BUREAU D'ETUDES POUR L'AMENAGEMENT ET TOURISTIQUE DU PARC. par L.CREMILLE
|
|
- Victorien Pépin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B.P Orléans Cedex Tél.: (38) BUREAU D'ETUDES POUR L'AMENAGEMENT ET TOURISTIQUE SPORTIF AMENAGEMENT DU PARC DE LA LAWEBRUAYENARTOIS (PasdeCalais) RECHERCHE DE L'ALTITUDE OPTIMALE DU PLAN D 'EAU DE LOISIRS par L.CREMILLE Service géologique régional N O R D PASDECALAIS Fort de Lézennes, Lézennes HellemmesLille Tél.: (20) SGN 373 NPA le 20 novembre 1975
2 BUREAU D'ETUDES POUR L'AMENAGEMENT SPORTIF ET TOURISTIQUE AMENAGEMENT DU PARC DE IA LAWEBRUAYENARTOIS (PasdeCalais) RECHERCHE DE L'ALTITUDE OPTIMALE DU PLAN D'EAU DE LOISIRS RESUME La ville de BruayenArtois (PasdeCalais) envisage la création d'un parc de loisirs à proximité de la fosse 5. ELle prévoit notamment la création d'un plan d'eau dans la vallée delà Lawe. Le Bureau d'etude pour l'aménagement Sportif et Touristique a demandé au BRGM de fournir la cote optimale du plan d'eau compte tenu de l'existence de 2 contraintes. D'une part, l'alimentation du plan d'eau doit être assurée même en basses eaux de la rivière. D'autre part, aucune eau de rivière ne doit envahir le plan d'eau par le seuil aval en période de hautes eaux et même en crue. Toute l'étude a été conduite à partir de la documentation existante. La cote du plan d'eau a été fixée à +35,8 m NGF.Une conduite d'amenée de mm étant installée depuis le lieu de prise à 375 mètres audelà de l'extrémité amont du projet et un déversoir d'un mètre de largeur équipant la sortie du plan. Le débit d'eau calculé atteint 100 m /h lorsque la rivière a une hauteur d'eau de 29 cm au lieu de la prise. 75 SGN 373 NPA 8 pages 1 tableau 2 cartes 20 novembre 1975
3 SOMMAIRE Pages 1 INTRODUCTION 3 2 SITUATION GEOLOGIQUE SOMMAIRE 4 3 DONNEES ACTUELLES SUR LES VARIATIONS DE LA SURFACE LIBRE DE LA LAWE RIVIERE 4 4 CHOIX DE L'ALTITUDE DU PLAN D'EAU, LIEU DE LA PRISE D'EAU ET DEBIT D'ALIMENTATION 6 5 CONCLUSIONS 7 LISTE DES TABLEAUX Altitude de la surface libre de la Lawe LISTE DES CARTES Carte I Plan de situation Carte II Profil en long de la rivière
4 BUREAU D'ETUDES POUR L'AMENAGEMENT SPORTIF ET TOURISTIQUE AMENAGEMENT DU PARC DE LA LAME BRUAYENARTOIS (P. :Î! :Ç 1 1 ) RECHERCHE DE L'ALTITUDE OPTIMALE DU PLAN D'EAU DE LOISIRS 1 INTRODUCTION 11 La ville de BruayenArtois envisage la création d'un parc de loisirs à proximité de la fosse 5. Elle prévoit notamment la création d'un plan d'eau dans la vallée de la Lawe. 12 Dans l'état actuel du projet en cours d'élaboration, la rivière ne se jettera pas dans le plan d'eau à l'une de ses extrémités pour en ressortir à l'autre extrémité. Elle conservera un cours autonome le long du plan d'eau. Elle sera cependant équipée d'une prise d'eau munie d'une vanne de réglage du débit à l'amont du plan. Elle recevra, à l'aval, les eaux du plan d'eau par l'intermédiaire d'un seuil déversoir qui permettra le réglage du niveau du plan d'eau. 13 Le Bureau d'etudes pour l'aménagement Sportif et Touristique a demandé au B.R.G.M. de fournir la cote optimale du plan d'eau compte tenu de l'existence de 2 contraintes. D'une part, l'alimentation du plan d'eau doit être assurée même en basses eaux de la rivière. D'autre part, aucune eau de rivière ne doit envahir le plan d'eau par le seuil aval en période de hautes eaux et même en crue. L'altitude du plan d'eau doit donc être inférieure à la cote de basses eaux du niveau de la rivière à l'endroit de la prise d'eau. Elle doit être supérieure à la cote de crue de la rivière à l'endroit du seuil. Toute l'étude entreprise repose sur le dépouillement de la documentation existante, aucune intervention de terrain n'ayant été souhaitée par le maître d'ouvrage. Aucune recherche de la qualité de l'eau de la rivière n'a par ailleurs été demandée.
