GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE»"

Transcription

1 GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» " Pour une filière de l industrie de la cosmétique forte en France " Sommaire 1. L emballage : rarement inerte La nouvelle réglementation cosmétique L indispensable coopération des acteurs de la chaîne Un groupe de travail, pour quoi faire? Les membres actuels du groupe de travail et les travaux réalisés Vers une réglementation cosmétique adaptée Appel de fond pour le projet collaboratif L industrie des cosmétiques en France Contacts... 7 GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 1

2 Mémo 1. L emballage : rarement inerte Il existe des échanges entre l emballage et son contenu, notamment un phénomène de migration, c est-à-dire un transfert vers la formule cosmétique de substances des matériaux d emballage, avec des effets possibles organoleptiques et/ou toxiques. L emballage est une source d exposition pour le consommateur car de nombreuses molécules (monomères, adjuvants, produits de dégradation, produits néoformés, impuretés de base) vont pouvoir migrer vers la formule cosmétique et entraîner une contamination avec peut-être des effets organoleptiques (odeur, texture, couleur) et /ou toxiques. Deux phénomènes de migration peuvent se produire : - le relargage, c est-à-dire la libération par l emballage de substances contenues dans l emballage, - l extraction, lorsque la formule cosmétique agit pour attirer à elle des substances contenues dans l emballage. L emballage est rarement inerte. C est pourquoi au niveau européen, les emballages sont réglementés. 2. La nouvelle réglementation cosmétique La réglementation cosmétique donne les listes des substances interdites et substances soumises à restriction. Un rapport sur la sécurité du produit cosmétique est exigé, avec notamment des informations à fournir sur le matériau d emballage. La responsabilité juridique repose sur la marque seule qui met le produit sur le marché. Le nouveau Règlement Cosmétique (CE) N 1223/2009 a été mis en application au 11 juillet 2013 en remplacement de la directive. Il impose des règles en termes de composition des produits cosmétiques et donne en annexe : - les listes de substances interdites, - les listes de substances soumises à restrictions, - les listes positives de colorants, de conservateurs et de filtres UV. La réglementation cosmétique demande un rapport sur la sécurité du produit avec des indications de marge de sécurité par ingrédient, de pureté/impuretés des matières premières et des emballages, et sur l évaluation de la sécurité pour certains produits destinés aux enfants de moins de 3 ans et destinés à l hygiène intime externe. La réglementation apporte des notions nouvelles de responsabilités : personne responsable du produit (physique ou morale), enregistrement du produit préalablement à sa mise sur le marché, contrôle et sanction par les autorités compétentes. 3. L indispensable coopération des acteurs de la chaîne GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 2

3 Mémo La marque qui met le produit sur le marché ne possède pas la connaissance des matériaux d emballage. Les acteurs en amont qui fournissent l emballage devront apporter à leur client des informations sur les matériaux d emballage. La marque, qui met le produit sur le marché, a la responsabilité juridique mais elle ne possède pas la connaissance précise des matériaux d emballage. En revanche, les acteurs qui fournissent les matières premières pour le packaging et qui fabriquent le packaging ont une certaine connaissance des matériaux d emballage mais ils n ont pas la responsabilité juridique du produit en cas de problème. Ces acteurs en amont qui fournissent les matières premières et fabriquent le packaging sont nombreux (fabricant de polymères, fabricant de colorants, fabricant d additifs, ). Ils peuvent être géographiquement distants. Les informations qu ils possèdent sont indispensables à celui qui met le produit sur le marché. D où l importance de savoir échanger des informations. Par exemple, concernant les parties de l emballage en contact direct avec le produit cosmétique, et pour établir le rapport sur la sécurité du produit, le fournisseur d emballage devra apporter des informations à son client, au sujet notamment de : - la composition du matériau d emballage, sa pureté et sa stabilité, - en cas de présence de substances interdites sous forme de traces, éléments prouvant qu elle est techniquement inévitable. 4. Un groupe de travail, pour quoi faire? Un groupe de travail a été créé en 2011 pour permettre une coopération en toute intelligence de tous les acteurs de la chaîne et faire progresser la filière au-delà du respect des réglementations : garantir la sécurité du produit cosmétique, anticiper les questions des consommateurs et les évolutions réglementaires, permettre l innovation. Dans la chaîne de valeur du packaging cosmétique, les acteurs sont donc nombreux. Ils ont des métiers différents, des contraintes différentes et une vision partielle des process. Entre ces acteurs, il devient indispensable de coopérer : - se connaître et connaître les métiers pour mieux communiquer et échanger, - garantir le respect des réglementations en tenant compte des contraintes de chaque acteur de la chaîne pour obtenir la satisfaction de chacun, - progresser pour continuer à innover. Voici quelques illustrations à ces propos : 1) La formulation des polymères est le cœur du savoir-faire du chimiste. Celui-ci a besoin de connaître les raisons qui justifieraient de partager des informations hautement confidentielles et de savoir si ces informations seraient réellement exploitables. En revanche, les données sur les substances migrantes d une matière sont communiquées par le fournisseur de matières plastique à son client si celui-ci en fait la demande. 2) De nombreux pigments et ingrédients interviennent pour la création d une teinte. Déterminer les substances migrantes et les limites de migration de tous les produits qui composent une teinte peut être un travail long pour le fournisseur de colorants s il est confronté à devoir fournir un grand nombre de références de colorants en petite quantité. GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 3

