Plan Local pour l Insertion et l Emploi de l agglomération clermontoise. Sorties positives 50% 50% 100% 11% 59% 31% 15% 16% 100%

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1 Observatoire des parcours Plan Local pour l Insertion et l Emploi de l agglomération clermontoise Données 2009 EDITION JUIN 2010 Femmes Hommes Les flux d entrées / parcours / sorties positives autres % % % % % % 52% Les caractéristiques du public en parcours Tranches d'âge Ensemble Hommes Femmes Nb % Nb % Nb % Moins de 26 ans 26 à 44 ans 45 ans et plus dont 45 à 49 ans dont 50 ans et plus % 27% 14% 13% % 23% 13% % 31% 15% 16% 10 Demandeurs d'emploi de longue durée Femmes isolées, chefs de famille Bénéficiaires vivant seuls Les chiffres clés Bénéficiaires du RMI 38% % 57% 64% Niveau inférieur ou égal 7 au niveau V (CAP, BEP) Habitants des Zones 39% Urbaines Sensibles Les étapes de parcours mises en oeuvre ou en cours dans l année Ensemble Hommes Femmes Accompagnement Formations Emploi dont CDI, CDD, intérim,... dont contrats aidés et poste IAE... Création d'entreprises Définitions Nouveau participant Un nouveau participant de l année est une personne entrée dans le dispositif entre le 1 er janvier et le 31 décembre de l année (critère : date d entrée). Public éligible au PLIE Le public éligible au PLIE comprend les DELD ou Demandeurs d Emploi de Longue Durée, les jeunes sans qualification, les Travailleurs Handicapés, les bénéficiaires de minima sociaux (RMI, RSA, API) et les résidents de Zone Urbaine Sensible. Une même personne peut cumuler plusieurs statuts. DEFM éligible La DEFM ou Demande d Emploi en Fin de Mois comptabilise le nombre de demandeurs d emploi, résidant sur le territoire de Clermont Communauté et présents dans les fichiers de Pôle Emploi au 31 décembre de l année. La DEFM éligible est la DEFM totale restreinte aux catégories de publics éligibles à l action du PLIE (hors résidents de ZUS). NB : ces données ne sont destinées qu à fournir des ordres de grandeur de la population globale potentiellement éligible au PLIE. et étapes Un parcours d insertion individualisé est caractérisé par l articulation de différentes étapes permettant d atteindre l objectif défini par voie de contractualisation. Il débute à la date d entrée dans le PLIE et s achève à la date de fin d accompagnement. Trois types de parcours sont détaillés : les parcours en cours (personnes en cours d accompagnement); les parcours soldés par une sortie positive (date de fin d accompagnement au cours de l année ; sortie pour cause d emploi, de formation longue ou de création d activité); les parcours soldés par une sortie négative (date de fin d accompagnement au cours de l année ; sortie administrative ou autre). Une étape est une action d insertion prescrite à un bénéficiaire, qui a un début et une fin, ainsi qu un ou des objectifs à atteindre. Préfecture du Puy-de-Dôme

2 L'accompagnement du PLIE sur le territoire de l agglomération Le PLIE de l'agglomération clermontoise a enregistré 390 nouvelles entrées en 2009 pour un total de personnes en parcours dans l'année. La commune de Clermont-Ferrand concentre la majorité des participants de l'agglomération (67% des entrées et 65% des parcours), soit une part légèrement supérieure à celle de la commune dans la demande d'emploi dite "éligible" (62%, cf. définition en page précédente). Les participants par commune DEFM éligible % femmes % femmes % femmes Aubière % Aulnat 14 86% 29 83% % Beaumont 29 45% 47 57% % Blanzat 3 33% 4 25% % Cébazat 3 33% 7 29% % Ceyrat 3 33% % Chamalières 6 33% Châteaugay % Clermont-Ferrand % % Cournon-d'Auvergne 25 56% 67 52% % Durtol Gerzat 11 27% 25 36% % Le Cendre Lempdes % Nohanent % Orcines % Pérignat-lès-Sarliève % 52 6 Pont-du-Château % % Romagnat 6 17% Royat % % St-Genès-Champanelle communes 6 17% 17 35% % Il existe ainsi des