L Interprétation des Images Médicales Cérébrales : Segmentation par L approche Split et Merge

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L Interprétation des Images Médicales Cérébrales : Segmentation par L approche Split et Merge"

Transcription

1 L Interprétaton des Images Médcales Cérébrales : Segmentaton par L approche Splt et Merge Berrch Fatma Zohra 1, Benyettou Mohamed 1 1 Laboratore de Modélsaton et Optmsaton des Systèmes Industrels : LAMOSI. Faculté des Scences, Département d Informatque, USTO. B.P EL M NAOUER ORAN ALGERIE. {berrch.fatma, med_benyettou}@yahoo.fr Résumé. Le tratement des mages médcales est une dscplne nouvelle, rche et varée, mas dans laquelle les nombreuses méthodes exstantes sont délcates à applquer aux problèmes réels. Dans ce traval, nous présentons un système de tratement des mages scanographes et IRM cérébrale qu est basée sur la méthode splt & merge pour l étape de segmentaton et l applcaton du réseau de neurone de type Perceptron Multcouches(PMC) pour la détecton des anomales dans ces mages. Le système proposé a pu effectuer la tâche d nterprétaton des mages médcales avec succès. Il est très mportant à noter que le chox du sous ensemble d attrbuts des régons de l mage contrbue dans la dscrmnaton de l anomale par rapport au tssus normal. Mots clés: anomale, mages scanographes, IRM, Perceptron Multcouches, segmentaton, splt & merge.

2 1 Introducton Le tratement d mage est né de l dée de la nécessté de remplacer l observateur human par la machne. Ce remplacement état sans fondement expérmental, car nul ne pouvat espérer qu une machne serat un our dotée de facultés ntellectuelles égale ou même supéreure à celle de l homme. La vson ntervenant dans un grand nombre d actvtés humanes, le champ des applcatons du tratement d mages est très vaste ; la médecne est un des domanes qu n a pu échapper à ce souffle numérque que ce sot dans la chrurge, le dagnostc, la pratque thérapeutque etc. Le but du tratement des mages médcales est d extrare à partr des mages acquses, les nformatons utles au dagnostc, de révéler des détals dffcles à percevor à l œl nu, tout en évtant la créaton d artefacts, faussement nformatfs. Pour cela le tratement fat appel à des outls, des algorthmes, qu permettent d agr sur l mage numérsée ; L un des processus fondamentaux dans la chaîne de tratement d mage est la segmentaton. La segmentaton est un processus qu permet d engendrer une descrpton compacte de l mage et donc symbolque plus, explotable que l ensemble des pxels ; cette descrpton va être utlsée dans une prochane phase de la chaîne de reconnassance vsuelle, afn de ben caractérser l mage et de concevor des outls permettant de détecter les dfférentes pathologes du corps human. Dans cet artcle, nous présentons une parte des systèmes d nterprétaton des mages médcales. L obectf de ce traval est de concevor un système de reconnassance des mages cérébrales scannographes et IRM, la reconnassance est basée sur une segmentaton de ces mages par une approche régon de type «splt & merge»pour l extracton des nformatons pertnentes nécessares, par la sute, dans la procédure de décson ; tout en nous concentrant sur la qualté de la segmentaton car un tratement ultéreur dépend étrotement du résultat de cette dernère. La détecton d anomales dans ces mages se fat grâce à un classfeur neuronal de type Perceptron Multcouches. 2 Imagere Médcale et Tumeurs Cérébrales L'mportance que revêt l'magere médcale tent d'abord au fat qu'une mage est un concentré d'nformaton ben plus effcace qu'un texte ou qu'une explcaton verbale. L nterprétaton des mages médcales est un des domanes de recherche les plus encourageants, étant donné qu l offre des facltés pour le dagnostc et les décsons thérapeutques d un grand nombre de malades tel que le cancer et en partculer le cancer du cerveau. Le cerveau est le moteur du corps human, sège de la pensée et des émotons c'est le centre ou s'ntègrent et ou s'élaborent les grandes fonctons motrces, senstves ; malgré sa poston d organe central, l n est pas épargné par le cancer. Les premers troubles lés au développement d'une tumeur cancéreuse peuvent être très dfférents d'une personne à l'autre. Il peut s'agr d'une paralyse temporare d'une parte du corps, d'une crse d'éplepse, de troubles de la vue, de vertges etc. Aucun des symptômes ctés précédemment n'est spécfque d'un cancer; C'est leur persstance

