PROJET CANTINES SCOLAIRES ET EDUCATION A L ENVIRONNEMENT DANS LACOMMUNE RURALE DE TO. Organisation Yinéyinédian pour la Nature et le

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1 Organisation Yinéyinédian pour la Nature et le Développement Durable O.N.D PROJET CANTINES SCOLAIRES ET EDUCATION A L ENVIRONNEMENT DANS LACOMMUNE RURALE DE TO Août B.P. 110 LEO Burkina Faso Tél: (00226) / / benao@cooperation.net ou yinenod@yahoo.fr Site Web : ond-bf.com 1

2 I. Présentation de l OND : Crée en 1991 par un groupe pluridisciplinaire dont les membres sont issus de plusieurs régions du pays des Hommes intègres, l OND regroupe des hommes et des femmes en son sein. Elle est reconnue officiellement le 04 Septembre pour la première fois, sous le Récépissé de reconnaissance N /MAT/SG/DGAT/DLPAJ du 04 septembre Face aux réalités du terrain, l Association pour le Développement de l Élevage, de l Agroforesterie, de l Agriculture et de la Reconstitution des Ressources Naturelles de l Environnement au Burkina Faso (ADEAARRNEBF) change de dénomination et porte désormais la dénomination suivante: Organisation Yinéyinédian pour la Nature et le Développement Durable en abrégée O.N.D sur décision de son conseil général tenu à Ouagadougou le 27 août 2007 donnant lieu à l obtention du nouveau Récépissé de reconnaissance N 910/MATD/SG/DGLPAP/DOASOC du 31 décembre Vocation et regroupement: Organisation à but non lucratif, non gouvernementale, apolitique, laïque est régie par les lois en vigueur au Burkina Faso, notamment la loi n 10 ADP du 15/12/1992 portante liberté d association. L Organisation Yinéyinédian pour la Nature et le Développement Durable (OND) compte 196 groupements villageois membres, 139 clubs et 72 commissions villageoises de gestion. Elle compte membres dont : 3970 Hommes et Femmes et dont le nombre augmente au fur et mesure. Mission : La mission de l OND est de contribuer à garder un équilibre entre les intérêts économiques et écologiques dans l optique de satisfaire aux besoins des populations présentes sans compromettre pour autant ceux des générations futures et d avoir une population dynamique, active, responsable, solidaire et engagée pour un monde plus équilibré, juste et durable. Et : 1. Être une structure capable d initier, d organiser et de piloter des activités dans le cadre de la promotion du développement durable, de l égalité des sexes et des chances ; 2. Servir de cadre d information de formation et d accompagnement des populations défavorisées en matière de gestion durable des ressources naturelles, de développement socio-économique et culturel et de promotion des droits humains ( et particulièrement des enfants, des femmes et groupes défavorisés) ; 3. Etre le défenseur/porte parole des sans voix, notamment les populations rurales pauvres soucieuses de leur développement, auprès des pouvoirs publics, politiques et des partenaires au développement ; 4. Être un concepteur/promoteur des programmes et projets de développement durable et de promotion socio-économique et culturel des populations rurales et urbaines pauvres ; 2

3 5. Servir de structure pérenne d appui aux collectivités locales, aux services Etatiques et privés chargés des questions de jeunesse, des activités agro-sylvo-pastorales, de démocratie, de promotion de l état de droit, de la bonne gouvernance, de santé ; 6. Servir de cadre de concertation et de consultation entre les structures et organisations de développement durable d une part, et entre celles-ci et les collectivités locales, les pouvoirs publics et les partenaires au développement d autre part. L organisation a pour buts de: Contribuer efficacement à la préservation et à la gestion durable des ressources naturelles; Contribuer activement à la promotion de développement socio -culturel et économique des populations pauvres (femmes, jeunes, personnes du troisième âge et les autres groupes défavorisés et démunis); Contribuer à la promotion des droits humains et au renforcement du processus démocratique et à la bonne gouvernance. Pour atteindre ses buts, l organisation poursuit les principaux objectifs suivants : 1. Promouvoir la protection et la gestion durable des ressources naturelles ; 2. Promouvoir le développement économique, social et culturel des populations pauvres par la conception, la mise en œuvre et le suivi Évaluation des programmes et projets de développement dans les domaines de:la santé et la lutte contre les IST, le VIH/ SIDA et les autres maladies; L éducation et l alphabétisation; Les technologies de l information et de la communication ; L hydraulique humaine, agricole et pastorale; La promotion des femmes et des filles; La promotion de la jeunesse ; L agriculture, l élevage et l agroforesterie; les infrastructures socioéconomiques et communautaires ; La lutte contre la pauvreté; La promotion des activités génératrices de revenus et la création des emplois productifs pour les jeunes et les femmes; La culture, le tourisme et les sports; Le transfert des compétences ; Le renforcement des capacités et des compétences des populations rurales et urbaines; La lutte contre la pauvreté suivant les axes définis par le cadre stratégique de lutte contre la pauvreté au Burkina Faso; La commercialisation des produits agro-sylvo-pastoraux. 3. Contribuer efficacement à la promotion des droits humains et à la culture de la paix par la conception, la mise en œuvre et le suivi évaluation des programmes et projets de développement dans les domaines de:la consolidation du processus démocratique au Burkina Faso; Le renforcement de l État de droit et de la bonne gouvernance; La lutte contre les pires formes de travail et le trafic des enfants; La culture de la paix et le règlement pacifique des conflits; La décentralisation.. 4. Contribuer activement à la mise en place d un partenariat local, régional et 3

