Formation à la médiation culturelle

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1 Formation à la médiation culturelle Dossier culture et lien social Novembre 2013 Cultures du Cœur Aquitaine 26 rue du Loret Cenon culturesducoeuraquitaine.wordpress.com culturesducoeur.org

2 SOMMAIRE LA MEDIATION CULTURELLE... 3 Qu est-ce que la médiation culturelle?... 3 Les finalités de la médiation culturelle... 4 Le processus de médiation culturelle... 4 La médiation culturelle en théorie... 5 Les réalités de la médiation culturelle... 5 LE CHAMP SOCIAL... 6 Qu est-ce qu un champ social?... 6 Qu est-ce que l action sociale?... 6 La notion de lien social... 6 MIXTE DES TERRAINS: CULTURE ET LIEN SOCIAL... 7 Quels acteurs?... 7 Quels sont les enjeux?... 8 Contraintes et difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de projets... 9 Outils nécessaires de mise ne œuvre FICHES PEDAGOGIQUES Formulation d un projet culturel Préparer la réalisation d un projet Étapes de la réalisation d un projet co-construit Des exemples concrets Bibliographie

3 > LA MEDIATION CULTURELLE -- Qu est-ce que la médiation culturelle? À la lecture des nombreux ouvrages et articles traitant de la médiation culturelle, nous prenons vite conscience de son caractère multiforme et de son hétérogénéité. Concept marketing pour les uns, mot à la mode pour les autres, la médiation culturelle, depuis son émersion sur le devant de la scène dans les années soixante-dix, ne cesse de faire débat. Notion évolutive aux limites floues, elle renvoie à de nombreuses acceptions que l on peut résumer en quatre axes de définition : La médiation culturelle peut être perçue tout d abord comme un intermédiaire assurant la mise en relation d une population avec une ou plusieurs choses. Outil de traduction, de transmission, relais entre l œuvre et le public, entre le passé et le présent, il s agit d un processus permettant avant tout la réduction des écarts entre des parties distinctes. Cet «entre deux», loin d être un concept de masse, est un moyen de toucher des publics particuliers en s adressant à eux de manière distincte. La médiation peut également apparaître sous les traits d un processus éducatif. Elle s inscrit alors dans le champ de ce que l on appelle l éducation informelle dans le sens où elle n est ni obligatoire, ni contrainte par un programme, ni sujette à une validation d acquis. Luttant contre l aspect élitiste de la culture elle se propose d agir comme un levier permettant l ouverture de cette dernière à une population ne disposant pas des clefs nécessaires à sa bonne compréhension. Outil d accompagnement, elle assure ainsi un accès qualitatif aux œuvres et objets. Située à la confluence du triangle «objets, personnes, établissements», la médiation travaille conjointement au niveau du sens et du vivre ensemble. Elle peut donc être matérialisée sous les traits d un espace social privilégié dans lequel s établissent des dialogues entre des parties qui n ont pas toujours l occasion de se rencontrer. Réponse aux conflits de société, elle favorise la communication et le brassage des populations tout en réduisant les fractures sociales. La médiation culturelle est enfin un acte face au public qui se concrétise sous deux grandes formes. Lorsqu elle implique la présence physique d un médiateur qui se met en scène et s appuie sur le public, on parle de médiation directe. Toutes les problématiques liées à la gestion de groupes, à l anticipation des réactions des différents publics, et aux réajustements éventuels sont alors prises en charge par le médiateur. Lorsqu au contraire, elle effectue des propositions aux publics, utilisables ou non durant leur temps de visite, on parle alors de médiation indirecte. Dans ce cas, elle s adresse à des publics potentiels qui utiliseront, s ils le souhaitent et à leur rythme, les supports d informations (fiches d aide à la visite, jeux, vidéos, etc.). Dès lors, l enjeu ici est d anticiper les exigences et les caractéristiques des différents publics afin d adapter au mieux l offre à leurs attentes tant sur le contenu que sur la forme pour ainsi les accompagner de manière pertinente. 3