disparités géographiques dans le taux d'accompagnement du public par le PLIE. Certaines communes apparaissent, en effet, particulièrement bien dotées au regard du nombre de résidents potentiellement éligibles (Aulnat, Beaumont, Châteaugay, Clermont- Ferrand) alors que d'autres semblent, au contraire, insuffisamment couvertes. C'est le cas de Cébazat, Le Cendre, Lempdes, Pont-du- Château, Royat et Chamalières. Typologie des communes : Sous-représentation du PLIE / DEFM éligible Même poids entre PLIE et DEFM éligible Sur-représentation du PLIE / DEFM éligible Poids des communes : dans les entrées PLIE dans les parcours PLIE dans la DEFM éligible Orcines 0, 0,2% 0,6% Saint-Genès-Champanelle 0, 0,1% Royat 1,7% 1,9% Blanzat 1,2% Nohanent 0, 0,1% 0,4% Durtol 0, 0, 0,4% Chamalières Châteaugay 1, 1,5% 3,3% 5, Beaumont 7,4% Ceyrat 0,6% 1, 5,5% 2,7% Par ailleurs, si le public féminin apparaît -représenté en moyenne dans les accompagnements PLIE ( environ pour de la demande d'emploi éligible), sa part peut varier considérablement selon les communes (de 27% à Gerzat contre 86% à Aulnat pour les entrées par exemple). Aux exceptions d Aubière et de Beaumont près, cette part du public féminin est très proche dans les entrées de l année et dans les parcours, le signe de la perénnité de ces disparités géographiques. Clermont-Ferrand 67,2% 64,7% 61,8% Romagnat 1,5% 1,2% 1,9% Cébazat 1,9% Aubière 2,6% 3,4% 2,8% Gerzat 2,8% 2,9% 3, Aulnat 3,6% 3,4% 1,6% Pérignat-lès-Sarliève 0,3% Lempdes 0,3% 0,2% 2,1% Cournon-d'Auvergne 6,4% 7,8% 6,2% 0,6% Le Cendre 0, 0, 1, Pont-du-Château 2,7% Un rééquilibrage de la couverture à l'échelle des quartiers L analyse du lieu de résidence des participants à l'échelle infracommunale explique en partie le poids important et croissant de la ville de Clermont-Ferrand dans le public PLIE. Ainsi, parmi les participants en parcours qui habitent les quartiers, environ 2 sur 3 résident dans les quartiers Nords (41%) ou Saint- Jacques (25%) et, au total, moins d'1 sur 5 hors de la ville centre. L année 2009 a vu des changements notables dans le poids respectif de ces quartiers : un recul des quartiers Nord et de Cournon Sud au profit de Saint-Jacques, Fontaine du Bac et Herbet. Ces évolutions valent pour les nouvelles entrées comme pour les parcours et s expliquent en partie par l évolution urbaine de ces quartiers et la fragilisation du tissu associatif. Compte-tenu des faibles effectifs mis en jeu (157 entrées de résidents des quartiers), le déménagement de quelques personnes a, en effet, un impact directement mesurable. Les participants par quartier St Jacques Quartiers Nords Herbet Gerzat Fontaine du Bac Cournon sud Aulnat Aubiere 2

3 Une sur-représentation du public étranger, en particulier masculin Dans plus d'1 cas sur 4, les entrants au PLIE n'ont pas la nationalité française, une part en augmentation de 4 points entre 2008 et La proportion est lègèrement inférieure pour les personnes en parcours (23%), mais reste plus de 11 points supérieure à celle enregistrée dans la demande d'emploi (11,2%). A cette sur-représentation du public étranger s'ajoute une disparité par Les demandeurs d'emploi et les participants PLIE en parcours partagent la même situation familiale puisque les deux tiers d'entre eux environ vivent seuls. En parallèle à son isolement, le public PLIE se caractérise par ses conditions de logement : plus de 50 % des participants sont locataires HLM et près d'un sur 5 est hébergé ou en foyer. Autre signe probable des difficultés rencontrées par les participants, leurs aires de mobilité géographique sont réduites et limitées à la ville ou à l agglomération dans plus de 3 cas sur 4. genre. Les femmes sont, en moyenne, moins présentes parmi les étrangers (45% de femmes contre toutes nationalités confondues dans la demande d'emploi) mais l'écart est