Project Title (as stated in the grant agreement): Knowledge Management: Information & Monitoring.
Plus en détailEntreprises Citoyennes: Sécurité et Risques Industriels. Journées Annuelles du Pétrole. Christiane Muller, Air Liquide. Les Hydrocarbures de l extrême
Journées Annuelles du Pétrole Entreprises Citoyennes: Sécurité et Risques Industriels Christiane Muller, Air Liquide Air Liquide en bref Fournisseur de gaz industriels & médicaux et de services associés
Plus en détailBE-A0510_000639_003293_FRE
BE-A0510_000639_003293_FRE Officie-fiscaal van de Grote Raad van Mechelen. Banden en delen. Werkbeschrijvingen. Officefiscal du Grand Conseil de Malines. Registres. Fiches de travail, p. 9-11 / (Inleiding
Plus en détailPARLEMENT WALLON SESSION 2007-2008 4 DÉCEMBRE 2007 PROJET DE DÉCRET
681 (2007-2008) N 2 681 (2007-2008) N 2 PARLEMENT WALLON SESSION 2007-2008 4 DÉCEMBRE 2007 PROJET DE DÉCRET visant à instaurer un fonds budgétaire en matière de financement du Système intégré de gestion
Plus en détailNouvelle approche de validation Novo Nordisk
44 ème Congrès International SFSTP 6 et 7 juin 2012 LA CONNAISSANCE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DE LA QUALITE PRODUIT Apports du «Quality by Design» et retours d expd expériences Nouvelle approche de validation
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailUrbact VERS UN SYSTEME ALIMENTAIRE PLUS DURABLE: LANCEMENT D UNE STRATÉGIE RÉGIONALE
VERS UN SYSTEME ALIMENTAIRE PLUS DURABLE: LANCEMENT D UNE STRATÉGIE RÉGIONALE 31/03/2015 Urbact Introduction du réseau thématique Sustainable Food in Urban Communities Processus International Joséphine
Plus en détailBAC + 5. International INTERNATIONAL MBA ENVIRONMENTAL MANAGEMENT AND DIGITAL SYSTEMS. Terra Institute
International Terra Institute INTERNATIONAL MBA ENVIRONMENTAL MANAGEMENT AND DIGITAL SYSTEMS BAC + 5 TIC ET ENVIRONNEMENT : DES EMPLOIS EN PLEINE EXPLOSION Selon l Organisation Internationale du Travail,
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailDossier de presse. L Anses lance son nouveau site Internet
Dossier de presse L Anses lance son nouveau site Internet Diffuser-Expliquer-Partager www.anses.fr Contact presse : Elena Séité 01 49 77 27 80 elena.seite@anses.fr www.anses.fr Sommaire : L Anses lance
Plus en détailL évaluation des biocides à l Anses
L évaluation des biocides à l Anses Catherine Gourlay-Francé Direction des produits réglementés 23 juin 2015 L Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Plus en détail