3 qu dot attrer l'attenton. Lorsqu l suspecte une tumeur cérébrale, le médecn va d'abord réalser un examen neurologque complet dans le but de détermner la zone du cerveau attente. Cet examen sera complété par des technques d'magere. Le scanner et l'irm cérébraux sont les examens les plus fréquemment pratqués. Le scanner est un examen qu utlse les rayons. Le scanner permet de vor la tumeur qu apparaît clarement et concentre souvent le produt odé qu a été admnstré. L IRM permet de vsualser la structure anatomque de tout volume du corps, en partculer des «tssus mous» tels que le cerveau, elle n'utlse pas les rayons X, mas les proprétés magnétques du corps human [1]. 3 Segmentaton La segmentaton des mages consttue le cœur de tout système de vson ; c est une étape mportante dans le processus d analyse des mages ; c'est un des suets qu a été le plus étudé dans ce domane. La segmentaton a pour obectf l'extracton d'ndces vsuels dans une mage. Elle permet de parttonner une mage en ensembles de ponts appelés régons, homogènes pour une ou pluseurs caractérstques (ntensté, couleur, texture, ) et sont dfférentes pour au mons une de ses caractérstques des régons vosnes. Formellement ; la segmentaton d une mage numérque I utlsant un prédcat d'homogénété P est communément défne comme une partton S= R1, R2, R3,., Rn telle que : 1. I=U R, [1 n] 2. R est connexe, [1 n] 3. P(R) =vra, [1 n] 4. P (R U RJ)= faux Ans, une multtude de technques de segmentaton est présentée dans la lttérature, On peut les regrouper en tros grandes famlles : Les méthodes de segmentaton par contours, Les méthodes de segmentaton en régons et Les méthodes de classfcaton [2][3]. Notre chox s est porté sur une méthode de segmentaton par approche régon de type "Splt and Merge" est dt auss «dvson & fuson» pour la performance de cette méthode en tratement d mages. L'algorthme splt & merge ; a été présenté la premère fos en 1974 par Pavlds et Horowtz. Cet algorthme est composé de deux étapes. Dans la premère étape, nous allons utlser l'opératon de "Splt"(dvson) on utlsant la structure quadtree pour parttonner l mage. Une fos l'mage parttonnée, nous pouvons passer à la deuxème étape de l'algorthme : l'opératon de «Merge» (fuson) [4]. 3.1 Algorthme Splt and merge Soent X, =1,.., N l'ensemble des régons consttuant une partton de l'mage I (on peut avor N=1, X1=I). Sot H un prédcat d'homogénété [5].

4 Etape 1 : SPLIT (algorthme récursf) Pour toute régon X S H [X] faux Alors Splt (X). Etape 2 : MERGE Pour tout couple (X, X) S Vosn (X, X) et H [Unon (X, X)] Alors Fuson (X, X) Phase de Splt (Dvson) L algorthme se résume en les étapes suvantes : 1. Dvser l mage ntale en 4 régons (prncpe de structure quatree) où l on à H (mages) = Faux. 2. S pour une régon R, le prédcat d homogénété H n est pas vérfé (H (R ) = faux), alors dvser la régon en Aller à 2). L algorthme s arrête lorsque toutes les régons satsfont le prédcat H. Fg. 1. Structure quadtree Phase de Merge (fuson) L algorthme commence par une mage sur-segmentée, pour ensute : 1. Fusonner tout couple de régons adacentes qu vérfe un crtère d homogénété. 2. Défnr un prédcat Fusonne (R, R) où R et R sont deux régons adacentes. Cette méthode est basée sur la labellsaton, elle permet d affecter une même valeur à tous les pxels appartenant à un même obet. Alors qu elle s applque sur des mages bnares résultant de la dvson en quadtree. La labellsaton est caractérsée pour sa connexté à savor 4 ou 8 : Fg. 2. Prncpe de labellsaton