5 2 SITUATION GEOLOGIQUE SOMMAIRE Une étude de reconnaissance des sols effectuée en 1973 par le Laboratoire régional du CETE permet de préciser la situation géologique du lac. 21 Malgré son encaissement actuel, le fond de vallée est remblayé sur plusieurs mètres. La lutte contre les affaissements miniers est certainement responsable de cette situation. Toute la vallée se serait ennoyée si aucun remblai n'avait été apporté. La rivière ne coule donc pas sur ses alluvions mais sur des dépôts hétérogènes constitués de schistes, cassons de briques, sables et silts sablonneux. Les alluvions réelles de la vallée, présentes sous les remblais n'ont été atteintes que dans trois sondages seulement CP1, CP4 et H4 et n'ont été traversées entièrement que dans CP1. Elles sont constituées de silts sur 1 à 3 mètres d'épaisseur puis de sables grossiers et d'une grave de silex sur 1 mètre. Le substratum, atteint en CP1 seulement, est formé de marnes crayeuses. 22 * II semble bien que la nappe d'eau souterraine ne puisse circuler que dans les formations sableuses et graveleuses des alluvions proprement dites. Les remblais, qui sont habituellement un terrain privilégié de circulation, paraissent trop silteux dans le cas présent pour être le siège d'un écoulement. Cette esquisse du fonctionnement réel de la nappe demanderait à être précisée pour la bonne compréhension du site. Dans l'état actuel des connaissances, nous pensons que la rivière est en mauvaise communication avec les eaux souterraines. 3 DONNEES ACTUELLES SUR LES VARIATIONS DE LA SURFACE LIBRE DE LA LAWE RIVIERE (tableau et cartes I et II) 31 II suffit de prendre comme valeur de l'altitude de basses eaux de la rivière, le cas extrême de l'assèchement quasitotal de la rivière. L'altitude à retenir est alors celle du fond de la rivière. 32 Pour l'altitude de hautes eaux, il faut connaître des valeurs du niveau prises pendant une crue.les données directement utilisables pour ce cas auraient été celles observées directement à l'aval du plan d'eau projeté, c'estàdire au pont d'hulluch.