particulièrement significatif pour le public PLIE (un participant étranger sur quatre est une femme). Les participants par nationalité Des entrées qui touchent de nouveaux publics L analyse par genre montre que les femmes sont dans une situation de sédentarisation supérieure. Elles représentent 48% des personnes en parcours mais 54% des participants à la mobilité circonscrite à la ville. Ce constat est à mettre en parallèle avec la surreprésentation des femmes parmi les participants vivant seuls (), associée aux contraintes d'éventuelles charges de famille. L analyse des évolutions des entrées entre 2008 et 2009 montre que cette situation est en cours d inflexion : la crise amène vers le PLIE de nouveaux publics auparavant moins concernés. Les nouveaux participants sont, en effet, plus souvent des personnes vivant en couple (+9 points), DEFM "Eligible" Les participants par type de logement nationalités Nationalité française hébergés dans le parc locatif privé (+11 points) et plus mobiles (- 3 points pour la mobilité la plus réduite) Autre ou non renseigné Foyer Propriétaire Hébergé Locataire privé Locataire HLM Les participants par situation familiale Vivant seul Les participants par aire de mobilité Non précisée 8 Vivant en couple Au-delà du département Département Ville ou agglomération DEFM "Eligible" 3

4 Un réseau de prescripteurs qui se concentre analyse des prescripteurs des accompagnements PLIE souligne la diversité et la L' complémentarité des acteurs parties prenantes du dispositif. Ainsi, les prescriptions sont relativement bien équilibrées entre les différents partenaires avec une représentation significative des acteurs de proximité comme les mairies/services emploi Les participants par prescripteur Mairie / Service Emploi 154 SIAE / Association / Autre 80 Pôle Emploi 77 Mission locale / Cap Emploi 28 Cellule Emploi Grands Chantiers 27 CIRC 18 CCAS 6 général 390 % femmes 49% 45% 39% 11% 44% 10 Evol % 27% 75% 211% -27% -25% -79% 21% (39%), des services publics (27% pour Pôle emploi, les Missions Locales et Cap Emploi) ou du secteur associatif (2). La répartition s est néanmoins recentrée entre 2008 et 2009 puisque les acteurs cités plus haut représentent désormais 87% des p r e s c r i p t i o n s % femmes 54% 5 8% 57% 4 48% Des critères d intégration dans le PLIE qui évoluent Evol % 17% -1% 86% -18% -18% -21% 5% Les participants par partenaire prescripteur contre 72% en Cette évolution s explique par le mode de prise en charge du nouveau public RSA (passage par le pôle emploi) ou par des opérations de sensibilisation menées auprès de certains partenaires CCAS CIRC Cellule Emploi Grands Chantiers Mission locale / Cap Emploi Pôle Emploi SIAE / Association / Autre Mairie / Service Emploi Les participants par type de public % Evol. femmes DE LD -26 ans sans qualif. Minimas Résidents quartiers % 56% 5 42% -1% +62% +31% -15% +28% +45% +21% % Evol. femmes % 39% +23% 49% +8% 62% -5% 53% +6% 39% +7% 48% +5% DEFM éligible % Evol. femmes % 42% +6% 4-1% 54% +24% Les participants par type de public éligible DFM éligible Le public pris en charge par le PLIE se distingue significativement des demandeurs d'emploi potentiellement éligibles. Il apparaît, ainsi, -représenté quant au public (5% contre 12% dans la demande d'emploi) et aux DELD (57% contre 72%). Au contraire, il est sur-représenté pour les jeunes sans qualification (19% contre 5%) et les bénéficiaires de minimas sociaux (54% contre 34%). De plus, 4 des participants résident dans les quartiers, un élément pour lequel la comparaison avec la DEFM éligible n est pas disponible. Le constat demeure donc que le public accompagné par le PLIE se constitue autour d'un noyau de personnes plus éloignées de l'emploi que la moyenne. Toutefois, les critères d intégration dans le PLIE évoluent avec la crise et s orientent vers des publics moins concernés auparavant comme c est le cas des DE récemment inscrits au chômage (5 de DELD dans les entrées PLIE en 2009 contre 62% en 2008). 1 Les participants par niveau de formation (75.1) (76.7) (74.1) (75.9) DELD Moins de 26 ans sans qualification Minimas Résidents (RMI, RSA, API) quartiers (60.7) (60.4) DEFM "Eligible" Niveaux I à IV Diplôme étranger sans équivalence en France Niveau V Niveau Vbis Niveau VI (75.1) Part des niveaux V à VI 4

