Pratiques de dépistage des besoins en santé mentale au Service correctionnel du Canada
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- Rachel Marin
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1 Pratiques de dépistage des besoins en santé mentale au Service correctionnel du Canada Christian Corriveau, psychologue ISME Amélie Gauvreau,,psychologue ISME Centre régional de réception
2 Plan Le Service Correctionnel du Canada (SCC). La santé mentale au SCC avant L Initiative en Santé Mentale au SCC. L Initiative en Santé Mentale en Établissement (ISME). Le dépistage et l évaluation des besoins en santé mentale au CRR. Défis et questionnements. Illustration du processus de dépistage et d évaluation des besoins en santé mentale (études de cas).
3 Service correctionnel du Canada Organisme fédéral qui gère les délinquants qui ont obtenu une peine d emprisonnement de plus de 2 ans. Énoncés de la mission: Contribuer à la sécurité publique. Inciter et aider les délinquants à devenir des citoyens respectueux des lois. Employés:
4 Service correctionnel du Canada (suite) Au Canada: Établissements: Maximums: 8 Médiums: 19 Minimums: 14 Pour femmes: 5 Centres de traitement: 5 Pavillons de ressourcement: 2 Bureaux des libérations conditionnelles et Centres Correctionnels Communautaires (CCC): 130 Délinquants: Incarcérés: Libération conditionnelle: 7000
5 Service correctionnel du Canada (suite) Région du Québec: Établissements: Sécurités multiples: 1 Maximums: 2 Médiums: 5 Minimums: i 3 Pour femmes: 1 Centre de traitement: 1 Bureaux des libérations conditionnelles et Centres Correctionnels Communautaires (CCC): 25 Délinquants: Incarcérés: 3390 Libération conditionnelle: 2140
6 La santé mentale au SCC Statistiques: Augmentation de 71% des délinquants rapportant présenter une problématique de santé mentale (excluant la déficience intellectuelle, les retards de développement et les troubles de la personnalité). Projet pilote en 2007: 30% des délinquants présentaient des besoins en santé mentale. Estimation du SCC: 12% à 22% des détenus sous responsabilité fédérale présenteraient des besoins en santé mentale.
7 La santé mentale au SCC (suite) Pourquoi s attarder aux besoins en santé mentale des délinquants: Atténuer la souffrance causée par la maladie mentale. Diminuer les effets invalidants de la maladie mentale pour optimiser la participation des délinquants aux programmes correctionnels. Contribuer au maintien d un milieu carcéral sécuritaire. Prendre en considération le lien entre maladie mentale et risque criminel. Tenter de stabiliser les détenus avant leur remise en liberté. Pour orienté les détenus vers les ressources appropriées.
8 La santé mentale au SCC (suite) Avant 2007: Mission: Le SCC doit aider le détenu à devenir un citoyen respectueux des lois. LSCMLC: Exige que des services soient apportés aux délinquants présentant des problèmes de santé mentale. Les services doivent être comparables à ceux de la collectivité. Directives du commissaire: DC 705-6: exige qu une évaluation des besoins en santé mentale soit effectuée si le détenu présente les problèmes suivants: difficultés d adaptation, trouble mental, idéations suicidaires et comportement d automutilation. DC 850: rédigé afin de s assurer que les délinquants aient un accès adéquat à des services de santé mentale professionnels.
9 La santé mentale au SCC (suite) En pratique: Dépistage par un infirmier i à l arrivée du détenu. Évaluation du risque suicidaire à l arrivée. Prise en charge des détenus qui présentaient des difficultés d adaptation et/ou une détérioration de leur état mental et/ou un risque suicidaire. Les détenus présentant des problèmes de santé mentale graves étaient souvent placés en isolement en attendant un transfert vers le CRSM. Demande d urgence au CRSM. Expression: esso «On l entend pas».
10 L Initiative en Santé Mentale au SCC Mise en place de l Initiative en Santé Mentale en 2007, suite: Rapport Kirby: Recommande: Une évaluation complète de la santé mentale des détenus à leur arrivée. Services de psychothérapie et autres thérapies. Rapport de l enquêteur correctionnel: Recommande: Une évaluation globale l à l admission. i Amélioration des centres de traitement. Unités de soins intermédiaires en santé mentale. Prestation de services en santé mentale dans la collectivité.
11 L Initiative en Santé Mentale du SCC au Québec Déployée en 2007: Initiative en Santé mentale en Établissement t (ISME): Dans tous les pénitenciers. Psychologues et infirmiers. Initiative en Santé Mentale en Communauté (ISMC): Deux équipes à travers le Québec. Infirmiers et travailleurs sociaux. Autres: Centre Régional en Santé Mentale (CRSM). Programme d intégration des délinquants provenant du CRSM. Milieu de vie structuré (Établissement Joliette). Unité de Santé Mentale Communautaire.