5 4 Le réseau de neurones Perceptron Multcouches (PMC) La bologe a apporté un grand nombre d'nformatons sur le fonctonnement du cerveau, des neurones... Des mathématcens ont alors tenté de reprodure le fonctonnement du cerveau en ntégrant ces connassances en bologe dans des programmes nformatques, et en leur donnant la possblté d'apprendre. En 1943, Warren McCulloch et Walter Ptts en s nsprant de leurs travaux sur le neurone bologque, ont proposé un des premers modèles de neurone artfcel qu devendra la base des réseaux de neurones artfcels. Un réseau de neurones est un réseau composé généralement d'un grand nombre d'untés de calcul très smples appelés neurones formels. Ces neurones formels sont nterconnectés entre eux, de sorte que les sgnaux sortant des neurones devennent des sgnaux entrant dans d autres neurones. Le PMC (Mult layer perceptron ou MLP) c est hstorquement le premer RNA, c'est le Perceptron de Rosenblatt.Le MLP est un réseau non bouclé caractérsé par une structure ben partculère. L actvaton de ce réseau se propage de la couche d entrée vers la couche de sorte par l ntermédare de couches cachées, et l erreur se calcule dans le sens nverse de sa propagaton d actvaton [6]. Fg. 3. Le fonctonnement de réseau MLP 4.1 Fonctonnement Un PMC fonctonne en deux temps dans: La phase d apprentssage : Elle est fondamentale. Elle consste à fare apprendre au réseau les dfférentes confguratons des vecteurs de paramètres caractérstques des mages de fonds que l on souhate classfer Pour cela on utlse : La propagaton, qu consste à présenter une confguraton d entrée au réseau, pus à la propager à celle de sorte en passant par les couches cachées. Pour chaque neurone, On calcule :

6 y = G = 0, d W ( φ = G a ) W : pods de la connexon de la cellule à la cellule. a : actvaton de la cellule. g : foncton d actvaton. (1) X lnéare g(x)= 1/1+ logstc (sgmod) (2) Le rétropropagaton, qu consste, après le processus de propagaton. L algorthme de rétro-propagaton a été développé en partculer par Rumelhart et Parenet le Cun en 1985 [14]. Cet algorthme repose sur la mnmsaton de l erreur quadratque entre les sortes calculées et celles souhatées; L erreur consdérée comme une foncton des pods synaptques. Cette erreur représente la somme des dfférences au carré entre les réponses calculées et celles désrées pour tous les exemples contenus dans l ensemble de l apprentssage. Prncpe : 1. Evaluaton de l erreur Ε (ou E) due à chaque connexon : E = δ Z = a W E a = E W (3) Idée : δ Calculer l erreur sur la connexon w en foncton de l erreur après la cellule Pour les cellules de la couche de sorte. E y = g' ( a ).( u ( x ) y ) δ Pour les cellules d une couche cachée : E E a a z E = = g' ( a a = = = δ = g' ( a ) a a a z a w δ ) (4) (5) Avec a : actvaton de la cellule. z : sorte de la cellule.

7 Fg. 4. Evaluaton de l erreur 2. Modfcaton des pods On suppose gradent à pas (constant ou non): η (t) S apprentssage stochastque (après présentaton de chaque exemple). Δ W JI = η ( t) δ a S apprentssage total (après présentaton de l ensemble des exemples). Δw JI = η ( t) n δ a n n (6) (7) La phase de test Ou de généralsaton consste à présenter un vecteur de paramètres nconnu en entrée du réseau et à observer la réponse qu l fournt. 5 Le système d nterprétaton des mages médcales Le système que nous avons développé content cnq étapes essentelles qu sont : le prétratement des mages, segmentaton, extracton des caractérstques des régons, l actvaton du MLP, la classfcaton (détermnaton de la classe d mage).[6] 5.1 Base de données Nous avons travallé sur des mages procurées de deux sources, des mages téléchargées de l nternet : et des clchés numérsés d une clnque d magere médcale sur des patents présentant dfférents types d anomales. Nos mages sont regroupées en deux ensembles selon la technque d magere par laquelle elles sont obtenues. On note BDD1 pour le premer ensemble qu content (09) mages scannographe cérébrales.et BDD2 le deuxème ensemble de (09) mages IRM cérébrales.