4 -- Les finalités de la médiation culturelle : pourquoi faire de la médiation culturelle? «La médiation culturelle est donc multiple et ne prend sens que par sa pluralité.» C est la raison pour laquelle les finalités qui peuvent justifier le recours à une technique de médiation sont elles aussi multiples : La finalité politique : «la médiation culturelle est un projet de mise en commun des œuvres de l art et de la culture». Dans cette optique, la médiation culturelle se fait le chantre à la fois de la démocratisation et de la démocratie culturelle. Pour les défenseurs de cette approche c est, d une part, grâce à elle que le plus grand nombre aura accès aux valeurs patrimoniales constitutives de notre identité, et, d autre part, par elle que les expressions culturelles des différentes populations seront reconnues et valorisées. La finalité économique : rendre accessible une activité artistique, culturelle ou de loisirs à de nouveaux publics répond également à l exigence beaucoup plus pragmatique de rentabilité. La médiation est ici perçue comme un moyen d accroître la fréquentation des sites culturels / de loisirs et d engendrer par ce biais un accroissement de leurs retombées économiques. La finalité sociétale : le recours à la médiation culturelle vise ici à combler la rupture sociale et culturelle intervenue entre les institutions et certaines catégories de la population. En ce sens, elle devient un outil de régulation sociale et agit comme une véritable pédagogie de la vie sociale (mise en place de programmes d actions volontaristes en direction de certains publics, de certaines zones en difficulté, ou de groupes sociaux particuliers). La finalité identitaire: la médiation doit créer dans ce cas les conditions favorables à l appropriation de la dimension culturelle et artistique d un territoire et/ou d une communauté. De nouveaux espaces de culture sont ainsi créés et leurs valeurs transversales permettent à la population d y adhérer et de s y identifier. La finalité culturelle : la médiation est enfin l action de préparation et d explication en amont de la rencontre entre des œuvres et des populations. Elle apparaît donc comme le processus par lequel le public développe son esprit critique. Sa fonction n est alors pas de traduire en langage commun ce que l artiste s est acharné à dire autrement, mais d amener le public à s interroger sur cet autrement. C est justement ce qui lui permettra par la suite d user de son discernement pour juger, ou du moins apprécier une œuvre et, de cette manière, ne pas se laisser berner par ce qui peut apparaître comme du non-art. -- Le processus de médiation culturelle Public(s) Bien que différentes, deux notions participent à la bonne compréhension du public : Moyens (budget, locaux, durée ) Médiateur Objet Outils (Internet, livret, jeux ) L interprétation : elle a pour but de stimuler chez le visiteur un désir d élargir l horizon de ses intérêts et connaissances en lui fournissant les explications nécessaires à une bonne compréhension du site visité. La médiation culturelle fournit les modes de transmission de ces informations. Elle se propose donc de faciliter l accès de tous au patrimoine et à la culture en leur offrant des outils permettant de donner du sens aux objets, territoires, et paysages rencontrés. 4

5 -- La médiation culturelle en théorie Dans le domaine de la culture, il ne s'agit pas de diplomatie, ni d'opposition d'opinion, mais d'une distance entre la culture et ses acteurs, puis les spectateurs de cette culture. Le médiateur joue donc un rôle d interconnecteur qui valorise les œuvres pour que le public en tire le meilleur. Le besoin est alors de faire un lien, de créer un dialogue entre deux parties, afin que les uns soient mieux compris et mieux approchés par les autres. L'intérêt du médiateur culturel est d'assurer au plus grand nombre l'accès, aussi bien physique que social et intellectuel, à la culture. Le médiateur se doit d'être neutre, de n'être ni le défenseur, ni le détracteur d'aucune des parties. Si sa fonction le mène à guider les populations vers la culture et l'art, il doit garder à l esprit l importance de l objectivité dont il doit faire preuve. Les jugements de valeurs doivent alors être proscrits. -- Les réalités de la médiation culturelle Au-delà des divergences d opinions qui évoquent le lien que représente le médiateur, se trouve une réalité, un travail de terrain, où le médiateur et son public vivent un moment unique qui leur appartient. Sur le terrain, le médiateur culturel doit mettre en place des actions de médiation envers des publics variés (enfants, adultes, scolaires, personnes en situation de handicap physique, isolées socialement, professionnellement, etc.). Il n est alors pas forcément amené à guider le passionné d art qui en sait déjà long sur la question d une œuvre. Il doit avant tout s adapter, connaître son public pour mieux exercer sa profession. Il doit offrir à ses publics plusieurs degrés de lectures permettant à chacun de trouver l œuvre à sa portée et d en garder des informations et connaissances qui lui sont adaptées. Au-delà de cette nécessité d adaptation, réside le besoin fondamental de captiver les publics, de rendre son rapport à l œuvre attractif en s éloignant du simple cours magistral portant sur une œuvre, une pièce, un film, etc. Le dialogue et l écoute s avèrent primordiaux («Aimez-vous? Et pourquoi?», «Qu en pensez-vous?», «Avez-vous des questions?», «Qu est-ce que ça vous évoque?»). Par ces notions, les publics doivent alors à la fin d une activité pouvoir se sentir plus proche d une œuvre et de ce qu elle véhicule, sans pour autant ressentir un surplus d informations. 5