12 Initiative en Santé Mentale en Établissement (ISME) Objectif: Dépister, évaluer et traiter les délinquants présentant des besoins en santé mentale selon un continuum de soins. Regroupe l ensemble établissement: des services en santé mentale offerts en Dépistage et l admission: évaluation des besoins en santé mentale à Dépister et évaluer les besoins en santé mentale grâce à des tests informatisés à l admission. Validation des résultats obtenus aux tests (évaluation psychologique). Soins primaires en santé mentale: Interventions pour la promotion d un meilleur ajustement émotionnel et comportemental (acceptation de la maladie, acquisition de compétences, psychothérapie, gestion de la médication ). Soins psychiatriques ambulatoires en établissement: Augmentation des services psychiatriques.
13 Initiative en Santé Mentale en Établissement (ISME) (suite) Regroupe l ensemble des services en santé mentale offerts en établissement (suite): Soins intermédiaires en santé mentale: Il était prévu que des unités de soins intermédiaires soient mises en place pour les délinquants nécessitant un encadrement clinique plus structuré. Non financé actuellement, mais toujours d actualité actualité. Projet du pénitencier de Port-Cartier. Sensibilisation et formation du personnel: Modules de formation pour agents correctionnels et agents de libération conditionnelle. Formation continue pour le personnel clinique. Multidisciplinarité et engagement. Participation des divers secteurs (p. ex.: ALC, sécurité, psychologues, infirmiers ).
14 Initiative en Santé Mentale en Établissement (ISME) (suite) Clientèle visée: Détenus présentant des besoins en santé mentale: Axe I: Troubles mentaux graves. Axe II: Troubles de la personnalité dits «agissants» et/ou qui manifestent des problèmes d adaptation à la situation immédiate. Retard mental. Autres: Atteintes cognitives. TDAH. Adaptation: notion de besoins en santé mentale.
15 Le dépistage et l évaluation des besoins en santé mentale au CRR Point de départ de la prise en charge des détenus présentant des besoins en santé mentale. Centre Régional de Réception (CRR): Établissement où s effectue l évaluation initiale des délinquants ayant obtenu une peine d emprisonnement de 2 ans et plus. Diverses évaluations sont effectuées afin de planifier le cheminement correctionnel du détenu: Évaluations: Évaluation initiale (ALC). Évaluation du risque de récidive éidi violente (psychologues). Évaluations des besoins en santé mentale (psychologues) Nombre de détenus par année: 1000.
16 Le dépistage et l évaluation des besoins en santé mentale au CRR (suite) L équipe ISME au CRR: 1 adjointe administrative. 1 infirmier ISME. 3 psychologues ISME. Psychiatre consultante. Tous les intervenants sont mis à contribution. En 4 étapes: Dépistage. Brève évaluation psychologique. Évaluation exhaustive des besoins en santé mentale. Prise en charge des délinquants présentant des besoins en santé mentale.
17 Le dépistage des besoins en santé mentale Le dépistage: S effectue par l entremise du Système Informatisé de Dépistage des Troubles Mentaux à l Évaluation Initiale. (SIDTMEI). SIDTMEI: 3 tests psychométriques administrés à tous les détenus volontaires: Bref inventaire des symptômes. Échelle d illusion sur soi-même de Paulhus. Échelle de mesure de la dépression, du désespoir et du suicide.
18 Échelle d illusion sur soi-même de Paulhus Échelles d illusion sur soimême: -Test de 40 questions. -Auto-déclaration. -Dépiste la désirabilité sociale.
19 Inventaire abrégé des symptômes Bref inventaire des symptômes: -Test de 53 questions. -Auto-déclaration. ti -Dépiste les symptômes psychologiques py gq des patients ayant des besoins en santé mentale. -9 dimensions et 3 indices généraux.
20 Échelle de mesure de l état dépressif, du désespoir et du suicide Échelle de mesure de la dépression, du désespoir et du suicide: -Test comprenant 39 items. -Auto-déclaration. ti -Dépiste état dépressif et de désespoir, et risque suicidaire (ATCDS et pensées actuelles).
21 Exemples des résultats aux trois tests de dépistage
22 Le dépistage des besoins en santé mentale (suite) Objectifs du SIDTMEI: Repérer rapidement les délinquants présentant des besoins en santé mentale. Effectuer le suivi et assurer la continuité des soins. Recueillir des données sur l étatdelasituationauniveaudela santé mentale au SCC. Connaître la réalité de la clientèle. Point de départ de la formulation de cas. Triage entre les détenus nécessitant des services en santé mentale des autres détenus pouvant présenter uniquement des difficultés d adaptation. Si le détenu obtient des résultats significatifs aux tests de dépistage, ces derniers seront transmis à un psychologues pour évaluation.