6 En l'absence de ce renseignement, quatre sections vont plus particulièrement attirer notre attention. De l'amont vers l'aval ce sont les ponts de l'ancienne voie du siège 5 et d'hulluch situés de part et d'autre du plan d'eau, la passerelle Hermant où le Service Hydrologique Centralisateur (SHC) fait des relevés de niveau et le pont Cail dont le radier a subi une modification de niveau. 321 Le niveau du plan d'eau de la Lawe est mesuré de façon assez régulière depuis octobre 1970 à la passerelle Hermant par le Service Hydrologique Centralisateur (SHC). Les valeurs obtenues n'ont malheureusement qu'un faible intérêt pour notre étude, car d'une part elles ont été acquises dans une période de basses eaux généralisées et d'autre part elles intéressent une section très à l'aval du projet. 322 Les documents essentiels qui nous fournissent des données utilisables pour l'étude sont les profils en long établis par les H.B.N.P.C. Trois profils du plan d'eau correspondant à des hautes eaux de juin 1964, janvier 1966 et novembre 1974 sont notamment rassemblés sur un plan très récent dont on a extrait la carte II. La comparaison des profils permet de faire les remarques suivantes : 3221 Le niveau de janvier 1966 est plus bas que les niveaux de juin 1964 et novembre Depuis le pont de l'ancienne voie du siège 5 jusqu'au pont Cail le niveau de juin 1964 est très haut, supérieur de 60 cm au niveau de novembre Il s'abaisse ensuite très brusquement à l'aval du pont Cail d'une façon telle qu'il se trouve en dessous du niveau de janvier L'explication de ce phénomène réside dans la position élevée du radier du pont Cail en juin 1964 et son abaissement de 85 cm entre 1964 et En 1965, le radier de ce pont faisait office de seuil et provoquait un niveau élevé du plan d'eau à 1'amont. 323 De fait, le seul profil qui retient notre attention est celui du 28 novembre Les précipitations de l'automne 1974 ont été suffisamment importantes et continues pour que l'on puisse considérer en effet les niveaux de novembre 1974 comme représentatifs d'un état de hautes eaux de la rivière.
7 Cet état a d'ailleurs duré pendant l'automne 1974 et l'hiver Les niveaux observés en mars et avril 1975 sont en effet sensiblement équivalents à ceux de novembre L'altitude de la surface libre relevée le 28 novembre, de +35,48 m NGF au pont du siège 5 et de +34,32 m NGF au pont d'hulluch,peut donc servir de référence à un état de hautes eaux. A cette connaissance d'un état de hautes eaux s'ajoute heureusement l'observation,en une seule section cependant,celle du pont de l'ancienne voie du siège 5, d'une crue importante de la rivière. A cet endroit, le 16 novembre 1974, le niveau d'eau est monté jusqu'à la cote +36,42 m NGF, soit environ un mètre audessus du niveau de hautes eaux général du dernier automnehiver. 4 CHOIX DE L'ALTITUDE DU PLAN D'EAU, LIEU DE LA PRISE D'EAU ET DEBIT D'ALIMENTATION 4111 aurait été nécessaire de connaître la section de passage respective des ponts de l'ancienne voie du siège 5 et du pont d'hulluch pour calculer en ce dernier la hauteur d'eau correspondant à la crue du 16 novembre. En l'absence de ce renseignement, les H.B.N.P.C. n'ayant dans leurs archives que la section du pont d'hulluch, mais non celle du pont du siège 5, nous admettons que les sections sont les mêmes. Dans ce cas, l'élévation du plan d'eau est considérée comme identique pour les deux sections. On peut alors dessiner sur la carte II le profil de la crue du 16 novembre 1974 entre les ponts du siège 5 et d'hulluch par translation du profil des hautes eaux du 28 novembre Cette ligne recoupe notamment l'extrémité aval du projet à la cote +35,74 m NGF. Cette cote est celle qu'il faut choisir comme altitude de l'arête supérieure du seuil de déversement du plan d'eau. Cette cote ne correspond pas avec celle du plan d'eau puisque la lame d'eau déversante possède une certaine hauteur. Pour se fixer les idées, nous avons examiné le calcul de cette hauteur pour un seuil dont la largeur est de 1 mètre et la hauteur audessus du fond de l'étang de 1 mètre ou plus et pour un débit de l'ordre de 100 m3/h soit 28 1/s. La hauteur fournie par la formule de Bazin est de 6 cm. La surface libre du plan d'eau sera donc pratiquement à la cote de +35,80 m NGF. (1) Une conversation téléphonique avec le S.H.C. nous permet d'écrire que cette crue est considérée comme intermédiaire entre une crue cinquantenaire et une crue centenaire, donc qu'elle est très représentative.