5 Un public qui reste moins bien formé que la moyenne En 2009, le niveau de formation des participants reste faible avec seulement 23% de niveaux bac et plus (contre 4 dans la demande d'emploi) et 36% de niveaux inférieurs aux CAP-BEP (contre 22%). Au cours de l'année 2009 le PLIE a accompagné participants dont 574 (67%) étaient encore en parcours à la fin de l'année. La proportion était de 58% en 2008, le signe de difficultés croissantes d insertion du public PLIE. Parmi les 285 sorties enregistrées, 183 (53%) ont été positives, comme en Ces chiffres globaux masquent des réalités très différentes selon les caractéristiques du public. Ainsi, les femmes s'inscrivent plus souvent dans une logique de poursuite de parcours (69% Corrollaire de l augmentation des entrées de la population étrangère, la part des participants ayant un diplôme étranger sans équivalence en France a plus que doublé en un an. contre 65% pour les hommes). Ce constat est confirmé à la fois par une durée moyenne de parcours et par un nombre moyen d'étapes mises en œuvre supérieurs (respectivement 19 mois contre 16 mois, 4,8 étapes contre 4,2 étapes). Il en est de même pour DELD et les résidents des quartiers (71% et 68% de poursuites de parcours). A l'exception du niveau VI pour lequel elles sont sur-représentées, les femmes possèdent un niveau de formation plus élevé que les hommes, tant dans le public PLIE (entrées et parcours) que dans le public des demandeurs d'emploi. Des issues de parcours très variables selon le genre et le type de public Les parcours comptabilisés en 2009 par type de public DELD < 26 ans sans qualification Minima (RMI, RSA, API) Résidents quartiers Tous parcours en cours Toutes sorties Les étapes mises en oeuvre en 2009 PLIE 2009 Ensemble % femmes Accompagnement Santé/social Projet professionnel Formation Actions de droit commun Actions PLIE Actions PLIE individuelles Emploi Contrats de travail Contrats IAE Contrats aidés Contrats alternance Création d'entreprise % 58% 53% 48% 42% 6 47% 33% 6 43% 38% 49% positives Dans sa mission d'accompagnement, le PLIE a mis en place nouvelles étapes en 2009 dont 6 de type emploi, 22% de type formation et 18% de type accompagnement. Les disparités par genre se manifestent par la sur-représentation des femmes sur les étapes négatives Des parcours jalonnés d étapes Evolution Ensemble Femmes +122% +196% +69% +132% +169% +258% +15% -8% -13% + +11% % +2% +6% +8% +14% -7% -14% -17% -14% % % +21% Les parcours par type de public éligible DELD <26 ans sans qualification d'accompagnement (en particulier santé/social), de formations PLIE individuelles ou de contrats aidés et par une -représentation des actions PLIE, des contrats IAE et de la création d'entreprise. D'une année sur l'autre, le volume d'étapes mises Minima Résidents (RMI, quartiers RSA, API) Les étapes mises en oeuvre Les parcours par genre en cours négatives positives Hommes Femmes A l'inverse, le taux de sortie des jeunes sans qualification est nettement supérieur à la moyenne () et, plus spécifiquement, celui des sorties positives supérieur pour les (27%) Hommes Femmes Hommes Femmes Emploi + création Formation Accompagnement en œuvre a globalement progressé (+17%) en particulier pour les femmes (+21%). Dans le détail, les principales augmentations concernent, assez logiquement en période de crise, les actions d accompagnement et les actions de création d entreprise. A l inverse, il faut noter le recul des entrées sur les actions de formation de droit commun (-8%), sur les contrats aidés et IAE et sur l alternance. 5