8 5.2 Prétratement des mages Après l acquston des mages médcales cérébrales on passe au prétratement qu se fat en deux étapes suvantes : Le redmensonnement d mage : le but de cette étape est de rendre tous les mages à trater à une talle dentque 256*256 pour quelle sot facle à manpulé par la méthode de segmentaton chose qu utlse des mages carré. Fltre médane : Les fltres médans sont un type de fltres passe-bas dont le prncpe est de fare la médane des valeurs des pxels avosnants. On conclure que globalement, le fltre médan présente une melleure fdélté à l mage ntale. Ce fltre donne d'excellents résultats sur le brut "povre et sel". De plus, l préserve ben les contours. 5.3 Segmentaton Les mages médcales sont segmentées par la méthode splt&merge détaller dans la part (3.1).Le prédcat d homogénété pour une régon R se repose sur deux crtères: 1. La moyenne des nveaux de grs de la régon R est nféreure à un seul fxé. 2. La varance des nveaux de grs de la régon R est supéreure à un seul fxé. 5.4 Extracton des caractérstques de l mage segmentée Le chox des attrbuts pour caractérser une régon est un problème dffcle qu demande toute l expérence du trateur d mages. Ce chox dépend de l mage à trater et du problème à résoudre. A partr des résultats de la segmentaton par «splt & merge» applquées sur les mages, nous obtenons une carte de régons homogènes où les pxels de chaque régon portent une seule valeur caractérsant la régon. Pour le calcul des attrbuts de chaque régon de l mage, on cherche les valeurs des nveaux de grs de chaque pxel de la régon obtenue par la segmentaton dans l mage ntale. Ces attrbuts sont défns comme sute: Surface (sur): c est le nombre de pxels de la régon. Varance (var) : c est le crtère d homogénété calculé comme sute (8) Avec : Nveau de grs du pxel de la régon R. : La moyenne des nveaux de grs de R. Pérmètre(Per): la longueur de la frontère de la régon ou le nombre de pxels formant cette frontère. Nveau de grs moyen (Ngm): c est la moyenne des nveaux de grs des pxels de la même régon.

9 Elongaton (Elg): on détermne le rectangle exnscrt aux régons. L élongaton des régons est assmlée à celle du rectangle (c est le rapport longueur L sur largeur I). (9) Elg=L/I (10) Compacté (Com): appelé auss facteur de crcularté défn par Com= (11) Avec ces attrbuts, chaque mage est présentée comme une matrce de talle N*M. Ou N: le nombre total des régons résultantes de l mage segmentée et M: le nombre des attrbuts qu caractérsent chaque régon, avec l ordre suvant (Sur, Var, Ngm, Elg, Com). L affectaton des régons On assoce à chaque régon une valeur y qu prend 1 ou 0 selon que la régon présente une anomale ou pas. Après pluseurs tests, nous avons pu établr les condtons qu permettent de dre s une régon est nfectée ou pas. Ces condtons sont basées sur les valeurs de la surface, la varance, le nveau de grs moyen. 5.5 Classfcaton par le réseau MLP L Actvaton du MLP, sgnfe qu on va smuler l mage d entrée (présentée par un ensemble de régons) par MLP qu est déà crée auparavant, ce MLP content : Une couche d entrée: cette couche compte 5 neurones représentant les attrbuts choss de chaque régon de l mage. Les attrbuts extrats à partr des régons de l mage, après la phase de segmentaton sont: surface, varance, nveau de grs moyen, élongaton, compacté. La couche cachée : content 50 neurones. Ce nombre est chose après pluseurs tests afn d aboutr à une melleure généralsaton, car pour un problème donné, on ne peut pas savor au préalable qu elle archtecture de réseau adéquat pour résoudre ce problème. La couche de sorte: cette couche content un seul neurone. Fg. 5. Archtecture de notre réseau

10 L apprentssage Notre chox de l apprentssage s est porté sur un apprentssage supervsé (dfférents exemples avec leurs sortes désrées sont présentés au réseau). Nous avons utlsé la retropropagaton du gradent comme algorthme d apprentssage décrte dans la parte précédente. Pour Le nombre d tératons l faut chosr un nombre mportant permet au réseau de ben s organser et d adapter de meux en meux ses pods. Pour cette phase d apprentssage, on a collecté 2 ensembles d mages médcales cérébrales sans et nfectés dstnctes, tels que le 1 er ensemble tré du BDD1 content 4 mages et le 2 ème ensemble prs du BDD2 avec un nombre de 4.Après avor obtenu les melleurs résultats de convergence de l apprentssage du MLP(le taux le plus élevé) on stoce les pods et les seuls du MLP dans un fcher spécfque. Le test : Le réseau dot être testé, en lu présentons un autre ensemble d exemples et c est à lu de décder s la régon présentée est une zone suspecte ou non, en regardons sa sorte.le taux de reconnassance est calculé par la formule suvante : Taux de reconnassance= (nombre des exemples reconnus) / nombre totale des exemples. La décson sur l mage dépend de l exstence d au mons d une seule régon nfectée parm l ensemble des régons consttuent cette mage. Dans notre applcaton la phase de test s est applquée sur le reste de BDD1 et BDD2 chacun à part. 6 Résultats et dscusson Nous avons mplémenté l applcaton en utlsant le langage : MATLAB Verson 6.5 pour Wndows, sous système d explotaton Wndows XP. Cette mplémentaton a état fate sur un PC de type Pentum IV INTEL 2.66 GHz, avec une RAM de 128 Mo de capacté. SERIM (Segmentaton Et Reconnassance des Images Médcales) est le logcel résultat de ce proet. Il présente dfférents modules et assure un très bon taux de reconnassance [6]. La segmentaton par une approche régon de type «splt & merge» a nécessté la détermnaton de pluseurs paramètres.ben que cette méthode a donné des résultats encourageants. Fg. 6. Segmentaton d une mage IRM