23 Le dépistage des besoins en santé mentale (suite) Projet pilote: Étude effectuée auprès de 500 délinquants au Centre de Réception et d Évaluation du Pacifique. But: mesurer la précision du SIDTMEI: Sensibilité: probabilité qu un cas positif soit classé correctement. 66% des cas (121 sur 182 détenus). Spécificité: probabilité qu un cas négatif soit classé correctement. 73% des cas (232 sur 318 détenus). Précision globale: 70,6% des cas (353 sur 500 détenus).
24 Le dépistage des besoins en santé mentale (suite) Projet pilote (suite): Conclusions: La probabilité que les résultats obtenus au SIDTMEI soient positifs est plus élevée (2.21) chez les délinquants présentant des besoins en santé mentale que chez ceux qui n en présente pas. SIDTMEI fonctionne comme outil de dépistage, mais la valeur prédictive et la sensibilité pourraient être améliorées par une mesure qui évalue les difficultés aux plans cognitif et intellectuel. (Le 1/3 des détenus qui n ont pas été dépistés alors qu un un suivi était nécessaire présentaient des difficultés à ce niveau). Évaluer les coûts vs les avantages d un tel système, étant donné que les professionnels ont besoin de plus de renseignements afin de procéder à leur évaluation.
25 Évaluation psychologique brève des besoins en santé mentale Les résultats significatifs obtenus par le détenu aux tests de dépistage seront remis à un des trois psychologues ISME. Ce dernier effectuera une évaluation plus en profondeur afin de déterminer, si le délinquant présente des besoins en santé mentale. Évaluation: Peine d emprisonnement et adaptation en établissement. Antécédents psychiatriques/psychologiques (personnels et familiaux). Antécédents suicidaires et d automutilation (personnels et familiaux). Problématique de consommation. État mental. Si l évaluation psychologique s avère concluante quant à une possible problématique en santé mentale, l évaluation exhaustive des besoins en santé mentale sera proposée au délinquant.
26 Évaluation exhaustive des besoins en santé mentale Évaluation exhaustive des besoins en santé mentale: Signature du formulaire de consentement volontaire. 1 ou 2 rencontres d évaluation. Discussion de cas en comité multidisciplinaire. Demande des rapports psychologiques/psychiatriques antérieurs. Pratiquement mêmes rubriques: Peine d emprisonnement et adaptation en établissement. Antécédents psychiatriques/psychologiques (personnels et familiaux). Antécédents suicidaires et d automutilation (personnels et familiaux). Problématique de consommation. Ressources personnelles et extérieures du détenu. État mental. Impressions cliniques. Recommandations. Remise du rapport au détenu et discussion.
27 Prise en charge par l équipe ISME Suite au processus de dépistage et d évaluation des besoins en santé mentale, le psychologue doit déterminer si le délinquant correspond aux critères de l ISME. Si le délinquant ne présente pas de besoin en santé mentale: Délinquant n ayant pas besoin de service psychologique. Délinquant ayant besoin de support (équipe opérationnelle). Si le délinquant présente des besoins en santé mentale: L évaluation exhaustive sera intégrée au plan correctionnel et l élaboration d un plan d intervention individualisé en santé mentale. servira à Liaison avec l établissement d accueil. Processus peut cesser et être repris à l établissement d accueil. Rencontres d évaluation de l état mental. Rencontres de soutien. Rencontres sur requête. Référence aux programmes CRSM. Référence d urgence au CRSM. À noter: aucune psychothérapie n est offerte au CRR.
28 En pratique Plusieurs moyens de dépistage: À l arrivée: Évaluation de l infirmière. Évaluation du risque suicidaire. Références des intervenants: ALC, agents correctionnels, infirmières, psychologues, médecin Prise en charge: Désorganisation psychotique. Crise suicidaire. Évaluation périodique de l état mental. Rencontres de soutien. Comité multidisplinaire en santé mentale et autres comités.
29 Défis et questionnements Théorie vs pratique. Définitions de besoins en santé mentale? Tests de dépistage: Bon taux de dépistage (préoccupations pour que les cas positifs soient identifiés), mais pauvre capacité de discrimination. Les coûts en valent-ils la peine, sachant que le psychologue aura besoin d une entrevue afin de déterminer si le détenu présente des besoins en santé mentale? Tous des tests basés sur une auto-déclaration. Responsabilité suite au dépistage: Assurer la sécurité des détenus présentant des besoins de santé mentale. Vulnérabilité. Pression concernant la médication. S assurer que le détenu puisse recevoir les soins nécessaires à sa problématique (TDAH: 20% des détenus fédéraux). Comorbidité: toxicomanie et troubles mentaux. Culture carcérale vs approche clinique. Cas présentant pése problème pobè ede santé mentale, ae, mais asqui ne se considère pas comme étant éa malade et notion de consentement volontaire.
30 M. J. Pensencore. Études de cas
31 M. Hibouj Bocou Études de cas
32 M. Jean Veuzencor Études de cas
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