4 International pour le développement durable; 5. Promouvoir l égalité des sexes, des chances et l autonomisation des femmes et des filles. L OND a pour public cible: Les organisations et mouvements de jeunesse; Les femmes et leurs organisations ; Les personnes du troisième âge ; Les autres groupes défavorisés ; Les populations rurale et urbaine. Composée des membres d honneur, membres bienfaiteurs, membres actifs ou adhérents et membres associés, l Organisation est structurée comme suit : Démocratie Interne : L Organisation est structurée de la manière suivante : - Le Conseil Général (CG); - Le Conseil d Administration (CA); - Le Comité de Coordination (CC); - Le Secrétariat Permanent (SP); - Les Représentations Locales (RL); - Les Groupements Villageois Organisés (GVO).; Au moins 30% des membres des instances de prises de décisions et des organes d exécution de l Organisation doivent être de sexe féminin. Le vote se fait à la majorité des voix, les candidats ayant obtenu le plus de voix sont déclarés élus. Les décisions du conseil général ordinaire sont prises à la majorité absolue des voix, c est-à-dire la moitié plus un (1) en cas de partage, la voix du coordonnateur général est prépondérante. Les décisions du conseil général extraordinaire sont prises dans les mêmes conditions que le conseil général ordinaire. Les décisions du conseil d administration sont prises à la majorité simple des voix. Les décisions du comité de coordination sont prises à la majorité des 2/3 et en cas d égalité, la voix du coordonnateur général est prépondérante. Les décisions des différentes représentations locales de l organisation sont prises à la majorité des 2/3 en cas de partage, la voix du premier responsable est prépondérante. Le champ d action de l OND est le territoire national Burkinabé et le niveau international. Mais pour des raisons d efficacité elle a centré ses actions sur le territoire national pour l instant. Les domaines de compétences et les principaux projets réalisés par l OND sont, entre autres : : Formation technique et professionnelle des artisans et agriculteurs ruraux, avec comme sources de financement : la Fondation Gered Gereedschap du Pays Bas (matériel) et avec l apport personnel de l ADEAARRNEBF. Comme résultats : 36 artisans ont été formés et installés à leur compte : Promotion de la Fumure Organique, sur la base des fonds propres. Résultats : 2 ateliers de formation sur les techniques de production et d utilisation 4

5 de la fumure organique ont été organisés au profit de 60 paysans qui appliquent la méthode : Sensibilisation des populations de 10 villages de la province de la Sissili sur le paludisme et la tuberculose, projet réalisé par les volontaires de l Organisation; : Aménagement de la Zone Villageoise de Chasse de Gori. Contribution financière du Projet d Appui aux Unités de Conservation de la Faune.( PAUCOF). Résultats : une zone villageoise de chasse a été créée pour la gestion durable des ressources naturelles dans les départements/communes de Tô, Niabouri et Silly. et un système de gestion moderne a été entamé pouvant ultérieurement créer des recettes pour les populations concernées : Communication pour le Changement de Comportement. Financement UNICEF à travers le Réseau Africain des Jeunes Contre le SIDA du Burkina-Faso (RAJS/BF). Résultat : 16 clubs de 30 personnes ont changé de comportement/ont adopté un comportement responsable vis-à-vis des IST et du VIH/SIDA : Prévention du SIDA chez les jeunes scolaires et non scolaires de la province de la Sissili. Source de Financement : le RAJS/BF sur le financement de l UNICEF. Résultats : 20 clubs de 25 à 30 membres ont été sensibilisés sur comment garder une adolescence saine; 2005 : Organisation des journées jeunes pour jeunes (JJ) par la communication pour le changement de comportement (CCC) durant deux semaines dans la commune de Léo, partenaire : Réseau Africain des jeunes contre le Sida (RAJS/BF) à travers le financement de l UNICEF, cette activité a connu la présence de Mme la Représentante Résidente de l UNICEF au Burkina Faso : Projection de Vidéo sur le VIH/SIDA, la Tuberculose.et le paludisme Plus de 100 séances de projection vidéos ont été réalisées au plus de plusieurs publics dont les professionnelles de sexe, source de financement : Programme d Appui au Monde Associatif de Lutte Contre la SIDA (PAMAC) à travers l Association Burkina Burkinabé de Donneurs de Sang Bénévoles : Reboisement, Financement : les groupements villageois membres. Les Plants ont été fournis par la Direction provinciale de l Environnement et du Cadre de Vie de la Sissili. Résultats : 40 hectares de reboisement avec des espèces diverses : Élevage des Moutons. Apport financier de la FAO à travers le fonds Telefood, Résultats : 33 personnes ont reçu des moutons pour élevage et leurs recettes annuelles se sont améliorées : Animation des ateliers Départementales sur la Décentralisation; 2006 : Prise en Charge des Orphelins et Enfants Vulnérables (OEV),financement par : l ONG Planète Urgence qui a fournit les kits scolaires. Résultats : 380 EOV poursuivent leurs études dans des meilleures conditions : Animation Ludique Autour du Livre : Financement et envoi de trois volontaires par: Planète Urgence élèves ont profité des séances d animation éducationnelles : Animation d ateliers sur l hygiène en milieu scolaire au profit de 300 élèves du primaire avec l appui des volontaires de Planète Urgence; 2007 : Formation de deux Association des mères éducatrices de la commune de la commune de Léo sur le paludisme et la tuberculose, partenaires volontaires du nord; 5

