Mise en place d'un protocole d'optimisation du diagnostic des endocardites infectieuses au CHU Félix Guyon

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1 Mise en place d'un protocole d'optimisation du diagnostic des endocardites infectieuses au CHU Félix Guyon Adrien MAILLOT IDE Unité Maladies Infectieuses CHU Félix Guyon

2 Introduction (1) L'Endocardite Infectieuse (EI) est une infection grave qui se définit par l'inflammation de l'endocarde. Deux conditions à l'infection : - une lésion de l'endocarde ou présence d'un matériel - un germe virulent

3 Introduction (2) Hémocultures : l'analyse biologique de 1ère intention. Mise en culture d'un volume déterminé de sang, durant un temps suffisant, préalablement prélevé de manière aseptique chez un patient suspect d'ei. A réaliser le plus tôt possible et avant toute antibiothérapie

4 Introduction (3) - culture de tissu, valve. Tests de 2 nd intention : - sérologies : réalisées lors d'eihn : Coxiella burnetii, Bartonella spp... - biologie moléculaire : PCR (recherche de génome bactérien sur les valves)

5 Problématique (1) REMIC 2010 La réalisation des hémocultures doit répondre à 3 critères essentiels : - un recueil de 8 à 10ml par flacon - le prélèvement de 3 paires (aérobie+anaérobie) à 1H d'intervalle - l'incubation des flacons jusqu'à 15 jours

6 Problématique (2) Une analyse rétrospective sur 40 mois (01/01/2007 au 30/04/2010) des analyses microbiologiques effectuées chez les patients ayant manifesté une EI prise en charge dans notre établissement.

7 Problématique (3) Résultats: EI recensées - 77 ont nécessité une chirurgie (58%) - Taux D'EIHN 45% - Taux d'ei non documentées 36%

8 Problématiques (4) Hémocultures : taux d'eihn très élevés (45%) dans 1/3 des cas, non conformité du nombre de paires d'hémocultures 4% seulement des HC ont suivi la durée d'incubation recommandée. Le volume de sang n'est pas respecté dans au moins 90% des cas.

9 Problématique (5) Sérologie : absence totale de réalisation dans 65% des cas. Biologie moléculaire : PCR effectuée dans 43% des cas nécessaires (HC + cultures négatives)

10 Problématique (6) Cela montre en réalité : - un problème organisationnel - un problème de connaissance - un problème de communication

11 Le protocole (1) BUT : - d'améliorer le rendement microbiologique des prélèvements - de faciliter le travail des médecins et des infirmiers - améliorer le diagnostic et la prise en charge thérapeutique - réduire les coûts

12 1- Prescription du protocole endocardite METTRE PAGE PEC DES SUSPECT D'ENDOCARDITE METTRE PAGE PROTOCOLE ENDOCARDITE

13 2- Prélèvements 3 paires à 1H d'intervalle Désinfection antiseptique alcoolique 4 TUBES secs 8-10ml

14 3- acheminement Transport au laboratoire dans les 4h.

15 Protocole 4- Le biologiste récolte les feuilles et prévient l'infectiologue pour évaluation clinique du patient. 5- Les analyses de 2 nd intention sont réalisées si confirmation par l'infectiologue d'une suspicion d'ei.

16 Evaluation Mise en place du protocole en janvier 2011 Suivi de façon prospective pendant les 3 premiers trimestres

17 Résultats 1er Trimestre 2ème Trimestre 3ème Trimestre Signalement par Protocole Durée d'incubation des HC >70% 100% 91% 93% 100% 94% Sérologies 100% 100% 100% PCR 4/4 Dont 3 PCR positives 1/1 PCR positive 1/2 (1dcd) Infectiologue 93% 100% 100%

18 Difficultés Dans la pertinence des renseignements cliniques Pas tout le personnel est formé (turn-over) Pas d'évaluation de la quantité prélevée par HC Ce protocole ne permet pas d'optimiser le diagnostic des endocardites non évoquées par le clinicien...

19 Améliorations éventuelles Mise à jour tubes sérologies Feuille unique de prescription Réévaluer la prise en charge des endocardites Informer de nouveau en insistant sur les renseignements cliniques Développement d'un catalogue en ligne qui améliorera la communication sur les HC à EI.

20 Conclusion Amélioration de la prise en charge des cas EI au sein de notre établissement. Cadrer la prise en charge des prélèvements Cependant des rappels devraient se faire de manière plus régulière auprès du personnel médicale, paramédical et technique.

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