4 3) Les fournisseurs de polymères et d additifs communiquent les données sur les substances migrantes des matériaux de l emballage obtenues selon les tests réglementaires d aptitude au contact alimentaire. Pourtant, entre l application sur la peau et l ingestion, le risque de toxicité n est pas le même. D autre part, les substances du packaging réellement extraites dépendent aussi de la formule cosmétique dont l action sur l emballage peut être différente de celle d un produit alimentaire. 4) Des substances non intentionnelles sont susceptibles d être présentes dans le matériau du packaging provenant d impuretés de catalyseurs, d impuretés d additifs, de substances générées au cours du process de fabrication du pack, ou de substances générées au cours du temps par l action d agents extérieurs (UV, chaleur, humidité, ). 5) Les marques de produits cosmétiques déterminent, en plus des listes en annexe à la réglementation, une liste complémentaire de substances interdites. Cette «black-list» dépend de la marque, est variable d un pays à un autre, s agrandit généralement au fil du temps. La coordination des acteurs de la chaîne devrait permettre de faire évoluer les black-lists en toute intelligence pour garantir la sécurité des emballages tout en permettant l innovation. 6) Une communication commune, anticipée et cohérente des acteurs d une même filière ne peut que renforcer la confiance des consommateurs dans une société très sensible au risque perçu des produits. Un groupe de travail a été créé en février 2011 pour permettre une coopération en toute intelligence de tous les acteurs de la chaîne pour faire progresser la filière au-delà du respect des réglementations : garantir la sécurité du produit cosmétique, anticiper les questions des consommateurs et les évolutions réglementaires, permettre l innovation. Le groupe de travail «Cosmétologie & Plasturgie» est porté par deux organisations professionnelles : Allizé-Plasturgie et le Centre Européen de Dermocosmétologie. 5. Les membres actuels du groupe de travail et les travaux réalisés Une nouvelle formation destinée aux deux professions est opérationnelle en 2015, issue des réflexions du groupe de travail. Elle vise à faciliter la coopération des acteurs de la chaîne. Elle donne un modèle de bonnes pratiques de fabrication et de relation entre les acteurs de la chaîne. Le groupe «Cosmétologie & Plasturgie» est caractérisé par ses membres : - au nombre de 15 - libres, actifs, volontaires - représentatifs de toute la chaîne de valeur : producteur de matière plastique, fabricant de colorants et pigments, fabricants d emballages, formulateurs de produits cosmétiques, Marques de la cosmétique - des membres industriels + des membres-supports : scientifiques, centre technique, toxicologue - un esprit collaboratif dans l objectif de faire progresser tous les acteurs de la chaîne dans le respect de chacun - une confiance au sein du groupe sans le besoin de formaliser un accord de confidentialité. GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 4