6 > LE CHAMP SOCIAL -- Le champ social? Un champ est un espace structuré et hiérarchisé. Chaque champ se définit par des enjeux et des intérêts qui lui sont spécifiques. Le champ social regroupe l ensemble des actions relevant de l'amélioration des conditions de vie d une société. Ceci englobe donc les opérateurs au sein des espaces de solidarité de structures sociales et de leur réseau local (établissements sociaux et médico-sociaux, centres sociaux, communautés de communes, structures d insertion, associations caritatives, missions locales, etc.). On y retrouve les activités ayant trait à l exclusion, l insertion ou réinsertion, l'enfance et la famille. Les publics cibles sont principalement les enfants, les jeunes en difficulté, les personnes exclues de la société pour des raisons culturelles, financières, médicales, mais aussi les les détenus et anciens détenus, puis les familles. -- L action sociale Elle désigne les moyens et actions par lesquels une société agit pour préserver sa cohésion. Il s agit d aider les citoyens à mieux vivre, à acquérir ou à préserver leur autonomie et à s adapter au milieu social environnant. Elle se caractérise par le principe d assistance et d aide sociale apportée aux plus fragiles. Elle est exercée par des organisations, souvent publiques, employant des travailleurs sociaux qui mobilisent des outils d accompagnement adaptées aux publics accueillis. -- La notion de lien social La notion de lien social s étend aux relations unissant des personnes faisant partie de groupes sociaux identiques ou différents et qui garantissent une cohésion sociale. Depuis une vingtaine d années, dans les sociétés occidentales, le lien social se trouve fragilisé. Recréer ce lien est alors devenu une des préoccupations principales des politiques publiques. Jean Caune (professeur à l université Stendhal de Grenoble) indique alors dans Pour une éthique de la médiation : «Ce qui fonde le lien social, c est l appartenance à une communauté de culture». On comprend alors que le collectif constitue du lien social. 6

7 > CULTURE & LIEN SOCIAL Plus les publics sont éloignés de la culture, moins ils en éprouvent le besoin Pierre Bourdieu L intérêt est alors de co-construire des projets à destination d un large public. -- Quels acteurs? Le montage de projet implique une diversité d acteurs, d où l importance de la notion de réseau regroupant différentes entités : - Les professionnels et bénévoles appartenant au secteur public (collectivités, institutions publiques diverses) et/ou privé (secteur associatif culturel et social, entreprises du champ de l économie sociale et solidaire, etc.). - Les publics auxquels s adressent les projets mêlant secteur social et culturel visent prioritairement les bénéficiaires de l aide sociale. Ces projets doivent favoriser une mixité sociale, d où l intérêt de les envisager non seulement en termes de générations mais aussi de conditions sociales. - Des territoires qui peuvent être variables, géographiques, symboliques, virtuels, etc. La proximité reste tout de même l échelle la plus pertinente. Toutefois, des échanges et des croisements avec d autres espaces de vie et de conception de projets peuvent aussi s envisager. La mixité des usages d un lieu est alors à exploiter. Prenons par exemple le projet Cinéma à l hôpital, mis en place par le Cinéma Jean Vigo (Bordeaux). -- Exemple : Projet Cinéma à l Hôpital, Centre Jean Vigo, projections de cinéma Dans le cadre du programme interministériel Culture à l'hôpital, le Centre Jean Vigo Evénements organise, en partenariat avec le CHU de Bordeaux, des projections régulières de films (du cinéma muet au cinéma actuel) au sein de l'hôpital des enfants, de la maternité de Bordeaux, ainsi que dans des maisons de retraites. Ces rendez-vous contribuent à rompre avec le rythme soutenu de l hôpital en créant une bulle d oxygène dont le bénéfice à long terme est particulièrement observable chez les personnes en long séjour. Les projections favorisent la rencontre et la communication entre les différents acteurs du cadre hospitalier, en offrant une multitude de thèmes de discussion différents des échanges routiniers. L interaction dépasse ainsi le stade de la seule relation de soin ou d accompagnement. Projet en partenariat avec le centre Jean Vigo événements, avec le soutien de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles), de l ARH (Agence Régionale de l Hospitalisation) et du Conseil Régional Aquitaine. 7