6 2007 : Formation en Organisation et Gestion des ressources Humaines au profit de 27 personnes/acteurs de développement de la Sissili, partenaire : c est Planète Urgence qui a envoyé les deux volontaires ; 2007 : Formation des acteurs de développement de la province de la Sissili en techniques d élaboration, de gestion et de suivi évaluation des projets et programmes de développement; partenaire Planète Urgence qui a envoyé la volontaire formatrice : 2007 : Distribution gratuite de 1010 Kits scolaires à 1010 Orphelins et enfants vulnérables (OEV) avec l appui de son partenaire Planète Urgence : 2007 : Formation de 112 femmes commerçantes de la commune de Léo en comptabilité et gestion d un petit commerce, partenaire Planète Urgence : Formation de 10 acteurs de développement de la Sissili en Gestion des Ressources humaines et Management Opérationnel, partenaire Planète Urgence qui a envoyé le volontaire : 2007 : Formation de 47 leaders associatifs en informatique, partenaire Planète Urgence qui a envoyé le volontaire ; 2007 : Formation de 27 acteurs de développement de la Sissili en techniques de reporting (production de rapports financiers, bilan financier, compte de trésorerie etc.),partenaire Planète Urgence Formation des 12 leaders associatifs et chefs de services en informatique, Partenaire Planète Urgence qui a envoyé le volontaire formateur Formation de 10 enseignants du primaire en langues étrangères et en techniques d éducation des adultes (école Léo Kutien),partenaire : Planète Urgence Formation de 13 leaders associatifs et chefs de services en suivi évaluation des projets et programmes de développement, partenaire Planète Urgence qui a envoyé deux volontaires de la Belgique pour assurer la formation; Animation d ateliers sur l hygiène en milieu scolaire au profit des élèves d une école primaire publique (école Léo Mano),partenaire : Planète Urgence Réhabilitation des latrines scolaires et réalisation d un point d eau pour le lavage des mains des élèves au sein d une école primaire publique (écoles Kutien) plus un don des fournitures scolaires aux enfants de cette école, grâce au soutien d un ami du Coordonnateur Général de l OND; Parrainage d un tournoi de foot Ball dans une circonscription primaire (La CEB Léo 1); 2008 : Étude sur le comportement sexuel des jeunes de la Ville de Léo dans le contexte du VIH/SIDA, partenaire d Horizon Cosmopolite; 2008 : Animation des clubs scolaires et non scolaires sur les méthodes de prévention du VIH,la promotion de la santé sexuelle et reproductive des jeunes et la lutte contre le paludisme,animateurs de l OND et pairs éducateurs des clubs; 2008 : formation des pairs éducateurs de 5 clubs scolaires du secondaire de la commune de Léo, sur les IST/VIH/SIDA, la corrélation entre Sida et la tuberculose et sur le paludisme, partenaire Horizon Cosmopolite envoyé à l OND à travers le Réseau Africa Volontaire; Formation de 15 leaders associatifs et chefs de services en micro finance/crédit, partenaire Planète Urgence qui a envoyé une volontaire pour assurer la formation : Animation d ateliers sur l hygiène et le paludisme en milieu scolaire au profit de 560 élèves de l école primaire privée Léo Évangélique en partenariat avec deux volontaires envoyées par Planète Urgence; 6

7 2008 : Formation de 79 conseillers municipaux et 07 préfets de la province de la Sissili sur les stratégies d intégration du genre et de l approche genre dans les plans communaux de développement et sur le code des personnes et de la famille : Financement : UNFPA à travers le Fonds Commun Genre : Réalisation de 07 ateliers communaux de restitution de la formation des élus locaux et des préfets de la province de la Sissili sur les stratégies d intégration du genre et de l approche genre dans les plans communaux de développement et sur le code des personnes et de la famille au bénéfice des sept communes de la province de la Sissili : UNFPA à travers le Fonds Commun Genre. 2009: Réalisation d une réserve naturelle communautaire «Gabia-Gao» de production et de gestion durable de la faune et de son habitat. Financements FFEM, CDPF, ADESO et l OND, projet en cours de réalisation; 2009 : Formation des membres d une troupe théâtrale de l OND sur le montage des pièces théâtrales de sensibilisation, d information et de formation du public sur le VIH, le paludisme, la tuberculose et les hépatites, partenaire envoi d un volontaire par Horizon Cosmopolite à travers le Réseau Africa Volontaire pour assurer cette formation; 2009 : démonstration sur le port du préservatif (masculin et féminin) aux membres des clubs/ond de la ville de Léo, par un volontaire Canadien envoyé par Horizon Cosmopolite à travers le Réseau Africa Volontaire; : Envoi des volontaires Canadiens au sein des orphelinats, des centres sociaux, dés hôpitaux et des écoles à travers le Réseau Africa Volontaire et Horizon Cosmopolite. Financements : partenaires cités; : Sensibilisation sur le VIH/SIDA, le Paludisme et la tuberculose. Financement : OND avec l appui de ses animateurs bénévoles : Animation ludique autour du livre au profit de 540 élèves de l école publique Léo Mano, partenaire Planète Urgence qui a envoyé une volontaire pour assurer la formation; 2009 : Appui à l hygiène en milieu scolaire et prévention du paludisme, partenaire TodobeM/France par un apport financier à l école de Nabon; 2009 : Confection et distribution gratuite de 2000 Kits scolaires à 2000 Orphelins et enfants vulnérables du primaire et cela en partenaire avec Planète Urgence; 2009 : Suivi des séances villageoises de sensibilisation des populations villageoises sur l intégration de la dimension genre dans leurs activités quotidiennes et sur le code des personnes et de la famille, partenaires : communes, conseillers municipaux et l OND; 2009 : Animation des clubs scolaires et non scolaires sur les méthodes de prévention du VIH,la promotion de la santé sexuelle et reproductive des jeunes et la lutte contre le paludisme,animateurs de l OND et pairs éducateurs des clubs; 2009 : Appui à l enseignement préscolaire, primaire et secondaire dans la province de la Sissili à travers l envoi de 20 filles Stagiaires Canadiennes plus une accompagnatrice dont 3 à la garderie de l action sociale et de la solidarité nationale de la Sissili,4 au lycée provincial de Léo,3 au lycée communal et 10 dans les écoles primaires de la commune de Léo, à travers le Réseau Africa Volontaire et Horizon Cosmopolite pour un séjour d appui de 45 jours; 2009 : Appui à l orphelinat de Boura,à travers l envoi de 6 volontaires Canadiens au sein de l orphelinat ainsi que du matériel pour les orphelins de cet orphelinat; 7