5 Constitution du groupe de travail actuel : MEMBRES INDUSTRIELS MEMBRES SUPPORTS EASTMAN ALLIZE-PLASTURGIE ELIAN CENTRE EUROPEEN DE DERMOCOSMETOLOGIE LES LABORATOIRES EXPANSCIENCES CTCPA LVMH ITECH PROMENS LAGEP UNIVERSITE LYON 1 PRP Création TOXICOLOGUE STRAND COSMETICS EUROPE Les travaux du groupe ont abouti à la mise en place en 2015 d une nouvelle formation destinée aux deux professions, cosmétologie et plasturgie et proposée par le Centre de Formation de la Plasturgie. Cette formation de 2 jours, planifiée les 19 et 20 mai 2015 à Lyon, vise à permettre la coopération des acteurs de la chaîne de fabrication du packaging cosmétique pour mieux répondre aux exigences des réglementations et assurer la sécurité du packaging cosmétique. La formation fait appel à différentes disciplines développées chacune par des experts. La formation est basée aussi sur les échanges qui ont eu lieu au sein du groupe de travail depuis plus de 3 ans. L originalité de cette formation est de réunir des personnes-stagiaires de métier différent qui seront sollicitées tour à tour sur leur domaine de connaissances dans le but de renforcer les liens intermétier. Différents outils pédagogiques (plateforme technologique du CFP, démonstrations en laboratoire, vidéos) seront utilisés pour faire connaître les process de fabrication d'un produit cosmétique et de son emballage et la chimie des matières plastiques et des formules cosmétiques. Un modèle de bonnes pratiques de fabrication et de relation entre la cosmétologie et la plasturgie sera produit au cours de la formation et complété en fin de formation. 6. Vers une réglementation cosmétique adaptée S inspirer des travaux réalisés dans le secteur agro-alimentaire, mais tendre vers une réglementation cosmétique adaptée. Différentes molécules sont présentes dans un emballage et certaines vont pouvoir migrer dans le contenu. Des études toxicologiques dans le secteur agroalimentaire ont permis de définir : - pour telle molécule, la dose journalière qu une personne peut ingérer sans effet nocif pour sa santé - et par là, la quantité maximale autorisée de migration de cette molécule de l emballage vers l aliment, en considérant qu une personne consomme chaque jour en moyenne 1 kg d aliment emballé dans 6 dm 3 d emballage. Le contrôle des emballages se fait par des tests en laboratoire qui consistent à extraire les migrants de l emballage à l aide de simulants d aliments puis à analyser et à doser ces migrants. Dans le secteur cosmétique, les études toxicologiques ne sont pas aussi avancées. C est pourquoi la réglementation cosmétique stipule pour ce qui est non connu, de se référer à la réglementation alimentaire. Mais le produit cosmétique n est pas le produit alimentaire en termes d exposition, d usage, de risque,... GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 5

6 Cependant, le secteur agro-alimentaire a beaucoup travaillé sur les questions de migration de substances de l emballage dans le contenu. Le secteur de la cosmétologie doit pouvoir s inspirer de ces travaux mais doit tendre vers une réglementation cosmétique adaptée. Pour faire progresser la filière de la cosmétologie en France, un projet collaboratif est proposé avec des orientations de travaux comme suit : (à préciser avec les membres du groupe de travail phase II) : - Mise en place de référentiels d échange d informations entre les acteurs de la chaîne - Edition d une liste positive de substances autorisées dans la formulation d une matière plastique pour le packaging cosmétique, en remplacement des nombreuses listes négatives qui rendent les tests difficiles - Adaptation des conditions de tests à l application cosmétique. Sont à déterminer : les simulants, les limites de migration, les tests de stabilité, - Adaptation à l application cosmétique des modèles mathématiques d interaction contenu / contenant - Traçabilité à tous les stades de la fabrication - Réflexion sur la création d une norme pour garantir la conformité des emballages et pour se protéger de fournisseurs hors France qui seraient peu scrupuleux ou qui manqueraient de connaissances. 7. Appel de fond pour le projet collaboratif Pour aller plus loin, des investissements notamment dans des tests en laboratoire sur packaging cosmétique sont nécessaires. Un appel de fond est lancé aux entreprises intéressées par le projet collaboratif. Le groupe de travail, initialement créé, souhaite s ouvrir à d autres membres pour mutualiser des connaissances, des moyens humains et des moyens financiers pour réaliser d autres travaux d expérimentation, pour mettre en commun des résultats, pour acquérir de la connaissance et faire progresser la filière de la cosmétologie en France. Pour cela, Allizé-Plasturgie et le Centre Européen de Dermocosmétologie lancent un appel aux entreprises de la cosmétologie et de la plasturgie intéressées pour faire partie du groupe «Cosmétologie & Plasturgie» en contrepartie du versement d un fond minimum pour l année 2015 qui s élève à : Montant en 2015 par Typologie d'entreprise entreprise adhérent Effectif < à Allizé-Plasturgie > au Centre Européen de Dermocosmétologie < > < non adhérente > PS : les membres-supports au sein du groupe ne sont pas concernés par le versement d un fond GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 6