8 -- Quels sont les enjeux? >> Pour les publics 1. La culture vue comme un outil d intervention sociale Les actions culturelles menées collectivement mettent en valeur les potentiels des publics. De plus, elles permettent aux travailleurs sociaux de porter un regard différent sur leurs publics et, réciproquement, amènent ces derniers à modifier leur perception des travailleurs sociaux. Ces moments sont alors des temps de rencontres, d échanges, de confrontations constructives. 2. La culture comme une prise de confiance et de développement personnel Les actions culturelles sont des outils favorisant des changements à plusieurs niveaux et dans différents domaines. 3. Se réconcilier avec soi-même (Re)connaître son potentiel et prendre conscience de ses envies, choix et motivations/volonté de s exprimer/ être écouté mais aussi entendu. 4. Vivre dans un groupe et mettre en valeur son savoir-faire, sa personnalité, affûter son sens critique, partager ses connaissances pour s ouvrir, apprendre des autres et aux autres. 5. Se faire reconnaître dans son environnement Développer une vie sociale, mettre en exergue sa volonté de poursuivre des activités collectives et donc renouer des relations. 6. Être et s affirmer en tant que citoyen Retrouver de l énergie pour prendre part à la vie de la cité et s engager, concrétiser des projets personnels. 7. Développer et affiner sa sensibilité artistique Démystifier la création et le champ culturel dans son ensemble, le reconnaître comme un univers accessible et légitime, faciliter l expression personnelle (sensibilité, imaginaire, émotion, etc.) et atténuer les craintes que peuvent inspirer les lieux culturels. >> Pour les porteurs de projets 1. S adapter et changer sa vision des choses Les changements sont autant dans leur rapport au public que vis-à-vis des partenaires professionnels. Il s agit de dépasser les a priori et idées reçues de chacun. 2. S ouvrir à d autres univers, croiser les domaines Monter un projet avec des opérateurs issus d un autre domaine professionnel exige de s imprégner de leur univers et de pouvoir collaborer. Croiser les domaines contribue à une prise de conscience et à la reconnaissance de l expression artistique et culturelle comme un outil d accompagnement social, comme une dimension à ne pas oublier dans la prise en compte des publics accompagnés. 8