11 Fg. 7..Segmentaton d une mage Scanner Voc un échantllon d extracton des attrbuts des régons d une mage segmentée : Table.1 Les attrbuts des régons. Ces attrbuts extrats à partr des régons sont présentés aux entrées du réseau de neurone MLP conçu pour la détecton. Comme l est dffcle pour un problème donné de savor l archtecture optmale qu sert à le résoudre, on a essayé pluseurs tests de créaton du réseau et pluseurs types d algorthmes afn d avor les melleurs proprétés d nterpolaton. Dans ces deux tableaux, nous allons applquées les dfférentes fonctons d actvaton utlsées pour les réseaux MLP sur les deux bases de données décrtes précédemment. Table 2. Comparason des résultats pour BDD1. Le type de foncton TDA% TDT% NBC NMC TEA(s) TET(s) Lnear Logstc Table 3. Comparason des résultats pour BDD2 Le type de foncton TDA% TDT% NBC NMC TEA(s) TET(s) Lnear Logstc

12 Avec TDA : Taux D apprentssage. TDT : Taux de test. NBC : Nombre de régons ben classées. NMC : Nombre de régons mal classées. TEA : Temps d apprentssage. TET : Temps de test. Les tableaux ont montré la varaton du taux d apprentssage et de test du MLP en changeant la foncton d actvaton. Nous remarquons que le changement de la foncton d actvaton entraîne un changement du taux. Cette remarque est valde pour n mporte quelle mage tratée, et peut être explquée par le fat que le fonctonnement de réseau s appue sur la foncton de transfert. Par exemple, l augmentaton du taux de test dans les deux bases de données est due à l utlsaton de la foncton logstque.contrarement à la foncton lnéare, l emplo de cette dernère mplque une dmnuton remarquable du taux, cec est clarement vu dans les tableaux. 7 Concluson L obectf de notre traval c est la concepton et l mplémentaton d un système de reconnassance des mages scannographes et IRM applqué pour le dagnostc des anomales détectées. Ce système a pour rôle d ade à l nterprétaton des mages médcales et fournr au médecn des nformatons précses sur le contenu de l mage qu va explcter les dfférentes régons d ntérêt ans que les aspects pathologques des structures présentées dans l mage. Le traval présenté a perms d ntervenr et d amélorer les dfférentes étapes de l analyse des mages médcales. Après une estmaton globale et un chox adéquat des prétratements, le logcel SERIM fat appelle à : la segmentaton par une approche régon «splt&merge», l extracton des attrbuts des régons et la classfcaton des données qu consste à classfer les régons obtenues par les réseaux de neurones de type MLP. Les résultats de la segmentaton et la détecton obtenus montrent que le système a pu donner des melleures performances en reconnassance. Il demeure évdent que ces méthodes ne remplaceront amas l œl du clncen, mas en lu offrant un outl d nterprétaton plus rapde et mnuteux, elles seront touours un outl fable d ade au dagnostc ans qu a la détecton de la pathologe. Références 1. J.Vgnaud. «Tomodenstométre Crâno-Encéphalque». Edton VIGOT R.Horaud et O.Monga. «Vson par ordnateurs outls fondamentaux».2 édtons.edton Hermès, Pars, Zoug Tar, H.Benot-Catn et C.Odet«Une vson fonctonnelle de la segmentaton d'mages» Congrès Francophone de Vson par ordnateur, ORASIS'01, PAGES ,588 JUIN S.L. Horowtz and T. Pavlds.«Pcture segmentaton by a drected splt and merge procedure» H.Samet. «Regon representaton: quadtre from bnary arrays.computer Graphcs and Image Processng» Berrch,F.Z.Guendouz,H, Benyettou,. Segmentaton et Classfcaton des Images Médcales Cérébrales, Proet de Fn d Etude, USTO (2007).