8 2009 : Animation ludique autour du livre au profit de 640 élèves de l école Léo Kutien, Partenaire : Envoi d une volontaire par Planète Urgence pour la mise en œuvre du projet; 2009 : Projet de prévention des IST/VIH/SIDA/TB, et de prise en charge des PPVIH/SIDA et de la tuberculise dans les communes de Léo, dans la province de Sissili et celle de Sapouy dans le Ziro, partenaires divers : Appuis aux sept commune de la province de la Sissili pour l intégration effective du genre dans les plans communaux de développement, partenaire le Fonds Commun Genre à travers l UNFPA; 2010 : Projet de prévention des IST/VIH/Sida et de prise en charge globale des PPVIH/SIDA/TB, dans les provinces de la Sissili, partenaire : APLD; 2010 : Appui à l hygiène et prévention du paludisme en milieu scolaire, partenaire TUDOBEM/France par un apport financier à l école de Poin; 2010 : poursuite des activités de mise en œuvre du projet de réalisation d une Réserve Naturelle communautaire «Gabia-Gao» de production et de gestion durable de la Faune Sauvage et de son Habitat; 2010 : Poursuit des activités d appui aux orphelinats à travers le pays; 2010 : Appui à l éducation primaire dans la commune rurale de Tô par le don des fournitures scolaires et pédagogiques à cinq écoles (Beune, Tiéssourou,Ly,Poin et Nabon), partenaire ADIFLOR/association Française; 2010 : Participation à plusieurs ateliers de formation et de réflexion; 2010 : Construction d une banque de céréales dans le village de Gori, partenaire Association pour la défense des personnes défavorisées (APLD); 2010 : Accompagnement du Réseau Africa Volontaire dans la mise en œuvre du projet de construction et d équipement du dispensaire de Gori, commune rurale de Tô qui est aujourd hui fonctionnel, partenaire PRECI 2010/Canada; 2010 : Projet de Formation des agents de santé du district sanitaire de Léo en Information, Partenaire : Développement Sant Frontière; 2010 : Animation des clubs scolaires et non scolaires sur les méthodes de prévention du VIH,la promotion de la santé sexuelle et reproductive des jeunes et la lutte contre le paludisme,animateurs de l OND et pairs éducateurs des clubs; 2010 : Appui aux communes de la province de la Sissili pour la délimitation des forêts communales et villageoises et la réalisation des études de faisabilité; 2011 : Poursuite du projet Gabia-Gao (surveillance, gestion des feux de brousses) ; 2011 : Animation des clubs scolaires et non scolaires sur les méthodes de prévention du VIH,la promotion de la santé sexuelle et reproductive des jeunes et la lutte contre le paludisme,animateurs de l OND et pairs éducateurs des clubs; 2011 : Sensibilisation des populations de la Sissili et du Ziro sur le paludisme et la tuberculose, partenaires divers à travers le Africa Volontaire (RAV); 2011 : Campagne de sensibilisation et de communication pour le changement de comportement (CCC) en matière du VIH/SIDA et de prévention du paludisme dans dix villages de la commune rurale de Tô, animateurs de l OND et les pairs éducateurs; des clubs OND 2011 : Formation des agents de santé du District sanitaire de Léo et des acteurs de développement de la Sissili en informatique et en internet partenaire : Développement sans Frontière (DSF); 2011 : Études de faisabilité pour l aménagement d un bas-fond de 120 hectares dans la commune rurale de Nébiélinayou ; 8

9 2011 : Délimitation et matérialisation des couloirs d accès de 30 Km dans la commune rurale de Nébiélianayou ; 2012 : Projet d Amélioration du Régime alimentaire des élèves de sept écoles primaires de la commune rurale de Tô et d Education à l Environnent, Partenaire : Fondation Bel; 2012 : Renforcement des capacités des conseils villageois de développement (CVD) de 34 villages des communes de Biéha et de Nébiélianayou sur la participation citoyenne Partenaire : PNGT 2; 2012 : Animation des clubs scolaires et non scolaires sur les méthodes de prévention du VIH, la promotion de la santé sexuelle et reproductive des jeunes et la lutte contre le paludisme Partenaire : FM; 2012 : Poursuite des activités de mise en œuvre du projet de réalisation d une Réserve Naturelle communautaire «Gabia-Gao» de production et de gestion durable de la Faune Sauvage et de son Habitat partenaire : CDPF; 2012 : Poursuite des activités d appui aux orphelinats à travers le pays; 2012 : Promotion de l Apiculture au profit de 30 femmes de Gori en vue de lutter efficacement contre la pauvreté. partenaire : Frères d Espérance. II. PRESENTATION DE LA ZONE D INTERVENTION : a) La province de la Sissili : Le Burkina Faso est divisé en 13 régions, 45 provinces et 351 départements/communes. La province de la Sissili est située au centre sud du Burkina Faso et dans une zone climatique de type sahélo-soudanien. Les précipitations annuelles sont comprises entre 800 et 1100 mm d eau. La température moyenne est de 27 5 dont la minimale est de 20 8 et la maximale 34 8 (cf documents PDY 6 ème FED de Louis BERGER Tonel. Les sols sont pauvres en matières organiques. La présence de larges affleurements rocheux entraîne un ruissellement intense d eau. Les axes routiers praticables en toutes saisons sont : - Léo - Bozo, frontière du Ioba long de 72 km ; - Léo - Biéha long de 35 km, - Léo - Sapouy frontière du Bazèga long de 120 km ; - Léo - Cassou - Bougnounou - Dana long de 110 km - Léo - frontière Ghana long de 13 km ; - Léo - Tô - Dana long de 95 km - Léo - Sapouy - Ouagadougou long de 165 km qui est en voie de bitumage. 9

10 b) La Commune rurale de Tô: 1. Données géographique : La Commune rurale de Tô est l une des sept (07) communes que comprend la province de la Sissili qui elle même est située dans le sud du Burkina Faso et faisant frontière avec la république du Ghana. La commune de Tô est limitée à l Est et au Nord par la province du Ziro, au Sud par la commune de Léo, chef lieu de la province de la Sissili, au sud-ouest par les communes de Niabouri et de Bourra et à l Ouest par la commune de Silly. Elle est à 45 km de Léo chef lieu de la province de la Sissili, à 95 km de Koudougou, chef lieu de la Région du Centre-Ouest dont elle relève et à 160 km de Ouagadougou, capitale du Burkina Faso. 2. Données physiques : La Commune rurale de Tô est située dans une zone climatique de type sahélo soudanien avec deux saisons, une saison sèche qui va d octobre à mai et une saison pluvieuse qui va de juin à septembre. Les précipitations annuelles sont comprises entre 800 et 1100 mm d eau par an. La température moyenne est de 27 5 dont la minimale est de 20 8 et la maximale Les sols sont du type hydro morphes et philigéno-tropicaux, on observe l apparition et l installation des érosions et de la désertification. La zone connaît aussi l intensification de la sécheresse par l irrégularité et l insuffisance des pluies, la dégradation et l appauvrissement des sols par la surexploitation des sols et l utilisation exclusive et à long terme des intrants chimiques, la dégradation continue des parcours pastoraux par le surpâturage, la déforestation, la destruction de la couche d ozone et de la biodiversité dues aux feux de brousses et aux pratiques irrationnelles et irresponsables de l homme. 3. Environnement : La commune rurale de Tô est traversée par plusieurs rivières et cours d eau, mais qui tarissent trois à quatre mois après la fin de la saison hivernale qui va de mai à septembre. Il existe quelques galeries forestières, mais fortement menacées par la création des nouveaux champs agricoles par les migrants. Le couvert végétale subit les effets de la transhumance inorganisée. Cette situation tire son origine de la recherche des terres et des pâturages. Il existe des zones d aménagements forestiers entre Gori, Niabouri, Nébielianayou et Silly. La coupe du bois connaît une bonne organisation, mais la production du charbon de bois est encore moins organisée. Dans l ensemble, la végétation est assez homogène et caractérisée par une savane arborée. 10