9 >> Les acteurs culturels en particulier 1. Prise de conscience du secteur social Les acteurs culturels peuvent ainsi mieux appréhender les réalités et les missions du secteur social et ainsi sortir d une simple posture de relation au public. De ce fait, ils peuvent concevoir et proposer des actions artistiques et culturelles adaptées aux objectifs du secteur social, sans pour autant perdre de vue leur exigence culturelle et artistique. 2. Des résultats attendus et souvent démontrés Dans le cadre d un travail collectif, le cheminement peut être plus ou moins long. Le premier ressenti peut d abord être celui d une perte de temps. C est plus tard, ou à l issue du projet, que l impact sur les bénéficiaires est mesurable. 3. C est bien la rencontre, le collectif et le fait de faire ensemble qui sont au cœur du succès de ces formes d actions. Elles créent des conditions de proximité entre habitants, artistes, structures culturelles et sociales. Elles permettent ainsi aux individus fragilisés de sortir de leur isolement social et de générer du lien social. -- Contraintes/difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de projets Dans le cadre de projets co-construits, les difficultés suivantes peuvent être rencontrées : Le temps: pouvoir rencontrer l intervenant avant le début du projet, pour monter le dossier ou pour accompagner les publics. La difficulté d installer un fonctionnement efficace (concevoir un projet à plusieurs). La difficulté de trouver des lieux accessibles et dont l éloignement ne constitue pas un frein. La diversité des acteurs sociaux : «La difficulté à construire des projets d action culturelle résulte de la diversité des acteurs sociaux qui doivent être mobilisés, si possible ensemble. Leurs logiques peuvent parfois être contradictoires : les élus, raisonnant à court terme, souhaitent une efficacité et des résultats concrets sur le terrain, les travailleurs sociaux, immergés sur les terrains tentent de faire face à l urgence sociale, les associations apportent leurs connaissance des populations, les artistes leurs préoccupations artistiques de création» Sylvie Rouzel, travailleur social (Quand la culture rencontre l action sociale : réflexions à partir de quelques exemples de terrain. Vie sociale, n 4, 2004). La complexité liée au montage de dossiers de financement. L absence de mise en œuvre de projets co-construits n est donc pas alors un manque d intérêt mais un réel problème de temps et de financement. À ce titre, comment faire au mieux pour ne pas tomber dans ces pièges? 9

10 -- Outils nécessaires de mise en œuvre S associer pour mettre en place un projet co-construit n est pas si facile à mettre en application et plusieurs enseignements peuvent en être tirés : Sans volonté politique préalable sur le territoire concerné, les projets culture et social sont d ores et déjà mis en difficulté. Les projets reposent la plupart du temps sur des personnes «moteurs», indispensables au bon déroulement de l action. Nous notons alors l importance des partenariats, de démarche volontariste dans laquelle chaque participant a un rôle et des responsabilités qu il se doit de tenir pour assurer le succès du projet. Quelles sont alors les conditions à remplir pour assurer la réalisation d un projet? Quelques clés 1) Laisser la place à l expérimentation et l exemplarité - Toute action doit être montée sur mesure pour avoir du sens. - Mettre en place un langage commun pour se comprendre. - Avoir envie de développer un projet qui défend des valeurs communes et qui laisse la place au sensible. - Bien définir le sens du projet. - Accepter que l action ne concerne que peu de personnes, le qualitatif est alors favorisé. - Favoriser le processus plutôt que le résultat. - Etre mobile physiquement (géographie - déplacement) et prêt à toutes remises en questions. 2) Avoir confiance - Garder à l esprit que le projet est possible et réalisable. - Accepter de travailler à plusieurs. - Etre optimiste, convaincu et motivé. - Favoriser l engagement et la permanence des partenaires. 3) Organiser le travail en équipe et prendre le temps - Travailler en équipe, en concertation et en consultation, tant en interne qu avec ses partenaires extérieurs. - Respecter l organisation interne de chaque partenaire. - Prendre en compte les compétences de chacun. - Prendre en compte la différence de temporalité. - Accepter de prendre du temps et le voir comme un temps nécessaire de construction plutôt qu une perte de temps. 4) Être réaliste - Respecter les attentes, les objectifs, les ressources et les limites de chacun. - Partager les pouvoirs, les risques et les responsabilités. - Mobiliser conjointement les ressources nécessaires au projet. - Prendre en compte les conditions de précarité d une partie du public visé et les conséquences sur leur capacité à s engager dans ce type d action 10

11 FICHES PEDAGOGIQUES : METHODOLOGIE DU PROJET CULTUREL Méthodologie du projet culturel OBJET Nom et résumé du projet MOTIFS Quelles sont les raisons du projet? Quels sont ses atouts? A quels problèmes veut-il s attaquer? Sur quelle tendance va-t-il porter? Analyse du contexte et du champ esthétique Faire un état de l expérience accumulée sur le sujet Réflexion sur le public visé BUTS Quelles sont les finalités du projet? Dans quelles perspectives s inscrit-il? (Quelle est sa philosophie?) OBJECTIFS Objectifs généraux OBJECTIFS SPÉCIFIQUES Quoi? Que veut-on faire exactement? Quand? A quel moment et pour quelle durée? Où? Dans quels lieux? Qui? Quels sont les acteurs du projet? Comment? Par quelles étapes? MOYENS Humains Matériels BUDGET PREVISIONNEL Détail des dépenses Recettes 11