7 8. L industrie des cosmétiques en France La France possède tous les atouts pour aller plus loin : - la présence sur le territoire de tous les acteurs de la chaîne - des compétences et savoir-faire élevés - une image forte : le «made in France» représente pour les consommateurs du Monde une assurance de sécurité des produits. Le projet collaboratif s inscrit en cohérence avec le positionnement de l industrie française des cosmétiques, leader sur le plan international : - 3 marques françaises - L'Oréal, LVMH et Chanel - font partie du Top 10 des marques mondiales de cosmétiques. - Sur le plan européen, la France se distingue par un positionnement de marché plus haut de gamme, moins sensible à la concurrence internationale et porté par l'image de Paris. L industrie française des cosmétiques est caractérisée par son avancée technologique, son savoir-faire marketing et son capital image et culturel. - L'industrie française occupe une position dominante avec 25% des parts de marché mondiales (source : ONU). Ces performances se confirment surtout à l'exportation. - La filière cosmétique française se compose de fournisseurs de rang un tel que les matières premières, les emballages, les tests, les machines-outils, la fabrication et la formulation des produits cosmétiques. Elle est composée de entreprises, emplois, 25 milliards d euros de Chiffre d'affaires. (Source : Cosmetic Valley) 9. Contacts Dominique APPERT Allizé-Plasturgie Tel : d.appert@cfp-france.com Dominique BOUVIER Centre Européen de Dermocosmétologie ced19@wanadoo.fr GROUPE DE TRAVAIL «COSMETOLOGIE & PLASTURGIE» ALLIZE-PLASTURGIE et CED Décembre 2014 PAGE 7

(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS

(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS 15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière

Plus en détail

appliquée aux emballages alimentaires

appliquée aux emballages alimentaires La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

PACK ÉCO-CONCEPTION. Responsable : Catherine GIRAUD-MAINAND Co-titulaire à l École Centrale de Lyon de la Chaire Éco-Emballages

PACK ÉCO-CONCEPTION. Responsable : Catherine GIRAUD-MAINAND Co-titulaire à l École Centrale de Lyon de la Chaire Éco-Emballages PACK ÉCO-CONCEPTION Participants : Directeurs, responsables ou chef de projets marketing Service achat, qualité Responsable : Catherine GIRAUD-MAINAND Co-titulaire à l de Lyon de la Chaire Éco-Emballages

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

DOSSIER DE SPONSORING

DOSSIER DE SPONSORING 7 ème édition 19 et 20 mai 2015 Châlons-en-Champagne France LES RENCONTRES PROFESSIONNELLES DU BIOSOURCÉ DOSSIER DE SPONSORING AGROMATÉRIAUX CHIMIE DU VÉGÉTAL BIOÉNERGIES www.sinal-exhibition.eu RENDEZ-VOUS

Plus en détail

FORMATIONS EMBALLAGE

FORMATIONS EMBALLAGE FORMATIONS EMBALLAGE CATALOGUE Septembre à décembre 2010 En partenariat avec les entreprises Page 0 Sommaire HACCP filière Emballage Page 3 Matériaux et emballages aux contacts des denrées Page 4 alimentaires

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

Métiers d études, recherche & développement dans l industrie

Métiers d études, recherche & développement dans l industrie Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur

Plus en détail

A o û t 2 0 0 5. Article Vedette: Marche à suivre pour réussir le développement d un produit. www.ingredientslaitiers.ca

A o û t 2 0 0 5. Article Vedette: Marche à suivre pour réussir le développement d un produit. www.ingredientslaitiers.ca A o û t 2 0 0 5 Article Vedette: Marche à suivre pour réussir le développement d un produit www.ingredientslaitiers.ca 2. Évaluation technique préliminaire L'évaluation technique fait suite à l étude de

Plus en détail

La Cosmetic Valley lance le salon international «COSMETIC 360»

La Cosmetic Valley lance le salon international «COSMETIC 360» 20 février 2015 La Cosmetic Valley lance le salon international «COSMETIC 360» Un nouveau concept de salon professionnel dédié à l innovation dans la filière parfumerie-cosmétique Dates : 15 et 16 octobre

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS 1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

Sud Expert Plantes Développement Durable. Thème COSMETOPEE ---------- 12 participants 8 pays. SEP 2D -Cosmétopée -Restitution session du 11 juin 2012

Sud Expert Plantes Développement Durable. Thème COSMETOPEE ---------- 12 participants 8 pays. SEP 2D -Cosmétopée -Restitution session du 11 juin 2012 Sud Expert Plantes Développement Durable ---------- 12 participants 8 pays PREMIERE REFLEXION: Colloque Cosmétopée Février 2012 à Chartres OBJECTIFS DU COLLOQUE PermettreauxacteursdelaCosmeticValleyetduprogrammeSudExpertPlantes(SEP)de

Plus en détail

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE

Plus en détail

QU EST-CE QUE LE DECISIONNEL?