11 Il existe une Réserve Naturelle Communautaire dénommée «Gabia-Gao» qui est en aménagement par l OND pour la conservation et la gestion durable de la biodiversité. La faune sauvage est riche en quelques endroits de la commune, elle est composée d éléphants, buffles, phacochères, cobas, gazelles, biches, singes, lièvres et d oiseaux (perdrix, pintades, canards sauvages, outardes, pigeons verts ) Des efforts restent encore à faire pour sauvegarder cette faune et son habitat soumis à une rude menace par le braconnage, la transhumance, l installation anarchique des champs et la destruction des habitats naturels. 4. Données démographiques : La population générale de la commune de Tô est estimée à habitants dont : hommes et femmes soit une densité de 27 habitants/km² avec un taux d accroissement de 3,6% par an. La commune de Tô connaît une forte émigration des jeunes vers la Côte d Ivoire et le Ghana à la recherche de travail lucratif. Elle reçoit par contre une forte population immigrante du plateau Mossi en quête de terres fertiles. Cette population migrante se repartit en deux groupes: un saisonnier de très faible importance qui repart en fin de saison hivernale, et l autre sédentaire qui reste définitivement sur place après la saison hivernale. 5. Données administratives et politiques : La commune rurale de Tô comprend vingt six (26) villages. Elle est située dans la province de la Sissili, dans la Région du Centre Ouest. La commune est dirigée par un conseil municipal de 53 membres élus pour un mandat de cinq (05) ans. La commune rurale de Tô est créée le 23 avril 2006 suite à la communalisation intégrale du Burkina Faso. Le conseil municipal est dirigé par un bureau de six membres composé d un Maire, d un premier et d un deuxième adjoints et de trois Présidents des commissions Permanentes spécialisées (Commission Affaires générales, Sociales et Culturelles, Commission Affaires Economiques et financières, Commission Environnement et Développement Local) et de deux conseillers régionaux qui représentent la commune au niveau de la région. Un préfet nommé par le gouvernement assure la gestion des services techniques de l état et appuie le conseil municipal dans sa mission. 11

12 6. Données socio-économiques : La population de la commune de Tô est rurale : La majeure partie est paysanne. Elle vit de l agriculture, de l élevage, de l artisanat. L agriculture occupe 90% de la population de la commune de Tô. Les conditions climatiques sont favorables à l agriculture. Beaucoup de variétés agricoles sont cultivées dans la zone. Les cultures vivrières sont : mil, maïs, igname, riz, haricot, pois de terre, patate, arachide, manioc, sésame, niébé et le soja. La culture de rente est essentiellement le coton : La culture maraîchère se rencontre dans les bas-fonds avec le problème de manque d eau. Les arbres fruitiers comme le manguier prolifèrent. Le ramassage des noix de karité et la cueillette de néré restent des activités très importantes dans la commune, elles occupent les femmes et les procurent des revenus financiers importants. L élevage est du type traditionnel et concerne la volaille, les porcins, les caprins, les ovins et la production des œufs et du lait, (mais il faut préciser que l élevage est tenu généralement par les hommes). Toutes les productions ne sont pas destinées à l auto consommation. La plupart est vendue au marché afin de procurer de l argent pour subvenir à d autres besoins. Signalons que l eau reste un sérieux problème pour les populations de la commune de Tô pendant la saison sèche, car les points d eau et les forages pastoraux sont nettement insuffisants. L artisanat n est pas développé malgré les potentialités dont dispose la commune. Il s agira de mettre en place une politique de promotion et de valorisation des produits artisanaux de la commune avec l appui de l OND. Il y a aussi la commercialisation du bois et du charbon de bois. La chasse est mal organisée dans la commune. Les populations sont organisées en groupements villageois pour mieux mener les activités de développement dans les villages. La plupart de ces groupements sont accompagnés et encadrés par l OND et ses partenaires. On compte plus de 30 groupements dans la commune et quelques Associations de développement dont la principale est l Organisation Yinéyinédian pour la Nature et le Développement Durable en abrégé : O.N.D. 7. Voies de communication : Pour les échanges commerciaux, les voies de communication sont peu nombreuses. La commune rurale de Tô est reliée à Léo chef lieu de la province de la Sissili par une voie en terre battue qui se dégrade en saison pluvieuse. Les pistes rurales en mauvais états ou parfois inexistantes relient la commune rurale de Tô aux autres villages qui en sont les composants. Considérées comme facteurs 12

13 de développement, les voies de communication ne le seront que par l ouverture des pistes rurales. 8. Données socioculturelles : Le Burkina Faso comprend plusieurs groupes ethniques avec des coutumes et des traditions variées. La commune rurale de Tô est composée d ethnies diverses : les Nuni, les Wala, les peulhs et les Mossi. Les Nuni sont l autochtone de la commune de Tô, les Wala, les peulh et les Mossi sont des migrants. La forme des mariages est soit traditionnelle ou religieuse. Les hommes marient généralement deux ou plusieurs femmes.. La taille moyenne d un ménage est de huit (8) membres environ. Les funérailles, les «doua» sont des cérémonies fréquemment rencontrées dans la commune. Elles sont des occasions de regroupement des gens. Ce regroupement peut durer 2 à 3 jours pendant lesquels la famille endeuillée doit nourrir les invités. Ces cérémonies ont généralement lieu après les récoltes. Les coutumes des masques existent surtout chez les gurunsi-nuni. Presque chaque village a un marabout et un charlatan. Ces derniers gagnent la confiance des personnes. Les gens les consultent surtout en cas de maladie, d où l arrivée tardive des malades dans les formations sanitaires. Dans la tradition, il y a un chef «chef de terre» qui est le garant des coutumes. Il est assisté par les chefs de familles dans chaque village. Dans la plupart des villages, il y a un chef du village et un chef de terre. L action de l OND qui a portée sur le code des personnes et de la famille a fait tâche d huile et on assiste alors à la célébrations des mariages civils dans les communes. Cette action reste à renforcer pour plus des résultats. L habitat est du type dispersé dans certains villages et regroupé dans d autres. Les eaux usées et les ordures sont traitées de façon traditionnelle. Elles sont jetées autour des cases/ concessions. Les animaux cohabitent avec les populations avec ou sans enclos/ kraal dans la cour.. Les gens mangent groupés autour d un plat central. Les petits sont ensemble et les adultes à part. Les femmes sont aussi à part. La majeure partie des populations se procure l eau de boisson dans les puits traditionnels. Les eaux des mares et des marigots sont toujours utilisées comme eaux de boisson surtout pendant l hivernage dans les champs, malgré la présence 13