8 42 On determine ensuite la position de la prise d'eau amont par intersection de la ligne de fond de la rivière et de la droite horizontale de cote +35,80 m NGF. On trouve un point A distant de 375 mètres du pont de l'ancienne voie du siège 5 (carte II). Pour un débit de 100 m3/h, déjà retenu cidessus et pour une canalisation d'amenée de mm, on peut calculer, avec les tables PontàMousson, la hauteur d'eau minimale que doit avoir la rivière à l'endroit de la prise. Cette hauteur correspond avec la dénivellation de la surface libre entre ce point et le plan d'eau et également à la perte de charge dans la canalisation. On trouve une perte de de 76 cm/km, soit 29 cm pour les 375 mètres de canalisation qui constitue la hauteur minimale que doit présenter la Lawe au lieu de prise pour avoir au moins 100 m3/h. On constate que la dénivellation atteint 80 cm en période de hautes eaux et on peut espérer qu'elle sera au moins de 30 cm en basses eaux. En hautes eaux, avec une dénivellation de 80 cm, le débit d'alimentation atteint, vanne ouverte, 165 m3/h. La hauteur d'eau audessus du déversoir s'élève alors à 8 cm, soit une variation d'amplitude de 2 cm. Il est donc possible soit de conserver ce débit, soit d'agir sur la vanne de réglage pour limiter le débit à 100 m3/h. 5 CONCLUSIONS La recherche et l'examen de tous les documents existants sur la Lawerivière nous ont permis de fixer les conditions de fonctionnement du plan d'eau : 51 La cote du plan d'eau peut être fixée à la valeur +35,80 m NGF, celle du déversoir, large de 1 mètre, étant alors réglée vers 35,75 m NGF (35,74 dans les calculs). 52 La prise d'eau se fera à l'amont du plan à une distance minimale de 375 m (en linéaire de rivière) du pont de l'ancienne voie du siège 5. Elle sera équipée d'une vanne de réglage permettant le choix du débit de renouvellement du lac. 53 Le débit d'alimentation du plan d'eau par la rivière atteint 100 m3/h avec une canalisation d'amenée de 300 mm et une hauteur d'eau au lieu de prise de 29 cm. En hautes eaux, la hauteur d'eau, connue, égale à 80 cm (carte II) entraine un débit possible de 165 m3/h. Ce débit sert au renouvellement de l'eau du plan et à la compensation des fuites latérales et de fond.
9 54 Pour empêcher toute possibilité de fuites latérales ou de fond, et éviter ainsi tout risque d'ennoyage de terrains bas, il est recommandé de tapisser la surface mouillée du plan d'eau d'argile sur une épaisseur de l'ordre de 30 centimètres. Aucune possibilité de mise en pression de la nappe ne peut se poser, la Lawe continuant d'assurer, si elle existe, la fonction de drainage de la nappe. L. CREMILLE, Ingénieur IDN Service Géologique Régional Nord PasdeCalais du B.R.G.M.