QU EST-CE QUE LE DECISIONNEL? La plupart des entreprises disposent d une masse considérable d informations sur leurs clients, leurs produits, leurs ventes Toutefois ces données sont cloisonnées par les applications utilisées ou parce

Plus en détail

Afssa Saisine n 2007-SA-0028

Afssa Saisine n 2007-SA-0028 2 août 2007 AVIS LA DIRECTRICE LE DIRECTEUR GENERALE GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l'évaluation des risques pour l'homme des constituants des produits de nettoyage

Plus en détail

Quelques informations sur l Ecole Supérieure de Design des Landes :

Quelques informations sur l Ecole Supérieure de Design des Landes : Quelques informations sur l Ecole Supérieure de Design des Landes : - Crée en septembre 2009 par la CCI des Landes avec 2 formations BTS - 8 étudiants en novembre 2009-65 étudiants en octobre 2012 avec

Plus en détail

Comment se préparer à la certification

Comment se préparer à la certification Comment se préparer à la certification Intervenant : Laurent DENEUVE ACTALIA Villers-Bocage Tél. 02.31.25.43.00 Mail : l.deneuve@actalia.eu ACTALIA en quelques mots (www.actalia.eu) Institut Technique

Plus en détail

I. Définitions et exigences

I. Définitions et exigences I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type

Plus en détail

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE

RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB

Plus en détail

EcoMundo. 21 octobre 2014 UPMC

EcoMundo. 21 octobre 2014 UPMC EcoMundo 21 octobre 2014 UPMC La triple expertise EcoMundo Projets EDIT ECODIS Création EcoMundo Expertises Réglementaire & Tox-Écotox Expertise Informatique Expertise Éco-conception EcoMundo au service

Plus en détail

Les devoirs du Détenteur d équipements

Les devoirs du Détenteur d équipements P o u r u n e u t i l i s a t i o n r e s p o n s a b l e d e s f l u i d e s f r i g o r i g è n e s AFCE - Association loi 1901, créée en 1995 : Groupement des industriels et utilisateurs du Froid et

Plus en détail

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port

Plus en détail

location et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne.

location et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne. Chapitre 6 LA FONCTION COMMERCIALE 6.1 Organisation commerciale et distribution Une adaptation constante des modes de distribution et de l organisation commerciale aux produits, aux services et aux clients

Plus en détail

Le règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité

Le règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Le règlement REACH Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Impacts économiques, risques extra-financiers et opportunités pour les entreprises Résumé de l étude réalisée par EthiFinance,

Plus en détail

POLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION

POLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION POLES DE COMPETITIVITE et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION Plan - Qu est-ce qu un pôle de compétitivité? - Qu est-ce qu un centre d innovation technologique? - Zoom sur Valorial

Plus en détail

SOMMAIRE SOMMAIRE. Politique Education de la Région Développement Durable Collecte des déchets dans les lycées DEEE

SOMMAIRE SOMMAIRE. Politique Education de la Région Développement Durable Collecte des déchets dans les lycées DEEE 52 000 lycéens 65 lycées publics (1,2 millions de m² de locaux) 39 lycées privés 1 Les priorités comtoises en matière d éducation par de nouvelles politiques L accès pour tous à l éducation Gratuité des

Plus en détail

APPEL A MANIFESTATION D'INTERET (AMI) INNOVEZ EN AGROALIMENTAIRE! 4 e édition - 2015

APPEL A MANIFESTATION D'INTERET (AMI) INNOVEZ EN AGROALIMENTAIRE! 4 e édition - 2015 APPEL A MANIFESTATION D'INTERET (AMI) INNOVEZ EN AGROALIMENTAIRE! 4 e édition - 2015 L agroalimentaire est un secteur stratégique de l économie régionale. Les industries agroalimentaires (IAA) constituent

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les

Plus en détail

Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité

Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité Lycée agricole Edgar Pisani, Montreuil-Bellay (49) 11 octobre 2012 1. La PRI Jules Rieffel 1.1 Les

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

MLD Pour résumer en une page...