14 de quelques forages, de pompes et puits dans certains villages en nombre insuffisants bien sûr. Les expressions corporelles/danses suivantes font partie des coutumes Nuni de la commune: - Kouni, Fro,TampaNen, Sélée, Nabonen,Daloo, Ouî, les Ouanen ou les masques sont des danses réservées aux Hommes ; - Tourra,Kalo masculin,kalao féminin sont des danses réservées aux femmes. Il y a aussi les chanteuses et chanteurs traditionnels dans la zone qui animent pendant les funérailles et les cérémonies culturelles. Les différentes religions existantes dans notre commune sont : l Animisme, l Islam et le Christianisme : - L animisme vient en première position ; Le Christianisme vient en troisième position après l Islam. III. Description du projet : Notre projet consiste a appuyer deux (02) écoles primaires dans la commune rurale de Tô à mettre en place des cantines scolaires à travers la production agricole (du mais, du riz et du niébé/haricot), et la mise en place des jardinspépinières scolaires pour la diversification des plats/repas des élèves à travers la production des légumes à partir des jardins pépinières et l éducation à l environnement à travers la production des plants et la plantation d arbres à partir de ces jardins-pépinières scolaires. Le projet vise donc l amélioration des conditions alimentaires et d apprentissage des élèves en général et des élèves les plus démunis (dont les parents sont pauvres) en particulier tout en leur initiant à la conservation de l environnement à travers la production des plants la plantation d arbres et l éducation à l environnement. Il s agira principalement de la production de 2 hectares de Mais, de 2 hectare du riz et de 2 hectare de niébé par chacune des deux écoles primaires bénéficiaires du projet, ce qui donne un total de 6 hectares de production agricole. deux jardins-pépinières seront aussi mis en place au sein de ces écoles qui sont déjà dotés de forages d eau. Nous entendons par jardins-pépinières scolaires des espaces clôturés au sein des écoles et divisés en deux parcelles dont la première servira de jardin scolaire pour la production des légumes par les élèves euxmêmes pour leur consommation à travers les cantines scolaires et la deuxième parcelle servira de pépinière scolaire pour la production des plants d arbres par les élèves eux-mêmes pour la plantation à travers la stratégie «un élève-un arbre». Le surplus des légumes qui seront produits par les élèves sera vendu aux parents d élèves pour profiter à toute la famille en général et aux enfants de la famille en 14

15 particulier, aussi les plants seront produits pour les besoins de l école mais surtout pour les associations des parents d élèves (APE) et des mères éducatrices (AME) et pour le reste de la population pour la plantation d arbres. Les recettes de ces ventes serviront à acheter des ingrédients (huiles, sels, plats, cuillères, savon etc.) pour renforcer les cantines scolaires, pour payer les primes d encouragement des femmes chargées de préparer les repas des cantines, pour la pérennisation du projet, pour l achat des fournitures aux plus pauvres d entres les élèves, pour la mise en place d une petite pharmacie au sein des écoles au profit des enfants et le financement des projets sociaux de ces écoles. Ces jardins-pépinières et les champs scolaires seront des lieux d apprentissage théorique et pratique des enfants en matière d environnement, de production maraîchère et agricole. Localisation du projet : Le projet sera réalisé au sein des deux (02) écoles primaires suivantes : Vara et l école Tô B dans la commune rurale de Tô, province de la Sissili, région du Centre-Ouest, au Burkina Faso. Contexte, environnement et justification du projet : Dans le passé, l état assurait l approvisionnement de toutes les écoles publiques en vivres pour le fonctionnement des cantines scolaires au bénéfice des écoliers, et les ressources naturelles étaient assez abondantes et suffisantes pour satisfaire les besoins des populations présentes sans compromettre pour autant ceux des générations avenir. Aujourd hui on assiste de plus en plus au désengagement de l état, à une croissance rapide de la démographie, à une disparition notoire des ressources naturelles. Pourtant un peu plus de 50% des enfants scolaires en milieu rural Burkinabé sont issus des familles pauvres qui n arrivent pas à assurer une bonne alimentation adéquate à ces enfants qui mangent à peine une fois pendant toutes les 12 heures et viennent à l école tous affamés. Comme l adage le dit, vendre creux/vide n a point d oreille. Ainsi, ces enfants défavorisés et affamés n arrivent pas à bien suivre les cours de leurs enseignants. Etant donné qu il n y a pas des écoles dans tous les villages, il arrive le plus souvent que la plus part des enfants viennent des villages éloignés qui n ont pas d écoles pour faire l école dans ceux qui ont des écoles et ils sont logés chez des tuteurs. Ce qui fait que la plus part d entre eux ne mangent pas le plus souvent à leur fait du moment où certaines de ces familles elles mêmes ont des difficultés à se nourrir. On assiste alors à des abandons de l école par ces enfants ou ils ont des mauvais résultats scolaires. 15