10 1ADLE.AU BUREAU D'ETUDES POUR L'AMENAGEMENT SPROTIF ET TOURISTIQUE PARC DE LA LAWE BRUAYENARTOIS (PasdeCalais) ALTITUDE DE LA SURFACE LIBRE DE LA LAWE Pont du siège 5 Pont d'hulluch Passerelle Hernart Origine de la mesure Repère Nature Altitude bord supérieur de la rembarde + 36, Juin + 35, ,84 2,39 (1) + 34,19 HBNPC (2) 1966 Janvier + 35, , ,32 HBNPC (2) Le 193 3, ,12 SHC le 110 3, ,14 SHC 1974 le 1611 (crue) +36,42 a 9h3O (HBNPC) +36,29 à 12h3O (DIB) HBNPC (2) le , ,32 3,0 + 33,58 (2) (4) HBNPC 1975 le 263 le , ,45 3, ,29 SHC géomègre le ,35 HBNPC (3 ' Fond vaseux Altitude + 34,42 radier réel à +30,0 + 33,94 radier + 32,90 radier à 30,57 HBNPC (1) Profondeur du niveau sous le repère. (2) Plan H.B.N.P.C / DIB n du 28/1/1975 (3) Plan H.B.N.P.C /DIB n du 4/1/1975 (4) Plan H.B.N.P.C / DIB n du 4/2/1975 (H.B.N.P.C. secteur constuctions ouest)
11 Haillictíurt. ^ ; ^ # * : B. R. G. M. Service géologique régional NORD PASDECALAIS Rapport n ; 75 SGN 373 NPA Plan n : Date : BUREAU D'ETUDES POUR L'AMENAGEMENT SPORTIF ET TOURISTIQUE PARC DE LA LAME BRUAYENARTOIS (PASDECALAIS) PLAN DE SITUATION Echelle : 1/25 000
12
d'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE
ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailBRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public
BRGM Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Etude d'aptitude des sols pour la réalisation d'un lagunage Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93 Document non public
Plus en détailLe Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56
Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailNOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT
NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailDiamètres 3" 4" 6" 8" Type de Bride PN 16 PN 16 PN 16 PN 16. Orangé-rouge (RAL 2002) Agrément CE/APSAD CE/APSAD CE/APSAD CE/APSAD
Description En général, un poste d'alarme à eau est composé de:. Un clapet d'alarme relié à un gong hydraulique.. Un ensemble de vannes et by-pass permettant l'essai du système.. Une vanne de vidange..
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailCODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a)
CODE DU TRAVAIL Art. R. 235-4.- Les dispositions de la présente section s'appliquent aux établissements mentionnés à l'article R. 232-12. Les bâtiments et les locaux régis par la présente section doivent
Plus en détailMAQUETTE DE MAISON EN BOIS ET EN BRIQUES
évolutions possibles Dossier réalisé par Christian BÉGUÉ Cyril LASCASSIES HPY version d' août 00 Table des matières A) IMPLANTATION DE LA MAISON... )Travail à faire :... )Matériel nécessaire :... B & C)
Plus en détailVOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE
G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailNOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES
NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements
Plus en détailR A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique
Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,
Plus en détailHerrebout-Vermander N.V. S.A.
Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol
Plus en détailCOMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule
COMMUNE DE GORGIER RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL CONCERNANT LA DEMANDE DE CREDIT DE Fr. 32'700.- POUR LE REMPLACEMENT D'UN COLLECTEUR D'EAUX USEES AU CHEMIN DE LA PAYAZ Madame la Présidente,
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailEffondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne
Un colloque inédit sur les techniques de prévention et la gestion de crise 3 avril 2014 - centre culturel «La Marlagne» - Wépion Effondrements & affaissements du sol et assurance Bernard Desmet Assuralia
Plus en détailLyon, le 17 septembre 2013
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON N/Réf. : CODEP-LYO-2013-052873 Lyon, le 17 septembre 2013 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Bugey Electricité de France CNPE
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailNOTE DE SYNTHESE. Le décret n 2004-878 du 26 août 2004 instaure le Compte Epargne Temps dans les collectivités territoriales.