12 FICHES PEDAGOGIQUES : PREPARER LA REALISATION D UN PROJET Préparer la réalisation d un projet Fonctions Direction Organisation administrative et financière Réalisation technique Communication interne et externe Phases Tâches Conception du projet Formulation du projet, au fur et à mesure de sa négociation avec les partenaires Chiffrage du budget, recherche de financements possibles Evaluation des moyens nécessaires et/ou possibles Mise en forme de différentes versions du projet adaptées à la culture de chacun des partenaires Préparation - Suivi global de l avancée du projet - Ajustement en fonction des moyens acquis - Répartition des tâches et des responsabilités - Constitution et organisation des équipes - Suivi du financement - Mise ne place de la gestion financière et comptable - Légalité : contrats de travail entre les partenaires, autorisation, assurances, commissions de sécurité - Définition des procédures administratives - Aménagement des espaces - Prévisions, installation des moyens techniques du projet. - Préparation des régies techniques. - Acheminement et mise en place - Charte graphique, identité visuelle - Stratégie et synergie des moyens - Mise en place des outils de communication internes et externes - Dossiers et conférences de presse - Préfiguration, inauguration - Médiation - Outils d évaluation Réalisation - Supervision de la réalisation - Coordination de l équipe de projet - Représentation sur les lieux de réalisation - Suivi administratif et financier des opérations - Régie technique des moyens nécessaires - Accueil et suivi de la presse - Diffusion de l information - Suivi des opérations de médiation Bilan - Débriefing des équipes de projet - Bilan avec les partenaires - Clôture administrative des opérations - Bilan financier - Remise en état - Démontage, retour ou stockage, des moyens matériels. - Evaluation sommative - Mise en forme et diffusion du bilan 12

13 FICHES PEDAGOGIQUES : ETAPES DE LA MISE EN PLACE D UN PROJET CO-CONSTRUIT Étapes de la mise en place d un projet co-construit ETAPE 1 Identifier la/les personne(s) référente(s) au sein de la ou des structures porteuses. ETAPE 2 Réaliser un diagnostic du contexte dans lequel le projet est susceptible de se développer Repérer les partenaires potentiels et les bons interlocuteurs (partenaires de l action, institutions et financeurs potentiels etc.) ETAPE 3 Identifier les ressources disponibles pour réaliser l action Se nourrir d autres exemples de projets existants du même type, sur d autres territoires (ex : Internet). ETAPE 4 Mobiliser et convaincre les partenaires potentiels Confronter l idée du projet à plusieurs avis dans une logique de réciprocité afin d être constructif. ETAPE 5 Une fois les partenaires solides identifiés, imaginer collectivement plusieurs scénarios d actions en s autorisant à dépasser le réalisable. ETAPE 6 Analyser la faisabilité du projet et élaborer sa préfiguration. ETAPE 7 Préparer concrètement et réaliser le projet, ce qui passe par des temps d animation, de pilotage collectif, d information de ses collaborateurs au sein de chaque structure, coordonner l ensemble des étapes, etc. ETAPE 8 En vue d une évaluation autant qualitative que quantitative, penser à récolter tout au long du processus les retours des protagonistes au travers de comptes rendus des temps de travail, des temps d actions réels, témoignages écrits, oraux, vidéos ETAPE 9 Au cours du projet et une fois réalisé, ne pas hésiter à mettre en œuvre des moyens pour communiquer et le valoriser afin de montrer ce qui s est réellement produit pour tous les partenaires et publics de l action. 13