16 Les écoles n ont pas de budget leur permettant de supporter les frais liés au fonctionnement des cantines scolaires alors que ni les parents, ni l état ne s occupent de cette situation cruciale dans notre zone d intervention. Aussi, les ressources naturelles sont entrain de disparaitre progressivement et pourtant les programmes scolaires Burkinabé ne prennent pas en compte l éducation à l environnement dans le but de promouvoir une gestion rationnelle et durable de celles-ci et/ou le renforcement de l existant à travers la production et la plantation d arbres. C est pour apporter des solutions appropriées et durables à ces problèmes suscités que l Organisation Yinéyinédian pour la Nature et le Développement Durable (OND) a élaboré le présent projet dont la Réalisation avec l appui espéré de la Coopération Luxembourgeoise permettra aux deux écoles de produire le céréales et les légumes nécessaires pour réorganiser les cantines scolaires au profit des enfants et d initier du même coup les enfants à la préservation de l environnement, à la production agricole et maraîchère, à la production des plants et à plantation et à l entretien d arbres. Objectifs spécifiques du projet (résultats attendus qualitatifs et quantitatifs) : Le projet poursuit les objectifs spécifiques suivants : 1. Contribuer à l amélioration du régime alimentaire de 840 élèves de 6 à 15 ans dans le but de les aider à mieux apprendre et bien grandir et cela à travers la production agricole de 6 hectares de céréales dont 2 hectares de Mais,2 hectares de Riz et 2 hectares de niébé par chacune des 2 écoles et la mise en place des cantines scolaires au sein de ces écoles au profit donc des enfants ; 2. Eduquer 840 élèves à l environnement à travers les jardins-pépinières scolaires mis en place ; 3. Initier 840 élèves à la production agricole et maraîchère, à la production des plants et à plantation d arbres à travers la mise en place de 2 jardinspépinières au sein des 2 écoles dont une par école et de 2 vergers scolaires ; 4. Renforcer l autonomie financière des écoles à travers la ventes des plants et des légumes aux parents d élèves, à la population et aux planteurs de la commune rurale de Tô et d ailleurs. Les résultats quantitatifs et qualitatifs attendus à travers la mise en œuvre de notre projet sont les suivants : - Deux (02) cantines scolaires sont mises en place au sein des deux (02) écoles primaires publiques «Vara et de Tô B» dans la commune rurale de Tô au profit des enfants : Elèves de 6 à 15 des écoles primaires publiques Vara et Tô B ont leur régime alimentaire amélioré ; - 6 hectares de céréales dont «6 hectares par école composés de 2 hectares de mais, 2 hectares du riz et 2 hectare du niébé» sont produits par an par les 16

17 deux (02) écoles pour approvisionner les cantines scolaires des écoles en vivres au profit des élèves ; - Du mais, du riz et du niébé sont produits et récoltés par an pour alimenter/nourrir 840 élèves de 6 à 15 ans des deux (02) écoles primaires bénéficiaires ; - Deux (02) jardins-pépinières scolaires sont mis en place au sein des deux écoles bénéficiaires et sont fonctionnels ; plants d espèces utilitaires sont produits par an et par les élèves pour satisfaire les besoins des écoles et des populations en plants; - Au moins plants sont plantés par les élèves et deux vergers scolaires productifs d au moins 840 plants chacun sont mis en place par les écoles bénéficiaires ; - Au moins plants sont vendus aux parents d élèves et aux populations de la commune de Tô et d ailleurs pour la plantation des vergers individuelles et collectives ; - Au moins 840 élèves des deux écoles bénéficiaires du projet sont initiés à la production agricole, maraîchère, à la production des plants, à la plantation et à l entretien d arbres ; - L autonomie financière des deux écoles primaires bénéficiaires est renforcée, les écoles sont Opérationnelles sur d autres terrains de développement au profit des enfants ; - Les espèces utilitaires comme le moringa oleifera sont valorisées à travers les jardins-pépinières dans lesquels 70% des plants qui seront produits seront du moringa oleifera dont les dérivés seront consommés par les enfant à l école et même à la maison comme compléments alimentaires tout en procurant de revenus financiers aux écoles et aux femmes ; - Des impacts positifs sont crées contribuant ainsi au maintien de l équilibre écologique et sanitaire à travers la création d un micro climat favorable pour les humains, les animaux et la biodiversité et par la consommation des sous produits du moringa oleifera par les enfants scolaires, les autres enfants malnutris et par les personnes vulnérables : - 14 Hommes membres des 2 associations des parents d élèves (A.P.E) des écoles bénéficiaires ont leurs capacités renforcées en matière de plantation et d entretien d arbres en général et du moringa oleifera en particulier et en techniques de gestion communautaire et durable des ressources naturelles ; - 14 Femmes membres des 2 associations des mères éducatrices (A.M.E) ont leurs capacités renforcées en matière de plantation communautaire et individuelle du moringa oleifera et en matière d utilisation des dérivés du moringa oleifera au bénéfice des enfants et de toute la famille ; - 14 Instituteurs des 2 écoles primaires bénéficiaires du projet ont leurs capacités renforcées en matière d éducation à l environnement, de jardinage, de production des plants en pépinières, de plantation et d entretien d arbres ; - animateurs de l OND ont leurs capacités renforcées en matière de production des plants en pépinière, en matière de plantation et d entretien d arbres, en matière d éducation à l environnement et dans le domaine de la formation des formateurs ; - Les populations des 2 villages des 2 écoles bénéficiaires du projet sont conscientisées sur la nécessité de la plantation d arbres et l utilisation des dérivés du moringa oleifera pour les soins mais aussi et surtout comme un 17