Ville de SAINT-BRIEUC -------------- Conseil Municipal ----- Séance du 8 février 2005 Rapporteur : Mme MARIE-GICQUEL N 3 COMPTE EPARGNE TEMPS NOTE DE SYNTHESE Mesdames, Messieurs, Le décret n 2004-878
Plus en détailComment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS
Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source
Plus en détailGuide d installation Agrément n 2010-018
Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailBrochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents
Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailMINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES. Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01
MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE CEOLOCIQUE NATIONAL Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01 A.S.A. DES PRODUCTEURS DE SEMENCES DE MAIS
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS
a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques
Plus en détailRéunion publique/téléconférence
Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détail1. LA GESTION DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES
Dossier G11 - Interroger une base de données La base de données Facturation contient tout un ensemble d'informations concernant la facturation de la SAFPB (société anonyme de fabrication de produits de
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailManuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain
Manuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain Mentions légales: GIFAS-ELECTRIC GmbH CH-9424 Rheineck www.gifas.ch Sous réserve d'erreurs et de modifications techniques. Ce manuel est propriété
Plus en détailAppareil de type fauteuil monte-escalier
modèle 80 Appareil de type fauteuil monte-escalier Fonctionne sur batteries points de chargement en haut et en bas, alarme sonore si l'appareil n'est pas stationné sur le plot de chargement. Programmation
Plus en détail5 STATIQUE. 5.1 Généralités
5.1 Généralités 5.1.1 Introduction Pour remplir sa mission en tant que conduite d'évacuation il faut qu'une conduite réponde également aux exigences de statique. La statique possède une influence sur le
Plus en détailGLOSSAIRE A L USAGE DU FORMATEUR DE CONDUITE TOUT-TERRAIN
GLOSSAIRE A L USAGE DU FORMATEUR DE CONDUITE TOUT-TERRAIN Auteurs Comité pédagogique «COD 3» de l ECASC Glossaire «Formateur de conduite tout terrain» A Angle d attaque : Angle formé par le sol, le point
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE
ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent
Plus en détailà la fonction remplie par la pièce. AMP 1200 est un système de ventilation décentralisée d'applications. AMP 1200 est une centrale
68 NOMBREUSES POSSIBILITÉS OFFERTES PAR AMP 1 69 INFORMATION PRODUIT AMP 1 Avec un Airmaster vous ne choisissez pas seulement une solution d'avenir durable - mais PLEINS FEUX SUR LA FONCTIONNALITÉ ET LE
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailSociété Métallurgique du Forez Pont de la Fumée BP12 Moingt 42601 Montbrison Cedex Tél. Standard : (33) 04 77 96 20 10 Fax rideaux : (33) 04 77 58 59
Société Métallurgique du Forez Pont de la Fumée BP12 Moingt 42601 Montbrison Cedex Tél. Standard : (33) 04 77 96 20 10 Fax rideaux : (33) 04 77 58 59 14 SOMMAIRE 1 - FICHES TECHNIQUES... 3 1.1 - VUES ECLATEES
Plus en détaildocument de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité
document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détail" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "
" Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailSur une aire de stationnement, accessible par tranche de 50 places.
Handicap : Les normes d'accessibilité La loi du 11 février 2005 est l'une des principales lois sur les droits des personnes handicapées, depuis la loi de 1975. Elle réaffirme que les locaux d habitation,
Plus en détailZone pavée destinée aux usagers des autobus et pouvant comprendre un banc ou un abri.
Lexique: Sondage des Actifs Arrêts de transport en commun Nombre d'arrêts munis des commodités mentionnées : Les catégories suivantes reflètent le nombre d'arrêts munis des commodités mentionnées, et non
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable
GUIDE PRATIQUE Branchement d eau potable Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser un branchement d eau potable SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel Qui sont vos interlocuteurs
Plus en détailDISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ
SIT Group SIT -3-5 SIGMA 9.955.53 1 Le contenu du présent document peut subir des modifications sans aucun préavis DISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ Domaine d'application Appareils
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailNORMES FRANÇAISES. I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public
NORMES FRANÇAISES I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public II. Garde-corps pour terrasses techniques inaccessibles au public I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation
Plus en détailCommune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse
Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières
Plus en détail- Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant)
- Réalisation de salle de bain complète (carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - Réalisation de Cuisines (meubles, carrelage, sanitaire, doublage placo: 1 seul intervenant) - VMC (Ventilation
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailAGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var Tel : 04.93.07.00.66 bij@agasc.fr www.agasc.fr. Word: Les tableaux.