MLD Pour résumer en une page... MLD Pour résumer en une page... MLD est une entreprise spécialisée depuis 2002 dans la gestion des campagnes de liens sponsorisés, en France, à l'international et dans la plupart des langues. Le résultat

Plus en détail

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II Sommaire 1.Les Tourelles en quelques mots... 2 2. Le CNAM en quelques mots... 3 3. Objectifs de la formation... 4 4. Poursuites

Plus en détail

AQ053 b. Formation continue

AQ053 b. Formation continue Formation continue La formation continue au CTCPA Au CTCPA, la formation continue se présente sous deux formes : la formation inter entreprises : formation «catalogue» avec 100 stages programmées sur l

Plus en détail

1. Le service Commercial

1. Le service Commercial La fonction Commerciale Sommaire 1. Le service Commercial... 1 2. Les enjeux :... 1 3. La technique de vente :... 2 4. La gestion de la force de vente :... 2 5. Les principales fonctions commerciales :...

Plus en détail

L ACV dans les projets de recherche :

L ACV dans les projets de recherche : L ACV dans les projets de recherche : - Les fondamentaux de l éco-conception - Les démarches, les outils - L ACV dans les projets de recherche - Exemples de projets européens Présentation ACV 6 Septembre

Plus en détail

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels Appellations Adjoint / Adjointe au responsable environnement-hygiène-sécurité en industrie Ingénieur / Ingénieure en traitement des déchets industriels Chargé / Chargée de l'hygiène et de la sécurité du

Plus en détail

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion. FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant

Plus en détail

NORD PAS DE CALAIS LORRAINE BELGIQUE

NORD PAS DE CALAIS LORRAINE BELGIQUE NAMUR - BELGIQUE Du 27 au 28 novembre 2013 À l initiative de Total Développement Régional, CCI International Nord de France organise, en partenariat avec CCI International Lorraine et AGORIA (Fédération

Plus en détail

Projet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités

Projet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités Projet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités Karine Derouet Consultante Affaires Règlementaires RNI Conseil k.derouet@rni-conseil.com www.rni-conseil.com RAPPEL DU CADRE

Plus en détail

INTRODUCTION AU MARKETING

INTRODUCTION AU MARKETING INTRODUCTION AU MARKETING L avènement du marketing Le marketing est une fonction dont l aboutissement est le résultat d un long processus de développement de l entreprise. Phases principales identifient

Plus en détail

Démarche de traçabilité globale

Démarche de traçabilité globale Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus

Plus en détail

Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation

Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation TP Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation Règles de sécurité Blouse, lunettes de protection, pas de lentilles de contact, cheveux longs attachés. Toutes les solutions aqueuses seront jetées

Plus en détail

PROTÉGER VOS BASES DE DONNÉES

PROTÉGER VOS BASES DE DONNÉES PRÉVENTION by HISCOX DATA RISKS PROTÉGER VOS BASES DE DONNÉES Préambule La base de données est défi nie par l article L.112-3 du Code de la propriété intellectuelle comme un recueil d œuvres, de données

Plus en détail

MASTER ARTS APPLIQUÉS : COULEUR, IMAGE, DESIGN

MASTER ARTS APPLIQUÉS : COULEUR, IMAGE, DESIGN MASTER ARTS APPLIQUÉS : COULEUR, IMAGE, DESIGN RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine : Arts, Lettres, Langues Présentation La spécialité se décline en trois entrées : * la particularité

Plus en détail

H1203 - Conception et dessin produits mécaniques

H1203 - Conception et dessin produits mécaniques Appellations (Métiers courants) Dessinateur / Dessinatrice en construction mécanique Dessinateur / Dessinatrice en construction métallique Dessinateur / Dessinatrice en installations industrielles Définition

Plus en détail

EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE

EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif

Plus en détail

plombiers La profession des artisans Caractéristiques, activité, Comportements et attitudes

plombiers La profession des artisans Caractéristiques, activité, Comportements et attitudes La profession des artisans Caractéristiques, activité, Comportements et attitudes 150 rue Gallieni - 92100 Boulogne-Billancourt Tél : 01 46 03 59 59 - Fax : 01 46 03 16 03 - info@dev-construction.com www.developpement-construction.com

Plus en détail

Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos

Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos 1 sur 7 Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos Présentation générale Le ministère chargé de la recherche et de la technologie

Plus en détail

H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel

H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel Appellations Acousticien / Acousticienne en études, recherche et développement Coordinateur / Coordinatrice d'études cliniues en industrie Aérodynamicien / Aérodynamicienne en études, recherche et développement

Plus en détail

Master UP 6. Mention Santé Publique et Management de la Santé. Spécialité Pharmacologie Clinique. Construire une carrière dans l industrie

Master UP 6. Mention Santé Publique et Management de la Santé. Spécialité Pharmacologie Clinique. Construire une carrière dans l industrie Master UP 6 Mention Santé Publique et Management de la Santé Spécialité Pharmacologie Clinique Construire une carrière dans l industrie pharmaceutique Alain Leclerc, CTPartners 3 mars 2009 Your Executive

Plus en détail

FICHE DE DONNEE SECURITE

FICHE DE DONNEE SECURITE Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit

Plus en détail

Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6

Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6 CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance

Plus en détail

Restauration collective

Restauration collective Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

Allianz Risk Appetite Midcorp Les cibles privilégiées d Allianz sur le marché des entreprises.