18 complément alimentaire pour tous les enfants scolaires et non scolaire de 06 mois à 16 ans et même pour les adultes vulnérables. - Population concernée et bénéfices attendus pour elle : Les bénéficiaires du projet sont les suivants : 1. Bénéficiaires directs du projet : Les bénéficiaires directs du projet sont 840 enfants de 6 à 15 ans des écoles primaires publiques des villages de : Vara et Tô B. Le projet va procurer entre autres les bénéfices suivants : - Une alimentation diversifiée et variée pour une bonne croissance des enfants à l école et à la maison à travers la mise en place des cantines scolaires, des jardins pépinières scolaires et l utilisation des dérivés du moringa oleifera à l école et dans la cuisine familiale ; - La création des conditions favorables d apprentissage pour les enfants démunis grâce à l instauration des cantines scolaires ; - Le renforcement des capacités des enfants en matière de production agricole, de production des plants, de plantation et d entretien d arbres et en matière d environnement en général ; - Le renforcement de l autonomie financière des écoles leur permettant de satisfaire aux petits besoins des enfants scolaires tels l achat des fournitures scolaires pour les enfants défavorisés, la mise en place d une petite pharmacie scolaire etc. au bénéfices des enfants ; - Le soin et la récupération des enfants vulnérables grâce à l utilisation des dérivés du moringa oleifera ; - La réduction des effets néfastes des changements climatiques sur la zone et la création d un microclimat favorable pour les enfants. 2. Bénéficiaires indirects du projet : Les bénéficiaires indirects du projet sont les associations des parents d élèves (APE), des mères éducatrices (AME), les instituteurs des écoles bénéficiaires et les populations des 2 villages dans lesquels se trouvent les écoles bénéficiaires du projet. Le projet va leur procurer entre autres, les bénéfices suivants : - L amélioration du régime alimentaire de leurs enfants à l école et à la maison ; - La diminution de leurs charges en matière de fourniture des repas des enfants pendant les heures des classes, pour les déjeuners du midi, pour l achat des produits pharmaceutiques, pour les cotisations des APE, pour la satisfaction des petits besoins de l école etc. : - Le renforcement de leurs capacités en matière de production des plants, de plantation et d entretien d arbres, d éducation à l environnement et d utilisation des dérivés du moringa oleifera pour les familles ; - La création de revenus supplémentaires pour les femmes et les hommes à travers la vente des produits du moringa oleifera ; - La sécurisation foncière à travers la plantation d arbres sur leurs parcelles (des hommes et des femmes) ; 18

19 - La réduction des effets néfastes des changements climatiques sur la zone et la création d un microclimat favorable pour les humains, les animaux et la biodiversité. - Moyens humains et techniques mis en œuvre : L OND mettra les ressources humaines et techniques suivants en œuvre pour la réussite du présent projet : 1. 5 animateurs pour assurer la formation des membres des associations des parents d élèves (APE),des mères éducatrices (AME), des instituteurs/institutrices et des élèves en techniques de production/entretien des plants en pépinières, l éducation à l environnement, la plantation et l entretien des arbres, l utilisation des dérivés du moringa oleifera, la négociation des terres avec les chefs des terres et des villages bénéficiaires pour la production agricole, la plantation des vergers scolaires et pour les plantations communautaires et l accompagnement technique des acteurs sur le terrain. Les animateurs eux-mêmes se verront renforcer leurs capacités pour les permettre d être opérationnels sur le terrain ; 2. Un superviseur pour assurer le suivi évaluation des activités des acteurs sur le terrain en vue d apporter des orientations là où ce serait nécessaire ; 3. Le Coordonnateur général de l OND participera lui-même à la mise en œuvre du projet, il fera un suivi mensuel du déroulement du projet par une sortie de suivi évaluation sur le terrain pour s assurer du bon déroulement des activités et apporter des corrections là où cela s avérera nécessaire ; 4. Cinq (05) motos seront mises à la disposition des animateurs pour la mise en œuvre du projet, le superviseur et le Coordonnateur général utiliseront aussi leurs propres moyens de locomotion pour le suivi des activités du projet ; 5. Les bénévoles de l OND seront invités à appuyer les animateurs et les autres acteurs du projet sur le terrain et cela en cas de besoin. Suivi évaluation : L OND va utiliser la méthode participative pour faire le suivi évaluation des activités du projet sur le terrain. Ainsi : Un superviseur sera chargé de faire le suivi rapproché des activités 2 fois par semaine sur le terrain. Le Coordonnateur général de l OND lui-même fera des sorties terrain de suivi évaluation une fois par mois ; Des rencontres trimestrielles seront organisées entre tous les acteurs du projet pour faire un suivi évaluation des activités du projet. Ce serait l occasion pour tous les acteurs de faire un point sur ce qui a marché et ce qui n a pas marché, de faire des critiques constructives pour une meilleure gestion du projet ainsi que des propositions d amendements s il y a lieu. 19

20 Les rencontres trimestrielles seront tournantes, c est-à-dire qu on les tiendra par exemple à Vara pour la première réunion et tout le monde vient à Vara,la réunion suivante peut se tiendra Tô et ainsi de suite. Il y aura aussi la possibilité que les évaluateurs de l OND se rendent au sein des écoles pour rencontrer les acteurs sur place par école et évaluer les activités. Lors des rencontres trimestrielles les animateurs, le superviseur, le coordonnateur général de l OND ainsi que les bénéficiaires feront chacun un exposé sur ses activités menées au cours des trois mois écoulés, L assistance fera ses remarques et une programmation des activités pour les trois prochains mois sera faite par tous les acteurs avant la clôture de la rencontre. Les indicateurs qui seront utilisés pour le suivi évaluation du projet sont les suivants : le nombre des activités programmées dans le temps par rapport au nombre effectivement réalisé dans le temps prévu, le nombre des personnes prévues pour être touché par une activité et le nombre effectivement touché, les activités prévues par rapport aux activités réalisées, les résultats prévus et les résultats effectivement atteints etc. Les sources de vérification sont les visites terrain, le chronogramme du projet, les bénéficiaires, les acteurs du projet, les rapports d activités et le constat terrain. A la fin du projet, une assemblée générale bilan sera organisé entre tous les acteurs du projet, au cours de laquelle une évaluation générale participative sera faite et sera suspendue par rapport d évaluation. Après cette évaluation finale, les bénéficiaires vont continuer de poursuivre le projet car ils se seront appropriés de leur projet depuis ses débuts et l OND qui est sur le terrain continuera à les regrouper pour les évaluations participatives des résultats du projet. Nous allons mettre l accent sur la production du moringa oleifera dont 70% des plants qui seront produits seront cette plante et les 30% restants des espèces diverses telles que l anacardium occidentale, Jatropha, manguiers, acasia albida etc. Les vertus du moringa oleifera sont les suivantes : - Soigne les maux de vendre et la diarrhée des enfants et même des personnes adultes ; - Soigne le paludisme des enfants et des personnes adultes; - Traite les infections respiratoires chez les enfants et chez les adultes ; - Traite les maladies liées à la malnutrition chez les enfants (avitaminose) ; - On l utilise comme un complémentaire alimentaire pour les enfants et les personnes vulnérables ; 20

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