Word: Les tableaux Introduction 6 ième partie Il est préférable par moments de présenter de l'information sous forme de tableau. Les instructions qui suivent démontrent comment créer un tableau et comment
Plus en détailEîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR
Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)
Plus en détailMISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailsupports métalliques basse fréquence gamme "Polycal-Ressort" standard définition R P 3 5-4 1
supports métalliques basse fréquence définition E V K J L D e Ød (x2) U G R M Ho série RP3 Isolateurs de vibrations basses fréquences à chargement vertical entièrement métallique. Endurance et fiabilité
Plus en détailASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS 08
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Informations 2. Isonivelage 3. Portes 4. Marquage d étage 5. Caractéristiques de la cabine 6. Boutons au palier 7. Sécurité fonctionnelle 8. Appareils élévateurs 9. Types
Plus en détailRisque : cavités souterraines
La prise en compte des risques naturels et technologiques dans l'instruction des dossiers d'autorisation du droit des sols Modalités d'application au Département de la Seine Maritime Risque : cavités souterraines
Plus en détailOrientation professionnelle Charpentier bois
Orientation professionnelle Charpentier bois 1-6 Elève Date: 1. Titre de l' U.E. : Construction d'escalier 1 2. Matière / Classe : Technologie, 2 ème année de formation 3. Thèmes des séquences de cours
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailAlpha 224 scène mobile couverte Informations Scène et accessoires
Alpha 224 scène mobile couverte Informations Scène et accessoires Alpha 224 ( la plus grande scène mobile du monde ) 10 Quai des Roches 76380 Canteleu Tel : 02 35 63 16 30 fax : 02 35 63 15 94 Courriel
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES SÉRIES ES et L Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 Ce sujet comporte 8 pages numérotées de 1 à 8. L'usage de la calculatrice est autorisé. Le candidat
Plus en détailESCALIERS ESCAMOTABLES. Catalogue - Tarif TOUT LE SAVOIR FAIRE DE L INVENTEUR DE L ESCALIER ESCAMOTABLE
ESCALIERS ESCAMOTABLES Catalogue - Tarif TOUT LE SAVOIR FAIRE DE L INVENTEUR DE L ESCALIER ESCAMOTABLE 2005 2 LA GAMME D ESCALIERS ESCAMOTABLES se décline en bois et en aluminium. Des matériaux nobles
Plus en détailLA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec
LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec Introduction L'un des principes directeurs de la politique
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailParking. Les places accessibles devront être les plus proches de l entrée.
Parking Si vous avez un parking privé, 2% des places devront être accessibles : largeur minimum 3,30 m, place et devers de pente maxi 2%, signalétique horizontale et verticale. Les places accessibles devront
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détail800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher.
800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER BILAN MAIN D' ŒUVRE RECAP COD DESIGNATIONS Bud AVANCMT CREDIT DEPENSE ECART ACT 14 817,00 106,00 14 817,00 3,65% 541,45 570,00-28,55
Plus en détailRéférentiel Handicap. Référentiel Handicap. 2 e seuil de bonification. Logement collectif neuf. Logement individuel neuf
2 e seuil de bonification page 1/5 identification du/des logement(s) concerné(s) Nom du bailleur Nom de l opération Logement individuel neuf Adresse de l opération Référence du/des logement(s) concerné(s)
Plus en détailmesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires
mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure
Plus en détailETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES
ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR
Plus en détailVannes à 2 ou 3 voies, PN16
4 847 Vannes 2 voies VVP47.-0.25 à VVP47.20-4.0 Vannes 3 voies VXP47.-0.25 à VXP47.20-4.0 Vannes 3 voies avec Té de bipasse VMP47.-0.25 à VMP47.15-2.5 Vannes à 2 ou 3 voies, PN16 VMP47... VVP47... VXP47...
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailSCHÉMATHÈQUE DE POMPES À CHALEUR EN HABITAT INDIVIDUEL
P R O G R A M M E D A C C O M P A G N E M E N D E S P R O F E S S I O N N E L S www.reglesdelart-grenelle-environnement-2012.fr GuIDE SCHÉMAHÈQUE DE POMPES À CHALEUR EN HABIA INDIVIDUEL NEuF - RENOvAION
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détailDÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR
DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire
Plus en détail