Allianz Risk Appetite Midcorp Les cibles privilégiées d Allianz sur le marché des entreprises. Allianz Risk Appetite Midcorp Les cibles privilégiées d Allianz sur le marché des entreprises. allianz.fr Assurance entreprises Sommaire Midcorp : un marché stratégique pour Allianz Les risques que nous

Plus en détail

Notre industrie : le SERVICE

Notre industrie : le SERVICE Notre industrie : le SERVICE LES METIERS DE SYLOB Depuis sa création en 1991, la SSII SYLOB exerce le double métier d éditeur et d intégrateur de solutions de gestion industrielle. C est ce choix, assumé

Plus en détail

TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?

TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Fonds Commun de Placement dans l Innovation Fcpi innovation pluriel 2 Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Qu est-ce qu un FCPI? Créé par la Loi de finances de 1997, le Fonds

Plus en détail

Bonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières

Bonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières Bonn na Sablaa Concours de Création «Consolis Awa rds» REGLEMENT DU CONCOURS Conso olis et Bonna Sabla en bref A propos de CONSOLIS CONSOLIS S est un groupe industriel européen du secteur de d la construction,

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE

MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre

Plus en détail

LA QUALITE DE LA PRODUCTION

LA QUALITE DE LA PRODUCTION LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier

Plus en détail

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014

Plus en détail

Cycle 2 - Bac+5 Responsable d Affaires Agroalimentaires Titre RNCP niv I 14/16

Cycle 2 - Bac+5 Responsable d Affaires Agroalimentaires Titre RNCP niv I 14/16 [ Cycle 2 - Bac+5 Responsable d Affaires Agroalimentaires Titre RNCP niv I 14/16 [ QUALIFICATION VISEE Titre Responsable d Affaires Agroalimentaires, niveau I (JO du 29/11/2013) OBJECTIF PRINCIPAL DE LA

Plus en détail

FISH GEEK. La technologie au service du poisson des producteurs des transformateurs des consommateurs

FISH GEEK. La technologie au service du poisson des producteurs des transformateurs des consommateurs FISH GEEK La technologie au service du poisson des producteurs des transformateurs des consommateurs dans une perspective de développement durable et une approche d écoconception Seul Pôle de Compétitivité

Plus en détail

TIM & GS NOS 10 DIVISIONS POUR VOTRE SUCCES

TIM & GS NOS 10 DIVISIONS POUR VOTRE SUCCES Le leader du service en Afrique TIM & GS NOS 10 DIVISIONS POUR VOTRE SUCCES «La vente d un équipement, d un service ou d une prestation, est une affaire de confiance» www.tim-gs.ci 1 Chers clients, Nous

Plus en détail

Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie

Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

Extraction Assistée par Ultrasons

Extraction Assistée par Ultrasons Extraction Assistée par Ultrasons Extraction par ultrasons au laboratoire Deux types d équipements à ultrasons sont couramment utilisés dans le laboratoire. Le premier est le bain de nettoyage à ultrasons

Plus en détail

Solvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.

Solvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés

Plus en détail

Témoignage client SAP Chimie Cosucra. Tous les ingrédients du succès et de la croissance

Témoignage client SAP Chimie Cosucra. Tous les ingrédients du succès et de la croissance Témoignage client SAP Chimie Cosucra Tous les ingrédients du succès et de la croissance Cosucra Secteur Chimie Produits et services Ingrédients alimentaires naturels Site web www.cosucra.com SAP s FAST-Food

Plus en détail

Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale

Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale gence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale Référence PCCB/S1/JPM/912984 Date 18/02/2014 Version

Plus en détail

La collection p&g beauty Les cheveux Dossier De presse janvier 2014

La collection p&g beauty Les cheveux Dossier De presse janvier 2014 La collection P&G beauty Les cheveux Dossier de presse janvier 2014 Une nouvelle ère en coloration, l âge d Innosense En matière de beauté, les femmes vont constamment puiser dans les dernières tendances

Plus en détail

H1303 - Intervention technique en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel

H1303 - Intervention technique en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel H1303 - Intervention techniue en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel Appellations Animateur / Animatrice en déchets en industrie Technicien / Technicienne en environnement, sécurité et conditions

Plus en détail

SCM-IT Consulting. Supply Chain Management & Information Technology. Avril 2015. Hubert POULIQUEN. 32A, Avenue Pasteur 17200 SAINT SULPICE DE ROYAN

SCM-IT Consulting. Supply Chain Management & Information Technology. Avril 2015. Hubert POULIQUEN. 32A, Avenue Pasteur 17200 SAINT SULPICE DE ROYAN SCM-IT Consulting Hubert POULIQUEN SCM-IT Consulting 32A, Avenue Pasteur 17200 SAINT SULPICE DE ROYAN Senior Consultant SCM / SCP & SAP-APO Quel Cabinet de Conseil sommes-nous? Un Spécialiste métiers SCM

Plus en détail

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises

CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises Forum de la Sécurité et Santé au Travail Luxexpo, 27 mars 2014 Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu

Plus en détail

Défi 7/7 Mission Ecogestes

Défi 7/7 Mission Ecogestes Défi 7/7 Mission Ecogestes - 202 851 habitants (au 1er janvier 2011) Les hommes commencent à se regrouper dans des villes. Les déchets sont jetés dans les rues entraînant de nombreuses épidémies meurtrières

Plus en détail

Ingénieur en prévention des risques

Ingénieur en prévention des risques Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour

Plus en détail

CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU

CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU Préambule Le sport de haut niveau joue un rôle social et culturel de première importance. Conformément aux valeurs de l Olympisme énoncées dans la Charte olympique et aux

Plus en détail

FICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques

FICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques FICHE PRATIQUE CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques Contexte : classifier et identifier les substances chimiques «En vue de faciliter les échanges internationaux tout en

Plus en détail

Maîtrisez les risques chimiques dans votre entreprise

Maîtrisez les risques chimiques dans votre entreprise Maîtrisez les risques chimiques dans votre entreprise REACH votre atout compétitivitésécurité Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement Ministère de l Écologie, du

Plus en détail

11.09.08 www.ueapme.com 1.

11.09.08 www.ueapme.com 1. UNION EUROPEENNE DE L ARTISANAT ET DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES EUROPÄISCHE UNION DES HANDWERKS UND DER KLEIN- UND MITTELBETRIEBE EUROPEAN ASSOCIATON OF CRAFT, SMALL AND MEDIUM-SIZED ENTERPRISES

Plus en détail

www.marquecanadabrand.agr.gc.ca www.mangezcanadien.ca

www.marquecanadabrand.agr.gc.ca www.mangezcanadien.ca La recherche antérieure a montré que la majorité des consommateurs canadiens affichent une préférence marquée pour l achat de produits alimentaires canadiens par rapport aux produits d importation. Est-ce

Plus en détail

Famille de métiers. achats. // Acheteur international. // Agent acheteur (market representative)

Famille de métiers. achats. // Acheteur international. // Agent acheteur (market representative) achats Famille de métiers achats // Acheteur international L acheteur a pour mission de sélectionner la meilleure offre de produits sur un marché donné selon la stratégie marketing et commerciale de l

Plus en détail

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs

Plus en détail

Comment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys

Comment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys Comment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys Sommaire Keonys, votre partenaire PLM Le S.A.V avec Cepheus Group Conclusion Q & A 2 Conseil & intégration

Plus en détail

Aspartame ou stévia: le duel

Aspartame ou stévia: le duel Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une

Plus en détail

INVESTIR EN FRANCE : Réalisation

INVESTIR EN FRANCE : Réalisation INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT En 2014, 1 014 décisions d investissement en France ont créé ou maintenu 26 535 emplois. 1 er pays en Europe

Plus en détail

Les atouts de la France pour surmonter la crise

Les atouts de la France pour surmonter la crise Les atouts de la France pour surmonter la crise Institut CSA pour RTL Juin 01 Fiche technique Sondage exclusif CSA / RTL réalisé par Internet du 1 au mai 01. Echantillon national représentatif de 100 personnes

Plus en détail

[Tapez un texte] Document non contractuel sous réserve de modifications en cours d année.

[Tapez un texte] Document non contractuel sous réserve de modifications en cours d année. [Tapez un texte] QUALIFICATION VISEE Titre Responsable d Affaires Agroalimentaires, niveau I (JO du 22/07/2010) OBJECTIF PRINCIPAL DE LA FORMATION PUBLIC ET CONDITIONS D'ACCES Former des cadres de haut

Plus en détail