14 FICHES PEDAGOGIQUES : DES EXEMPLES CONCRETS «ET SI ON SORTAIT?» PILOTE : Espace solidarité Nord PARTENAIRES : Le Mille Pattes LIEU : territoire de la Communauté de communes d Annonay CONTEXTE DE L ACTION Depuis son ouverture, le Mille Pattes est partenaire de l association «Cultures du Cœur Drôme - Ardèche». Dans ce cadre, des invitations sont régulièrement mises à disposition d un public bénéficiaire d aides sociales via les structures médico-sociales du territoire. L Espace solidarité Nord développe depuis de nombreuses années des actions collectives en direction d un public divers, en s appuyant souvent sur des projets en lien avec le secteur culturel et artistique. Une des assistantes sociales de l équipe a d ailleurs suivi un cycle de formation proposé par Cultures du Cœur, afin d approfondir ses partenariats avec le secteur culturel. En 2010, à l occasion du lancement du premier appel à projet «Culture e(s)t lien social» par le Département, ces deux structures ont souhaité développer un partenariat plus approfondi pour permettre à un groupe d adultes en insertion suivis par des professionnels de l Espace solidarité, de découvrir le monde du spectacle. OBJECTIFS DE L ACTION Permettre aux participants de se faire plaisir en s ouvrant à des propositions artistiques Créer du lien entre les membres du groupe et créer un petit réseau de personnes qui pourront ensuite s organiser pour être autonomes dans leurs démarches culturelles Se créer des repères culturels et artistiques en développant ses capacités d analyse PUBLIC VISÉ Public en situation de précarité financière, avec le désir d aller voir des spectacles et d échanger autour de cette expérience. CONTENU ET DÉROULEMENT DE L ACTION Après les phases de préparation entre l équipe du Milles Pattes et de l Espace solidarité Nord, l action a réellement démarré avant l été 2010, par des rencontres entre les professionnels et les participants potentiels à cette action collective. Un groupe s est alors constitué. Il s est retrouvé fin août pour rencontrer le chorégraphie-danseur connu internationalement et originaire d Annonay, Abou Lagraa. Beau début de parcours découverte! Ensuite, les membres du groupe ont choisi 4 spectacles à voir ensemble sur l année. A l issue de chaque spectacle, un temps de rencontre et d échange a eu lieu afin de parler du spectacle, des ressentis de chacun, découvertes, et de discuter avec les artistes. A chaque étape, les participants ont pris des photos, rédigé des textes afin de conserver une trace de cette expérience. Ils ont enfin pu présenter oralement leur voyage dans l univers du spectacle à l occasion de la Fête annuelle des actions collectives organisée par l Espace solidarité Nord. LES MOYENS Cette action a pu avoir lieu avant tout grâce à l implication de deux travailleurs sociaux de l Espace solidarité Nord qui ont initié la démarche, mobilisé le public et animé le groupe. Il en est de même pour l équipe du Théâtre qui a permis de créer les conditions d un accueil sur mesure pour ce groupe de spectateurs. C est donc bien grâce à du temps de travail que les choses ont pu se mettre en place. Par ailleurs, des moyens financiers ont également été mobilisés, dont euros dans le cadre de l appel à projets «Culture e(s)t lien social» du Conseil général. Budget de l action : euros (hors valorisation de l implication directe des partenaires). L ÉVALUATION Dans l ensemble, cette action suivie par une dizaine de participants a remporté un grand succès. Les effets sur le groupe sont manifestes aux yeux des encadrants. Quant aux professionnels, ils ont ainsi pu apprendre à mieux se connaître et contribuer progressivement au décloisonnement de leur secteur respectif. Le projet est d ailleurs renouvelé en , avec l envie de le rendre pérenne. 14

15 FICHES PEDAGOGIQUES : DES EXEMPLES CONCRETS «LES PERSONNES JAZZY» PILOTE : Cavajazz à Viviers PARTENAIRES : Espace solidarité Sud-Est (équipe personnes âgées, personnes handicapées) LIEU : territoire autour du Teil CONTEXTE DE L ACTION «Les personnes jazzy» est un ensemble musical qui s est constitué à l occasion de l appel à projet «Culture e(s)t lien social», grâce à l envie de l Espace solidarité Sud- Est et de Cavajazz de travailler ensemble. L Espace solidarité Sud- Est accompagne personnes dans le cadre du dispositif de l Allocation personnalisée d autonomie. Lors des visites à domicile, les professionnels font régulièrement le constat de l isolement géographique, social et culturel de ces personnes. Cavajazz, structure de la Scène de musiques actuelles 07 (SMAC 07), est spécialisée dans les musiques jazz, improvisées et musiques du monde avec comme objectif principal de les rendre accessibles au plus grand nombre de spectateurs. C est ensemble qu elles ont imaginé ce projet qui a amené des jazzmen à aller «musiquer» dans des structures d accueil de personnes âgées ou chez des particuliers ne pouvant pas se déplacer facilement du fait d un handicap ou de leur grand âge. OBJECTIFS DE L ACTION L objectif principal consiste à initier des rencontres avec des personnes âgées et à mobilité réduite afin de partager un moment autour de la musique jouée et chantée dans le cadre de vie familier. Ces rencontres se veulent être l occasion de changer d air, de se rencontrer, de parler ensemble et de laisser libre cours aux émotions qui accompagnent l écoute de la musique! PUBLIC VISÉ Personnes âgées et personnes handicapées suivies par l équipe PAPH de l Espace solidarité Sud-Est. CONTENU ET DÉROULEMENT DE L ACTION Une fois les personnes identifiées par l équipe de l Espace solidarité, ce sont quatre rencontres qui ont pu être organisées aux domiciles de certains et en lieux d accueil de jour pour d autres. Chaque date a été l occasion d un moment fort où le groupe de musiciens a pu interpréter des morceaux d un répertoire de chansons françaises dans toute sa diversité, avec une sensibilité jazz et en privilégiant l improvisation. Le public a ainsi pu voyager à travers les époques au gré de ses souvenirs avec beaucoup d émotions. Au cours d une après-midi du mois d avril 2011, une restitution sous forme d invitation ouverte au public a permis de réunir les différents acteurs du projet au Théâtre de Viviers. Grâce à la projection d un film réalisé à partir des vidéos des rencontres musicales, chacun a pu mesurer le rôle important joué par la médiation culturelle, et tout particulièrement la chanson, vecteur social créateur de lien. Encore une belle occasion de danser et chanter pour le public et les professionnels qui les accompagnaient! LES MOYENS La forte implication de l équipe de travailleurs sociaux qui a dû gérer cette action, sans temps de travail particulier dévolu, et des musiciens a permis de mener à bien ce projet. Budget de l action : euros dont euros dans le cadre de l appel à projets «Culture e(s)t lien social». L ÉVALUATION Une trentaine de personnes ont bénéficié de cette action à leur domicile ou dans une structure d accueil de jour, même si les objectifs de départ ont dû être revus en cours de route à cause d évènements imprévus (notamment un travail sur la mémoire qui n a pas pu être conduit). Il est important de souligner que convaincre des personnes âgées d accueillir des musiciens à leur domicile n est pas chose facile. Le choix des participants a donc parfois été arbitraire ne correspondant pas forcement à de réels besoins. Cependant pour une première expérience de ce type, les moments qui ont eu lieu ont été très émouvants tant pour les personnes âgées que les professionnels qui ont toujours été ravis et participants. Enfin le temps de restitution publique a remporté un franc succès et a donné envie à des communes de décliner ce projet sur leur territoire. 15

16 Bibliographie Ouvrages - La médiation culturelle Bernard LAMIZET, L Harmattan communication (février 2000), 448p. - Conception, management et communication d un projet culturel Paul RASSE, Territorial éditions (décembre 2012), 102p. Liens Internet - Accès aux droits culturels : quelles pratiques dans les associations? ( - Biennale de l imaginaire sociale, Enquêtes sur les projets culturels ( - Charte de la médiation culturelle ( - Enquête sur les projets culturels- Creai Nord Pas de Calais ( - Fiches parcours découvertes culturelles ( - La médiation culturelle (bcarette.free.fr/mediation_culturelle/wiki_mediation_culturelle.pdf) - La médiation culturelle, une construction du lien social. ( - Médiateur Culturel ( - Symposium : Médiation! Plus que de simples recettes, Rôles et légitimités de la médiation culturelle. ( - Vade-Mecum : Culture e(s)t lien social, agir ensemble. ( ans d art et de culture dans les CHU ( 16

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