6 Des durées de parcours influencées par le genre... L 'analyse dans le détail de la durée moyenne des parcours achevés dans l'année (17,8 mois) et du nombre moyen d'étapes mobilisées (4,5 étapes) montre une grande variabilité de situations. Ainsi, des parcours longs et complexes peuvent être associés à des sorties positives (25 mois et 7 étapes en moyenne pour les hommes bénéficiaires des minimas) comme à des sorties autres (28 mois, 4 étapes pour les femmes résidentes de quartier). A l'inverse, les jeunes hommes sans qualification connaissent généralement des parcours limités dans le temps et comportant peu d'étapes, que la sortie soit positive ou non. En moyenne toutefois, l'analyse permet d'isoler quelques constantes : si les sorties positives sont associées à des parcours de même durée que les sorties autres (18 mois environ) elles sont systématiquement plus complexes (5,5 étapes contre 3,3) ; Les résidents des quartiers et les bénéficiaires de minima connaissent des parcours plus longs que la moyenne et ce, quelle que soit leur issue ; La situation est inverse pour les jeunes sans qualification ; Les sorties des sont plus lentes que la moyenne lorsqu elles sont positives mais plus rapide lorsqu elles sont négatives. C est l inverse pour la catégorie de public autres. ; Enfin, l'écart homme-femme est très significatif tant sur la durée des parcours (3 mois d écart en moyenne et 7 mois dans le cas de sorties négatives) que sur le nombre moyen d'étapes mobilisées. Le genre est même, plus que le type de public, le principal élément discriminant à ce titre. DELD < 26 ans sans qualification Minima (RMI, RSA, API) Résidents quartiers La durée des parcours achevés en 2008 (en mois) négatives positives Femmes Hommes Exemple d interprétation Les parcours soldés par une sortie négative (barre orange) ont duré, en moyenne, 17,9 mois pour les DELD tous genres confondus mais 14,9 mois pour les hommes (carré vert clair) contre 22,2 mois pour les femmes (disque vert foncé). de même que les motifs de sortie du PLIE Le genre impacte, en effet, le taux, la durée et la nature de la sortie à l'issue du parcours. Ainsi, les femmes représentent 5 des sorties positives pour des entrées, une situation qui s est inversée par rapport à 2008 (proportions de respectivement 38% et 45%). En 2009, les femmes sont à la fois sur-représentées sur les contrats longs (57% des CDI, 52% des CDD de plus de 6 mois) ou dans les formations longues (55%) et -représentées sur les contrats de professionnalisation (13%) ou les créations d entreprises (17%). Elles représentent 4 des sorties "autres" et sont plus particulièrement -représentées sur les sorties négatives (33% des sorties pour absentéisme ou exclusion). Tous genres confondus, les sorties positives ont enregistré un recul de 17% en un an. Dans les trois quarts des cas, elles concernent une sortie de type emploi (-31% en un an) et, dans un cas sur cinq, une formation longue (+41%). Parallèlement, les autres sorties ont reculé de 18% en un an. Elles sont administratives dans plus d un cas sur trois (-21% en un an) et, dans le cas de sorties négatives, principalement motivées par de l'absentéïsme/exclusion du PLIE (55% des cas, -13%). A noter que les démissions représentent 1 des motifs de sortie, en progression de 8% en un an. CDI CDD de plus de 6 mois Contrat de professionnalisation Création d'entreprise Formation longue Les motifs de sorties positives en emploi 75,5% Absentéïsme Démission du PLIE Exclusion Autre suivi Décès Déménagement Incarcération Longue maladie Maternité Les motifs de sorties négatives en négatives 64,2% administratives 35,8%