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction Comparatve performance for solate ponts etecton operators: applcaton on surface efects extracton R. Seuln, G. Delcrox, F. Merenne Laboratore Le2-12, Rue e la Fonere - 71200 Le Creusot - FRANCE e-mal: ralph.seuln@utlecreusot.u-bourgogne.fr

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Séparation de Sources par lissage cepstral des masques binaires

Séparation de Sources par lissage cepstral des masques binaires Séparaton de Sources par lssage cepstral des masques bnares Ibrahm Mssaou 1 Zed Lachr 1, 2 (1) École natonale d ngéneurs de Tuns, ENIT, BP. 37 Le Belvedere, 1002 Tuns, Tunse (2) Insttut natonal des scences

Plus en détail

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé 4th Internatonal Conference on Coputer Integrated Manufacturng CIP 2007 03-04 Noveber 2007 Perforances de la classfcaton par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): applcaton au dagnostc vbratore autoatsé

Plus en détail

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne. Applcaton à l assstance à la condute automoble Mguel Gonzalez-Mendoza To cte ths verson: Mguel Gonzalez-Mendoza. Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne.

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Et pour vos clients, bénéficiez de services

Et pour vos clients, bénéficiez de services P R O D U I T t s vous travallez aujourd hu avec les outls de deman? a eston lectron ue de ocuments s erts om ta les F I C H our les calement con ue les + produts our num rser rodure classer arta er rechercher

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire F É D É R A T I O N D E S M É D E C I N S O M N I P R A T I C I E N S D U Q U É B E C L ABC du tratement cogntvo-comportemental de l nsomne prmare par Anne Vallères, Bernard Guay et Charles Morn M me Tousgnant

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE OPTION. A. Lendasse, J. Lee 2, E. de Bodt 3, V. Wertz, M. Verleysen 2 Unversté catholque de Louvan,

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

Coefficient de partage

Coefficient de partage Coeffcet de partage E chme aque, la sythèse d'u composé se fat e pluseurs étapes : la réacto propremet dte (utlsat par exemple u motage à reflux quad la réacto dot être actvée thermquemet), les extractos

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE

TRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE UNIVERSITE MONTPELLIER 2 Département de Physque TRAVAUX PRATIQUES DE SPECTRO- COLORIMETRIE F. GENIET 2 INTRODUCTION Cet ensegnement de travaux pratques de seconde année se propose de revor rapdement l'aspect

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Guide du divertissement de voiture 2002-2003

Guide du divertissement de voiture 2002-2003 * Gude du dvertssement de voture 2002-2003 * le son. l mage. l émoton Osez aller de l'avant Poneer vous promet tout ce qu'l vous faut pour fler drot vers l'avenr. Lassez les nouveaux systèmes de navgaton

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P. LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT. 87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Projet de fin d études

Projet de fin d études Unversté Franços Rabelas Tours Ecole Polytechnque Unverstare de Tours Département Informatque Projet de fn d études Ordonnancement Juste à Temps avec geston des stocks Chopn Antone Mrault Arnaud 3ème année

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Evaluation de performances d'ethernet commuté pour des applications temps réel

Evaluation de performances d'ethernet commuté pour des applications temps réel Evaluaton de performances d'ethernet commuté pour des applcatons temps réel Ans Koubâa, Ye-Qong Song LORIA-INRIA-INPL, Avenue de la Forêt de Haye - 5456 Vandoeuvre - France Emal : akoubaa@lorafr, song@lorafr

Plus en détail

ESTIMATION DES TITRES VIRAUX : UNE PROGRAMMATION PRATIQUE ET FIABLE SUR CALCULATRICE DE POCHE, ET ACCESSIBLE PAR l INTERNET

ESTIMATION DES TITRES VIRAUX : UNE PROGRAMMATION PRATIQUE ET FIABLE SUR CALCULATRICE DE POCHE, ET ACCESSIBLE PAR l INTERNET ESTIMATIO DES TITRES VIRAUX : UE PROGRAMMATIO PRATIQUE ET FIABLE SUR CALCULATRICE DE POCHE, ET ACCESSIBLE PAR l ITERET Jocelyne Husson van Vlet et Ph. Roussel Insttut de la Santé Publque, Brussels, Belgum,

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public. Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail